Episodes
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Le 15 mai 2025, Jacky Cassou et Patrick Passin étaient les invités de Mike Borowski, pour La Grande Émission de Géopolitique Profonde !
Jacky Cassou est un auteur et animateur français engagé dans la critique des politiques sanitaires et des institutions internationales. Il a notamment publié OMS, menace pour l'humanité, un ouvrage dans lequel il dénonce le rôle de l'Organisation mondiale de la santé, qu'il accuse de dérives autoritaires et de collusions avec des intérêts privés.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
L’OMS s’impose comme autorité supranationale
L’OMS agit désormais comme une autorité mondiale, plaçant ses directives au-dessus des lois nationales. Les règlements sanitaires internationaux signés par 196 États lui permettent d’imposer des mesures sans validation parlementaire. La pandémie COVID-19 a révélé cette mécanique brutale : confinements, masques, passes sanitaires imposés sans débat.
Les gouvernements ont servi de relais à cette technocratie globalisée, invoquant une science validée par l’OMS. En réalité, la santé devient l’outil d’un pouvoir sans contrôle démocratique, piloté depuis des sommets technocratiques. L’organisation prépare de nouveaux traités renforçant cette tutelle sur les États.
Gates, financeur et stratège de la gouvernance sanitaire
Bill Gates, deuxième financeur de l’OMS après les États-Unis, oriente son agenda : vaccination de masse, surveillance numérique, cartographie virale. Sa fondation finance aussi Gavi, CEPI et les partenaires de l’OMS, définissant les priorités globales de recherche.
L’OMS devient un exécutant d’un programme conçu ailleurs, dominé par des industriels. L’obsession vaccinale de Gates traduit une stratégie globale de contrôle sanitaire. En Afrique, les vaccins contraceptifs proposés sous couvert d’aide au développement suscitent des inquiétudes sur un agenda démographique plus vaste.
Corruption, pandémie orchestrée et soumission généralisée
L’OMS dépend à 80 % de financements privés. Cela fragilise son indépendance. La crise du COVID-19 a illustré une soumission aux donateurs : alerte tardive à Wuhan, alignement sur la communication chinoise, promotion d’un narratif unique et répressif.
Les gouvernements ont imposé confinement, QR codes, propagande vaccinale, tandis que les traitements alternatifs étaient censurés. Le débat scientifique a été étouffé. L’OMS a permis une expérimentation à grande échelle de contrôle social sous prétexte sanitaire. La souveraineté a été suspendue, la liberté conditionnée.
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Le 15 mai 2025, Mickaël Lelièvre demandait à Nicolas Vidal et aux Français, si la démocratie existe encore… les réponses révèlent un pays au bord de la rupture, sur GPTV Investigation !
Une démocratie de façade
La démocratie française donne encore l’illusion d’un choix citoyen, mais dans les faits, ce pouvoir est confisqué par une élite technocratique. Les passants interrogés décrivent une mécanique bien huilée où les urnes servent à légitimer des décisions déjà prises en haut lieu. Les réformes impopulaires s’enchaînent malgré les protestations massives, les référendums sont contournés, les contre-pouvoirs sont affaiblis. Le constat est sans appel : la démocratie française ne repose plus sur la souveraineté populaire, mais sur une architecture institutionnelle verrouillée.
Ce que les citoyens appellent désormais une « démocratie déguisée », c’est un système où les apparences sont préservées mais où le fond a été vidé de sa substance. Les grands médias sont accusés de jouer le rôle de relais idéologique des puissants, limitant le débat public à des oppositions superficielles. Ce sentiment d’être trahi par les institutions alimente une colère sourde, une méfiance généralisée envers tout ce qui émane de l’autorité. Ce n’est plus un simple désintérêt pour la politique, c’est une rupture profonde avec un modèle obsolète.
Vers l’embrasement
Le spectre d’une tempête sociale n’est plus une fiction romanesque, mais une réalité évoquée par de nombreux témoignages. Inspirés par « La Tempête qui vient » de Nicolas Vidal, les citoyens décrivent une France sur le fil, prête à basculer. Certains parlent de manifestations massives, d’autres évoquent une révolte plus brutale, un scénario de rupture. Ce ne sont pas des élucubrations : c’est le fruit d’un climat délétère où le dialogue entre gouvernants et gouvernés est rompu.
Les tensions sociales se cristallisent autour d’un sentiment d’injustice économique, d’impunité politique et d’absence d’écoute. Plusieurs passants l’ont dit clairement : si rien ne change, le pays risque l’explosion. La colère n’est plus localisée ou marginale, elle est diffuse, transversale, présente dans toutes les classes sociales. Et cette colère n’est plus contenue. Elle attend une étincelle.
Une France à bout, mais lucide
Fatigue, résignation, peur. Le triptyque revient avec force dans les réponses récoltées. Une France qui n’a plus foi dans ses institutions, mais qui continue à espérer un sursaut. Les témoignages montrent une population exténuée par les crises successives, désabusée par la politique, et inquiète pour l’avenir de ses enfants. Derrière la lassitude, il y a pourtant un fond de lucidité : les citoyens ne sont pas dupes. Ils savent ce qui se joue, ils sentent la manipulation, ils dénoncent l’hypocrisie.
Ce qui émerge, c’est aussi une demande de réveil collectif. Certains appellent à une révolution des consciences, à une réappropriation du politique par la base. Pas nécessairement dans la violence, mais dans l’affirmation d’un autre modèle. Plus direct, plus humain, plus ancré dans la réalité. Si un message traverse ces voix diverses, c’est celui-ci : il est temps d’arrêter de subir. L’histoire ne se subit pas, elle s’écrit.
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Episodes manquant?
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Le 15 mai 2025, Mike Borowski dévoilait les vérités interdites du procès en appel de Natacha Rey, entre révélations sur Brigitte Macron, pressions judiciaires et machine politico-médiatique, sur GPTV!
Un procès en appel sous haute tension
Le procès en appel de Natacha Rey et Delphine Jégousse, jugées pour avoir diffusé une « rumeur » sur l’identité de Brigitte Macron, s’est tenu les 14 et 15 mai 2025. Les deux militantes avaient soutenu en 2021 que Brigitte serait Jean-Michel Trogneux, son frère.
Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux ne se sont pas présentés, représentés par Me Jean Ennochi. Natacha Rey était absente pour raisons médicales, Delphine Jégousse brièvement aperçue. Me François Dangléhant a dénoncé un faux en écriture publique et annoncé vouloir citer des témoins clefs.
Une défense acharnée face à des accusations graves
Rey et Jégousse avaient été condamnées à une amende de 500 € avec sursis, plus 13 000 € de dommages. En appel, elles risquent jusqu’à un an de prison et 45 000 € d’amende pour diffamation à caractère discriminatoire.
L’accusation évoque une attaque transphobe. Me Ennochi parle d’une stratégie politique visant à déstabiliser le président. Me Dangléhant affirme que la vidéo de 2021 n’apporte aucune preuve directe, et dénonce une répression judiciaire d’enquêteurs indépendants.
Une affaire à portée internationale et symbolique
L’affaire dépasse la France. Aux États-Unis, la commentatrice Candace Owens a relayé la rumeur, amplifiant sa portée mondiale. Les réseaux sociaux ont massivement soutenu Rey, perçue comme une lanceuse d’alerte.
Emmanuel Macron a dénoncé une « fake news ignoble ». Ce procès vise aussi à défendre l’image présidentielle. Mais pour la défense, c’est une attaque contre la liberté d’expression. Le verdict attendu pourrait créer un précédent sur les limites du débat public et la régulation des contenus alternatifs.
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Le 15 mai 2025, Oskar Freysinger et Xavier Moreau étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Raphaël Besliu !
Sylvain Ferreira et Claude Janvier étaient également présents pour rendre hommage au général Dominique Delawarde, qui nous a quittés le 11 mai dernier.
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ex-vice-président de l’UDC, ancien parlementaire et Secrétaire d’État. Il se consacre aujourd’hui à l’écriture, la traduction et au commentaire politique.
Xavier Moreau est un analyste géopolitique français, ancien parachutiste, diplômé en relations internationales (Sorbonne). Résidant en Russie, il dirige LinkIT Vostok et le centre Stratpol. Auteur de Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français, auteur de L’État Profond Français, critique des structures de pouvoir étatiques et transnationales.
Zelensky face à l’ultimatum de la défaiteEn se rendant à Istanbul, Zelensky implore une trêve, conscient que le rapport de force a définitivement basculé. L’absence de Poutine montre que Moscou n’a aucun intérêt à négocier. L’Occident tente de sauver la face à travers des menaces sans portée réelle, pendant que la Russie avance, sûre d’elle.
Le sommet de Kiev, au lieu d’afficher l’unité européenne, a révélé la fracture : les peuples décrochent, les arsenaux sont vides, et le mythe d’une guerre « juste » se délite. Zelensky, seul, sait que le rêve d’une Ukraine intacte s’effondre.
Le narratif occidental au bord de la rupture
L’Europe reste figée dans l’illusion. Tandis que les plans de paix se multiplient, le front ukrainien s’effondre. Les aides deviennent symboliques, et la démographie ukrainienne ne suit plus. Toute paix serait une capitulation maquillée.
Les États-Unis, eux, ont obtenu l’essentiel : contrats sur les ressources ukrainiennes, tests d’armement, renforcement de leur mainmise sur l’Europe. Désormais, ce sont les Européens qui doivent gérer les retombées de cette stratégie de proxy war.
Une paix impossible à digérer pour l’Europe
Un cessez-le-feu à Istanbul serait vécu comme un échec total par les élites européennes. L’UE, transformée en machine de guerre bureaucratique, perdrait tout prétexte à ses politiques coercitives. Réquisitions, impôts d’exception, économies militarisées : tout cela deviendrait injustifiable.
Ce serait aussi une humiliation stratégique : Moscou aurait imposé sa vision. L’Europe ne combat plus pour Kiev, mais pour sauver l’illusion de sa souveraineté. Poutine, en venant, dicterait ses conditions. Et l’UE, désarmée, n’aurait plus qu’à les accepter.
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Le 14 mai à 19h, Alain Escada et le Docteur Typhaine Pinsolle étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Alain Escada est un militant et essayiste belge connu pour ses positions traditionalistes et ses critiques acerbes contre la mondialisation et les élites. Président de Civitas, un mouvement catholique traditionaliste, Alain Escada s’illustre par son engagement contre le sécularisme, le mondialisme, et la laïcité.
Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.
Un pape aligné sur le programme de Davos
Le pape Léon XIV s’aligne clairement sur l’agenda du Forum économique mondial : climat, inclusion numérique, justice sociale. Son langage épouse celui de Davos. Il agit en voix morale d’un ordre mondial post-national, non en guide spirituel catholique.
Ses principaux conseillers sont liés aux réseaux du WEF. Sous couvert de fraternité universelle, le pape neutralise les fondements doctrinaux catholiques pour légitimer un projet globaliste. L’Église devient un rouage idéologique de la gouvernance mondiale.
Franc-maçonnerie et Ordre de Malte : une recomposition des alliances
Le pape a décoré des personnalités proches des loges maçonniques avec la grande croix de l’ordre de Malte. Ce geste n’est pas anodin : l’ordre, autrefois bastion souverainiste, se transforme en levier diplomatique au service d’un pouvoir hybride, mêlant Église et réseaux maçonniques.
Nominations suspectes, silences étranges, discours ambigus : les loges progressistes gagnent du terrain à Rome. Le pape ne résiste pas à cette infiltration ; il l’accompagne. La modernité devient la nouvelle doctrine, sacralisée au nom du dialogue et de l’ouverture.
Sionisme politique et trahison du magistère
Le tropisme sioniste du nouveau pape est manifeste : bienveillance envers Israël, proximité avec ses options les plus dures. Sous prétexte de dialogue interreligieux, Jérusalem devient le centre moral d’un nouvel ordre spirituel, piloté diplomatiquement par l’État hébreu.
Cette orientation s’inscrit dans la dynamique ouverte par Vatican II. La reconnaissance des racines juives du christianisme devient justification d’un renversement : abandon de l’évangélisation, relativisation du salut chrétien, et réhabilitation absolue du judaïsme.
Le pape pousse cette logique à l’extrême : l’Église n’est plus gardienne de la Vérité, mais médiatrice d’un syncrétisme religieux mondial. Le catholicisme cède sa place à une plateforme d’unité religieuse, sous influence politique.
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Le 14 mai 2025, Mike Borowski revenait sur un sujet brûlant d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
Procès P. Diddy : la justice sous influence
Le procès de Sean « Diddy » Combs ne se limite pas à des accusations sordides. Il révèle les failles d’une justice confrontée à une célébrité tentaculaire. Le 5 mai 2025, les charges tombent : trafic sexuel, extorsion, proxénétisme, intimidation. Vingt ans d’abus émergent enfin au grand jour.
À huis clos mais sous surveillance médiatique, le procès expose un empire bâti sur l’exploitation. Combs, incarcéré depuis septembre 2024, reste mutique. La défense dénonce une cabale raciste. L’accusation, elle, dresse un système organisé : drogues, orgies, vidéos non consenties, violences. Une séquence de 2016 où il frappe Cassie Ventura devient centrale. Le message est clair : Diddy dirigeait un réseau.
La disparition d’un témoin clé : une manœuvre invisible
Le choc majeur se joue hors du tribunal : la « victime n°3 », témoin clé, disparaît. Son avocat est injoignable, sa famille inquiète. Elle devait témoigner à visage découvert, portant les accusations les plus lourdes. Son absence affaiblit l’accusation.
Difficile de ne pas penser à Epstein, Maxwell, ou d’autres témoins disparus. L’écho est glaçant. Cette disparition n’est pas anecdotique. C’est une alerte. Le procès devient un test pour la justice fédérale : peut-elle encore protéger celles qui osent parler ?
Le spectre de l’État profond
Quand un témoin central s’évapore au moment crucial, le hasard n’est plus crédible. Une telle disparition nécessite des relais, des complicités. Le système judiciaire affronte une machine plus forte qu’un seul accusé : un réseau mêlant divertissement, finance et politique.
L’État profond opère dans l’ombre : intimidation, corruption, disparition. Ce procès est plus qu’un scandale judiciaire. Il devient le théâtre d’un affrontement entre vérité et protection du pouvoir. Si la victime n°3 ne reparaît pas, le procès est faussé.
Le parallèle avec Epstein n’est plus une spéculation. Il devient un scénario. Même stratégie, même silence, même mécanique. La seule question est désormais : jusqu’où ira ce système pour enterrer une vérité devenue trop visible ?
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Le 14 mai 2025, Finn Andreen et François Asselineau étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
François Asselineau est un haut fonctionnaire et homme politique français, président de l’Union populaire républicaine (UPR) depuis sa création en 2007. Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené une carrière de haut fonctionnaire dans différents cabinets ministériels sous les gouvernements de droite des années 1990. En politique, il est connu pour sa défense de la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.
Macron en quête de survie politique
L’entretien télévisé sur TF1 était une tentative de sauvetage d’image. Emmanuel Macron, en chute libre dans les sondages, a voulu se montrer proche, à l’écoute, mais le format a trahi son isolement. Il n’échange pas : il monologue. Il ne convainc plus.
Le ton feintement empathique, les regards appuyés, les phrases lissées : tout était calculé. Ce vernis émotionnel visait à reconstruire une image brisée. Mais cette mise en scène n’opère plus. Le président ne parle plus au peuple, il joue un rôle.
Un bilan politique impossible à dissimuler
Huit années de pouvoir ne s’effacent pas avec un plateau de télévision. Malgré les chiffres choisis et les formules rassurantes, le bilan est là : austérité, désindustrialisation, services publics en ruine, autoritarisme croissant. Le pays est à bout.
Macron promettait un renouveau républicain. Il a livré un affaiblissement systémique. Sa parole, perçue comme manipulation, a perdu toute valeur. Il ne gouverne plus, il gère un chaos qu’il a lui-même amplifié.
Impopularité record : la fin de règne s’accélère
Ce face-à-face avec des figures médiatiques devait relancer son mandat. Il n’a fait que confirmer sa chute. Macron n’incarne plus rien. Il est perçu comme gestionnaire fatigué, en décalage avec la réalité sociale.
François Asselineau résume la situation : en s’accrochant, Macron creuse les fractures nationales. Chaque jour de plus à l’Élysée fragilise davantage la France. L’heure n’est plus au débat, mais à une forme de résistance démocratique. Il faut reprendre le contrôle du destin national.
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Le 13 mai 2025, Pierre Jovanovic et le Dr Typhaine Pinsolle étaient les invités de Mike Borowski, pour La Grande Émission sur GPTV !
Pierre Jovanovic est un journaliste économique, éditeur et éditorialiste français, auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime sa chaîne Youtube Pierre Jovanovic – La revue de presse et vient également de publier 888 : « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ». Grand défenseur de l’or et l’argent métal comme valeur refuge, il nous aidera à y voir plus clair dans ce sombre avenir économique qui nous tend les bras.
Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.
Coup de force contre un écrivain
L’assaut du GIPN chez Pierre Jovanovic, accompagné de la BAC et d’agents préfectoraux, révèle une stratégie d’intimidation assumée. L’opération s’est déroulée de nuit, avec une force excessive pour viser un auteur connu pour ses critiques contre le système financier. L’objectif était clair : neutraliser une voix dérangeante à l’approche de la sortie de son nouveau livre.
Jovanovic a dénoncé une action digne d’un régime autoritaire. Il a rappelé que même sous l’Occupation, aucune maison d’édition n’avait été ainsi visée. Cette descente spectaculaire transforme la force publique en outil de répression idéologique. Le pouvoir cherche désormais à briser physiquement ses opposants intellectuels.
« 2008 », cible directe du pouvoir
Son livre « 2008 », prêt à paraître, expose les manipulations économiques depuis la crise financière. Ce texte démonte les mensonges d’État et nomme les responsables, ce qui en fait une menace réelle pour les élites. L’intervention visait avant tout à empêcher la diffusion de cette vérité dérangeante.
Jovanovic a bâti une crédibilité sur ses enquêtes solides. « 2008 » promettait de lever le voile sur la collusion entre banques et gouvernements. Le pouvoir a paniqué. En cherchant à étouffer le livre, il en a confirmé l’importance. Chaque tentative de censure en accroît la portée.
Offensive contre l’édition indépendante
Le Jardin des Livres, maison d’édition fondée par Jovanovic, subit une attaque frontale. Cette opération policière n’est pas un fait isolé : c’est un avertissement général à tous ceux qui publient hors des cadres autorisés. Le message est limpide : s’opposer au discours officiel vous expose.
Les réactions ont été immédiates : avocats, journalistes et lecteurs dénoncent une dérive autoritaire. L’affaire Jovanovic symbolise la guerre menée contre la liberté d’expression éditoriale. En frappant fort, l’État montre qu’il redoute plus que jamais ceux qui écrivent ce qu’il ne veut pas entendre.
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Le 13 mai 2025, Mike Borowski exposait la vérité crue de la colline du crack : drogue, insécurité, migrants et tiers-mondisation, dans un micro-trottoir exclusif que Paris voudrait enterrer.
Paris Nord dévasté malgré les milliards
Trois ans après un premier reportage, la colline du crack s’est encore enfoncée dans la misère. Les milliards des JO n’ont rien changé. Derrière les façades rénovées, règnent insécurité, drogue, exclusion. Les autorités ont préféré repeindre que soigner.
Les pelleteuses pour les JO ont masqué les campements de toxicomanes. Les habitants, oubliés, vivent dans la peur. La police ne fait plus que passer. À quelques mètres des sites olympiques, l’effondrement social est total. Le projet de modernisation a échoué.
Les voix interdites de la misère
Des toxicomanes témoignent à visage découvert. Ils racontent l’enfer : injections en public, overdoses, violences. À Paris, capitale du tourisme, une guerre sociale fait rage. Ces mots révèlent une inhumanité profonde, une ville qui préfère cacher que soigner.
Les commerçants aussi parlent. Vols, menaces, agressions : leur quotidien est devenu invivable. Certains partent, d’autres résistent. Tous disent la même chose : Paris est livrée à l’anarchie. L’État gère le chaos, sans volonté réelle de rétablir l’ordre.
La tiers-mondisation n’est plus une menace : elle est installée. Ce n’est pas un échec, mais un changement de civilisation. Le langage technocratique n’y change rien. Ici, la République a décroché.
Paris, entre cartels et chaos
Le nord de Paris fonctionne comme une zone de non-droit. Les points de deal sont régulés, hiérarchisés. Le crack est partout. Il n’est plus marginal : il est intégré. La consommation se banalise, même chez les mineurs. L’habitude a remplacé le scandale.
La police agit peu. Parfois pour la caméra, sans impact durable. Le trafic est organisé, constant. Pendant que les JO brillent, des hommes meurent à quelques mètres. La France montre deux visages : celui de la fête, et celui de l’abandon.
Un reportage sans filtre face à l’hypocrisie
Ce reportage, mené sans protection, répond à l’omerta médiatique. Là où même CNEWS vient escortée, Mike Borowski filme seul, au contact. Ce n’est pas qu’un acte journalistique : c’est un choix politique. Montrer ce que l’État cache, redonner voix aux oubliés.
Le nord de Paris est une zone sinistrée. Cette vérité ne pourra plus être dissimulée. Le vernis craque. Et sous la surface, la République vacille.
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Le 13 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Cyril Hanouna, sous couvert de populisme, orchestre en coulisses avec l'agence Chapchak, une opération de communication politique au service du système macroniste.
Hanouna entre dans la politique par la porte de derrière
Cyril Hanouna ne se contente plus d’animer TPMP. Avec Chapchak, il lance une agence de communication politique. Son associée, Aline Poulain-Guerza, fut chef de cabinet de Blanquer et communicante pour plusieurs ministres. Karl Astié, ex-attaché parlementaire, complète ce trio aligné sur le macronisme.
Chapchak n’est pas une aventure spontanée, mais une extension stratégique. Derrière le discours du « lien citoyens-politiques », Hanouna construit un pont discret vers les élites. Il transforme sa popularité télévisuelle en influence politique, sans passer par les urnes.
Une double vie médiatique et idéologique
À l’écran, Hanouna se pose en défenseur du peuple. Il dénonce élites, politiques et journalistes. Mais cette posture cache une stratégie. Son lien avec Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron, révèle un ancrage au cœur du pouvoir.
Cette duplicité est volontaire. Il joue le justicier pour rester proche de son public tout en vendant ses services au système qu’il prétend combattre. Son image de rebelle sert de vitrine à un business politique très institutionnel.
La machine à recycler le pouvoir
Chapchak ne vise pas à faire émerger de nouvelles forces antisystème. Elle remaquille les figures affaiblies du pouvoir pour les reconnecter à la base. L’image remplace le fond, l’effet prime sur le sens. Hanouna devient le chaînon manquant entre politiques usés et électeurs désabusés.
Il ne remet rien en cause, il restaure. Son agence sert à prolonger la vie du système sous une nouvelle façade. Ce mécanisme de recyclage fonctionne précisément grâce à son ambivalence : amuseur à l’écran, stratège en coulisses.
Le faux outsider devenu garant du système
La figure d’Hanouna comme outsider est désormais obsolète. Il agit comme garant d’un ordre qu’il feint de défier. Grâce à sa légitimité populaire, il vend aux puissants des stratégies d’image redoutablement efficaces.
Il n’anime plus le débat : il l’oriente. Chapchak est sa plateforme, TPMP sa vitrine. Ensemble, elles forment un outil d’influence pour un pouvoir qui cherche à durer sans se transformer. Derrière les rires, c’est la continuité qui s’organise.
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Le 13 mai 2025, Sylvain Ferreira était l'invité de La Matinale de GPTV, animée par Raphaël Besliu !
François Asselineau ancien haut fonctionnaire et homme politique français est président de l’Union Populaire Républicaine (UPR) depuis 2007.
Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené sa carrière dans différents cabinets ministériels de droite durant les années 1990. Il défend la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Poutine fixe les règles du jeu
En proposant des négociations directes à Zelensky, Poutine prend l’initiative politique. Il contourne les médiateurs occidentaux et impose ses termes. L’Ukraine est piégée : accepter revient à entériner sa perte d’autonomie ; refuser, à se couper du dialogue international.
Le choix d’Istanbul comme lieu de rencontre renforce la Turquie comme médiateur clé. La Russie impose le rythme sans victoire spectaculaire, forte de sa stabilité militaire et de ses soutiens internationaux. Le sommet annoncé s’annonce comme une validation de son rapport de force.
L’Europe décrédibilisée par son aventurisme
Le sommet européen de Kiev a exposé la faiblesse stratégique de l’UE. En exigeant un cessez-le-feu unilatéral, elle s’est exclue des négociations. Moscou ne dialogue qu’avec ceux qui comptent : Kiev, Washington, Ankara. Bruxelles est hors-jeu.
L’idée d’une “Europe de la paix” se heurte à une militarisation incohérente. Les États européens augmentent leurs budgets militaires, mais restent sous dépendance de l’OTAN. Sans doctrine propre, ils n’ont ni poids ni voix. Même les États-Unis semblent prêts à laisser Moscou fixer les conditions.
L’émergence d’un axe russo-turc, potentiellement validé par Trump, enterre définitivement les ambitions diplomatiques européennes. L’UE commente, mais ne décide plus.
La victoire politique de Moscou se confirme
Malgré les récits occidentaux de déclin russe, c’est bien Moscou qui propose aujourd’hui une paix selon ses conditions. L’objectif n’est pas l’armistice, mais la reconnaissance de sa victoire stratégique. La guerre militaire continue, mais politiquement, elle est presque soldée.
La possible implication de Donald Trump comme médiateur renforce cette dynamique. Elle affaiblit Biden, repositionne les États-Unis comme interlocuteurs directs et crédibilise la ligne russe. Pour le Kremlin, c’est la situation parfaite : valider ses acquis sans concessions.
Selon Sylvain Ferreira, la Russie a imposé une réalité diplomatique durable. L’Ukraine, affaiblie, n’a plus le choix. L’Occident doit reconnaître une victoire fondée non sur le bluff, mais sur une stratégie maîtrisée et une lecture lucide des rapports de force.
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Le 12 mai 2025, Sylvain Studer et Frigide Barjot étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Sylvain Studer est un auteur et conférencier qui se concentre sur des sujets théologico-politiques. Professeur de français et d’hébreu, il a passé trois ans en Israël pour approfondir ses connaissances bibliques. Il est l’auteur de l’ouvrage « Christ sioniste » et plus récemment de « Notre-Dame de l’antéchrist »
Frigide Barjot est une humoriste, chroniqueuse et militante française. Elle a été l’une des porte-paroles de la Manif pour tous, opposée au « mariage » des couples de même sexe – qu’elle veut remplacer par une union homosexuelle spécifique – et au changement de filiation en résultant. Elle a ensuite fondé l’association L’Avenir pour tous, qui défend la « filiation biologique » et la « reproduction humaine ».
Notre-Dame, théâtre d’un renversement spirituel
Le discours d’Emmanuel Macron à Notre-Dame incarne une rupture avec le sacré. En utilisant ce lieu comme décor politique, le président opère une récupération symbolique. La réouverture de la cathédrale, loin d’une messe solennelle, devient un show patrimonial.Ce geste marque une désacralisation. Le message chrétien est gommé au profit d’un récit technocratique, humaniste et universaliste. L’édifice est transformé en objet culturel neutre, vidé de sa substance spirituelle. Une opération de blanchiment symbolique remplace la foi par le spectacle.
L’Antéchrist, figure infiltrée dans le décor rénové
Des éléments introduits dans la rénovation inquiètent. Le nouveau reliquaire, orné de motifs géométriques, évoque l’esthétique maçonnique. Œil omnivoyant, spirales, symboles initiatiques : ces signes signaleraient un glissement vers l’ésotérisme.
Les tenues liturgiques stylisées, enrichies de dorures, rappellent davantage des rituels maçonniques que la tradition chrétienne. La liturgie devient spectacle. L’Antéchrist ne viendrait plus de l’extérieur, mais s’infiltrerait par le cœur même du sanctuaire.
Sylvain Studer et la lecture apocalyptique contemporaine
Pour Sylvain Studer, ces signes s’inscrivent dans une lecture prophétique. Notre-Dame, autrefois phare du catholicisme, serait devenue un temple inversé. Le refus du pape François d’assister à la réouverture serait une marque de désaccord, voire de résistance.
La cathédrale devient le théâtre d’un renversement spirituel. L’Antéchrist ne se manifeste pas toujours physiquement, mais à travers des gestes, des choix architecturaux et des liturgies perverties. Lieu de culte devenu instrument d’un récit inversé, Notre-Dame serait désormais un sanctuaire vidé du Christ.
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Le 12 mai 2025, Mike Borowski vous attendait nombreux pour un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
Opération Storm 15-16 : le récit officiel autour de Brigitte Macron s’effondre
France Info relance l’alerte à trois jours du procès en appel de Natacha Rey et Amandine Roy. La chaîne publique évoque une prétendue opération russe baptisée « Storm 15-16 » visant à salir Brigitte Macron via l’IA. Le timing est révélateur : verrouiller le débat au moment clé.
Toute critique est aussitôt réduite à une manœuvre étrangère. Les enquêtes de Xavier Poussard, les propos de Candace Owens, les travaux de Rey sont amalgamés sans nuance. Un seul mot suffit : « opération russe ». Pas de réponse sur le fond, juste une disqualification globale. La manœuvre est claire : étouffer toute voix discordante.
L’appareil médiatique en mode défense
France Télévisions sort un reportage discret. Il évoque une vidéo IA accusant Brigitte Macron d’abus sexuels sur Lionel Torres, qui a démenti. Ce contenu serait l’arme principale d’une campagne hostile entre novembre 2024 et mars 2025. En creux, un message : la Première Dame serait une victime d’un complot de Moscou.
Mais rien n’étaye ces liens. Aucune preuve, aucun élément concret. L’accusation repose sur des hypothèses. On transforme le débat en affaire de sécurité nationale. La critique devient un risque pour la souveraineté. Les médias publics agissent alors non comme informateurs, mais comme boucliers politiques.
Le fond du sujet disparaît derrière l’accusation. Ce n’est pas l’IA qui tue le débat, c’est la manière dont elle est utilisée pour discréditer toute question. Ce climat n’a plus rien de démocratique.
Candace Owens, voix interdite
Candace Owens incarne la dissidence étrangère. Commentatrice pro-Trump, elle évoque l’affaire dans ses podcasts et préface le livre de Poussard. Immédiatement, elle devient suspecte. Pas pour ses faits, mais pour son existence hors du contrôle médiatique français.
Les accusations pleuvent : propagande russe, désinformation, collusion. Pourtant, aucun lien n’est établi. On ne réfute pas ses propos, on les délégitime par association. Toute investigation devient trahison. Toute parole critique, complicité étrangère.
Owens n’est ni folle ni manipulée. Elle appartient à un journalisme frontal, direct, qui attaque les puissants. En France, ce journalisme est remplacé par des procès, du soupçon et du silence imposé.
La cible n’est plus la vérité. C’est le pouvoir qu’on protège.
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Le 12 mai 2025, Claude Janvier, François Martin et Laurent Michelon étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste, est l’auteur de plusieurs ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s'intitule L’État Profond Français.
François Martin, géopolitologue, journaliste et essayiste, diplômé de l’ESSEC et auditeur de l’IHEDN a 40 ans d’expérience dans le commerce international et analyse les dynamiques internationales avec une expertise issue du terrain.
Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin. Il est établi dans la région depuis plus de 20 ans, où il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre Comprendre la relation Chine-Occident.
Poutine renverse la table diplomatique
Alors que l’Europe affiche son soutien à Kiev, Poutine surprend en appelant à des négociations sans conditions. Cette initiative cherche à court-circuiter les médiations occidentales et à briser l’unité euro-atlantique. Loin d’un recul, c’est une offensive politique.En convoquant Istanbul comme lieu de dialogue, Moscou marginalise l’UE et force Zelensky à choisir : négocier et perdre son image de victime, ou refuser et paraître intransigeant. Poutine joue sur les fractures du camp occidental pour se repositionner en acteur central.
L’Ukraine face à un dilemme stratégique
Zelensky subit les tensions entre les exigences de ses alliés et l’enlisement militaire. L’Allemagne hésite, la France s’autonomise, Washington se désintéresse. L’appel de Moscou met Kiev sous pression : chaque jour sans paix affaiblit son image et sa position.
Le président ukrainien pourrait être contraint de négocier pour sauver son pouvoir, au détriment de ses objectifs territoriaux. Le risque : redevenir un simple tampon géopolitique. La paix offerte par Moscou est moins une solution qu’une reddition maquillée.
Vers un divorce américano-israélien ?
Une fracture émerge entre Washington et Tel Aviv. Trump et Netanyahou se distancient. La Maison Blanche envisage une reconnaissance de l’État palestinien sans le Hamas. C’est un changement profond dans la doctrine américaine.
Face à l’impasse militaire à Gaza, les États-Unis veulent relancer une logique de partition. Israël, isolé, ne peut plus compter sur un soutien inconditionnel. L’Amérique cherche à reprendre la main sur le processus en imposant un nouvel équilibre régional.
Une recomposition mondiale en marche
Ukraine et Proche-Orient révèlent une reconfiguration globale. La Russie s’affirme, la Turquie manœuvre, les États-Unis revoient leurs alliances, l’Europe doute. Le droit cède face aux rapports de force. L’ordre mondial devient fluide et brutal.
Les sommets ne sont plus des lieux de paix mais des scènes de rivalités. La guerre change de forme : moins visible, plus stratégique. Ceux qui s’en tiennent aux anciens codes risquent d’être relégués à la périphérie du nouvel échiquier mondial.
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Le 11 mai 2025, Sophie Lefeez était l’invitée de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !
Sophie Lefeez est une chercheuse en sociologie des techniques, spécialisée dans les questions de défense et d’armement. Docteure de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, elle a travaillé plus de dix ans dans le secteur de la défense, notamment chez Airbus et à la Fondation pour la recherche stratégique. Aujourd’hui chercheuse associée à l’IRIS, elle est l’auteure de L’illusion technologique dans la pensée militaire (2017), où elle analyse la fascination des armées pour la technologie et ses conséquences stratégiques.
Une foi technicienne déconnectée du réel
La course à l’innovation militaire repose sur une croyance : la supériorité technique garantirait la victoire. Or, l’histoire montre l’inverse. Vietnam, Irak, Afghanistan : la technologie ne gagne pas les guerres. L’adversaire choisit souvent d’autres terrains, asymétriques.
L’hypertechnologisation alourdit la logistique, creuse les déficits et réduit l’autonomie. Le matériel dernier cri, censé assurer sécurité et précision, devient handicap dans des conflits imprévisibles. L’équipement sophistiqué échoue à neutraliser des menaces rustiques. Résultat : une puissance militaire paralysée par sa propre complexité.
Le mirage de l’interopérabilité et de la moralisation guerrière
L’interopérabilité avec les alliés, notamment les États-Unis, impose un mimétisme stratégique qui sacrifie l’autonomie nationale. La France adapte ses systèmes aux standards d’une coalition technologique, au détriment de ses intérêts propres. Ce suivisme alimente une spirale inflationniste ruineuse.
Cette obsession high-tech s’alimente aussi d’exigences sociétales : éviter les pertes, rassurer l’opinion. La guerre moderne se veut propre, légale, chirurgicale. Mais cette précision a un coût énorme et déshumanise le combat. L’ennemi, lui, cible l’image publique, le talon d’Achille occidental. La guerre devient communicationnelle, et le haut niveau technologique une vulnérabilité.
Vers une puissance fondée sur l’humain et l’intelligence stratégique
La guerre à haute technicité étouffe l’adaptation. L’efficacité ne vient pas de l’équipement, mais de la capacité à improviser. L’armée occidentale, sur-planifiée, perd cette agilité. Le poids des normes et de la procédure empêche la réactivité. Face à des adversaires imprévisibles, cela devient un handicap.
Il faut revenir à une armée rustique, mobile, intelligente. Inspirée de l’aïkido : ruse, efficacité, économie de moyens. Le matériel doit être simple, modifiable, adapté au terrain. La France doit sortir du mythe de l’innovation perpétuelle. Réarmer l’humain, c’est retrouver une puissance moins vulnérable, plus ajustée aux conflits du présent.
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Le 11 mai 2025, pour GPTV Investigation, Mickaël demandait aux Français si c’était vraiment mieux avant… et leurs réponses sur l’insécurité, la perte de respect et la déshumanisation d’une société trop connectée laissent un étrange goût de vérité.
L’insécurité a redessiné les comportements
Ceux qui regrettent « le temps d’avant » invoquent d’abord un sentiment : la sécurité a reculé. Autrefois, on laissait les portes ouvertes, les enfants jouaient dehors. Aujourd’hui, la peur s’installe. Une passante n’ose plus sortir après 20h, autrefois elle ne s’en souciait pas.
Les gestes changent : surveiller, éviter, se méfier. Même sans agressions, le sentiment d’insécurité modifie la liberté de mouvement. Ce n’est pas une invention médiatique : c’est une réalité vécue.
Autrefois, les quartiers étaient apaisés, les voisins solidaires. Aujourd’hui, les regards fuient. Le lien social se délite. Ce n’est pas une question de chiffres, mais de ressenti. La sécurité reposait sur la confiance, pas sur les caméras.
Beaucoup dénoncent aussi l’impunité. L’incivilité devient norme. Les règles ne sont plus respectées, les sanctions floues. Le passé est perçu comme un cadre clair, juste. L’insécurité est devenue une ambiance, un climat lourd.
Des liens humains brisés par le progrès
Un autre constat revient : les relations humaines se sont effondrées. Ce n’est pas de la nostalgie, mais une observation. On se parlait, on s’entraidait. Aujourd’hui, chacun est dans sa bulle. L’individualisme a remplacé la communauté.
Le respect a disparu. Les mots sont plus durs, les attitudes plus égoïstes. Autrefois, l’éducation structurait les rapports. Aujourd’hui, le lien intergénérationnel s’effrite. L’autorité des adultes s’est évaporée.
La technologie aggrave l’isolement. Les écrans omniprésents coupent les gens du réel. On parle à son téléphone plus qu’à son voisin. L’interaction devient virtuelle, brève, impersonnelle.
Cette déshumanisation crée solitude, indifférence et mépris. Ce n’est pas un détail : c’est un changement de civilisation. Ce que beaucoup regrettent, c’est l’existence partagée, les gestes simples qui donnaient du sens.
Le choc d’une modernité sans boussole
Le monde change trop vite. Traditions, rythmes de vie, valeurs sont balayés. Ce n’est pas le progrès qui est rejeté, mais sa brutalité, son absence de transition.
Les enfants vivent dans un monde saturé d’objets. Un passant remarque : un ballon suffisait avant. Aujourd’hui, il faut des écrans. On accumule sans savourer, on innove sans comprendre.
Les anciens dénoncent une société qui sacrifie l’essentiel. Le smartphone devient barrière, le lien se perd. On parle moins, on ressent moins. La technologie coupe au lieu de relier.
Le rythme est intenable. Ceux qui ne suivent pas sont exclus. Les vulnérables décrochent. Ils ne demandent pas de revenir en arrière, mais de ralentir, de retrouver du sens.
Ce qu’ils veulent, c’est un équilibre. Le passé offrait des repères. Aujourd’hui, tout est flou. Ce n’est pas une critique rétrograde, mais un signal d’alarme : sans direction, la société se défait.
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Le 11 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Macron, sous couvert de paix, orchestre une stratégie de guerre par procuration, en sabotant tout plan de paix et en instrumentalisant l’Ukraine pour servir l’agenda occidental, sur GPTV !
Macron en stratège de guerre camouflé
Emmanuel Macron se présente comme faiseur de paix, mais ses actes relèvent d’une stratégie de confrontation. Le sommet sur l’Ukraine, prétendument diplomatique, vise surtout à affirmer l’alignement français sur l’OTAN et à renforcer l’aide militaire à Kiev. Le ton est offensif : il faut vaincre la Russie, non négocier.
La France franchit un cap : livraisons d’armes lourdes, présence de formateurs militaires. Macron sort du cadre humanitaire pour mener une guerre par procuration. Ce double discours masque une militarisation active de l’Europe sous rhétorique pacifique.
Macron cherche à se poser en leader continental. Mais son projet repose sur l’épuisement de la Russie, au mépris de la paix. L’Ukraine devient un terrain d’expérimentation pour une ambition impériale européenne.
Un tribunal pour condamner, pas pour juger
Le tribunal spécial voulu par Bruxelles et Paris vise à criminaliser la Russie dans son ensemble. Ce n’est pas un outil de justice, mais un instrument politique. Il n’examinera pas les faits : il validera une version occidentale du conflit.
Cette approche nie la complexité historique. Aucun mot sur l’élargissement de l’OTAN, les accords de Minsk, ou le rôle américain dans le Donbass. Le but : figer une mémoire unilatérale, construire une vérité judiciaire imposée.
Ce tribunal devient un levier idéologique. Appeler au dialogue avec Moscou expose à l’accusation de complicité. Le droit est subverti, transformé en arme contre la dissidence. L’Europe glisse vers une logique d’épuration politique.
Loin de pacifier, cette justice radicalise. Elle rend impossible tout compromis. En verrouillant l’avenir, elle enferme la guerre dans une impasse juridique.
Une guerre menée pour l’agenda occidental
Le sommet européen dirigé par Macron refuse toute initiative de paix hors bloc occidental. Chine, Brésil, Afrique : leurs propositions sont disqualifiées. L’objectif est clair : pas de paix, mais la victoire, par l’usure de Moscou.
Cette posture impose un modèle unipolaire, niant toute alternative. L’Ukraine devient le champ de bataille idéologique entre un ordre occidental figé et une multipolarité naissante.
L’Union européenne mène une guerre externalisée, sacrifiant l’Ukraine pour préserver son rôle stratégique. Les pertes humaines sont secondaires face aux intérêts géopolitiques.
Macron parie sur une opinion européenne docile, tant que la guerre reste lointaine. Derrière le discours humanitaire, il s’agit de souder l’Europe autour d’un ennemi commun et d’imposer une unité politique par le conflit.
L’internationalisation du conflit s’accélère. Alliances asiatiques, tensions maritimes, implication américaine : le risque d’escalade est réel. Macron ne prépare pas la paix, mais la généralisation du chaos.
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Le 10 mai 2025, Michel Fize, Patrick Pasin et Farid Dms Debah étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Michel Fize est sociologue et politologue, ancien chercheur au CNRS, connu pour ses travaux sur la jeunesse, l’adolescence et la famille. Il a été conseiller régional d’Île-de-France. Auteur prolifique, il a publié une quarantaine d’ouvrages, dont Un président anormal : essai sur la mégalothymia d’Emmanuel Macron, une analyse critique de la personnalité du président français.
Il revient ce soir sur son dernier ouvrage : Pour un nettoyage moral de la France.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Farid DMS Debah est un réalisateur, producteur et écrivain franco-algérien engagé, connu pour son combat acharné contre la pédocriminalité. Président de l’association Touche pas à mon enfant – Europe depuis 2016, il œuvre sans relâche pour la protection de l’enfance contre toutes les formes d’abus et d’exploitation sexuels.
En 2024, il initie la Grande Marche contre la Pédocriminalité, un parcours de 1 500 kilomètres à travers la France et la Belgique.
Militant de terrain, il a également été élu conseiller municipal au Kremlin-Bicêtre, et intervient régulièrement en tant que caméraman pour l’émission GPTV Investigation, aux côtés de Mike Borowski.
Une élite amorale, symptôme d’une société française en déclin
La France a perdu ses repères : solidarité, honneur, respect, transmission. L’interdit d’hier devient la norme d’aujourd’hui. Le bien commun est remplacé par la jouissance immédiate. Le politiquement correct a neutralisé le discernement. L’indignation est calibrée.
Cette évolution résulte d’un projet méthodique : déconstruction culturelle, affaiblissement de la famille, de l’école et de l’autorité. L’État n’est plus gardien, mais gestionnaire d’individualismes. La morale n’a pas disparu : elle a été inversée. Le vice devient vertu, la trahison progrès.
Une élite amorale et un peuple déboussolé
Le relâchement moral vient du sommet. Les élites ne donnent plus l’exemple. Politiques compromis, influenceurs mensongers : tous sont récompensés. Le système valide le cynisme. Le pouvoir devient opportunisme, sans convictions.
La défiance populaire est totale. Les citoyens ne croient plus en rien. Le pouvoir devient un théâtre absurde. À la place du dialogue : la violence. La société engendre des enfants sans limites, des adultes sans scrupules, des dirigeants sans conscience.
Comment la mondialisation accélère le déclin de la société française
La mondialisation impose un modèle unique : performance, immédiateté, relativisme. Elle dissout les communautés dans une culture sans identité. La France devient une somme d’individus isolés, chacun convaincu d’avoir raison seul contre tous.
Le pays glisse vers une dystopie : zones de non-droit, jeunesse sans transcendance, omniprésence technologique vide de sens. Ce n’est pas un cauchemar, mais notre présent. La France n’est plus un projet collectif. C’est un décor post-apocalyptique, où la morale s’efface et la barbarie prend place.
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Le 10 mai 2025, Mike Borowski vous proposait un direct sur un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
TF1 et la mise en scène médiatique d’une démocratie contrôlée
Mardi soir, TF1 consacre deux heures à Emmanuel Macron dans « Les Défis de la France ». Sous couvert de dialogue, c’est une opération de communication soigneusement encadrée. Le président s’exprime face à des personnalités triées : Sophie Binet, Agnès Verdier-Molinié, Salomé Saqué, Robert Ménard et Tibo InShape. Aucun opposant réel, aucune contradiction frontale.
Ménard, ex-soutien de Le Pen, est désormais pro-Macron. Tibo InShape a voté pour lui. TF1 affiche une diversité de façade, sans dissensus authentique. Le format est lisse : échanges chronométrés, sujets maîtrisés, rythme calibré. Macron évolue en terrain conquis, sans critique sérieuse.
TF1 devient vitrine présidentielle. L’émission n’est pas un débat, mais un spectacle. Le président s’expose sans risque, entouré de profils médiatiques qui confortent l’image d’un chef à l’écoute. La chaîne joue un rôle de relai gouvernemental, masqué sous un vernis journalistique.
Une démocratie mise en scène
Ce type de programme donne l’illusion d’une démocratie vivante. Mais en réalité, tout est verrouillé. Les colères populaires sont absentes, les voix dissidentes écartées. L’opinion est canalisée, les angles polémiques évités. Macron est présenté comme un homme lucide, ouvert, courageux, sans contradiction.
Les séquences ressemblent à des sketchs préparés. Le débat est simulé. Aucun mot sur la répression, les affaires, la brutalité policière, ou la crise démocratique. Le format empêche toute remise en question. L’exercice se réduit à un show politique parfaitement maîtrisé.
TF1 ne cherche pas à faire émerger un débat, mais à le scénariser. Les intervenants deviennent des accessoires de mise en scène. La télévision devient un outil de pouvoir, à grande échelle. L’image d’un président maître de lui et du pays est diffusée à des millions de téléspectateurs. L’effet est immédiat : la mise en scène fonctionne.
Emmanuel Macron, TF1 et la mécanique de la manipulation médiatique
L’émission illustre une mécanique bien rodée. Les médias dominants ne confrontent plus le pouvoir : ils le valorisent. TF1 offre une plateforme sans danger, dans un cadre balisé. Le pluralisme est une illusion. Ceux qui dérangent sont exclus. C’est une stratégie, pas un oubli.
Les grands médias jouent leur rôle dans l’architecture institutionnelle : canaliser le mécontentement, empêcher les ruptures, éviter les fractures. Ce que TF1 propose, ce n’est pas du journalisme, mais du marketing présidentiel. Un écran bienveillant pour un pouvoir en représentation.
Une démocratie réelle confronte le pouvoir. Elle ne le protège pas sous les projecteurs. Ce que refuse obstinément le système médiatique français.
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Le 9 mai 2025, Maître Philippe de Veulle, Patrick Pasin et Farid Dms Debah étaient les invités de Mike Borowski, sur GPTV !
Philippe de Veulle est un avocat au barreau de Paris, docteur en droit, diplômé du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) et de l’Université Paris Descartes. Il est spécialisé dans le droit et le contentieux des affaires, le droit international et le droit pénal financier.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Farid Dms Debah est un réalisateur, producteur et militant franco-algérien. Il s’est fait connaître par ses films engagés comme Le Bourreau des innocents et Maroc, l’innocence sacrifiée, dénonçant notamment la pédocriminalité. En parallèle, il milite activement pour les droits des enfants et a été conseiller municipal au Kremlin-Bicêtre. Il est également caméraman sur GPTV Investigation aux côtés de Mike Borowski.
Une parade militaire transformée en sommet géopolitique
Pour les 80 ans de la victoire soviétique, 29 chefs d’État sont présents à Moscou, dont Xi Jinping, Lula da Silva, Loukachenko, Maduro, Díaz-Canel, Sassou-Nguesso, Obiang, Abiy Ahmed et Ibrahim Traoré. Cette forte présence du Sud global illustre le recentrage stratégique de la Russie vers de nouveaux alliés en réponse à son isolement occidental.
La parade sur la place Rouge devient un sommet diplomatique. Moscou affiche une alliance multipolaire, tournée vers l’Asie, l’Afrique et l’Amérique latine, en rupture avec l’Occident. L’absence des dirigeants européens ou américains accentue cette fracture géopolitique et légitime, aux yeux de Moscou, son rôle alternatif sur la scène mondiale.
Xi Jinping, Lula et les BRICS : une coalition en marche
La participation de Xi Jinping et Lula da Silva renforce les BRICS. Xi, invité d’honneur, s’entretient avec Poutine sur l’énergie, le commerce et la stratégie. Pékin, principal soutien économique, compense l’effet des sanctions en augmentant ses achats de gaz et de pétrole russes.
Lula confirme la ligne diplomatique multilatérale du Brésil. Ensemble, les deux leaders renforcent la crédibilité des BRICS comme alternative aux structures dominées par l’Occident. Cette coopération met en évidence la montée d’un nouveau pôle de puissance.
Une démonstration de résilience face à l’isolement occidental
En l’absence de l’Occident, la Russie valorise ses alliances avec l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine. La venue de dirigeants comme ceux du Burkina Faso, de la Guinée équatoriale ou de l’Éthiopie prouve que Moscou conserve une influence internationale.
Le 9 mai devient un outil de soft power. Par la mémoire de la Seconde Guerre mondiale, Moscou cherche à projeter une image de stabilité historique et de puissance. Ce rassemblement diplomatique affirme sa résistance au récit occidental de l’isolement.
En définitive, la célébration dépasse le souvenir historique pour incarner une déclaration géopolitique affirmant une vision multipolaire du monde.
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