Episodes
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Qu’on soit citoyen·ne - initié·e aux low-tech ou non, bricoleur·euse ou non, technicien·e ou non - ou association, une question ressort : comment s’emparer des savoir-faire low-tech ou en faire son mode de vie ? Les échanges et les retours d’expériences qui ont encouragé certains acteurs à adopter cette démarche seront au cœur de cette conférence. Leur participation au processus de création ou d’usage des low-tech ont parfois donné naissance à des communautés qui ont fait réseau. A chacune son indépendance, ses champs d’action - à visée sociale ou en résonance avec des besoins territoriaux - et ses perspectives d’évolution.
Conférence enregistrée le lundi 27 juin 2022 à Concarneau dans le cadre du Low-tech Festival organisé par le Low-tech Lab.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cet entretien, Michaël Ghyoot, Bruxellois, et architecte de formation, revient sur son parcours, son amour des livres, des sciences humaines, de l’architecture et de son histoire… Parcours qui l’amène, par un (heureux) hasard, à croiser (et rejoindre) la route d’une toute jeune association : Rotor.
Rotor, c’est “un groupe de personnes reliées par une curiosité pour la façon dont fonctionnent les choses en général”, (et les flux de matières dans le secteur de la construction en particulier). Une curiosité fructueuse et productive : missions d’assistance à maîtrise d’ouvrage, projets de recherche, développement d’outils, mais aussi réalisation d’expositions, alimentation des débats d’idées et forte influence dans la sphère culturelle, institutionnelle et l’enseignement supérieur. Rien que ça.
On explore ensemble les moments marquants et fondateurs de l’identité de l’association, l’évolution et le développement de nouvelles activités, et la notion au cœur de l'activité de Rotor aujourd’hui : celle du réemploi. Les enjeux qui y sont associés, sa place dans la chaîne de valeur, et ses limites aussi. Car l’étape préalable reste de questionner la nécessité même d’une démolition : in fine démolir moins mais mieux, de façon plus raisonnée, pour réduire à la fois les volumes de déchets d’un côté, et l’impact de la production des matériaux de l’autre.
Un sujet passionnant, capital, raconté avec soin et pédagogie… Bonne écoute ! :)
***Pour en savoir plus sur Rotor et ses activités, retrouvez tous les contenus produits à la suite de cette enquête du Low-tech Lab :
▶️ La vidéo : https://youtu.be/EVry-UVStks
📒 L'article : https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-9-rotor
📷 Le reportage photo : http://photo.lowtechlab.org/index.php?/category/54
Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ?
Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus : https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-lab
P.S. Les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Episodes manquant?
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Dans le cadre de la huitième enquête du Low-tech Lab, nous échangeons avec Vincent Liegey ; ingénieur de formation, il se définit aujourd’hui comme chercheur, auteur et conférencier.
Il a cofondé Cargonomia, un collectif presque organique né en 2014 à Budapest. Construit par des rencontres, des idées, il s’apparente aujourd’hui, au travers de diverses activités (livraisons de paniers de légumes locaux en vélo-cargo, aménagement de jardins partagés, organisation d’événements conviviaux), à un centre de recherche et d’expérimentation d’un modèle de société low-tech, solidaire et soutenable, que Vincent nous décrit derrière son principal sujet de recherche : la décroissance.
On revient ensemble sur la genèse de Cargonomia, rendue possible par les spécificités et le contexte local ; il nous parle de l'originalité du modèle, de ses vertus, mais aussi de ses limites. En fil rouge, des questions peut-être plus profondes encore. Ici l’enjeu n’est pas de croître en volume, en biens, en richesses, en quantité, mais de viser la qualité, l’équité et l’autonomie de chacun.
Un entretien dense et riche en références, qui invite à repenser nos rapports au temps, au travail, à la technique. Penser l’utopie, rendre visible l’invisible : récit de nouveaux imaginaires, par Vincent Liegey.
Bonne écoute !
***Pour en savoir plus sur Cargonomia, retrouvez tous les contenus produits à la suite de cette enquête du Low-tech Lab :
▶️ La vidéo : https://youtu.be/n7ocSuwHHDw
📒 L'article : https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-8-cargonomia
📷 Le reportage photo : http://photo.lowtechlab.org/index.php?/category/53
Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ?
Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus : https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-lab
P.S. Les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ce septième entretien a été réalisé dans le cadre de l’enquête menée auprès d’une partie (bretonne, essentiellement) de la communauté française Precious Plastic. Nous y échangeons avec Yann Chauvin, ingénieur de formation et membre de la Core Team — à ce moment là temporairement basée à Nantes.
Il revient sur sa découverte des machines Precious Plastic et son investissement progressif dans la communauté, initié par une participation à un projet de recherche et développement collectif, en 2018, la “V4” du projet. Ces premiers pas marquent le début d’une longue série, Yann ayant depuis intégré “l’équipe cœur” de ce mouvement aujourd’hui largement déployé à l’international.
Yann aborde les points forts du projet Precious Plastic : son fonctionnement en open source basé sur la perception du savoir comme bien commun et sa communauté s’appuyant sur une plate-forme collaborative.
Pour faciliter la navigation dans cet échange, vous trouverez ci-dessous un chapitrage détaillé du podcast. Dernière chose, les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé·e·s et ne reflètent pas nécessairement les idées ou le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Bonne écoute !
Pour en savoir plus sur les enjeux liés à la question du recyclage des déchets plastiques, retrouvez les contenus complémentaires produits dans le cadre de cette enquête :
L’article détaillé sur l’émergence de filières de recyclage du plastique, et le rôle de l’open-source dans leur développement, directement sur le site du Low-tech Lab :
📒 https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-7-communaute-precious-plastic
La vidéo au cœur des acteurs français de la communauté Precious Plastic :
▶️ https://youtu.be/yDb82nJfdN4
Le reportage photo illustrant ces différentes rencontres et activités :
📷 http://photo.lowtechlab.org/index.php?/category/52
👇 Les chapitres
2:42 - Présentation de l’enquête et de Yann
7:30 - Historique de Precious Plastic
16:25 - Au sujet de la R&D collaborative
20:15 - Aujourd’hui, où en est PP ?
24:50 - Déclics, apprentissages perso ?
30:00 - Au sujet de l’open source
32:30 - C’est quoi les enjeux de la Core Team ?
37:40 - Des exemples de projets?
41:30 - Question des normes CE : comment ça se passe ? (assurances, sécurité, normes…)
49:00 - Ton quotidien, une semaine type ?
56:13 - Et toi, personnellement : à quoi as-tu envie de contribuer, qu’est-ce qui t’anime ? **
1:06:30 - Comment tu vois évoluer PP (le mouvement) ?
1:15:00 - Autres projets ? (complémentarité avec PP)
1:19:20 - Inspirations / Guides / Référence ?
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Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ? Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus :
https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-lab
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ce sixième entretien a été réalisé dans le cadre de l’enquête menée auprès de la coopérative d’agricultrices et d’agriculteurs L’Atelier Paysan, et d’un ensemble de ses sociétaires, paysans, formateurs, etc.. Nous y échangeons avec Romuald Botte, paysan maraîcher et éleveur.
Il revient sur son parcours personnel, sa découverte et son engagement progressif au sein de la coopérative. Celle-ci oeuvre depuis un peu plus de dix ans au partage de savoirs et savoir-faire liés à la technologie paysanne, principalement au travers de colportage d’initiatives, et de formations politiques, au travail du métal, mais aussi aux techniques agronomiques, à l’installation en autonomie, et surtout à l’auto-construction de bâti ou d’outils appropriés.
C’est notamment via cette structure qu’il a développé les compétences lui permettant de fabriquer, de réparer et d’adapter ses propres outils, avant d’animer lui-même des formations à destination d’autres agriculteurs et agricultrices installé·e·s, comme lui, dans les Hauts de France.
Il a également participé à la conception collective de la chti’bine, un lit de travail électrique permettant de désherber allongé au-dessus des cultures, ou de biner avec précision. Comme toutes les technologies conçues au sein de l’Atelier Paysan, cette machine a ses plans partagés sous licence open-source et fait l’objet de formations à l’auto-construction.
Pour faciliter la navigation dans cet échange, à ce jour le plus long de cette série, vous trouverez ci-dessous un chapitrage détaillé du podcast. Dernière chose, les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewées et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Bonne écoute !
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Pour en savoir plus sur les enjeux techniques, économiques, écologiques et politiques actuels de la transition énergétique du bâtiment, et sur l’intérêt dans ce contexte de favoriser une autonomisation énergétique des ménages, retrouvez :
- L’article détaillé, s’appuyant sur le manifeste de l’Atelier Paysan pour resituer largement l’enquête, directement sur le site du Low-tech Lab :
📒 https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-6-atelier-paysan
- La vidéo au coeur du quotidien de L'Atelier Paysan et de ses sociétaires :
▶️ https://www.youtube.com/watch?v=7BTsrH6ulwQ
- Le reportage photo réunissant des images de l’AMAP des Weppes (59), de l’AG de l’Atelier Paysan à Renage (38), du salon Terr’eau Bio à Brie (02) et de la rencontre avec les porteurs de Farming Soul à Hyères (83) :
📷 http://photo.lowtechlab.org/index.php?/category/51
👇 Les chapitres
Passer l’introduction (1:19)
Parcours de Romuald - qu’est-ce qui t’a amené au maraîchage ? (2:16)
Comment s’est passée ton installation ? (9:30)
Comment s’est constituée l’AMAP ? (20:45)
Comment qualifier ta pratique ? (32:07)
Quel est ton parcours au sein d’Atelier Paysan ? (56:03)
Quelles sont tes dernières implications dans l’Atelier Paysan ? (1:10:09)
Au-delà de la technique (1:12:47)
Sujet de la pénibilité du travail ? (1:18:27)
Une référence à partager ? (1:30:47)
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Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ? Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus :
https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-lab
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans le cadre de la cinquième enquête du Low-tech Lab, nous échangeons avec Samuel Le Berre, thermicien de formation, qui a fondé en 2010 l’entreprise Aezeo près de Lorient.
Au travers de ce modèle atypique d’activité associant expertise, recherche et développement, et surtout formations très générales et adaptées à l’autonomie énergétique, Samuel souhaite redonner du pouvoir à tout un chacun.
Les systèmes de chauffage qu’Aezeo a développés, par exemple ses panneaux solaires thermiques et ses poêles bouilleur (à la croisée d’un poêle à bois-bûche et d’une petit chaudière bois), peuvent être rapprochés d’une “démarche low-tech” : simples, économes ou passifs, assemblables sans gros outillage, à partir de sous-ensembles fabriqués par des entreprises sociales, ou de matières premières pré-découpées localement.
Mais le cœur de leur activité consiste surtout à transmettre cette démarche, à faciliter l’appropriation de ces technologies, la montée en compétence, et l’autonomisation énergétique, par la formation théorique et pratique ou l’accompagnement au dimensionnement, à l’auto-construction et à l’installation. Il s’adresse à ce titre aux particuliers, aux professionnels et aux techniciens de collectivités.
Pendant cet entretien libre, Samuel nous parle de ce qui l’a initialement poussé à s’inscrire dans cette démarche, de la génèse d’Aezeo, de sa vision de l’autonomie, de l’apprentissage, ou de l’auto-construction, de ce qui se joue dans une formation Aezeo et de ses espoirs pour le futur.
Bonne écoute !
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Pour en savoir plus sur les enjeux techniques, économiques, écologiques et politiques actuels de la transition énergétique du bâtiment, et sur l’intérêt dans ce contexte de favoriser une autonomisation énergétique des ménages, retrouvez :
l’article détaillé de l’enquête directement sur le site du Low-tech Lab :
📒 https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-5-aezeo
la vidéo au coeur du quotidien d’Aezeo :
▶️ https://youtu.be/PNtqRSACcag
le reportage photo réalisé dans les locaux de l’entreprise à Larmor-Plage (56) :
📷 http://photo.lowtechlab.org/index.php?/category/50
Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ? Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus :
https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-lab
P.S. Les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La quatrième enquête du Low-tech Lab présente une interview de Marie Le Guen, co-fondatrice avec son mari Gilles d’Océane Alimentaire. Cette conserverie artisanale de produits agricoles et de la mer est installée sur le port de St Guénolé, à Penmarc'h en Bretagne. L’activité débute dans les années 90 en intégrant une démarche low-tech dans l'organisation pour une croissance stable et durable. La conserverie de Gilles et Marie bouscule les codes structurels de l’usine classique.
Dans une conversation à "coeur ouvert", Marie se confie sur la difficulté des débuts, les batailles politiques, les contraintes administratives, les bonnes rencontres et les opportunités qu’ils ont traversées et saisies. Ce pilier de la famille Le Guen aborde aussi les enjeux de territoire, la production locale et artisanale, la mutualisation des ressources et des savoir-faire, la diversification nécessaire et choisie, la saisonnalité et la vente en circuit court.
Bonne écoute !
➡️ Retrouvez sur notre site internet plus de contenus sur cette enquête : https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-4-oceane-alimentaire
📹 Une vidéo de 13 minutes présentant la stratégie de développement d'Océane Alimentaire : https://youtu.be/F7pyX7qCNOs
📝 Un article résumé de Quentin Mateus, coordinateur des Enquêtes du Low-tech Lab, portant sur "le contexte et les spécificités inspirantes du modèle d'entreprise d'Océane Alimentaire : https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-4-oceane-alimentaire
📷 Un album photo en ligne illustrant l'enquête : http://photo.lowtechlab.org/index.php?/category/49
Et à paraître :
📒 L’étude de cas rédigée et ses annexes détaillant l'évolution du model organisationnel économique et sociale.
Les Enquêtes du Low-tech Lab, kesako ?
Et si demain notre société était plus low-tech, à quoi ressembleraient nos organisations dans ce monde plus respectueux des humains et de la Planète ? C’est pour répondre à cette question que le Low-tech Lab a lancé - grâce au soutien de l'ADEME Ile-de-France et de la Region Bretagne - une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
P.S. Les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans le cadre de la troisième enquête du Low-tech Lab, nous échangeons avec Ambre Diazabakana, coordinatrice de l'association La Fumainerie Bordeaux, et Mathieu Préel, gérant de l'entreprise girondine Un Petit Coin de Paradis. Ils sont tous les deux, à leur façon, à l'initiative d'une expérimentation grandeur nature d'usage de toilettes sèches en ville, et de services de collecte, de stockage et de revalorisation locale des matières fécales et urines collectées, amorcée en 2019 et lancée depuis juillet 2020.
Au travers de leurs activités respectives ils visent à sortir les excreta des circuits d'eau usées (tout-à-l'égout et stations d'épuration), pour préserver les ressources en eau et pouvoir utiliser de façon plus circulaire ces matières comme engrais et fertilisant agricole. Cette expérimentation à la fois sociale, technique, agronomique, économique et politique, leur permet de tester un certain nombre d'hypothèses et d'accompagner l'évolution rapide des services publiques et des acteurs privés de la filière vers d'autres systèmes d'assainissement collectif plus soutenables, appropriés et accessibles au plus grand nombre.
Pendant cet discussion croisée, ils reviennent sur leurs parcours respectifs, leurs visions des enjeux d'une gestion plus circulaire des excreta en ville, leurs motivations au quotidien, et ce à quoi leurs projets aspirent en terme de transformation sociale.
Bonne écoute !
Pour plus d’informations techniques sur le modèle de toilettes sèches à séparation fabriqué par Un Petit Coin de Paradis à Bordeaux (le bibok), rendez-vous la page dédiée de leur site, et retrouvez un tutoriel de fabrication du modèle de toilettes à litière biomaitrisée le plus simple (sans séparateur), sur la plateforme wiki du Low-tech Lab :
🚽 https://unpetitcoindeparadis.org/bibok-toilettes-s-ches-s-paration
🛠 https://wiki.lowtechlab.org/wiki/Toilettes_s%C3%A8ches_familiales
Pour en savoir plus sur l'expérimentation de la Fumainerie et les autres acteurs de la filière girondine de séparation à la source, de collecte et de revalorisation locale des excreta, retrouvez l'article et l'ensemble des contenus publiés à la suite de cette enquête du Low-tech Lab :
📒 La page dédiée du site : https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-3
▶️ La vidéo : https://youtu.be/5PRxBkH7JKk
⌨️ Le site de la Fumainerie : https://www.lafumainerie.com/
Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ?
Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus : https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-lab
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P.S. Les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans le cadre de la deuxième enquête du Low-tech Lab, nous échangeons avec Arnaud Cretot, artisan-ingénieur, boulanger et torréfacteur solaire, installé à Montville près de Rouen. Il œuvre au développement et à la diffusion des fours à concentration solaire professionnels Lytefire depuis 2014, et s’est installé lui-même en tant qu’artisan solaire en 2018 lorsqu’il a créé NeoLoco.
Au travers de ses activités, Arnaud souhaite changer la culture ; nos habitudes de consommation, nos techniques de production et le rapport collectif que nous avons au local, à l’énergie, à l’alimentation. Il fait la démonstration qu’il est possible, en France et qui plus est en Normandie, de mener une activité viable à la fois soutenable, utile, authentique et libre.
Sa démarche et celle de Solar Fire ne s’arrêtent pas là, il transmet aujourd’hui ses apprentissages à d’autres artisans solaires qui suivent son exemple. Accompagnés par Solar Fire France, ils s’équipent d’un four à concentration solaire fabriqué au Havre par CPM Industries, s’installent ailleurs en France, développent leurs propres recettes et circuits de distribution pour déployer toujours plus loin une nouvelle économie solaire directe, décentralisée, sociale et émancipatrice !
Pendant cet entretien, Arnaud revient sur son parcours personnel et les raisons qui l’ont amené à développer ce nouveau modèle d’activité. Il détaille son organisation au quotidien et sa vision des enjeux socio-culturels de la sobriété énergétique et d’une société plus sensée et plus libre.
Le four solaire d’Arnaud est un modèle constitué d’un capteur de 11 m2 de miroirs, qui suit la course du Soleil, renvoie ses rayons vers la vitre d’une boite en acier bien isolée et qui peut monter rapidement à des températures de transformation alimentaire (jusqu’à 250 °C en 1h de plein Soleil). Avec cet équipement il produit en moyenne 110 à 120 kg de pain par jour de boulangerie et torréfie des graines locales qui lui servent de base à la confection de produits emblématiques tels que des graines salées pour l’apéro, des cafés sans café, des épices normandes ou des plaques sucrées proches d’une tablette de chocolat.
Bonne écoute !
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Pour plus d’informations techniques sur cette solution low-tech pour la cuisson à l’échelle individuelle, rendez-vous sur la page du tutoriel détaillé du Low-tech Lab :
🛠 https://wiki.lowtechlab.org/wiki/Four_solaire_(cuiseur_type_bo%C3%AEte)
Pour en savoir plus sur NeoLoco et Solar Fire, retrouvez tous les contenus produits à la suite de cette enquête du Low-tech Lab :
▶️ La vidéo : https://youtu.be/Qwbyf9vdgsQ
📒 L'étude de cas : https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-2
Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ?
Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus : https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-lab
P.S. Les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans le cadre de la première enquête du Low-tech Lab, nous échangeons avec Loïck Kalioudjoglou, ingénieur nantais qui a rejoint l’association APALA — Aux Petits Acteurs l’Avenir — et fondé la société Enerlog en 2019.
Au travers de ses activités, Loïck souhaite permettre à tout un chacun de tendre vers une plus grande résilience énergétique.
Pendant cet entretien libre, il revient sur son parcours et les raisons qui l’ont amené à s’intéresser à la démarche low-tech, ou à développer un modèle de capteurs à air chaud éco-conçu et facile à fabriquer. Il présente les activités d’Enerlog au travers desquelles il propose aujourd’hui des formations à la fabrication de ces systèmes de chauffage low-tech. Il décrit le rôle que joue aujourd’hui APALA dans l’émergence d’un réseau d’acteurs professionnels de la low-tech en Pays de la Loire. Enfin, il expose sa vision d’une transition soutenable de nos modes de vie et territoires.
Le chauffe-air solaire que Loïck a développé est principalement composé d’un panneau d’ardoises derrière une vitre, et s’installe directement sur la façade extérieure de l’habitat ; il ne nécessite quasiment pas d’énergie rapportée.
Bonne écoute !
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Pour plus d’informations techniques sur cette solution low-tech pour l’habitat, rendez-vous sur la page du tutoriel détaillé du Low-tech Lab :
🛠 https://wiki.lowtechlab.org/wiki/Chauffage_solaire_version_ardoise
Pour en savoir plus sur APALA et Enerlog, retrouvez la vidéo et l’étude de cas rédigée à la suite de cette première enquête :
▶️ La vidéo : https://youtu.be/xJg0edNP7jc
📒 L'étude de cas : https://lowtechlab.org/fr/actualites-blog/enquete-01
Les enquêtes du Low-tech Lab, kesako ?
Pour accompagner la professionnalisation et identifier les enjeux d’une plus large implémentation des low-tech à l’échelle du collectif, le Low-tech Lab part à la rencontre des premiers acteurs professionnels de la low-tech : une série d’enquêtes de terrain auprès d’initiatives françaises qui incarnent et diffusent localement une démarche low-tech.
👉 En savoir plus : https://lowtechlab.org/fr/le-low-tech-lab/les-actions/les-enquetes-du-low-tech-labP.S. Les propos tenus dans cet entretien sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bienvenue au cœur des Enquêtes du Low-tech Lab, une association qui cherche à démocratiser des technologies utiles, durables et accessibles : les low-tech !
La mission du Low-tech Lab est de dénicher ces solutions, de les tester, les documenter et les diffuser, dans le but de créer des synergies au delà des frontières! Car nous sommes persuadés que des techniques simples, moins énergivores, réparables localement, et apportant un confort de vie satisfaisant, pourraient nous aider à répondre aux défis de notre époque.
Mais ce n'est pas tout : dans le cadre des Enquêtes du Low-tech Lab, nous nous intéressons aussi aux femmes et aux hommes qui traduisent ces valeurs en actions, à celles et ceux qui diffusent, à l'échelle collective, des pratiques ou des usages tournés vers la sobriété, et la convivialité. Nous nous rendons pour cela sur le terrain, en immersion au sein de ces organisations et de leurs écosystèmes, afin de comprendre, documenter, partager, leur quotidien et leurs spécificités, ainsi que les convictions qui les animent.
C’est ce que nous vous proposons d'explorer dans cette série de podcasts, constituée de moments en face à face avec ces pionniers d'une société plus low-tech !
➡️Pour en savoir plus sur les enquêtes du Low-tech Lab : http://bit.ly/EnquetesLowTechLab
P.S. Les propos tenus dans ces entretiens sont ceux des interviewé.es et ne reflètent pas nécessairement les idées, le discours du Low-tech Lab (et de ses partenaires).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.