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« Un consensus, ce n'est pas un compromis mou. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons reçu non pas un, mais deux invités : les 2/4 co-fondateurs de Worldia, Gregoire Pasquet et Erwan Corre.
Grégoire et Erwan reviennent sur leurs enfances respectives, les débuts de leurs carrières, leur rencontre jusqu’à la création de @Worldia.
« C'était une idée assez ancienne qui a germé, partant de l'observation qu'il y avait beaucoup à faire pour améliorer tout ce qui était voyage à la carte. Au fur et à mesure, nous avons développé cette idée et avons fini par lancer l'entreprise. »
À notre micro, Grégoire et Erwan racontent :
→ les difficultés qu’ils ont rencontrées : « Ça a été l'expérience la plus difficile. » ;
→ leurs anecdotes entre partenariats et histoires d’ex, de plus de 15 ans, nom de scène, ouverture de bureau au Mexique et reporting ;
→ leurs erreurs : « C’est bien de lancer de nouvelles choses, mais je pense qu'il faut faire attention à certes se diversifier, mais sans s'éparpiller. »Ils nous dévoilent leur secret pour, 10 ans après, être toujours à 4 co-fondateurs et que ça fonctionne : « Nous avons cette nature tous les quatre d'accepter de chercher un consensus, ce qui aide beaucoup. Et nous avons des rôles très distincts dans la société, ce qui permet une répartition assez équilibrée au quotidien. »
Grégoire et Erwan évoquent la lourde tâche de recruter et surtout de ne pas se tromper.
« Souvent, un recrutement raté commence par une mauvaise définition des besoins de celui qui recrute. Soit il ne sait pas exactement ce qu'il veut, soit il se plante de priorité. Donc un recrutement raté, c’est rarement de la faute du recruté, c’est généralement souvent la responsabilité de la boîte. »
Conseil livre à lire : « Who » de Geoff Smart, c'est LA super méthode pour bien recruter ses collaborateurs.Merci pour votre fidélité et votre aide !
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Un bon leader sait progressivement se rendre inutile !
C’est le meilleur conseil qu’a reçu notre nouvel invité, l’électron libre de l’outdoor, Benjamin Bénéteau, dans ce 32ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds.
De sa première partie de carrière dans les armées à sa reconversion professionnelle en rejoignant l’entreprise familiale dans l’industrie nautique, en passant par la création d’une entreprise et jusqu’à aujourd’hui avec son job de consultant chez SCYFCO Formation Continue, Benjamin revient sur les étapes de son parcours.
« Ce que j'en ressors, c'est que positivement ça m'a permis de mieux me connaître moi-même. De me découvrir beaucoup plus créatif et ingénieux que je pouvais l'imaginer. Beaucoup moins opératif et rigoureux que je pouvais le présupposer. »
Benjamin nous raconte :
→ ce qui l’a le plus marqué à travers ces différentes vies professionnelles ;
→ ses anecdotes militaires, entrepreneuriales ou en tant que salarié : celle sur l’exercice grand froid avec les Suédois ;
→ sa plus grosse erreur : « C’est d’être resté seul » ;
→ où il puise sa motivation ;
→ sa plus grande fierté : « La seule chose dont je suis fier, c'est d'être resté en phase avec mes valeurs. De ne jamais m'être trahi, de ne jamais m'être menti et d'être resté libre de mes choix. »
Dans cet épisode, Benjamin partage également sa vision de l’entrepreneuriat et du rôle du leader.
« Si je fais pousser les équipes, si mes équipes m'amènent à devoir sortir du jeu parce que c'est elles qui ont pris toute la place et que c'est maintenant leur tour de rayonner, ce n'est pas grave, car moi, je peux partir sur autre chose. Et cet autre chose, ce n'est pas forcément plus de responsabilités, plus de salaire, plus, plus, plus. Non, ça peut être juste plus d'épanouissement, plus d'authenticité. »
Benjamin évoque ses perspectives pour le secteur de l’outdoor : « C'est une filière, c'est un secteur qui sous-estime son pouvoir d’influence. »
Conseil bonus si vous êtes en recherche d’un sparring-partner : « Un sparring-partner, comme son nom l’indique, est là pour te boxer dans le coin du ring, pour te dire tes quatre vérités, pour te mettre le nez là où ça ne sent pas bon et là où tu as des carences. » Donc un sparring-partner, ce n’est pas un pote !Merci pour votre fidélité et votre aide !
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Episodes manquant?
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OK arrêtez tout.
Pour le 100ème épisode d’Outdoor Minds nous vous avons réservé une véritable masterclass !Nous avons eu l’immense plaisir de recevoir la super star des VC français : Jean de la Rochebrochard, Managing Partner chez Kima Ventures.
Sincèrement, je ne saurais par où commencer tellement il y aurait de choses à dire sur cet épisode, mon meilleur conseil étant bien évidemment d’aller l’écouter.
Si je devais tout de même le résumer et vous donner envie d’aller l’écouter, je dirais :
Jean revient sur son parcours jusqu’à arriver en 2015 à ce qu’il décrit comme son job de rêve.
« Est-ce que bordélique est un signe précurseur ? Est-ce que le fait que j'étais un cancre à l'école, c'était un bon signe précurseur ? Je ne sais pas trop. Non, il n'y avait pas de signe précurseur. Il y avait surtout des mauvais signes au démarrage quand même. »
Jean, ou l’homme qui est « organisé comme une machine tout en vivant comme un humain », nous donne :
1. ses conseils d’organisation : à vos crayons pour prendre des notes !
2. les raisons pour lesquelles il a voulu sauter du côté investisseur ;
3. son opinion sur pourquoi il y a si peu d’investissements dans l’industrie de l’outdoor ;
4. ce qui l’a marqué depuis ses débuts : « les gens ont peur de prendre des risques. Et pourtant, c'est ça qui fait avancer. » ;
5. ses précieux conseils pour les entrepreneurs qui voudraient lever des fonds.« La 1ère interaction n'est pas une interaction qui vise à convaincre la personne. Convaincre la personne au bout de la première interaction, c'est lourd. C'est comme un mec ou une nana qui a envie de pécho sa date le premier soir. C'est pénible. Donc, c'est pareil. Ton job, c'est d'avoir envie de déclencher un deuxième rendez-vous, la deuxième date. »
Jean évoque son erreur d’association et ses anecdotes : « Quand tu mets 5, 6, 7 millions d'euros dans une boîte et qu'à un moment donné tu te rends compte qu'elle est au bord de la faillite et que ça va jouer à rien, bah là franchement tu es en stress. »
Conseil bonus de Jean : ne commencez pas votre journée en vous demandant quand est-ce qu'elle se termine, mais allez travailler en vous disant qu'est-ce que je vais accomplir aujourd'hui ?
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« Il y a des trains qu'il ne faut pas prendre et des trains qu'il ne faut pas rater. »
Notre invité du jour n’est autre que Laurent Surbeck, co-fondateur de Montagne TV.
Au micro d’Outdoor Minds, Laurent Surbeck revient sur son enfance et son parcours : de la banlieue parisienne à Montagne TV.
« Je ne suis pas né en montagne, donc je voulais parler à tout le monde, non pas uniquement aux gens qui aimaient déjà la montagne, mais à ceux qui ne savaient pas encore qu'ils pouvaient l'aimer. »
Laurent nous raconte comment il a fait la bascule et ce qui l'a le plus marqué dans les côtés positifs comme négatifs depuis la création de Montagne TV.
« Si tu ne sais pas tenir la pression, il ne faut pas monter une boîte. Et ce n'est absolument pas un défaut. C'est juste un constat. »
Laurent revient sur la création de l’initiative Mountain Change Makers et comment cette initiative a fleuri en lui.
« Je me suis dit "mais il faut que je fasse quelque chose, ce n'est pas possible. Ce que je sais faire moi, c'est du contenu et le médiatiser. Donc je me suis dit "il faut que je fasse ça". J'ai écrit cette série "Mountain Change Makers" avec le principe de "regard croisé" entre deux personnes qui normalement ne sont pas faites pour se parler. »
Laurent évoque également :
→ le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ ses plus grands accomplissements et erreurs ;
→ où il puise sa motivation : « Je kiffe ce que je fais » ;
→ ses perspectives sur les industries du tourisme et des sports outdoor : « La montagne doit changer, ce n’est plus un sujet. »
Conseil bonus : « Je vais citer Paul Rivier qui m'avait dit "n’ayez jamais peur de vous entourer de gens meilleurs que vous". »Merci pour votre fidélité et votre aide !
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« Personne n'est irremplaçable, une relation de confiance, ça se construit dans le temps. »
Dans ce 28ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, rentrez dans les coulisses du « luxury property management ». Nous avons eu le plaisir de recevoir Romain Bourguignon, Responsable du property management chez Le Collectionist.
Romain revient sur son parcours et raconte son quotidien dans la gestion immobilière de luxe : « Il y a des moments de stress comme ça où, en un claquement de doigt, il faut trouver une solution. »
Romain partage :
→ ce qui l’a le plus marqué depuis qu’il travaille dans cet univers ;
→ où il puise sa motivation ;
→ ses anecdotes croustillantes entre carte bancaire, princesse & Cheval Blanc, et acheter des voitures en 15 jours ;
→ ses plus grandes satisfactions : la confiance !« C’est important le carnet d'adresses, de compter sur les bonnes personnes. Et au fur et à mesure des années, on se fait un carnet d'adresses avec les bons et les mauvais, et on essaye de toujours travailler avec les bons. Quand je dis les bons, ce sont les personnes qui vont tout faire, tout déployer pour trouver une solution. »
Avec son œil d’expert, Romain évoque l'évolution de l’expérience client, ce qui était perçu comme un bonus avant est devenu un standard.
Comment gérer la partie développement durable dans le secteur du luxe ? Romain parle de son approche et de ses perspectives sur l’évolution du #tourisme : « On trouve des solutions, mais ça prend du temps. C'est toujours une course de fond, encore une fois. »
Conseil bonus : « Compter sur ses collaborateurs. Dans le milieu de l'hospitalité, parce qu'il y a cette notion d'urgence, on a envie de tout gérer soi-même, parce qu'on se dit qu'on va réussir à tout mieux contrôler en 10 minutes. Et en fait, je pense que c'est une erreur. Il faut vraiment s'appuyer sur ses collaborateurs. »
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Agir local et penser global !
C’est le leitmotiv de notre nouvel invité d’Outdoor Minds, Guillaume Desrue, Maire de Bourg-Saint-Maurice Les Arcs.
À notre micro, Guillaume nous raconte comment et pourquoi il est devenu maire : « J’ai toujours eu envie de changer les choses. Que ce soit à l'école, à l'université, au début de ma carrière professionnelle, j’étais toujours animé par cette volonté de faire bouger les lignes parce que ce qui existait ne me convenait pas. Quand les choses ne te conviennent pas, il faut se retrousser les manches et mettre les mains dans le cambouis. »
Guillaume évoque :
→ ce qui l’a motivé à s'engager en politique ;
→ ce qui l’a le plus marqué depuis qu’il est en fonction ;
→ le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ ses anecdotes avec le funiculaire et la crise des forfaits de ski ;
→ l’erreur qu’il a regrettée pendant 4 ans ;
→ son quotidien en tant que maire.« Nous sommes 24 élus, aucun d'entre nous n'avait fait de politique auparavant. Nous nous sommes retrouvés dans ce grand bain qui est absolument passionnant mais sans forcément avoir les codes ni les outils nécessaires. »
Guillaume partage son conseil documentaire et ses perspectives pour les années à venir : « Les prochaines années vont être sacrément cruciales. Les changements qui vont s’opérer sur les trente années à venir sont déjà irrémédiables. »
Conseil bonus : « Il est crucial d'accroître les instances de démocratie participative. »
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« Il faut des années pour se faire une réputation et seulement 2 secondes pour la détruire. »
Que se cache-t-il derrière une photo ? Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, plongez dans les coulisses de la photographie professionnelle avec Tristan Shu Lebeschu, photographe outdoor professionnel depuis 18 ans.
« C’est la passion qui est devenue une profession. »
Tristan partage de nombreuses anecdotes sur son métier de photographe :
→ celle avec Kílian Jornet ;
→ son shooting le plus dingue dans les airs ;
→ son échec avec The North Face ;
→ l'anecdote sur l’opportunité qui a lancé sa carrière avec Val d'Isère : « S’il y a des gens prêts à me faire confiance, je me lance. »Tristan raconte ce qu’est la réalité de son quotidien de photographe : « On a l'impression qu'on est tout le temps dehors en train de prendre des photos, mais en réalité, cela représente très peu de temps par rapport à toutes les autres tâches. »
Il évoque sa plus grosse erreur, le meilleur conseil qu’on lui ait donné, et ce qui l'a le plus marqué dans le domaine de l’outdoor et de la photographie au cours des 10 dernières années.
« Il ne faut pas négliger certaines phases du métier qui sont super importantes, comme la prospection. Quelle que soit ta réputation, ton nom, il est indispensable de rester en contact avec tout le monde et de montrer ton travail. »
À notre micro, Tristan a partagé cette réflexion : « Ce que je trouve toujours très marrant avec une photo, c’est que tu as le droit de vie ou de mort dessus tant que tu ne l'as pas rendue publique. Après, elle vit sa vie. Parfois, j'aimerais bien être une fourmi pour voir comment les gens l'accueillent, comment ils réagissent. »
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Trouve un associé !
C’est LE conseil de Charles-Edouard Girard, co-fondateur de HomeExchange, invité de notre nouvel épisode d’Outdoor Minds.
« J’étais très rebelle et très curieux. Donc, quand j'ai commencé à travailler, je me suis vite rendu compte que c'était impossible en tant que salarié dans une entreprise. »
À notre micro, Charles-Edouard revient sur son parcours : de consultant, en passant par la vente de frigos sur Internet, à monter une boîte de t-shirts personnalisés, jusqu’à LA rencontre qui a abouti à la naissance de HomeExchange.
Charles-Edouard évoque :
→ les débuts de HomeExchange ;
→ ses anecdotes sur l’échange de maisons et sa recherche d’assurance (merci la @maif !). À retenir : ne snobez pas les gens lors des salons ! ;
→ l’importance de faire de nombreuses itérations : « Si vous voulez arriver à ce que le site fonctionne, il faut changer tous les jours des tonnes et des tonnes de choses. » ;
→ l’importance d’avoir un associé : « Ça permet d'avoir une vraie discussion avec quelqu'un qui est au même niveau d'implication que soi. » ;
→ sa plus grosse erreur.« Les conséquences ont été assez compliquées parce que perdre 25 % de son chiffre d'affaires en une journée, c’était très compliqué. »
Charles-Edouard nous parle des différences culturelles vues de sa fenêtre et de toutes ses anecdotes amusantes mais très utiles pour comprendre ces différences, particulièrement pour ceux qui souhaitent s’étendre à l’international !
Charles-Edouard donne sa vision sur le secteur du tourisme : « Les typologies de tourisme vont forcément changer. »
Conseil bonus : « Une erreur que peut faire un jeune entrepreneur, c'est de trop écouter ! »
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La thérapie par le ouf !
Nous continuons sur notre lancée. Après avoir accueilli Joel Gaillard, le coach de notre nouvel invité, nous avons aujourd’hui le plaisir de recevoir Xavier de Le Rue, snowboarder professionnel, pour ce nouvel épisode d’Outdoor Minds.
Xavier nous raconte l’état d’esprit de la famille de Le Rue, qui le porte depuis ses 16 ans : « Quand on partait en snow et même en ville, dans tout ce qu'on construisait, c'était : allez-y à fond, soyez fous, n’ayez peur de rien, il n'y a aucune limite. Mais par contre, bossez beaucoup. Il y avait un méga équilibre entre le côté travail et le côté folie, on ne se mettait aucune barrière. Tout est possible, on est capable de tout et on le fait avec le sourire, avec la banane.
Xavier revient sur l’accident qui a changé sa manière d’appréhender la montagne : « En 2008, j'ai été pris dans une énorme avalanche. C'était relativement tôt dans ma carrière et ça a été une grosse leçon. C'était un miracle que je m'en sorte, j'avais fait plus de 2 kilomètres dans l'avalanche. »
➜ Depuis cet accident, son approche du risque en montagne a changé. Xavier nous explique comment il prend la décision de descendre une pente ou non : « Je sais que je suis beaucoup plus intransigeant sur la marge de risque. Il n'y a aucune place pour du pari, tout est ultra calculé. »
Xavier évoque son dernier projet en Antarctique et nous donne son avis d’expert sur les conditions là-bas.
Xavier raconte :
→ sa plus grosse erreur ;
→ ses projets futurs ;
→ son plus gros « bold move » ;
→ ses anecdotes et ses galères ;
→ sa vision sur le futur du secteur des sports outdoor.« Je pense que c'est un peu notre rôle de faire avancer les choses dans le bon sens et je pense que l'industrie de l'outdoor a les moyens et la capacité d'inspirer les autres industries à faire mieux, à produire mieux, à consommer mieux. » À méditer !
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L’homme qui fait même ce qu'il ne sait pas faire !
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir de recevoir Joel Gaillard, alias Mojojojo, entrepreneur et entraîneur.
Joel nous parle de la vie de coach et des 4 piliers sur lesquels il s’appuie : « Ce sont des connaissances scientifiques, biologiques, techniques qui évoluent et dans lesquelles il faut être dans des niveaux de compétences de plus en plus élevés. »
Joel nous confie les évolutions qu’il a constatées avec son œil de coach mais également avec sa vision d’entrepreneur : « Quand tu relèves des challenges, tu sais que la frustration est omniprésente. Donc quelque part, tu apprends à vivre avec, elle fait aussi partie des énergies dont tu as besoin. »
Joel nous raconte ses anecdotes, notamment une qui met en lumière les capacités des hommes (coucou Paul Henri de Le Rue - OLY). Il nous parle aussi de sa fonction d'entrepreneur : « Je suis quelqu'un qui aime faire ce qu'il ne sait pas faire. »
Joel évoque :
→ ses erreurs et ce qu’il en retient ;
→ ses satisfactions : « Mes satisfactions, elles sont humaines ! » ;
→ les évolutions du secteur des sports outdoor.« Jamais je ne me pose la question de savoir si je peux lâcher, non. La seule question que je me pose, c'est est-ce que j'arrive à l'échéance, est-ce que je recule l'échéance ou est-ce que je suis en avance sur l'échéance. »
Le conseil bonus de Joel : « N’en écoute aucun ! »
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« Tout le monde a le droit de rêver et tout le monde peut réaliser de grandes choses, même si on n’a pas tous les mêmes atouts au départ. »
Nouvel épisode, nouvel invité ! Aujourd’hui, au micro d’Outdoor Minds, nous recevons Yves Dimier, ancien skieur de l'équipe de France et directeur du domaine skiable de Val-Cenis.
Yves revient sur son parcours jusqu’à revenir « à la maison » à Val-Cenis. Il évoque ce qu’il retient de cette aventure de sportif de haut niveau dans son quotidien.
« Quand on est sportif de haut niveau, on s'entraîne, on passe ses journées à trouver des solutions, à mettre en place des procédures pour être performant avec une performance qui est justement à très haut niveau, donc avec une grosse exigence. Quand on rentre dans le monde de l'entreprise, on se rend compte que finalement tout ce qu'on a appris pendant sa carrière de haut niveau, c'est quelque chose qui est très facilement réplicable. »
Yves Dimier, premier athlète masculin à marquer des points en Coupe du monde avec des skis courts, nous raconte ses anecdotes, notamment celle de ses « skis de guignol » ! Et comment il a réussi à convaincre un conseil municipal de mettre en place le yield management et le dynamic pricing.
Yves nous confie :
→ sa plus grosse erreur et ce qu’il en retient ainsi que ses plus grandes satisfactions ;
→ ce qui l’a marqué dans l’évolution des activités de sports d’hiver ;
→ sa vision pour les 10 prochaines années.Conseil bonus de Yves : « À chaque problème, une solution. À toi de la trouver. »
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« On a souvent tendance à trop écouter les autres. »
Attachez vos ceintures et embarquez pour 41 minutes d’histoires complètement délirantes (et pourtant bien réelles !) avec Thibaud Duchosal. Entrepreneur, skieur, explorateur (oui, rien que ça !), Thibaud partage son parcours audacieux dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds.
Thibaud revient sur son enfance et le grave accident qu’il a eu il y a 20 ans, un événement qui a chamboulé sa vie et l’a conduit à devenir skieur professionnel : « Je pars pour une carrière de freerider alors que j'en avais l'interdiction totale d'un point de vue médical. »
Thibaud raconte le cheminement qui l’a conduit à ouvrir sa première boîte de production audiovisuelle et le déclic à son origine : « Je finis 6ème mondial, je devais avoir en tout et pour tout 8 000 € de sponsoring avec lesquels je devais payer tous mes frais de déplacement et autres, donc en gros, je dépensais de l'argent de ma poche pour finir 6ème mondial. »
De cette entreprise de production à investisseur dans l’immobilier, en passant par une agence de voyage et fondateur d’un festival, Thibaud vit à fond et suit le flow de la vie.
« Dans l'entrepreneuriat parfois, en pensant avoir une super idée et vouloir la mettre en place pour gagner du temps ou de l'argent, on déstabilise tout un écosystème ou un processus déjà en place. »
Anecdote à ne pas louper, ou comment vivre la journée la plus folle de sa vie, comme dirait Thibaud : « L’aventure avec un grand A », c’est le moins qu’on puisse dire !
Conseil bonus de Thibaud : « Quand on est entrepreneur, il faut faire beaucoup de veille, regarder ce qui se passe chez nous, mais surtout ce qui se passe aussi à l'étranger. »
Un épisode passionnant et riche en rebondissements !
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« Ce qui compte dans un projet, dans une boîte, c'est l'exécution. C'est ça qui est le plus important. Donc il faut y aller. »
Dans ce 20ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, nous avons reçu le serial-entrepreneur Nicolas Lemeteyer, CEO et co-fondateur de sa dernière aventure entrepreneuriale : KORP.
Nicolas nous raconte son parcours, LA rencontre qui lui a donné envie de commencer à entreprendre et de ne plus s’arrêter ! Ainsi que l’histoire de la naissance de sa dernière aventure entrepreneuriale, une fois de plus une histoire de rencontre humaine.
« Je dis souvent que les entrepreneurs, c'est des vendeurs. Si tu n'as pas d'appétence pour la vente, ça va être compliqué. »
Nicolas partage sa vision et son rapport à l’entrepreneuriat : « Dans l'entrepreneuriat, les moments de bonheur, parfois, ils n'existent pas. Parfois, il y en a qui n'arrivent jamais et il y en a très peu. Donc je pense que c'est surtout un mindset et de se dire que ça va être compliqué. Pour moi, en tout cas, l'entrepreneuriat, c'est un mode de vie qui n'est pas destiné à tout le monde. »
Nicolas évoque :
→ son anecdote sur la première fois qu’il a appris à vendre et à faire une vente dans un magasin de costumes ;
→ son anecdote avec Tupperware ;
→ ce qui le fait tenir lorsque c’est difficile ;
→ sa vision dans le secteur du sport.« Il va y avoir de plus en plus de connexions entre le sport, le business et l'entrepreneuriat. Il y a tellement de valeurs qu'on apprend dans le sport, que ce soit sur l'hygiène de vie, la régularité, la résilience, le fait d'être en équipe. »
Conseil bonus de Nicolas : « On peut réfléchir pendant des heures au meilleur truc, mais en fait, entre temps, il y a peut-être plein de boîtes qui se sont lancées et des opportunités qu'on a perdues. »
Alors, ami.es entrepreneurs, foncez et au boulot !
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« Partir à l'aventure, ça nous enrichit, ça secoue un peu nos convictions et ça nous fait grandir. »
27 minutes d’évasion garanties en écoutant les anecdotes, les galères et les folles histoires d'Alexandre Zurcher, le fondateur de Vintage Rides, dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds !
À notre micro, Alexandre partage sa définition du voyage et son incroyable aventure entrepreneuriale : des hauts, des bas, des erreurs, des satisfactions, mais surtout une motivation et une passion inchangées pour l’aventure, les rencontres et les voyages.
« Quand il y a des imprévus, quand il y a une pause, on s'intéresse à ce qu'il y a là où on est arrêté. En général, on fait des rencontres, il y a toujours des locaux qui viennent nous voir, nous prêter main forte, qui nous offrent le thé. C'est là que le mot aventure prend tout son sens. »
Alexandre nous raconte l’histoire de la création de Vintage Rides : « À 19 ans, j'avais l'occasion de faire une année d'études à l'étranger dans mon cursus. Je cherchais à aller le plus loin possible, je cherchais le plus gros choc culturel possible. Donc je me suis dit que c'était une bonne idée d'aller dans un campus en Inde. »
Alexandre partage avec nous :
→ ses anecdotes les plus folles ;
→ le pire conseil qu’on lui ait donné ;
→ ce qui l’a marqué dans les évolutions du secteur du tourisme et ses perspectives pour l’avenir ;
→ sa vision entrepreneuriale.« On s'est réorganisés. Il y a des choses qu'on avait internalisées et qu'on a externalisées. C’est beaucoup plus malin de chercher des partenariats stratégiques, quitte à les aider financièrement et à investir de l'énergie et des ressources dedans, plutôt que de monter des structures internes. »
Conseil bonus d’Alexandre pour les entrepreneurs qui aimeraient se lancer sur le marché indien !
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« Des fois, ça fait du bien de descendre au fond du trou et de prendre 2-3 heures d'introspection, de prendre de la hauteur, de pouvoir faire un pas de côté, et d'essayer de te rappeler pourquoi tu fais ça. »
Nous avons reçu à notre micro pour ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, Lionel Marsanne, CEO de CIMALP.
Lionel retrace son parcours en parlant du petit garçon qu’il était : « J'ai toujours beaucoup aimé l'innovation. J'ai beaucoup joué, je pense, comme beaucoup de petits garçons, avec des Legos. Mais j’aimais ne jamais faire ce pour quoi la boîte était destinée. J'aimais bien utiliser et transgresser les Legos et en faire quelque chose de mon imaginaire. »
Après la création de sa première entreprise dans les télécoms employant 100 salariés en 2008, à 28 ans, une question à laquelle Lionel n’avait pas prévu de répondre se pose : veut-il reprendre l’entreprise familiale ?
« J'ai un attachement particulier à l'entreprise. Je suis fils unique en plus. Donc, si tu veux, les discussions le soir, le week-end, etc., à la maison, sont souvent des discussions de travail. Et donc, quand mon père me dit qu’il veut soit vendre, soit arrêter l'entreprise, ça me touche, en fait. »
Lionel nous confie :
→ où est-ce qu’il puise sa motivation ;
→ l’anecdote très inattendue autour du développement du segment chaussure de CIMALP ;
→ ses perspectives sur l'industrie des sports outdoor ;
→ ses débuts difficiles chez CIMALP.« Je suis vraiment passé par un moment difficile au bout de trois, quatre, cinq ans, où tu t'investis à travailler énormément, à quasiment pas avoir de salaire, et tu te poses forcément plein de questions : est-ce que je dois arrêter, est-ce que je ne dois pas arrêter, est-ce que je vais pouvoir arriver à en faire quelque chose ? »
Conseil bonus de Lionel : N’écoutez pas trop les conseils des autres, ce qui est bien pour quelqu’un ne l’est pas forcément pour vous !
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D’une entreprise de sacs à provisions à une entreprise de montagne.
Dans ce 17ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir de recevoir Romain Millet, PDG de MMG | Millet Mountain Group.
À notre micro, Romain nous raconte comment, après que l’entreprise Millet ait été vendue par son grand-père, il a pu la racheter des années plus tard :
« J’ai toujours eu en tête, avec mon oncle, qu'une belle histoire pourrait se réécrire. Il y avait une chance infime que cela puisse se produire. On a eu un peu de chance. On l'a probablement un peu provoquée, mais on a réussi à racheter l'entreprise. »
Romain revient sur les étapes de sa vie qui l'ont mené jusqu’au rachat de Millet Mountain Group : « La seule raison qui m’anime encore aujourd’hui, c'était de remettre l'église au milieu du village et de tenter de racheter l’entreprise. Entre mon enfance et aujourd’hui, il s'est passé beaucoup de choses et chaque étape a été très empirique. Cela semble très construit, très rationnel mais c'est faux. Cela s'est souvent produit par hasard. »
Romain évoque :
→ l’histoire passionnante et émouvante de l’entreprise Millet ;
→ ses anecdotes avec Reinhold Messner et la Chine ;
→ ses erreurs : « À un moment donné, le succès monte à la tête. » ;
→ l’émotion du jour où il a récupéré les clés de l’entreprise ;
→ le meilleur conseil qu'on lui ait donné.« Être curieux. Je pense que c'est essentiel d'explorer le monde, de se promener un peu et de revenir à un endroit où on est bien et dans son ancrage. Il faut bouger. C'est fondamental. »
Les industries du tourisme en montagne et des sports outdoor ont énormément évolué. Romain nous parle des changements qui l’ont le plus marqué et partage sa vision sur l’industrie pour les 100 prochaines années, comme à leur habitude chez Millet.
« La problématique climatique est l’un des défis majeurs de l'humanité et nous n’arrivons pas à bouger. Il existe des solutions scientifiques, il faut qu'on arrive à trouver un déclic pour que les sciences sociales soient entendues. »
PS conseil de Romain n°1 : Chefs d'entreprise, adoptez le design thinking. C'est très intéressant de se projeter en 2050 pour réfléchir à ce que nous devrons apporter à ce moment-là dans ce contexte de marché.
PS conseil de Romain n°2 : Allez voir le documentaire de NTM.
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« Appuie-toi sur ton vécu et sur ce que tu as fait, sur cette capacité à aller de l'avant, à ne pas lâcher, à te dire : c'est dur en ce moment, mais les beaux jours vont revenir. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir d’inviter à notre micro Alexandre Vercoutre, CEO de MARCO VASCO.
De conseiller financier à directeur général de MARCO VASCO, Alexandre revient sur son parcours et sur son baptême du feu lors de son arrivée dans l'entreprise : « De cette erreur, ce que je retiens, c'est sans doute le manque de communication et le manque de co-construction. »
Alexandre nous raconte : → les défis qu’il a rencontrés et les leçons apprises ; → ses anecdotes de voyage ; → les enseignements tirés de ses erreurs ; → le "game changer" de sa carrière.
Alexandre insiste sur l’importance de l’écoute : « Pour commencer à être suffisamment critique ou pertinent dans ses prises de position, ses prises de parole, il faut commencer par être docile. Mais docile, au sens latin du terme : se mettre en position d'apprendre. Et l'écoute, c'est vraiment la meilleure façon de se mettre en position d'apprendre. »
Alexandre partage son point de vue sur l’avenir de l’industrie du tourisme, notamment avec le développement de l'IA : « Chez MARCO VASCO, c'est quelque chose que nous utilisons de plus en plus pour améliorer la relation client. L'IA nous permet de gagner en efficacité et en productivité. Le rédactionnel est plus propre. »
Conseil bonus by Alexandre : « Écoute, écoute-toi, fais-toi confiance. C’est la meilleure façon d’exploiter pleinement ton potentiel ! »
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« Tu ne peux pas avancer sans te fixer des objectifs et qu'ils soient très hauts. »
Au micro d’Outdoor Minds pour ce nouvel épisode, nous avons reçu Maxime Moulin, réalisateur et fondateur de CLUSTR.FILMS.
Maxime retrace son histoire et nous raconte comment la réalisation de films a basculé d’un loisir étudiant à un véritable métier passion et une aventure entrepreneuriale : « J’ai commencé à filmer mes potes à la fac qui faisaient du ski. »
Maxime nous raconte ses anecdotes les plus captivantes et revient sur ce que son métier lui a permis de faire.
« J’ai toujours eu l'âme de quelqu'un qui a besoin de lancer son projet et de le mener. À chaque fois que j'avais des postes où j'étais salarié, j'étais tout le temps super triste. »
Filmer des riders n’est pas anodin, il y a une part de risque et le risque peut être létal. Maxime nous parle de la façon dont il aborde ses projets : « Au début, j'ai dû gagner leur confiance. Qu'ils me fassent confiance dans l'image que je vais renvoyer d'eux à travers les films, mais aussi dans ce qu'on peut faire ensemble en montagne. »
Maxime évoque :
→ sa routine de travail ;
→ ses accomplissements ;
→ les changements les plus marquants dans l’industrie du tourisme et des sports outdoor ;
→ où il puise sa motivation ;
→ et sa recette du succès : « Le côté artiste et entrepreneur doivent se mélanger. »Concernant le futur de l’outdoor, comme l'a si bien dit Maxime : « Les marques deviennent de plus en plus des médias. » Cela implique un changement dans la manière dont les marques prennent aujourd’hui la parole.
La manière de construire nos stratégies marketing et de communication doit donc évoluer dans le même sens.
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« On n'est jamais à l'abri d'une bonne nouvelle. »
Dans ce 14ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, nous avons reçu Florian Vallet, co-fondateur & CEO de Activhandi, pour parler accessibilité, inclusion et sport outdoor.
« En Europe, on estime à 80 millions de personnes en situation de handicap. Et je ne parle même pas des seniors, des gens qui ne seront pas dans des établissements de santé, qui seront bien chez eux et qui, du coup, devront aller faire quand même des activités. »
Activhandi est une plateforme qui référence les activités outdoor pour le monde du handicap et des seniors. À notre micro, Florian revient sur les débuts de son aventure entrepreneuriale, les défis auxquels il a été confronté, ses erreurs et ce qu’il en retient.
« Ça a été un long parcours du combattant. Tout ce qu'on a fait jusqu’à maintenant, on l'a fait avec nos petits bras musclés. »
Florian nous partage :
→ ses anecdotes (ps : n’oubliez pas de relire vos documents ) ;
→ sa vision sur le futur de l’accessibilité dans les activités outdoor ;
→ ses conseils de lecture ;
→ ses méthodes entrepreneuriales.« Nous, on a toujours voulu tester, c'est-à-dire qu'avant de lancer réellement un truc, on le teste. Au début d’Activhandi, on a vu des utilisateurs, des accompagnants, des offices de tourisme, des professionnels… Il faut tester, on ne sait jamais si c'est bon ou mauvais. »
Florian nous apporte son éclairage avec son œil d’expert sur le monde du handicap et de l’outdoor avec une question qui se pose : pourquoi y a-t-il si peu d’acteurs sur ce marché ?
Un marché de 80 millions de personnes n'est pas une niche, mais une véritable cabane. Amis banquiers, ne snobez pas les entreprises qui s’attaquent à cette manne.
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"Ce n’est pas du fond de son canapé qu’on fera évoluer les choses, donc il faut se mettre en capacité de les faire évoluer."
Dans ce 13ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir de recevoir à notre micro Michael Kraemer, Maire de Lans-en-Vercors.
"Ce sont les concours de circonstances qui m'ont amené à devenir maire, c'est avant tout un engagement envers les autres."
Michael nous raconte sa prise de fonction et comment il est devenu maire de Lans-en-Vercors en 2014 : "La première fois où je me suis présenté, on est venu me chercher pour compléter une liste."
Michael évoque :
→ ce qui l’a le plus marqué depuis qu’il est maire de Lans-en-Vercors ;
→ son parcours en tant qu’élu ;
→ ses erreurs et satisfactions ;
→ ses anecdotes."Quand j’ai été élu en 2014, j'avais ce côté "on va casser les codes, on va tout chambouler". Petit à petit, on se fait reprendre par le système et on devient des gestionnaires plus que des gens qui veulent casser les codes. On nous impose tellement de contraintes législatives, de contraintes normatives, que ça tue l'initiative."
Michael revient sur les changements constatés au cours des 10 dernières années et partage sa vision sur l’avenir du secteur du tourisme et de l’outdoor : "Nous sommes en train de nous ancrer dans des positions extrêmes sur les sujets touristiques, alors que nous avons besoin de beaucoup de dialogues et d’unité."
Un épisode qui nous offre des perspectives variées et nous rappelle que : "L’objectif, c'est quand même de travailler tous ensemble."
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