エピソード
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durée : 00:58:47 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - De La Princesse de Clèves à Phèdre, de L’Amant à L’Ecume des jours, les scènes de ravissements de la littérature française révèlent ce trop-plein de sensations propre au coup de foudre, grâce une interprétation sonore et musicale singulière.
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durée : 00:19:55 - Lectures du soir - "Je voudrais faire des livres où il n’y eût qu’à écrire des phrases, si l’on peut dire cela, comme pour vivre, il n’y a qu’à respirer de l’air."
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durée : 00:28:33 - Le Feuilleton - John Willoughby et Edward Ferrars ont quitté précipitamment le Devon, laissant Marianne et Elinor à leurs questionnements respectifs quant à l’avenir.
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durée : 00:20:11 - Lectures du soir - "T’aperçois-tu que je deviens moraliste ? Est-ce un signe de vieillesse ? je tourne certainement à la haute comédie, j’ai quelques fois des prurits atroces d’engueuler les humains ! "
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Alors que tous le croyaient fiancé à Marianne, l’annonce du départ précipité et inexpliqué de John Willoughby a plongé toute la petite société de Barton Park dans la surprise.
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durée : 00:19:24 - Lectures du soir - "La poésie n’est point une débilité de l’esprit, mais ses susceptibilités nerveuses en sont une, cette faculté de sentir outre-mesure est une faiblesse… "
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Elinor est loin d’être heureuse à Barton Cottage, privée de la compagnie d’Edward Ferrars qui est resté à Norland, contrairement à sa sœur, Marianne, qui est tombée sous le charme de John Willoughby.
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durée : 00:20:17 - Lectures du soir - "Je suis d’une tristesse de cadavre, d’un embêtement démesuré, ma sacrée Bovary me tourmente et m’assomme."
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - À la mort de son mari, Mrs Dashwood a dû quitter, avec ses trois filles, la propriété de Norland où elles résidaient, pour une demeure beaucoup plus modeste, Barton Cottage, dans le Devon Barton Cottage
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durée : 00:19:56 - Lectures du soir - "Je me suis reconnu plus petit et j’ai mis toute ma raison dans l’observation de ma nature, de son fond et de ses limites surtout."
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durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - Mr Henry Dashwood meurt et ses obsèques ne sont plus tôt achevées que Mrs John Dashwood, qui n’a à aucun moment prévenu sa belle-mère de ses intentions, débarque avec son enfant et les domestiques.
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durée : 00:59:02 - Fictions / Théâtre et Cie - 300 ans après sa création, France Culture propose L’île des esclaves de Marivaux en écho à la pièce Ben oui mais enfin bon écrite par Rémi De Vos à partir d’Arlequin poli par l’amour de Marivaux sur les rapports de pouvoir, de classe et de langage dans le monde du travail.
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durée : 00:52:48 - Fictions / Théâtre et Cie - Dans sa pièce "Ben oui mais enfin bon", Rémi De Vos s’inspire de l’intrigue d’Arlequin poli par l’amour de Marivaux. Ici, les rapports de pouvoir et de langage sont exacerbés dans un monde du travail absurde, propice aux rapports de domination et de harcèlement.
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durée : 00:57:43 - Samedi fiction - Cette lecture musicale du Ciel ouvert de Nicolas Mathieu, grand poème amoureux autant que récit d’une passion, donne à entendre magnifiquement les élans d’un homme d’aujourd’hui pris entre spleen et idéal.
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durée : 00:20:33 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit Jean-Philippe Bareil et Jean Samuel, amis de déportation de Primo Levi. Ils reviennent sur leur expérience des camps à travers des extraits de Si c’est un homme et de Les Naufragés et Les Rescapés.
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durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - "Je m’éveillai le 29 janvier à l’aube. À la place de mon père gisait un autre malade. On avait dû l’enlever avant l’aube pour le porter au crématoire. Il respirait peut-être encore... Son dernier mot avait été mon nom. Un appel, et je n’avais pas répondu."
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durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - "Pourquoi, mais pourquoi Le bénirais-je ? Toutes mes fibres se révoltaient. Parce qu’Il avait fait brûler des milliers d’enfants dans ses fosses ? Parce qu’Il faisait fonctionner six crématoires jour et nuit les jours de Sabbat et les jours de fête ? "
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durée : 00:20:32 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit René de Ceccatty, écrivain et critique littéraire. Il évoque l'œuvre fantastique de Primo Levi à travers des extraits de Lilith, Histoires naturelles et Vice de forme.
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durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - Notre chef de tente était un Allemand. Le visage d’un assassin, les lèvres charnues, les mains pareilles aux pattes d’un loup. La nourriture du camp ne lui avait pas mal profité : c’est tout juste s’il pouvait se remuer.
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