Episodes
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Nous pouvons faire de notre mieux, mais il n'est pas toujours facile de savoir ce qui est le mieux pour l'environnement. Notre monde est fort complexe et être vert ne se résume pas à réduire, réutiliser et recycler, bien qu'il s'agisse d'un bon point de départ!
Pour reprendre les mots immortels de Kermit la grenouille, « ce n'est pas facile d'être vert ».
C'est le thème que nous explorons dans cet épisode, divisé en deux segments. Dans le premier segment, que nous avons réalisé à l'interne, nous discutons de la mesure dans laquelle notre monde numérique est réellement vert. Dans le second, qui est tiré du balado Simply Science, nous découvrons le monde fabuleux des forêts urbaines. -
Avez-vous l’impression qu’il est un peu plus difficile de mettre du pain sur la table? Les dernières données indiquent que les prix des aliments se sont en grande partie stabilisés... Mais pourquoi avons-nous l’impression qu’il est de plus en plus coûteux de nourrir notre famille? Aujourd’hui, nous discutons de l’inflation alimentaire avec Annie De Champlain, de Statistique Canada.
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Episodes manquant?
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StatCan a publié une nouvelle analyse de la culture en ligne dans laquelle grandissent nos enfants, et celle-ci est loin de représenter le meilleur des mondes possibles : mésinformation, intimidation, violence... et pire encore.
Samuel Perreault se joint à nous pour analyser les résultats de cette étude.
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Plus de 70 langues autochtones distinctes sont parlées par les Premières Nations, les Métis et les Inuit au Canada, mais ces langues sont menacées.
Dans cet épisode, nous nous entretenons avec Randy Morin et Belinda kakiyosēw Daniels, qui partagent leurs connaissances de la langue crie avec les apprenants du Nêhiyawak Language Experience, au sujet de la sagesse encodée dans les langues autochtones, ainsi que des possibilités offertes par ces langues et des obstacles auxquels elles sont confrontées.
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Petit papa Noël
Quand tu descendras du ciel
Avec des jouets par milliers
N'oublie pas... notre entrevue! -
À l’ère des médias sociaux, de l’IA et de l’hypertrucage, il est primordial de savoir discerner les faits des faux renseignements. Aujourd’hui, nous n’avons plus nécessairement pour principale source d’information le bulletin de nouvelles télévisé de 18 h. Amis, famille, chercheurs, influenceurs, artistes, chefs d’antenne, annonceurs… Qui croire?
Timothy Caulfield, expert en mésinformation/ désinformation, auteur, professeur à l’Université de l’Alberta et membre de l’Ordre du Canada, ainsi qu'Éric Rancourt, statisticien en chef adjoint à Statistique Canada, se joignent à nous pour aborder les défis liés à notre environnement de l’information et les mesures à prendre pour lutter contre la mésinformation.
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Gens de tous genres!
Bien que chaque recensement soit spécial et important, celui de 2021 était historique. C’était le premier à inclure une question sur le genre, faisant du Canada le premier pays à recueillir et à publier des données sur la diversité des genres provenant d’un recensement national.
Dans cet épisode, nous explorons les questions sur le genre avec le drag king Cyril Cinder, et nous parlons du Recensement de 2021 avec Laurent Martel de StatCan.
Le Quotidien — Le Canada est le premier pays à produire des données sur les personnes transgenres et les personnes non binaires à l'aide du recensement (statcan.gc.ca)Combler les lacunes : renseignements sur le genre dans le Recensement de 2021 (statcan.gc.ca)
Vidéo: Recensement de 2021 : Sexe à la naissance et genre - un portrait global (statcan.gc.ca)
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Le Canada a franchi une étape importante le 16 juin 2023. Pour la première fois, plus de 40 millions de personnes vivaient au Canada. Cela signifie que quelqu’un est le 40 millionième Canadien. Mais qui est-ce?
Laurent Martel, directeur du Centre de démographie à Statistique Canada, se joint à nous pour explorer ce que les données démographiques peuvent nous apprendre sur cette personne, ainsi que les incidences de l’évolution démographique du Canada et de sa croissance démographique rapide.
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L’Indice des prix à la consommation (IPC) de Statistique Canada nous en dit beaucoup à propos de l’économie… mais encore faut-il savoir où regarder.
Guy Gellatly, conseiller économique en chef à Statistique Canada, se joint à nous pour démystifier l’IPC et répondre à nos questions au sujet de l’économie. Quel est le taux d’inflation idéal? Une inflation nulle, est-ce quelque chose qu’on devrait viser? Et qu’est-ce qu’une spirale déflationniste? -
Le Canada est confronté à la fois à une crise climatique et à une crise du logement, qui sont interreliées.
Les choix que nous faisons par rapport à nos habitations — leur emplacement et le besoin d’utiliser un véhicule pour nous déplacer, leur source de chaleur et les matériaux dont elles sont construites, notamment — ont une incidence sur l’environnement.
Par ailleurs, le climat a des conséquences sur nos habitations. Lorsque des événements météorologiques violents se produisent et les endommagent, nous n’avons d’autres choix que de les reconstruire. Si par chance, elles s’en sortent indemnes, nous devons tout de même déterminer la mesure dans laquelle notre style de vie doit changer pour s’adapter aux changements climatiques.
Andrew DeFazio, Conseiller du Bureau de changement climatique à la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), discute avec l’équipe du balado comment adopter une stratégie climatique qui tient compte de nos habitations et comment adapter notre stratégie de logement au climat.
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À une époque, Statistique Canada ne mesurait pas la pauvreté, pas exactement en tout cas. La pauvreté est complexe et personne ne s’entendait sur la manière de la définir. Par conséquent, même si StatCan mesurait bien le faible revenu et d’autres indicateurs de l’inégalité des revenus, il ne mesurait pas la pauvreté à proprement parler. Ce fut le cas jusqu’en 2018, lorsque la mesure du panier de consommation (MPC) est devenue le seuil de pauvreté officiel du Canada. Cela signifie que le gouvernement se sert maintenant de la MPC pour effectuer le suivi de ses cibles de réduction de la pauvreté.
Quelque chose d’inattendu s’est produit au cours de la pandémie : le taux de pauvreté a diminué en 2020 – et de beaucoup. En une seule année, ce taux a diminué pratiquement autant qu’il l’avait fait au cours des quatre années précédentes.
Mais qu’est-ce qui s’est passé? Le taux de pauvreté continuera-t-il à baisser? Qu’arrivera-t-il s’il atteint zéro? Quelles seraient les répercussions sur les résultats en matière de santé? Sur les études? Sur le bonheur et le bien-être général des gens?
Existe-t-il un moment et un endroit au Canada où le taux de pauvreté a été zéro? La situation la plus proche peut avoir été l’expérimentation Mincome, qui s’est déroulée au Manitoba dans les années 1970. Beaucoup de Canadiens n’ont jamais entendu parler de cette expérimentation de revenu garanti, mais celle-ci offre un aperçu de ce à quoi pourrait ressembler l’élimination de la pauvreté.
Pour en savoir plus, nous avons discuté avec Burton Gustajtis , économiste à Statistique Canada, Evelyn Forget, professeure en économie et en sciences de la santé communautaire à l’Université du Manitoba, et Kevin Milligan, professeur en économie à la Vancouver School of Economics de l’Université de la Colombie-Britannique.
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Si c’est la première fois que vous entendez parler de Sylvia Ostry, ouvrez grand les oreilles! Sylvia a été nommée au poste de statisticienne en chef en 1972. Première et seule femme à avoir joué ce rôle au Canada, elle n’y est pas parvenue par un chemin tout tracé. Elle avait certes de l’ambition, mais elle a évolué dans une société où il n’était pas bien vu pour une femme d’avoir une carrière.
Sylvia était également juive. Malgré l’obtention d’un doctorat en économie à l’université de Cambridge, elle s’est vu refuser un poste à l’Organisation des Nations Unies en raison de son sexe. Quoi qu’il en soit, elle a connu une carrière bien remplie : elle a occupé le poste de présidente du Conseil économique du Canada, puis celui d’économiste en chef de l’OCDE. Mais nous ne nous attarderons pas à ses réalisations professionnelles. Nous parlerons plutôt de la manière dont elle a repoussé les limites pour atteindre le succès et devenir une mère et une économiste respectée. Nous verrons comment elle a fait face aux revers et à la discrimination tout en demeurant fidèle à elle-même et en faisant preuve d’une intégrité qui a fait sa renommée.
Nous soulignons le 50e anniversaire de la nomination de Sylvia Ostry au poste de statisticienne en chef. Dans cet épisode du balado « Hé-coutez bien », où vous entendez des entrevues avec ses fils Adam et Jonathan Ostry, nous sommes ravis de vous présenter cette femme remarquable et de vous donner huit conseils inspirés de sa vie.
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Plus de deux ans après s’être déclarée, la pandémie persiste, nous forçant à nous y adapter au quotidien. Nous avons pu constater que des interruptions de service, des fermetures et des retards survenaient fréquemment, que ce soit en raison des pénuries de semi-conducteurs, de mauvaises conditions météorologiques ou de changements au niveau de l’offre et de la demande. On se demande quelle est la véritable cause de ces perturbations, et en quoi consiste au juste la fameuse chaîne d’approvisionnement dont tout le monde parle? Notre invité, Benoit Carrière, économiste à Statistique Canada, discute de la chaîne d’approvisionnement, de sa nature et des raisons de son importance pour les Canadiens. Il parle aussi de l’effet d’entraînement de la chaîne d’approvisionnement sur les biens et services de consommation.
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Les soins de santé sont un privilège qui revêt une très grande importance aux yeux des Canadiens. Cela dit, les soins de santé virtuels étaient très peu courants avant la pandémie de COVID‑19. Dès le début de la pandémie, en mars 2020, les Canadiens n’ont eu d’autre choix que de revoir la façon dont ils accèdent aux soins de santé. Les consultations, qui auraient normalement eu lieu dans le cabinet du médecin, se déroulaient dorénavant par téléphone ou par clavardage vidéo. Il s’est écoulé deux ans et l’on constate que la plupart des soins de santé sont maintenant offerts virtuellement. La question est de savoir si l’accès aux soins de santé virtuels va disparaître lorsque la pandémie prendra fin. Avec notre invité, docteur Yanick Beaulieu, cardiologue-intensiviste, pionnier et innovateur dans le domaine des soins virtuels, nous allons nous pencher sur ces obstacles, sur les changements que nous avons observés durant la pandémie, et sur les mesures qui sont prises pour que les soins virtuels deviennent une réalité permanente.
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Le Canada est une société plurielle, ayant un patrimoine culturel d’une grande richesse. Les divers peuples issus des quatre coins du monde ont fait du Canada une terre d’accueil. Néanmoins, même dans une société aussi plurielle que la nôtre, il peut être difficile d’éliminer toutes les formes de discrimination. Dans cet épisode, nous avons voulu porter un regard critique sur la manière dont les préjugés qui nourrissent le racisme systémique peuvent avoir un effet même sur les éléments les plus neutres : nos données. Les données ont la réputation de refléter la réalité de la manière la plus factuelle possible, mais est-ce toujours le cas? Nous nous sommes aussi questionnés sur le rôle que peuvent jouer les données dans la lutte pour une société canadienne plus équitable.
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Écoutez ce qui vous attend au cours de la deuxième saison d'Hé-coutez bien! et abonnez-vous pour ne rien manquer.
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La pandémie de COVID-19 a eu une incidence indéniable sur la façon dont nous dépensons notre argent. Il est donc essentiel de documenter ces changements dans les habitudes de dépenses pour permettre la prise de décisions et fournir aux Canadiens des renseignements actuels et exacts sur la variation des prix à la consommation. L’Indice des prix à la consommation (IPC) est l’indicateur le plus couramment utilisé pour mesurer l’inflation et la variation des prix à la consommation au Canada. Notre invité, Clément Yélou, un économiste de Statistique Canada, explique pourquoi l’IPC est un outil important pour l’élaboration d’une politique économique et la surveillance des conditions économiques. Il mettra également en lumière les raisons pour lesquelles vous devriez vous préoccuper de l’inflation et de ses répercussions sur différents groupes de la population et sur le coût de la vie.
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Le dernier épisode de la saison 1 d’Hé-coutez bien porte sur le marché florissant des petits boulots et de leur place dans un contexte d’emploi changeant de flexibilité et d’instabilité. Quels sont les avantages et les inconvénients socioéconomiques d’être un travailleur à la demande et quelle incidence la COVID-19 a-t-elle sur eux? De plus en plus de gens travaillent de la maison et la structure d’une journée de travail change en raison de la pandémie, alors comment ces changements seront-ils traduits dans l’économie canadienne à l’avenir? Paul Glavin, professeur agrégé de sociologie à l’Université McMaster, parle de l’incidence et de l’essor des travailleurs à la demande au pays ainsi que des libertés et des limites qui se présentent à eux.
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La pratique ancienne de travailler avec ses mains à des projets d’artisanat a connu un regain d’intérêt pendant la pandémie, à un moment où les gens ont voulu se garder occupés, essayer un nouveau passe-temps ou peaufiner leurs habiletés à un niveau professionnel. Mais ce n’est pas tout, selon Maegen Black, directrice de la Fédération canadienne des métiers d’art. Nous discutons du mouvement des arts et de l’artisanat au Canada, de sa renaissance et de sa nécessité.
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De maintes façons, la pandémie menace le bien-être mental et physique des enfants, des parents et des enseignants partout au pays. Pour aider à mettre fin à la pandémie et à revenir à la normale, les décideurs ont dû faire des choix difficiles, comme fermer des écoles. Avec notre invitée, la docteure Hilary Myron, pédiatre à l’hôpital Montfort, nous discutons des effets potentiels à court et à long terme de la fermeture des écoles sur les enfants et leurs parents.
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