Episodes

  • Au cours de cette entrevue, William McGuire, externe en médecine à l’Université de Montréal et animateur d’Associations libres, discute de dépression (en essayant d'être pas trop déprimant!) avec le docteur Christophe Poirier, médecin résident en psychiatrie à l'UdeM qui fait la promotion d’approches novatrices en santé mentale, tout en étant un bon porte-parole des saines habitudes de vie.

    Des données récentes publiées par la Régie de l'assurance maladie du Québec démontrent qu'il y a eu une augmentation significative des prescriptions d'antidépresseurs au cours des 15 dernières années, tendance qui a doublé au cours de l'année 2020.

    Un sondage récent auprès de la population canadienne révèle que 46 % des personnes sondées croient que leur santé mentale s'est détériorée au cours de la dernière année (ce chiffre atteint 59 % chez les jeunes de 18 à 34 ans).

    En regardant ces chiffres, il est difficile de ne pas se demander si la dépression est le mal du siècle. Pourquoi les gens sont-ils si déprimés?

    La détresse, la souffrance psychologique — à ne pas confondre avec les maladies mentales — peut être saine et essentielle dans le vécu de l'être humain.

    Christophe Poirier parle de la dépression au sens clinique du terme par la médecine moderne. Il nomme les critères qui amènent un diagnostic de dépression : insomnie, manque d'appétit, tristesse, culpabilité, idées suicidaires, souffrance existentielle, etc. Il note que c'est toutefois important que ces critères soient analysés par un clinicien afin qu'ils soient validés correctement.

    Mis à part les médicaments, il existe d'autres options au niveau biologique et des alternatives non pharmacologiques pour essayer d'aller mieux, pour prendre soin de sa santé mentale. Christophe présente 3 options : la prévention de l'abus de consommation de substances, l'activité physique et la méditation pleine conscience.

    William et Christophe discutent aussi du lien entre le cerveau et le système digestif (gut-brain axis). En analysant les symptômes de dépression, le microbiome pourrait être responsable de l'humeur et donc de la dépression. La santé mentale est donc corporelle. On ne peut plus séparer la pensée du corps. La dépression est maintenant considérée aussi comme une maladie physique.

    Ils parlent aussi du tabou entourant un traitement qui existe depuis longtemps pour traiter la dépression : l'électroconvulsivothérapie (les électrochocs) qui consiste à faire convulser les patientes et patients.

    Enfin, William souligne les ressources qui sont accessibles sur le campus de l'UdeM : le Centre de santé et de consultation psychologique des Services aux étudiants offre des ateliers de groupe sur l'anxiété, l'estime de soi et la dépression et de nouvelles bourses de soutien financier sont maintenant offertes pour aider les étudiantes et les étudiants dans une situation financière difficile.

    Faites vos dons à la Fondation Jeunes en tête.

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  • Au cours de cette entrevue, William McGuire, externe en médecine à l’Université de Montréal et animateur d’Associations libres, discute de l’art-thérapie avec le docteur William Pelletier, médecin résident en psychiatrie à l’UdeM et étudiant au microprogramme de deuxième cycle en art thérapie à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue.

    Après des études variées, du journalisme à la médecine, William Pelletier se trouve à l’intersection entre la psychiatrie et les sciences humaines, l’art et la culture. Pendant sa résidence en psychiatrie, il a cherché tous les moyens possibles pour développer ses compétences reliées à l’art-thérapie.

    Leur discussion sur le recours à l’art comme moyen de contrer la souffrance psychologique rappelle l’importance de déconstruire certains symboles associés au traitement de la maladie mentale. L’art-thérapie est une démarche méconnue mais de plus en plus répandue, où il est permis de sortir des sentiers battus.

    On peut définir l’art-thérapie comme une thérapie accompagnée d’une ou d’un art-thérapeute. Cette personne peut guider une ou un individu ou un groupe à exprimer leurs émotions et leurs pensées grâce aux arts plastiques classiques (sculpture, dessin, peinture). Cette démarche est ainsi plus active pour les patientes et patients que de se retrouver assis dans un bureau de psychiatre.

    L’art-thérapeute doit posséder autant des connaissances dans les arts plastiques qu’en psychothérapie. L’importance est accordée non pas à l’œuvre obtenue dans une session d’art-thérapie mais bien aux émotions vécues que les participant[e]s sont invité[e]s à verbaliser pendant la création de l’œuvre.

    L’art-thérapie se fait au public et au privé, dans les hôpitaux, les milieux carcéraux, dans les CSLC, en pédiatrie et en pédopsychiatrie notamment.

    Le Musée des beaux-arts de Montréal a plusieurs projets consacrés à l’art-thérapie en partenariat avec l’Institut universitaire en santé mentale Douglas et l’Université Concordia entre autres.

    Faites vos dons à la Fondation du Musée de beaux-arts de Montréal.

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  • Au cours de cette entrevue, William McGuire, externe en médecine à l’Université de Montréal et animateur d’Associations libres, discute de psychiatrie communautaire et des impacts de la pandémie sur les services dispensés en psychiatrie avec le docteur Luigi De Benedictis.

    Ce médecin psychiatre de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal partage son temps entre la clinique des premiers épisodes psychotiques, l’unité des traitements de réadaptation intensive, son implication dans la recherche et ses tâches de professeur adjoint de clinique à l’UdeM.

    En plus de toutes ces tâches, Dr De Benedictis est aussi un protagoniste de la série documentaire De garde 24/7 à l’affiche à Télé-Québec, une émission qui contribue à l’effort de déstigmatisation de la santé mentale, et il est maintenant psychiatre communautaire.

    C’est souvent un problème de détection de la maladie mentale qui peut être long et couteux dans le système de santé du Québec. La psychiatrie communautaire s’assure que les travailleuses et travailleurs de la première ligne (les médecins de famille, les intervenantes et intervenants dans les CLSC et les organismes communautaires) soient capables de faire leur travail.

    Pour ce faire, le système de santé québécois a sorti les psychiatres des hôpitaux et cliniques spécialisées pour les amener sur le terrain afin de réaliser ce travail de débroussaillage et détecter les maladies mentales directement dans la communauté, dans le milieu où se trouvent les patientes et patients, la plupart du temps dans les CLSC.

    Dans cette approche, les psychiatres aident à l’évaluation et au diagnostic des patient[e]s en collaboration avec les médecins de famille et participent aussi aux réunions avec les autres intervenant[e]s en santé mentale pour donner leurs opinions et leurs conseils. En faisait désormais partie de l’équipe, les psychiatres peuvent intervenir plus rapidement et aident ainsi à ce que certaines maladies n’aient pas le temps de se développer.

    La santé mentale touche l’ensemble de la population. La psychiatrie communautaire contribue à normaliser les problématiques en santé mentale et cherche à aider à faire de la prévention dans ce domaine.

    La psychiatrie communautaire aide à diminuer le nombre d’hospitalisation, aide les patient[e]s à rester dans leur communauté et chez leurs parents, supporte les familles des patient[e]s… Une approche qui contribue aussi à aider à décentraliser le système de santé.

    Enfin, le Dr De Benedictis revient sur les effets qu’a eu la pandémie et le confinement sur les gens atteints de problèmes de troubles de l’humeur, de problématiques anxieuses, etc. qui ont sombrés dans de l’autotraitement pendant cette période, car ils avaient arrêté d’utiliser les services de santé.

    C’est une responsabilité collective de déstigmatiser la santé mentale.

    Faites vos dons à la fondation de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal.

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  • La pair-aidance repose sur une entraide entre personnes étant ou ayant été atteintes d'une maladie somatique ou psychique à la suite d’une formation. C’est une pratique qui est utilisée depuis les années 70, mais qui gagne en popularité depuis les dernières années, plus particulièrement dans le domaine de la santé mentale, car elle contribue à une plus grande autonomie des patientes et patients et à leur rétablissement. La pair-aidance en psychiatrie, un terme avant-gardiste dans le domaine de la recherche, est un sujet de plus en plus étudié.

    Au cours de cette entrevue, William McGuire, externe en médecine à l’Université de Montréal et animateur d’Associations libres, discute avec Richard Breton, un pair aidant unique en son genre qui a lui-même vécu un parcours de soins en santé mentale.

    Richard a un discours qui ébranle les préjugés, qui donne de l’espoir, qui déstigmatise les troubles de santé mentale et qui permet de revisiter les perceptions des instituts qui offrent des soins dans ce domaine. Ce balado transmet le message qu’il est possible d’aller de l’avant dans la vie malgré sa maladie mentale.

    Après une enfance difficile et un diagnostic de schizophrénie à l’âge adulte, Richard Breton a pris la décision d’utiliser les évènements marquants de sa vie pour aider les autres.

    Aujourd’hui, Richard travaille comme intervenant et pair aidant à la Société québécoise de la schizophrénie (SQS) et comme intervenant à l’Institut Philippe-Pinel. Richard est le premier employé de cet hôpital à sécurité maximale qui existe depuis 50 ans à avoir été un patient d'abord. Il donne aussi des conférences auprès des policiers pour les sensibiliser sur ce sujet.

    Richard est retourné sur les bancs d’écoles dans la cinquantaine, entre autres, à l’Université de Montréal pour suivre le microprogramme de premier cycle en santé mentale : mentorat pour pairs aidants.

    Grace à des rencontres un à un ou de groupe, Richard, en tant que pair aidant, aide ses clientes et clients à trouver leurs propres outils et trucs pour s’aider à s’élever et la plupart d’entre eux réagissent bien à cette pair-aidance.

    La psychiatrie est un domaine médical en constante évolution et il y a des nouvelles recherches et modalités thérapeutiques qui émergent pour aider les patient[e]s, dont la thérapie avatar.

    Ce traitement novateur utilise la réalité virtuelle en 3D pour traiter la schizophrénie résistante chez les individus qui ne répondent pas aux traitements pharmacologiques, dans le but d’atténuer l’impact des hallucinations auditives.

    Richard a été un des premiers à essayer ce genre de thérapie, où, avec l’aide des docteurs, il a recréé l’avatar de son « diable » qu’il entend depuis plus de 16 ans. Cette thérapie de réalité virtuelle a réussi à changer la vie de Richard. L’art thérapie l’a aussi beaucoup aidé dans sa guérison.

    Richard s’implique dans la pair-aidance parce qu’il veut que ça change dans la société. Enfin, il offre dans ce balado des conseils pour les familles touchées par une personne aux prises avec une maladie mentale.

    Faites vos dons à la Société québécoise de la schizophrénie, organisme communautaire à but non lucratif, ou à l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel.

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  • William McGuire discute avec Noémie La Haye-Caty et Julian-Khôi-Huu Nguyen, deux médecins résidents en psychiatrie à l’Université de Montréal et membres de Médecins québécois pour le régime public, une association qui s’est donné comme mission de bâtir un système de santé publique fort pour le bien-être des patientes et patients.

    Quand on parle de santé mentale, on pose souvent la question si le système de santé du Québec a la capacité de prendre en charge efficacement cette problématique.

    L’accessibilité aux soins en santé mentale est très complexe. Il y a le manque de ressources, mais il y a aussi des gens qui ne veulent pas aller à l’hôpital. Certaines mesures légales peuvent entrer en jeu lorsqu’il faut amener ou garder une personne contre son gré à l’hôpital.

    On entend parfois que les proches ont l’impression d’être mis à l’écart, de ne pas être consultés par rapport à la démarche thérapeutique de la patiente ou du patient. Les droits individuels sont très importants dans le système québécois, donc la confidentialité des patient[e]s implique que les personnes soignantes ne peuvent pas informer la famille sans le consentement explicite du patient[e].

    Lorsque les psychiatres évaluent la dangerosité d’un[e] patient[e] à l’urgence, le suicide ou un geste agressif important est toujours le pire dénouement d’une maladie mentale, mais c’est un risque qui n’est malheureusement jamais à zéro.

    Julian-Khôi-Huu Nguyen explique à quoi peut ressembler une trajectoire typique de soins pour une personne dans le système de santé. Il nomme aussi les points forts du système au Québec : le régime public qui permet de donner gratuitement aux gens des soins administrés par l’ensemble des professionnel[le]s en santé mentale, en plus de l’assurance-médicament, les quatre universités et ses centres de recherche qui donnent aux médecins l’expertise nécessaire dans ce domaine et le filet social québécois qui est le plus fort en Amérique du Nord, avec un accès au logement et à plusieurs programmes communautaires beaucoup plus facile qu’ailleurs.

    Pour les personnes qui désirent recevoir des soins, il existe de nombreuses barrières. Noémie La Haye-Caty parle des délais et du temps d’attente au privé et au public, des inégalités, des assurances et des programmes particuliers pour accéder aux soins, des diverses formes de psychothérapie plus ou moins longues, des types et durées de suivis et même des lieux parfois désuets où se trouvent souvent les soins psychiatriques. Elle parle des formes de maladies avec des symptômes qui empêchent les gens d’aller chercher de l’aide naturellement.

    La discussion se poursuit sur la stigmatisation de la santé mentale dans la société qui reste une des plus importantes barrières freinant les gens à aller consulter et qui participe même au sous-financement chronique en santé mentale. La santé mentale est le parent pauvre de la médecine. Le fardeau en santé mentale par rapport à la santé en générale représente environ 25 %. Par contre, du budget total en santé au Québec, on lui attribue seulement 6 %.

    Julian et Noémie abordent aussi l’augmentation des antidépresseurs comme solution rapide au problème dans l’impossibilité de faire une thérapie à long terme, la pression des compagnies pharmaceutiques, le mode de rémunération des médecins au Québec ainsi que la façon dont les étudiantes et les étudiants en médecine apprennent à voir la cause de la maladie mentale.

    Prenez soin de votre santé mentale, la vôtre et celle des autres!

    Faites vos dons à Revivre, organisme communautaire à Montréal présent pour toute personne touchée par les troubles anxieux, la dépression ou le trouble bipolaire.

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  • William McGuire, externe en médecine à l’Université de Montréal et animateur d’Associations libres, rencontre le romancier québécois acclamé David Goudreault dont les thèmes en lien avec la santé mentale sont omniprésents dans son œuvre.

    Premier Québécois à remporter la coupe du monde de poésie, David Goudreault est un auteur dont les romans La Bête à sa mère et Ta mort à moi figurent tous deux dans le palmarès des 20 livres les plus vendus au Québec en 2020.

    En plus d’être romancier et poète, cet amoureux des mots est slammeur, travailleur social, chansonnier, parolier, chroniqueur invité au journal La Presse et porte-parole du Mouvement Santé Mentale Québec.

    Au cours de cette entrevue, William McGuire discute avec David Goudreault de la présence de la santé mentale dans son écriture, inspirée par ses expériences vécues en travail social, dont les années où il a travaillé comme intervenant en prévention du suicide, une cause qu’il tient à cœur.

    Avec le nombre prescrit d’antidépresseurs qui ne fait qu’augmenter, il est difficile de nier la détresse entourant la santé mentale. Le niveau d’anxiété et de dépression chez les étudiantes et les étudiants est très préoccupant. Entre 2007 et 2017, les hospitalisations pour les tentatives de suicide ont doublé au Québec chez les jeunes, ce qui exprime ce mal-être dont il faut parler.

    William et David abordent également la question du changement des comportements entourant la santé mentale sur le long terme. Par exemple, il faut apprendre quoi dire pour aider une personne en détresse, comment exprimer quand on atteint sa propre limite. Des outils simples qui peuvent être transmis à l’ensemble de la population, des actions qui font partie de la prévention.

    David Goudreault, en tant qu’artiste, auteur et travailleur social, fait des ponts entre les différents pôles d’accès au problème de santé mentale pour les réunir dans son œuvre littéraire. Ses écrits sont d’ailleurs le fruit d’une imagination nourrit par cette détresse psychologique qui existe chez l’être humain. Il partage ici ses stratégies et conseils pour mieux faire face aux impacts de la pandémie.

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    Lien nommé dans le podcast : etrebiendanssatete.ca

    Pour accéder à plus de contenu de David Goudreault : https://www.davidgoudreault.org/

  • Associations libres est un balado étudiant, un lieu de rencontre, créé pour les curieuses et curieux, aux études ou non, qui veulent discuter de sujets en lien avec la santé mentale dans un esprit à la fois ludique et académique.

    En offrant des entrevues avec des invité[e]s aux différentes perspectives et expertises en matière de santé mentale, Associations libres propose de s’attaquer à ce sujet avec différents angles lors des discussions.

    Cette plateforme étudiante a trois objectifs :

    contribuer à l'effort de déstigmatisation des troubles de santé mentale;offrir une meilleure connaissance du fonctionnement des soins en santé mentale au Québec;vulgariser des concepts en lien avec la psychiatrie.


    Pourquoi un balado étudiant pour parler de santé mentale?
    En 2015-16, une collaboration entre la Fédération des étudiantes et des étudiants de l’Université de Montréal (FAÉCUM) et le Centre de santé et de consultation psychologique des Services aux étudiants de l’UdeM a produit l’enquête Ça va? sur la santé psychologique des étudiants de l’UdeM. Les résultats sont préoccupants : 75 % des répondants veulent améliorer leur état de santé psychologique et une personne sur cinq rapporte des symptômes de dépression assez sérieux pour être pris en charge immédiatement.

    En réponse à ça, en 2019, la campagne de sensibilisation Ça va aller a été lancée par les mêmes instances pour sensibiliser la communauté universitaire aux enjeux de santé mentale, notamment en démystifiant les tabous en lien avec ce sujet.

    L’idée de ce balado est née du désir de poursuivre cette conversation sur la santé mentale, qui mérite d’être discutée davantage et différemment. Le créateur et animateur de ce balado, William McGuire, est étudiant en externat en médecine à l’UdeM, baladophile et passionné par la santé mentale. Il a mis au défi des collègues de classe, des amis, des résidents en médecine et des médecins, pour préparer des entrevues visant à renseigner sur la santé (et la maladie) mentale, sur le fonctionnement des soins de santé et sur les approches avant-gardistes en la matière.

    William tient à souligner qu’il ne prend pas ici de position d’expert en émettant des points de vue, mais bien une position d’étudiant, d’apprenant. Son but est plus de poser des questions que d’offrir des réponses. Lorsque Associations libres partage des connaissances médicales, c’est supervisé par des spécialistes.

    Pourquoi le podcast se nomme-t-il Associations libres?
    L’ « association libre » est un concept emprunté à la psychanalyse freudienne qui veut que la personne dise le plus librement possible ce qui lui passe par la tête sur un sujet donné. Le but de ce balado est donc de pouvoir parler ouvertement et librement.

    Le public est aussi invité à faire part de leurs propres associations libres en écrivant à [email protected].

    Remerciements
    Maxim Brisson, Laurent Saint-Pierre, Marie Vaillancourt, Ann Julie Huberdeau, Anabèle Lauzière, William Pelletier, Julian-Khôi-Huu Nguyen, Noémie La Haye-Caty, David Caron, Dina Moubayed, Christophe Poirier, Richard Breton, Luigi De Benedictis, Lyne Chiniara, Nicholas Chadi, David Goudreault, le Centre de santé et de consultation psychologique des Services aux étudiants de l’Université de Montréal, Virginie Allard-Cameus et Virginie Roy (UdeM), Associations des étudiantes et étudiants en médecine de l’UdeM (AÉÉMUM), Associations des résidents en psychiatrie de l’Université de Montréal (ARPUM), Studio SF.

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