エピソード

  • Aujourd’hui, je suis reçu par Emmanuel Trivin, Président du groupe Butagaz.

    Comme je suis heureux de vous présenter le groupe Butagaz aujourd’hui.

    Le charbon est désormais la source diablesse à notre énergie. A l’opposé du spectre, l’électricité verte fait office de superstar. Et puis comme chacun le sait, l’énergie la moins chère et la plus verte est celle que l’on ne consomme pas.

    Le gaz, c’est plus compliqué. Certains voudraient bien l’interdire au motif que toute molécule carbonée est néfaste à la température déjà trop élevée du globe. D’autres comme moi et Emmanuel voient le gaz comme une énergie de transition : ni diablesse, ni superstar. Transitoire.

    Le gaz continuera de nous rendre de fiers services. Il est tout aussi bien de commencer à s’organiser pour que cela ne dure pas trop.

    Alors comment le groupe Butagaz peut-il continuer de croître tout en s’appuyant sur une énergie dont la consommation décroît déjà en France et en Europe ? Pour une raison simple : le groupe Butagaz veut accompagner tous ses clients dans cette fameuse transition énergétique.

    Comment ?

    Réponse dans l’épisode.

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  • Cela faisait quelques temps qu’Agnès Guillard, avec qui j’anime notre podcast Histories d’Entreprises, me disait qu’il fallait que je prenne la parole dans un podcast pour évoquer notre industrie.

    C’est maintenant chose faite et je remercie ici Xavier Riquier d’avoir bien voulu me tendre son micro.

    Nous ne mesurons pas le drame pour un pays d’être désindustrialisé. « Réindustrialiser » (sous-entendu la France), titre du livre que j’ai co-écrit avec Guillaume Caudron devrait être au cœur de notre projet économique, social et environnemental.

    J’espère que mon entretien avec Xavier vous convaincra si vous ne l’êtes pas déjà.

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  • Aujourd’hui, je suis reçu par Olivier Sadran, PDG de Newrest.

    Vous avez déjà consommé un jour chez Newrest, ne serait-ce qu’en allant vous chercher une bière ou des chips à la voiture restaurant du TGV.

    Peut-être faites-vous aussi partie du million et demi de personnes servies tous les jours par le Groupe dans l’un des 55 pays où il opère.

    C’est un privilège qu’Olivier donne rarement à être interviewé. Serait-il en train de changer d’avis et de se faire un peu moins discret pour mieux transmettre ? Transmettre son savoir-faire, son savoir, son énergie et tout ce qui a fait son succès depuis 30 ans et qu’il a créé ce groupe de toutes pièces avec son équipe.

    Olivier est un passionné de sport, nous en parlons peu dans l’épisode. Ni lui ni moi n’avons voulu trop insister sur cet aspect pourtant central de sa vie. Rappelez-vous en en l’écoutant.

    La parole d’Olivier est rare. Goûtez chacun de ses mots.

    Bonne écoute !

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  • Comment vous dire la joie que j’ai de vous présenter aujourd’hui l’histoire mythique du Groupe BENETEAU racontée par Bruno Thivoyon son Directeur Général ?

    Le Groupe BENETEAU, c’est 140 ans d’histoire au service des hommes en mer. De bateaux mythiques, de courses mythiques, d’hommes et de femmes mythiques passionnés de mer et qui nous ont transmis leur passion.

    Le Groupe BENETEAU, c’est le First décliné à toutes les tailles et selon toutes les époques. C’est le Vendée Globe, la Solitaire du Figaro ou la Route du Rhum. C’est Tabarly, Kersauson, Michel Desjoyeaux, Florence Arthaud et tant d’autres. ’est l’amour de la mer et des océans.

    Le Groupe BENETEAU, c’est l’amour de la France qui conçoit, qui produit, qui exporte plus de 80% de son chiffre d’affaires.

    Le Groupe BENETEAU est numéro un mondial des bateaux de plaisance à voile monocoque et multicoque.

    C’est un peu la face de notre pays tournée vers la mer.

    C’est un peu vous, c’est un peu moi.

    Le Groupe BENETEAU est un trésor.

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  • « David contre Goliath »

    Aujourd’hui, je suis reçu par Marie Even, Directrice Générale Déléguée de Cdiscount.

    Dans l’épisode du jour, Marie nous raconte l’histoire bien de chez nous de l’une des premières plateformes du retail en France. Cdiscount est d’abord française mais conquiert des marchés européens d’une façon qui pourra vous surprendre.

    Nous connaissons tous Cdiscount, au moins de nom.

    Nous connaissons tous ses principaux concurrents américains et chinois.

    Cdiscount, c’est David contre Goliath. Cdiscount, c’était environ 2,5Md€ de volume d’affaires contre 575Mds pour Amazon l’année dernière. Il faut plus de 200 Cddiscount pour faire un Amazon, vous avez bien lu.

    Dans l’épisode du jour, Marie nous raconte non seulement la raison d’être de Cdiscount et comment la société arrive à s’épanouir face à de tels géants. Elle nous raconte aussi comment le e-commerce évoluera en France et en Europe selon que l’UE décide de vraiment réguler le secteur ou pas.

    A la fin, c’est le consommateur, c’est-à-dire vous et moi, qui choisis. Mais aurons-nous encore le choix malgré les millions de références à portée de clic sur nos smartphones ?

    Passionnant !

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  • Aujourd’hui, je suis reçu par Frédéric Jousset, fondateur de Art Explora.

    Tout le monde connaît Frédéric dans le petit microcosme parisien. Frédéric fait partie de ces entrepreneurs qui ont réussi un cycle comme peu l’ont réussi : partir de rien, grandir, devenir mondial et revendre sa société. Sauf surprise, ne plus avoir de souci d’argent jusqu’à la fin de ses jours. D’accord, et après ?

    Après, c’est l’art.

    En nous écoutant Frédéric et moi, vous découvrirez que Frédéric a baigné dans l’art dès son plus jeune âge. C’est à sa mère qu’il doit ses premiers chocs émotionnels artistiques.

    Mais ce qui anime Frédéric, c’est moins l’art et ce qu’il peut nous apporter que son souhait de mettre l’art à porter de main de tout un chacun. Vous le savez comme moi, notre rapport à l’art est largement conditionné par notre niveau social. Frédéric veut outrepasser ces barrières et rendre l’art accessible à tous : Art Explora est né avec cette ambition.

    Art Explora est à but non lucratif mais a été conçu et est dirigé comme une entreprise. Frédéric applique dans ce nouveau projet les méthodes qu’il s’était appliquées à lui-même du temps de Webhelp. Et cela marche ! Ils ont été 100 000 à venir à la visite du bateau—musée à Rabat il y a à peine un mois.

    100 000 !

    Pour connaître ce projet un peu fou et les recettes de son succès, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

    Bonne écoute !

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  • Si vous cherchez sur internet Baudelet, vous risquez d’atterrir à deux endroits : Baudelet Environnement et le Groupe Baudelet.

    Ces deux sites internet qui n’en étaient qu’un il y a encore peu disent tout de l’histoire passée et future de Baudelet. Le frère Jean-Baptiste et la sœur Caroline viennent de se séparer le monde. Au frère les activités historiques d’environnement dans le Nord. A la sœur que j’interviewe aujourd’hui l’énergie, le commerce et le bien-être, toutes trois de jeunes activités du groupe familial.

    Comme souvent dans nos ETI, il faut remonter de deux ou trois générations pour retrouver trace de celui ou de celle qui a posé la première pierre. Ici, c’est une femme, Eugène Baudelet en 1920.

    Presque un siècle plus tard, en 2018, Jean-Baptiste et Caroline, les arrière-petits-enfants d’Eugène, prennent la direction générale de la société. Je trouve cela génial. Année après année, génération après génération, la société a grandi. Sans éclats. Sans froufrou. Juste en travaillant bien et beaucoup.

    Et puis un matin, il n’y a pas si longtemps, Caroline s’est réveillée et s’est dit : « Je veux faire autre chose. Je dois faire autre chose. C’est mon cœur qui me le dit ».

    Pour écouter ses rêves et ceux de ceux qui l’ont précédée, écoutez-nous. Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast...) et rédigez un avis.

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  • Nb : Cet enregistrement a été réalisé courant septembre

    Nb 2 : Nous avons rencontré un souci technique avec le micro de Martin, nous avons dû réenregistrer certaines questions en studio

    Si cela vous a échappé, c’est que vous me suivez depuis peu. Le livre que j’ai co-écrit avec Guillaume Caudron intitulé « Réindustrialiser » est sorti il y a quelques semaines.

    Dans cet ouvrage, je tente de répondre à une question simple : « Comment faire en sorte que notre pays accueille plus d’usines ? ». Si la question est la simple, la réponse, elle, est plus épineuse.

    Alors je suis allé poser la question à ces petites entreprises industrielles, nées il y a à peine dix ans et me suis rapproché pour cela de Start Industrie.

    Je reçois dans l’épisode du jour Antoine Hubert qui a créé Start Industrie en plus de quelques autres sociétés industrielles dont Ynsect, Sophie Rivoirard, fondatrice de MagREEsource et Brice Cruchon, fondateur de Dracula Technologies.

    Ils nous racontent leurs histoires, leurs joies et leurs difficultés. Tous font leur part, tous contribuent à nous redonner un peu plus d’industrie.

    A la question, « qu’est-ce qui est le plus difficile pour une jeune société industrielle », leurs réponses diffèrent. Mais un sujet émerge vite dans cet épisode : celui de l’accès au capital privé.

    Notre pays compte 2500 start-up industrielles. Où trouver les fonds qui leur permettra d’investir en attendant que leur Chiffre d’Affaires décolle ? Réponse partielle dans l’épisode.

    Suivre Sophie, Brice et Antoine sur LinkedIn

    En savoir plus sur Start Industrie, l’organisation représentative des start-ups et scale-ups industrielles françaises

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  • Aujourd'hui je rencontre Xavier Desaulles, Directeur général d'Adagio. Dans le bilan carbone franchement pas fameux de mes premières années de carrière se trouvent mes voyages en avion par dizaines et mes nuits d’hôtels par centaines. J’ai aimé cette vie jusqu’au moment où j’ai voulu en changer.

    Le premier signe de mes souhaits de changement a été à l’hôtel. Bien sûr que l’hôtel c’est sympa, mais je commençais à me lasser du cérémonial du check-in et de services qui se veulent le plus personnalisés du monde mais le sont finalement assez rarement et qui se terminaient par le check-out. Surtout, j’aspirais à de l’intimité. Je voulais être chez moi.

    Oui mais voilà, on ne peut pas être ici et ailleurs. On ne peut pas être à l’hôtel et chez soi. Dès que j’ai pu, j’ai quitté la formule hôtelière pour me réfugier chez Airbnb. C’est souvent moins cher, on se sent plus à l’aise, on se sent un peu plus chez soi. Sauf évidemment qu’on n’y est pas ! Et puis chez Airbnb, quand vous avez un problème d’accès à l’appartement, c’est vite la galère. Et puis niveau service, je passais de 100% en hôtel à 0.

    Adagio, avec sa formule appart’hôtel, tente de rallier le meilleur des deux mondes. Vous jouirez de l’intimité de votre appartement. Vous pourrez y cuisiner. Vous disposerez d’un service essentiel, ni trop, ni trop peu. « Chez nous comme chez vous » disent-ils dans leur dernière campagne de publicité.

    On n’est jamais aussi bien que chez soi mais Adagio devenu leader européen des appart’hôtels, saura j’espère vous convaincre qu’il a trouvé l’équilibre parfait entre l’hôtel et l’appartement d’un autre. Moi, vous l’aurez compris, j’étais déjà convaincu depuis de nombreuses années.

    Découvrez leur histoire avec Xavier Desaulles leur PDG.

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  • « Les gens, c’est mieux »

    Aujourd’hui, je suis reçu par Alexandre Millon, PDG de la maison Millon qui fêtera bientôt ses 100 ans.

    Chez Millon, on cherche le beau, on le trouve, on l’évalue et on le vend au plus offrant depuis 3 générations pour le plus grand bonheur des acheteurs et des vendeurs.

    Moi qui dirige une petite société d’intermédiation, j’aimerais tant que la relation entre nos différentes parties prenantes soit aussi belle. C’est parfois le cas, mais je vais vous révéler un secret : ce n’est pas tout le temps cas. Car voilà, BlueBirds ne vend pas de l’art. Nous commercialisons des services. Ce n’est pas plus utile, ni moins d’ailleurs. Mais reconnaissons que c’est moins beau que de commercialiser des tableaux, des sculptures, des bandes dessinées ou encore les premières consoles de jeux vidéo que l’homme ait connues.

    J’étais donc un peu jaloux d’Alexandre à me retrouver entouré de tant d’histoire, de cadres, d’objets de toutes sortes, valant parfois des fortunes et parfois seulement quelques dollars.

    Partez avec moi dans ce monde si secret des enchères. Il est vieux de mille ans, on se sert encore d’un marteau. Et comme tous les métiers, il s’est modernisé. Il s’est électronisé. Vous pouvez vivre à Singapour, New York ou Taipei et pourtant acheter à Paris.

    Pourtant, vous le découvrirez en nous écoutant, Alexandre cultive la proximité. Les écrans, les clics, c’est sympa. Les gens, c’est mieux.

    Bonne écoute.

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  • « Comme ils l'emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix, pour qu'il la porte derrière Jésus. » Evangile de Saint Luc, chapitre 23, verset 26.

    C’est une personne handicapée, Marianne, qui donna le nom Simon de Cyrène à l’association dont il est question aujourd’hui et qu’a lancée Laurent de Cherisey.

    Simon de Cyrène n’a pas choisi d’aider le Christ. Il a été choisi par les gardes romains. Marianne n’a pas choisi de devenir handicapée. C’est le destin, un mauvais jour.

    Dans l’épisode du jour, nous découvrons une association en aide à ces personnes qu’un accident de la vie a rendues invalides. Sans l’aide de Simon de Cyrène, elles ne pourraient faire l’essentiel : s’habiller, se laver, se nourrir, s’entourer, rire, vivre.

    Ce que nous raconte Laurent dans l’épisode du jour, outre le projet fou qu’il a lancé il y a plus de quinze ans et qui grandit à vitesse grand V partout en France, c’est que ces personnes invalides nous apprennent sur nous-mêmes. A se donner entièrement parce que devenues dépendantes, elles donnent en retour tout autant sans même s’en rendre compte. Elles nous renvoient une image différente de celle que le miroir a l’habitude de nous renvoyer. Cette image traverse notre peau, nos muscles, nos os et nous montre ce que nous sommes vraiment. Cette image, c’est celle de la porte d’entrée d’une confiance infinie en l’autre.

    Simon Cyrène nous montre le chemin d’une autre société. Nous sommes si nombreux à nous demander comment changer la planète. Laurent, ses équipes, ses bénévoles, ses handicapés de la vie ont une partie de la réponse.

    Un épisode riche d’émotions et d’enseignements.

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    Photo © Sébastien Soriano


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  • Aujourd’hui, je suis reçu à Saint-Ouen par Jacques Pommeraud, PDG d’Inetum

    Le nom d’Inetum est relativement récent. Peut-être connaissez-vous encore la société sous son ancien nom, GFI Informatique. Inetum est une ESN comme notre petite planète en compte des centaines.

    Ce qui fait sa singularité en plus de son positionnement, de son offre et de deux ou trois autres choses que Jacques nous raconte dans cet épisode, c’est qu’elle est née et a d’abord grandi en France. Aujourd’hui présente dans 19 pays, Inetum compte près de 28 000 collaborateurs et a réalisé en 2023 un chiffre d’affaires de 2,5 milliards d’euros. Elle pèse pour un peu moins de 1% de parts de marché mondiale. Cela laisse de la marge de progression malgré sa réussite passée.

    Dans l’épisode du jour, Jacques nous raconte l’histoire de la société qu’il dirige depuis un peu moins de deux ans. Nous nous attardons surtout sur cette période où les actionnaires de Jacques le contactent pour envisager de lui céder les reines de la société. Jacques nous raconte aussi comment en quelques semaines il est passé de quelques convictions avant son arrivée à une stratégie qu’il déroule à sa manière : vite, bien, en tentant de faire d’Inetum une « Great company ».

    Connaissant Jacques depuis longtemps, je n’ai pas voulu paradoxalement parfois trop creuser. Ne m’en voulez pas. Il y avait de la pudeur dans mes questions et de la retenue dans ses réponses. Sachez seulement si vous ne le détectez pas dans cet épisode que Jacques est un homme rare. Pas seulement pour ses qualités professionnelles. C’est un ami. Ils sont rares ces hommes et ces hommes je sais que je pourrai toujours compter.

    Alors quand je le vois à la tête d’Inetum, je me dis que ses collaborateurs, ses clients, ses partenaires, ses actionnaires ont bien de la chance.

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    Photo ©Thomas Laisne - La Company


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  • Aujourd’hui, je reçois Olivier Babeau, économiste et Président-fondateur de l'Institut Sapiens.

    Olivier est aussi enseignant, essayiste, conférencier et chroniqueur. Peut-être l’avez-vous récemment entendu depuis qu’il passe deux fois par semaine à l’antenne d’Europe 1.

    Avec Olivier, nous regardons le pays qui nous a vu naître. Nous nous posons deux questions : « La France, comment va-t-elle ? » et « Que proposer à horizon 2027 ? »

    Olivier partage avec moi le diagnostic d’une France qui vit au-dessus de ses moyens et dont nous percevons que l’Etat, malgré sa générosité, arrive de moins en moins à réaliser ses missions. A vouloir maintenir notre niveau de vie, nous envoyons la facture à nos enfants et nos petits-enfants. Nos soins à l’hôpital, les allocations chômage de notre copain, les salaires de nos professeurs. Tout cela est financé par de la dette que nous ne payons pas. Nos enfants s’en chargeront. Scandale ou nécessité de l’histoire, tout cela s’arrêtera un jour nous prévient Olivier.

    Soit parce que nous l’aurons décidé, soit parce qu’arrivera le moment où l’Etat ne pourra plus s’endetter davantage. Les banques prêteront à des niveaux de taux de plus en plus élevés jusqu’au jour où elles se diront « c’est trop risqué, je ne vais plus prêter à l’Etat ».

    Dans cet épisode, nous évoquons ces deux scenarii. Celui de la continuité des grandes tendances actuelles : un Etat généreux sur lequel nous comptons tous toujours un peu plus. Et celui de l’inflexion dans lequel l’Etat rééquilibre ses comptes avec davantage d’impôts – mais lesquels ? - ou moins de dépenses. Mais lesquelles supprimer ?

    Plongez avec nous dans le piège de la dette publique française. Ce piège n’est pas seulement économique. Il est social. Il est environnemental. Il est démocratique. Il est existentiel.

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  • Aujourd’hui je suis reçu avec Siham Sentissi par Loïc Jaegert-Huber, DG d'ENGIE North Africa. La transition énergétique n’a pas seulement lieu en Europe, elle est évidemment mondiale. Avec Loïc, Siham et moi aujourd’hui plongeons dans les projets de transition du Maroc, mais aussi de l’Egypte et du Sénégal.

    Evidemment, nous évoquons le solaire et l’éolien. Mais également le gaz qui sera importé sous forme liquide dans le pays.

    Je ne m’y attendais pas, mais nous parlons également du stress hydrique du pays qui vient de connaître 7 années consécutives de sécheresse. Sans surprise, le pays se lance dans la production d’eau potable par dessalement d’eau de mer. Ces projets sont pharaoniques. Et comme une usine de dessalement consomme énormément d’énergie, parler d’eau nécessite ici de parler encore d’énergie. Où la trouver ? Comment la produire ? Réponses dans l’épisode.

    ENGIE et le Maroc, c’est 100 ans d’histoire commune.

    Raconter l’histoire d’ENGIE au Maroc, c’est un peu raconter l’histoire de l’électrification du pays. C’est aussi un peu raconter l’histoire entre nos deux pays. Plongez avec nous dans cette histoire en redémarrage depuis que les relations entre nos deux pays se sont réchauffées.

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  • Aujourd’hui, je suis reçu par Céline Camilleri, Présidente de Haleon France .

    Haleon est présent dans une armoire à pharmacie sur quatre en France. je ne prends pas trop de risque à parier que vous connaissez tous certaines de leurs marques : Sensodyne, Pardondontax, Voltaren, Advil et j’en passe. Toutes ces marques appartiennent à Haleon. Il y en a d’autres.

    Haleon est une « jeune demoiselle » née d’une « old lady » pour reprendre l’expression de Céline. La old lady, c’est GSK que l’on ne présente plus qui s’est dit un jour qu’il fallait couper le groupe en deux. La jeune demoiselle, c’est donc Haleon.

    Haleon n’a pas encore deux ans et réalise pourtant donc déjà plus de 11 Mds de livres de Chiffre d’Affaires.

    Céline nous raconte dans l’épisode du jour le carve-out de l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques de la planète.

    Et puis nous faisons bien plus que cela. Nous évoquons l’avenir de la santé en France. Notre pays comptera plus de 20 millions de seniors en 2027 (+65 ans). Comment s’y préparer ? Comment adapter notre système de soins déjà sous tension ? Céline nous donne quelques idées avec en toile de fond l’accès à la santé et la prévention.

    J’ai adoré cette rencontre. Céline pétille d’énergie, pèse ses mots mais a rarement sa langue dans la poche. Elle m’attendait, droite comme un I, en Converse roses, dans le hall d’accueil avec son équipe de communication prête à dégainer. Pourquoi ? Pour le savoir, il faudra nous écouter !

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  • Aujourd’hui je suis par reçu par Charles Bignon, associé et co-fondateur de BATIBIG.

    Il y a des métiers qui ne seront jamais délocalisables et toujours au centre de nos préoccupations, ce sont les métiers du bâtiment.

    Loin de la tech et de ses paillettes, encore plus loin de l’ambiance grand groupe, BATIBIG trace son chemin à entretenir nos immeubles, réparer ses fuites ravaler ses façades et d’autres choses encore.

    BATIBIG est née de l’envie d’entreprendre, a grandi pendant près d’une dizaine d’années à force de choses simples mais efficaces : bien servir ses clients, dépoussiérer certains process vieux de mille ans. Sous les écrans radars, elle a grandi sans faire de bruit.

    Et puis d’un seul coup, tout s’est accéléré. BATIBIG a réalisé plus d’une cinquantaine d’acquisitions en moins de dix ans. Elle est en route vers les 200 millions de chiffre d’affaires et comme elle double de taille tous les deux à trois ans, je vous laisse imaginer où elle sera en 2030.

    Découvrez une fusée qui a pris son envol mais qui bizarrement ne regarde pas vraiment son Chiffre d’Affaires.

    Que regarde-t-elle ?

    Pour le savoir, il faudra écouter la parole vive, enjouée et débordante d’énergie de Charles.

    Génial !

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  • Aujourd’hui je suis par reçu par Sophie Lacoste Dournel, Co-Présidente de Fusalp.

    C’est en train de changer, mais il faut avoir skié au siècle dernier pour s’être moulu en Fusalp. Fusalp, contraction de fuseau et de Alpes est né à Annecy à une époque où le prêt à porter n’était pas encore né lui. Il fallait fabriquer ses propres vêtements ou demander à un tailleur.

    Puis Fusalp a grandi, est devenue célèbre, a habillé les plus grands champions de ski que notre Nation ait connus. A souffert comme toute notre industrie textile. A failli disparaître au point d’être reprise à la barre du tribunal.

    Fusalp a été reprise par la famille Lacoste. Ce nom ne vous est certainement pas étranger. Fusalp est un phoenix. Elle grandit de nouveau, conquiert de nouveaux marchés. Fusalp devient une marque de luxe mêlant élégance, technicité et décontraction. Fusalp, c’est sérieux mais ne se prend pas trop au sérieux.

    Découvrez avec Sophie et moi comment reprendre une petite société, la reconstruire sur ses bases et multiplier son chiffre d’affaires par dix en dix ans.

    Une leçon d’humilité, une leçon humaine, mais une leçon tout court.

    Pour suivre Sophie sur LinkedIn

    Sont cités dans cet épisode :

    Philippe Lacoste, Co-Président de Fusalp

    Mathilde Lacoste, Directrice Artistique

    Les soeurs Goitschel qui se sont illustrées aux J.O. d’Innsbruck en 1964

    Léo Lacroix, skieur et champion français

    La championne Annie Famose

    Nadine Portigliati, doyenne de Fusalp et véritable puit de savoir

    Elisabeth Malcor, Chief Product Officer Fusalp

    Sarah Andelman, co-fondatrice de colette

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  • Aujourd’hui je suis par reçu à Vélizy par Philippe Boué, CEO France & North Africa.

    Schindler, si vous n’avez pas encore fait attention, c’est probablement la marque de l’ascenseur qui monte chez vous et vous descend au rez-de-chaussée. Schindler se présente comme fournisseur de solutions de mobilité car ils proposent également des escaliers mécaniques et des trottoirs roulants. Mais cela ne vous surprendra pas, nous parlons aujourd’hui essentiellement d’ascenseurs.

    Chaque jour, Schindler déplace 2 milliards d’individus dans le Monde. C’est en découvrant ce chiffre qui se passe de commentaires que l’on mesure un peu mieux le caractère systémique de la société.

    Nos villes, notre quotidien, nos rencontres ne seraient pas tout à fait les mêmes sans Schindler.

    Découvrez avec moi une société vieille de 150 ans qui équipa la première notre bonne vieille Tour Eiffel.

    Pour suivre Philippe sur LinkedIn

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  • Aujourd’hui je suis reçu à quelques encablures du périphérique parisien par Christophe Gurtner, PDG et fondateur de Forsee Power.

    Forsee Power fait partie de ces sociétés silencieuses de notre révolution énergétique en cours. Leur domaine, c’est la batterie électrique.

    La société a maintenant 13 ans, c’est une jeune demoiselle dans un secteur qui bouillonne d’activité et de ruptures technologiques. Elle est jeune au point que Christophe nous dit que « l’histoire de Forsee Power ne fait que commencer ».

    Pourtant, elle en parcouru déjà du chemin. En nous écoutant, vous découvrirez comment cette société française est née en Chine, a grandi en Pologne et opère maintenant un peu partout sur la planète. Vous découvrirez comment on peut croître et vite sans servir le marché automobile forcé de vendre exclusivement des voitures à batteries en 2035.

    Mais surtout, vous découvrirez l’histoire mondiale de la batterie mobile. Vous découvrirez comment l’Europe entière a raté ce virage et en paie aujourd’hui le prix fort. Surtout, vous découvrirez l’immense avance prise par la Chine. Nous voici devenus dépendants, c’est assez vertigineux.

    Un épisode absolument passionnant.

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  • Aujourd’hui je suis par reçu par Daniel Anghelone, Directeur Général de Bontaz.

    Bontaz est née et a grandi dans la vallée de l’Arve, pas très loin Cluses, et donc pour les amateurs, de Chamonix.

    Daniel nous raconte comme la société est née de la volonté d’un homme, Yves Bontaz. Quelques années après la seconde guerre mondiale, l’automobile est en plein essor. La vallée de l’Arve se spécialise dans le décolletage, cette opération qui consiste à prendre une barre de métal, la découper, l’usiner, la trouer pour in fine en faire des pièces d’un seul tenant qui viendront rejoindre les circuits d’alimentation du moteur.

    Il fallait peu de matériel pour se lancer et donc peu de capital de départ. Les éleveurs qui peuplaient la vallée se sont donc mis à décolleter, essentiellement l’hiver quand les troupeaux nécessitaient moins de travail.

    Yves se lance donc. Il fait comme les autres. Il s’équipe d’une machine et se met à vendre les pièces à des sous-traitants de fournisseurs automobiles. Très vite, il vend aux équipementiers de rang 1. Très vite aussi, il devient lui-même fournisseur de rang 1 et vend à Peugeot, Renault, Volkswagen et d’autres encore. Bontaz qui était locale devint nationale puis mondiale.

    Découvrez avec moi l’aventure d’une entreprise qui a grandi avec le secteur automobile. Et comme on lui annonce que ses clients les constructeurs automobiles ne pourront plus commercialiser de véhicules thermiques en Europe en 2035, elle doit maintenant répondre à une question existentielle : « Que faire ? »

    Réponse dans l’épisode.

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