Episodes
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Jeanne Henin a installé “Le bureau des mots*” dans cette émission, au cœur du festival des podcasts et de la création sonore de Marseille, la Claque Podcast Party.
Dans cette salle transformée en studio, l’autrice du dictionnaire de néologismes “Les mots qu’il nous faut” se situe à ma gauche, à la sienne un micro est prêt à accueillir un membre du public, un quatrième micro va circuler parmi l’audience.
Le public de l’édition 2024 du festival était invité à assister à cette performance participative qui voyage en France dans des lieux publics depuis 2022.
L’objectif du bureau des mots est d’offrir un espace aux gens pour raconter leurs expériences et exprimer leur ressenti face à l’urgence écologique ou aux crises sociales.
Écouter aussi : ma conversation avec Jeanne Henin dans l'épisode précédent
Vous allez l’entendre, les émotions ont trouvé un espace accueillant pour s’exprimer.
Un nouveau mot va-t-il advenir ?
Je m’appelle Simon Icard et je vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
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Je tiens à remercier ce formidable public pour sa participation généreuse ainsi que les bénévoles du festival.
Merci à La Claque Podcast Party pour son invitation et un salut particulier à Laure Sari pour la programmation de ce podcast qui aurait pu être rebaptisé, pour un jour, ce 7 juin 2024, ces “mots” qu’il faut entendre !
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POUR ALLER PLUS LOIN
Suivre sur Instagram :
Le bureau des Mots https://www.instagram.com/le.bureau.des.mots/Jeanne Henin https://www.instagram.com/jeannehenin/Lire :
« Les Mots qu'il nous faut » - Jeanne Henin aux éditions La mer salée (en librairie) https://www.lamersalee.com/les-livres/les-mots-qu-il-nous-fautTIMECODES
00:00 Ambiance
01:30 Introduction
03:37 Coup d’envoi du bureau des mots
04:59 Le public est invité à penser à une expérience personnelle avec la crise écologique ou sociale.
07:53 Les témoignages du public (100 % féminin ce jour-là)
14:33 Une spectatrice est invitée sur scène pour détailler son ressenti avec Jeanne Henin, le public participe régulièrement.
35:37 Conclusion
Merci au public qui n’a pas manqué de mots et à Jeanne Henin !
Fin
Dans l'épisode précédent retrouvez ma conversation avec Jeanne Henin : Crise écologique et sociale - “Les mots qu’il nous faut”.
*Le bureau des mots d'après l'œuvre participative "The Bureau of linguistical reality"
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Ces voix qu’il faut entendre, c’est un podcast qui donne la parole à ces gens qui nous font réfléchir, nous aident à mieux comprendre le monde et notre époque.
Des lanceurs d’alerte, des experts ou de simples témoins avec qui je souhaite dialoguer.
Ils nous bousculent parfois, nous surprennent toujours et cela ne laisse jamais indifférent !
Abonnez-vous pour ne manquer aucun nouvel épisode.
Je suis sensible à vos retours et je ne trouve pas les mots lorsque vous mettez 5 étoiles à ce podcast indépendant.
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Avez-vous les mots pour décrire votre ressenti face à la crise écologique et sociale ?
Aujourd’hui, je reçois Jeanne Henin, elle a 44 ans et habite à Marseille. Cette autrice qui a toujours travaillé dans le domaine de l’environnement s’intéresse tout particulièrement à ce qui fait changer les gens, ce qui les met en mouvement et les décide à agir.
Pour elle, la science et la connaissance ne suffisent pas. Elle regrette le manque d’espace laissé aux émotions, au ressenti.
Alors cet espace, elle l'a crée, vous allez l’entendre.
Dans cet épisode en deux parties, Jeanne ne manque pas de mots pour décrire la crise écologique et sociale et le langage qui l’accompagne.
Mais à titre individuel, des mots manquent parfois, elle les appelle, des mots qu’il nous faut, un vocabulaire qui pourrait aider à porter de nouveaux récits et répondre à des “mots qui nous mentent”.
Des mots qui n’existent pas toujours et qu’elle invite les participants de la performance du Bureau des mots* à rechercher à partir de leur propre expérience.
Son bureau qu’elle balade de ville en ville et déploie dans des espaces publics, depuis 2022, elle l’a installé dans cette émission au cœur du festival des podcasts de Marseille.
Vous pouvez y assister en écoutant la seconde partie !
Alors ne tardons plus, questionnons les mots et leur utilisation, parlons des émotions qui la traversent et écoutons son histoire.
Je m’appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
POUR ALLER PLUS LOINSuivre sur Instagram :
Jeanne Henin https://www.instagram.com/jeannehenin/Lire :
« Les Mots qu'il nous faut » - Jeanne Henin aux éditions La mer salée (en librairie) https://www.lamersalee.com/les-livres/les-mots-qu-il-nous-faut*Le bureau des mots d'après l'œuvre participative "The Bureau of linguistical reality"
TIMECODES
00:00 Introduction
02:13 Jean Henin est l’autrice du dictionnaire Les mots qu’il nous faut
03:46 Son parcours
06:21 Ses émotions
08:23 « La peine de l’irréparable »
09:39 Une obsession pour l’écologie ?
12:33 Les mots sont-ils toujours « politiques » ?
16:14 À propos de la notion d’écoterrorisme
16:56 Les émotions
21:02 Le bureau des mots
26:12 Lumiluter
27:27 asSUVir
29:14 Burn’âme
32:04 Les sauveterre
33:33 Femidoute
39:46 Créer un espace et un lieu sûr
42:09 Merci a Jeanne Henin !
42:24 Retrouvez le live du bureau des mots dans l’épisode suivant
Fin
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Ces voix qu’il faut entendre, c’est un podcast qui donne la parole à ces gens qui nous font réfléchir, nous aident à mieux comprendre le monde et notre époque.
Des lanceurs d’alerte, des experts ou de simples témoins avec qui je souhaite dialoguer.
Ils nous bousculent parfois, nous surprennent toujours et cela ne laisse jamais indifférent !
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Dans l'épisode suivant l'enregistrement Live du Bureau des mots réalisé le 7 juin 2024 au festival La Claque Podcast Party
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Episodes manquant?
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“C’est un peu préhistorique ce que je vais dire, désolé, mais il y a un côté “vendetta”, oui, contre ce cancer. Il a tué Clémentine, moi, je veux sa peau”. Grégoire Lecalot, le mari de Clémentine Vergnaud s’excuse presque à notre micro pour le choix de ces mots, mais, je ne vois pas pourquoi il le faudrait.
Voilà, ce que je vous propose, chères auditrices, chers auditeurs.
Soutenons, la création du fonds Clémentine Vergnaud contre le Cholangiocarcinome en alimentant la cagnotte dédiée à ce projet plein de sens.
Dans cet épisode spécial édité dans le cadre du Podcasthon 2024, Grégoire Lecalot nous livre un témoignage émouvant et déterminé.
Son histoire avec la journaliste Clémentine Vergnaud emportée à l’âge de 31 ans après 18 mois d’une lutte acharnée contre ce cancer rare des voies biliaires qu’elle a racontée dans son podcast “Ma vie face au cancer : le journal de Clémentine” (France Info/ Samuel Aslanoff).
L’arrivée du cancer dans leurs vies, les traitements, l’immense impact du podcast de Clémentine et le plan d’action de Grégoire, de la famille et des amis de cette voix qui s’est éteinte le 23 décembre 2023.
Une lutte qui se poursuit et qui passe par la création d’un fonds de dotation.
Dans une deuxième partie, je vous propose d’explorer les réponses claires à mes questions simples posées à la professeure de médecine Cindy Neuzillet de l'Institut Curie, présidente de l’association ACABi, qui réunit des médecins cliniciens et des chercheurs, qui agissent tous sur la thématique des voies biliaires. Elle nous confirme que le Cholangiocarcinome est un « Everest de la recherche ». Cindy Neuzillet explique que ce cancer est l’un de ceux qui peuvent le plus bénéficier des révolutions récentes de la médecine comme les thérapies ciblées et l’immunothérapie.
Aidons les chercheurs à accélérer, aidons le Fonds Clémentine Vergnaud à permettre, dans ce même élan, l’émergence de la 1ère association de malades touchés par le Cholangiocarcinome, car il n’en existe pas en France.
En voulant conclure, ce petit texte, je me dis qu’il n’y a pas de “petits” ou de “gros” dons, il n’y a que des dons qui pourraient faire la différence.
Je vous remercie.
Simon Icard
💙
RESSOURCES
Le podcast de "Ma vie face au cancer : le journal de Clémentine”
(France Info - Clémentine Lecalot-Vergnaud / Samuel Aslanoff) .
L’association ACABi
Contact : fondsclemvergnaud(@)gmail.com
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TIMECODES
00:00 Préambule + Intro
02:52 PARTIE I
02:53 Grégoire Lecalot sa rencontre avec Clémentine
06:20 L’effraction du cancer dans leur vie
09:35 La sortie du podcast de Clémentine Vergnaud
14:12 Une première expérience avec le cancer
16:41 L’entourage
18:30 Des moments de guerre
21:26 Les traitements
28:16 La demande en mariage
34:52 Le sentiment de révolte de Grégoire
37:30 Sa volonté d’agir contre le Cholangiocarcinome
44:19 PARTIE II
44:20 Questions au Pr Cindy Neuzillet (Institut Curie), présidente de l’association ACABi
57:38 L'importance de la recherche : quelles pistes en cours, sur quoi agir ?
70:08 PARTIE III - Avec Grégoire Lecalot
84:55 La question bonus : quelle voix Grégoire nous recommande d’entendre ?
86:40 Merci à Grégoire Lecalot
Fin
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podcasthon.org
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Aujourd’hui, je reçois Clémentine Vergnaud, elle a 31 ans et habite en Île-de-France, cette journaliste livre un témoignage poignant sur le cancer, sa maladie et la vie avec qu'elle raconte dans un podcast important.
Important pour elle, important pour nous tous car sa parole lève un à un les tabous qui entourent encore la maladie.
Le rapport aux autres, le rapport à soi, le travail, les administrations aussi qui peuvent alourdir la charge…
Avec Clémentine, nous parlons de cette épreuve, un cancer rare des voies biliaires (cholangiocarcinome) au “pronostic pourri”, comme elle nous dit, de ses traitements, mais surtout du sens quelle donne à son récit : transmettre, dire pour nous aider à mieux comprendre.
Alors écoutons Clémentine Vergnaud et surtout ne lui dites pas qu’elle est courageuse, vous allez entendre pourquoi.
Je m’appelle Simon Icard et je vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode.
POUR ALLER PLUS LOIN
Écoutez la série de podcasts “Ma vie face au cancer : le journal de Clémentine” dans toutes les applis ou sur le site de la radio France Info
Production Clémentine Vergnaud et Samuel Aslanoff
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/ma-vie-face-au-cancer-le-journal-de-clementine/
Et aussi : Le site consacré aux droits des patients proposé par la Ligue contre le cancer : https://droit-demarche-cancer.fr/ Le site du service public : https://www.mesdroitssociaux.gouv.fr/TIMECODES
00:00 Introduction
02:45 Son enfance, son parcours
06:46 La première douleur
10:55 Le diagnostic, l’annonce
13:21 L’importance de l’empathie du milieu médical
21:52 Cancer : Le vocabulaire de la combativité, l’avis de Clémentine Vergnaud
26:25 Les proches
28:31 “C’est un boulot de malade”. Les démarches, les rdv, les administrations…
34:51 Avec les collègues de travail
38:00 Sa parole publique
41:51 Une saison 2 pour “Ma vie face au cancer : le journal de Clémentine” (podcast)
44:43 Question bonus : quelles voix Clémentine nous propose d’entendre
46:19 Merci à Clémentine Vergnaud !
Fin
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Simon
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Les proches de Clémentine Vergnaud, emportée par la maladie le 23 décembre 2023, ont lancé une cagnotte pour la recherche contre le cholangiocarcinome.
Voir : https://www.leetchi.com/fr/c/fond-clemntine-lecalot-vergnaud-pour-le-cholangiocarcinome-1750901
L'épisode suivant : [Podcasthon] Soutenons la création du Fonds Clémentine Vergnaud contre le Cholangiocarcinome. Avec Grégoire Lecalot et Cindy Neuzillet.
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Avancer, aller plus loin malgré les nouvelles limites. Pierre Cabon est rescapé de l’attentat du Bataclan qui a eu lieu à Paris, le 13 novembre 2015. Ce soir-là, un commando de terroristes islamistes perpètre une série d’attaques à Saint-Denis, dans les rues de Paris et dans la salle de spectacle du Bataclan.
Au total, cette nuit de novembre 131 personnes ont perdu la vie et 350 ont été blessées.
Ce devait être un jour ordinaire pour Pierre Cabon alors âgé de 25 ans. Le 13 novembre, il s’est rendu avec deux amis comme 1300 autres personnes pour assister au concert du groupe américain de hard rock “Eagles of death metal” au Bataclan. Il sera touché et perdra l’usage de ses jambes.
Aventurier, créateur de contenus, il est le coauteur du récit : “Un éclat dans le noir” paru aux éditions Fayard, il a cofondé Wheeled World, le média de l’aventure pour tous.
Aujourd’hui, je reçois Pierre Cabon, sa vie a basculé, le soir du 13 novembre 2015 à Paris.
Touché, mais pas coulé. Sa vie, il la poursuit en fauteuil roulant. Pierre, c’est une vie en mouvement.
Dans cet épisode, nous parlons de cette nuit dramatique, de sa résilience, on entend aussi une formidable d’amour.
Avec son épouse qu’il ne quitte plus depuis l’attentat, il multiplie les aventures à travers le monde. Il ouvre la voie comme un éclaireur.
Ensemble, ils explorent les possibilités d’accès à la nature et aux voyages pour les personnes assises sur un fauteuil roulant, ils se donnent des défis sportifs et les partagent avec le public.
Pour Pierre, tout est possible, c'est possible, oui, mais autrement, parfois, parfois seulement.
Écoutons Pierre Cabon et sa vie d’aventure !
POUR ALLER PLUS LOIN
Le média de l’aventure pour tous : “Wheeled World” :
https://wheeledworld.org/
Le livre de Myriam et Pierre Cabon “Un éclat dans le noir - Du Bataclan à la conquête du monde” (Éditions Fayard)
TIMECODES
00:00 Introduction
01:39 Pierre Cabon est rescapé de l’attentat du Bataclan à Paris (13 novembre 2015). Aventurier, créateur de contenus et auteur de “Un éclat dans le noir” aux éditions Fayard, il a cofondé Wheeled World, le média de l’aventure pour tous.
03:08 Sa vie d’avant, Pierre avait 25 ans en 2015.
04:13 Qui est Myriam qui deviendra son épouse ?
05:57 Récit de la nuit du 13 novembre 2015
10:38 Sa blessure par balle le rend paraplégique - Sa prise en charge à l’institution des Invalides à Paris
15:21 Sa reprise du travail pour un nouveau métier, plus adapté à son nouveau handicap
16:23 Le premier voyage à l’étranger de Pierre avec Myriam depuis l’attentat
18:11 Une rencontre inspirante, un déclic
20:29 “Wheeled World” : Un tour du monde et des défis sportifs incroyables
24:01 Les limites : quelle définition ?
26:29 Le sens donné à Wheeled world, le média de l’aventure pour tous
28:51 Le mouvement
30:32 L’ascension du Kilimandjaro !
34:47 Le Half Marathon des sables au Maroc (2023)
39:51 Le regard des autres
44:32 Question bonus : quelles voix Pierre veut-il donner à entendre ?
45:57 Merci à Pierre Cabon !
Fin
Crédit photo : Wheeled World
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“Les mots pour le dire, les outils pour s’en sortir”. Dans ce nouvel épisode, Ces voix qu’il faut entendre donne la parole à Mickaël Worms-Ehrminger qui nous livre un témoignage puissant et constructif. L’auteur du livre-ressource “Vivre avec un trouble de santé mentale” paru aux éditions Marabout raconte son histoire et son engagement pour changer les regards sur la santé mentale.
Une mission à laquelle il s’attèle à chaque nouvel épisode de son podcast de témoignages sur la santé mentale : Les Maux bleus.
Aujourd’hui, je reçois Mickaël Worms-Ehrminger, il a 33 ans et habite à Paris.
Ce chercheur en santé publique a décidé de s’engager pour changer les regards sur la santé mentale.
Il prend et donne la parole.
La parole pour mettre des mots sur des troubles qui font mal et qui sont encore mal perçus par la société.
Il relève un paradoxe, on n’a jamais autant parlé de santé mentale qu’à notre époque et pourtant on entend peu la souffrance, on voit peu l’humain derrière les listes des symptômes.
Alors Mickael, explique, décrypte et ouvre des perspectives.
Il parle de rétablissement, raconte son histoire et présente des outils reconnus pour s’en sortir et vivre avec un trouble de santé mentale.
Une situation qui concerne un Français sur 5, une personne sur 8 dans le monde.
Alors parlons des personnes derrière les chiffres, je m’appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
POUR ALLER PLUS LOIN
Lire le livre “Vivre avec un trouble de santé mentale: Les mots pour le dire, les outils pour s’en sortir” (Editions Marabout)Le site de l’association Place des sciences et le podcast “Les Maux bleus” https://linktr.ee/lesmauxbleusNUMEROS CITES DANS L’EPISODE
Si vous - ou quelqu'un de votre entourage - avez des pensées suicidaires, faites le 3114 (France).
En cas d'urgence, appeler le SAMU et composer le 15.
Voir aussi : Le site Internet national français https://www.psycom.org/TIMESCODES
00:00 Introduction
01:38 Le parcours de Mickaël Worms-Ehrminger
04:54 A quand remontent ses premiers troubles psychologiques ?
06:54 A l’école, cela a été assez compliqué
09:04 Des troubles et handicaps “invisibles”
12:57 Une errance diagnostique
17:33 L’importance de faire circuler des témoignages sur la santé mentale
20:36 Des tabous sur la santé mentale ?
24:29 A qui parler ?
29:40 Le risque suicidaire
33:43 La ligne nationale de prévention du suicide le 3114 (en France)
36:11 Les outils, comment s’y retrouver ? Comment s’orienter pour trouver de l’aide ?
38:40 Que dire pour un premier rendez-vous chez un psy ?
40:32 Les Maux bleus, le podcast sur la santé mentale
44:19 La question bonus: quelle voix Mickaël nous recommande-t-il d’entendre ?
47:00 Merci à Mickaël Worms-Ehrminger !
Fin
Crédit photo : Élodie Daguin pour les Éditions Marabout__
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C’est chaotique, reconnaissons-le. On n'a jamais eu autant besoin d’informations, mais l’info submerge un nombre grandissant d’entre nous.
Bonne nouvelle, il n’y a pas de fatalité à la fatigue informationnelle, c’est ce que pense notre invité Benoît Raphaël. Ce journaliste français, entrepreneur et expert de la transformation numérique et des médias innovants publie, “Information : l’indigestion”, une enquête qui ne se dispense pas de nous proposer une méthode, “un manuel pour penser par soi-même dans le chaos de l'info.” (Ed. Eyrolles)
Aujourd’hui, je reçois Benoît Raphaël, il habite à Bali (Indonésie) à 13 000 km de Paris. Paris, il l’a quittée pour se ressourcer.
Ce journaliste est allé à la source de l’information qui peut donner l’indigestion, c’est l’objet de son livre d’enquête.
Dans cet épisode, nous parlons d’une cure anti-fatigue. Nous détaillons ce que Benoit a mis en œuvre pour se défaire de la fatigue informationnelle dans une époque où la moindre seconde d’attention est une mine d’or pour les géants du numérique qui nous distribuent l’information au gré des likes et des partages…
Vous l’entendrez — si vous n’êtes pas distrait — par une notification ou les sirènes de votre écran, Benoît Raphaël me dit que les intelligences artificielles ne sont pas si malines et nous rappelle que derrière les robots, ce sont bien des humains qui en sont à l’origine.
Des neurosciences aux coulisses de la fabrique des nouvelles, comment naviguer dans le chaos de l’info ?
Je m’appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
POUR ALLER PLUS LOIN
Lire le livre : “Information : l'indigestion - Manuel pour penser par soi-même dans le chaos de l'info”(Eyrolles)https://www.eyrolles.com/Entreprise/Livre/information-l-indigestion-9782416009112/
S’abonner à “La lettre du dimanche”, la newsletter de Benoît Raphaël sur le site de Flint (sa société)https://flint.media/letters/dimanche
Le suivre sur LinkedInhttps://www.linkedin.com/in/benoitraphael/
TIMECODES
00:00 Introduction avec Benoît Raphaël
02:47 Son histoire
05:58 Toujours connecté ?
07:51 Le chaos vs les perles
08:52 L’info, le cerveau et la fatigue
11:18 Au fait, c’est quoi une info au juste ?
13:48 L’info industrialisée
17:59 Une info “bio” ?
20:47 Les neurosciences
24:47 IA: l’intelligence artificielle (Chat GPT)
28:01 Les humains et les robots sont-ils “cons”?
30:53 Se questionner d’abord
33:38 Question bonus : les deux voix que Benoît nous conseille d’entendre
35:30 Merci à Benoît Raphaël !
Fin
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À Marseille, face à la violence qui aboutit à une hausse des règlements de comptes sur fond de trafics de drogue, la voix d’Amine Kessaci s’élève pour tenter d’enrayer cette spirale et ouvrir de nouveaux horizons à une jeunesse qu’il décrit comme “laissée pour compte”. Cet étudiant en droit, né dans les quartiers nord de la ville, a fondé l’association Conscience.
Aujourd’hui, je reçois Amine Kessaci, il a 19 ans et habite à Marseille dans le sud de la France. .
Cet étudiant en droit a décidé de prendre la parole et de s’engager pour la jeunesse et pour tenter de faire taire le bruit des armes.
Les armes et le trafic de drogues qui lui ont enlevé son frère, assassiné à 22 ans dans des conditions particulièrement sauvages.
Dans cet épisode, Amine me raconte son histoire et comment il a décidé de s’engager.
Son engagement a été remarqué, il a même été désigné comme “le jeune le plus engagé de France”, à l’occasion d’un classement établi par le journal Les Echos et l'ONG Positive Planet, début 2023.
Nous parlons de la jeunesse bien sûr, de la tentation de l’argent facile, de la drogue, de ce qu’il qualifie d’échec de “la politique du tout répressif”.
Amine ne s’y résigne pas et me parle des solutions qu’il préconise pour juguler cette violence qui gangrène certains quartiers de sa ville.
Il me dit qu’il n’apprécie pas l’expression de “règlement de compte” et parle d’homicide, car même “dealers, ces jeunes ne doivent pas mourir.”
On parle du sens de l’action politique et de sa volonté d’agir et de devenir pourquoi pas un jour un représentant du peuple.
Vous allez l’entendre, Amine est quelqu'un de déterminé !
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Le site Internet de l’association “Conscience” https://www.associationconscience.fr/ Le plan "Marseille en grand" - 2 septembre 2021 sur le site de la présidence de la République https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/09/02/marseille-en-grandTIMECODES
00:00 Introduction - portrait
02:56 Une enfance dans le quartier de Frais-Vallon (Marseille,13.arr)
05:04 Son milieu social
06:09 L’assassinat de son frère Brahim, le 29/12/20
08:24 On a besoin du retour des services publics
09:34 Les réseaux internationaux sont nos ennemis
10:47 Pourquoi tombent-ils dans le deal, selon Amine ?
14:16 Les familles, les mamans de victimes de règlements de compte liés à la drogue
15:56 23 morts entre le 01 et le 22 juin 2023
19:49 Légaliser le cannabis ? “Oui, la répression ne marche pas”
21:57 Le monde politique peut-il agir pour changer les choses en la matière ?
27:54 Emmanuel Macron à Marseille, ce qu’Amine lui a dit en 2021
30:00 “On doit reprendre réellement le pouvoir”
32:44 Question bonus : quelles voix nous recommande-t-il d’entendre ?
33:48 Merci à Amine Kessaci
Fin !
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Familles de victimes de règlements de compte. Dans cet extrait de l’épisode 14 de “Ces voix qu’il faut entendre”, Amine Kessaci qui a perdu son frère, assassiné sur fond de trafic de drogue en 2020 à Marseille, est interrogé sur le profil des mères de ces “victimes” de la guerre de la drogue.
Y a-t-il des points communs dans leur histoire ?
Pour ce jeune Marseillais, étudiant en droit et fondateur de l’association “Conscience”, la réponse est oui, “souvent ce sont des mères de familles monoparentales”.
Si cet extrait vous a intéressé, écoutez l’épisode 14 : “Marseille - Amine Kessaci, 19 ans, frère de victime. Une voix engagée pour faire cesser le bruit des armes.”
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Plus loin, plus haut. L’éco-explorateur suisse et instigateur de SolarStratos se confie sur le moteur de son envie d’aventure. Raphaël Domjan a donné un sens à sa quête d’aventure en la conjuguant avec l’exploration de l’efficacité énergétique pour se déplacer et faire face au défi du changement climatique.
Aujourd’hui, je reçois Raphaël Domjan, il est Suisse, a 51 ans et habite Neuchâtel.
Cet aventurier puise son énergie dans notre étoile et explore les possibilités d’utiliser toujours plus le soleil pour se passer du pétrole alors que nous sommes au seuil des limites planétaires.
Les limites, il les dépasse, avec l’esprit d’aventure qu'il a eu quasiment dès ses premiers pas !
Dans cet épisode. Raphaël me raconte son projet de haut vol.
Après avoir réalisé le premier tour du monde en bateau solaire avec PlantetSolar, cet éco aventurier a décidé de se rapprocher un peu plus de sa bonne étoile, le soleil.
Il a inventé, SolarStratos, un avion solaire spécialement conçu pour atteindre la stratosphère et prouver que l’énergie solaire est la plus crédible pour relever le défi de l’urgence climatique.
De ses défis à son histoire en passant par l’évolution des consciences, il me dit “qu’il faut tout changer pour que rien ne change !”
Je m’appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode.
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Le site Internet de SolarStratos : https://www.solarstratos.com/
Instagram : https://www.instagram.com/solarstratos/
TIMECODES
00:00 Introduction
01:35 Sa première aventure à 3 ans et demi
02:51 La carrière de Raphaël avant de devenir éco-explorateur
03:47 En 2004, son tour du monde en catamaran solaire - PlanetSolar
05:38 Son regard sur la Terre
07:21 SolarStratos, rejoindre la stratosphère en avion solaire
10:25 Description de cet avion électrique et solaire
11:37 Son ressenti pour le 1er vol
13:53 Le danger
14:30 Pourquoi croit il autant à l’énergie solaire ?
16:44 : La technologie : “Tout changer pour que rien ne change” à l’heure de l’urgence climatique
17:55 L’aviation et le CO2
20:39 L’évolution des consciences depuis ses débuts en 2004
23:25 L’éco-anxiété
24:28 Des petits gestes pour l’environnement ?
25:47 Question bonus : quelle voix nous recommande-t-il d’entendre ?
26:38 Merci à Raphaël Domjan
Fin
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Simon
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La technologie est-elle la solution face au changement climatique ? L’éco-aventurier répond oui en partie.
Dans cet extrait, Raphaël Domjan, éco-explorateur suisse et instigateur de SolarStratos un avion solaire électrique conçu pour atteindre la stratosphère, m’explique pourquoi il croit autant dans l’énergie solaire comme outil essentiel dans notre transition énergétique et écologique.
Pour lui, la technologie et le recours à cette électricité renouvelable et peu onéreuse sont une solution, mais cela ne nous dispense pas d’une prise de conscience et d’une évaluation de l’impact carbone de choix au quotidien.
Si vous avez apprécié cet extrait, je vous recommande d’écouter l’épisode 13 de Ces voix qu’il faut entendre dans lequel “Raphaël Domjan me raconte sa quête solaire de la stratosphère (SolarStratos)”
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Grossophobie. Très tôt, Marie de Brauer a pris conscience de son poids. Le regard des autres, les vêtements pour enfants dont la taille exprimée en années sur l’étiquette ne collait pas avec son âge. Lors de ses études de journalisme, Marie de Brauer a appris l’existence de la grossophobie, depuis elle s’engage pour lutter contre cette discrimination et visibiliser les personnes grosses.
Elle raconte son histoire dans une bande dessinée drôle et touchante, illustrée par Lucy Macarony parue aux éditions LeDuc.
Aujourd’hui, je reçois Marie de Brauer, elle a 28 ans et habite à Paris.
Marie est une journaliste, et elle s’engage pour visibiliser les conséquences de la grossophobie.
La grossophobie est au cœur de son histoire. Son histoire, elle la raconte, entre une enfance joyeuse et le regard parfois méchant des autres et de la société sur son corps, elle aurait pu fléchir, mais elle a décidé de “ne jamais couler”, c’est le titre de sa bande dessinée.
Elle déplore et dénonce cette injustice de naître dans un corps plus gros que la norme, mais a cheminé pour l’accepter et poursuivre ses rêves.
Dans cet épisode, je veux en savoir plus sur Marie et ses ressorts.
Nous parlons de cette discrimination qui peut s’exprimer dans les plus petites choses du quotidien comme dans la représentation médiatique du corps des hommes et des femmes, nous évoquons l’amour, la sexualité et les solutions pour contrer la grossophobie.
Je m’appelle Simon Icard et je vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
POUR ALLER PLUS LOIN
Lire :
La BD “Ne jamais couler” de Marie de Brauer (illustrations Lucy Macarony - Ed. LeDuc) https://www.editionsleduc.com/produit/3036/9791028525507/ne-jamais-coulerVoir :
“La grosse vie de Marie” https://www.france.tv/slash/la-grosse-vie-de-marie/ “Camille cherche l’amour” https://www.france.tv/slash/camille-cherche-l-amour/Suivre :
Marie de Brauer sur les réseaux sociaux et écouter ses podcasts “Tourista” et “Comment tu dates ?” https://linktr.ee/mariedebrTIMECODES
00:00 Introduction
01:38 Marie de Brauer est journaliste et réalisatrice
02:20 Ses différentes casquettes professionnelles
03:29 Dans quel milieu familial a-t-elle grandi ?
04:27 La question du poids et du corps est arrivée tôt
05:36 Régime : La première fois que Marie a entendu ce mot
07:19 Les bonbons et l’argent de poche
09:40 L’adolescence et ses rêves
10:45 La grossophobie intériorisée
13:06 “La grossophobie, elle est partout, tout le temps, mais tout le monde s’en fout !”
14:44 Des exemples de la grossophobie dans le quotidien
16:49 Nommer la grossophobie
19:04 Le milieu médical et la grossophobie
22:06 La fétichisation des personnes grosses
24:10 Le féminisme
25:42 Sur quoi agir pour contrer la grossophobie
27:32 L’acceptation de soi
31:01 La question bonus : quelle voix Marie de Brauer nous recommande ?
32:25 Les podcasts et l’actu de Marie
33:03 Merci à Marie de Brauer !
Fin
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À bientôt, Simon.
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Amour, sexualité et féminisme. Marie de Brauer dénonce la fétichisation des personnes grosses dans la sphère intime. Cette expression de la grossophobie l’a touchée personnellement.
L’auteure de “Ne jamais couler”, une bande dessinée autobiographique parue aux éditions LeDuc, revient sur les injonctions faites sur le corps des femmes qui est “épié”.
Marie de Brauer, qui estime que le combat féministe doit mieux prendre compte la lutte contre la grossophobie, a trouvé dans ces mouvements des éléments qui l’ont aidé à se dire que correspondre à la définition normée de la beauté n’était pas un objectif de vie, “ce n’est plus du tout mon problème !” confie-t-elle.
Écoutez.
Si vous avez aimé ce passage de l’émission, je vous propose d’écouter l’épisode 12 de “Ces voix qu’il faut entendre” en intégralité !
Simon
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Utopie ? L’économiste Timothée Parrique détaille sa vision d’une démocratie économique. Pour lui, remédier aux injustices économiques et sociales qui se creusent de plus en plus entre nord et sud et entre ultra-riches et ultra-pauvres dans les sociétés économiquement développées nécessite de procéder à une réinvention totale de notre modèle de société.
Le chemin qu’il propose passe par la décroissance économique, une voie qui prend acte d’un monde aux ressources limitées à l’heure de la lutte contre le réchauffement climatique et de la crise de la biodiversité.
Aujourd’hui, je reçois Timothée Parrique, il a 33 ans et vit en suède
Timothée est chercheur en économie écologique.
Sa conseillère d'orientation lui avait parlé du métier de directeur de casino, en entrant à l’université, il pensait en sortir et tout casser sur les marchés financiers, faire énormément d’argent, mais il s’est plutôt dirigé dans la voie d’un changement de modèle. De modèle économique. Sa thèse sur la décroissance et son livre “Ralentir ou périr (Ed. Seuil) proposent un chemin vers un autre société.
Dans cet épisode, je veux en savoir plus sur ce qu’est la croissance pour mieux comprendre la proposition de décroissance que Timothée Parrique m’explique en détail.
De nos modes de vie au fonctionnement de l’économie, pour lui, tout ce que l’homme a construit, l’homme peut le défaire.
Alors, des limites planétaires à un monde plus juste, comment ralentir ou périr ?
Je m’appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
POUR ALLER PLUS LOIN
Le site de Timothée Parrique : https://timotheeparrique.com/ Son livre “Ralentir ou périr, L'économie de la décroissance” (Seuil)https://www.seuil.com/ouvrage/ralentir-ou-perir-timothee-parrique/9782021508093
TIMECODES
00:00 Introduction
01:38 Étudiant, Timothée Parrique ne pensait pas qu’il allait recommander le système
02:51 Sa découverte du changement climatique lors de son Erasmus en Suède
04:34 Le changement climatique est-il un problème économique ?
06:13 Pourquoi la croissance est à la base de nos politiques publiques ?
11:16 Y a-t-il une limite (physique) à la croissance ?
15:10 « La croissance verte est une fable »
18:26 La décroissance est-elle différente de la récession ?
21:01 Limiter la publicité permettrait d’aider à ralentir
22:07 Une économie où on travaillerait moitié moins qu’aujourd’hui
23:03 Pourquoi la publicité pose un problème selon Timothée Parrique ?
26:27 La planification économique et ses critères
29:14 Comment décroître démocratiquement ?
37:36 La justice sociale
39:46 Les remarques qui énervent le plus Timothée Parrique sur le sujet de la décroissance
44:22 Question bonus : la voix que Timothée Parrique nous recommande d’entendre
45:21 Merci à Timothée Parrique
Fin
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Choisir. Dans ce passage de l’épisode 11 de “Ces voix qu’il faut entendre”, l’économiste Timothée Parrique, auteur de “Ralentir ou périr” l’économie de la décroissance, revient sur les critères d’une planification qui conduirait à une société post-croissance et une économie participative et démocratique. Autour de quels critères ?
Écoutez.
Si cet extrait vous a intéressé, écoutez l’épisode complet : “Ralentir ou périr - Timothée Parrique m’explique la décroissance”
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« À quoi on joue ? Quelles sont les règles du jeu ? »
Julien Devaureix, créateur du podcast Sismique, publie “Le Monde change et on n’y comprend rien !”, son enquête pour mieux comprendre le monde aux éditions First.
L’histoire et la démarche de Julien m’ont interpellé, j’ai voulu en savoir plus sur sa quête et son enquête.
Aujourd’hui, je reçois Julien Devaureix, il a 42 ans et vit à Lisbonne au Portugal
Cet ancien salarié de grands groupes internationaux, a travaillé dans le marketing, un jour, il a décidé de quitter cette vie professionnelle pour se lancer dans une quête, ou plutôt une enquête pour chercher à comprendre comment fonctionne le monde, concrètement.
Son enquête, il la partage avec le public, Julien en a tiré un podcast et un livre qui s’appelle « le monde change et on n'y comprend rien ! »
Dans cet épisode, nous parlons du doute, le doute comme méthode,
De la physique, des comportements humains et de la nature,
Julien me parle des liens qui existent entre les choses,
De la physique jusqu’à la philosophie, une grille de lecture d’un monde complexe et qui s’accélère !
Je m’appelle Simon Icard. Et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
POUR ALLER PLUS LOIN
Lire : le livre de Julien Dauvereix : “Le monde change et on n’y comprend rien ! (Ed. First)https://www.sismique.fr/le-monde-change-et-on-n-y-comprend-rien
Écouter : le podcast Sismique disponible dans toutes les applis d’écoute et icihttps://www.sismique.fr/blog
TIMECODES
00:00 Introduction
02:08 Avec quelles lunettes Julien regarde-t-il le monde ?
Son parcours et ses débuts dans de grands groupes internationaux
03:36 Une prise de conscience, une volonté de comprendre “ce qu’il ne comprend pas”.
06:28 La place qu’il accorde au doute et à “pourquoi on pense ce qu’on pense”
11:13 “La pensée systémique, c’est la prise en compte des liens entre les choses”
16:30 Considérer les limites planétaires
17:57 La métaphore du jeu : “À quoi on joue ? Qu’est-ce qui entraîne le monde et les individus ?”
24:50 La physique, l’énergie et les dynamiques pour comprendre “ce que le réel nous permet de faire”
31:34 L’accélération du monde et la volonté de puissance dans nos sociétés et chez les individus
40:25 Comment dissiper le sentiment de confusion face aux avis d’experts qui divergent sur les solutions aux problèmes du monde et à celui du réchauffement climatique notamment ?
46:24 Sur le plan personnel, où en est Julien dans sa quête de sens ?
52:29 Question bonus : la voix qu’il nous conseille d’entendre
55:00 Merci à Julien Devaureix !
56:20 Fin
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Dans cet extrait de l’épisode 10 de “Ces voix qu’il faut entendre”, Julien Devaureix, créateur du podcast Sismique et auteur du livre “Le monde change et on n’y comprend rien!” revient sur l’accélération du monde.
Croissance exponentielle de la population, accès à l’énergie, accélération civilisationnelle, mon invité s’est interrogé sur le “moteur de cette accélération” et s’est penché sur “la volonté de puissance” de l’espèce humaine qui se heurte aux limites physiques de la planète.
Écoutez.
Si vous avez apprécié cet extrait, je vous propose d’écouter l’intégralité de l’épisode 10 : “Le Monde change et on n'y comprend rien !” - JULIEN DEVAUREIX"
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TÉMOIGNAGE. Aujourd’hui, je reçois Marie-Clémence Bordet-Nicaise, elle a 35 ans et habite à Dax dans le Sud-Ouest de la France.
Marie-Clémence est conférencière, entrepreneure engagée et auteure du livre “On ne choisit pas qui on aime” (Flammarion).
Dans cet épisode sous forme de témoignage, on remonte le fil d’une vie qu’elle croyait écrite d’avance, mais qui a été chamboulée par une rencontre et l’amour tout simplement !
Après une enfance heureuse dans un milieu catholique traditionnel, elle n’a pas choisi qui elle aime, mais a décidé de “prendre le pouvoir sur sa vie”. Déterminée à faire accepter à sa famille et à la société la normalité des personnes LGBT, Marie-Clémence Bordet-Nicaise ne cesse de témoigner. Mariage, désir d’enfant, l’actualité de sa vie intime va raisonner avec la vie politique française à mesure que de nouveaux droits seront inscrits dans la loi.
Écoutez !
POUR ALLER PLUS LOIN :
Le livre : “On ne choisit pas qui on aime” chez Flammarion https://linktr.ee/mcbordetTIMECODES
00:00 Intro
01:28 Bonjour Marie-Clémence Bordet-Nicaise
02:00 L’enfance heureuse de Marie-Clémence dans un milieu catholique traditionnel et très pratiquant.
02:37 Tout se passe comme Marie-Clémence l’imaginait jusqu’au premier jour d’un stage à Paris : une rencontre va changer sa vie, elle s’appelle Aurore.
06:38 À 20 ans, c’est une sorte de « double vie » qui commence, mais un événement grave va faire naître une volonté de transparence qui ne la quittera jamais plus.
09:09 Le temps passe, la relation s’installe et Marie-Clémence décide d’annoncer sa relation à ses amis et ses parents.
13:31 La détermination de Marie-Clémence à faire accepter qu’on ne choisit pas qui on aime et la rencontre d’Aurore avec ses parents.
16:11 Le Pacs : une première étape.
17:07 « Je m’aperçois que l’intime devient politique ».
20:32 Un déclencheur dans sa volonté de témoigner ?
22:27 Une prise de distance avec l’Église où elle allait tous les dimanches.
24:37 Le mariage devient légal en France, Aurore et Marie-Clémence décident de se marier, c’est une joie.
26:39 Quelle réaction pour les parents de Marie-Clémence ?
29:05 Un désir d’enfant « viscéral ». Marie-Clémence se renseigne, ce sera une PMA, en Espagne, c’est elle qui portera l’enfant.
30:23 La petite Charlie est en route, Noël approche : c’est le moment idéal pour annoncer sa grossesse à la famille.
33:26 L’actualité de la vie amoureuse et familiale de Marie-Clémence résonne avec l’actualité et le calendrier politique français… En 2021, la France autorisera la PMA pour toutes, mais pour leur 2e enfant, Aurore et Marie-Clémence décident de ne pas attendre, retour en Espagne pour le concevoir.
36:00 Marie-Clémence décide de filmer toutes les étapes de la seconde PMA.
37:00 Comment se passe la vie de famille à 4 aujourd’hui ?
40:38 Une histoire à la fois intime et politique. Quel chemin la société doit-elle encore parcourir pour l’acceptation des familles homoparentales?
43:03 Son engagement en participant à la création du ‘Collectif Famille.s”. La création de sa société "Coming Up".
45:08 Question bonus : la voix qu’elle nous conseille d’entendre.
Merci à Marie-Clémence Bordet-Nicaise !
46:24 FIN
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Simon
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Dans cet extrait de l’épisode 9 de Ces voix qu’il faut entendre, Marie-Clémence Bordet-Nicaise, conférencière, entrepreneure engagée et auteure de “On ne choisit pas qui on aime” revient sur la période qui a précédé la légalisation du mariage des personnes du même sexe en France ainsi que sur son propre mariage.
Entre 2012 et 2013, de nombreuses manifestations hostiles au mariage pour tous se tenaient en France.
Parmi les manifestants du mouvement “La manif pour tous” figuraient des connaissances de Marie-Clémence, des membres de sa famille élargie, des gens de son milieu d’origine.
À ce moment-là, Marie-Clémence commence à avoir envie d’écrire pour “montrer aux jeunes de ces milieux, souvent catholiques, qu’il est possible d’avoir une vie absolument classique, même s'ils sont LGBT”.
Alors qu’elle se rend encore à l’Église chaque dimanche depuis son enfance, son regard change sur cette institution “qui ne se met pas à jour et vit comme il y a deux mille ans” déplore-t-elle, ”se sentant rejetée de son nid”.
Si vous avez apprécié cet extrait, je vous invite à écouter l’intégralité de l’épisode 9 : “C'est intime et politique” - Marie-Clémence Bordet-Nicaise de son enfance catho à sa vie de famille homoparentale.
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Lorsque l’on choisit d’accompagner un proche dans son vieillissement, “il est préférable d’avoir un plan”. Comment se préparer à devenir aidant ? Aujourd’hui, j’ai appelé Hélène Rossinot, elle a 32 ans, et vit entre Paris et Nancy. Cette médecin spécialisée en santé publique et coordonnatrice en Ehpad, a décidé de s’engager pour visibiliser les aidants. Celles et ceux qui aident un proche handicapé, malade ou un parent vieillissant.
Dans cet épisode, nous parlons de son expérience, des témoignages de familles qui se confient à elle, elle, la docteure qui milite pour que la société, s’empare du sujet. Nous parlons aussi et d’abord des émotions qui traversent les enfants qui ont fait le choix d’être présents pour leurs parents et faire avec eux ce qu’elle appelle “une randonnée” tout au long de leur vieillissement.
À la fin de l’émission, elle répond à ma question bonus et me parle d’une de ces voix qu’elle nous conseille d’entendre.
Je m’appelle Simon Icard, et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !
POUR ALLER PLUS LOIN
Hélène Rossinot a publié “Être présent pour ses parents” aux éditions de l’Observatoire. Son Linktree : https://linktr.ee/drhelenerossinotTIMECODES
00:00 Intro
01:34 Les aidants doivent être mis sur le devant de la scène
03:58 Aidants : une définition difficile
05:19 Être aidant : un choix ?
08:58 Sur le déni du vieillissement de nos parents
11:15 L’importance du dialogue. De quoi dialoguer avec son proche ?
14:29 La conduite automobile : sujet tabou par excellence !
21:38 Le “Carewashing” est trop nombreux dans le monde du travail
26:49 Les émotions des proches aidants
29:40 Comment savoir si on en fait trop ?
32:15 Question bonus : la voix que nous conseille d’entendre Hélène Rossinot
34:29 Fin (merci !)
À PROPOS
Ces voix qu’il faut entendre, c’est un podcast qui donne la parole à ces gens qui nous font réfléchir, nous aident à mieux comprendre le monde et notre époque.
Des lanceurs d’alerte, des experts ou de simples témoins avec qui je souhaite dialoguer.
Ils nous bousculent parfois, nous surprennent toujours et cela ne laisse jamais indifférent !
Choisissez votre plateforme d'écoute préférée :
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Cela permet de faire découvrir l'émission et surtout de donner à entendre à votre réseau, ces voix qui y participent !
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