エピソード
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Toutes les études le pointent : le secteur de l'IA, dynamique et rémunérateur,
fait face à une pénurie de talents et comptent 20% de femmes parmi ses
effectifs, se privant ainsi de 50% des talents. Numérique et IA, où sont les femmes ? Nadia Pellefigue, Vice-Présidente de la Région Occitanie , en charge de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de l’Europe et des Relations Internationales et Corinne Joffre, Secrétaire générale de
l’institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle de Toulouse, ANITI échangent sur les constats
et débattent des enjeux discutées, dans le 15ème épisode d’Investiga-Sciences.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Oui, il y a aujourd’hui des changements majeurs qui obligent les humains à expliciter leur conception d’eux-mêmes », écrivait le philosophe Frédéric Worms , dans un article de l’été 2021 publié dans Libération, s’interrogeant sur le fait de savoir si, à l’ère du numérique en général, de l’IA en particulier, nous vivions une révolution anthropologique. Une des questions posées par ce débat est celle de la confiance. La notion évolue-t-elle ? Pourquoi ? Et avec quelles conséquences ? Les points de vue de deux chercheurs et leurs échanges nourris à découvrir dans cet épisode.
Nicholas Asherest directeur de recherche CNRS, spécialisé dans le traitement de langage naturel, le raisonnement et la modélisation à l’Institut de recherche en informatique de Toulouse (Irit). Il est directeur scientifique du projet ANITI , l’institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle de Toulouse, depuis sa création en 2019.
Mark Hunyadi est professeur de philosophie sociale, morale et politique à l’Université catholique de Louvain, en Belgique, et associé à l’Institut Mines Télécom de Paris. On lui doit plusieurs ouvrages dans lesquels il analyse l’emprise des nouvelles technologies sur nos sociétés, le dernier en date s’intitulant « au début est la confiance » où il développe une théorie de la confiance.
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Petit robot, pourquoi commets-tu des erreurs ?
C’est le sujet du dernier podcast de la saison Au crible de la science, co-produit par Exploreur et le Quai des savoirs. . Au micro de cet épisode, le directeur de recherche CNRS docteur en psychologie cognitive, Jean-François Bonnefon et Antonin Descampe, professeur dans le domaine des innovations médiatiques à l’Université catholique de Louvain, sous le feu des questions de BTS Systèmes Numériques du lycée Champollion de Figeac. Erreurs, biais, recommandations : l’IA sera-t-elle pleinement acceptée dans nos sociétés de demain ?
Un podcast dont vous trouverez l'intégralité ici .
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Hommes et femmes, égaux devant le contraception ? C’est la question posée à la socio-anthropologue Leslie Fonquerne et à la gynécologue obstétricienneDanielle Hassoun dans cet épisode « au crible de la science », coproduit par Exploreur et le Quai des Savoirs . Elles décryptent les évolutions sociétales autour de la contraception médicalisée pour les élèves du lycée Anne Veauté de Castres. Et cassent les idées reçues. Un plaisir d’animer cette conversation dont vous pouvez retrouver l'intégralité ici !
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Dans cet épisode Au crible de la science, une coproduction Exploreur - Quai des Savoirs , le spécialiste du 7ème art Vincent Souladié enseignant-chercheur à l’Université Toulouse II - Jean Jaurès et le roboticien Malik Ghallab , chercheur CNRS et président du comité de pilotage de l’Institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle de Toulouse ANITI explorent les liens entre IA et cinéma. Une conversation entre réalité et fiction que j'ai eu grand plaisir à animer et dont vous pouvez retrouver l'intégralité ici
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Alain Beltran est chercheur au CNRS, historien en économie et techniques dans le secteur de l’énergie; Stéphan Astier est spécialiste des énergies et du développement durable à l’Institut national polytechnique de Toulouse et au laboratoire Laplace (laboratoire plasmas et conversion d’énergie). Pour Au crible de la science , une coproduction Exploreur - Quai des savoirs , ils explorent le futur des énergies à l'aune du présent et de la transition écologique, en réponse aux interrogations de lycéens.
Ravie d'animer la série conçue pour et avec les lycéens Au crible de la science, j'en publie un extrait sur ce site ; pour avoir accès à l'épisode en entier, cliquez ici
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Qu’est-ce qu’une protéine ? A quoi sert-elle ?
Comment la conçoit-on ? Quelles sont les techniques utilisées par les bio-informaticiens et quel est l’apport de l’intelligence artificielle en la matière ? Autant de questions posées à deux experts complices, Thomas Schiex et Frédéric Cazals, dans ce nouvel épisode d’Investiga’Sciences.Thomas Schiex est directeur de Recherche à l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE), unité mathématiques et informatique appliquées, où il a développé les outils Toolbar et Toulbar 2. Il est titulaire de la chaire Intuition 1 et logique 2 pour le design au sein de l’institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle de Toulouse, ANITI.
Frédéric Cazals est directeur de recherche à l’institut national de recherche en sciences & technologies du numérique (INRIA), au centre de Sophia Antipolis. Il dirige l’équipe Algorithmes-Biologie-Structure et a développé le logicielStructural Bioinformatics Library. Au sein de l’institut d’intelligence artificielle 3IA Côte d’Azur, il porte la chaire AIMS: Artificial intelligence for molecular studies dédiée à la conception de protéines et à l’étude de leurs interactions.
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Nous sommes tous conscients des problématiques environnementales actuelles et des menaces du réchauffement climatique sur l’habitabilité de notre planète bleue. En quoi l’IA peut-elle être une solution pour réduire notre empreinte environnementale en matière de transport ? L’intelligence artificielle est-elle capable de nous aider à progresser en la matière ? Telle est la question posée conjointement au professeur Daniel Delahaye et à l’enseignant-chercheur Olivier Lefebvre.
Ingénieur diplômé de l’ENAC, spécialité traitement du signal et de l’image et auteur d’une thèse à l’ISAE-ONERA, Daniel Delahaye dirige l’équipe de recherche Optimisation et Machine Learning du laboratoire de l’ENAC pour le compte de la Direction générale de L’aviation civile (DGAC). Il est également titulaire de la chaire « IA pour la gestion du trafic aérien et mobilité urbaine à grande échelle » de l’institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle de Toulouse, ANITI.
Olivier Lefebvre est ingénieur d iplômé de l’ENSEIHHT, docteur en robotique et intelligence artificielle (LaaS CNRS). Il a travaillé à des fonctions de responsable de la stratégie R&D au sein d’entreprises d’innovation technologique puis sur le véhicule autonome. Après un master de philosophie, il est aujourd’hui chargé d’enseignement en philosophie de la technique et membre de l’Atelier d’écologie politique Atécopol.Des regards croisés à écouter ici
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Observer et s'inspirer des formes, matières, propriétés, processus et fonctions du vivant pour produire des innovations durables, tel est l’objet du processus créatif appelé biomimétisme.
Le cerveau peut-il être une source d’inspiration en matière d’intelligence artificielle ?
C’est ce que nous abordons avec les chercheurs Laura Magro, directrice adjointe du Centre Européen d'Excellence en Biomimétisme, le CEEBIOS et Rufin VanRullen, chercheur CNRS au Centre de Recherche Cerveau et Cognition (Cerco) et titulaire de la chaire « Apprentissage profond » de l’Institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle de Toulouse, ANITI. Copier le cerveau pour créer des réseaux de neurones artificiels offre des perspectives foisonnantes.
A découvrir et à comprendre ici.
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Bienvenue dans la saison 2 d’Investiga’Sciences, dédiée aux thématiques à l’interface entre économie et société.
Pour cet épisode inaugural, j’ai choisi d’évoquer le sujet de l’immigration. Mes invités sont l’économiste Emmanuelle Auriol, chercheuse, professeure à Toulouse School of Economics (TSE), et dont les travaux portent sur l'économie publique, l’économie industrielle et l'économie du développement. Elle s’est prononcée en faveur de la légalisation d’une immigration économique et elle nous explique comment et pourquoi. Elle confronte les résultats de ses recherches avec la géographe Stéphanie Lima, affiliée au laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés, territoires, le LISST – CNRS, rattaché à l’Université Toulouse Jean-Jaurès. Stéphanie Lima est une spécialiste des questions de migrations maliennes et sénégalaises. Ensemble, elles déconstruisent un certain nombre d’idées reçues sur les phénomènes de migration, tant d’un point de vue économique que sociétale.
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Pour ce cinquième épisode d’Investiga’Sciences, j’ai proposé à la directrice de recherche CNRS Louise Travé-Massuyès, spécialiste de la maintenance prédictive et du diagnostic automatique au Laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes (LAAS) de mettre ses activités en regard des travaux de l’anthropologue des savoirs et des connaissances Nicolas Adell, chercheur au LISST, Centre d’anthropologie sociale de l’Université Toulouse Jean-Jaurès. Un débat osé, l’industrie face à l’artisanat, qui plus est pour parler maintenance !
Au final, bien plus de points communs qu’il n’y parait de prime abord. Passé, présent et futur du maintien de nos techniques et de nos industries se conjuguent à l’unisson ; et pourquoi pas même en s’appuyant sur ce nouvel outil qu’est l’IA ?
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Quand un roboticien rencontre un philosophe, le débat prend des tours de raison et d'émotion qui suscitent toujours plus de questions.
Dans cet épisode, Rachid Alami,directeur de recherche CNRS, roboticien au Laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes (LAAS) et titulaire de la chaire "robotique cognitive et interactive au sein de l'institut interdisciplinaire d'intelligence artificielle de Toulouse expose ses travaux au philosophe Thierry Ménissier, professeur à l'institut de philosophie de Grenoble et titulaire de la chaire "éthique et IA" de l'institut multidisciplinaire d'intelligence artificielle de Grenoble. Ils confrontent leur définition du mot robot, mettent en perspective la tache conjointe entre l'homme et la machine, imaginent son futur dans nos sociétés. Une réflexion partagée avec simplicité au micro d'Investiga'Sciences et dont on ressort ... bousculé?
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Lorsque j'ai interviewé le chercheur en neuro-ergonomie Frédéric Dehais à la demande de la Rédaction du magazine en ligne de l'Université fédérale de Toulouse, Exploreur, une petite lumière s'est déclenchée dans mon cerveau : je tenais là un sujet passionnant et un intervenant de choix pour cet épisode 3 d'Investiga'Sciences. Une discussion plus tard, le spécialiste des interfaces homme-machine pour la sécurité des vols de l'Isae-Supaero acceptait de venir débattre avec celui que j'avais identifié comme le meilleur interlocuteur sur un tel projet : Pascal Marchand, directeur du Laboratoire d'Études et de Recherches Appliquées en Sciences Sociales de l'Université PaulSabatier de Toulouse, dont les activités de recherche actuelles portent sur les négociations policières.
Le cadre de nos échanges a été simple à poser : comprendre la décision sous stress, et appréhender le processus de décision en situation extrême dans les deux contextes que sont le cockpit ou la situation de crise aiguë, telle que les intervenants du Raid la connaissent.
Ensemble, nous avons décrypté la gestion des émotions, le fonctionnement de notre cerveau sous stress, la manière passer de l'émotion à la résolution de problèmes, le rôle du temps et la place de l'intelligence artificielle dans ce domaine.
Comme précédemment, merci à Sébastien Haby du Studio du Cerisier pour la prise de son et le montage, et à Ström pour l’identité de cette émission, un visuel qui exprime toutes mes envies.
Un dernier mot : la période de confinement ne m’a pas permis de respecter la périodicité mensuelle sur laquelle je m'étais engagée pour ce podcast. Mais plusieurs sujets sont préparés pour être enregistrés d'ici fin 2020 et continuer en 2021 :)
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Pari réussi ! J’ai réuni deux experts de renom pour ce nouvel opus d’Investiga’Sciences : le directeur des technologies, de la recherche et de l’innovation de l’éditeur de logiciels #BergerLevrault Mustapha Derras, et le sociologue Yann FERGUSON, enseignant à l’#Icam de Toulouse et chercheur au Centre d'Etude et de Recherche Travail Organisation Pouvoir, #Certop, unité mixte de recherche du #CNRS, des Universités #JeanJaurès et #PaulSabatier de Toulouse. Ma question : quels #servicespublics pour demain avec l’#IA ? Quel sera le rôle des politiques publiques et en quoi seront-elles transformées?
Merci à eux d’avoir posé un cadre pour définir ce qu’ils entendent par IA dans le champ des développements attendus pour les services publics. Des services aujourd’hui contraints par des allocations de ressources sensiblement insuffisantes, que l’on parle d’éducation, de santé, de transports ou encore de justice. Mais si l’IA venait interroger profondément ce qui fonde notre système démocratique et qui l’alimente au quotidien ? Vit-on un moment de faille anthropologique où la course à la technologie n’est pas un élément anodin de notre vivre ensemble, mais au contraire une priorité que l’IA renforce ? Deux spécialistes à écouter sans modération dan ce podcast que j’ai sincèrement apprécié de conduire, avec, côté technique, le soutien inconditionnel de Sébastien Haby du Studio du Cerisier. Merci encore à Ström pour l’identité de cette émission, un visuel qui exprime toutes mes envies.
Un dernier mot : la période de confinement -total- ne m’empêchera pas de préparer la suite ! D’ici là, merci de vos retours et portez-vous bien !
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Pour ce premier épisode, mes invités sont la juriste Céline Castets-Renard et le mathématicien Jean-Michel Loubes, titulaires de chaires au sein de l’institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle de Toulouse, ANITI. Passionnée par la compréhension de l’intelligence artificielle et de ses enjeux, mes premiers épisodes seront dédiées à cette thématique.
Des sciences pour tous
Si vous aimez, soutenez ma démarche et abonnez-vous à Investiga’Sciences sur votre plateforme d’écoute préférée. Merci de partager ce podcast autour de vous et bonne écoute ! Et grand merci au dessinateur Ström pour le visuel, à Sébastien Haby du Studio Le Cerisier pour la prise de son et le jingle, à ANITI pour m’avoir ouvert ses portes, à l’Université Toulouse III Paul Sabatier pour toutes nos années de travail partagées, aux équipes de Culture Scientifique et Technique de l’Université fédérale de Toulouse pour leur confiance. A tous les chercheurs et chercheuses que j’ai épuisé.es par mon insatiable curiosité et mes questions, à tous les sourires et remerciements pour les productions. A mes relecteurs… ils se reconnaitront.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.