Episodes

  • Le 12 novembre 2024, Charles Poncet était l’invité de Raphaël Besliu et Nicolas Stoquer, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    Charles Poncet est un avocat suisse et docteur en droit. Ancien membre de l’UDC et député au Conseil national, il a défendu la famille Kadhafi et est reconnu pour ses prises de position en faveur de la liberté de la presse. Auteur de nombreuses publications juridiques et créateur de la série télévisée « Dossiers Justice », il est influencé par Voltaire et Montaigne, dont il partage l’esprit critique et le goût pour la liberté.

    Une menace croissante pour nos sociétés

    Le narcotrafic atteint des niveaux alarmants en Europe, en particulier en France, où il dépasse largement les enjeux de sécurité publique. Cette emprise représente une menace pour l’autorité de l’État, créant des zones de non-droit et mettant en péril la souveraineté nationale. Face à cette situation, des solutions concrètes sont nécessaires pour restaurer la sécurité.

    Le plan Retailleau propose des mesures ciblées pour contenir cette menace. Cette stratégie est cruciale pour contrer l’influence croissante des réseaux criminels. Le plan prévoit notamment un renforcement de la répression contre les trafiquants et la protection des zones sensibles pour éviter qu’elles ne deviennent des bastions criminels. Mais ce dispositif peut-il suffire face à des réseaux bien implantés et souvent mieux financés que les services publics ?

    Quand la haute finance alimente le narcotrafic

    Un aspect troublant de cette crise est la collusion entre la haute finance et le narcotrafic. Derrière les opérations de blanchiment, des élites financières profitent des ressources générées par le trafic de drogue. Ces capitaux, dissimulés dans des paradis fiscaux ou investis sur les marchés internationaux, renforcent le narcotrafic.

    Cette complicité entre certains établissements financiers et les trafiquants permet au trafic de prospérer, infiltrant des secteurs insoupçonnés de l’économie. Cette hypocrisie démontre la nécessité d’une réforme des structures de contrôle financier. Des mesures drastiques s’imposent pour démanteler ces alliances et protéger la société des dégâts causés par ces alliances immorales, en empêchant les trafiquants de se servir des failles du système financier.

    La réélection de Trump, un frein à l’idéologie WOKE

    La réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis pourrait freiner l’expansion de l’idéologie WOKE, qui gagne en influence dans les sociétés occidentales. En affirmant sa volonté de reconnaître uniquement deux genres, Trump s’oppose fermement à ce mouvement et incarne un retour aux valeurs traditionnelles, marquant un tournant idéologique majeur, avec des répercussions potentielles en Europe.

    Face à l’influence de l’idéologie WOKE, Trump et ses partisans appellent à un retour aux principes conservateurs et à la protection de repères moraux solides. Cet événement pourrait pousser les dirigeants européens à repenser les bases culturelles et morales de nos sociétés et à envisager des alternatives.

    Explorez les dessous de ces enjeux complexes et les répercussions de la lutte contre le narcotrafic et l’idéologie WOKE grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 11 novembre 2024, le Général de Richoufftz, Serge Federbusch, François Martin et Franck Layre Cassou étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde, pour débattre d’un sujet brûlant : les banlieues françaises.

    Le Général de Richoufftz, surnommé le « général des banlieues », s’est fait connaître pour son approche visant à réintégrer les jeunes issus de l’immigration dans la société française. Auteur du livre « France Sécessionniste : Que faire ? », il a mis en place un programme intitulé « Permis, Sport, Emploi », permettant à plus de 2000 jeunes de retrouver un emploi et un sentiment d’appartenance nationale.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique. Il présentera son dernier livre, “Le Sabre et l’Esprit” aux éditions de Passy.

    Franck Layré-Cassou est un personnage public aux multiples facettes. Passionné d’histoire, il est également reconnu comme un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Sa carrière politique l’a vu candidat sous la bannière de Reconquête!dans la 11ème circonscription de Paris et est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.

    Les banlieues : un état dans l’état ?

    Le concept de sécession des banlieues inquiète de plus en plus. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retaillau, a évoqué la « mexicanisation » de ces zones, avec une économie parallèle, des violences et des territoires sous contrôle de trafiquants. Ces quartiers semblent parfois fonctionner de façon autonome, loin des lois de la République.

    Des chiffres alarmants

    Les saisies de drogues ont augmenté de 30 % en cinq ans, et les agressions contre les forces de l’ordre ont doublé, signe d’une intensification du crime. Certains se demandent si l’État laisse volontairement ces zones dans le chaos pour justifier un durcissement sécuritaire, d’autres dénoncent l’échec des politiques d’intégration.

    Le trafic de drogue : l’État complice ?

    Certains pensent que l’État tolère le trafic de drogue pour injecter des fonds dans l’économie locale et éviter des tensions sociales. Bien que cela soutienne le pouvoir d’achat local, cette tolérance aurait des conséquences graves sur la sécurité et la santé publique.

    Répression ou réintégration : quelle stratégie pour l’avenir ?

    Deux visions s’opposent : l’une prône une répression accrue pour rétablir l’autorité de l’État, tandis que l’autre, portée par le général de Richoufftz, appelle à un investissement dans l’éducation et l’insertion. L’avenir des banlieues et la cohésion sociale dépendent de cette décision cruciale.

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  • Le 11 novembre 2024, Corinne Lalo était l'invitée de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde pour aborder les questions des perturbateurs endocriniens, de l'identité de genre, et des orientations sexuelles.

    Corinne Lalo, grand reporter spécialisée dans la santé depuis trente ans, a couvert certaines les affaires les plus marquantes : du scandale du sang contaminé à la controverse de la vaccination contre l’hépatite B et la grippe H1N1.

    Elle est aussi coauteure de Le Livre noir du médicament et Se soigner sans médicaments de A à Z, œuvres incontournables pour comprendre les dangers des produits pharmaceutiques et la recherche de solutions alternatives. Son livre Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas, offre un éclairage précieux sur cette question de santé publique.

    Perturbateurs endocriniens et impacts sur le sexe et le genre

    Les perturbateurs endocriniens (PE), présents dans divers produits du quotidien (plastiques, cosmétiques, pesticides), perturbent notre système hormonal. Quels effets peuvent-ils avoir sur le sexe biologique, l’orientation sexuelle et l’identité de genre ?

    Effets biologiques des perturbateurs endocriniens

    L’OMS signale que les PE peuvent causer des troubles hormonaux, comme la puberté précoce et des problèmes de fertilité. Aux États-Unis, 93 % de la population présenterait des traces de bisphénol A (BPA), un composé imitant l’œstrogène. En France, une étude de 2023 a détecté des PE dans les urines de 100 % des jeunes enfants. Ces substances influencent le développement des organes reproducteurs, réduisent le nombre de spermatozoïdes et augmentent les risques de cancer du sein. Leur impact sur l’identité de genre et l’orientation sexuelle reste à définir.

    Sexe, genre et perturbateurs endocriniens : un lien troublant ?

    L’exposition prénatale aux PE, comme les phtalates, pourrait féminiser les jeunes garçons et influencer orientation sexuelle et identité de genre. En Suède, une étude de 2022 lie l’exposition au BPA à la dysphorie de genre chez les adolescents, corrélée à une hausse de demandes de transition médicale.

    Une hausse occidentale : culture ou chimie ?

    Malgré l’exposition mondiale aux PE, la hausse des identités transgenres est plus marquée en Occident. En 2021, 5,6 % des Américains s’identifiaient LGBT, dont 16 % chez les jeunes (18-24 ans). En Chine, malgré l’exposition aux PE, les taux LGBT restent sous 1 %. Certaines études avancent que l’évolution des normes sociales et l’idéologie woke influencent davantage cette hausse. L’acceptation accrue des identités LGBT+ en Occident pourrait favoriser une "contagion sociale".

    Politiques publiques : réponses variées face aux perturbateurs endocriniens

    Des pays comme la France et le Danemark agissent pour limiter l’exposition aux PE. En 2022, la France a interdit le BPA dans les contenants alimentaires pour protéger les jeunes enfants. L’UE prévoit une stratégie "Zéro Pollution" d’ici 2030. Aux États-Unis, certaines villes interdisent les phtalates dans les jouets depuis 2006. En Inde et au Brésil, ces substances restent peu régulées.

    Biologie, culture ou les deux ?

    Le débat oscille entre impacts biologiques et influences socioculturelles. La montée des identités LGBT+ en Occident pourrait refléter à la fois une reconnaissance sociale croissante et une éventuelle influence chimique.

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  • Le 11 novembre 2024, Philippe Karsenty était l’invité de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Au programme : un décryptage des raisons économiques et culturelles derrière la victoire de Donald Trump aux États-Unis, ainsi que l’exploration de sa stratégie pour réformer l’administration américaine avec le soutien d’Elon Musk et Robert Kennedy Jr.

    Philippe Karsenty est un homme politique et entrepreneur français, connu pour son engagement en faveur de la liberté de la presse et de l’information. Il a acquis une notoriété internationale pour son combat juridique contre France 2 concernant le reportage controversé sur la mort de Mohammed Al-Durah en 2000.

    Les raisons économiques et culturelles derrière la réélection de Trump

    Le retour de Donald Trump marque un tournant politique aux États-Unis, révélant de profondes divisions internes. Sa victoire, malgré les prédictions contraires, s’explique par des motifs économiques et culturels. Son électorat, préoccupé par des questions économiques, craint une nouvelle crise financière, la hausse du coût de la vie, et l’impact de l’immigration sur le marché de l’emploi.

    Sur le plan culturel, Trump capte le mécontentement d’une frange de la population, notamment la classe moyenne blanche, face à une élite perçue comme déconnectée. Son slogan, « Make America Great Again, Again », réveille un nationalisme économique et une nostalgie d’une Amérique industrielle. Cette victoire illustre une fracture persistante entre les grandes métropoles et les zones rurales où se ressent un sentiment d’abandon.

    « Assécher le marais » : la guerre renouvelée de Trump contre l’État profond

    Trump a réitéré sa promesse d’« assécher le marais » (drain the swamp) en visant l’« État profond » à Washington. Cette fois, il accentue son discours contre une bureaucratie hostile infiltrée dans les agences fédérales, qu’il accuse de saboter ses politiques.

    Son alliance avec Elon Musk, démontrée par la transformation de Twitter en « X », inspire Trump pour réformer les institutions fédérales et les rendre plus efficaces, transparentes et moins partisanes. Il prévoit une refonte des agences de renseignement, notamment la CIA et la NSA, les accusant d’avoir œuvré contre lui lors de son premier mandat.

    Le rôle stratégique de Robert Kennedy Jr. dans l’administration Trump

    En s’entourant de Robert Kennedy Jr., Trump choisit une figure controversée, connue pour ses positions anti-establishment, notamment en matière de santé. Kennedy est envisagé pour des postes clés, tels que ministre de la Santé ou de la Justice.

    Kennedy, critique de la politique vaccinale américaine, dénonce une collusion entre agences sanitaires et industries pharmaceutiques. En l’intégrant à son équipe, Trump marque sa rupture avec l’establishment scientifique et médical. Kennedy pourrait appuyer Trump dans ses réformes, notamment en luttant contre l’influence des lobbies pharmaceutiques et en orientant la politique de santé publique vers une approche centrée sur les libertés individuelles.

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  • Le 10 novembre 2024, Alain Soral, Laurent Michelon, Laurent Guyénot et Lucien Cerise étaient les invités de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !

    00:00:00 : Alain Soral, intellectuel et essayiste franco-suisse, Président de l’association Égalité et Réconciliation, a également fondé la maison d’édition Kontre Kulture. Personnalité sulfureuse, ses analyses lui ont valu une persécution médiatique, politique et judiciaire.01:56:00 : Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin depuis plus de 20 ans. Il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour des groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre “Comprendre la relation Chine-Occident”.02:31:00 : Laurent Guyénot est un historien et essayiste français, spécialiste de l’histoire biblique et de l’histoire des religions. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont JFK 11-Septembre – 50 ans de manipulations et Du Yahvisme au Sionisme. Il s’intéresse aussi aux rapports entre le judaïsme, le christianisme et l’islam, ainsi qu’aux enjeux géopolitiques actuels.03:20:00 : Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a publié plusieurs ouvrages dont « Ukraine : La guerre hybride de l’OTAN ».04:10:00 : Conclusion avec Alain Soral.

    Make America Great Again

    La victoire de Donald Trump à la présidence représente un bouleversement décisif, brisant les barrières de l'élite politique et s'affirmant comme porte-voix du peuple. En remportant le vote populaire et les institutions clés, Trump défie la propagande démocrate relayée par les médias mainstream. Ce succès incarne une révolution culturelle, symbolisée par le slogan Make America Great Again, redonnant souveraineté et pouvoir au peuple.

    Le trio anti-système qui transforme l'Amérique

    Avec des alliés tels qu'Elon Musk, nommé ministre de l'efficacité, et Robert Kennedy Jr., en charge de la santé publique, Trump engage une restructuration profonde. Musk cible une administration efficace en épurant les bureaucraties inutiles, tandis que Kennedy combat Big Pharma pour libérer les Américains des maladies chroniques. Trump s’attaque aussi au wokisme et à la propagande LGBT, souhaitant légiférer pour restaurer des normes sociales traditionnelles.

    L’Amérique de Trump réoriente ses alliances

    En recentrant ses priorités internes, Trump envisage des relations internationales révisées. Concernant le conflit russo-ukrainien, il pourrait réduire le soutien à l'Ukraine pour favoriser une négociation avec Poutine, remodelant potentiellement l'équilibre en Europe de l’Est. Sans appui américain, Israël pourrait revoir sa stratégie régionale. Par ailleurs, la rivalité avec la Chine s’intensifierait davantage sur les plans économique et technologique.

    Face à une Amérique recentrée sur ses intérêts, les pays européens devront repenser leur dépendance économique sous peine d'une marginalisation.

    Un Trump Français en vue ?

    La situation américaine soulève en France la question d'un possible "Trump français" pour restaurer l’indépendance nationale face aux idéologies dominantes. Crises économique, sociale et identitaire poussent la société française à envisager un leader charismatique capable de fédérer les forces vives pour un renouveau national. Le pays pourrait-il voir émerger une figure inspirée de cette expérience ?

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  • Le 10 novembre 2024, GPTV Investigation demandait aux Français leur avis sur le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, un événement qui défie les élites et révèle la fracture entre le peuple et l’establishment, malgré une propagande médiatique intense.

    Un retour de Trump qui défie l’establishment français

    Le retour de Trump au pouvoir a secoué les élites françaises, marquant un revers pour l’establishment progressiste et les médias dominants qui ont souvent dépeint Trump comme une menace pour la démocratie. Pourtant, ce retour montre que les Américains ont choisi en conscience, rejetant la vision des élites côtières.

    Cette victoire n’est pas qu’une défaite politique pour ses adversaires ; elle révèle la fracture entre le peuple et les élites. En France, les grands médias peinent à cacher leur embarras. Pour les Français, ce succès de Trump est un défi lancé aux élites transatlantiques, prouvant qu’une grande partie des Américains est lassée de l’hypocrisie des discours bien-pensants.

    Kamala Harris face au verdict populaire

    Kamala Harris, promue comme icône progressiste, a essuyé un revers, rejetée par le verdict populaire. Ce désaveu souligne l’échec des campagnes médiatiques qui n’ont fait qu’alimenter une désillusion. Malgré les milliards investis et un soutien médiatique massif, les Américains ont tranché, refusant les figures fabriquées. Cette tentative de créer artificiellement une image pour Harris s'est heurtée au retour de Trump, révélant les failles d’une propagande occidentale destinée à influencer l’opinion publique. En France, malgré cette réalité, certains adoptent encore sans recul les discours anti-Trump.

    Une propagande anti-Trump en France

    Dans les discussions publiques, Trump est perçu comme un climatosceptique et une menace pour la paix, des clichés entretenus par les médias. Beaucoup de Français, influencés par ces discours, voient Trump comme un « danger ». Cette vision, souvent exagérée, montre la profondeur de l’influence médiatique.

    Les médias ont instauré une rhétorique de peur où Trump est l’ennemi des droits et de la paix, en particulier concernant les conflits en Ukraine et en Palestine. En réalité, Trump incarne un modèle alternatif, un retour aux valeurs traditionnelles et un rejet du politiquement correct des élites. Sa posture effraie précisément parce qu’elle remet en question les dogmes d’une minorité influente, opposée à tout changement de paradigme.

    L’élection de Trump symbolise bien plus qu'un bouleversement aux États-Unis : elle reflète une rupture idéologique profonde avec l’establishment. Les Français, malgré leur méfiance envers les médias, assimilent Trump à une menace mondiale, illustrant l’emprise de la narration médiatique qui caricature et dénigre toute pensée alternative.

    Pour aller au-delà des clichés médiatiques et découvrir une analyse approfondie des enjeux internationaux, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 10 novembre à 2024, Mike Borowski analysait comment la vision fédérale de Macron pour l’Europe et l'accord avec le Mercosur menacent la souveraineté et l’identité française au profit d'une gouvernance centralisée, sur GPTV.

    La France face à une Europe sans frontières

    Alors que les médias français braquent leurs projecteurs sur des événements extérieurs, un projet di

    Cette vision marque un tournant, où l’identité nationale devient secondaire face à une Europe homogénéisée. Macron semble abandonner les spécificités françaises pour une politique qui pourrait dissoudre la nation dans une entité centralisée, limitant l’autonomie de la France dans ses décisions économiques et politiques. Ce discours, n’est-il pas le signe avant-coureur d’une transformation radicale de la France en tant que nation ?

    Les intérêts français sacrifiés au nom de l’Europe

    En parallèle, un accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosur menace directement des secteurs clés de l’économie française, notamment l’agriculture. Bien que Macron ait exprimé publiquement des réserves, il laisse ces négociations avancer. Est-ce un autre exemple d’abandon des intérêts français pour une économie globalisée ?

    L’accord introduirait des produits moins chers en provenance d’Amérique latine, menaçant la production locale et accélérant la dépendance de la France envers Bruxelles. Cette Europe sans frontières, favorable au libre-échange, dissimule-t-elle un plan d’intégration forcée où les intérêts nationaux sont secondaires ?

    Macron place ses pions pour l’Europe fédérale

    Pour concrétiser son projet fédéraliste, Macron a nommé un proche, Stéphane Séjourné, au sein de la Commission européenne. Ce choix stratégique vise à renforcer son influence au sein de l’UE et pourrait préparer le terrain pour une éventuelle direction de l’Union européenne. En plaçant ses alliés à des postes clés, Macron semble œuvrer pour une Europe contrôlée par une élite technocratique, aux dépens des démocraties nationales.

    Ce mouvement s’apparente de plus en plus à une vision d’une Europe centralisée, où les États membres perdraient leur autonomie au profit d’un contrôle bureaucratique. Macron prépare-t-il une "URSS moderne" où la voix des peuples et la souveraineté nationale seraient remplacées par une gouvernance supranationale ?

    L’Europe de Macron

    L’Europe telle que Macron la conçoit pourrait imposer une uniformisation des politiques intérieures, effaçant les identités nationales pour instaurer une gouvernance supranationale. Ce choix pourrait bien constituer une rupture profonde avec les valeurs d’indépendance et de diversité qui ont forgé le continent européen.

    En préférant une Europe fédérale, Macron fait le pari d’un projet dont il espère assurer la pérennité, quitte à sacrifier l’identité française. Cette ambition cache-t-elle des intérêts personnels ou est-elle un tournant irréversible pour notre souveraineté ?

    Pour ne rien manquer des enjeux cachés de cette Europe fédérale et anticiper les répercussions sur la France, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 10 novembre 2024, David Lehn était l'invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde !

    David Lehn est un chef d’entreprise à la tête d’une PME, écrivain, journaliste et enquêteur pour plusieurs think tanks américains. Spécialiste des questions électorales, il écrit actuellement un livre sur l’histoire des fraudes électorales aux États-Unis depuis le XIXe siècle, apportant un éclairage inédit sur les manipulations électorales dans l’histoire américaine.

    Un chaos électoral organisé

    Le système électoral américain, complexe et décentralisé, permet des manipulations sophistiquées. Chaque État, parfois même chaque comté, applique des règles distinctes, créant un système sans cohérence où les responsables locaux détiennent un pouvoir excessif pour influencer les résultats. Cette fragmentation législative empêche toute surveillance nationale unifiée et laisse chaque État définir ses propres critères de validation des votes.

    Les intérêts locaux et partisans peuvent ainsi interférer dans le processus. En 2020, l'extension du vote par correspondance en raison de la crise sanitaire a amplifié ces failles, permettant un afflux de bulletins difficilement vérifiables et favorisant les Démocrates dans des États clés. Ce système, instauré pour protéger les citoyens, a en fait ouvert la porte à des pratiques électorales contestables.

    Une tradition de fraude électorale bien ancrée

    La fraude électorale est une réalité de l’histoire politique américaine, et le Parti Démocrate a utilisé diverses techniques pour orienter les résultats à son avantage, notamment dans les zones urbaines. Depuis la fin de l’esclavage, des méthodes comme le bourrage d’urnes et l’intimidation ont été employées pour manipuler les votes, en particulier des électeurs noirs.

    Ces pratiques se sont modernisées, profitant des avancées technologiques pour optimiser la fraude. En 2020, les machines Dominion, l'absence de vérification d'identité et la hausse des votes par correspondance ont été les outils privilégiés d'une fraude nationale. Ces manipulations, dissimulées sous des prétextes humanitaires comme la pandémie, ont permis aux Démocrates d’accentuer leur contrôle électoral.

    La vérité sur la défaite de Trump

    L'élection présidentielle de 2020 a marqué un sommet de la fraude électorale. Les machines Dominion, critiquées pour leur manque de fiabilité, sont au cœur des accusations de manipulation électronique, particulièrement dans les États clés où quelques milliers de voix suffisent à faire basculer le résultat. Couplées au vote par correspondance, elles ont permis l’inclusion massive de bulletins douteux sans vérification d'identité dans des zones critiques.

    Sous prétexte de sécurité sanitaire, le vote par correspondance a été largement diffusé, avec peu de contrôle. Le bourrage d’urnes est devenu courant, renforçant l’impression d’un système électoral faussé. En 2020, il ne s’agit pas d’erreurs accidentelles mais bien d’une fraude coordonnée visant un résultat prédéterminé.

    Les éléments de la fraude de 2020 ne laissent aucun doute : l'élection de Trump a été détournée par des manipulations systématiques. L'absence de vérifications, l’exploitation de failles technologiques et la crise sanitaire ont permis une fraude massive, compromettant ainsi les fondements mêmes de la démocratie américaine.

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  • Le 9 novembre 2024, Fabien Bouglé était l'invité de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.

    Fabien Boulgé, est un expert en politique énergétique et auteur du livre "La guerre de l’énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial". Il décortique les enjeux stratégiques de la guerre énergétique relancée par les récents événements internationaux, notamment l’élection de Donald Trump et le sommet des BRICS à Kazan.

    BRICS : la dédollarisation au cœur du sommet de Kazan

    Le sommet des BRICS à Kazan en octobre 2024 a placé la dédollarisation du commerce énergétique au centre des discussions. Ce rassemblement, regroupant Russie, Chine, Inde, Brésil et Afrique du Sud, vise à contourner le dollar américain dans les transactions énergétiques pour réduire la dépendance aux États-Unis. Cette décision pourrait redéfinir l’équilibre du marché mondial de l’énergie et affaiblir la domination historique du dollar. Le président russe Vladimir Poutine a justifié ce choix en réaction aux sanctions occidentales, marquant ainsi une étape clé dans la réorganisation des rapports de force économiques mondiaux.

    Avec plus de 40 % de la production énergétique mondiale, les BRICS cherchent à renforcer leur influence collective. Si cette tendance se confirme, elle pourrait initier un nouvel ordre monétaire. Les répercussions vont au-delà de l’énergie, impactant potentiellement le financement international et les investissements globaux.

    Le retour de Trump : un facteur de tension dans la guerre énergétique

    L’élection de Donald Trump en 2024 accentue les tensions géopolitiques, notamment en politique énergétique. Prônant une ligne protectionniste, Trump menace de sanctions commerciales les pays délaissant le dollar pour le commerce énergétique, dans un effort pour défendre les intérêts américains. En parallèle, il démantèle les initiatives climatiques de Biden, notamment en annulant les subventions aux énergies renouvelables du plan Inflation Reduction Act, qu’il qualifie de « fraude coûteuse ». Cette réorientation vers les énergies fossiles risque d’intensifier les conflits avec les nations engagées dans la transition énergétique, dont les BRICS.

    Les États-Unis, premier producteur mondial de pétrole, pourraient ainsi renforcer leur position dominante sur le marché, bien que cette posture se heurte aux aspirations des BRICS à réduire l’influence américaine. Ce changement de politique pourrait provoquer une guerre commerciale autour de l’énergie.

    COP 29 à Bakou : entre espoirs climatiques et réalisme brutal

    La COP 29 à Bakou, prévue peu après l’élection de Trump, met en lumière un contraste entre les ambitions climatiques mondiales et le retour d’un climato-scepticisme américain. Alors que la conférence visera à renforcer les engagements climatiques, Trump rejette les conclusions du GIEC, les qualifiant de « canulars coûteux » freinant la croissance économique. Ce retour en arrière pourrait compromettre les objectifs de l’Accord de Paris et les efforts de neutralité carbone. Les critiques de Trump suscitent des inquiétudes parmi les diplomates quant à un possible recul des États-Unis dans leurs engagements climatiques.

    Si Trump poursuit son soutien au secteur pétrolier, les efforts mondiaux de réduction de CO₂ risquent d’être compromis, augmentant la dépendance aux énergies fossiles. La COP 29 constituera un test pour l’engagement climatique international face à ces nouveaux défis.

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  • Le 9 Novembre à 12h30, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un direct d’actualité sur Géopolitique Profonde.

    INFO – Au moment où le gouvernement minoritaire de Michel Barnier détaillait à Marseille son plan de lutte contre le narcotrafic, un majordome de #Matignon était en GAV à Paris pour avoir acheté plus de 50 grammes de #cocaïne, révèle Le Parisien…


    La cocaïne, le tabou de la politique française

    Un collaborateur de Michel Barnier a été arrêté avec 50 grammes de cocaïne, ravivant le débat sur la consommation de drogues au sein des élites politiques françaises. Alors que Michel Barnier présentait un plan contre le narcotrafic, ce scandale a éclaté, mettant en lumière un sujet tabou. Par ailleurs, Andy Kerbrat, député LFI, a été interpellé en flagrant délit d’achat de drogue auprès d’un mineur, pour participer à une soirée chemsex. Ce type de soirée, mêlant drogues et sexe, est associé à des comportements à risque. En outre, Louis Boyard, un autre député LFI, a créé la controverse en se vantant de son passé de dealer, présenté comme un acte de résistance, choquant l’opinion publique.

    Drogue, alcool et excès : la face cachée du pouvoir

    En 2020, des excès d’alcool et de drogues étaient rapportés dans des soirées influentes de LREM. Plus récemment, des soirées organisées par des membres de la Macronie étaient marquées par une circulation libre de cocaïne, accentuant les critiques sur les pratiques de l’élite.

    LFI, une opposition pas si exemplaire ?

    LFI, qui se veut vertueuse, voit son image ternie par des scandales internes. En 2021, Adrien Quatennens a été accusé de violences conjugales. Bien qu'il ait partiellement reconnu les faits et présenté des excuses, il a conservé son siège, déclenchant un débat sur la cohérence morale de la gauche radicale. En 2024, Pierre-Alain Cottineau, ancien candidat LFI, a été accusé de viol et de torture sur une fillette handicapée, scandalisant l’opinion publique.

    La cocaïne, un fléau sous silence médiatique

    Les médias traditionnels abordent peu ces dérives. En 2019, un reportage de France Inter sur la consommation de drogues par les politiques a été retiré de la diffusion, alimentant des soupçons de censure et renforçant l’idée d’impunité.

    Quand le pouvoir est sous influence

    Les récentes révélations soulèvent la question d’une influence croissante de la cocaïne parmi les dirigeants. L’affaire évoque des scandales similaires à l’étranger, comme en Italie en 2016, où des députés avaient été filmés en train de consommer des drogues. Bien que des tentatives de répression des stupéfiants existent en France, certains élus semblent hors de portée des lois. Ces incidents récents appellent à des enquêtes indépendantes pour rétablir la crédibilité des institutions et la confiance des citoyens envers leurs dirigeants.

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  • Le 9 novembre 2024, Ludwig Andreas, traducteur du livre “SS malgré moi” d’Elimar Schneider, était l'invité de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Son ouvrage explore une facette méconnue de l'histoire française durant la Seconde Guerre mondiale. L'auteur du livre, Elimar Schneider, offre un témoignage inédit sur son parcours tumultueux et controversé au sein de la Waffen-SS.

    “SS malgré moi” d’Elimar Schneider

    Né en Alsace en 1926, Elimar Schneider a été enrôlé de force en 1944 dans la Waffen-SS, au sein de la redoutée division Das Reich. Contraint de combattre pour une cause qu'il ne soutenait pas, Schneider a vécu une double allégeance : il a commencé la guerre en tant que citoyen français et l'a terminée en tant que soldat allemand. Bien qu'il ait dû porter l'uniforme nazi, son engagement n'était pas idéologique. Sa loyauté se portait envers ses camarades d'armes, partisans involontaires d'une guerre qui n'était pas la leur.

    Schneider se distingue par son humanité, ayant notamment sauvé la vie de deux otages français. À travers ce récit poignant, il souligne l'ambiguïté des choix imposés par la guerre, dévoilant une facette rarement explorée du conflit : celle des soldats forcés de servir sous un drapeau ennemi.

    Les complexités du choix : entre devoir et moralité

    Loin des stéréotypes simplistes du soldat nazi, ce récit dévoile un quotidien où la survie prime sur toute idéologie politique. Les jeunes hommes comme Schneider ont souvent été étiquetés comme des traîtres, mais leur situation était bien plus nuancée. Arrachés à leur identité française pour endosser un uniforme allemand, symbole d'un régime qu'ils méprisaient, ces soldats ne juraient fidélité ni au Führer, ni à ses idéaux, mais à leurs camarades d’infortune.

    Sur le champ de bataille, le lien avec leurs frères d’armes devenait un refuge face à l’horreur ambiante. Cette facette méconnue de l’Histoire révèle la complexité des dilemmes éthiques auxquels étaient confrontés ces jeunes hommes des territoires annexés par le Troisième Reich.

    Un témoignage qui déconstruit l’histoire officielle

    Le livre d'Elimar Schneider, SS malgré moi, nous invite à questionner la mémoire collective et la manière dont l’histoire est écrite par les vainqueurs. Contrairement aux idées reçues, tous les membres de la Waffen-SS n’étaient pas des criminels de guerre. Schneider insiste sur le fait qu’il n’a jamais participé à des atrocités, luttant avant tout pour sa propre survie et celle de ses compagnons.

    Appartenant à la division Das Reich, tristement célèbre pour le massacre d’Oradour-sur-Glane, Elimar Schneider témoigne de l’importance de distinguer les actes des unités de ceux des individus. Son récit prend un tournant surprenant lorsqu’il révèle comment, au péril de sa vie, il a sauvé deux otages français. Ce geste montre qu’au cœur des forces nazies, il existait des hommes animés par des valeurs humaines.

    Le livre nous rappelle avec force que la réalité historique est souvent plus nuancée que ne le laisse entendre le récit officiel.

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  • Le 8 novembre 2024, Maître Alexandre Varaut et Lara Stam étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !

    Maître Alexandre Varaut est un avocat expérimenté et député européen, engagé dans la défense des intérêts nationaux et des droits individuels. En tant que représentant au Parlement européen, il participe activement aux discussions législatives, notamment sur des questions juridiques et de souveraineté, tout en mettant en avant une vision indépendante et critique des politiques supranationales.

    Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.

    L’Europe sous pression américaine

    Depuis des décennies, les élites européennes ont abandonné leur autonomie stratégique sous le parapluie américain, suivant les directives de Washington sans remise en question, créant une dépendance profonde. Cette situation expose l’Europe à des risques, car elle place son avenir entre les mains d’un allié qui, sous la présidence renouvelée de Trump, a clairement exprimé son refus de jouer les protecteurs.

    La réélection de Trump marque une rupture nette. Fidèle à sa vision souverainiste, il ne veut plus financer une protection coûteuse pour une Europe affaiblie. Au lieu de jouer le suzerain, il impose une compétition économique et commerciale impitoyable.

    Quand les BRICS s’affirment, l’Europe se fragilise

    Alors que des puissances comme les BRICS affirment leur souveraineté, l’Union européenne s’attache à un modèle d’intégration supranationale de plus en plus obsolète. Cet élan mondial vers la souveraineté, incarné par Trump, rappelle aux Européens ce qu’ils ont perdu : des nations libres et capables de défendre leurs propres intérêts.

    L’UE, en sacrifiant ses valeurs nationales au profit d’une union fragile, devient impuissante face aux nouveaux rapports de force. Alors que les États-Unis, la Russie, la Chine et les BRICS renforcent leur indépendance, l’Union européenne apparaît isolée, tiraillée entre idéaux globalistes et pragmatisme. Cette montée des États-nations expose les faiblesses de l’UE, qui peine à répondre aux attentes de citoyens de plus en plus méfiants envers le projet européen.

    Trump réélu, les rêves européens de Macron s’effondrent

    Malgré cette réalité, certains dirigeants européens, comme Macron, s’obstinent à promouvoir l’idée d’une Europe unie et autonome. La réélection de Trump remet en question ce projet. L’ambition d’une « Europe de la défense » ou d’une « Europe stratégique » semble devenir une illusion, freinée par un manque de ressources et des divergences croissantes entre États membres.

    Des pays comme la Pologne et la Hongrie prônent des politiques souverainistes, rendant le rêve d’une Europe puissante et unifiée de plus en plus irréaliste. La vision de Macron pour une Europe forte semble déconnectée des réalités et des aspirations populaires, nombreux étant les citoyens qui considèrent cette intégration poussée comme une fuite en avant sans garantie de souveraineté. Sans réponse claire à ces attentes, l’Union européenne risque d’être marginalisée face à des puissances plus autonomes et résolues.

    Pour comprendre les défis qui attendent l’Europe face à l’hégémonie américaine et aux tensions économiques mondiales, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 8 novembre 2024, Mike Borowski décryptait le rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine, une alliance qui pourrait défier l’ordre mondial et affaiblir les élites globalistes, sur GPTV.

    La nouvelle alliance qui inquiète l’État profond
    Peu après la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles américaines, Vladimir Poutine a tendu une main politique en déclarant : « Si quelqu’un veut reprendre contact, cela ne me dérange pas. Je suis prêt. » Ce message montre un intérêt pour une collaboration potentielle entre la Russie et les États-Unis.

    Dans sa première interview post-élection, Trump a renforcé cette idée en affirmant : « Je pense que nous allons nous parler. » Ce rapprochement pourrait dépasser le simple dialogue pour incarner un front commun contre l’État profond mondialiste, réseau influent d’élites. La question qui se pose : un axe États-Unis-Russie se formerait-il pour défier l’ordre établi ?

    Un espoir de paix grâce à Trump et Poutine ?
    Depuis la guerre en Ukraine, les relations entre l’Occident et la Russie se sont tendues. La vision de Trump, qui critique les conflits longs et coûteux, contraste avec celle de ses prédécesseurs. Réfractaire aux interventions militaires, il prône des solutions diplomatiques pour promouvoir la paix et la prospérité intérieure.

    Pour Poutine, Trump pourrait être un allié pragmatique sensible aux enjeux de sécurité en Europe de l’Est. Cette entente pourrait-elle apporter une issue au conflit ukrainien ? Certains y voient un potentiel de trêve, d’autres doutent d’une alliance durable. Cependant, une trêve orchestrée par Trump et Poutine marquerait un point de rupture avec l’hégémonie des élites globalistes, initiant une ère de coopération basée sur des intérêts communs plutôt que sur des lignes idéologiques figées.

    La fin d’un monde unipolaire
    Le retour de Trump pourrait bouleverser de nombreux équilibres mondiaux. Une alliance avec la Russie remettrait en cause le système unipolaire actuel dominé par l’Occident. Cette entente possible pourrait symboliser la fin d’un ordre mondial inspiré du néolibéralisme, critiqué pour son incapacité à répondre aux attentes des peuples.

    Si cette collaboration se concrétisait, elle aurait des répercussions pour l’Europe, qui pourrait perdre de l’influence face à une alliance renforcée. L’Union européenne, axée sur une politique centralisatrice, serait confrontée à un bloc d’États-nations affirmant leur souveraineté. L’alliance Trump-Poutine représenterait alors une alternative au contrôle des élites, promouvant un ordre mondial basé sur la souveraineté nationale et le respect des cultures.

    Les implications de cette alliance ne s’arrêteraient pas là. En redéfinissant les priorités stratégiques, ce duo pourrait influencer la politique énergétique, les alliances commerciales et les équilibres militaires, impactant les relations internationales dans leur ensemble. Ce nouveau modèle pourrait esquisser un monde multipolaire où les États-nations regagneraient du contrôle sur leur destinée.

    Pour ne rien manquer des enjeux cruciaux que soulève ce rapprochement entre Trump et Poutine, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 8 novembre 2024, François Martin et Philippe Karsenty étaient les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Philippe Karsenty est un homme politique et entrepreneur français, connu pour son engagement en faveur de la liberté de la presse et de l’information. Il a acquis une notoriété internationale pour son combat juridique contre France 2 concernant le reportage controversé sur la mort de Mohammed Al-Durah en 2000.

    Les États-Unis de Trump

    Le retour de Trump marque un changement majeur pour les États-Unis et le monde. L’Amérique de Trump adopte une participation active dans un système multipolaire, où chaque nation peut revendiquer sa part de leadership, en rupture avec l’unipolarité néoconservatrice. Trump reconnaît que les puissances émergentes doivent être intégrées dans l’ordre mondial. Il incarne une vision d’une Amérique acceptant cette nouvelle réalité tout en cherchant à maintenir sa place au sommet.

    Trump voit cette compétition multipolaire comme un moyen de redynamiser les États-Unis, convaincu qu’ils peuvent non seulement rivaliser mais aussi se surpasser. Cette vision résonne auprès du peuple américain, désireux de conserver la première place. L’Amérique de Trump défend ses intérêts sans imposer sa volonté, misant sur une concurrence équitable valorisant le mérite.

    L’Europe en retrait face à une Amérique ambitieuse

    Alors que l’Amérique de Trump s’engage dans cette compétition mondiale, l’Europe semble marquer le pas. L’Union Européenne, autrefois modèle d’influence et de prospérité, apparaît aujourd’hui fragilisée et désorientée face aux bouleversements géopolitiques. La France, sous Macron, s’éloigne de sa vocation universelle, délaissant peu à peu son rôle de phare pour l’humanité, adoptant des politiques favorisant la soumission aux intérêts étrangers.

    Ce déclin contraste fortement avec l’élan américain sous Trump. L’Europe, minée par des divisions internes et une dépendance croissante envers des puissances extérieures, semble vouée à une place secondaire dans un monde multipolaire. La vision de Trump est tournée vers un avenir de puissance et de compétitivité. Sans un réveil politique, l’Europe risque de perdre son influence mondiale, laissant la voie libre aux puissances affirmant leur rôle.

    Entre ambition et passivité

    Trump incarne la force de l’Amérique et sa capacité à se réinventer face aux défis. L’Amérique adopte une posture proactive, prête à affronter les puissances émergentes, avec une résilience ancrée dans la compétition saine. À travers Trump, les États-Unis montrent que leur leadership repose sur des bases solides, et non sur une hégémonie imposée. Ce modèle inspire au-delà des frontières américaines.

    Tandis que Trump relance l’ambition américaine, l’Union Européenne et la France semblent vouées à un rôle d’observateurs du nouveau monde multipolaire. Pour retrouver sa place, l’Europe doit changer de cap et prendre en main son destin ou s’effacer.

    Pour approfondir votre compréhension des enjeux cruciaux qui redessinent notre monde et anticiper les transformations économiques à venir, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 7 novembre 2024, Nicolas Conquer, Serge Federbusch, Georges Clément et Alexis Tarrade, étaient invités par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Nicolas Conquer, analyste politique et porte-parole de Donald Trump en France, défend les politiques trumpiennes et critique les élites européennes. Il vise à promouvoir la vision de Trump en France, notamment pour les présidentielles américaines de 2024.

    Serge Federbusch, essayiste et fondateur du mouvement Aimer Paris, critique la gestion publique et les élites. Il présente son dernier ouvrage, Le Sabre et l’Esprit.

    Georges Clément, président du comité Trump France, milite pour un rapprochement entre les droites française et américaine autour de valeurs conservatrices et nationalistes. Son essai de 2019, Les Peuples contre les États : La Souveraineté Confisquée, critique la centralisation des pouvoirs.

    Alexis Tarrade, figure de la communauté française en Russie et ancien président des Républicains en Russie et Biélorussie, est actif dans le soutien aux expatriés et les débats franco-russes.

    Un signal clair contre la mondialisation

    Contre toute attente des sondages, Donald Trump a remporté une victoire marquante face à son adversaire démocrate, un résultat qui met en évidence un profond rejet de la mondialisation, notamment le wokisme, par une large part de l’électorat américain. Cette élection révèle un désaveu non seulement envers le multiculturalisme et la technocratie souvent associée au mondialisme, mais aussi contre une vision perçue comme élitiste et déconnectée des préoccupations quotidiennes des citoyens.
    Cette victoire de Trump illustre un virage historique pour les États-Unis, où un nombre croissant d’Américains revendiquent un retour aux valeurs traditionnelles et se montrent de plus en plus sceptiques vis-à-vis des institutions internationales. Pour ces électeurs, la souveraineté nationale et l’identité américaine sont devenues des priorités face à une érosion culturelle et économique.

    Une révolution populaire : vers un effet domino ?

    La dynamique populaire qui a propulsé Trump au pouvoir pourrait-elle influencer d’autres nations, notamment en Europe et en France, dans leur relation avec les institutions mondialistes ? Alors que de nombreux pays voient leurs libertés individuelles mises à mal par un contrôle renforcé, la victoire de Trump pourrait résonner comme un appel à réformer le système politique et à repousser la censure.

    En France, un tel mouvement reste complexe. Malgré l’émergence de courants souverainistes, le pays manque de cohésion pour un réel changement. On a pu observer que le Rassemblement National (RN) adopte une posture critique à l’égard de l’Union européenne, mais n’a pas pris de position claire en faveur de Trump. Ce manque de soutien explicite pourrait freiner l’apparition d’une véritable vague populiste en France.

    La France à la recherche de son « Trump » ?

    L’idée d’un « Trump français » attire les sympathisants souverainistes, mais nécessite un leader charismatique capable d’incarner un mouvement anti-système avec la même force que Trump. Ce leader potentiel devrait défier à la fois les institutions globales et les structures d’influence des élites françaises.
    Un tel mouvement nécessiterait une approche plus directe que celle du RN. En l’absence de cette figure audacieuse, l’idée d’un populisme « à la Trump » reste incertaine en France.

    Pour comprendre les véritables enjeux de cette élection américaine et son influence directe sur l’équilibre mondial, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 7 novembre 2024, Marie-Pascale Rémy, spécialiste de mythologie et d’ésotérisme, était l'invitée de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.

    Marie-Pascale Rémy est une auteure et conférencière spécialisée dans la connaissance de soi et la spiritualité. Après une expérience de mort imminente en 1989, elle a orienté sa recherche vers l’enseignement de Rudolf Steiner, influençant profondément son parcours. Parmi ses ouvrages notables figure Saint Michel, renaître dans le combat spirituel, qui explore la dimension spirituelle du combat intérieur à travers l’archétype de l’Archange Saint Michel. Elle a également écrit plusieurs ouvrages sur le développement personnel, l’ange gardien et les mythes du féminin.

    « La Porte des Ténèbres » : provocation sataniste ou hommage à Lilith ?

    Du 25 au 27 octobre 2024, le spectacle de rue La Porte des Ténèbres à Toulouse a suscité fascination et controverse. Avec ses figures imposantes – un Minotaure, une araignée géante et une Lilith réinventée en femme-scorpion – l’événement a attiré des milliers de visiteurs. Sa proximité avec Halloween a renforcé l'attention autour de sa symbolique, notamment sur Lilith, figure transgressive qui divise entre séductrice et rebelle. Elle incarne l’archétype de la femme indépendante et rebelle, présent dans plusieurs traditions mythologiques. Certains y voient une normalisation de valeurs subversives et se demandent quel message sous-tend cette mise en scène.

    Lilith : entre déesse et démone d’une féminité rebelle

    Lilith est une figure complexe, ancrée dans les mythologies babylonienne et hébraïque. Dans l’Alphabet de Ben Sira, elle est la première femme d’Adam, refusant la soumission et incarnant une insoumission féminine. À Toulouse, La Porte des Ténèbres joue de ces symboles pour poser des questions sur la liberté, la révolte et l’émancipation. Cette figure d’émancipation soulève des interrogations sur l’ordre patriarcal et l’identité féminine dans la société actuelle.

    Polémique et sarcasmes autour de « La Porte des Ténèbres »

    La critique faite à l'endroit de cet événement a suscité beaucoup de retombées médiatiques, alors je crois qu'on peut dire merci à l'achevêque, au curé de la cathédrale et aux pasteurs protestants. Jean-Luc Moudenc


    La représentation de La Porte des Ténèbres n’a pas manqué de susciter des réactions contrastées, et le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, n’a pas caché son ironie. En réponse à la messe de « protection » organisée le 24 octobre par l’archevêque, censée protéger la ville des influences occultes du spectacle, Jean-Luc Moudenc a remercié l'archevêque pour la « publicité gratuite » offerte à l'événement, un commentaire presque moqueur. Ce ton sarcastique ajoute une dimension de plus au débat, exacerbant les tensions entre une vision religieuse traditionnelle et une forme d'expression artistique qui, en convoquant Lilith et d’autres figures mythiques, touche à des questions de transgression et de liberté.

    Ainsi, la question persiste : La Porte des Ténèbres est-elle une œuvre innocente qui joue avec des symboles anciens, ou bien une provocation destinée à questionner les normes et les valeurs ?

    Pour approfondir votre compréhension des enjeux géopolitiques et culturels actuels, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 7 novembre 2024, Marie-Pierre Lescure et Nicolas Bouvier étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu.

    Marie-Pierre Lescure, psychopédagogue, aide depuis plus de quinze ans parents et jeunes en difficulté. Spécialiste de la lutte contre le harcèlement scolaire, elle dirige des groupes de parole et intervient auprès des jeunes en décrochage scolaire. Elle a fondé l’association Educ’AT pour combattre la violence scolaire, bénéficiant à de nombreuses familles et écoles.

    Nicolas Bouvier, écrivain et poète, est engagé contre le harcèlement scolaire. Il est conférencier, auteur de plusieurs ouvrages et membre d’honneur de l’association “Les Parents”. Il anime également une chaîne Youtube.

    Un fléau qui ne faiblit pas

    Le harcèlement scolaire demeure une plaie profonde au sein du système éducatif français, touchant encore près d'un élève sur dix, selon une enquête nationale menée en novembre 2023. Ce phénomène va bien au-delà des agressions physiques ou verbales ; il prend désormais des formes insidieuses comme le cyberharcèlement, favorisé par l'explosion des réseaux sociaux.

    Les répercussions sont lourdes pour les victimes : leur santé mentale est souvent ébranlée, leur confiance anéantie, et, dans les cas les plus dramatiques, ces jeunes sont poussés à des actes irréversibles. Pourtant, le nombre exact de suicides liés au harcèlement reste difficile à quantifier, un silence qui interroge.

    Des initiatives de sensibilisation qui trouvent leurs limites

    Face à ce défi, le gouvernement et de nombreuses organisations ont multiplié les initiatives de sensibilisation et de prévention. Des campagnes nationales, ainsi que les lignes d'écoute 3020 et 3018, proposent un soutien aux victimes et leurs proches. Ces dispositifs permettent de signaler les cas de harcèlement et visent à éduquer jeunes, parents et enseignants sur la prévention et les conséquences de ce fléau.

    Cependant, malgré ces efforts, le problème perdure, prouvant que les réponses actuelles, bien qu'importantes, restent insuffisantes. Il est urgent de repenser les stratégies et d’adopter des approches plus innovantes pour enrayer le harcèlement à la racine.

    Le programme « Tatou Kompry » : une lueur d’espoir

    L’association Educ’AT, fondée en 2019 par Marie-Pierre Lescure, a décidé d’aller au-delà des solutions classiques en développant le programme « Tatou Kompry », qui mise sur la pédagogie active pour renforcer la résilience des élèves. Grâce à des techniques d’apprentissage centrées sur les compétences psychosociales, ce programme aide les enfants, dès le plus jeune âge, à mieux gérer les conflits et à développer une forte estime de soi.

    Depuis octobre 2024, « Tatou Kompry » est déployé dans les écoles de Bonneuil-sur-Marne, y compris en maternelle. Face aux premiers succès rencontrés, ce modèle pourrait bien s’étendre à l’échelle nationale. Cette approche proactive pourrait non seulement transformer la lutte contre le harcèlement mais aussi insuffler un changement durable dans les pratiques éducatives, inspirant d'autres établissements à placer le bien-être des élèves au cœur de leurs priorités.

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  • Le 7 novembre 2024, étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !

    Pierre-Yves Rougeyron est un analyste politique français, juriste de formation. Il est le président du Cercle Aristote, un cercle de réflexion fondé en 2008, et dirige la revue "Perspectives Libres". Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont "Pourquoi combattre ?". Ses travaux portent principalement sur la souveraineté nationale, l'économie et la géopolitique.

    Antoine Gainot, éditorialiste pour la revue « Front populaire », publication fondée par Michel Onfray, qui se consacre à une réflexion critique sur les enjeux contemporains en France et en Europe, abordant l’actualité politique et sociétale, dans une démarche de défense de la souveraineté.

    Thomas Ciolczyk est le co-fondateur du mouvement souverainiste "La Concorde", organisation engagée dans la défense des valeurs de souveraineté nationale et d’indépendance et prônant une vision de la France autonome, libre de toute pression supranationale, en privilégiant les intérêts de la nation et du peuple français.

    David Darmon autre co-fondateur de “La Concorde”, est actif dans les discussions sur la géopolitique et le souverainisme, et a récemment participé à des émissions pour promouvoir les idées de son mouvement.

    Une France souveraine

    Aujourd’hui, le souverainisme dépasse un simple courant politique et se présente comme une alternative face aux logiques supranationales de l'Union Européenne. De nombreux Français, en particulier des classes moyennes, souhaitent reprendre le contrôle de leur pays. L’indépendance nationale se veut une vision durable pour l’avenir de la France.

    Les souverainistes doivent adopter une approche résolue et collective. Le défi est de faire pénétrer leurs idées à tous les niveaux de la société pour apporter des réponses concrètes aux préoccupations populaires.

    Le RN est-il à la hauteur des attentes ?

    Le Rassemblement National (RN) est souvent perçu comme le principal représentant du souverainisme, en défendant les frontières et une priorité nationale. Cependant, cette position dominante laisse peu de place aux autres mouvements souverainistes. Certains considèrent que la stratégie du RN est insuffisante pour une véritable indépendance face aux structures supranationales, et estiment que d'autres mouvements devraient opter pour un positionnement plus radical.

    Un souverainisme sans compromis pourrait séduire un électorat désireux de voir la France restaurer pleinement sa souveraineté économique et politique. Cela offrirait une alternative aux compromis du RN, renforçant ainsi l’adhésion populaire.

    Un souverainisme renouvelé

    Pour se renouveler, le souverainisme doit être porté par des leaders charismatiques et modernes, capables de mobiliser une base large et engagée. L'absence de figures influentes freine actuellement le mouvement, mais un renouvellement des voix pourrait étendre son influence.

    L'enjeu est de créer un souverainisme adapté aux réalités du XXIᵉ siècle, répondant aux préoccupations économiques et sociales de la population française. Ce mouvement souverainiste renouvelé doit inspirer confiance et prouver que l'indépendance française n'est pas un idéal, mais une possibilité tangible, en s'appuyant sur une politique audacieuse et tournée vers l'avenir.

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  • Le 6 novembre 2024, nous demandions aux Français comment les médias influencent leur perception de Trump, souvent présenté comme un ennemi politique extrême, tandis que Kamala Harris est vue comme une figure progressiste sur GPTV Investigation.

    La propagande anti-Trump en France !

    En France, les médias mainstream s’accordent à dépeindre Donald Trump comme un ennemi politique extrême, parfois avec des comparaisons douteuses. Tandis que Kamala Harris est perçue comme une figure progressiste incarnant une nouvelle ère, la réalité des enjeux est souvent simplifiée. Nombre de Français suivent les élections américaines via le prisme médiatique, où cette propagande anti-Trump fait son effet : Trump est associé à l’extrême droite fascisante, un parallèle abusif mais qui marque les esprits.

    Les médias jouent sur la peur pour discréditer Trump et renforcer un soutien sans nuance à Harris. Pourtant, pour certains, Kamala Harris symbolise une Amérique dangereusement penchée vers une politique de gauche extrême, proche du communisme. Trump, quant à lui, est perçu par une autre partie de l’opinion comme un patriote : milliardaire, il n’a pas besoin de la présidence pour asseoir son pouvoir.

    Les médias occidentaux à l'œuvre

    La stratégie médiatique occidentale est claire : en réduisant Trump à un épouvantail, elle oriente les opinions, incitant à voter contre lui plutôt que pour Harris. Ce phénomène dépasse le cadre américain, s’étendant à l’international, notamment en France, où les clichés et préjugés autour de Trump sont omniprésents. Termes comme "dictateur" ou références à Hitler renforcent une image caricaturale qui détourne des véritables enjeux. En réalité, la campagne de Harris repose sur une opposition virulente à Trump plutôt que sur un soutien massif.

    Cependant, cette propagande ignore souvent les propositions de fond de Trump, notamment son souhait de paix avec la Russie et l’Ukraine. Ce positionnement contraste avec Harris, qui soutient les financements de la guerre en Ukraine. Ses partisans préfèrent cependant croire que cet argent "soutient" l’Ukraine, témoignant de l’efficacité du marketing médiatique occidental.

    Un vote contre Trump plutôt que pour Harris

    Trump prône une Amérique moins interventionniste, voulant recentrer l’attention sur une reprise économique nationale. Sa vision aspire au retour d’une Amérique pacifique, loin des stéréotypes de "l’extrême droite". Harris, quant à elle, défend un agenda interventionniste, un soutien à des projets coûteux pour l’économie américaine et un positionnement de plus en plus radical à gauche, critiqué pour ses similarités avec une vision communiste.

    L’enjeu de cette élection est bien plus complexe qu’une opposition simpliste entre “pro-Harris” et “pro-Trump”. La réalité est que beaucoup de partisans de Harris ne votent pas pour elle, mais contre Trump. Une dynamique aux répercussions possibles sur la stabilité de l’Amérique et son rôle international. Alors que certains espèrent un retour à l’équilibre, d’autres redoutent que l’économie et la diplomatie américaine dérivent vers l’inconnu.

    Les résultats sont là, mais qu'en pensez-vous ? Êtes-vous satisfait de l'élection de Donald Trump ? N'hésitez pas à nous le dire en commentaire !

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  • Le 6 novembre 2024, Marc Gabriel Draghi, Xavier Moreau, Oskar Freysinger, Lucien Cerise, Philippe Herlin, Youssef Hindi, Sylvain Ferreira, Laurent Michelon, le Général Delawarde, Pierre Antoine Plaquevent, Pierre Jovanovic et Terence d’Araucanie étaient les invités de Raphaël Besliu, Lara Stam, Nicolas Stoquer dans une émission spéciale sur les élections américaines, pour La Matinale, de Géopolitique Profonde.

    Partie 2 :

    03:29:00 : Youssef Hindi, historien de l’eschatologie messianique, explore l'origine et l'influence des idéologies modernes en géopolitique.03:54:00 : Sylvain Ferreira est historien militaire, spécialisé dans les conflits modernes et auteur sur la bataille de Marioupol.04:25:00 : Laurent Michelon, entrepreneur en Chine, actif entre Hong Kong et Pékin, analyse les relations sino-occidentales.04:54:00 : Le Général Delawarde, expert en opérations militaires, a servi dans les chasseurs alpins et la Légion étrangère.05:26:00 : Pierre-Antoine Plaquevent est un essayiste français reconnu pour ses travaux sur les stratégies d'influence des élites mondiales.05:55:00 : Pierre Jovanovic, journaliste économique, est également éditorialiste et auteur d'essais financiers et théologiques.

    Trump en tête face à Harris

    À l’approche des élections de 2024, Donald Trump maintient une avance sur Kamala Harris, incarnant pour ses partisans un retour à un ordre conservateur. Face à une administration Biden critiquée pour l'inflation et l'insécurité, Trump bénéficie d'un regain de popularité. Cependant, cette avance pourrait ne pas garantir la victoire ; le risque de fraudes électorales alimente la méfiance, rendant ce scrutin particulièrement tendu.

    Un choix décisif pour l’Amérique… et le monde

    L'issue de cette élection aura un impact mondial. Un retour de Trump impliquerait un revirement des politiques internationales, un retrait militaire et une priorité nationale. Harris, quant à elle, poursuivrait le multilatéralisme de Biden et renforcerait les alliances. Toutefois, cette continuité pourrait accentuer la polarisation interne, affaiblissant une Amérique divisée.

    Une élection qui pourrait plonger les États-Unis dans le chaos

    Dans certains États, les partisans de Trump redoutent une fraude électorale en cas de victoire de Harris, créant une atmosphère de quasi-guerre civile. Toute issue perçue comme frauduleuse pourrait entraîner des réactions violentes chez les pro-Trump. De même, une victoire de Trump pourrait déclencher des protestations d’ampleur dans le camp démocrate. Les autorités se préparent à des troubles, tandis que le monde observe avec appréhension cette situation où les États-Unis semblent frôler un cycle de violence interne inédit.


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