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Le 26 mai 2025, découvrez l’entretien exclusif entre Alexey Pouchkov et Thierry Thodinor, tourné à Moscou à l’occasion des cérémonies du 9 mai 2025, pour lesquelles une équipe de Géopolitique Profonde a fait le déplacement.
Alexey Pouchkov est un homme politique russe de premier plan, sénateur de la Fédération de Russie et président de la commission sur les médias et l’information au Conseil de la Fédération. Ancien journaliste et éditorialiste influent, il a débuté sa carrière comme conseiller en communication et plume de Mikhaïl Gorbatchev à l’époque de la perestroïka. Fin connaisseur des relations internationales, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont “Le jeu russe sur l’échiquier mondial”, dans lequel il expose la stratégie géopolitique de la Russie face à l’Occident.
Thierry Thodinor, économiste et journaliste indépendant français est un ancien fonctionnaire international, reconnu pour ses analyses critiques des dynamiques géopolitiques contemporaines, notamment en concernant la Russie, l’Ukraine et les relations entre l’Occident et le monde multipolaire. Collaborateur régulier des revues Éléments, et Méthode, il y aborde des sujets tels que le conflit dans le Donbass. En 2024, Thodinor a mené une mission d’information dans le Donbass avec une équipe de journalistes internationaux, offrant des témoignages sur la situation sécuritaire, économique et sociale dans les territoires libérés de cette région. Il intervient régulièrement dans des médias tels que Sputnik Afrique et RT France, où il partage ses analyses sur les évolutions politiques en France et en Europe.
Trump face à l’hégémonie occidentale : une alternative stratégique ?
Pouchkov affirme que l’Occident a provoqué une confrontation majeure en étendant l’OTAN jusqu’aux frontières russes, ignorant les avertissements de Moscou. Il identifie la guerre en Géorgie comme point de rupture, avec l’Occident poursuivant une stratégie d’encerclement.
Cette logique s’est étendue à la Libye, la Syrie et les révolutions colorées, visant non pas la démocratie, mais l’obéissance. L’Ukraine représente l’aboutissement de cette volonté de domination, la guerre étant le résultat d’un long processus de subversion.
L’élite occidentale contre ses peuples
Selon Pouchkov, ce sont les dirigeants occidentaux, et non les peuples, qui veulent la guerre. Des figures comme Macron, Scholz et Starmer, impopulaires, persistent dans une stratégie vouée à l’échec, refusant de reconnaître que la Russie ne sera pas vaincue.
Il souligne que le conflit oppose les élites, qui imposent une ligne atlantiste sans débat, aux peuples qui ne souhaitent ni guerre ni escalade. Face à cette situation, Trump offre un contraste en retirant les États-Unis du conflit ukrainien, privilégiant la paix.
Ukraine, Russie, Trump : vers un monde multipolaire en rupture avec l’Occident
Le monde rejette le monopole occidental. Les BRICS émergent comme un contre-pouvoir fondé sur la souveraineté et la coopération. L’ordre unipolaire décline sur les plans politique, militaire et économique, le dollar étant fragilisé par son utilisation comme arme politique.
Pouchkov insiste sur la nécessité de briser l’emprise des idéologues et de renouer avec le réel. La paix passe par l’acceptation d’un monde multipolaire, complexe et interdépendant, offrant une opportunité plutôt qu’une défaite.
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Le 26 mai 2025, Nicolas Stoquer vous attendait nombreux sur GPTV, pour une émission consacrée à Mimi Marchand, laquelle se retrouve face à la justice : la papesse de la presse people comparaît pour avoir fait chanter l’animatrice Karine Le Marchand.
Procès Mimi Marchand : le chantage médiatique mis à nu
Mimi Marchand n’est pas qu’une figure de la presse people : elle en est l’architecte. Depuis des années, elle orchestre l’image publique des puissants, entre manipulations, pressions et stratégies d’influence. Son procès dévoile une mécanique bien rodée : pressions psychologiques, fuites contrôlées, menaces. Rien n’est improvisé.
L’affaire Le Marchand révèle un système où l’information devient monnaie d’échange. À 77 ans, Mimi reste influente. Sa chute est annoncée, mais elle tient encore les rênes. Elle traverse les partis, contrôle les récits, manipule les émotions. Elle transforme les scandales en campagnes de communication.
Ce procès est celui d’un système opaque, où vérité et image se négocient. Mimi ne vit pas dans les marges du pouvoir : elle les structure.
Le pouvoir derrière les puissants
Mimi Marchand est l’ombre de plusieurs présidents. Derrière Sarkozy, elle influençait les affaires sensibles. Elle aurait tenté d’infléchir le témoignage de Ziad Takieddine dans l’affaire du financement libyen, exposant sa fidélité politique et ses méthodes de pression. Ce geste lui a valu la prison.
Avec Macron, elle agit plus discrètement. Introduite en 2016 par Xavier Niel dans le cercle du couple présidentiel, elle verrouille l’image, orchestre la communication, neutralise les rumeurs. Ce n’est pas du conseil, c’est du contrôle. Elle impose le récit présidentiel, rend le couple Macron intouchable.
L’image comme arme politique
La « peopolisation » du couple Macron est une construction stratégique. Mimi transforme les attaques en séquences positives. Elle édite une légende : celle d’un couple modèle, d’un président romantique. Son agence Bestimage ne photographie pas, elle scénarise. Elle impose la narration médiatique.
Cette maîtrise visuelle s’est accompagnée d’un accès inédit à l’Élysée. Elle surveille les angles, filtre les images, contrôle le message. Mais derrière ce rôle se cache une mission : éteindre les crises. L’affaire Jean-Michel Trogneux illustre cette capacité à museler l’information. Une rumeur marginale, rapidement étouffée, sous la houlette de Mimi.
Elle agit comme une agente d’influence, non comme journaliste. Son objectif est la maîtrise du récit. Ce procès pourrait marquer la fin d’un règne, mais pas des pratiques qu’elle a imposées. Car l’image reste l’arme la plus puissante du pouvoir contemporain.
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Le 26 mai 2025, Claude Janvier, Charles Sannat et François Asselineau étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
François Asselineau, haut fonctionnaire et homme politique, préside l’Union populaire républicaine (UPR) depuis 2007. Diplômé de HEC et de l’ENA, il milite pour la sortie de la France de l’UE, de la zone euro et de l’OTAN.
Charles Sannat est un économiste français, fondateur du site Insolentiae, connu pour ses analyses critiques de l’économie, sa défense de l’or physique et sa vision contrarienne des marchés.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s’intitule « L’État Profond Français ».
Le contrôle numérique en France : l’arme centrale du pouvoir politique
L’État français, fidèle au projet globaliste européen, agit sous couvert de sécurité et de santé publique. Gérald Darmanin, désormais ministre de la Justice, mène une nouvelle offensive technologique : reconnaissance faciale, surveillance algorithmique, criminalisation du cash.
Présenté comme moteur de l’économie parallèle, le liquide devient prétexte au basculement vers l’euro numérique, priorité de Christine Lagarde et de la BCE. Lors d’un canular de Vovan et Lexus, Lagarde admet qu’un usage excessif du cash pourrait devenir pénal. La monnaie devient outil de surveillance, la dissidence économique, un délit.
L’euro numérique pose les bases du crédit social à l’européenne : chaque transaction devient traçable, chaque retrait, contrôlable. Les pandémies justifient les restrictions : confinement, QR code, blocage de comptes. Le précédent covid a montré comment toute opposition peut être réduite au silence par simple désactivation numérique.
Le verrouillage des élections, nouvelle norme démocratique
Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur et prétendant à l’Élysée, veut imposer le vote électronique. Présenté comme pratique, il permettrait de neutraliser les résultats indésirables. Les percées anti-système en Roumanie ont alerté Bruxelles. Le vote numérique devient outil de verrouillage démocratique.
Algorithmes opaques, audits impossibles, dépouillement virtuel : le bulletin papier disparaît, la fraude devient structurelle. Retailleau orchestre la mutation technocratique du régime. Le citoyen n’a plus le choix qu’entre soumission et abstention.
La censure numérique pour museler la contestation
Emmanuel Macron, dans sa gouvernance par l’urgence morale, cible la liberté d’expression via la « protection de l’enfance ». Les réseaux sociaux, bastions de contre-information, sont dans sa ligne de mire. Suppressions de comptes, modération algorithmique, lois renforcées : tout est prêt.
L’objectif est clair : interdire les récits alternatifs à ceux des médias alignés. La critique devient complotisme, la parole libre, un danger. Dans ce climat, la dette pousse la France vers la tutelle du FMI. Von Der Leyen intime à Orban de cacher les financements d’ONG : l’opacité devient norme. La boucle est bouclée.
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Le 25 mai 2025, sur GPTV Investigation, Mike Borowski partait à la rencontre des Français pour vous révéler comment l’État Macroniste sacrifie les taxis au profit d’Uber, dans une guerre silencieuse entre cotisants écrasés et multinationales intouchables.
L’État piétine les taxis pour imposer les VTC
Le gouvernement orchestre le démantèlement du métier de taxi. Sous prétexte d’économie, la Sécurité sociale veut libéraliser le transport de malades, pourtant marginal dans son budget. Ce transfert vers les VTC favorise des plateformes comme Uber, détachées de toute obligation fiscale ou sociale. En face, les taxis paient jusqu’à 65 % de cotisations, leurs licences, leurs véhicules et respectent des normes strictes.
Uber, au contraire, échappe aux règles. Les chauffeurs déclarent peu, et la maison-mère, basée à l’étranger, ne paie ni TVA ni impôt sur les sociétés. Le système récompense ceux qui ne cotisent pas et punit ceux qui participent. En confiant les transports de malades aux plateformes, l’État affaiblit lui-même la Sécurité sociale. Moins de cotisations, plus de précarité : la collectivité paie la facture.
UBER incarne la nouvelle colonisation économique
Uber est un outil géopolitique du capitalisme global. Son modèle repose sur la destruction des structures locales et l’exploitation d’une main-d’œuvre précaire. En France, elle bénéficie d’un soutien politique flagrant. Les lois sont contournées, les décisions toujours à son avantage. Le soupçon de collusion avec l’État devient plausible.
Le modèle Uber est basé sur la fraude sociale : pas de cotisations, des prix cassés, des chauffeurs sous pression. Ce n’est pas un progrès, c’est une soumission. Et ce modèle s’étend : à la santé, au droit, à l’enseignement. La France ne se modernise pas, elle se vend. Les taxis sont en première ligne d’un effondrement plus large.
La révolte des taxis devient un front de résistance
La mobilisation des taxis devient une bataille pour la survie d’un modèle fondé sur la régulation, l’effort, la justice fiscale. Ils ne défendent pas un privilège, mais un service public. Ils se sont battus pendant la pandémie, et l’État les abandonne aujourd’hui. Leur colère est légitime. Ils ne négocient plus : ils bloquent, dénoncent et appellent à la justice.
Chaque barrage est un acte politique. C’est le pays réel contre la financiarisation. Ce combat dépasse leur métier : il concerne tous les travailleurs broyés par la logique des plateformes. Ils ne veulent pas des miettes, mais l’équité. Ils veulent continuer à vivre de leur travail, dignement. Et ils n’ont pas l’intention de lâcher.
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Le 25 mai 2025, Violette Valorcy, Christophe Soyer, Jean-Louis Lefèvre et Lydiana Delbreil étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Violette Valorcy est fondatrice de l’association « Les Rencontres de l’Un-connu ». Elle œuvre pour rassembler les esprits libres autour de la quête de sens et de vérité.
Christophe Soyer est magnétiseur et rebouteux. Il incarne une approche ancestrale du soin, connectée aux énergies de la nature.
Jean-Louis Lefèvre est auteur, astrophysicien et ethnobotaniste. Il intervient dans le film Les Ailleurs de Sébastien Duijndam, consacré aux phénomènes d’abduction.
Lydiana Delbreil est médium. Elle explore les dimensions invisibles pour transmettre des messages et accompagner les êtres en quête de lumière.
Un festival en rupture avec le monde convenu
Face à la crise sanitaire et au formatage généralisé, le festival des Rencontres de l’Un-connu s’est imposé comme un espace de liberté. En mai 2024, à Cajarc, la première édition a dépassé toutes les attentes : conférences sur la vie extraterrestre, spectacles baroques, bien-être et partage ont donné corps à une communauté en gestation. Cette dynamique repose sur des parcours de rupture. Christophe Soyer, passionné par les mégalithes et leur lien avec les constellations, a quitté le confort matériel pour une quête de sens. Avec son épouse, ils ont tissé un réseau d’intervenants engagés hors des sentiers battus, porteurs d’une vision holistique et spirituelle.
Féminin et Masculin sacrés, une réponse à la confusion contemporaine
Le thème de 2025, le Féminin et le Masculin sacrés, veut répondre à une époque où la biologie est niée et le genre instrumentalisé. Le festival défend une réconciliation entre les polarités humaines, face à un chaos identitaire imposé. Jean-Louis Lefèvre relie les abductions aux savoirs anciens. Lydiana Delbreil explore les mondes invisibles. Autour d’eux : pièces de théâtre, films sur les femmes sacrées de Bretagne, spectacles et rituels participatifs.
Une convergence d’esprits libres et de savoirs marginaux
Le festival se distingue par la densité de ses intervenants. Bleuette Diot lie Gobekli Tepe aux récits bibliques. Christophe Soyer développe une cartographie céleste oubliée. La traduction de « La Genèse oubliée » de Radu Cinamar, les travaux croisés de Mauro Biglino, Pietro Buffa ou Anton Parks composent une trame alternative structurée. Les ateliers, les espaces artisanaux et les débats favorisent l’appropriation des savoirs par tous, sans hiérarchie ni filtre.
Ce n’est pas un simple événement, c’est un acte de résistance. Le festival perce une brèche dans la pensée unique. Ici, les savoirs oubliés et les intuitions anciennes sont réhabilités. Ce mouvement, enraciné, alternatif, autonome, ne demande plus la permission : il agit.
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Le 25 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment le variant NB.1.8.1, l’alarmisme médiatique, Big Pharma et le Great Reset s’entremêlent dans une stratégie de contrôle mondial savamment orchestrée.
Nouveau variant, même stratégie de la peur
Le variant NB.1.8.1, détecté en France, fait l’objet d’un traitement alarmiste par les médias. BFMTV évoque déjà un variant « très infectieux », sans contextualisation. Ce discours anxiogène ravive les réflexes de panique de 2020 : masque, tests, vaccination. Les chaînes réactivent l’urgence, comme si le chaos sanitaire menaçait à nouveau, malgré l’absence de données alarmantes. Ce qui compte, c’est la perception. La peur devient levier d’obéissance.
Les médias parlent de vagues, d’hôpitaux saturés, de vaccins urgents, mais le virus sert surtout à justifier la relance d’un système de contrôle. Le traumatisme est ravivé pour préparer les esprits à d’éventuelles mesures coercitives. On réinstalle la logique du réflexe sanitaire pour renforcer un système d’ingénierie sociale déjà rodé.
L’enjeu caché des vaccins à écouler
Le retour du variant NB.1.8.1 coïncide avec la mise en avant de nouveaux vaccins. La FDA étudie déjà des formules ciblant ce variant. Derrière l’alerte se cache une logique commerciale : des millions de doses sont en stock. En relançant la peur, les laboratoires cherchent à écouler les stocks dormants. Ce n’est pas l’urgence sanitaire qui guide la politique vaccinale, mais la nécessité économique.
Pfizer et Moderna profitent de chaque mutation pour proposer un « nouveau » sérum. Chaque poussée virale devient un argument marketing. Médias, gouvernements et experts liés à l’industrie amplifient ce cycle. Le vaccin devient un abonnement biologique permanent, avec la population sous influence. L’injection n’est plus un geste médical, mais une validation idéologique.
COVID : prétexte au Great Reset technocratique
Depuis 2020, la crise sanitaire a servi de catalyseur à une réorganisation sociétale. Télétravail, numérisation, pass sanitaires, QR codes : autant de transformations imposées sous couvert d’urgence. Le variant NB.1.8.1 s’inscrit dans cette dynamique. Le Forum économique mondial l’avait annoncé : les crises sont des opportunités systémiques. Ce variant n’est pas un hasard, mais un rappel.
L’objectif n’est pas de soigner, mais de reprogrammer. Santé, sécurité, environnement : tout est prétexte au contrôle. L’obéissance devient numérique, les libertés conditionnelles. L’adhésion forcée à des normes globales permet la généralisation d’un modèle hyperconnecté et surveillé, où l’individu se dissout dans un système piloté par une élite technocratique. Le virus est devenu le moteur d’un basculement civilisationnel.
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Le 25 mai 2025, Héléna Perroud était l’invitée du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer et Lara Stam !
Héléna Perroud est une haute fonctionnaire française, autrice et experte des relations franco-russes. Ancienne conseillère à l’Élysée sous Jacques Chirac pendant près de dix ans, elle a dirigé l’Institut français de Saint-Pétersbourg de 2005 à 2008. D’origine partiellement russe, elle possède une connaissance fine des élites politiques russes contemporaines. Son livre Un Russe nommé Poutine (2018) est une référence pour comprendre la personnalité et la trajectoire de Vladimir Poutine à travers le regard d’une observatrice occidentale familière du monde russe.
La Russie, clef de voûte sacrifiée
La Russie est un trait d’union naturel entre Europe et Asie, mais l’Europe, soumise aux intérêts anglo-saxons, a rompu ce lien stratégique. Sanctions, propagande et suivisme atlantiste ont isolé Moscou, au détriment de l’autonomie européenne. Résultat : la Russie se tourne vers la Chine, l’Iran, l’Inde, et construit un monde post-occidental.
Perroud rappelle que les Russes aiment la France. Ce respect culturel contraste avec le mépris croissant des élites françaises envers Moscou. Une fracture s’est creusée, rendue difficilement réversible. À force de rejeter un partenaire de poids, la France s’expose à un isolement dans un monde en recomposition.
Poutine, restaurateur d’un État fracturé
Dans les années 1990, la Russie était en ruines. Poutine restaure l’autorité, chasse les oligarques, redonne un rôle à l’État. Pour Perroud, il n’est pas un autocrate, mais un stratège enraciné, modelé par l’histoire russe. Son rapport à l’islam en témoigne : la Russie reconnaît cette religion comme composante historique du pays.
Des millions de Russes sont musulmans, et leur foi est intégrée dans l’espace public. Ce modèle d’unité par l’autorité tranche avec la laïcité dogmatique française. Là où Paris divise, Moscou fédère. Poutine incarne un ordre fondé sur la tradition et l’identité, pas sur l’abstraction universaliste.
Le pouvoir au féminin version russe
Contrairement aux clichés, les femmes occupent des postes clés en Russie. Maria Zakharova, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, ou Margarita Simonian, directrice de RT, symbolisent ce pouvoir assumé. Lara Stam, de retour de Moscou, témoigne de leur présence massive dans les sphères stratégiques.
Pas de parité imposée ni de quotas : en Russie, les femmes s’imposent par la compétence. La méritocratie prime. Le modèle valorise l’efficacité, là où l’Occident masque les inégalités derrière un discours égalitariste. En Russie, le pouvoir féminin se vit dans les faits. Un féminisme d’action, non de slogan.
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Le 24 mai 2025, Lara Stam et Yves Pozzo Di Borgo étaient les invités de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Ensemble, ils revienaient sur l’entretien exclusif de Vladimir Zakharov mené par Nicolas Stoquer, en Russie, à l’occasion du déplacement d’une équipe de Géopolitique Profonde lors des célébrations de 9 mai 2025.
Le sujet : L’alliance sino-russe qui s’impose désormais comme le nouveau pivot stratégique global, fruit d’une évolution profonde amorcée depuis plusieurs décennies.
Lara Stam est chroniqueuse et animatrice passée par Radio Courtoisie, aujourd’hui sur GPTV et Géopolitique Profonde. Spécialiste des enjeux de souveraineté, elle analyse les crises internationales, les conflits oubliés (comme le Haut-Karabagh) et la multipolarité. Elle a animé « Un Soir avec Lara » et contribue à « La Grande émission » et au « Libre Journal de Géopolitique Profonde ».
Yves Pozzo di Borgo est ancien sénateur de Paris (2004–2017) pour l’Union Centriste. Il a aussi été conseiller de Paris et membre du Nouveau Centre et de l’UDI.
L’alliance sino-russe : cauchemar occidental devenu réalité
L’Occident pensait affaiblir la Russie via le conflit ukrainien, mais cela a renforcé l’axe Moscou-Pékin. Ce basculement, amorcé dès la perestroïka, trouve son aboutissement aujourd’hui. Le diplomate Vladimir Zakharov, sinologue et acteur clé de cette stratégie depuis les années 1980, incarne cette orientation. Son parcours : ambassade à Pékin, puis hauts postes à l’OCS.
Zakharov, artisan de l’alliance 2025
Zakharov n’est pas un idéologue mais un stratège. De 1980 à 1993, depuis Pékin, il œuvre à surmonter les tensions sino-russes. Dans les années 2000, il facilite un rapprochement pragmatique via l’OCS : fin des litiges frontaliers, coopération culturelle, éducative, technologique. Il voit Chine et Russie comme complémentaires, et non concurrentes. Leur alliance repose sur une vision commune, non sur une opposition à l’Occident.
L’OCS, levier de puissance eurasienne
Fondée en 2001, l’OCS regroupe Russie, Chine, Inde, Iran, Pakistan, Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan, Tadjikistan. Elle refuse l’unipolarité, prône sécurité partagée et développement commun. Zakharov souligne son rôle discret mais décisif : résolution pacifique des tensions sino-indiennes, renforcement de l’autonomie stratégique eurasienne.
Il insiste sur l’appui constant de la Russie à la Chine : assistance technique, coopération énergétique, formation des élites. Cette interdépendance équilibre les rapports, contrairement à l’OTAN, jugée déséquilibrée.
La rupture est consommée, l’avenir est oriental
Pour Zakharov, l’Occident, englué dans ses dogmes, n’offre plus d’avenir à la Russie. Le conflit ukrainien a scellé le basculement vers l’Est. La Russie se tourne vers les BRICS, le commerce hors dollar, les grands projets eurasien. Elle privilégie tradition, souveraineté, et rupture avec le modèle occidental. L’Europe, en choisissant l’alignement, s’est coupée durablement d’un partenaire stratégique.
La Russie, elle, regarde vers l’Eurasie, avec détermination, aux côtés de la Chine et du Sud global.
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Le 24 mai 2025, Mike Borowski vous proposait de décrypter un sujet d’actualité sur Géopolitique Profonde : le cas Omar Sy.
Omar Sy : de l’icône bienveillante aux menaces en gare de Lyon
Depuis « Intouchables », Omar Sy incarne l’image du Français « modèle » issu de la diversité. Une figure souriante, apolitique, rassembleuse. Mais cette image, soigneusement façonnée, contraste fortement avec ses prises de position et ses actes récents. L’incident en gare de Lyon, où il aurait menacé des agents SNCF, révèle une facette bien plus clivante.Ce n’est pas un accident isolé. Depuis plusieurs années, Omar Sy s’illustre par des déclarations polémiques et des postures antagonistes envers les institutions françaises. Son engagement politique est sélectif, orienté, souvent hostile à l’ordre républicain. Il affiche un soutien constant à certaines figures militantes, tout en ignorant systématiquement les victimes d’agressions ou les représentants de l’ordre.
Le double discours d’un acteur engagé
Omar Sy cultive un discours humaniste, mais ses choix témoignent d’une radicalité assumée. Il défend une vision conflictuelle de la société, se posant en victime systémique tout en condamnant implicitement l’État et ses représentants. Ce positionnement attire un public jeune, souvent méfiant envers les institutions, mais éloigne une partie croissante de l’opinion.
Son silence face à l’affaire de la gare de Lyon, son absence d’excuses ou de mise au point, en disent long. Il ne s’agit pas d’un dérapage, mais d’une ligne cohérente : celle d’un artiste qui assume de jouer un rôle idéologique.
Un business franco-américain sous subventions françaises
Installé aux États-Unis depuis des années, Omar Sy bénéficie d’un régime fiscal favorable tout en continuant à tourner en France dans des productions subventionnées. Cette contradiction interroge : comment justifier que des fonds publics français financent un artiste qui réside à l’étranger et ne rend plus de comptes à la société qui l’a porté ?
Cette situation, largement passée sous silence par les grands médias, montre l’immunité dont il bénéficie. Omar Sy est un totem progressiste : intouchable, au-dessus des critiques. Chaque polémique est minimisée, chaque écart justifié. Cette protection révèle les dysfonctionnements du système médiatique et culturel français.
Mais les temps changent. L’image d’Omar Sy se fissure. L’opinion publique s’interroge. Le décalage entre la communication soigneusement maîtrisée et les actes de l’homme devient trop visible. Derrière le sourire, la success story, le discours officiel, apparaît un choix politique assumé : celui de la division, du mépris des institutions, et de l’exploitation d’un système qu’il critique publiquement, mais dont il profite pleinement.
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Le 24 mai 2025, Éric Mercier et Valérie Ferrier étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Éric Mercier est infirmier diplômé d’État, spécialisé en réanimation. Il exerce depuis plus de 12 ans en tant que formateur PRAP 2s (Prévention des Risques liés à l’Activité Physique, secteur sanitaire et social), dans les hôpitaux et EHPAD . En 2022, il s’est présenté comme candidat aux élections législatives dans la 6e circonscription de Maine-et-Loire sous l’étiquette Debout la France, mettant en avant la santé comme priorité, notamment après avoir été suspendu de ses fonctions pendant la crise sanitaire .
Valérie Ferrier est une journaliste française spécialisée dans la presse écrite. Elle est intervenue en tant que discutante lors d’une conférence du Conseil Scientifique Indépendant (CSI) en novembre 2024, abordant des sujets éthiques liés à la fin de vie .
Une loi permissive déguisée en encadrement
La loi sur l’aide à mourir s’adresse en principe aux adultes atteints d’une maladie grave, incurable, avec souffrances insupportables. Mais la notion de « souffrance psychologique réfractaire » introduit une subjectivité préoccupante. Elle pourrait inclure des personnes souffrant de troubles mentaux, sans pronostic vital engagé. Un amendement évoque même l’extension aux mineurs, bouleversant les principes de protection de l’enfance.
Ce changement de paradigme traduit un basculement de la logique de soin vers une logique d’élimination. La société délègue à des personnes vulnérables, parfois très jeunes, le poids d’une décision irréversible, dans des situations de détresse.
Une influence maçonnique historique et déterminante
Cette évolution n’est pas le fruit du hasard. Depuis des décennies, des réseaux liés à la franc-maçonnerie militent activement pour l’euthanasie. L’ADMD, fondée par des figures maçonniques comme Henri Caillavet, a été en première ligne de ce combat.
Le Grand Orient de France a aussi joué un rôle majeur. En novembre 2023, Emmanuel Macron a assisté à son 250e anniversaire, promettant une « loi de liberté et de respect » sur la fin de vie. Cette proximité politique-maçonnique montre l’influence idéologique de ces cercles, favorables à une autonomie absolue, au détriment d’une éthique de solidarité et de protection des plus fragiles.
Un risque accru de dérives et d’abus
L’élargissement des critères d’accès à l’euthanasie suscite de vives inquiétudes. La possibilité pour des patients psychologiquement fragiles, mais non en fin de vie, d’y recourir, interroge la capacité de notre système à les protéger. Sans accompagnement approprié, la décision de mourir pourrait être prise dans un isolement alarmant.
Le consentement éclairé pourrait être faussé par des pressions sociales ou économiques. La loi pourrait indirectement légitimer le recours à la mort comme échappatoire à la souffrance, faute d’alternatives thérapeutiques.
Enfin, bien que non mentionnée dans le texte, la crainte de dérives liées au don d’organes subsiste. Dans un contexte de pénurie, la légalisation de l’euthanasie pourrait faire émerger des pressions inavouées sur les plus vulnérables.
Cette loi, derrière un discours de liberté individuelle, pose de redoutables questions éthiques et sociétales. Elle remet en cause les fondements mêmes de la protection des faibles, au nom d’une autonomie mal définie.
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Le 23 mai 2025, Nicolas Stoquer vous dévoilait son entretien exclusif tourné en Russie avec Vladimir Zakharov, sur GPTV !
Vladimir Zakharov est un diplomate russe orientaliste, spécialiste de la Chine, pilier discret mais central de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS). Ancien conseiller au ministère russe des Affaires étrangères, il a joué un rôle déterminant dans le rapprochement stratégique entre Moscou et Pékin. Maître de conférences et intellectuel eurasiste, il incarne une diplomatie traditionnelle, cultivée, résolue, orientée vers la construction d’un ordre multipolaire fondé sur l’interdépendance continentale et la souveraineté des nations.
Zakharov, stratège discret de l’OCS
Orientaliste de formation, Zakharov a mis ses compétences au service de l’intégration eurasienne. Il a dirigé la transition du « Groupe de Shanghai » vers l’OCS, projet destiné à réduire l’influence occidentale en Asie centrale et à stabiliser la région sans médiation externe. Il a su intégrer des États aux intérêts divergents (comme l’Inde et le Pakistan), transformant une alliance sécuritaire en espace de dialogue multilatéral à dominante économique. Sa méthode : privilégier l’interdépendance à la domination, l’intégration aux divisions.
Zakharov n’est pas un idéologue visible, mais un stratège patient. Il voit l’OCS comme un forum de coordination souveraine, non une alliance militaire comme l’OTAN. Pour lui, l’efficacité géopolitique se mesure à la capacité de bâtir un ordre fluide et respectueux des souverainetés.
Une vision eurasienne opposée à l’atlantisme
Pour Zakharov, la Russie est un pivot de l’Eurasie. Il défend une alliance des puissances continentales – Chine, Inde, Iran, Russie – face à l’unilatéralisme anglo-saxon. Il oppose la terre, espace d’unité, à la mer, vecteur de division. Les Routes de la Soie symbolisent cette vision d’un monde interconnecté, affranchi des diktats maritimes. Il critique l’alignement de la France sur Washington, déplorant l’abandon de l’indépendance stratégique. Selon lui, Macron privilégie sa carrière européenne au détriment d’une vision gaullienne de l’équilibre.
Pour Zakharov, l’unité continentale est inévitable, guidée par les infrastructures, l’énergie et l’industrie. Il ne s’agit pas d’opposer Est et Ouest, mais souveraineté à soumission. L’Europe, dit-il, doit renouer avec l’Est pour éviter l’enlisement dans une guerre froide artificielle.
Culture et industrie, piliers de puissance douce
Zakharov attribue à la culture un rôle diplomatique fondamental. Cinéma, littérature, musique peuvent réconcilier les peuples mieux que les discours officiels. La diplomatie culturelle forge les conditions d’une paix durable. Sur le plan industriel, il insiste sur la complémentarité russo-chinoise : production chinoise, ressources russes, technologies avancées. Cette alliance n’est pas une dépendance, mais une coopération équilibrée et souveraine.
Il distingue BRICS et OCS : les premiers ont une vocation économique, les seconds une fonction géopolitique. L’OCS est pour lui un outil de régulation régionale, non une simple coalition anti-occidentale. Zakharov réclame une lecture rigoureuse du rôle des institutions non occidentales dans le XXIe siècle.
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Le 23 mai 2025 sur GPTV, Mike Borowski révélait comment LFI, entre censure brutale, récupération de la cause palestinienne et caricature des musulmans, trahit ses propres discours.
LFI muselle la presse indépendante
La violence exercée contre Mike Borowski et son caméraman lors de la manifestation organisée par La France Insoumise ne relève pas de l’exception. Elle illustre une stratégie consciente de contrôle de l’information, dirigée contre toute voix dissidente. Notre équipe n’a pas été prise à partie pour son comportement, mais pour sa ligne éditoriale. LFI ne tolère pas que l’on expose la réalité sans filtre. Ce n’est pas une bavure, c’est une ligne politique.
Le vol de matériel, les menaces, l’intimidation directe rappellent plus les méthodes d’un appareil répressif que celles d’un mouvement progressiste. La reconnaissance sur le terrain par certains manifestants musulmans du travail mené par GPTV montre la dissonance entre le discours officiel de LFI et ses actes concrets.
LFI a transformé l’antifascisme en slogan creux, tout en adoptant les méthodes qu’elle dénonçait chez ses adversaires. Ce verrouillage médiatique trahit une peur panique : celle que les faits contredisent le récit militant.
LFI caricature les musulmans pour les enfermer
Loin de défendre les musulmans, LFI les réduit à une image unique : peuple homogène, persécuté, passif. Cette vision paternaliste empêche toute autonomie politique. En les enfermant dans un rôle de victimes, LFI nie la diversité d’opinions et d’engagements. Ce n’est pas un soutien, mais une instrumentalisation.
Cette posture figée alimente une crispation identitaire. En répétant que les musulmans sont systématiquement exclus, elle participe à leur marginalisation symbolique. LFI ne tolère que les figures validées par son appareil. Toute parole critique est perçue comme une trahison. Ce verrouillage idéologique interdit la construction d’un espace politique inclusif.
La Palestine, un outil électoral opportuniste
LFI brandit la cause palestinienne comme un étendard électoral. Mais derrière cette solidarité affichée, aucune action concrète ne vient confirmer l’engagement. Ce discours est calibré pour les réseaux sociaux, pas pour une diplomatie sérieuse.
La rhétorique pro-palestinienne simplifie un conflit complexe, réduit à des slogans utiles pour polariser l’électorat. Ce cynisme exploite les morts pour renforcer un capital électoral local.
En marginalisant les journalistes indépendants qui documentent ces enjeux, LFI montre qu’elle ne veut ni enquête ni analyse, seulement des images fortes et des indignations contrôlées. La Palestine devient un alibi moral. Le peuple palestinien disparaît derrière le spectacle militant.
En caricaturant, en récupérant, en censurant, LFI révèle ce qu’elle est devenue : une machine à fabriquer du récit, déconnectée du réel. Un parti de plus dans le système, qui se nourrit des colères sans y répondre.
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Le 23 mai 2025, Marc Gabriel Draghi, Bruno Gollnisch, Youssef Hindi et Thierry Meyssan étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Nicolas Stoquer !
Marc Gabriel Draghi, juriste et spécialiste de l’histoire du droit, dénonce l’influence du Forum économique mondial dans ses ouvrages Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration.
Bruno Gollnisch, ancien député européen et cadre historique du Front National, a dirigé la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2002 et occupé plusieurs postes au sein du parti.
Youssef Hindi, écrivain et historien des idéologies modernes, a notamment coécrit Israël et la guerre mondiale des religions avec Pierre-Antoine Plaquevent, où il analyse le rôle du messianisme dans la géopolitique actuelle.
Thierry Meyssan, journaliste et président du Réseau Voltaire, s’est notamment fait connaître par son ouvrage, L’Effroyable Imposture, dans lequel il remet en cause la version officielle du 11-Septembre.
Les mondialistes orchestrent les trois types de guerre
Les élites occidentales multiplient les foyers de conflit pour maintenir leur hégémonie. En Ukraine, elles exploitent le peuple comme rempart contre la Russie. Au Proche-Orient, elles nourrissent les divisions confessionnelles, particulièrement en soutenant Israël de manière inconditionnelle. Enfin, les tensions internes dans les pays occidentaux sont attisées pour fracturer les peuples : immigration massive, lois liberticides, surveillance généralisée. Le chaos organisé devient outil de contrôle.
Netanyahou accélère la faillite morale de l’Occident
Chaque crise sert le discours du Premier ministre israélien. L’attentat de Washington permet à Netanyahou d’accuser l’Europe d’antisémitisme, tout en poursuivant les bombardements sur Gaza. La presse occidentale, complice, présente ces crimes comme actes de défense. La fracture morale est profonde : héros en Ukraine, terroristes à Gaza. Une part croissante de la communauté juive internationale prend ses distances avec la politique israélienne, dénonçant une dérive extrême, même au sein de l’alliance avec l’extrême droite européenne.
L’Occident s’autodétruit au nom de valeurs qu’il piétine
Face aux crimes israéliens, les États européens préfèrent accuser leurs citoyens. La France criminalise les manifestations pro-palestiniennes, réduit au silence journalistes et intellectuels critiques. Le discours humaniste est vidé de son sens. Aligné sur les méthodes brutales du Proche-Orient, l’Occident sombre dans la barbarie : guerre permanente, destruction des cultures, asservissement aux intérêts atlantistes. La civilisation européenne se désintègre, et chacun, par son silence, devient complice.
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Le 21 mai 2025, Lara Stam et Nicolas Stoquer étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Nicolas et Lara reviennent sur l'entretien exclusif mené par Lara Stam pour Géopolitique Profonde, lors duquel Margarita Simonian, fondatrice et rédactrice en chef de Russia Today, est revenue sur les raisons profondes de l’interdiction de RT France. À travers ses réponses directes et sans filtre, se dessine un constat implacable : RT gênait parce qu’elle informait. Cet article analyse les points clés de cet échange rare, qui dévoile la mécanique de la censure médiatique en France et en Europe.
RT France, victime d’une censure d’État déguisée
RT France a brisé le monopole narratif des médias classiques, notamment lors de la crise des Gilets jaunes, devenant un véritable contre-pouvoir. Face à cette liberté, Bruxelles, poussée par Ursula von der Leyen, a décidé son bannissement. Sans procès ni débat, RT a été évincée au nom de la guerre en Ukraine, mais surtout pour avoir montré une réalité dérangeante.
Le rôle du pouvoir macroniste dans le contrôle de l’information
Emmanuel Macron a soutenu cette éviction. Depuis 2018, l’Élysée considérait RT France comme un média incontrôlable. Sa couverture brute des Gilets jaunes, loin des filtres médiatiques, a dévoilé l’ampleur de la colère populaire et la violence de la répression. Le gouvernement a compris que la vraie menace n’était pas le discours des manifestants, mais les images diffusées en direct. L’éviction de RT fut une mesure de contrôle, non de sécurité.
La comparaison avec les régimes autoritaires n’est plus exagérée. La censure n’est plus brutale, elle est juridiquement cadrée, discrètement exécutée via plateformes et décrets. L’État impose un récit : l’Europe protectrice, la guerre juste, la voix unique. Toute critique devient suspecte.
Après RT France : le vide médiatique, une opportunité pour les indépendants
La disparition de RT France a ouvert un vide stratégique. Les médias dominants ont renforcé leur filtre : faits minimisés, manifestants ignorés, analyses remplacées par des justifications. Pourtant, ce vide suscite une dynamique nouvelle.
Des plateformes comme Telegram, Odysee ou des médias indépendants émergent. L’audience veut du factuel, non du commentaire. La défiance envers les médias traditionnels crée un terrain propice à l’émergence d’une presse alternative. La place laissée par RT France n’est pas perdue : elle attend d’être réinvestie par ceux qui osent informer autrement.
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Le 22 mai 2025, Mike Borowski vous proposait de découvrir son reportage de terrain pour GPTV Investigation.
Il s’est rendu au cœur d’une mobilisation explosive contre la dictature verte imposée par Bruxelles et Davos. C’est un cri de révolte contre la Zone à Faible Émission, cette mesure soi-disant écologique qui frappe d’abord les plus modestes. Entre interviews chocs, visages en colère et vérités qu’on n’ose plus dire, ce reportage vous plonge dans la résistance d’un peuple qu’on veut faire taire. Un reportage brut, sans filtre, indispensable pour comprendre ce qui se joue réellement.
ZFE : le cheval de Troie du Great Reset
Les ZFE, instaurées dans les agglomérations de plus de 150 000 habitants depuis le 1er janvier 2025, interdisent progressivement les véhicules anciens, notamment ceux classés Crit’Air 3, 4 et 5. Cette mesure touche particulièrement les ménages modestes, souvent propriétaires de ces véhicules, les excluant des centres-villes sous peine d'amendes. La revente de ces voitures devient quasi impossible, les transformant en fardeaux économiques. Derrière cette politique se dessine une volonté de restreindre la propriété individuelle au profit de systèmes de location et de crédits carbone.
ZFE et dictature verte : le rôle de Bruxelles et Davos
La directive européenne sur les émissions, adoptée en 2020, impose un calendrier strict d'interdiction des véhicules thermiques jusqu'en 2035. Les collectivités locales, bien que responsables de la mise en œuvre, n'ont que peu de marge de manœuvre face à ces directives centralisées. Cette uniformisation des politiques de mobilité est perçue comme une atteinte à la souveraineté nationale et à la liberté individuelle.
Une mobilisation inédite contre la dictature verte
Le 17 mai 2025, des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes françaises, rassemblant élus, motards, automobilistes et citoyens. Ces rassemblements dénoncent une "écologie de caste" et revendiquent le droit à la mobilité pour tous. Des personnalités publiques, comme l'écrivain Alexandre Jardin, ont apporté leur soutien à ce mouvement, soulignant l'absurdité écologique de forcer à acheter du neuf en détruisant l'ancien.
Vers une nouvelle forme de résistance
La contestation contre les ZFE dépasse la simple question de la mobilité. Elle incarne un rejet plus large d'un modèle de société perçu comme autoritaire et déconnecté des réalités quotidiennes. Ce mouvement pourrait marquer le début d'une résistance citoyenne face à des politiques jugées injustes et discriminatoires.
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Le 21 mai 2025, Nicolas Stoquer dévoilait comment Clinton, Obama et l’État profond orchestrent éliminations, manipulations idéologiques et surveillance de masse pour écraser Trump et museler la vérité, sur GPTV !
Une chaîne de morts suspectes entoure les Clinton
Autour des Clinton gravitent des décès inexpliqués. Vince Foster, conseiller à la Maison-Blanche, retrouvé mort en 1993, dans des conditions jugées suspectes malgré les enquêtes officielles. Documents disparus, scène incohérente : le doute persiste.
Seth Rich, analyste du DNC, abattu en 2016 dans ce qui semble un faux vol. Aucune preuve de vol, mais des soupçons de fuite vers WikiLeaks. Son dossier, classé, renforce l’idée d’un effacement ciblé.
Jeffrey Epstein, au centre d’un réseau de chantage sexuel pour l’élite, détenait des informations sur Bill Clinton. Son « suicide » en prison reste une énigme : caméras coupées, gardiens absents. La mise à mort semble préméditée.
Autres noms : Lisa Marie Mahoney, JFK Jr., tous liés à des enquêtes sensibles. Leur disparition alimente l’idée d’un réseau d’élimination où les Clinton occupent une place centrale.
Obama, cerveau de l’infiltration systémique
Barack Obama a renforcé le pouvoir invisible des institutions. La NSA, sous sa présidence, a espionné massivement sans mandat. Des opposants politiques surveillés, en marge du droit.
Il a aussi noyauté les agences de l’État : justice, renseignement, diplomatie. Une idéologie unique s’y est imposée, rendant légitime la censure, la répression et la chasse aux dissidents. Obama a bâti une architecture de contrôle déguisée en démocratie.
Des opérations internationales secrètes et des fondations liées à son administration suggèrent une diplomatie d’influence dissimulée, au service d’un ordre globaliste verrouillé.
Trump, cible d’un pouvoir sans scrupules
Depuis 2016, Donald Trump est ciblé par une stratégie d’élimination politique : accusations, procès, enquêtes. Le but ? L’empêcher de revenir.
James Comey, ex-FBI, poste une image codée : « 86 47 ». Traduction policière : éliminer le 47e président (Trump). Une menace à peine voilée, révélatrice de la radicalisation de l’État profond.
Trump, désormais lucide, relaie des vidéos exposant les liens entre Clinton, Obama, Epstein. Il dénonce une menace directe contre lui, tandis que ses adversaires contrôlent toujours la machine sécuritaire.
L’élimination physique n’est plus taboue pour ceux que Trump dérange. Il l’a compris : sa vie est en jeu, comme celle de ceux qui l’ont précédé dans la dissidence.
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Le 22 mai 2025, Florian Philippot, Oskar Freysinger et François Martin étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Florian Philippot, tête de liste des Patriotes aux européennes 2024, défend la souveraineté nationale. Ancien eurodéputé, il milite pour un Frexit par référendum. Oskar Freysinger, ex-vice-président de l’UDC suisse et ancien parlementaire, est aujourd’hui écrivain et chroniqueur. François Martin, géopolitologue, journaliste et essayiste français, cumule 40 ans d’expérience dans le commerce alimentaire mondial.
Gaza, ligne rouge : quel rôle pour Trump face à Israël ?
À Gaza, les bombardements massifs et les civils ciblés marquent un tournant. La stratégie israélienne choque même ses alliés. Netanyahou poursuit une guerre existentielle, mais isole Israël sur la scène mondiale. Le climat devient explosif. Dans ce chaos, Donald Trump apparaît comme le seul capable d’imposer une pause. Sa réputation de négociateur et ses liens puissants lui donnent une position unique. Pourtant, il hésite.
L’urgence est réelle : sans action rapide, le Moyen-Orient bascule. Chaque silence américain renforce l’idée de complicité. Trump doit trancher s’il veut éviter une généralisation du conflit.
L’Europe et l’Ukraine, derniers bastions bellicistes
L’UE, fidèle à l’agenda atlantiste, poursuit une logique de guerre en Ukraine. La paix selon Trump, axée sur des deals bilatéraux, est rejetée par les élites européistes. Ces dernières misent sur une victoire militaire irréaliste, insensibles aux souffrances. À Paris, Berlin ou Bruxelles, les décisions s’alignent sur Washington, malgré leur inefficacité.
Trump envisage une diplomatie pragmatique : discuter avec Poutine, traiter avec l’Iran, renouer avec la Russie. Cette approche dérange, mais pourrait être la seule issue raisonnable. Le réalisme l’emporte sur l’idéologie : une diplomatie des deals qui arrête les guerres plutôt que les prolonger.
Trump seul contre l’establishment mondial ?
Trump reste pacifiste dans l’âme, mais il affronte un establishment qui prospère sur la guerre. Il ne parvient pas à se faire entendre par les alliés de l’Amérique, qui refusent sa paix. Ils veulent imposer leur ordre : un monde en guerre perpétuelle.
Pourtant, Trump peut encore agir : forcer des paix séparées, imposer son rythme, restaurer le rôle de l’Amérique par la désescalade. Il ne doit plus rester une simple alternative. Le monde attend une rupture nette. La paix, pour redevenir possible, nécessite du courage politique. Le deal doit redevenir la norme, face à une industrie de la guerre devenue système.
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Le 21 mai 2025, Lara Stam vous dévoilait son entretien exclusif tourné en Russie avec Margarita Simonian, sur GPTV !
Margarita Simonian, l’architecte d’un média de rupture
À 25 ans, Margarita Simonian conçoit Russia Today non comme un simple média, mais comme un outil d’influence globale. RT s’impose rapidement par une ligne éditoriale assumée : rompre avec le narratif occidental, donner la parole aux voix marginalisées, affirmer un récit alternatif. Dès le départ, elle refuse la neutralité feinte. RT devient un acteur incontournable, multilingue, implanté mondialement, refusant le politiquement correct pour offrir une liberté de ton rare dans le paysage médiatique mondial.
RT face à la crise des Gilets jaunes
Lors des Gilets jaunes, RT est sur le terrain, montrant ce que d’autres censurent : violences, colères, témoignages directs. Ce traitement sans filtre bouleverse la hiérarchie médiatique française. RT gagne la confiance d’une partie du public. En réponse, les autorités accusent de propagande. Mais dans la rue, les manifestants soutiennent RT, reconnaissant sa légitimité journalistique. Montrer devient un acte politique.
Une ligne éditoriale tranchée et cohérente
Simonian impose une ligne claire : donner la parole aux bannis, aux experts non-alignés, aux invisibles. La pluralité n’est pas une façade, c’est un choix. Cette radicalité lui vaut bannissement et censure, mais aussi une influence numérique croissante. RT devient un espace de débat réel, à rebours du cadrage occidental.
Une femme de pouvoir dans un système qui respecte la compétence
En Russie, Simonian incarne une autorité incontestée. Dirigeante jeune et puissante, elle s’impose sans complexe dans un monde masculin. Là où l’Occident doute encore de la légitimité féminine dans le pouvoir, la Russie valorise la compétence. Sa direction ferme et assumée s’inscrit dans une tradition de leadership exigeant.
Dire la vérité, c’est devenir une cible
Simonian a survécu à trois tentatives d’assassinat. Elle ne s’en plaint pas, mais elle en tire une leçon : dans un monde où la parole libre dérange, ceux qui dénoncent deviennent des cibles. Elle ne plie pas. RT continue de diffuser, d’informer, de bousculer. Simonian reste une figure centrale d’un journalisme qui ne veut pas plaire, mais dire, quitte à en payer le prix.
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Le 21 mai 2025, Mike Borowski vous invitait à découvrir son reportage exclusif tourné au cœur de la manifestation LFI du 11 mai à Paris, sur GPTV Investigation.
Manifestation LFI 11 mai 2025 : une marche révélatrice de fractures idéologiques
Le cortège de La France Insoumise, qui a défilé de Bastille à Nation le 11 mai 2025 en hommage à Aboubakar Cissé, assassiné dans une mosquée du Gard, s’est révélé être une tribune idéologique marquée par l’islamo-gauchisme. Sous couvert de lutte contre l’islamophobie, la manifestation a été dominée par des slogans anti-police, des drapeaux palestiniens et une hostilité manifeste envers la République.
La convergence entre antifas, militants islamistes et figures d’ultragauche y était flagrante. Ce mélange assumé révèle une orientation politique de plus en plus hostile à l’État-nation, à la laïcité et à toute forme de pluralisme.
Agression contre GPTV : l’illustration d’un sectarisme
La couverture de l’événement par GPTV a provoqué une réaction immédiate : alors que Mike Borowski s’apprêtait à interroger Carlos Martens Bilongo, le service d’ordre insoumis est intervenu violemment. Motif ? L’organisation d’un débat entre Alain Soral et Fabrice Di Vizio par GPTV. Notre matériel a été arraché, notre équipe physiquement prise à partie. Cette agression illustre la contradiction majeure de LFI : se dire tolérant tout en censurant violemment toute voix critique.
L’imposture victimaire de LFI
LFI instrumentalise la mort d’Aboubakar Cissé pour mener une offensive politique contre les institutions françaises. Le terme flou d’« islamophobie » sert à amalgamer critique de l’islamisme et racisme, et permet d’ériger toute opposition en ennemi idéologique. Cette stratégie de victimisation s’appuie sur une rhétorique où toute question devient suspecte, toute nuance une trahison.
Le cortège, loin d’un rassemblement pluraliste, s’est transformé en vitrine pour des mouvances radicales, où toute voix divergente est muselée. La scène de l’agression contre GPTV le démontre : le débat est remplacé par l’intimidation.
Un cortège sous haute surveillance idéologique
Les manifestants affichaient clairement leur appartenance politique : drapeaux palestiniens, slogans anti-police, revendications islamistes. La diversité de pensée était absente. La pluralité a été remplacée par une ligne unique, portée par une alliance hétéroclite, mais radicalisée.
Loin d’un appel à l’unité, cette marche a renforcé les fractures. Elle confirme que certains partis utilisent le prétexte antiraciste pour légitimer des formes d’entrisme idéologique. La marginalisation des médias critiques, leur expulsion physique, révèle un sectarisme croissant, incompatible avec toute forme de débat démocratique.
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Le 21 mai 2025, Finn Andreen, Laurent Artur Du Plessis, Vincent Pavan et Frigide Barjot étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Nicolas Stoquer !
Finn Andreen, entrepreneur et auteur suédois, propose une lecture percutante des dynamiques géopolitiques mondiales.Laurent Artur du Plessis, spécialiste des conflits contemporains, décrypte la transition vers une nouvelle configuration stratégique mondiale.Vincent Pavan, mathématicien, s’est illustré pour ses critiques des politiques sanitaires durant la crise du Covid-19.Frigide Barjot, militante, continue de défendre une conception alternative de l’union homosexuelle et de la filiation humaine.L’idéologie occidentale en phase terminale
L’Occident moderne se dissout dans une idéologie qu’il prend pour du progrès. L’euthanasie devient dogme d’État, le droit à mourir supplante la protection des faibles. Derrière l’apparence de liberté, s’installe une culture du renoncement. La société s’individualise à l’extrême, dominée par un discours victimaire où chaque communauté impose sa douleur.
Le religieux, et en particulier le catholicisme, devient la cible privilégiée. La laïcité, jadis garant d’équilibre, est devenue idéologie exclusive. Le socle spirituel de la civilisation européenne est scié par un appareil administratif vidé de toute substance. La République française ne suscite plus ni respect, ni adhésion. Son effondrement se déroule dans l’indifférence générale.
L’Europe ridiculisée sur la scène mondiale
L’Europe ne joue plus. Face à la Russie, elle n’a ni stratégie ni autonomie. Le soutien à l’Ukraine masque son impuissance. Les capitales européennes obéissent aux signaux de Washington, mais ces derniers s’estompent. Les dirigeants européens – Macron, Scholz, Starmer – sont des gestionnaires sans boussole, accrochés à une autorité américaine en perdition.
La fin de l’empire américain
Les États-Unis, marqués par les divisions internes et l’idéologie woke, ne sont plus un modèle. Le mythe américain s’effondre sous le poids des conflits internes, des désillusions démocratiques et du chaos social. La puissance militaire subsiste, mais le souffle civilisationnel est brisé. Le leadership mondial américain ne fait plus illusion.
Ce retrait n’émancipe pas l’Europe : il la laisse seule, sans direction, sans cap. L’Histoire devient farce. L’Occident, décomposé de l’intérieur, se délite sous le regard impassible des peuples. Seule une rupture nette pourrait ouvrir une renaissance. Sans cela, la chute est consommée.
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