エピソード
-
Hélène Dumont, conseillère conjugale et familiale a écrit un texte sur la promesse de fidélité dans le couple.L’entretien avait débuté de cette façon, à quelques mots près :« Je suis sur le point de prendre un amant ; comprenez bien que je suis tombée amoureuse, sauf qu’il ne s’agit pas de mon mari. Et que malgré toutes mes convictions, le mariage, la fidélité… J’ai bien peur de ne savoir résister plus longtemps. »La question de l’infidélité se pose au sein de nombreux couplesElle n’est pas toujours actée mais déstabilise à chaque fois. Elle renvoie à la promesse de fidélité échangée et sur laquelle le couple a pu se construire et investir. Elle active à nouveau le souvenir de l’engagement pris, socle de confiance et de sécurité affective incontournable pour celles et ceux qui désirent cheminer ensemble le plus longtemps possible.Si tu aimes ce genre de contenu, n'hésites pas à t'abonner, et pour en savoir plus, clique ici
-
Parfois, je me demande comment ça ferait, la maternité, si j’avais encore ma mère près de moi.Je pourrais lui demander si c’est normal que mes garçons passent leur temps à se chamailler. Comment faisait-elle, quand mon frère et moi étions comme chien et chat ?Je pourrais parfois lui demander de les garder quelques heures, pour aller au cinéma ou boire un verre avec une copine, sans avoir à redouter l’effet boomerang du budget baby-sitter (qui re-veut des pâtes ?).Parfois, je me fais le scénario de ce que serait une journée avec ma maman.Je vois dans son regard la fierté de constater l’épanouissement de ses petits-enfants, la joie de les retrouver grandis, son émerveillement de découvrir dans leur bouche de nouveaux mots.Je pourrais l’appeler en cas de coup de mou, ou simplement comme ça, pour prendre de ses nouvelles à la sortie du boulot ou en balade le dimanche. Elle serait là, à l’écoute, comme je le suis avec mes enfants.Tout cela, je l’imagine et immanquablement, les larmes me montent aux yeux.Texte écrit par Cécile GuittierSi tu aimes ce genre de contenu, n'hésites pas à t'abonner à notre chaine youtube, et pour en savoir plus, clique ici
-
エピソードを見逃しましたか?
-
Chère fabuleuse, retrouve cet article de REBECCA DERNELLE-FISCHER sur le site des Fabuleuses en cliquant juste ici
-
Nos souffrances d’enfant nous poussent parfois à aller voir un psychothérapeute, parfois pas. Chacun se débrouille, plus ou moins bien, avec son héritage. Mais en devenant parent à notre tour, la question peut prendre une autre dimension. Surtout quand, comme j’entends souvent dans mon cabinet, le parent craint que son enfant connaisse les mêmes souffrances que lui :« Je ne veux pas que mes enfants subissent la même chose que moi, je préfère ne pas parler de ce qui s’est passé dans mon enfance ». Espérer qu’en évitant le sujet, il cesse d’exister est un fantasme, une illusion. C’est ignorer que les enfants ne sont qu’antennes, sensations, miroirs à capter les non-dits. Oui, même ce qui n’est pas dit se transmet, souvent à travers le corps, produisant des maladies, ou des comportements étonnants, souvent dérangeants.Un texte écrit par Valerie de Minvielle, psychologue et fondatrice de "Ma Juste Place" Texte lu par Anna Latron.Pour en savoir plus sur le Fabuleuses au Foyer, et pour retrouver tous nos contenus, clique ici
-
Une fabuleuse maman a écrit ce texte poignant à propos de son enfant compliqué.Lu par Anna Latron, pour les Fabuleuses au Foyer.
Tu veux en savoir plus ? Clique ici
-
Après des jumeaux, un bébé dans les étoiles et une petite fille à bouclettes, me voilà enceinte pour la quatrième fois. Et depuis l’annonce de cette grossesse, une question super embarrassante revient sans arrêt : « C’était voulu ? »Pour en savoir plus sur l'univers des Fabuleuses, clique ici :
-
Chère Fabuleuse, retrouve cet article de Rebecca Dernelle-Fischer sur le site des Fabuleuses en cliquant juste ici :
-
C’est un paradoxe que nous expérimentons toutes depuis que nous sommes devenues mères : celui de ne jamais être seule mais de se sentir isolée.
Ce paradoxe, Rebecca Dernelle-Fischer en parle dans ce texte : « Elle est seule ? Celle qui se plaint de ne pas pouvoir aller aux toilettes sans avoir au moins un enfant qui l’accompagne ? Elle est seule ? Celle qui porte en écharpe son bébé pendant toute la journée et dort coincée entre son mari qui ronfle et son enfant qui colle ses petits pieds contre son dos ? Elle est seule ? Cette maman qui a 500 amis sur Facebook et 243 abonnés sur Instagram ? Celle qui pourrait envoyer un SOS sur internet au milieu de la nuit et qui trouvera toujours une autre maman réveillée pour la rassurer ? Elle est seule ? Oui, elle l’est ! Elle fort seule, la maman d’aujourd’hui.
Elle est fort seule dans son quotidien, dans son carrousel mental, dans ses dialogues internes. »
-
“Qu’est-ce qui nous a pris de faire des enfants ?” Ne sont-ils pas que des petits voleurs de sérénité, qui nous empêchent de vivre paisiblement nos journées ? C’est une question que tous les parents se sont posés, partagés entre la joie inexprimable de prendre leur progéniture dans les bras pour les câlins au réveil, et la joie tout aussi inexprimable, le soir, de voir ladite progéniture sombrer enfin dans le sommeil.
Chère Fabuleuse, tu peux retrouver cette article, ainsi que ces centaines d'autres sur notre blog
-
Selon les standards actuels de la féminité, les effets de la grossesse sur le corps sont une liste de désagréments inacceptables, dont nous devrions effacer les traces au plus vite. Dans Recherche femme parfaite, Anne Berest a écrit : “Nous sommes dans une société qui déteste les mères, qui déteste leur corps fatigués par les grossesses, qui répugne à voir ces ventres qui ont donné la vie. Si vous regardez bien, vous constatez que l’idéal de la femme d’aujourd’hui doit s’éloigner le plus possible de l’évocation de la mère.” Ça vaut pour les femmes enceintes, mais pas seulement. Aujourd’hui, pour être une femme accomplie, il faut entrer dans les standards, en obéissant à mille injonctions contradictoires !
Chère Fabuleuse, tu peux retrouver la version écrite de ce texte sur notre blog
-
Tu as l’impression d’être la seule à avoir autant de mal à gérer le quotidien en famille : « pourquoi les autres y arrivent et pas moi ? » Tu es à la recherche de solutions pour sortir enfin la tête de l’eau et retrouver la sérénité. Tu veux recommencer à vivre, et non subir ta vie ! Tu te sens prête à dire stop à cet épuisement qui te pourrit la vie
Ton problème n’est pas un manque de compétence, mais un manque de confiance ! N’oublie pas : tes enfants n’ont pas besoin d’une mère parfaite. Ils ont besoin de toi, telle que tu es !
Découvre ton remontant, disponible gratuitement ici
-
On se décarcasse à les emmener dans une aire de jeux couverte, aux risques et périls de nos pauvre tympans, on se coltine les toboggans trop serrés pour nos fesses trop larges, et ils sont encore fichus de piquer une crise monumentale parce qu’ils n’ont pas le droit à une deuxième gaufre au Nutella. On leur a concocté un programme du tonnerre, et pas un seul merci : que des râleries. Frustrant ! Mon enfant est ingrat, je fais quoi ?
Pour un remontant chaque matin, inscris toi au mail du matin
-
“Est-ce une grossesse désirée ?” Cette question est extrêmement brutale, et en fait la réponse est difficile à donner, car le désir d’enfant est très complexe, jamais totalement univoque. Le consentement en termes de maternité est bancal, puisqu’on ne sait pas à quoi on s’engage, et que la grossesse garde toujours une part de surprise, d’inattendu. Il ne suffit pas d’avoir eu un moyen de contraception pour que la grossesse soit voulue... La maîtrise de la fécondité n’a pas libéré les femmes comme on l’escomptait. Celles qui deviennent mères se sont vues chargées d’un nouveau fardeau : celui de la responsabilité de donner la vie.
Inscris-toi au mail du matin en cliquant ici
-
Bonjour chère Fabuleuse,
Bienvenue dans le podcast des Fabuleuses au foyer.
Les Fabuleuses au foyer, c'est un média pour prendre soin de toi et te sentir encouragée chaque jour de ta vie de maman. Dans ce podcast, Anna Latron, journaliste et responsable des contenus, te fait la lecture pour que toi non plus tu n'oublie pas que tu es Fabuleuse et que vraiment, ça change tout !