Episodes
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La dernière séance boursière du mois de novembre s'annonce relativement calme parce que les investisseurs américains ont déserté les marchés avec le jeudi férié de Thanksgiving. Ceux qui ne sont pas partis en weekend n'auront droit aujourd'hui qu'à une demi-séance, puisque Wall Street ferme traditionnellement à 13h00 pour le "Black Friday". En ce qui concerne l'Europe, je vais parler d'Atos et de BCE.
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Oui, je sais, ce titre est à la limite de la dystopie. Pendant que les Etats-Unis vont passer la journée à s'acharner sur des volailles dodues et des plats peu digestes à base de courge, l'Europe va essayer de se remettre la tête à l'endroit en tentant d'oublier les déboires politiques français. Hier, les marchés actions ont baissé, même si les investisseurs américains ont bénéficié d'un indice favorable à une baisse des taux de la Fed le 18 décembre.
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Episodes manquant?
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Curieuse ambiance sur les marchés. Les Européens se demandent quand la foudre Trump va leur tomber dessus via une déclaration enflammée sur le réseau Truth Social, comme elle est tombée sur le Canada, le Mexique ou la Chine avant-hier. Wall Street signe de nouveaux records pendant que le reste des places boursières doute. En France, l'ambiance est, comment dire, pas terrible.
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La tectonique des plaques financières a pas mal évolué sur la journée d'hier. Deux faits majeurs ont marqué la séance boursière, avant qu'un troisième ne vienne rebattre les cartes post-clôture aux Etats-Unis. On va prendre les choses dans l'ordre : Wall Street adore Bessent, les rumeurs de cessez-le-feu au Proche-Orient plombent le pétrole et la défense, Trump révèle les premières cibles de ses surtaxes douanières.
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Les publications trimestrielles d'entreprises touchent à leur fin pendant que la future administration américaine se met en place. En Europe, le spleen est toujours palpable sur certains marchés, notamment en France où les Jeux Olympiques ne masquent déjà plus le manque de dynamique économique et les dissensions politiques. Les banques centrales vont revenir sur le devant de la scène en décembre avec des enjeux forts mais divergents des deux côtés de l'Atlantique.
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Au milieu des nominations de la future équipe Trump, les investisseurs ont pris connaissance des résultats de Nvidia et de l'escalade des moyens entre l'Ukraine et la Russie. Les marchés actions, eux, regardent plutôt vers le haut, même si les crispations géopolitiques sont en train de prendre du poids.
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Les derniers résultats de la star de la cote américaine n'inspirent pas beaucoup les investisseurs. Ils n'ont pas non plus éprouvé le besoin de pulvériser le titre. Cet entre-deux ne fait pas les affaires du marché dans son ensemble, qui aurait bien besoin d'un petit shot de vitamines pour se relancer. Le bitcoin en profite pour affoler les compteurs.
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Tout le monde retient son souffle pour la "Journée Nvidia", qui a intégré en l'espace de quelques trimestres le cercle très fermé des faiseurs et défaiseurs de tendances sur le marché boursier. La star de l'intelligence artificielle communiquera ses dernières performances financières ce soir après la clôture de Wall Street, tout en essayant de faire briller les yeux des investisseurs sur ses futurs bénéfices. Il y aura pas mal de boulot pour faire oublier la montée des tensions avec la Russie.
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Le marché boursier se perd toujours en conjecture sur l'impact de la seconde présidence Trump, notamment en ce qui concerne les taux d'intérêts. Les investisseurs vont aller chercher un peu de distraction du côté des résultats de leur nouvelle star, Nvidia, demain soir. En attendant, il est question ce matin de Nestlé, de déclassement européen et de scission d'Alphabet.
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Les espoirs d'envolée des indices après le triomphe électoral de Donald Trump se sont heurtés à quelques vents contraires la semaine dernière. Les investisseurs ont toujours le doigt sur la gâchette de la prise de risque, mais ils sont mal à l'aise avec un certain nombre d'éléments, en particulier l'évolution des taux directeurs aux Etats-Unis dans une configuration baisse des taxes / hausse des barrières douanières.
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Le Trump Trade a croisé la route du patron de la Fed un peu plus tôt que prévu. Jerome Powell a laissé entendre que le rythme des baisses de taux tant attendues pourrait être moins vif que ne l'espère le marché, parce que l'économie US va bien. Le petit drapeau rouge de l'inflation a resurgi en crispant un peu les investisseurs.
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Les secousses consécutives à l'élection de Donald Trump pour un second mandat à la tête des Etats-Unis continuent à se propager. Les investisseurs ont tendance à rapatrier leurs paris haussiers sur Wall Street, ce qui pénalise les autres places, pendant que des mécaniques profondes et sans doute durables se mettent en place, notamment sur le marché des changes.
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Pendant que Donald Trump tisse sa toile, la tectonique des plaques financières continue à s'ajuster. Après les réactions reptiliennes qui ont profité aux actifs offrant le plus d'effet de levier à court terme, des mécaniques plus fondamentales entrent en action, en particulier autour des projections de taux directeurs et de la nouvelle donne commerciale. Dans ce contexte, l'Europe trinque.
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Alors que l'Europe boursière a tenté un réveil hier, Wall Street a hésité, pénalisée par ses valeurs technologiques. Le vieux Dow Jones et le S&P500 ont toutefois terminé en hausse, sur de nouveaux records. Les actifs censés profiter de l'élection de Donald Trump ont continué à flamber.
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Cette journée de commémoration de la fin de la Grande Guerre est fériée dans certains pays, mais elle n'est pas chômée sur les marchés financiers. L'actualité est toujours largement Trumpo-centrée, les décideurs de tout poil cherchant à prévoir ce qui va se passer au cours des quatre prochaines années.
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Le triomphe électoral de Donald Trump et une réunion de la Fed parfaitement en ligne avec les attentes des financiers permettent aux marchés de continuer sur leur lancée. L'indice S&P500 est en passe de dépasser la barre symbolique et inexplorée des 6000 points, 9 mois après avoir allègrement effacé celle des 5000.
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Sauf à habiter sur la lune ou à disposer d'une force de caractère inaltérable pour se soustraire à toute forme d'emprise médiatique, échapper à l'élection présidentielle américaine semble à peu près impossible. C'est donc la grosse actualité du jour et le probable psychodrame des heures à venir. Le marchés financiers sont, sans surprise, dans un mode attentiste.
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La 45e semaine de l’année 2024 permettra de désigner le ou la 47e locataire de la Maison Blanche aux Etats-Unis. C’est évidemment une semaine charnière pour les marchés financiers, d’autant qu’elle hébergera aussi plusieurs décisions de politique monétaire et quelques centaines de résultats d’entreprises.
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Les marchés actions sont restés très volatils, et baissiers, à moins d'une semaine de l'élection présidentielle aux Etats-Unis. Les résultats d'entreprises continuent à provoquer des variations exubérantes. Les publications de 5 des 7 magnifiques cette semaine ont ajouté à la confusion : Alphabet et Amazon ont brillé, Microsoft et Meta ont coulé et Apple n'a rassuré personne. Octobre 2024 restera dans les annales comme un mois modérément baissier.
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Les marchés jouent à se faire peur pour Halloween, ce qui est plutôt dans l'ordre des choses. La proximité de l'élection présidentielle américaine et quelques mauvaises surprises sur les résultats d'entreprises pèsent sur le moral des troupes. Et si le S&P500 américain est quasiment au même niveau qu'il y a une semaine, il y a pas mal de variations extravagantes sur les actions.
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