エピソード

  • Arnaud a toujours recherché la présence des animaux des autres. Les chiens de son entourage font partie de ses êtres préférés, en Île-de-France comme à Madagascar. Sa mémoire est peuplée d'images d'animaux ayant croisé sa route : zébus des rizières, araignées géantes ou lémuriens espiègles. Passionné de journalisme sportif, Arnaud met en parallèle son lien aux animaux domestiques et son rapport au sport — deux sources de réconfort, de partage et d'émotions sincères.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:30:46 🐕

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  • Partie 2 🐖

    Lucie, vidéaste antispéciste, documente la lutte et les actions directes du collectif 269 Libération Animale — les blocages d’abattoirs, les vols d’animaux méthodiquement préparés, les trajets retour hors du temps. En l’honneur de toutes les libérations n’ayant pu avoir lieu, qui hantent et donnent le courage de recommencer.

    « Coeur de bœuf », court-métrage filmé et réalisé par Lucie Aragon, monté par Silvia Arecco, produit par les Ateliers Varan. « Ce court-métrage suit un livreur de viande qui dessert les boucheries parisiennes. Entre deux personnes que tout oppose, une amitié se dessinera. Parfois, c’est parce qu’on est très loin de quelqu’un que l’on s’en rapproche. Les animaux dans tout ça, morcelés, réifiés, que j’ai voulu filmer pour ce qu’ils sont : des corps sans vie d’individus à qui il manque la peau, la tête, et votre regard. »

    Extraits sonores issus de vidéos réalisées par Lucie Aragon pour 269 Libération Animale.

    Exception de courte citation : extrait de la chanson « Run Cried the Crawling » d’Agnes Obel, album Aventine, 30 septembre 2013, label Play It Again Sam, [PIAS] Group.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:34:46 ⛓️‍💥

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  • Partie 1 🐇
    Dans son enfance, plus en danger encore que Lucie, étaient les animaux. Devenue adulte, sortie de l'impuissance et mue par l'obsession de l'action, Lucie continue de faire corps avec ses camarades animaux. Une complicité active qui s'exprime quand elle arrache une lapine des bras de son bourreau, recueille des oiseaux blessés, adopte deux sœurs félines ou filme le sabotage de chasses à courre par l'action directe antispéciste.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:31:25 🦌

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  • Merci à Éloïse, Roman, Alexis, Domina et Sidney qui ont participé à cet épisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux.

    Vous entendrez parler de moutons écossais, d’un bateau de la mort, d’une puce de sable familière et de chiens fidèles, d’une petite souris un été à Paris, d’une tortue expressive et d’une chatonne grecque sans papiers…

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:39:26 🐭

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  • Au-delà de sa profession d’agente de sécurité conductrice de chiens, Florence entretient des liens familiaux avec sa meute. Sardine le dobermann est doué d’une sensibilité relationnelle extraordinaire. S'il a participé à la protection du chantier de la Cité internationale de la langue française, il préfère la médiation à l’intervention. Florence nous raconte les coulisses d’un métier entaché du fléau de la maltraitance canine, qui voit émerger une nouvelle génération désireuse de redonner son sens à l’adjectif « cynophile » : qui aime les chiens.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:38:48 🐕

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  • Dans l’atelier de sculpture d’Édouard, une grande araignée en métal orne la fenêtre et accueille dans sa toile de ferraille des arachnides bien vivants tissant leur soie. L’attrait de l’artiste pour les insectes remonte à l’enfance — l’un de ses instituteurs, passionné d’entomologie, animait un club nature. Matériaux de récupération et objets chinés qu’il transformera en bestiaire métallique s’amoncellent sur son lieu de travail, dans la campagne de Rennes. Un lézard composé de trois pièces assemblées, inachevé depuis vingt ans, intemporel, est aux aguets sur l’étagère. Scarabées, poissons, crapauds et autres animaux mal-aimés prennent vie et dévoilent leur beauté dans l’assemblage et le vissage méticuleux de vestiges du passé.

    www.edouardmartinet.fr

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musiques : Mathilde Forget • Guillaume Jacquemin.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:22:41 🪲

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  • En embarquant sur un navire de la flotte de Sea Shepherd, l’engagement environnemental de Karine s’est mué en apprentissage de l’éthique animale. Devant le ballet aérien des baleines à bosse au large du Gabon, face à la vulnérabilité des tortues marines à Mayotte et la détresse d’éléphants captifs en Bretagne, c’est dans l’activisme de terrain que Karine a vu évoluer son rapport aux animaux et qu’elle combat tout sentiment d’impuissance.

    Extraits sonores issus de la conférence publique du Capitaine Paul Watson et de Lamya Essemlali à la REcyclerie, Paris 18e, diffusée en direct le 21 octobre 2023.

    www.seashepherd.fr « La mission de Sea Shepherd est de lutter contre la destruction de la vie et de l’habitat marin dans son ensemble. Depuis 1977, nous utilisons des stratégies novatrices d’action directe pour défendre, conserver et protéger la biodiversité fragile de nos mers, océans, et faire respecter les lois internationales de conservation, trop souvent bafouées. »

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:30:17 🐋

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  • Carole a grandi dans un village du Centre Bretagne, entourée par les chiens de la maison, les animaux de ferme que l’on nommait, que l’on soignait puis que l’on tuait, et la fascinante faune de la forêt. Dans son roman « Un bref instant de splendeur », Ocean Vuong écrit : « Pour être magnifique, il faut d'abord être vu, mais être vu permet que l'on vous chasse. » Qu’est-ce que l’être humain cherche à posséder en tuant les animaux sauvages — leur beauté, leur liberté, leur supériorité ? Subjuguée par le souvenir d’un paon, émotion esthétique de son enfance, Carole prolonge ces réflexions à travers sa découverte de l’art de la taxidermie, qu’elle considère comme une ode au vivant.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:35:58 🦚

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  • Merci à Célestine, Jenn, Eva, Pierre, Clara et Margaux qui ont participé à cet épisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux.

    Vous entendrez parler de créatures rugissantes en bord de Loire, d’un chat parti trop tôt, de rongeurs et de cacahuètes épicées, d’une pieuvre sur son rocher, d’animaux médiateurs et d’un poney qui faisait la sortie des classes…

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:31:13 🐅

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  • Partie II 🌗
    Depuis les proto-réseaux sociaux de la fin des années 1990, SMITH privilégie les échanges virtuels avec le monde extérieur. C’est par écran interposé qu'il rencontre sa chatte tricolore Ludwig avant de l’adopter, et qu'il découvre l'existence des cabinets de communication animale. Dans son court métrage "TRAUM", le personnage principal vit des métamorphoses à la suite d’un traumatisme spatial et voit une partie de lui-même se détacher pour devenir un chien — un chien dont la peau ressemble à une peau humaine. Ainsi naît la fascination de SMITH pour les chiens sans poils, êtres rares, primitifs, mythologiques, passeurs des âmes des défunts vers le territoire des morts. Quelques années plus tard, en travaillant sur le projet "Désidération", qui invite à reconsidérer nos relations avec le cosmos au sens très large et avec les animaux en particulier, SMITH se répète que si un chien nu croise sa route, alors il l’adoptera...

    www.instagram.com/traumsmith/

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:34:08 🐕

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  • Partie I 🌓
    L'imaginaire animal de SMITH s'est construit dans son enfance citadine, autour d'histoires, de films et de dessins animés – des enfants "à part" y découvraient la puissance de l'amitié et des familles choisies à travers leur rencontre avec des animaux ou des créatures anthropomorphiques. Propulsé à la tête d'un élevage involontaire d'hamsters russes, SMITH noue ensuite sa première véritable alliance animale avec Peaches, une chatte tricolore. Ses enquêtes artistiques transdisciplinaires convoquent notre rapport à l'absence, aux fantômes, au cosmos. L'usage de la caméra thermique offre à SMITH un sens supplémentaire et la consolation de percevoir les traces de chaleur, de présence, laissées par les êtres aimés. Le rêve, la méditation et la transe cognitive lui permettent d'accéder à des mondes superposés, et de se retrouver sur la même longueur d'onde que "les espèces compagnes" décrites par la philosophe Donna Haraway.

    www.instagram.com/traumsmith/

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:31:34 🦕

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  • Été 2021, record d'abandons d'animaux dans les refuges. Je suis bénévole et habituée aux bruits mais ils me saisissent dès l'entrée - les aboiements incessants, les miaulements anxieux, les claquements métalliques des cages... S'y ajoute l'émotion des personnes venues pour adopter, dans cet environnement fébrile et tendre.

    Enregistrement, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Toutes les participations au concours ARTE Radio 2021 sont à retrouver ici :

    https://audioblog.arteradio.com/blog/168423/concours-arte-radio-2021

    Durée du podcast : 02:59 🐱


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  • Jonathan a passé six mois en volontariat de service civique à la ferme de la Butte Pinson, dans le Val d'Oise. Il y découvre l’éco-pâturage et la médiation animale, présente les activités de la ferme aux groupes, aux familles, et encadre les personnes en travail d’intérêt général (TIG). Au contact des impressionnantes mascottes de la ferme, Blanco le bouc qui se dresse sur deux mètres et Alphonse le cochon de trois cents kilos, Jonathan voit évoluer le rapport des tigistes aux animaux, à la société et à eux-mêmes.

    www.lesfermesdespoir.fr

    Reportage de France TV Slash sur la ferme de la Butte Pinson :

    https://www.france.tv/slash/generation-2021/2545063-prison-sous-covid.html

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:32:06 🐐

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  • Mai a passé sa jeunesse au Vietnam, entourée d'animaux dont elle aurait aimé connaître les besoins. Désormais réalisatrice de films d'animation en France, elle met en pratique son sens de l'observation et garde un lien sensible à la faune. En devenant famille d'accueil pour l'École de chiens guides de Paris, dont les élèves-chiens rejoindront des personnes aveugles ou malvoyantes, elle se lance dans un apprentissage aussi bien technique qu'émotionnel.

    www.chiensguidesparis.fr

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo "Françoise Sagan : bonjour tendresse", 1979.

    Durée de l'épisode : 00:33:01 🐕

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  • Merci à Marcia, Paolo, Nathalie et Francisco qui ont participé à cet épisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux.

    Vous entendrez parler de légendes familiales et de loups qui se rapprochent, d’un poisson rouge non comestible, d’un jardin sanctuaire pour les animaux et d’un écureuil qui donne envie de se lever le matin, d’iguanes mexicaines et de taureaux dans l’arène de la vie...

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:35:55 🐺

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  • Dans la maison d'Ingrid, les souvenirs d'une vie insulaire parmi les pythons et les plantes sauvages s'invitent dans les fresques colorées qu'elle peint sur les murs. Ses jumeaux grandissent en famille auprès de Pharouk le jeune lévrier azawakh, de Chamallow le chat aux yeux orange et à la tolérance infinie, d'Hermès le lévrier galgo qui aura tout vécu, et de Josiane et Jean-Pierre, deux grandes tortues sulcata qui nous survivront sans doute. L'harmonie est là, dans leurs différents rapports au temps.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:30:57 🐢

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  • Ludovic s’attache à révéler les personnalités et les consciences des animaux qu’il photographie. Il montre aussi leurs environnements de vie, qu'il s'agisse de l'un des rares espaces sauvages de France, d'un refuge animalier ou d'un lieu de captivité. Sa démarche fait de lui un photographe animaliste plutôt qu'animalier. Sans image mais avec le son, il nous parle de son enfance dans la campagne tarnaise où tout a commencé, de la distance de fuite des individus en zones chassées et des dérives de la photographie animalière.

    Pour découvrir son travail : www.ludovicsueur.com

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:33:09 🦎

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  • Michelle est née pendant la Deuxième Guerre mondiale et, pour reprendre ses mots, « on a tendance à faire un bilan quand on parle d’animaux ». C’est pendant la prise de son que le fil conducteur de ses souvenirs est apparu clairement : les animaux sont le lien entre son passé familial et les moments les plus heureux ou déterminants de sa vie. Qu’il s’agisse d’un escargot, d’un écureuil, d’une martre, d’un chat, d’un merle ou d’un lion, qu’elle les ait aperçus furtivement ou qu’elle ait noué un lien durable avec eux, ils représentent pour elle la beauté et l’harmonie du monde, que l’on n’a pas le droit de détruire.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:32:05 🐿️

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  • Erwann a gardé de sa jeunesse dans la campagne bretonne un rapport peu sentimental aux animaux et il est devenu vétérinaire par accident. Ce sont ses paroles. C’est peut-être cette distance salutaire qui lui permet d’assurer ses visites d’urgences à domicile dans la nuit parisienne. Mais il faut l’écouter parler des animaux - les vaches folles en 1998, les chats tigres, un pigeon gavé aux raviolis, un petit chien de quinze ans... - pour saisir que dans chacune de ses histoires nocturnes, ce sont les vécus humains, leurs angoisses et lueurs qui se révèlent en filigrane.

    Le roman 'Carnivores domestiques' d’Erwann Créac’h est paru en 2011 aux éditions Édite et en 2012 aux éditions Points. Il a reçu en 2011 le Prix littéraire 30 millions d'amis.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:34:21 🐦

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  • Merci à toutes les personnes qui ont participé à cet épisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux. Merci à Louise, Mathilde, Michelle, Adèle, Hélène, Françoise, Inge et l’association Gamelles Pleines, Caroline, Gaëlle, Daisy, Marion, Benjamin, Nita et Mélanie, et Lucie.

    Vous entendrez parler d’un cheval qui avait peur de la mer, de chats du passé et de chats du présent, d’un lapin bélier québécois, d’un singe de l’autre côté d’une vitre, d’une chauve-souris vampire, d’un rat dans un hôpital, des oiseaux de Maguelone, d’une truie jamais oubliée, d’insectes vintage, d’un chien qui souriait constamment…

    Gamelles Pleines : www.gamellespleines.fr

    L'association Gamelles Pleines lutte contre l’exclusion sociale des personnes en situation de précarité en agissant par la dimension animale. Vous entendrez dans cet épisode les voix des bénéficiaires Inge, Fabrice, Nico et Jacques, de la bénévole Laura et de la vice-présidente Katia.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : Irène Tardif.

    Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    Durée de l'épisode : 00:30:24 🦇

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