エピソード
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À sa sortie d’HEC en 2011, Clara Blocman n’incarne pas l’ethos de l’entrepreneuse fonceuse. Sur le campus, elle a rencontré une jeune femme qui a un peu plus cette fibre qu’elle. Ensemble, elles lancent l’année suivante une marque de lingerie. Ysé répond à une demande du marché : des modèles épurés et délicats adaptés aux petites poitrines qui s’assument comme telles. La marque est d’abord une boutique 100% en ligne. Son image répond à une esthétique léchée mais sans retouches, “belle à regarder” comme la traduction grecque d’Ysé et son état d’esprit se fait en dialogue permanent avec ses clientes, tissant un rapport au corps doux et bienveillant. Loin du cliché du décollage fulgurant, Ysé se consolide sur le temps long et évolue patiemment jusqu’à accueillir le groupe Etam comme actionnaire majoritaire en 2019. Dans l’intervalle, Clara Blocman s’est retrouvée seule à la tête de la marque. Elle a développé plusieurs boutiques en France et en Belgique et a élargi sa proposition de taille jusqu’au bonnet E, tout en développant une ligne de maillots de bain et de vêtements de nuit. En 2022, Clara a été finaliste du Bold Woman Award remis par la maison Veuve Clicquot. Elle qui croyait ne pas avoir l’âme entrepreneuse….
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À sa sortie d’HEC en 2011, Clara Blocman n’incarne pas l’ethos de l’entrepreneuse fonceuse. Sur le campus, elle a rencontré une jeune femme qui a un peu plus cette fibre qu’elle. Ensemble, elles lancent l’année suivante une marque de lingerie. Ysé répond à une demande du marché : des modèles épurés et délicats adaptés aux petites poitrines qui s’assument comme telles. La marque est d’abord une boutique 100% en ligne. Son image répond à une esthétique léchée mais sans retouches, “belle à regarder” comme la traduction grecque d’Ysé et son état d’esprit se fait en dialogue permanent avec ses clientes, tissant un rapport au corps doux et bienveillant. Loin du cliché du décollage fulgurant, Ysé se consolide sur le temps long et évolue patiemment jusqu’à accueillir le groupe Etam comme actionnaire majoritaire en 2019. Dans l’intervalle, Clara Blocman s’est retrouvée seule à la tête de la marque. Elle a développé plusieurs boutiques en France et en Belgique et a élargi sa proposition de taille jusqu’au bonnet E, tout en développant une ligne de maillots de bain et de vêtements de nuit. En 2022, Clara a été finaliste du Bold Woman Award remis par la maison Veuve Clicquot. Elle qui croyait ne pas avoir l’âme entrepreneuse….
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En 2016, Julie Chapon pense passer un week-end qui la changera du conseil. En fait, avec ses deux amis et futurs associés, ils dessinent les fondations de leur futur vie. Un projet sous forme d’application et une application sous forme de carotte : Yuka qui évalue par un simple scan la qualité des produits alimentaires (et demain, des cosmétiques). Les mauvais élèves tremblent devant les notes et les appréciations décernées. Plus qu’une application, c’est un projet de société qui se dessine en creux, derrière un engouement indéniable et un usage massif dès la première année. À peine deux ans plus tard, Julie Chapon se voit remettre le Bold Future Award. En 2020, la petite équipe a lancé Yuka aux Etats-Unis. Julie et sa bande y ont même emménagé pour accompagner son développement, prêts à passer au crible les caddies des Américains.
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En 2016, Julie Chapon pense passer un week-end qui la changera du conseil. En fait, avec ses deux amis et futurs associés, ils dessinent les fondations de leur futur vie. Un projet sous forme d’application et une application sous forme de carotte : Yuka, qui évalue par un simple scan la qualité des produits alimentaires (et demain, des cosmétiques). Les mauvais élèves tremblent devant les notes et les appréciations décernées. Plus qu’une application, c’est un projet de société qui se dessine en creux, derrière un engouement indéniable et un usage massif dès la première année. À peine deux ans plus tard, Julie Chapon se voit remettre le Bold Future Award. En 2020, la petite équipe a lancé Yuka aux Etats-Unis. Julie et sa bande y ont même emménagé pour accompagner son développement, prêts à passer au crible les caddies des Américains.
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En 2013, The Family naît de trois cerveaux. Dans celui de la fille, il y a un idéal presque utopique : une société privée d’investissement qui accompagnerait les jeunes entrepreneurs - quel que soit leur milieu d’origine, leur parcours et leur réseau - du brouillon de leur start-up à son développement à l’international. C’est une première en France. La première année The family accompagne déjà 100 start-ups en leur offrant les formations adéquates, l’accès à un large réseau et à de nombreux investisseurs. En 2015, deux ans seulement après sa création, Alice Zagury est récompensée par le Bold future Award - appelé alors Prix Clémentine de la femme d’affaires - pour cette initiative novatrice en faveur de l'entrepreneuriat. Depuis, The Family a soutenu plus de 800 initiatives parmi lesquelles les prolifiques Heetch, Payfit ou encore Fempo. Malgré le tsunami vécu en cours de route - l’un de ses deux associés est accusé de détournement de fonds - Alice Zagury fait de la résilience et de la douceur des principales alliées.
The Family Diary, la bande dessinée d'Alice Zagury
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En 2013, The Family naît de trois cerveaux. Dans celui de la fille, il y a un idéal presque utopique : une société privée d’investissement qui accompagnerait les jeunes entrepreneurs - quel que soit leur milieu d’origine, leur parcours et leur réseau - du brouillon de leur start up à son développement à l’international. C’est une première en France. La première année The family accompagne déjà 100 start-ups en leur offrant les formations adéquates, l’accès à un large réseau et à de nombreux investisseurs. En 2015, deux ans seulement après sa création, Alice Zagury est récompensée par le Bold future Award - appelé alors Prix Clémentine de la femme d’affaires- pour cette initiative novatrice en faveur de l'entrepreneuriat. Depuis, The Family a soutenu plus de 800 initiatives parmi lesquelles les prolifiques Heetch, Payfit ou encore Fempo. Malgré le tsunami vécu en cours de route - l’un de ses deux associés est accusé de détournement de fonds- Alice Zagury fait de la résilience et de la douceur des principales alliées.
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En 2016, Cécile Khayat et Victoria Effantin se rencontrent dans un open space où elles pratiquent toutes deux le marketing et la communication. Elles se jaugent et se plaisent rapidement. Un an plus tard, alors âgées de vingt-trois et vingt-cinq ans, ces deux passionnées de crème et de beurre se lancent dans ce qui pourrait devenir un métier, leur métier. En juillet 2017, formées aux durs métiers de boulangère et pâtissière, les deux amies ouvrent la boutique de leurs rêves : “Mamiche” au cœur du 9ème arrondissement de Paris. Motivées par leur gourmandise, sans doute dopées par leur douce inconscience des difficultés, elles redoublent d’efforts pour se faire une place autour d’un concept qui allie l’exigence de la qualité de produits frais à l’art du fait maison. En 2019, elles inaugurent leur seconde boutique. Cette même année, elles sont mises à l’honneur par Veuve Clicquot au sein du programme Bold Future Award, dont elles sont les finalistes.
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En 2016, Cécile Khayat et Victoria Effantin se rencontrent dans un open space où elles pratiquent toutes deux le marketing et la communication. Elles se jaugent et se plaisent rapidement. Un an plus tard, alors âgées de vingt-trois et vingt-cinq ans, ces deux passionnées de crème et de beurre se lancent dans ce qui pourrait devenir un métier, leur métier. En juillet 2017, formées aux durs métiers de boulangère et pâtissière, les deux amies ouvrent la boutique de leurs rêves : “Mamiche” au cœur du 9ème arrondissement de Paris. Motivées par leur gourmandise, sans doute dopées par leur douce inconscience des difficultés, elles redoublent d’efforts pour se faire une place autour d’un concept qui allie l’exigence de la qualité de produits frais à l’art du fait maison. En 2019, elles inaugurent leur seconde boutique. Cette même année, elles sont mises à l’honneur par Veuve Clicquot au sein du programme Bold Future Award, dont elles sont les finalistes.
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Un jour sans y avoir réfléchi, Delphine Plisson, alors directrice générale de Claudie Pierlot, s’est entendue dire dans une réunion : « Moi, à ce moment-là, je ne serai plus là. » Après 20 ans dans le monde de la mode (chez Agnès b. puis Yves Saint Laurent), la quadra arrivée là presque par hasard a quitté son poste sérieux et solide pour l’inconnu, le vide. Avant même qu’elle le sache, son entourage pressent qu’elle va enfin se tourner vers ce qui l’obsède : la bouffe. Deux ans plus tard, son nom sera inscrit en grand sur une façade du boulevard Beaumarchais. Maison Plisson est une épicerie, un restaurant, un marché, un lieu hybride adapté du vénéré Dean & Deluca dont elle a tant rêvé. On y trouve du beau, du bon et tout le cœur que cette très bonne vivante, finaliste du Bold Woman Award 2020, a mis dedans.
@Slice of pay
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Un jour sans y avoir réfléchi, Delphine Plisson, alors directrice générale de Claudie Pierlot, s’est entendue dire dans une réunion : « Moi, à ce moment-là, je ne serai plus là. » Après 20 ans dans le monde de la mode (chez Agnès b. puis Yves Saint Laurent), la quadra arrivée là presque par hasard a quitté son poste sérieux et solide pour l’inconnu, le vide. Avant même qu’elle le sache, son entourage pressent qu’elle va enfin se tourner vers ce qui l’obsède : la bouffe. Deux ans plus tard, son nom sera inscrit en grand sur une façade du boulevard Beaumarchais. Maison Plisson est une épicerie, un restaurant, un marché, un lieu hybride adapté du vénéré Dean & Deluca dont elle a tant rêvé. On y trouve du beau, du bon et tout le cœur que cette très bonne vivante, finaliste du Bold Woman Award 2020, a mis dedans.
@Slice of pay
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Issue d’une lignée d’illustres sporti.ves et entrepreneur.es, Sophie Lacoste a d’abord trouvé la voie de son émancipation dans le théâtre avant de prendre la présidence de l’entreprise familiale, Lacoste. Après la vente de la célèbre marque, elle se lance un nouveau défi, en 2013, en rachetant -avec son frère- Fusalp, marque de vêtements d’hiver très populaire dans les années 70, alors en perte de vitesse. En 10 ans, elle redonne à la marque ses lettres de noblesse, l’érige au rang de marque de sportswear d’excellence et multiplie son chiffre d’affaires par dix. Dans cet épisode, la lauréate du Bold Woman Award 2023 se confie sur son héritage exceptionnel et cette nouvelle aventure familiale.
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Des vélos électriques allongés -jaunes, bleus, noirs- (avec enfants sur la banquette arrière) qui fendent les rues sous de faux airs de mobylette confortable, vous en croisez souvent. Si vous vous demandez qui se cache derrière, c’est elle : Amélie Guicheney. En juin 2022, après des années à avoir négligé la petite voix de l'entrepreneuriat dans son cœur, elle crée sa start-up pour laisser une trace dans la ville qu’elle habite (Paris) et le monde qui sera celui de son petit garçon (aussi vaste que possible). Ça passera par un vélo et pour cette marque innovante et responsable, urbaine et quotidienne, elle choisira le nom de Gaya, à la fois déesse de la terre et de la maternité. Pour son ambition et son engagement, elle reçoit, fin 2023 le Bold Future Award remis par la Maison Veuve Clicquot.
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Julie Davico-Pahin est issue d’une lignée d’agriculteurs. Elle a cru y échapper en devenant journaliste, mais en 2016, son père perd une partie de ses récoltes suite à un épisode de sécheresse. C’est le déclic. À seulement 24 ans, elle quitte son métier pour une idée. Novice dans ce domaine de la tech, elle imagine avec son père des panneaux mobiles et intelligents pour ombrager les cultures et crée Ombrea, une innovation qui propulse la jeune aixoise au rang de pionnière de la Greentech française. En 2022, elle est lauréate du Bold Future Award, cède Ombrea à Total Energies et devient maman. Lumineuse et pragmatique, Julie Davico-Pahin revient avec nous sur cette période intense et son parcours singulier.
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En 1993, les notions d’impact et de RSE n’existent pas encore. Elisabeth Laville - alors âgée de 30 ans et œuvrant dans la pub - fait un pari visionnaire en créant Utopies, un cabinet de conseil sur les stratégies de développement durable. Première entreprise certifiée du label B-Corp en France, son objectif est d'accompagner des marques, des entreprises et des territoires vers plus de responsabilité écologique. Véritable pionnière, la lauréate du Bold Woman Award 2008, décorée de la Légion d’Honneur la même année, déroule son parcours et ne sait toujours pas choisir entre activiste et entrepreneure !
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Et si on pouvait travailler et passer sa vie dans l’univers qui nous passionne ? En 2013, tout juste diplômée de l’ESSEC, Juliette Lévy - véritable beauty junky - décide de créer son entreprise de cosmétiques, Oh my Cream ! La jeune parisienne de 24 ans propose le contrepied : un concept-store multimarques, indépendant, qui met à l'honneur des labels clean et réinvente les codes de l’institut de beauté. 10 ans plus tard, l’enseigne est devenue une référence dans l’industrie de la cosmétique. Ambitieuse, résiliente et authentique, la lauréate du Bold Woman Award 2020 de Veuve Clicquot nous parle avec passion de son parcours et de ce qui fait le sel de Oh my Cream !
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Caroline Hilliet-Le Branchu est PDG de la conserverie la Belle-Iloise. Une entreprise familiale située à Quiberon. Elle ne s’y est pas vue tout de suite. Et, un jour, l’élan est apparu : elle devait reprendre le flambeau. Dans cet épisode, elle raconte la puissance des origines, la responsabilité et la préparation que cela implique.
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