エピソード

  • La baisse des taux d'intérêt a démarré en zone euro. Enfin, car c est une première depuis 5 ans. Mais attention c est pas encore la fête comme nous le dit Amid Faljaoui directeur du magazine économique Trends Tendances --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Nvidia, le fabricant de puces pour l’intelligence artificielle, entre dans le club très sélect des entreprises qui pèsent plus de 3000 milliards de dollars en Bourse, c’est la nouvelle ruée vers l’or d’aujourd’hui. Les amateurs de bourse connaissent bien cette histoire. Il paraît que pendant la ruée vers l’or aux États-Unis, ce ne sont pas les chercheurs d’or qui se sont le plus enrichis, mais les vendeurs de pelles et de pioches. Et cette histoire, elle est en train de se répéter à un niveau hors normes avec l’intelligence artificielle. En effet, il y a un nouveau record boursier a été battu par Nvidia, le champion mondial des puces graphiques qui servent à faire tourner les applications d’intelligence artificielle. Fondée par un immigré chinois, cette boîte américaine est entrée ce mercredi et de manière fracassante dans le club très fermé, très select, des entreprises qui valent plus de 3000 milliards de dollars en bourse. C’est effectivement le club le plus select au monde car à part Microsoft et Apple et maintenant Nvidia, aucune autre entreprise au monde ne passe le seuil des 3000 milliards de dollars. Juste pour vous donner une idée, ce montant de 3000 milliards est supérieur à l’ensemble du poids de la totalité de la Bourse de Paris… Mots-Clés : BNP Paribas, Carrefour, L’Oréal, Michelin, LVMH, Pernod-Ricard, success story, américaine, entreprise, fondé, réunion, fast-food, États-Unis, époque, grand public, connaissance, existence, progression, valorisation boursière, politesse, iconique, monde, Apple, fou, histoire, engouement, action, enrichir, signe, analystes financiers, recensé, agence financière, Bloomberg, action, achat, conserver, portefeuille, final, analyste, planète, Terre, malin, singe, direction, nombre, acheter, commun, mortels, démocratiser, diviser, abordable, Monsieur, Madame, doper, cours, inquiétude, client, fournisseur, solution, dépendant, chance, simple, plan technique, temps, dirigeants, marge nette, business, destination, manne céleste, volume, compenser, faiblesse, marges, secteur, distribution, double, salto, arrière, colossaux, artiste. La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Et si nous nous penchions sur les négociations entre les USA et l’Arabie saoudite ? On en parle peu mais elles auront une influence sur l’avenir du Moyen Orient et ces négociations portent aussi sur des aspects économiques et financiers. Des négociations âpres et très dures ont lieu en ce moment pour forcer le Hamas et Israël à accepter un cessez-le-feu et la libération des otages. Ce que l’on sait moins, c’est que depuis deux ans, l’administration Biden négocie aussi avec un autre interlocuteur très important au Moyen-Orient, et c’est l’Arabie saoudite. c’est ce qu’a révélé le New York Times, quotidien habituellement très bien informé de la géopolitique du Moyen-Orient. En contrepartie d’un cessez-le-feu à Gaza et d’une reconnaissance de l’Etat palestinien par les Américains, l’Arabie saoudite voudrait signer un pacte de défense mutuelle avec les Etats-Unis et ce pacte serait inspiré de ce qui existe actuellement avec le Japon. Et cerise sur le gâteau, les autorités saoudiennes souhaiteraient que ce pacte soit validé par une très large majorité des parlementaires américains. Alors, ce deuxième point n’est absolument pas facile à obtenir, pour la simple raison que plusieurs parlementaires américains, qu’il soit d’ailleurs démocrate ou républicain, ont une défiance viscérale à l’égard des Saoudiens… Mots-Clés : matière, confiance, parole, défense mutuelle, passif, drones iraniens, détruire, champs pétrolifères, corser, limiter, achat, armes, Chine, exportations, pétrole, dollar, hantise, pays, Russie, Inde, devises, roi, échanges commerciaux, dédollarisation, économie mondiale, Europe, sanctions financières, indélicatesse, soucis, devise saoudienne, prix bas possible, élections, pierre d’achoppement, volonté, programme nucléaire, civil, Maison-Blanche, choix, négocier, hantise, bande de Gaza, peur, voisin, iranien, arme nucléaire, informations, coulisses, réalité, géopolitique. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Nous sommes comme des marins surpris d’être en vie après tant de tempêtes en 4 ans ! C’est cette résistance inédite dans l’histoire qui est l’objet de cette chronique. Les nouvelles qui sont bien souvent anxiogènes. Il faut, c’est vrai, parfois avoir le cœur bien accroché pour ne pas sombrer dans une forme de grisaille morale. Et c’est à ce moment-là justement qu’il faut savoir prendre du recul. Juste aussi se dire qu’il faut parfois faire un distinguo entre l’écart et le gain. Alors l’écart mesure la distance entre nos souhaits et la réalité et nous avons tous tendance à nous braquer sur cet écart. Et c’est normal, c’est humain, c’est instinctif. Le gain, c’est une forme de sagesse. C’est se focaliser sur ce qu’on a gagné ou éviter de perdre. Alors c’est moins glorieux comme démarche, mais c’est une des clés du succès. Et plutôt que de se lamenter et encore une fois, c’est humain, plutôt que de se lamenter sur l’écart, focalisons-nous donc sur les gains. Nos petites victoires qui, cumulées jour après jour, font parfois la différence. Souvenons-nous qu’en 4 ans, nous en avons traversé des crises. La crise du COVID semble loin et pourtant nous l’avons traversée. Pour la première fois de l’histoire, nos dirigeants ont fait passer la vie, nos vies avant l’économie. Que c’est la première fois de l’histoire qu’on a exigé des entreprises de fermer leurs portes pour sauver des vies. Et de même, nous avons traversé la crise énergétique liée à l’invasion de l’Ukraine. Nos parents qui ont vécu la crise pétrolière de 1963 avec un quadruplement du prix du pétrole, ont vu la Belgique et tous les autres pays sombrer dans la récession. Ici, ça n’a pas été le cas en Europe, à part l’Allemagne et encore, c’était une récession mineure de moins 0,3%. Autant dire rien. Nous avons donc assisté aussi à une série de faillites bancaires aux États-Unis… Mots-Clés : météo, mois, juin, autruche, meilleur, monde, injuste, égard, fragile, régional, banque européenne, suisse, Crédit suisse, faillite, concurrent, UBS, Lehman Brothers, panique bancaire, contagion, fantastique, hausse, taux d’intérêt, zone euro, secteur immobilier, pneumonie, résistance, économie mondiale, pouvoir d’achat, ménages, effet domino, explosion, dette publique, charge d’intérêt, générations, élections, table des négociations, période électorale, électeurs, politique, lecteur, marchés, week-end, main, programme électoral, voter, préférence, court terme. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Le procès perdu par Donald Trump n’a eu aucun effet sur le plan électoral ni sur les marchés financiers. Comment expliquer ce paradoxe ? Le verdict de la semaine dernière contre l’ancien président Donald Trump est lourd de signification. D’abord parce que c’est la première fois qu’un président américain a été condamné au pénal et à l’unanimité du jury, qui l’a reconnu coupable de 34 chefs d’accusation formulés contre lui. Et ensuite parce que les plus optimistes se diront que, malgré ses immenses imperfections, malgré la polarisation de la population au niveau politique, c’est un signe que la démocratie américaine fonctionne bien. Mais au final, la véritable question, c’est est ce que cela change quelque chose pour cette course à la présidence ? Alors, aussi étonnant que cela puisse paraître, rien, en tout cas en apparence. Donald Trump menait déjà dans les sondages d’une courte tête son rival Joe Biden. Et le plus important, c’est que Trump le devançait dans les 6 Etats, ce qu’on appelle les swing states, qui peuvent faire la différence. Et ça, ça n’a pas changé. Les sondages d’opinion n’ont pas montré une chute de popularité de Trump, ni une avancée de Joe Biden suite au verdict du tribunal de Manhattan. Donc aucun changement au niveau électoral, que du contraire. Ses fans sont maintenant électrisés et sont convaincus que leur champion est victime d’une cabale contre lui. Et quant à Trump lui-même, qui a d’abord grimacé en sortant du tribunal, il va maintenant pouvoir revenir dans la campagne car avec ce procès, il devait être présent quatre jours semaine à New York pour justement assister à ce procès. Il va donc pouvoir bouger et galvaniser ses troupes, Donald Trump aura du renfort sur le plan financier, notamment pour payer ses frais de procès. Car l’Agence d’information financière Bloomberg a montré que le financement de la campagne de Trump est en train de s’accélérer, car de très nombreux patrons de Wall Street et de la Silicon Valley ont pris fait et cause pour lui. Et le fait majeur, c’est qu’aujourd’hui, il ne s’en cache plus… Mots-Clés : augmentation, impôt, société, réglementation, bancaire, administration, timide, riposte, manifestations, pro palestinien, campus, américain, marchés financiers, tribunal, Manhattan, verdict, anticipé, investisseurs, jargon, inscrit, cours, résultat final, cocasse, votes populaires, faveur, idéologie, taux d’inflation, taux d’intérêt, élevé, baisse des impôts, augmentation, droits de douane, importations chinoises, hausse, inflation importée, escompte, citoyen américain, politique fiscale, commerciale, budgétaire, vérités, insultes, air du temps, hirondelles, grève. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Pardonnez-moi le côté vulgaire de cette expression, mais l’expression "fuck you money" est une manière, en tout cas pour les Américains, de dire qu’il faut arriver à un certain niveau d’argent pour pouvoir dire à un client ou à un patron qu’on n’a pas envie de travailler avec lui. Et ça, ce n’est possible que lorsque l’on est indépendant financièrement. C’est une forme de liberté de parole, une parole libérée, donc, par l’absence de soucis d’argent. Lorsqu’on arrive à ce stade, on peut en effet dire non à un client qui nous embête, par exemple, sans craindre pour sa place ou pour son entreprise. Henri de Castries, président de l’Institut Montaigne, a accordé une interview extrêmement intéressante au Figaro. Elle est d’autant plus intéressante qu’Henri de Castres est l’ancien patron mondial du groupe d’assurance AXA et donc lui aussi est à l’abri du besoin et peut dire ce qu’il pense sans détour. Et justement, selon lui, si nous, Européens, avons décroché sur le plan économique par rapport aux Etats-Unis, c’est aussi, dit-il, parce que nous avons collectivement un manque d’appétit pour le risque. L’Europe, avec son principe de précaution poussé à l’excès a finalement créé un environnement peu propice à l’innovation et à la croissance. Or, il n’y a pas de croissance sans prise de risque. Lorsqu’un scientifique ou un industriel cherche quelque chose de nouveau, il met en risque son temps, sa réputation et ses ressources et accepte donc la probabilité d’un échec. Or, refuser l’échec, qui est donc l’autre facette de ce refus du risque, est mortifère. Et si l’on n’accepte donc pas de perdre, eh bien les chances de gagner diminuent. Voilà l’autre point faible de l’Europe et qui explique donc aussi le décrochage de notre vieux continent à l’égard des Etats-Unis, c’est que nous ne savons pas flécher notre épargne vers les entreprises européennes pour qu’elles puissent grandir… Mots-Clés : marché unique, épargne, milliards, euros, Wall Street, emplettes, financer, allusion, situation, résumé, Enrico Letta, ancien, Premier ministre, italien, rapport, avenir, Union européenne, final, continent, épargnant, consommateurs, investisseurs, producteurs, optimiste, pays, histoire, intérêts divergents, risque, sclérose, immobilisme, crises, pandémie, homme, virus, cadre, achat groupé, vaccins, réaction, soutien, unanime, Ukraine, Russie, accord, sanctions économiques, financières, face, crabe, élégant, démarche, défis, énergie, dépenses, militaires, immigration, réponse, collective, choix. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Face à la Chine, l’Europe semble se réveiller et a enfin décidé de riposter pour ne pas être inondées de produits chinois. l’Europe a ouvert une quinzaine d’enquêtes pour soupçons de dumping ou de subventions abusives sûr, par exemple, les voitures électriques bien, mais également sur l’éolien ou les panneaux solaires. Alors ces enquêtes sont déjà une manière pour l’Europe de montrer ses muscles, mais, c’est vrai, si on écoute les candidats aux élections européennes, ce n’est pas encore assez. La riposte Européenne est timide et ce n’est pas par faiblesse mais par intérêt. Si vous vous intéressez aux élections européennes, vous aurez remarqué que la plupart des candidats disent qu’il faut arrêter d’être naïf à l’égard de la Chine en premier lieu certes, mais également à l’égard des États-Unis. Les uns et les autres parlent de libre-échange, mais en réalité, ces deux grandes puissances économiques pratiquent chacune à sa manière, une ou plusieurs formes de protectionnisme. Alors, il n’y a qu’en Europe, visiblement, que l’on croit encore au libre-échange. De son côté, Joe Biden a annoncé il y a quelques jours à peine des droits de douane de 100% sur les voitures électriques chinoises et son administration a demandé à l’Europe de faire exactement la même chose et de suivre le mouvement protectionniste à l’encontre de la Chine. Et pour le moment, vu de loin, on a l’impression que l’Europe prend tout de même son temps pour riposter alors que l’Europe est déjà inondée, elle, de voitures électriques chinoises dont beaucoup attendent dans nos ports le moment d’être vendues sur le continent. C’est vrai que l’Europe a l’air de se réveiller tardivement et de se dire qu’au fond, le protectionnisme, ce n’est pas si mal. C’est même une sorte de légitime défense, et notamment face à la Chine dont la croissance patine et qui n’arrive donc pas à vendre ses produits made in China sur son propre marché… Mots-Clés : pays, surplus, production, inonder, produits, qualité, prix bas, tribu, éléments, droits de douane, campagne, électorale, futur, électeurs, fabricant, marché, bloquer, constructeurs européens, Dacia Spring, BMW, Volkswagen, bémol, voix, puissance économique, Allemagne, jeu, rétorsions, perdre, made in, Germany, découverte, puissance économique, modèle économique, fragile, gaz, russe, bas prix, usine, guerre, Ukraine, avantage, compétitif, volonté, ennemi, Russie, objectifs, lien ombilical, Mission, dépendance, PME, naïf, question, balle, protectionnisme, nuances, loup, poulailler, illusoire, penser, argument. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Travailler deviendrait optionnel ? C’est ce que pense Elon Musk qui a encore fait cette déclaration fracassante : "avec l’arrivée de l’IA, nous n’aurons plus de jobs sauf si vous voulez en faire un hobby". En bref, est-ce que le travail, notre travail, votre travail va devenir un hobby ? Alors la question posée comme ça semble totalement saugrenu, mais pas tant que ça. Un sage chinois a dit un jour que si vous ne voulez pas travailler, eh bien choisissez un job qui vous plaît. Mais tout de même, dire que le travail va devenir un hobby, c’est tout de même fort de café. Sauf pour Elon Musk qui clame haut et fort qu’avec l’intelligence artificielle, l’emploi c’est fini. C’est ce qu’il a déclaré auprès du magazine économique américain Fortune cette semaine. En réalité, cette déclaration d’Elon Musk n’est pas vraiment nouvelle. Il a dit exactement la même chose à Paris la semaine dernière dans le cadre du salon VivaTech, qui est donc la plus grande rencontre de dirigeants du secteur technologique au monde. Et s’exprimant à ce salon par webcam interposée, Elon Musk a dit plusieurs choses. Primo qu’avec l’intelligence artificielle et les robots humanoïdes, je le cite "il est probable qu’aucun d’entre nous n’aura un emploi sympa". Et puis il a décrit un avenir dans lequel je le cite à nouveau "Les emplois seront optionnels. Si vous voulez faire un travail qui est un peu comme un hobby, vous pourrez le faire sinon, l’IA et les robots fourniront tous les biens et les services que vous souhaitez". C’est à cause ou grâce à cette déclaration fracassante que vous allez voir bientôt fleurir des tas d’articles demandant si nous aurons encore un travail demain. Et surtout, que faire de nous si nous n’avons plus de travail ? Mots-Clés : nombril, mojito, plage, argent, question, existentiel, patrons, Silicon Valley, bénéficier, revenu, universel, jobs, révolte, machine, panique, chercheurs, intelligence artificielle, qualités intellectuelles, sujet, spécialiste, experts, tromper, timing, menace, réel, politiques, nouveau, représentant, monde, niveau, Belgique, personne, question, pire, gouverner, prévoir, draps, Français, Yann Lecun, patron, Meta, nom, Facebook, spécialiste, paradoxe, Moravec, robots, humanoïdes, complexes, difficultés, exécuter, simple, fenêtre, OpenAI, maison, ChatGPT, liste, métiers, manuels, coiffeur, couvreur, mécanicien, cols blancs, cadres, condamné, ouvreurs, porte. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Un professeur d'université américaine publie un livre choc dans lequel il dénonce les géants de la tech qui empoisonnent nos adolescents avec leurs écrans. C'est l'économie de la dopamine qu’il critique en creux. Le problème des éditeurs français, c’est qu’ils traduisent moins souvent et avec retard les livres publiés en anglais. C’est dommage, car les ouvrages les plus remarquables sont, c’est vrai, souvent édités en anglais. Nos amis hollandais et allemands sont sur ce point beaucoup plus rapides sur la balle. Sans doute parce que les éditeurs de ces pays sont davantage familiarisés avec la langue anglaise. J’en parle ici parce qu’il y a un livre à lire en ce moment pour sauver nos enfants de l’anxiété. Et ce livre, c’est celui de Jonathan Haidt, "The Anxious Generation", la génération anxieuse. Jonathan Head est tout simplement le plus brillant et le plus connu des professeurs de l’Université de New York. Ses conférences vidéos ont été vues des millions de fois et ses livres sont de véritables best-sellers. Et il arrive même à mettre d’accord, ce qui est un exploit, les Républicains et les Démocrates sur ces analyses. Et c’est encore le cas avec ce quatrième livre dans lequel il propose aux familles américaines de sauver leurs enfants tant qu’il est encore temps. Alors, même s’il se braque sur les États-Unis, ses propos sont évidemment aussi utiles ici en Europe. Son livre fait le constat que les adolescents ont des problèmes de santé mentale inconnus jusqu’alors, qu’ils affichent un recul marqué de leurs résultats scolaires et qu’ils ont, en plus, des difficultés à s’insérer dans le monde adulte… Mots-Clés : constat, démontrer, mathématiquement, résultat, géants de la tech, services, contrepartie, économie de l’attention, expression, poli, détruire, fragmenter, antenne, séquence, dopamine, forme, subtil, pervers, capitalisme, Chine, pays, autocratique, réponse, brutal, phénomène, accès, réseaux sociaux, internet, Etats-Unis, démocratie, impossible, Etat, professeurs, police, individus, familles, conseils, simple, apparence, personne, smartphone, téléphone, stupide, Américains, dumbphone, textos, contacter, enfant, interdiction, accès, poche, étranger, surveiller, vidéos, tête, décapité, raison, période, puberté, période fragile, influençable, Inciter, écoles, bannir, poches, cartables, parents, télévision, lecteur, cd, magnéto, walkie talkie, folie, quotidiennement, coupés, monde réel, patrons, dealer, coke. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Les entrepreneurs belges n’ont pas pour habitude de signer une pétition et encore moins de la rendre publique sur tous les médias connus. Plutôt pour appliquer l’adage le vieil adage du pour vivre heureux, vivons cachés. Eh bien 400 entrepreneurs belges ont tout de même décidé de ne pas respecter cette vieille règle de discrétion et ont donc fini par signer une pétition dans laquelle ils disent clairement qu’ils s’opposent fermement à une taxe sur le patrimoine pour contrer la volonté de certains partis politiques. Alors ils s’y opposent, pas uniquement sur le principe, mais ils détaillent pourquoi cette taxe, en réalité, aura un impact très négatif sur l’économie de la Belgique. Les entrepreneurs qui ont donc signé cette pétition viennent de tous les secteurs, que ce soit l’immobilier, les médias, l’industrie, la distribution et j’en passe. Et si ces 400 entrepreneurs belges sont sortis du bois, c’est parce que la campagne électorale actuelle a notamment pour thème la taxe sur les millionnaires. Et c’est surtout du côté des partis francophones que ce thème est en vogue, avec de manière assez étonnante, un parti écolo et un parti socialiste beaucoup plus en pointe que le PTB sur le sujet. Car si le PTB a été le premier à préconiser cette taxe sur les millionnaires, la barre de la taxation est fixée à 5 millions d’euros, alors que pour les deux autres partis, socialiste et Ecolo, elle est à 1 million d’euros… Mots-Clés : différence, président, arme électorale, ridicule, question, étude, récent, UCL, taxation, coffres, Etat, milliard, organe, officiel, bureau du Plan, yeux, partis, réflexe, France, solution, première, esprit, pavlovien, cloche, déficit, budgétaire, antenne, débat démocratique, revanche, raison, localisé, Flandre, flamand, nord du pays, sujet électoral, important, sud du pays, Nord, brutal, résumé, Belgique, fédéral, familial, épine dorsale, raisonnement, épée taxatrice, bois, campagne, imbuvable, Georges Clemenceau, guerre, chasse. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Les économistes vous le diront, la partie la plus sérieuse, la plus indiscutable de leur matière, c’est la démographie. Les chiffres sont implacables et les courbes qui sont tracées ne font pas l’objet de discussions. Et ce qui est certain, c’est que l’Europe, après le Japon, est en train de devenir un continent de personnes âgées et surtout une région de dénatalité. L’Europe, Russie comprise, va passer de 743 millions d’habitants à 500 millions d’ici à peine 40 ans. C’est une chute drastique qui s’explique évidemment par le faible taux de fécondité en Europe. En France, le président Macron s’en est ému il n’y a pas longtemps et a même déclaré avec l’une des formules dont il a le secret, qu’il fallait que la France vive son réarmement démographique. En Belgique, nous avons le même problème puisqu’avec 1,6 enfants par femme, la Belgique est sous le seuil de remplacement et pour maintenir la population actuelle, il faut 2,1 enfants par femme. Nous sommes loin du compte. Les explications de cette dénatalité sont nombreuses, du recul de l’âge moyen pour avoir un enfant, en passant par l’allongement de la durée des études des femmes, par la participation justement massive des femmes au marché du travail, jusqu’à l’inquiétude sur l’avenir de la planète et de l’utilité d’avoir des enfants dans ce monde. Et concernant les animaux de compagnie, ils sont en train de devenir visiblement des membres de la famille. La journaliste et vétérinaire française Hélène Gateau a fait un carton avec son livre dans lequel elle explique sans fard qu’elle préfère le meilleur ami de l’homme à un enfant. Ce remplacement des enfants par des animaux de compagnie suscite tout de même des interrogations… Mots-Clés : baisse, fécondité, choix, modèle social, actifs, pensionnés, sécurité sociale, génération, baby boomers, coût, pensions, soins de santé, allongement, durée de vie, temps, recours, immigration, jeunes, discours, unanimité, phénomène, rôle, chiens, petite taille, effectifs, mode de vie urbain, émotions, convictions, enquête, quotidien, Le Figaro, explosion, croquettes, gluten, convictions, malbouffe, affection, animaux de compagnie, membres, famille, politiques, nombre, affiches électorales, sincère, calcul, juges, confrères, perpétuer, traditions histoire, compte, financer, retraites, teckel. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Un ministre de La Défense européen peut-il menacer de dévoiler publiquement le nom des banques qui ne veulent pas financer l'industrie de l'armement ? C'est à cette question que répond Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • t si nous parlions aujourd'hui des véritables maîtres du monde? Six hommes, tous Américains. Je parle d'Elon Musk (SpaceX, Tesla et de Hicks), de Jeff Bezos (Amazon), de Mark Zuckerberg (Facebook Meta), de Sergueï Brin et Larry Page (Google) et de Bill Gates (Microsoft).Le New-York Times a récemment consacré sa Une à l'un d'eux, Elon Musk, et a démontré que le patron de Tesla et SpaceX utilise son réseau social X (l'ancien Twitter) pour promouvoir ses amis politiques : le président argentin, le président indien, le président chinois, le président turc ou encore Donald Trump. Tous s'affichent avec lui et le reçoivent avec les honneurs d'un chef d'État. En contrepartie, Elon Musk obtient des faveurs comme des droits de douane plus faibles pour les importations de ces Tesla en Inde ou au Brésil. Cet article rejoint la thèse du livre ''Ces milliardaires plus forts que les États'' de Christine Kerdellant à savoir que ces six hommes sont aujourd'hui plus riches, plus rapides et plus influents que la plupart des États nations.Elon Musk possède un tiers des satellites de télécommunications en orbite autour de la Terre, lancés sans permission. Via ses satellites, il a permis aux forces ukrainiennes d'exploiter des renseignements ou encore de coordonner des frappes d'artillerie. Mais que se serait-il passé s'il avait refusé d'aider l'Ukraine ou d'aider plutôt la partie adverse, la Russie?On pourrait multiplier les mêmes interrogations avec les cinq autres multi multi milliardaires, dont Mark Zuckerberg qui, avec son réseau social Facebook rebaptisé Meta, porte une très lourde responsabilité dans la montée de l'agressivité et le populisme dans le monde. Face aux pouvoirs souvent exorbitants de ces six hommes, ceux qui pourraient les arrêter ne le veulent pas et ceux qui voudraient les arrêter ne le peuvent pas comme l'écrit Christine Kerdellant. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Des députés européens veulent reporter la date de 2035 qui interdira la vente de voitures diesel et essence sur le sol européen. Chose étonnante : l'industrie automobile qui était contre cette date ne veut plus qu'on la change. C'est étonnant mais Amid Faljaoui nous dit pourquoi. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • OpenAI, la maison mère de ChatGPT vient de lancer une amélioration de son chatbot et notamment sur le plan vocal. Et les résultats sont bluffants comme nous l'explique Amid Faljaoui directeur du magazine économique Trends Tendances --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • L’arrivée de l’extrême droite au gouvernement des Pays Bas montre la peur viscérale de certains Européens à l’égard de l’immigration. Mais ce débat qui alimente les élections européennes est un débat ringard car l’intelligence artificielle, avec l’arrivée des robots humanoïdes, pose d’autres questions bien plus importantes. Je parlais avec un homme politique important qui s’étonnait que la campagne locale électorale à Bruxelles ne démarrait pas vraiment. Mais pour les élections européennes, je me demande si elles ne vont pas vraiment démarrer maintenant. En effet, le représentant de l’extrême droite néerlandaise, Geert Wilders, a fini par trouver un accord avec d’autres partis de droite, il pourra donc former une coalition et monter au gouvernement. C’est une première pour les Pays-Bas, une première assez triste et cela va rouvrir le débat sur la montée de l’extrême droite en Europe. Aujourd’hui, que constate-t-on ? En réalité, c’est que l’Europe est confrontée indirectement, via l’Ukraine, à un ennemi externe, la Russie. Mais en réalité, les Européens, les sondages le montrent, sont inquiets par deux ennemis l’ennemi externe, la Russie, mais aussi l’ennemi interne, autrement dit le migrant qui continue à faire peur à une partie de la population. Concernant l’IA, à force de parler de ChatGPT, on en arriverait à oublier la Robolution, la contraction du mot robot et révolution. Et cette révolution, elle est en marche devant nous avec la mise au point des robots humanoïdes… Mots-Clés : géographie, européenne, rôle, Moscou, Méditerranée, question, ennemi, interne, peur, identité, externe, constat, débat, vague brune, Parlement, européen, nécessité, porte, immigration contrôlée, compenser, bébé, assurer, pérennité, modèle social, entreprises, raison, pénurie, main-d’œuvre, arbitre, IA, Dr Laurent Alexandre, spécialiste, éléphant, milieu, pièce, personne, sociétés, Silicon Valley, Chine, dextérité manuelle, être humain, QI, polytechnicien, distinction, travail, manuel, intellectuel, fonctions, majordome, conseiller, confident, médecin, précepteur, enfants, ami, amant, film, science-fiction, déclaration, Elon Musk, milliard, sang neuf, territoire, souci, important, automatiquement, marché de l’emploi, problème, politique, rythme, logiciels, hier, technologie, allure, exponentiel, avenir, dystopique, post, X, twitteur, société, Unitary Robotics, vidéo, médias, grand public, réalité. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Mais à l’inflation, au coût de la vie qui a entraîné l’indexation des primes d’assurances, et cette absence de couverture risque de nourrir les partis d’extrême droite. Personne n’aime payer sa prime d’assurance, c’est une évidence et c’est souvent considéré comme une sorte de mal nécessaire pour s’assurer contre les aléas de la vie. Mais comme la vie est tout sauf un long fleuve tranquille, on finit par payer sa prime et on libère du même coup son esprit. Sauf que, depuis que l’inflation a fait son retour en Europe, le nombre de personnes qui refusent, ou estiment qu’il n’est plus nécessaire, de s’assurer a malheureusement augmenté. C’est le constat établi par le régulateur européen des assurances au travers d’un sondage et c’est en soi une très mauvaise nouvelle. Pourquoi ? Parce que qui dit absence d’assurance, dit risque d’exclusion de la société en cas d’accident de la vie. Les élections européennes approchent à grands pas et la plupart des observateurs s’inquiètent d’une percée des partis d’extrême droite. Car une population qui ne s’assure pas, ou nettement moins que par le passé, est par définition, une population qui a donc peur de l’avenir et la peur de l’avenir et bien pousse souvent dans les bras des partis extrêmes… Mots-Clés : confrères, quotidien, économique, Les Echos, assureurs, indexer, primes, non-vie, franchises, ascenseur, haut, choix, augmentation, frais, réparation, auto, exemple, régulateur, européen, l’inflation, origine, renouvellement, essentiel, santé, habitation, énorme, intuitif, impact, politique, mission, jouer, rôle, canari, mine, prévenir, dangers, invisible, grand public, tendance, sous assurance, citoyens, fragile, raison, succomber, sirène, direct, clair, courtier, en ligne, gain de temps, confort, cliquer, impulsif, boulot, options favorables, élément, psychologique, pression, esprit, placements, conseils, agent, habitude, combattre, jeune, minorité, cotiser, arrêt, assurances-vies, erreur, Albert Einstein, intérêt, merveille, monde, France, montant, vieux, protéger, évidence, aléas, vote, sujet, campagne, électorales, discours. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Certains médias, et non des moindres d’ailleurs comme Le Monde ou le Financial Times, ont clairement vendu leur âme au diable. On parle là de ce qu’on appelle un pacte faustien. L’expression tire son origine de la littérature populaire allemande dans laquelle le héros Faust accepte de vendre son âme au diable en échange de la connaissance universelle, ce qui, bien entendu, le mènera à sa perte. Mais comme il a signé ce contrat avec son sang, il ne pourra plus changer d’avis. Trop tard. Le diable avait gagné, le mal était fait. Et je me demande, je ne suis pas le seul dans le secteur des médias à me poser la question est ce que les médias ou certains médias du moins, n’ont pas signé un contrat faustien avec OpenAI, la maison mère de ChatGPT ? Je m’explique, en simplifiant quelque peu les choses : si l’intelligence artificielle est aussi forte aujourd’hui, eh bien c’est parce que, comme le dit le docteur Laurent Alexandre, nous sommes les idiots utiles de l’intelligence artificielle. En clair, en surfant sur le web, nous laissons des tas de données numériques qui sont utilisées pour nourrir la bête, pour nourrir cette même intelligence artificielle. En d’autres mots, nous donnons en quelque sorte aux ingénieurs de l’IA la corde qui servira à nous pendre. ChatGPT se nourrit de milliards de textes, photos et vidéos disponibles gratuitement sur le web, et c’est ce qui lui permet de nous donner les réponses à nos questions. Mais voilà, après avoir asséché, si je puis dire, le web, ce qui compte aujourd’hui, ce sont les données de qualité, notamment celles liées à l’actualité. Or, qui détient ces informations, si ce n’est les médias, bien entendu. Et afin d’éviter quelques procès retentissants, la direction d’OpenAI a décidé de négocier au cas par cas des contrats de redevances avec des médias de qualité, diviser pour régner… Mots-Clés : quotidien, Le Monde, Financial Times, bible, monde, affaires, référence, espagnol, El País, associated Press, agence, presse internationale, éditeurs, journaux, cavalier, seul, encaisser, contrepartie, accès, millions, article, apprendre, journalisme, algorithmes, spécialiste, Frédéric Filloux, sceller, cercueil, information de qualité, court terme, encaisser, redevance, services, danger, moyen terme, concurrent, similaire, sites, destination, lecteurs, Elon Musk, Twitter, X, résumer, actualité, rémunérer, déteste, sacré, défi, nouveau, service, individualiser, offre, éditorial, dézinguer, affaire à suivre, feuilletons. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • A force de parler des élections européennes de juin prochain et même d’ailleurs nationales en Belgique, on en oublierait une autre nouvelle alors au moins aussi importante, si ce n’est plus, c’est qu’en juin prochain, les taux d’intérêt devraient enfin baisser en zone euro. Alors ? Pas énormément, mais ils devraient baisser. Et en soi, c’est déjà une excellente nouvelle. Cela prouve que l’inflation a suffisamment baissé, en tout cas aux yeux de la Banque centrale européenne, pour qu’elle accepte de diminuer ses taux d’intérêt directeurs. L’inflation, c’est vrai, a diminué du côté de la demande, tout simplement parce que l’effet de consommation effrénée COVID est derrière nous. Et l’inflation a également diminué du côté de l’offre en raison de la guerre en Ukraine. Nous avons trouvé d’autres fournisseurs depuis deux ans et que dure cette guerre pour justement remplacer ou compléter les exportations en provenance de là-bas. Mais l’inflation en zone euro a également diminué parce que l’effet rattrapage des salaires s’estompe au fil du temps. Dernier point, l’inflation a diminué également car si les entreprises, tous secteurs confondus, ont profité du retour de l’inflation pour retrouver ou améliorer leurs marges, cette période de rattrapage est également terminée, car la consommation patine aujourd’hui et les entreprises ont compris qu’elles ne peuvent plus augmenter leur prix de vente au-delà du raisonnable. Bref, tout est prêt pour la baisse des taux d’intérêt qui, de l’avis majoritaire en tout cas auprès des experts, devrait donc se produire d’ici quelques semaines, au mois de juin… Mots-Clés : année, nouvelle, Etats-Unis, Europe, paradoxal, américaine, 2024, 2025, débiteurs, nœud coulant, desserrer, créanciers, rente, sens, terme, placer, épargne, investissements, histoire, citoyens, ménages, entreprises. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Sommes-nous en train de passer d’une culture du divertissement à une culture de la dopamine ? La question est clairement posée par certains intellectuels dont notamment Ted Gioia qui a publié un texte devenu viral sur les réseaux sociaux ainsi que dans la lettre d’information « Snowball Report ». Amid Faljaoui nous en dit plus . --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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