エピソード
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La tuerie de Sandby Borg
Cher.ère.s auditeur.ice.s
Cet été, votre équipe des Petits Cailloux vous amène arpenter les couloirs sombres et inquiétants de l’archéologie du crime.
Dans ce troisième (et dernier) épisode de notre roman noir de l’été, rendez-vous sur les plages battues par les vents nordiques du large de la Suède, à la recherche des bourreaux du fort de Sandby Borg.
Serez-vous assez courageux.euses pour vous aventurer dans les ruines abritant des cadavres plus mutilés les uns que les autres de ce massacre vieux de 1600 ans ?
Si l’idée de nous quitter déjà vous accable et que vous voulez continuer à jouer aux archéologues du crime, vous pouvez retrouver nos épisodes précédents sur le meurtre d’Otzi et le massacre d’El Trocs.
Merci de nous avoir suivi dans cette sombre aventure… on espère de pas avoir trop troublé vos nuits.
Production, réalisation et animation : Romane Suchet
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Pour aller plus loin :
Crédits photo : Sebastian Jakobson via Sandby Borg. Archéologie d’un massacre, de Charles Viaut, https://chartes.hypotheses.org/5066 -
Le roman noir de l’été - Massacre dans les Pyrénées Orientales.
Cher.ères auditeur.trice.s
Cet été, votre équipe des Petits Cailloux vous amène arpenter les couloirs sombres et inquiétants de l’archéologie du crime.
Pour ce second épisode, nous avons décidé de vous transporter dans les Pyrénées, au Néolithique, pour essayer de comprendre l’histoire du massacre de neuf personnes ayant eu lieu dans la grotte d’Els Trocs.
Cet été on continue notre épopée criminelle et archéologique avec un épisode chaque mois. Alors à très vite pour la suite de votre polar archéologique !
Production, animation et réalisation : Eloïse Destermes
Pour aller plus loin :
K.W., Tejedor Rodríguez, C., Nicklisch, N. et al. A massacre of early Neolithic farmers in the high Pyrenees at Els Trocs, Spain. Nature, Sci Rep 10, 2131 (2020)
https://www.nature.com/articles/s41598-020-58483-9#citeas el trocs
Illustration : « La momie Otzi au musée archéologique de Bolzano, en Italie », Libération.fr publié le 28 mars 2017, photo Andrea Solero AFP -
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https://www.radiocampusparis.org/podcasts/lespetitscailloux/LPCX_20:07:2022_Otzi .mp3
Le roman noir de l’été - Otzi, le premier meurtre de l’humanité ?
Cher.ères auditeur.trice.s
Cet été , votre équipe des Petits Cailloux vous amène arpenter les couloirs sombres et inquiétant de l’archéologie du crime.
Pour ce premier épisode, on commence avec THE affaire criminelle : Otzi, qui non content d’être la première momie du monde est aussi un des plus anciens meurtres de l’histoire de l’humanité.Suivez les traces enneigées vous guidant vers la célèbre momie des Alpes, et découvrez l’histoire tragique et sanglante d’Otzi.
Cet été on continue notre épopée criminelle et archéologique avec un épisode chaque mois. Alors à très vite pour la suite de votre polar archéologique !
Production, animation et réalisation : Mathilde Courcier
Pour aller plus loin :
Illustration : « La momie Otzi au musée archéologique de Bolzano, en Italie », Libération.fr publié le 28 mars 2017, photo Andrea Solero AFP -
C’est le moment d’embarquer avec nous pour nouvelle émission moussaillons ! Les Petits Cailloux se transforment en Petits Galets le temps d’explorer les rivages et les fonds marins à la recherche de civilisations englouties. Sable chaud, épaves et coquillages rythment cette émission de début d’été. De la Bretagne à la Turquie en passant par la mer Egée, vos archéologues préférées naviguent pour vous à travers les mers du globe pour mieux comprendre comment faire l’archéologie de la mer. Et pour cela nous recevons de grand.e.s explorateur.ice.s maritimes ! Tout d’abord Aurore, diplômée d’un master en archéologie maritime et métiers d'archéologue sous-marin, nous parle du métier d’archéologue subaquatique et de ses recherches sous-marines. Puis Grégor Marchand, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de la préhistoire, revient sur l’histoire de l’occupation des côtes atlantiques. Enfin Catherine Dupont, archéomalacologue et chargée de recherche au CNRS, nous narre l’histoire des relations entre les sociétés humaines et les coquillages. Et pour vous mettre en appétit, on commence cette émission avec un quizz marin qui risque de faire couler toute l’équipe des Petits Cailloux ! (Mer)ci à nos auditeurs et auditrices, il est temps à présent de terminer cette saison des Petits Cailloux sur cette note saline, mais on vous retrouve cet été pour trois émissions un peu spéciales et beaucoup plus sombres… Production, animation et chronique : Mathilde Courcier, Eloïse Destermes, Romane Suchet Avec la participation de : Catherine Dupont, Grégor Marchand et Aurore Barraud de Lagerie Réalisation : Mathilde Courcier, Eloïse Destermes, Romane Suchet Pour aller plus loin : Illustration : Henri-Edmond Cross, Les Iles d'Or, entre 1891 et 1892, huile sur toile, H. 59,5 ; L. 54,0 cm., Don Mme G.Cachin-Signac, 1947, © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) /Hervé Lewandowski
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In vino veritas
Il fait beau, Il fait chaud, c’est le retour de la saison des apéro, bien qu’il ne faille pas boire trop ! (Les Petits Cailloux se lance dans la poésie..)
On vous propose de venir discuter autour d’un verre de vin frais radiophonique avec nous !
De la naissance à la vinification à la naissance de la bouteille en verre, on vous offre un petit voyage viticole et archéologique. Comment reconnait-on le vin en fouille ? Quels sont les différents types de vins connus dans l’antiquité ? Où est le berceau de la vigne ? Et comment se diffuse-t-elle à travers le monde méditerranéen ?
On vous emmène donc louvoyer en terres viticoles en compagnie de nos invités Laurent Bouby (CNRS, ISEM) et Clémence Pagnoux (MNHN), archéobotanistes, carpologues et spécialistes du vin dans le Sud de la France et en Grèce. Ils nous dresseront le portrait de l’archéologie du vin et de la culture viticole antique.
Puis il sera temps de découvrir le gout de ces vins ! Mathilde, Romane et notre cobaye volontaire Clara ont gouté pour vous deux cuvées gallo-romaines recrées par le Mas des Tourelles, en région montpellièrenne.
Romane vous propose une interlude histoire matérielle, avec l’histoire de la bouteille en verre dont on aime tant faire sauter le bouchon...
Enfin, le printemps annoncant le retour sur le terrain de fouille, Mathilde vous offre un tuto premier chantier (et non pas premier baiser). Comment trouver son chantier ? Que doit-on emporter dans sa valise ? La bière tiède est-elle une bonne solution pour s’hydrater ?
Écoutez “ C’est diVIN !” et buvez nos paroles, pour avoir toutes les réponses à vos questions
Production, animation et chronique : Mathilde Courcier, Romane Suchet
Avec la participation de : Laurent Bouby, Clémence Pagnoux, et Clara Astier
Réalisation : Mathilde Courcier et Romane Suchet
Pour aller plus loin :
Illustration :
Peintre Anonyme, A la bonne bouteille. Enseigne de marchands de vin, Paris, 4e quart du 18e siècle, Musée Carnavalet, Histoire de Paris -
[caption id="attachment_109819" align="aligncenter" width="647"] Georges de La Tour, Le Tricheur à l’As de Carreau, 106x146 cm, huile sur toile, Musée du Louvre, Paris, vers 1636[/caption] En attendant le printemps, on s’est demandé aux Petits Cailloux ce qui pouvait occuper les dernières fraiches soirées de cette hiver... Les jeux bien sûr ! Et sous toutes leurs formes ! Avec l’équipe, on vous a préparé un petit tour d’horizon sur l’archéologie des jeux. Du jeu de société au jeu sportif, de l’Orient à l’Amérique du Sud, en passant par la Norvège, nous nous sommes questionnés. Qu’est-ce que le jeu ? Qu’est-ce qu’un jouet ? Quelles places les jeux, quelques soient leurs forme peuvent -ils occuper dans les sociétés anciennes ? Le jeu n’est-il qu’une activité ludique destinée aux aux enfants, ou permet-il, derrière la façade de l’amusement, la formation des jeunes (et moins jeunes) esprits ? De quelles manières les jeux ont-ils été associés à des thématiques universelles, comme la guerre, la puissance, l’amour, la divination ou le destin ? Pour tenter d’éclairer tout cela, nous avons organisé cette émission en plusieurs temps. Production, animation et chroniques : Mathilde Courcier, Eloïse Destermes, Romane Suchet et Clara Astier Avec la participation de : Ammar Albanna, Ella, Charline, Lounis Ourrad, et Thierry Depaulis, que nous remercions chaleureusement de nous avoir prêté leur voix et donné un peu de leur temps. Réalisation : Mathilde Courcier, Eloïse Destermes et Romane Suchet Pause musicale (issue de la Fraîche liste de mars) : Pour aller plus loin : Vous pouvez retrouver toutes les informations concernant l’association “Le Vieux Papier”, spécialisée dans l’étude de la vie quotidienne au travers de documents écrits et iconographiques, sur leu site internet https://www.levieuxpapier-asso.org/ HALL M., “Board Games in Boat Burials: Play in the Performance of Migration and Viking Age Mortuary Practice”, European Journal of Archaeology, 2016, p.439-455. TALADOIRE E., Les Terrains de jeu de balle : Mésoamérique et Sud-ouest des États-Unis. Mexico : Centro de estudios mexicanos y centroamericanos, 1981. Illustration : Georges de La Tour, Le Tricheur à l’As de Carreau, 106x146 cm, huile sur toile, Musée du Louvre, Paris, vers 1636
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[embed]https://www.radiocampusparis.org/podcasts/lespetitscailloux/PAD%20Les%20Petits%20Cailloux%2011_11_21.mp3[/embed] Les Petits Cailloux, votre émission d'archéologie, fait sa rentrée ! Pour cette première, nous avons décidé, quelques jours après Halloween, et quelques semaines avant Noël, de vous parler de magie et d'archéologie. Quelles sont les traces matérielles de la magie ? Quels liens entre magie, religion et rituels ? Comment des pratiques qualifiées de "magiques" pour des périodes anciennes perdurent dans notre société contemporaine ? De quelles manières la pratique même de l'archéologie peut susciter la magie ? Pour tenter d'éclairer tout cela, nous avons organisé cette émission en plusieurs temps. Mathilde s'est interrogée sur la définition de la magie et ses liens avec les rituels et la religion au Néolithique. Elle nous parlera de divers objets et pratiques autour des habitats du très captivant site archéologique de Çatal Höyük, en Anatolie. Michel Pierre, herboriste à Paris à répondu à nos questions sur les simples - les plantes médicinales - leurs usages et leurs préparations. Nous nous sommes demandé quelles pratiques et croyances l'archéobotanique a mis en évidence pour les périodes antiques et médiévales. En archéologie, la magie se retour aussi autour de la découverte. Mathilde est ensuite revenue pour nous sur l'une des malédictions les plus célèbres entourant une fouille archéologique : la malédiction de Toutânkhamon. Au travers de plusieurs témoignages, nous avons essayé de percevoir le ressenti des archéologues lors d'une découverte. Production, animation et chroniques : Mathilde Courcier, Eloïse Destermes, avec la participation de Maxime Dumay Merci à Flora, Margaux et Romane pour leurs témoignages Réalisation : Mathilde Courcier, Eloïse Destermes Pause musicale (issue de la Fraîche liste de novembre) : Cours des Miracles, Bonnie Banane, Ichon I Pomeriggi, Giorgio Poi Pour aller plus loin : Carolyn Nakamura, Peter Pels, "Using magic to think from the material : tracing distributed agency, revelation and concealment at Çatal Höyük" in Religion at Work in a Neolithic Society Cambridge University Press, 2014. Raphaelle Garreta, Des simples à l’essentiel : de l’herboristerie à l’aromathérapie, pratiques et représentations des plantes médicinales, Coll. Les anthropologiques, Presse universitaire du Mirail, Toulouse, 2007*.* La chaine L'histoire nous le dira - La malédiction des tombeaux de momies #141 https://www.youtube.com/watch?v=oabqZn-h77M Illustration : John William Waterhouse, Circé invidiosa, Musée National d’Australie-Méridionale, Adélaïde, 1892.
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Pour sa dernière émission avant l'année 2021, c'est toujours depuis nos appartements respectifs que nous avons travaillé. On a décidé de vous parler de la pratique de l'archéologie et de la façon dont elle est conduite. C'est un thème régulier abordé dans nos émissions sur radio campus paris — et aujourd'hui, c'est l'activisme en archéologie ! Faire de l'archéologie, c'est pas aussi simple que ça semble. On étudie des trucs abandonnés et pas très bien conservés, on se retrouve souvent à récurer des trous dans le sol qui ne sont plus que des témoins lointains de stockages ou de fondation de bâtiments... Alors pourquoi se poser des questions d'éthique, remettre en question les pratiques et la façon dont on fait l'archéologie ? C'est que comme ça a été souvent dit, l'archéologie est affaire d'anthropologie - on étudie des trucs qui ont appartenu à des gens et auxquels celles et ceux qui vivent aujourd’hui sont encore souvent liés et tout ça, ça a forcément un impact sur la société dans laquelle on est. On se remet de plus en plus en question et ça concerne l'ensemble du travail des archéologues, touchant tant à la fois de leurs questions de recherche, que leur pratique et leur comportement dans leur travail. Cette tendance à la remise en question — et la visibilisation de pas mal de comportements inappropriés — nous a amenés à aller enquêter pour comprendre en quoi l'archéologie pouvait être activiste et pourquoi, probablement, elle se devait de l'être. [caption id="attachment_100220" align="aligncenter" width="1024"] La panoplie de l'archéologue (cliché : Mathilde Jean)[/caption] Cette émission est organisée autour de trois interviews : - Sol Sánchez-Dehesa Galán et Wendy Bougraud, ont répondu à nos questions lors de la présentation de leurs travaux avec le projet Past and Curious, durant les journées du patrimoine en septembre dernier. - Mathilde -- Courcier, une nouvelle camarade que nous accueillons pour cette émission -- qui a demandé à Laura Mary, du Tumblr Paye Ta Truelle, de nous parler du croisement entre engagement politique et archéologie. - Iris Guillemard, que nous félicitons d'avoir brillamment soutenu sa thèse la semaine dernière (c'est-à-dire celle avant cette émission si jamais vous atterrissez sur cette page dans dix ans ou la semaine prochaine), nous racontera ses expériences de terrain en Afrique du Sud et les implications politiques et sociales qui y sont liées. Production, animation et chronique : Mathilde Courcier et Rémi Méreuze (et avec la voix de Léa Hermenault !) Réalisation : Rémi Méreuze Pauses musicales (issues de la fraîche liste de novembre) : Ke Star, Focalistic Ft. Vigro Deep I'm going back home, Nina Simone Pour aller plus loin : La chaîne de Past and Curious - https://www.youtube.com/channel/UCGcxqQOCHDqayis8GgM6rBQ Le site internet de Paye ta truelle - https://payetatruelle.wixsite.com/projet L'article d'Iris Guillemard - https://www.tandfonline.com/eprint/SICHMCCVJJIJRBCFVGFB/full?target=10.1080/0067270X.2020.1721839
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En ces temps de déconfinements progressifs qui ne permettent pas de partir très loin, on s’est dit aux petits cailloux qu'il fallait un peu élargir nos horizons suffisamment limités pendant deux mois... Que ça serait chouette de voyager un peu et de partir vers des contrées lointaines, où le paysage dépasse les murs de nos modestes appartements. Aujourd’hui, la dernière émission de l'année est consacrée à l’archéologie dans le Monde arabe. On va se remplir la tête de soleil, parler de l'intérêt et des enjeux de l'archéologie dans cette région. Comment la pratique-t-on ? Qu'est-ce qu'on y étudie ? Quelle est l'actualité des projets archéologiques ? [caption id="attachment_96923" align="aligncenter" width="1024"] La vieille ville d'Al-Ula, vue depuis la citadelle (cl. R. Méreuze).[/caption] Pour répondre à ces questions, ce ne sont pas zéro, ni un mais bien deux intervenants que nous écouterons aujourd’hui. Notre équipe semi-déconfinée est "covid-19 prevention friendly". Elle a interviewé à distance deux éminents chercheurs qui travaillent dans ce Monde arabe : - Julie a demandé à Jean-Pierre Van Staëvel, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, des nouvelles du projet franco-marocain de la "montagne d’Îgîlîz et du pays des Arghen" au Maroc. Il reviendra sur les origines du projet et de l'Empire almohade. - Mathilde a discuté avec Jessica Giraud, rattachée à l’équipe VEPMO (Du village à l’Etat au Proche et Moyen-Orient) de l'UMR d'archéologie ArScAn et présidente de la société Archaios. Autour d'un café, elle va nous raconter son parcours d'archéologue du monde arabe, de ses études jusqu'à la création d'une entreprise dont les projets sont localisés au Proche et au Moyen-Orient. Bref, on va voyager ! Production, animation et chronique : Julie Gravier, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Rémi Méreuze Pauses musicales : –Gul l'Abi, Acid Arab feat. A-WA –Awnafin, Tamikrest
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Parler d’archéologie en ce moment, c’est un peu compliqué. Face à une actualité oppressante, parler tout simplement d’autre chose semble un peu vain et peu utile. Mais nous avons quand même voulu nous lancer en faisant une émission réalisée à distance, chacun chez soi, réunis par la magie du montage ! Alors ce sera une émission composées de séquences faites à domicile par l'équipe rejointe, pour l'occasion, par Hemmamuthé Goudiaby. [caption id="attachment_95358" align="aligncenter" width="495"] Faire de la radio archéologique, chez soi...[/caption] L’archéologie sous confinement, c’est pas cool pour des gens qui aiment être dehors même sous la pluie et la neige. Alors après un petit coup de déprime, l’émission d'aujourd'hui nous amènera d’abord à nous activer depuis notre canapé. Retrouver des sensations d’archéologie à travers les sons des outils et des travaux, rassemblés par Léa et Mathilde. Après une sélection de chaînes et documentaires à voir et à revoir, rassemblée par Mathilde, Rémi évoquera des séquences de cinéma où l’on parle d’archéologie. Mais pourquoi nécessairement rester passif. L’archéologie ne pourrait-elle pas nous aider à comprendre ce qui se passe ? L’étude du passé ne pourrait-elle pas nous servir pour interpréter les comportements présents ? Hemmamuthé Goudiaby, archéologue spécialiste des pratiques funéraires nous rappelle que les mouvements de paniques et la méfiance envers les autres ne sont pas des comportements nouveaux , puis Julie la gestion des crises et des morts, aujourd’hui et un peu avant. Quelles seront les traces de cette pandémie ? Tout autant que les morts et la maladie, le confinement marque intensément nos pratiques et nos rapports sociaux. Julie envisagera la manière dont les futuriens -- les gens du futurs -- pourront comprendre ce qui s’est passé. Production et chroniques : Hemmamuthé Goudiaby, Julie Gravier, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Rémi Méreuze Pauses musicales : – Wafu, Pongo – Different Attitudes, Joey Joey Michaels & A.M
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« Tous les chemins vont vers la ville. Du fond des brumes, Là-bas, avec tous ses étages Et ses grands escaliers et leurs voyages Jusques au ciel, vers de plus hauts étages, Comme d’un rêve, elle s’exhume. Là-bas, Ce sont des ponts tressés en fer Jetés, par bonds, à travers l’air; Ce sont des blocs et des colonnes Que dominent des faces de gorgones; Ce sont des tours sur des faubourgs, Ce sont des toits et des pignons, En vols pliés, sur les maisons; C’est la ville tentaculaire, Debout, Au bout des plaines et des domaines. […] » Vous l’aurez compris à la lecture de l’extrait d’un poème d’Émile Verhaeren, Les Petits Cailloux se ruent dans la ville ! [caption id="attachment_93314" align="aligncenter" width="317"] Fouilles dans la crypte archéologique de Noyon.[/caption] Si la ville est vécue quotidiennement par un peu plus de 80% de la population française aujourd’hui, elle ne l’était que par 17% des gens au début du 19e siècle. Objet d’idéalisation ou de rejet viscéral, espace économique, lieu des décisions politiques et des révoltes, lieu continuel d’activités – le jour et la nuit, du dimanche au samedi –, espace d’anonymat… la ville est perçue et étudiée par plein d’aspects différents. Qu’en est-il en archéologie ? Peut-on exhumer les villes du passé ? Les villes anciennes ressemblent-elles aux villes d’aujourd’hui ? Pour nous éclairer sur ce thème, nous avons reçu deux invités : - Camille Gorin, doctorante en archéologie à l’Université Paris 1 et rattachée à l’UMR ArScAn dans l’équipe Transphères . Dans ta thèse, elle travaille sur la ville de Poitiers et son inscription au sein d’itinéraires fluviaux et terrestres depuis ses origines jusqu’au 17e siècle. - Lucie Nahassia, docteure de l’Université Paris 1 en Géographie. Elle a travaillé sur les formes spatiales et temporelles du changement urbain, en prenant appui pour cela sur le cas de Tours et ce, en collaboration avec les archéologues qui étudient cette ville depuis plus de 40 ans. Production et animation : Julie Gravier, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Ugolin Crépin-Leblond Chroniques : Julie Gravier, Léa Hermenault, Rémi Méreuze Pauses musicales : – Les bruits dans la ville, Voyou – Quem manda no mic, Pongo Musique du générique de fin : Practitioners – NO3sis (www.no3sis.com)
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Pour sa première émission depuis l’été (et oui, enfin !), les petits cailloux reprennent pour vous parler de l’archéologie, de son actualité et de ses enjeux. C’est autour d’une pratique de l’archéologie que nous allons débattre : l’ethnoarchéologie. Faire de l’ethnoarchéologie, c’est utiliser l’enquête ethnographique pour appuyer des hypothèses archéologiques : ce que l’on observe pour les populations actuelles est-il transposable aux sociétés passées ? Cette méthode d’investigation qui a surtout pris son essor à partir des années 1960, est fondée sur des analogies passé-présent parfois discutées et semble aujourd’hui en perte de vitesse. Pour certains, c’est une méthode nécessaire à l’interprétation des vestiges tandis que pour d’autres il faudrait carrément la laisser mourir… Alors, l’ethnoarchéologie, outil de réflexion ou vestige du colonialisme ? Pour en discuter, nous avons le plaisir de recevoir deux spécialistes de la technologie céramique, Alicia Espinosa et Adrien Delvoye. Alicia Espinosa est doctorante à l’Université Paris 1 Panthéon - Sorbonne et au laboratoire ArchAm, UMR 8096. Sa zone d’étude est la côte nord du Pérou. Adrien Delvoye est docteur de l’Université Paris 1 et futur post-doctorant à l'Université de Genêve, ses recherches sur la production céramique en Afrique de l'Ouest, entre le Sénégal et la Gambie. [caption id="attachment_91033" align="aligncenter" width="479"] Ceramic ethnoarchaeology in west Africa (CC BY-SA 2.0)[/caption] Production et animation : Julie Gravier, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Ugolin Crépin-Leblond Chroniques : Rémi Méreuze Pauses musicales : –Esta es mi tierra, Oscar Aviles et Arturo "Zambo" Carvero – Kel Tinawen, Tinariwen Musique du générique de fin : Practitioners – NO3sis (www.no3sis.com)
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Il me faut le cacher au plus intime de mes veines L’Ancêtre à la peau d’orage sillonnée d’éclairs et de foudre Mon animal gardien, il me faut le cacher Que je ne rompe le barrage des scandales. Il est mon sang fidèle qui requiert fidélité Protégeant mon orgueil nu contre Moi-même et la superbe des races heureuses … Léopold Sédar SENGHOR, Chants d'ombre [caption id="attachment_91031" align="aligncenter" width="502"] Afrique centrale, mission de Tabora. Mgr Henri Léonard (Père blanc), vicaire apostolique de 1912 à 1928 catéchisant les enfants. (domaine public)[/caption] Ancêtre, fidélité, orgueil... Les mots mobilisés par Léopold Sédar Senghor pour parler d'identité ne sont pas des plus légers. En 2007, dans son fameux discours de Dakar, Nicolas Sarkozy parlait "de l'existence d'une "identité africaine". L'idée fut contestée, entre autres, par les chercheurs en sciences sociales qui préfèrent parler de l'existence d'identitéS africaineS. Au pluriel. Quel sont les apports de l'archéologie dans ce débat ? Comment l'archéologie participe-t-elle de la construction de l'identité, et notamment en Afrique ? C'est autour de cette grande question que nous avons débattu en compagnie d'Adrien Delvoye, docteur en archéologie africaine et spécialiste du Sénégal. Production et animation : Enora Gault, Julie Gravier, Léa Hermenault, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Ugolin Crépin-Leblond (encore merci merci Ugolin!!) Chroniques : Julie Gravier, Léa Hermenault et Rémi Méreuze Pauses musicales : –A luta continua, Miriam Makeba –What you gonna do, FEMME Musique du générique de fin : Practitioners – NO3sis (www.no3sis.com) Ont été cité-e-s durant l'émission : -la chaîne Youtube de Jennifer Kerner -- Boneless archéologie -la chaîne Youtube de Clothilde Chamussy -- Passé sauvage -le livre Retour au Paléo, et si nos ancêtres avaient tout inventé? Flammarion, 2019, 18 euros, 208 p. -le festival Bobines et Parchemins, le festival du film médiéval consacré cette année aux Croisades
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Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie. Blaise Pascal (El-Azrak & Wadi Sirhan in the Arabian desert. Druse political refugees from Jebel Druse (The Hauran), © American Library of Congress) Alors dit comme ça, c’est un peu angoissant, c’est clair… Mais si on s’y met à plusieurs, on doit pouvoir l’explorer, ce vide ! Dans une période de repli sur soi, partir et explorer les déserts, les espaces qui ne font pas (ou plus) partie de notre monde peut être une expérience salvatrice. - Euuh oui, mais un « vide », ça ne s’explore pas, puisque par définition il n’y a rien… Si ? - Qu’est-ce qu’on entend par « vide » ? Espace vide, vide culturel, vide perçu ou réel, vide créé par l’absence de recherches ? Le vide, c’est tout autant la friche oubliée où personne ne va plus que le désert lointain habité par les nomades, ou les marches d’une civilisation où rien ne semble n’avoir jamais vraiment été développé. Faire de l’archéologie, après tout, c’est aussi combler une peur du vide, celui de notre passé, que l’on cherche à reconstituer pour éviter de n’en rien connaître. Mais c’est de l’archéologie du vide que nous avons parlé, celle qui invite à se poser la question de la perception du vide dans le temps, du vide d’hier et d’aujourd’hui, de celui qu’on construit, qu’on fantasme. Jeudi soir, c'était retour aux déserts, à ceux qui structurent notre perception du monde et du peuplement. Pour aborder ce vaste sujet, nous avons accueilli : - Tara Beuzen-Waller, doctorante en Géographie physique et géoarchéologie à Sorbonne Université, rattachée à l’UMR 7041 ArScAn - Et Romuald Housse, doctorant en archéologie andine à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, rattaché à l’UMR 8096 ArchAm Nous avons aussi eu aussi le plaisir d’écouter une réflexion de Rémi sur les pratiques colonialistes qui participent à la création du vide et Léa qui nous a proposé un rapide petit tour de France des expositions archéologiques à découvrir pendant les vacances de Pâques ! Production et animation : Julie Gravier, Léa Hermenault, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Ugolin Crépin-Leblond Chroniques : Léa Hermenault et Rémi Méreuze Pauses musicales : -Sound of Silence, Simon and Garfunkel, 1964 -Kenyan Message, Muthoni Drummer Queen, 2017 Musique du générique de fin : Practitioners - NO3sis (www.no3sis.com) Pour aller plus loin : Édition en ligne des Pensées, de Blaise Pascal Sur les tentatives de construction d'un port avec des bombes H., Firecracker boys, de Dan O'Neill.
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Montre-moi les objets avec lesquels tu veux être enterré-e et je te dirai qui tu es… … ou pas ! [caption id="attachment_79698" align="aligncenter" width="701"] (Figurer le genre, licence CC)[/caption] Comment appréhender le genre des individus des sociétés du passé ? Quels peuvent être les apports de l’approche archéologique aux questions de genre ? Parce qu’elle y consacre actuellement sa thèse, nous avons fait le point sur ces questions avec Clara Blanchard, (univ. Paris 1 Panthéon-Sorbonne, équipe TranSphères du laboratoire ArScAn) mais également en confrontant le discours de l’archéologue avec celui de spécialistes de ces questions venues de géographie que sont Milan Bonté et Daphné Caillol (tou-te-s deux à l'univ. Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et rattaché-e-s au laboratoire Géographie-cités). Lucine est venue nous faire une super chronique sur la représentation de la masculinité dans le rap français! Nous avons également évoqué l’exposition « Archéo-Sexisme » (une exposition organisée par l'association Archéo-Ethique en collaboration avec Paye ta truelle) avec Ségolène Vandevelde, et enfin nous avons dit quelques mots de l’exposition actuellement en cours « Tomber sur un os » au musée Archéa de Louvres. Production et animation : Charlotte Delrue, Enora Gault, Julie Gravier, Léa Hermenault, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Ugolin Crépin-Leblond et Souane Chroniques et carnet sonore : Julie Gravier et Léa Hermenault Pauses musicales : -Libertine, Mylène Farmer, 1986 -Bonjour, De Saturne, 2018 Liens utiles : -l'exposition Tomber sur os est au musée Archéa de Louvres. Toutes les animations organisées autour de cette exposition sont disponibles ici. Cela commence dès ce weekend du 9/10 février, avec la reconstitution d'une cérémonie de funéraille franque... Courez-y! Puis le 15 février, venez assister à conférence-visite-apéro « Médecine légale et archéologie, quelle collaboration ? ». Enfin, Philippe Charlier (médecin légiste spécialiste des cas historiques) donnera une conférence le samedi 6 avril avec pour titre « Very very cold-case : médecine légale et archéologie ». -le tumblr Paye ta truelle -le compte Facebook de l'association Archéo-Ethique
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Face aux diverses restrictions budgétaires, de postes, au rôle décisif de la question de la rentabilité dans les prises de décision scientifique, mais aussi aux destructions patrimoniales et à l’utilisation des analyses des archéologues à des fins politiques, etc. on en vient parfois à se demander devant la machine à café … -“Mais en fait... -Pourquoi ? -Mais oui... Pourquoi fait-on de l’archéologie ?? -Pourquoi, après tout, est-ce qu’on ne ferait pas mieux de quitter tout pour aller élever des chèvres dans le Quercy ?” [caption id="attachment_91027" align="aligncenter" width="291"] (Auguste Rodin, "Le Penseur", 1881-1882, Sculpture (bronze), Musée Rodin, Paris, France - licence CC)[/caption] Parce que les Petits Cailloux s’inquiètent des conséquences économiques de la surproduction de fromage de chèvre qu’engendreraient de telles réorientations de carrière chez les archéologues franciliens, ils vous proposent de prendre le problème à bras le corps et d’entamer une psychanalyse collective ! Si tu es archéologue et que tu veux (re)trouver un sens à ta vie, ou, plus modestement, si tu veux savoir à quoi sert une partie de tes impôts lorsqu’ils financent la recherche archéologique, branche-toi sur Radio Campus Paris jeudi prochain à 20h ! Au programme, micro-trottoir, chroniques et grand débat pour comprendre le rôle de l’archéologie dans notre société (suivis, comme toujours, de notre rubrique “actualités”!) et un invité, David Laporal, responsable du développement culturel et des publics au Musée d'Archéologie Nationale qui nous expliquera comment l'archéologie peut trouver sa raison d'être dans le rapport qu'elle entretient avec les publics. Production et animation : Charlotte Delrue, Enora Gault, Julie Gravier, Léa Hermenault, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Réalisation : Ugolin Crépin-Leblond Chroniques et carnet sonore : Charlotte Delrue, Julie Gravier, Léa Hermenault, Mathilde Jean et Rémi Méreuze Pauses musicales : -J'aurais voulu être un artiste, Nicole Croisille, 1981 -Dunkel Deutsch Disco, Bumcello, 2018 Liens utiles : -Pour tout savoir de l'actualité du Musée d'Archéologie Nationale de Saint Germain en Laye. - Anguti's amulet, le livre présenté par Rémi et le lien du Virtual Museum of Labrador. -L'article de Cédric Lavigne mentionné dans la chronique de Julie ("L’archéogéographie, une expertise au service des politiques publiques d’aménagement"). -Below the surface, le site de consultation des artefacts mis au jour lors des fouilles du métro d'Amsterdam.
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Pour sa 3ème édition, le Festival des idées a mis à l'honneur la jeunesse éternelle. Conférences, spectacles, jeux, débats, expositions, ateliers... 60 événements ouverts à tous publics! L'enjeu est de faire dialoguer sciences, humanités, rechercher et arts. [caption id="attachment_76705" align="alignnone" width="998"] (Intérieur du Panthéon © Festival des idées, dossier de presse)[/caption] En marge d'une conférence-rencontre avec Cynthia Fleury et Aubrey De Grey autour de l'immortalité, tenue ce mardi 20 novembre sous les voûtes du Panthéon, l'association Portauloin a proposé aux visiteurs une promenade nocturne et immersive dans la crypte des Grands Hommes. L'équipe des Petits Cailloux s'est fondue dans la foule pour en capturer quelques instants. Bonne écoute! Merci à l'association Portauloin ! Un grand merci en particulier à Sylvie Do et aux médiateurs/trices et concepteurs/trices des boîtes : -boîte Jacques-Germain Soufflot - texte : Erlon Ribeiro -boîte Emile Zola et Léon Gambetta - texte : Lisa Meliijer et Nefeli Iliopoulou -boîte Geneviève De Gaulle-Anthonioz - texte : Marion Bendjelloul -boîte Pierre Curie - texte : Marine Dubreuil -boîte Germain Tillion et Geneviève De Gaulle-Anthonioz - texte : Hortense Canivet Un grand merci également à Edouard Bueno (CMN) et Thomas Stoll (Festival des idées) Prise de son et Réalisation : Ugolin Crépon-Leblond Production : Léa Hermenault, Mathilde Jean et Rémi Méreuze. Montage : Léa Hermenault
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(Moi, je veux faire des ricochets © Exposition Les vacances du Petit Nicolas / Sempé) “... et les Pierres devinrent Petits Cailloux!...” Après quatre années de bons (ronds) et loyaux services, les Pierres Qui Roulent cèdent la place aux Petits Cailloux, votre nouveau magazine d’Archéologie sur Radio Campus Paris ! On y parlera toujours d’archéologie, mais un peu différemment : l’équipe s’agrandit pour vous proposer plus de reportages, d’enquêtes, de micro-trottoirs, de balades sonores, de revues de presse, etc. Préparez-vous, on sera partout! Alors, c’est parti, A vos marques… prêt… partez! et PLOUF… les Petits Cailloux se jettent à l’eau ! Au programme de notre première émission, un plongeon dans une piscine olympique, un autre dans les eaux froides (malheureusement plus tant que cela) de l’Arctique, un autre dans le sable chaud du Proche Orient, encore un autre aux pieds de grandes statues, et un petit dernier dans une bulle ! Nous avons reçu en effet Hélène Djéma, conservatrice du Patrimoine au Service Régional d’Archéologie d’Île-de-France et responsable territoriale en charge des dossiers d’archéologie sur la Seine-Saint-Denis, qui est venue nous expliquer les enjeux archéologiques de la préparation des Jeux Olympiques de 2024, puis, avant d’évoquer la mise au jour des vestiges du pavillon du Parti Communiste à l’exposition universelle de 1937, Rémi est vebu nous parler des enjeux du réchauffement climatique pour la conservation des sites du Pôle Nord, Mathilde nous a expliqué les risques qu’encourt le patrimoine archéologique syrien, et Fanny nous a présenté l’actualité BDesque de l’archéologie ! Production et Animation : Charlotte Delrue, Enora Gault, Léa Hermenault, Mathilde Jean, Rémi Méreuze & Fanny Trouvé. Réalisation : Adel Ittel El Madani Pauses musicales –Smoke on the water, Deep Purple, 1972 –Not anyone, My dear, 2018 (tirée de la Fraîche liste d’octobre 2018) Musique du générique de fin : Practitioners - NO3sis (www.no3sis.com) Nous en avons parlé pendant l’émission : -l'appel lancé par plusieurs chercheurs pour alerter contre les conséquences du réchauffement climatique sur les sites archéologiques d'Arctique. -le portail du ministère de la Culture sur le Patrimoine du Proche-Orient -l'exposition à l'Institut du Monde arabe sur les Cités millénaires. -un article sur les fouilles de Baillet-en-France. -les BD d'Eric Le Brun sur l'art préhistorique. -l'exposition "Archéologie en bulles", au Musée du Louvre.