エピソード

  • Le 17 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde, pour explorer la question des mystérieuses « attaques » de drones non identifiés qui survolent le New Jersey et d’autres sites stratégiques.
    Ces survols, impossibles à intercepter, remettent en question la souveraineté et la sécurité des nations concernées.

    Depuis plus d’un mois, , des drones non identifiés survolent le New Jersey. Invisibles aux radars, ils échappent à tout contrôle, même après des interventions massives des forces de l’ordre. Leur technologie dépasse ce que l’on connaît, démontrant une faille sécuritaire majeure aux États-Unis.

    Les États-Unis face à une humiliation sécuritaire

    Ces drones défient la première puissance mondiale sur son territoire. Ils disparaissent à l’approche des forces de sécurité et laissent les autorités américaines sans explications. Le 11 décembre, la Maison-Blanche intervient : Joe Biden est informé, mais aucune action concrète n’est annoncée. La menace persiste. Qui ridiculise la sécurité américaine ? Les soupçons se tournent vers la Chine, la Russie ou l’Iran, mais aucune preuve ne valide ces hypothèses.

    Ce problème dépasse le cadre national. Il expose une vulnérabilité américaine qui menace aussi ses alliés et leur souveraineté.

    L’Europe aussi dans la ligne de mire

    Depuis novembre, des drones similaires sont signalés en Allemagne et au Royaume-Uni. Des bases aériennes stratégiques, comme Ramstein ou Mildenhall, ont été survolées. Un rapport explosif de Der Spiegel révèle des survols sur des sites industriels sensibles en Allemagne, dont Rheinmetall et BASF. Ces incidents rappellent des violations passées de bases ultra-sécurisées comme celle de Langley. Tout indique une coordination planifiée et une technologie de pointe.

    Ces survols visent à tester les failles des défenses occidentales. Ils touchent simultanément les États-Unis et l’Europe, démontrant une stratégie délibérée d’affaiblissement coordonné.

    Une technologie au-delà de notre compréhension ?

    Ces drones ne laissent aucune trace : invisibles, silencieux, et sans signal détectable. Cette technologie dépasse tout ce que posséderaient des nations comme la Chine ou la Russie. Une hypothèse audacieuse refait surface : une origine extraterrestre. En 2020, Haim Eshed, ex-directeur du programme spatial israélien, affirmait que des gouvernements collaboreraient secrètement avec une « fédération galactique ». Si cela paraît invraisemblable, les aveux récents du Pentagone sur les phénomènes aériens non identifiés (UAP) relancent le débat.

    Ces drones, par leurs caractéristiques, ressemblent étrangement aux objets volants signalés ces dernières années par l’armée américaine.

    Une menace globale qu’il faut prendre au sérieux

    Quelle que soit leur origine, ces drones exposent l’incapacité des grandes puissances à sécuriser leurs infrastructures critiques. La question est cruciale : si ces technologies échappent aux États, quelles en seront les conséquences ? Washington et ses alliés doivent agir vite, sous peine de voir ces incursions marquer une nouvelle ère de menaces furtives et technologiques.

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  • Le 17 décembre 2024, Sylvain Ferreira et Romain Maréchal étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu surGéopolitique Profonde.

    00:16:54 : Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.01:31:00 : Romain Maréchal a suivi une formation en commerce international et en gestion financière. Il a également créé une plateforme de streaming nommée L’Épopée, dont le but est de faire rayonner la France. À compter du 1er décembre 2023, les abonnés auront donc accès à des émissions culturelles consacrées à la vie locale, à des reportages en immersion et à des documentaires 100% français.

    L’effacement de la puissance française sur la scène internationale

    La France traverse une des périodes les plus critiques de son histoire moderne. En proie à des tensions internes, des défis identitaires et un effacement progressif sur la scène internationale, son avenir oscille entre déclin et renaissance.

    La France, jadis moteur diplomatique et militaire, s’efface dans une Europe dominée par des logiques technocratiques. Le recul face aux grandes puissances, notamment les États-Unis et la Chine, marque un tournant historique. Paris peine à maintenir son influence en Afrique francophone, où l’offensive russe et chinoise redessine les alliances. Dans les Balkans, au Proche-Orient ou face au conflit russo-ukrainien, son rôle devient trop souvent secondaire.

    Pendant ce temps, l’Allemagne renforce son emprise économique sur l’Europe, tandis que la Pologne et les pays baltes s’alignent sur les intérêts américains. Le couple franco-allemand, pilier de l’Union européenne, apparaît affaibli, révélant une France en panne d’ambitions stratégiques.

    Une crise institutionnelle et culturelle profonde

    L’État français vacille sous le poids d’institutions vétustes, incapables de répondre aux attentes d’un peuple divisé. Le multiculturalisme imposé par les élites globalistes provoque un choc identitaire, accentuant les fractures sociales et alimentant la défiance envers les institutions.

    La déconstruction culturelle orchestrée par des idéologies radicales fragilise la nation. L’éducation, la langue et l’histoire, jadis piliers de la cohésion française, sont aujourd’hui les cibles d’une idéologie rejetant toute continuité avec le passé. Dans ce contexte, la jeunesse peine à trouver des repères et les classes populaires s’enfoncent dans un désespoir identitaire et économique.

    La renaissance ou le chaos : un choix décisif

    Malgré tout, la France porte en elle les germes d’un sursaut. Les périodes les plus sombres de son histoire ont souvent précédé des renaissances spectaculaires. Pour retrouver son rayonnement, elle doit renouer avec ses racines civilisationnelles, restaurer sa souveraineté et réinventer un modèle institutionnel.

    Face aux défis, une nouvelle génération de patriotes se mobilise pour reconstruire un projet national audacieux, capable d’unir les Français autour d’un idéal commun. Sans cela, la France risque de devenir un simple vestige de l’histoire occidentale.

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  • Le 16 décembre 2024, le Capitaine Pierre Plas était l’invité de Lara Stam, dans l’émission Un Soir avec Lara, sur Géopolitique Profonde !

    Le Capitaine Pierre Plas, ancien officier du renseignement militaire français, est aujourd’hui correspondant pour une chaîne télévisée alternative francophone basée à Montréal.
    Partenaire de l’émission géopolitique de Carl Brochu, il enrichit le programme de ses analyses pointues et de ses reportages récents réalisés en Syrie, au Kosovo et dans le Donbass, au cœur des zones de conflit.

    Israël 1948 : un tournant géopolitique majeur

    La création d’Israël en 1948 inaugure une ère où ce nouvel État devient le pivot stratégique des ambitions anglo-américaines au Moyen-Orient. Les victoires militaires israéliennes, comme celles de la guerre des Six Jours (1967) et du Kippour (1973), annihilent les tentatives arabes d’unité. Ces conflits, orchestrés par l’Occident, maintiennent une instabilité voulue.

    L’objectif : diviser les nations arabes, exploiter leurs fractures religieuses et ethniques, et garantir le contrôle des ressources énergétiques. Les Palestiniens, réduits à un prétexte, subissent une oppression permanente qui alimente une tension propice à l’interventionnisme étranger.

    L’avènement de l’État profond américain

    L’assassinat de John F. Kennedy en 1963 marque l’entrée des élites néoconservatrices au pouvoir. Kennedy, opposé au complexe militaro-industriel, gênait leur agenda. Après sa mort, la guerre du Vietnam devient le premier terrain d’expérimentation de leur domination militaire et économique.

    Avec l’effondrement de l’URSS en 1991, la stratégie néoconservatrice s’intensifie. La guerre en Yougoslavie, sous couvert d’humanitarisme, sert à fracturer la région et affaiblir la Russie. Le 11 septembre 2001, véritable catalyseur, justifie deux décennies de guerres interventionnistes en Afghanistan et en Irak, basées sur des prétextes fallacieux. Ces conflits renforcent le complexe militaro-industriel et réduisent les libertés civiles, au profit d’un état de guerre perpétuelle.

    Palestine et Ukraine : conflits entretenus

    Les crises actuelles en Palestine et en Ukraine illustrent la continuité de cette stratégie. En Palestine, l’expansion des colonies, le blocus de Gaza et les violences maintiennent une instabilité qui sert les ambitions géopolitiques d’Israël et de ses alliés. La paix n’est pas envisagée, car ce conflit perpétuel légitime une militarisation constante.

    En Ukraine, le coup d’État de 2014 marque le début d’un affrontement entre l’Occident et la Russie. Depuis 2022, cette guerre menée par procuration affaiblit Moscou tout en renforçant l’OTAN. Ces conflits illustrent une stratégie néoconservatrice globale : diviser pour mieux régner, contrôler les ressources et affirmer une domination idéologique.

    Derrière ces théâtres d’opérations, des forces financières anglo-saxonnes imposent un capitalisme prédateur justifié par une lecture archaïque de l’Ancien Testament. Cette vision abandonne la doctrine universelle du Christ pour servir une logique matérialiste et dominante.

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  • Le 16 décembre 2024, Hafsa Kara-Mustapha, François Martin, Claude Janvier et Yanis Dalouche étaient les invités de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde !

    Hafsa Kara-Mustapha est une journaliste et analyste politique spécialisée dans les relations internationales, notamment au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. En 2021, elle a publié l’essai Berbère de Sion – Ère du faux et mensonges d’États, où elle analyse l’instrumentalisation des différences ethniques au Maghreb, qu’elle attribue à des stratégies coloniales visant à affaiblir l’unité nationale.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Claude Janvier est un écrivain et essayiste français, auteur de plusieurs ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre est intitulé « L’État Profond Français » .

    Yannis Dalouche est un journaliste et militant politique, membre de La France insoumise. Il est reconnu pour ses analyses sur les questions internationales et son engagement dans le débat public.

    La Syrie bascule après la chute de Bachar al-Assad

    Le 8 décembre 2024, la Syrie a basculé après la chute du régime de Bachar al-Assad. En deux semaines, les rebelles islamistes d’Hayat Tahrir al-Sham (HTS) ont pris Damas, Alep, Homs et Hama. Cette offensive, soutenue par la Turquie, a été méthodiquement préparée.

    Le régime syrien, affaibli par 13 ans de guerre civile, a perdu le soutien de la Russie, préoccupée par ses crises internes et la guerre en Ukraine, et de l’Iran, en proie à une révolte intérieure. De leur côté, HTS a bénéficié d’un financement étranger conséquent.

    Abou Mohammed al-Joulani : un leader controversé

    À la tête de HTS, Abou Mohammed al-Joulani, ancien cadre d’Al-Qaïda, contrôle désormais les principales infrastructures syriennes. Il a soigné son image en rompant avec Al-Qaïda et en prônant un discours modéré, séduisant à la fois les populations locales et les puissances étrangères. Il promet un gouvernement « inclusif », mais demeure un islamiste radical avec une vision autoritaire.

    Malgré son passé djihadiste, l’Occident le tolère, préférant sa présence à celle de l’Iran ou de Daech. Cela illustre une géopolitique où les intérêts stratégiques priment sur les valeurs affichées.

    Conséquences régionales

    La chute d’Assad ouvre une nouvelle ère de chaos en Syrie. Les factions rebelles, alliées contre le régime, s’affrontent pour le contrôle total. La Turquie renforce son influence, Israël multiplie les frappes pour prévenir de nouvelles menaces, et l’Irak craint une expansion de la violence.

    La Russie et l’Iran, principaux soutiens d’Assad, sortent affaiblis. La Russie voit son rôle régional diminuer malgré ses appels à l’ONU. L’Iran, privé de son allié, voit ses ambitions d’« axe chiite » s’écrouler.

    Ce bouleversement redessine les rapports de force au Moyen-Orient, annonçant de possibles conflits régionaux plus dévastateurs.

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  • Le 16 décembre 2024, Nicolas Stoquer dévoilait comment la cérémonie Miss France, autrefois symbole de l’élégance française, s’est transformé en agenda idéologique et vitrine du wokisme, sur GPTV.

    Miss France devient une arme

    Miss France n’est plus un simple concours de beauté, mais une arme idéologique. L’élection d’Angélique Angarni-Filopon, Miss Martinique de 34 ans, marque un tournant décisif. En abolissant la règle historique de l’âge limite fixé à 24 ans, Miss France s’éloigne de ses racines pour devenir une vitrine du wokisme, où l’inclusivité semble servir un agenda politique globalisé.

    En couronnant des candidates hors des normes traditionnelles – après l’androgyne Ève Gilles en 2024, puis une femme de 34 ans – le concours envoie un message clair : les critères classiques sont dépassés au profit de symboles censés refléter une France moderne et ouverte. Mais cette modernité imposée divise. Miss France ne célèbre plus l’élégance française ; elle promeut un soft power culturel, éloignant une partie des Français attachés aux valeurs historiques.

    Une trahison des valeurs historiques

    Historiquement, Miss France incarnait l’élégance, le charme et la tradition. Aujourd’hui, c’est une tribune militante. L’élection de candidates comme Angélique Angarni-Filopon illustre une rupture : Miss France ne cherche plus à rassembler mais à plaire à une élite culturelle. Sous couvert d

    Cette transformation suscite des fractures dans la société. Une partie du public critique un concours dénaturé, accusé de privilégier une propagande politique au détriment de ses fondamentaux. Ce glissement rappelle les Jeux Olympiques de Paris 2024, où des figures comme la boxeuse Imane Khelif sont célébrées davantage pour leur portée politique que pour leurs performances. Miss France adopte une logique similaire, où chaque couronnement devient un signal militant, provoquant rejet et incompréhension.

    Le résultat est une division profonde. Ce concours, autrefois fédérateur, reflète désormais les tensions identitaires et culturelles de la France. En sacrifiant ses codes, Miss France se coupe d’une partie de la population, lassée de voir ses traditions mises de côté pour un progressisme perçu comme élitiste.

    L’apogée du wokisme

    Miss France n’incarne plus la France : elle est devenue le théâtre de l’apogée du wokisme. L’élection d’une Miss de 34 ans illustre la déconstruction des anciennes normes : âge, genre et beauté classique ne sont plus que des outils au service d’un agenda idéologique.

    Ce changement traduit une déclaration brutale : la tradition n’a plus sa place. Jadis miroir de l’élégance française, Miss France impose une vision progressiste où les repères historiques sont déconstruits. En abandonnant ses valeurs, le concours renonce à son essence et perd son rôle de rassembleur.

    Les conséquences sont lourdes. Une partie des Français se détourne d’un événement perçu comme caricatural. Ce qui était un rendez-vous populaire devient un symbole de division, où la quête d’inclusivité semble nuire à l’identité culturelle de la nation. En imposant une vision progressiste, Miss France fragilise les fondations mêmes de la société française.

    Décryptez les enjeux cachés de cette dérive culturelle et son impact sur l’identité française grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 16 décembre 2024, Claude Janvier, Laurent Martin Saint Léon et François Martin étaient les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    00:21:27 : Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français ».00:57:30 : Laurent Martin Saint Léon est un lobbyiste et ancien assistant parlementaire.01:41:00 : François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Le retour du djihadisme en Syrie bouleverse l’ordre mondial

    La résurgence du djihadisme en Syrie, orchestrée par Hayat Tahrir al-Sham (HTS), déstabilise le Sud global et entrave l’émergence d’un ordre multipolaire. Ancienne branche d’Al-Qaïda, HTS domine Idlib sous la direction d’Abou Mohammed al-Joulani. Derrière sa façade pseudo-politique se cache une stratégie soutenue par les élites occidentales pour maintenir la Syrie en guerre permanente, bloquant sa reconstruction et affaiblissant ses alliés stratégiques : Russie, Iran et Chine.

    HTS n’agit pas comme une simple entité locale, mais comme un instrument géopolitique global. Les puissances occidentales, craignant un axe Moscou-Téhéran-Pékin renforcé, soutiennent discrètement HTS pour freiner la stabilisation syrienne. Ce groupe provoque une insécurité chroniqu

    HTS réactive les réseaux terroristes sur le sol européen

    Le retour du djihadisme dépasse le Moyen-Orient et impacte directement l’Europe, où les réseaux affiliés à HTS relancent la menace terroriste. L’instabilité provoquée alimente les flux migratoires, accentue les fractures sociales et justifie des politiques sécuritaires renforcées.

    En Asie centrale, HTS infiltre des pays stratégiques comme le Kazakhstan, l’Ouzbékistan et le Tadjikistan, perturbant les routes commerciales soutenues par la Chine et les BRICS, notamment la Nouvelle Route de la Soie. Ces agissements affaiblissent les projets économiques régionaux, favorisant un maintien de l’hégémonie occidentale.

    Une stratégie occidentale pour maintenir l’hégémonie

    La montée du djihadisme sert une stratégie planifiée des élites occidentales visant à contrer les BRICS. Incapables de rivaliser économiquement, les États-Unis et leurs alliés déclenchent des foyers de tension. En Syrie, HTS joue un rôle clé. En Europe de l’Est, les révolutions de couleur en Moldavie, Géorgie et Roumanie poursuivent le même objectif.

    Les échecs occidentaux s’accumulent : en Ukraine, le rapport de force bascule en faveur de la Russie, tandis qu’aux États-Unis, le rejet des interventions militaires inutiles progresse. En Europe, la défiance envers les élites grandit à mesure que les populations saisissent les manipulations en jeu.

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  • Le 15 décembre 2024, Ludovic Malot est l’invité exceptionnel de La Grande Émission, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Au programme : le symbolisme des élites adeptes de l’occultisme, visant à contrôler l’humanité et à remodeler le monde.

    Ludovic Malot, spécialiste en théologie et en histoire des religions, est reconnu pour ses analyses percutantes sur les bouleversements politiques et spirituels de notre époque. Auteur de plusieurs essais, il met en lumière les liens occultes entre les élites mondialistes et la dégradation de notre civilisation.

    L'incendie de Notre-Dame, un événement orchestré par des forces occultes

    L’incendie de Notre-Dame de Paris, survenu le 15 avril 2019, dépasse le cadre d’un simple accident. Ludovic Malot affirme que cet événement s’inscrit dans un vaste projet de déconstruction spirituelle et culturelle mené par une élite mondiale. Cet acte, hautement symbolique, serait lié à des pratiques occultes et à des rituels ésotériques, utilisés pour asseoir un contrôle global sur les peuples.

    Le choix de Notre-Dame, monument central de l’histoire de France et de la chrétienté européenne, n’est pas dû au hasard. Détruire un tel édifice dépasse la simple atteinte matérielle. Derrière cet événement, une mécanique précise : l’utilisation d’événements marquants comme instruments de manipulation collective.

    Les connexions entre l’élite politique et les cercles occultes

    Aleister Crowley, figure majeure de l’occultisme moderne et fondateur de l’Ordo Templi Orientis (OTO), apparaît comme une pierre angulaire des pratiques spirituelles subversives des élites. Il existe des liens troublants entre les enseignements de Aleister Crowley et certains responsables politiques actuels. Ces figures publiques seraient impliquées dans des pratiques héritées des cercles ésotériques du XXe siècle.

    Les symboles utilisés par ces élites ne sont pas anodins, on observe une récurrence de leur utilisation dans les grands événements politiques et culturels. Ces références, souvent imperceptibles du grand public, obéissent à une logique précise : exploiter des rituels pour exercer un pouvoir à la fois psychologique et spirituel.

    Notre-Dame, le 11 septembre et la numérologie

    Les grands événements qui marquent l’histoire moderne, tels que l’incendie de Notre-Dame ou les attentats du 11 septembre 2001, ne sont pas des actes isolés. Ces événements sont reliés par des schémas symboliques et numérologiques précis, souvent utilisés par les sociétés secrètes et cercles ésotériques pour maximiser leur impact. La destruction de Notre-Dame ne serait ainsi qu’une étape dans une longue série d’actions coordonnées, visant à déstabiliser les peuples et à les détourner de leurs repères fondamentaux.

    Les dates, les lieux et les symboles associés à ces événements servent des objectifs précis : amplifier l’impact psychologique, conditionner les consciences et préparer l’opinion publique à l’émergence de changements radicaux.

    Des bouleversements majeurs annoncés en France

    Ludovic Malot prévient que la France pourrait bientôt être le théâtre d’autres événements d’ampleur, avant la fin de l’année 2024.

    Ces événements s’inscriraient dans une stratégie globale visant à affaiblir les structures traditionnelles et à renforcer l’emprise d’une élite mondiale sur la société. Notre invité appelle chacun à rester vigilant face à une intensification des crises et des manipulations.

    Pour comprendre les mécanismes occultes et les enjeux réels derrière ces événements, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 15 décembre 2024, à Cannes, Mandelieu et Fréjus, Mickaël a recueilli les réactions des Français, lors d’un nouveau micro-trottoir pour GPTV Investigation, sur une proposition polémique : utiliser leur épargne pour réduire la dette publique.

    Ce projet est défendu par Jean-Pierre Fourcade, ancien ministre et expert des finances publiques. En réponse : « Macron fout la m*rde ! ». Un mélange d’indignation, de fatalisme et de méfiance envers les décisions politiques récentes.

    Une exaspération face à des sacrifices jugés toujours à sens unique

    Le mécontentement s’exprime avec force. La majorité des citoyens interrogés estiment qu’ils ne doivent pas payer pour les erreurs accumulées par des décennies de mauvaise gestion publique. Les finances de l’État, plombées par une dette atteignant près de 3 000 milliards d’euros, sont le fruit de choix politiques contestables et non des actes des épargnants.

    Beaucoup de passants dénoncent une tentative de transférer sur les individus les conséquences de politiques fiscales et budgétaires incohérentes. Certains pointent du doigt les privilèges et le train de vie dispendieux des élites, qui symbolisent, pour eux, l’irresponsabilité chronique des gouvernements successifs. Les classes moyennes et populaires, déjà fragilisées par une inflation galopante, une hausse du coût de la vie et des pressions fiscales, considèrent cette proposition comme une mesure d’acharnement supplémentaire, une ligne rouge à ne pas franchir.

    Une colère grandissante qui pourrait mener à une révolte sociale

    C’est une rupture de confiance avec les élites politiques et économiques du pays. Cette fracture, déjà creusée par les mouvements comme les Gilets jaunes, s’élargit dangereusement.

    Le sentiment d’abandon et d’injustice sociale, couplé à une inflation pesante et à des perspectives économiques moroses, pourrait devenir le terreau d’un élan révolutionnaire. À force de pressions incessantes, une explosion semble inévitable.

    L’épargne, une ligne rouge pour les Français

    L’épargne représente un sanctuaire pour les Français. Contrairement à d’autres formes de patrimoine, elle est perçue comme le fruit de sacrifices personnels, d’années de travail et de privations. L’idée même de s’en prendre à cette épargne est vue comme une attaque directe à la sécurité financière des ménages. En France, le livret A, produit d’épargne le plus populaire, rassemble environ 400 milliards d’euros, soit une manne conséquente pour un gouvernement en quête de liquidités. Cependant, toucher à cette épargne serait une erreur stratégique majeure, tant elle symbolise la prévoyance et l’autonomie des citoyens.

    Derrière cette proposition se cache une stratégie gouvernementale risquée : tester les limites du consentement populaire. Une telle mesure pourrait faire éclater une crise politique majeure, dans un contexte où le fossé entre dirigeants et citoyens n’a jamais été aussi large.

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  • Le 15 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un direct explosif sur Géopolitique Profonde !
    Le Conseil d’État vient de frapper un grand coup. Les crèches de Noël sont désormais interdites dans les lieux publics, sous prétexte d’une stricte application de la laïcité.
    La religion maçonnique s’en frotte les mains !

    La laïcité, un outil de la religion maçonnique

    En apparence, la laïcité garantit une neutralité religieuse dans l’espace public. Mais en réalité, elle est devenue une arme idéologique au service d’un projet bien précis : détruire le christianisme en tant que socle spirituel et culturel de l’Europe.
    Derrière cette laïcité de façade se cache une forme de « religion maçonnique », qui prône un monde sans transcendance chrétienne, basé uniquement sur des valeurs matérialistes et individualistes.

    L’interdiction des crèches de Noël en est l’illustration parfaite. Ces symboles, profondément enracinés dans les traditions françaises, sont bannis des mairies et des places publiques sous prétexte qu’ils porteraient atteinte à la neutralité de l’État. Mais cette « neutralité » n’est qu’une illusion. En réalité, elle favorise l’installation d’un nouveau culte, celui de la consommation, de l’individu roi et d’une société déconnectée de ses racines spirituelles.

    La stratégie est claire : supprimer les symboles chrétiens pour les remplacer par ceux du vide spirituel.
    Aujourd’hui, Paris et d’autres grandes villes en sont les témoins. Noël n’est plus qu’un spectacle marchand, réduit à des films sur le Père Noël, des vitrines scintillantes et des marchés surpeuplés. La nativité, cœur spirituel de cette fête, a disparu. Et derrière cette disparition, c’est l’agenda maçonnique qui avance, invisiblement mais sûrement.

    La religion maçonnique : un outil pour imposer un nouvel ordre

    Le but ultime de cette « religion sans Dieu » est de remplacer le christianisme par une vision universelle et déshumanisée, où les individus sont coupés de leur histoire et de leur spiritualité. En détruisant les crèches, en gommant Noël de l’espace public, c’est un nouvel ordre qui s’impose peu à peu. Cet ordre repose sur la soumission à des valeurs globalisées, détachées des identités nationales et spirituelles.

    La France, fille aînée de l’Église, est au cœur de ce projet destructeur. En éradiquant les symboles chrétiens, cette idéologie maçonnique affaiblit le peuple, le prive de ses racines et de ses repères spirituels. Un peuple sans spiritualité est plus facile à manipuler, car il devient incapable de se projeter au-delà de ses besoins matériels immédiats.

    Mais ce projet trouve une résistance. Partout en France, des citoyens, des élus et des communautés continuent d’installer des crèches, même sous la menace de sanctions. Ce geste simple est un acte de révolte contre l’effacement de nos racines et un refus d’accepter la domination d’une idéologie qui ne laisse aucune place à la transcendance.

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  • Le 15 décembre 2024, Jean Claude Pascal était l’invité de Nicolas Stoquer et Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
    L’émission revenait sur la polémique autour de Notre-Dame de Paris, de l’origine de l’incendie aux symboles maçonniques.

    Jean-Claude Pascal est un ingénieur français spécialisé en thermodynamique, mais également reconnu pour son intérêt profond pour l’alchimie et les traditions ésotériques. Fort de son parcours scientifique, il s’est tourné vers l’étude des anciennes pratiques alchimiques, cherchant à établir des liens entre les principes scientifiques modernes et les enseignements mystiques de l’alchimie. Son approche unique combine rigueur scientifique et exploration spirituelle, en mettant l’accent sur la transformation intérieure et les mystères de la matière, tout en s’appuyant sur ses connaissances en thermodynamique pour interpréter certains aspects des traditions hermétiques.

    L’incendie : destruction pour une « renaissance » détournée

    Le feu de Notre-Dame, en avril 2019, va au-delà d’un accident patrimonial : il symbolise une destruction servant une reconstruction idéologique. Inspirée de principes ésotériques, cette démarche s’éloigne de la vocation chrétienne du monument. La « renaissance » évoquée par certains vise une transformation moderniste et matérialiste, parfois transhumaniste.

    La reconstruction cherche à redéfinir Notre-Dame comme un lieu neutre et universel, vidé de sa signification chrétienne. Ce n’est pas une simple rénovation, mais une reprogrammation culturelle.

    Un mobilier liturgique vidé de son essence chrétienne

    Les rénovations intérieures reflètent cette dérive : mobilier influencé par des symboles maçonniques, designs épurés, abstraction des codes sacrés. Les symboles chrétiens – croix, autel, fresques – laissent place à un environnement neutre, ouvrant la porte à une spiritualité ésotérique.

    Lors de la réouverture, Emmanuel Macron transforme la cathédrale en scène politique, signalant une rupture avec sa vocation sacrée. Notre-Dame devient un outil médiatique et idéologique, éloigné de ses racines chrétiennes.

    Une obsession pour l’Ancien Testament et le Temple de Jérusalem

    La rénovation met en avant l’Ancien Testament et le Temple de Jérusalem, au détriment du Nouveau Testament. Ce choix traduit une volonté de déplacer la symbolique spirituelle de Notre-Dame. Alors que le christianisme promeut une foi libérée des temples de pierre, cette fixation sur le Temple de Jérusalem reflète un messianisme politique étranger à la foi chrétienne.

    La cathédrale est ainsi enrôlée dans un projet spirituel universel aligné sur des ambitions mondialistes, transformant Notre-Dame en outil de propagande.

    Notre-Dame : miroir d’une civilisation en crise

    Au-delà de l’architecture, Notre-Dame reflète un combat spirituel : préserver les racines chrétiennes face à une idéologie globalisante. En trahissant ses fondements, la rénovation de Notre-Dame illustre une crise civilisationnelle française et européenne. La cathédrale, symbole de la foi et de l’héritage chrétien, est vidée de son essence au profit d’un projet étranger.

    Pour approfondir votre compréhension et vous armer face aux crises à venir, accédez dès maintenant à votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 14 décembre à 22h, Alexis Tarrade, Xavier Moreau, Fabrice Sorlin et Thomas Thomasovitch vous donnaient rendez-vous pour votre nouvel épisode de Divergence sur Géopolitique Profonde !

    Xavier Moreau : Analyste en relations internationales, diplômé de Saint-Cyr et de la Sorbonne, il réside en Russie depuis 24 ans. Fondateur de Stratpol, il a écrit plusieurs ouvrages, dont Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?.Alexis Tarrade : Actif au sein de la communauté française en Russie, ancien président de la section Russie et Biélorussie des Républicains, il a dirigé l’Union des Français de l’Étranger en Russie. Désormais secrétaire général de France Expatriation Russie, il commente régulièrement les relations franco-russes et la crise ukrainienne.Fabrice Sorlin : Politicien français aux positions nationalistes et catholiques traditionalistes, il est vice-président du Mouvement international russophile et actif dans les débats géopolitiques en lien avec la Russie.Thomas Thomasovitch, créateur de la chaîne YouTube « Thomasovitch », dirige également l’agence de voyage Aventurusse en Russie.

    Le régime d’Assad s’effondre face à Hayat Tahrir al-Sham

    Le régime de Bachar al-Assad a succombé sous l’offensive d’Hayat Tahrir al-Sham (HTS), groupe radical proche d’Al-Qaïda, transformant la Syrie en sanctuaire jihadiste. Cet effondrement, facilité par le désengagement de la Russie, marque un tournant géopolitique majeur. Embourbée dans la guerre en Ukraine, Moscou abandonne la Syrie, laissant un vide exploité par la Turquie et Israël.

    Stratégies de la Turquie et d’Israël :

    La Turquie : Erdogan intensifie son contrôle sur le nord syrien, installant une zone tampon pour neutraliser l’autonomie kurde, tout en étendant son influence régionale.Israël : Profite de l’effondrement syrien pour neutraliser les bases et convois iraniens, consolidant sa sécurité et affaiblissant l’influence de Téhéran.

    Cette recomposition géopolitique accélère les tensions au Moyen-Orient.

    L’accord Mercosur et ses conséquences pour l’Europe

    Sur un autre front, l’accord de libre-échange Mercosur menace les agriculteurs européens. Les produits agricoles sud-américains, souvent non conformes aux normes européennes, provoqueront une concurrence insoutenable. Cette situation alimente la colère des campagnes, exacerbe les populismes et fragilise l’Union européenne.
    Pendant que l’Europe s’embourbe dans ses divisions, la Turquie et Israël avancent leurs intérêts stratégiques, et la Russie redéfinit ses priorités face aux bouleversements mondiaux.

    Allez plus loin dans l’analyse et la compréhension des grands bouleversements, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 14 décembre 2024, Fabien Bouglé était l’invité de Nicolas Stoquer dans Le Monde Réel, sur Géopolitique Profonde !

    Fabien Boulgé, est un expert en politique énergétique et auteur du livre « La guerre de l’énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial« . Il décortique les enjeux stratégiques de la guerre énergétique relancée par les récents événements internationaux, notamment l’élection de Donald Trump et le sommet des BRICS à Kazan.

    La France dans une impasse énergétique

    Avec un mix énergétique déjà décarboné à 95 % grâce au nucléaire, la France abandonne sa souveraineté en suivant le modèle allemand de l’Energiewende, dominé par l’éolien et le solaire. Ces énergies intermittentes, incapables d’assurer une production stable, dépendent des conditions météorologiques et nécessitent l’appui des centrales fossiles, aggravant les émissions de CO2.

    En adoptant cette transition, la France met en péril son approvisionnement énergétique et expose sa population à des coupures et à une inflation insoutenable des coûts. L’exemple allemand illustre cet échec : le pays, fortement polluant, revient au charbon pour stabiliser son réseau. La France suit un chemin similaire, sacrifiant autonomie et compétitivité.

    Subventions et explosion des coûts

    Les énergies renouvelables engendrent un gouffre financier. Des centaines de milliards d’euros de subventions enrichissent des multinationales étrangères, aggravant le déficit commercial. Parallèlement, le prix de l’électricité a bondi de 120 % en 12 ans, pénalisant ménages et entreprises.

    L’industrie française, déjà affaiblie, subit un coup fatal : les coûts énergétiques encouragent les délocalisations, accélérant la désindustrialisation. EDF, fleuron national, voit ses capacités limitées par l’obligation de prioriser les énergies intermittentes. Ce modèle, loin de constituer une transition, s’apparente à une véritable trahison énergétique.

    Le rôle destructeur de Bruxelles

    Sous l’influence de Bruxelles, la France perd le contrôle de son avenir énergétique. Les directives européennes favorisent éolien et solaire, marginalisant le nucléaire pourtant essentiel pour l’environnement et la souveraineté.

    L’École de Guerre Économique a révélé des ingérences étrangères organisées, promouvant les énergies intermittentes pour affaiblir le nucléaire français. Ces influences infiltrent les sphères décisionnelles françaises, où des responsables liés aux lobbies pro-renouvelables adoptent des mesures contraires aux intérêts nationaux.

    Des associations militantes, souvent subventionnées, intensifient cette tendance en imposant un modèle énergétique ruineux. La France, sous l’influence de cette idéologie dépassée, sacrifie sa souveraineté et son avenir énergétique, laissant la population supporter des coûts exorbitants.

    Une souveraineté énergétique sacrifiée

    L’abandon du nucléaire au profit des énergies intermittentes n’est pas une transition, mais une stratégie destructrice. La France s’enfonce dans une dépendance énergétique, encouragée par Bruxelles et des intérêts étrangers. Ce choix met en péril la compétitivité de l’industrie, la stabilité du système électrique et le pouvoir d’achat des Français.

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  • Le 14 décembre 2024, Mike Borowski analysait comment la HAS a préconisé l'autorisation du changement de sexe dès 16 ans, financé intégralement par l’État, au mépris des repères biologiques et de l’autorité parentale, sur Géopolitique Profonde.

    La HAS pousse les jeunes à changer leur identité de genre

    La Haute Autorité de santé (HAS) a décidé de rendre accessible la transition de genre dès 16 ans, financée intégralement par l’État. Cette réforme, perçue comme une légitimation de la confusion identitaire, fragilise les repères biologiques et sociaux. Elle engage les jeunes dans des parcours irréversibles fondés sur des traitements hormonaux et chirurgicaux, sans répondre à la souffrance psychologique sous-jacente.

    La dysphorie de genre, une détresse mentale liée au rejet de son corps, est validée au lieu d’être traitée. Malgré l’absence de changement des chromosomes ou de la réalité biologique, cette réforme ignore les évidences scientifiques et expose des jeunes encore en quête d’identité à des interventions lourdes et destructrices.

    Les études démontrent que les transitions n’éliminent pas systématiquement la souffrance psychologique. Le taux de regret et de suicide reste préoccupant, un constat occulté par la HAS au profit d’une idéologie militante, au détriment du devoir de soin et de protection.

    Une manipulation des jeunes et des familles

    La HAS encourage une rupture entre le corps et l’esprit en normalisant le rejet de l’identité biologique. Les réseaux sociaux amplifient cette confusion, transformant une détresse isolée en phénomène sociétal. En parallèle, l’autorité parentale est contournée par une médiation qui oblige les familles à accepter des décisions irréversibles pour leurs enfants mineurs.

    Les associations militantes trans, promues et financées par l’État, jouent un rôle central dans cette réforme. Elles participent à une normalisation idéologique sous couvert de soin, écartant les résistances familiales et inscrivant la dysphorie de genre dans le cadre médical.

    Des conséquences sociales inquiétantes

    Cette réforme représente une agression contre les bases sociétales. Elle remplace les repères biologiques par une idéologie destructrice, légitime les troubles identitaires et affaiblit le lien familial. Les pays ayant adopté des mesures similaires constatent une augmentation des regrets, une persistance des troubles mentaux et des coûts exorbitants pour les systèmes de santé.

    La France suit cette trajectoire en imposant la gratuité des traitements de transition, au détriment des soins essentiels. Loin d’être un progrès, cette réforme amplifie les troubles, fragilise les familles et détruit les fondements biologiques de la société.

    Cette réforme, plus idéologique que thérapeutique, constitue une capitulation face à des pressions militantes. Elle met en danger la santé mentale et physique de nombreux jeunes, brisant l’autorité parentale et détournant les ressources publiques de leur objectif premier.

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  • Le 13 décembre 2024, Bhavani Kichenin, avocate, et Cindy, étaient les invitées de La Grande Émission animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.

    Le 14 février 2024 marque le début de cette affaire troublante : une fillette de 3 ans, inscrite au centre de loisirs maternel Jules Vernes, rentre chez elle dans un état préoccupant. Sa mère, Cindy, découvre des blessures nécessitant une hospitalisation urgente. Ce drame a conduit à une plainte pour agression sexuelle, requalifiée par la suite, et à des interrogations sur les responsabilités au sein du centre.
    Toutes les hypothèses se confrontent, jusqu’à l’idée d’un réseau pédocriminel.

    Une enfant hospitalisée après des blessures suspectes

    Le 14 février 2024, une fillette de 3 ans inscrite au centre de loisirs maternel Jules Vernes à Châtenay-Malabry a été admise à l’hôpital pour des blessures préoccupantes. Selon des informations relayées par sa famille, des examens médicaux ont révélé une plaie nécessitant une intervention chirurgicale. La famille a déposé une plainte initiale pour agression sexuelle, plainte qui aurait été requalifiée par la suite.

    D’autres familles auraient également évoqué des incidents similaires au sein du centre, bien que les dossiers aient été classés sans suite, selon des sources proches du dossier. Ces décisions judiciaires soulèvent des interrogations parmi les parents concernés.

    « concernant des faits dénoncés sur deux enfants mineurs. Ces faits ne présentent à ce stade aucun lien entre eux, si ce n’est qu’ils auraient été commis dans le même établissement de Chatenay-Malabry au mois de février 2024. » Carl Segaud – France 3


    Des réactions institutionnelles qui interrogent

    En juillet 2024, le maire de la commune, Carl Segaud, s’est publiquement exprimé pour « mettre un terme aux rumeurs » circulant autour de cette affaire. Cette intervention a eu lieu avant que certaines familles n’aient reçu une communication officielle concernant l’état des enquêtes, un fait relevé par la mère d’une des enfants.

    Par ailleurs, la mère de la fillette aurait fait l’objet d’une évaluation sociale de sa situation familiale. Ces procédures, bien qu’habituelles dans certains contextes, sont perçues par certains comme une tentative de pression. Deux autres familles concernées auraient choisi de ne pas s’exprimer publiquement.

    Des zones d’ombre qui persistent

    Des questions restent en suspens concernant les circonstances des incidents. D’après des éléments rapportés par les familles, un animateur aurait été seul avec l’enfant dans les toilettes le jour des faits. De plus, la gestion des éléments matériels, comme les vêtements de l’enfant, soulève des interrogations. Ces points n’ont, semble-t-il, pas été approfondis dans l’enquête officielle.

    Face à ces interrogations, une marche blanche est annoncée pour le 14 décembre 2024 afin de soutenir les familles concernées et de demander des réponses. L’affaire suscite un vif intérêt sur les réseaux sociaux, reflétant une inquiétude croissante envers les institutions publiques.

    Les parents et citoyens impliqués espèrent que la vérité sera apporté, rappelant l’importance de garantir une gestion transparente et équitable des dossiers impliquant des mineurs.

    Pour comprendre les enjeux derrière les dérives de la société moderne, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 13 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde, pour commenter la récente arrestation de 30 personnes pour cyberharcèlement à l'égard de Brigitte Macron.

    Une vague d’arrestations sans précédent

    Trente individus, parmi lesquels des écrivains et figures publiques comme Zoé Sagan et Bertrand Scholler, ont été arrêtés pour des messages jugés injurieux envers Brigitte Macron. Cette opération d’envergure marque un tournant dans la gestion des critiques en ligne. L’État semble vouloir envoyer un message clair : toute critique trop virulente des figures de pouvoir, même sur internet, sera réprimée.

    Cette intervention policière, disproportionnée selon certains, illustre une frontière de plus en plus floue entre liberté d’expression et cyberharcèlement. En ciblant des personnalités identifiables, l’État montre une volonté de protéger le pouvoir contre des accusations jugées déstabilisantes.

    L’ombre du « tabou Jean-Michel Trogneux »

    Cette affaire s’inscrit dans un contexte polémique, nourri par une rumeur persistante sur une prétendue double identité de Brigitte Macron, liée au nom de Jean-Michel Trogneux. Bien que démentie par l’Élysée, cette rumeur a enflammé les réseaux sociaux.

    En optant pour une réponse judiciaire musclée, l’État pourrait involontairement renforcer ces spéculations. Cette gestion par la répression semble révéler une incapacité à faire face autrement à des critiques et rumeurs fragilisant le pouvoir.

    Une stratégie qui interroge sur l’avenir des libertés

    Au-delà de ce cas particulier, cette affaire interroge sur la liberté d’expression en France. Si le cyberharcèlement mérite des réponses adaptées, les arrestations en masse pour des propos publiés en ligne s’apparentent à une dérive autoritaire.

    Ces mesures, loin de protéger le débat démocratique, risquent de l’étouffer. Elles posent une question essentielle : peut-on encore critiquer le pouvoir sans craindre des poursuites ? En cherchant à museler ses détracteurs, le pouvoir intensifie la polémique, transformant certains accusés, comme Zoé Sagan et Bertrand Scholler, en symboles d’un combat pour les libertés fondamentales.

    Une tentative de contrôle qui se retourne contre le pouvoir

    Plutôt que d’apaiser les tensions, cette affaire amplifie la controverse. Les arrestations ont suscité un tollé sur les réseaux sociaux, où beaucoup dénoncent une atteinte à la démocratie. La rumeur Jean-Michel Trogneux, loin d’être dissipée, gagne en visibilité, alimentée par ce qui est perçu comme une tentative de censure.

    Ce scandale dépasse le cas de Brigitte Macron et met en lumière une tendance inquiétante : un État qui, face à la contestation, privilégie la répression à la transparence. Si ces dérives persistent, la France risque de basculer vers une société de contrôle où la critique deviendrait un délit.

    Pour une analyse détaillée des mécanismes du pouvoir et des dérives autoritaires, plongez dans la revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 13 décembre 2024, Marc Gabriel Draghi, Sylvain Ferreira, et François Asselineau étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde, pour analyser le déclin de la démocratie occidentale et plus précisément de la France, sous le gouvernement Macron.

    00:00:00 : Marc Gabriel Draghi, juriste français, est l’auteur de plusieurs ouvrages dénonçant les dangers du mondialisme, comme Le règne des marchands du temple et Le grand reset en marche !. Il critique le Forum économique mondial, qu’il accuse de chercher à soumettre l’humanité à une élite mondialiste.00:53:00 : Sylvain Ferreira, historien militaire, explore l’évolution de l’art de la guerre entre 1850 et 1945. Auteur de La bataille de Marioupol, il analyse l’impact de l’ère industrielle sur les conflits modernes. 02:07:00 : Arnaud Biegun est fondateur de la Rocket Trading Academy, trader indépendant et consultant en stratégies d’investissement.02:39:00 : François Asselineau, haut fonctionnaire et président de l’Union populaire républicaine (UPR), milite pour la sortie de la France de l’UE, de l’euro et de l’OTAN. Connu pour ses positions souverainistes, il dénonce la dérive technocratique des institutions européennes.

    Le mondialisme détruit la démocratie occidentale

    Le mondialisme mine la souveraineté des États et précipite l’effondrement démocratique. Depuis les années 1990, l’essor des institutions supranationales a sacrifié la souveraineté populaire au profit des multinationales. Résultat : des inégalités croissantes, où 1 % des individus contrôlent 45 % des richesses mondiales, selon Oxfam.

    En France, Emmanuel Macron illustre cette dérive, avec une gestion autoritaire des crises (ex. Gilets Jaunes) et des politiques favorisant les élites économiques. L’accord Mercosur, avantageant les exportations allemandes au détriment des producteurs français, symbolise le sacrifice des intérêts nationaux par l’UE.

    La guerre en Ukraine et le chaos syrien menacent l’Europe

    Depuis 2022, la militarisation de l’Europe et les sanctions contre la Russie ont provoqué une instabilité sans précédent. L’UE a dépensé 50 milliards d’euros pour l’effort de guerre ukrainien, alors que plusieurs États membres peinent à gérer leurs propres crises. Cette surenchère militaire accroît les risques d’escalade avec la Russie.

    Au Proche-Orient, le chaos syrien exacerbe les tensions internationales. Le retrait américain en 2019 a laissé place à des affrontements entre puissances régionales (Turquie, Russie, Iran). La montée des violences au nord de la Syrie, couplée à une crise économique, préfigure une vague migratoire massive qui pourrait déstabiliser une Europe déjà fragilisée.

    Macron et la France en crise : il est temps d’agir

    Depuis 2017, les politiques économiques de Macron ont creusé les inégalités. Près de 10 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté, selon l’INSEE, tandis que les grandes entreprises bénéficient d’allégements fiscaux massifs. Cette crise illustre le transfert progressif de pouvoirs vers des institutions supranationales hors contrôle démocratique.

    En Roumanie, l’annulation récente des élections présidentielles par la Cour constitutionnelle, empêchant Călin Georgescu de se présenter, symbolise cette dérive. Ce précédent juridique pourrait devenir une arme pour museler la volonté des peuples et restreindre leur souveraineté en Europe.

    Rejoignez la lutte contre le mondialisme et ses dérives en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde :

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  • Le 12 décembre 2024, Adnan Azzam était l’invité de Lara Stam, dans La Nocturne de Géopolitique Profonde !

    Adnan Azzam est un écrivain et réalisateur syrien, établi en France depuis plus de 30 ans. Auteur de « Damas-Moscou à cheval : 300 jours à cheval pour un monde meilleur ! », il relate son voyage à travers le monde pour rencontrer des Occidentaux et discuter de la situation en Syrie.
    À travers ses écrits et ses analyses, Adnan Azzam se présente comme un témoin privilégié des événements en Syrie, ainsi que des dynamiques géopolitiques mondiales. Il met en lumière les enjeux qui menacent la paix et la souveraineté des peuples, offrant ainsi une perspective singulière sur les conflits et les défis contemporains.

    Moscou abandonne la Syrie

    Depuis le début de la guerre civile en 2011, la Russie a soutenu le régime de Bachar al-Assad, notamment grâce à son intervention militaire de 2015 qui a évité l’effondrement du régime. Cependant, le conflit en Ukraine a poussé Moscou à réduire son engagement en Syrie, affaiblissant son allié. Déjà accablé par une décennie de guerre et des sanctions économiques occidentales, le pays traverse une grave crise humanitaire, accentuée par l’effondrement de sa monnaie et des privations croissantes.

    La Russie, concentrée sur l’Ukraine, ne peut plus apporter le soutien nécessaire à la Syrie, laissant Damas isolé face à des adversaires géopolitiques déterminés.

    La Syrie isolée face à une économie en ruines

    Les espoirs d’un appui des BRICS, malgré leur rhétorique ambitieuse, se révèlent vains. Ni la Chine ni l’Inde n’offrent de solution concrète. L’Iran, pourtant fidèle allié, est limité par ses propres crises internes et la pression internationale. Sans alternative économique crédible, la Syrie s’enfonce dans une guerre économique dévastatrice.

    Les États-Unis et leurs partenaires maintiennent leur blocus, asphyxiant l’économie syrienne. Face à une population désespérée et des défis internes croissants, l’autorité de Bachar al-Assad vacille.

    La Syrie, un pion des puissances occidentales

    La Syrie est devenue un champ de bataille géopolitique où l’Occident, mené par les États-Unis, impose son hégémonie. Les sanctions économiques étranglent le pays, déjà affaibli par plus de dix ans de guerre.
    Les forces kurdes soutenues par Washington et les frappes israéliennes aggravent l’instabilité. La domination occidentale transforme la Syrie en territoire soumis, menaçant directement la survie du régime d’Assad.

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  • Le 12 décembre 2024, Yves Chevalier, Stéphanie Reynaud, Laurent Firode et Steve Moreau étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !

    Yves Chevalier est un producteur de cinéma reconnu pour son investissement dans des projets artistiques audacieux et innovants. Il s’attache à soutenir des œuvres marquantes qui abordent des thématiques sociales et humaines avec profondeur, tout en révélant de nouveaux talents.

    Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.

    Laurent Firode est un réalisateur et scénariste français qui s’est fait connaître grâce à ses films et comédies souvent ancrés dans la critique sociale et l’humour décalé. Il a réalisé des œuvres comme Le Battement d’ailes du papillon et est reconnu pour son approche originale du cinéma, mêlant réflexion et divertissement. Engagé dans les débats de société, il participe activement aux discussions publiques sur les médias et la culture.

    Steve Moreau est un producteur de cinéma et entrepreneur français, connu pour son implication dans des projets novateurs et sa capacité à porter des œuvres ambitieuses. Passionné par l’univers audiovisuel, il collabore avec des réalisateurs talentueux pour donner vie à des productions marquantes, alliant exigence artistique et impact narratif.

    Le cinéma français au service de Macron

    Le cinéma français, financé par le CNC et contrôlé par l’État, est devenu un outil de propagande pour Emmanuel Macron. Ce système impose l’allégeance ou l’effacement : tout projet non conforme à l’agenda officiel est rejeté. Les films subventionnés servent le pouvoir, verrouillant ainsi la production culturelle.

    Les festivals, comme Cannes et les Césars, ne sont plus que des vitrines d’un art domestiqué. Les artistes s’écartant des lignes imposées sont marginalisés. En conséquence, le cinéma français ne crée plus : il exécute des directives.

    Les figures du cinéma refusent de s’opposer

    Les grandes figures du cinéma, comme Omar Sy, Guillaume Canet ou Marion Cotillard, restent silencieuses face aux injustices. Lors des crises des Gilets jaunes, du confinement ou de l’inflation, ces stars ont préféré protéger leurs privilèges. Leur dépendance aux subventions et réseaux de pouvoir les rend complices du système.

    Leur soumission trahit directement le peuple français. Ces « artistes » opportunistes privilégient leurs carrières au détriment de la vérité, renforçant ainsi un système de contrôle culturel.

    Artistes transformés en agents du système

    Sous Macron, la culture française est instrumentalisée. Cinéma, musique, littérature : tout est formaté pour les élites mondialistes. Les artistes relayent les narratifs officiels (Ukraine, climat, vaccination), tandis que tout discours dissident est censuré.

    Emmanuel Macron, ancien banquier chez Rothschild, agit en gestionnaire des intérêts globalistes. Le peuple, trahi par ses artistes, ne peut espérer aucun contre-pouvoir de leur part.

    Un modèle à rejeter

    La gauche progressiste, soutien naturel de Macron, méprise les classes populaires. Elle agit pour maintenir ses privilèges, loin des principes qu’elle prétend défendre. Face à cela, des figures comme Donald Trump offrent un contre-modèle : rejetant le politiquement correct, elles défendent souveraineté et résistance aux élites mondialistes.

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  • Le 12 décembre 2024, Nicolas Stoquer révèlait comment Emmanuel Macron, aligné sur Washington, attise les tensions en Ukraine, encourage l’escalade militaire avec la Russie et sacrifie l’économie européenne au profit des États-Unis, plongeant les peuples dans le chaos énergétique et l’appauvrissement.

    Macron alimente la guerre en Europe

    Dépourvu de majorité parlementaire, Emmanuel Macron cherche à exister sur la scène internationale, notamment via un déplacement en Pologne, officiellement pour renforcer la coopération diplomatique européenne. En réalité, cette visite masque une stratégie guerrière coordonnée avec des alliés hyper-européistes comme Donald Tusk.

    L’Élysée soutient l’Ukraine dans des actions provocatrices contre la Russie, notamment par l’utilisation de missiles ATACMS américains. Macron encourage également l’intégration de Kyiv à l’OTAN, franchissant un pas supplémentaire vers une confrontation directe avec Moscou. Ces choix, dictés par Washington, placent la France dans une posture non pacifique mais belliciste. Lors de récentes rencontres entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à Paris, des accords tacites ont validé une montée des tensions, éloignant toute perspective de désescalade. Derrière les apparences diplomatiques, ces manœuvres renforcent le chaos européen.

    Le double jeu cynique de Zelensky

    Volodymyr Zelensky applique une stratégie ambiguë inspirée par ses alliés occidentaux. Officiellement en quête de paix, il intensifie en réalité les provocations envers Moscou. L’utilisation des missiles ATACMS contre des cibles russes symbolise cette hostilité croissante. Ces actions, loin de calmer les tensions, exacerbent le conflit. Soutenu par les États-Unis, la France et d’autres pays occidentaux, Zelensky agit avec la complicité de Macron, Biden et leurs partenaires.

    Ces attaques rapprochent inexorablement l’Europe d’un affrontement direct avec la Russie. Vladimir Poutine, face à ces provocations, pourrait réagir par des mesures militaires ou économiques aux répercussions catastrophiques. Ce calcul cynique, visant à affaiblir la Russie, transforme l’Europe en victime collatérale. Les populations européennes, prises au piège, paient déjà le prix de cette stratégie.

    Biden orchestre l’effondrement économique de l’Europe

    Pendant que Macron et Zelensky attisent les tensions, Joe Biden poursuit une stratégie délibérée d’affaiblissement économique de l’Europe. Les sanctions occidentales contre la Russie, centrées sur les hydrocarbures, ont des effets dévastateurs sur les économies européennes. La flambée des prix de l’énergie fragilise les ménages et détruit les entreprises. L’industrie européenne, acculée par des coûts de production insoutenables, se désindustrialise rapidement. Parallèlement, les États-Unis imposent leur gaz liquéfié à des tarifs exorbitants.

    Cette situation n’est pas un effet secondaire mais un objectif stratégique : réorganiser l’économie mondiale au bénéfice de Washington. Macron, en acceptant sans réserve les diktats américains, participe à cette trahison des intérêts européens. Il sacrifie souveraineté et prospérité économique sur l’autel de l’alliance atlantiste.

    La politique actuelle, mêlant escalade militaire et sabotage économique, plonge l’Europe dans un chaos durable. Macron, Zelensky et Biden en sont les principaux acteurs, chacun contribuant à un projet géopolitique où les peuples européens supportent le poids des décisions prises ailleurs.
    Cette stratégie, portée par un atlantisme exacerbé, compromet gravement l’avenir du continent.

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  • Le 12 décembre 2024, Oskar Freysinger et Philippe de Veulle étaient les invités de Raphaël Besliu et Nicolas Stoquer, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    00:19:30 : Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Il nous dévoilera son dernier ouvrage Animalia, aux éditions Serena, qui traite du sujet de l’émission.01:03:35 : Philippe de Veulle, avocat au barreau de Paris, est docteur en droit, diplômé du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) et de l’Université Paris Descartes. Il est spécialisé dans le droit et le contentieux des affaires, le droit international et le droit pénal financier.

    La chute de Bachar El-Assad

    La chute brutale de Bachar El-Assad marque le début de l’effondrement syrien. Les minorités chrétiennes et alaouites, autrefois protégées, deviennent les cibles des violences islamistes. Hayat Tahrir al-Sham, dirigé par Abu Mohammad al-Joulani, s’impose comme force dominante, transformant le pays en un califat extrémiste. Héritier d’Al-Qaïda, ce groupe exploite habilement la propagande médiatique tout en poursuivant des ambitions jihadistes.

    Les puissances internationales profitent cyniquement de ce chaos : les États-Unis, la Turquie et d’autres acteurs avancent leurs intérêts, tandis que la Russie perd un allié clé au Moyen-Orient. Ce vide laissé par Moscou est rapidement comblé par des forces islamistes.

    Erdogan et ses ambitions : Une stratégie opportuniste

    La chute d’Assad permet à Recep Tayyip Erdogan de renforcer son influence. En soutenant Hayat Tahrir al-Sham par intérêt stratégique, il s’impose comme acteur central en Syrie. Ce soutien lui permet de négocier avec Washington pour lever les sanctions économiques et revenir dans le programme F-35, tout en collaborant tactiquement avec la Russie.

    Erdogan vise au-delà de la Syrie. En contrôlant les zones frontalières et en s’appuyant sur les islamistes, il cherche à établir une domination durable au Moyen-Orient, déstabilisant l’équilibre régional et amplifiant les tensions avec les puissances rivales. Son approche active redéfinit les rapports de force au Levant.

    L’Europe face à une menace terroriste accrue

    La chute d’Assad crée un terreau fertile pour les jihadistes, qui transforment les zones syriennes en bases opérationnelles. Les réseaux terroristes se réactivent et préparent des attaques massives contre l’Europe, tandis qu’une nouvelle crise migratoire, plus grave qu’en 2015, se profile.

    Les dirigeants européens, paralysés, sous-estiment la menace. Tandis que certains médias évoquent encore des "islamistes modérés", la réalité impose une vigilance accrue. Sans action immédiate, l’Europe devra faire face à des foyers jihadistes proches de ses frontières et à une intensification des attentats.

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