エピソード
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Pour contribuer à l’épanouissement professionnel et personnel de leurs équipes, il est du devoir des managers d’encourager et de développer leur motivation (et donc leur productivité), à l’aide d’une savante combinaison d’outils collectifs et individuels. Depuis les débuts d’OCTO, nous avons régulièrement enrichi une culture d’entreprise et une culture de management fortes et nous avons souhaité partager cette expérience avec vous, vue sous un prisme individuel (le parcours d’un consultant devenu Manager) et collectif (une société qui grandit et s’adapte). Pas de recette miracle donc mais plutôt nos découvertes, nos influences, nos doutes. Lors de cette session, nous présenterons dans un premier temps ces outils qui, selon nous, ont fait la différence, en nous inspirant d’ouvrages ou de travaux référents en la matière : Tribal Leadership, Behind Closed Doors, Manager Tools. Comment développer le sentiment d’appartenance à l’entreprise ? Comment créer une relation de confiance avec ses collaborateurs ? Comment augmenter l’efficacité individuelle et collective ? Puis, et en nous appuyant sur notre propre expérience, sans prétention, nous partagerons avec vous comment ces outils ont été mis en œuvre chez OCTO, au fil des années, pour nous permettre de nous hisser à la première place du concours Great Place To Work ® en 2011 et 2012. Quelles valeurs défendre et enseigner ? Quels rituels pour quelle culture ? Comment concilier plaisir et productivité ?
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Je présenterai plusieurs exemples de problèmes qui ont été résolus par différentes équipes informatiques, qu'il s'agisse de développement et maintenance applicatifs, de sécurité informatique ou encore de gestion de projets d'infrastructure. Toutes les équipes ont utilisé une approche lean pour résoudre divers problèmes opérationnels en suivant l’approche rigoureuse du Plan Do Check Act (PDCA) - un processus itératif de résolution de problèmes conçu par Deming et inspiré de la méthode scientifique : voir et mesurer le problème, observer le problème sur le terrain, émettre des hypothèses de causes en équipe, expérimenter localement, mesurer les résultats / vérifier les hypothèses, tirer des enseignements, changer nos pratiques de travail, et recommencer Nous verrons que la méthode permet d'obtenir des résultats exceptionnels, que votre travail consiste à répondre aux demandes de support des utilisateurs, de livrer des tokens de sécurité, de construire des logiciels utiles, ou de livrer une nouvelle infrastructure dans les temps et à moindre coût. Mais le principal avantage est que les personnes deviennent autonomes dans la résolution de leurs problèmes opérationnels et elles aiment ça.
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L’Ecole Centrale Paris planche actuellement sur des évolutions majeures de sa pédagogie. En effet, des remises en cause sont rendues nécessaires par la rupture générationnelle, et par l’espace d’auto-apprentissage qu’offre le Web aujourd’hui. Dans des délais désormais très courts, les étudiants disposeront de très nombreux « logiciels d’auto-apprentissage » en mode « collaboratif » qu’ils pourront utiliser en temps réel et en tout lieu. Par ailleurs, la masse d’information accessible sera illimitée, de sorte que la capacité à identifier les sources d’informations pertinentes sera décisive. Ils auront non seulement à apprendre mais encore à apprendre à apprendre en utilisant ces outils. Dès lors, le rôle de l’enseignant change ! Il devient le garant de la qualité du processus d’apprentissage et de ses résultats, mais aussi celui qui guide l’étudiant dans la masse d’outils et d’informations en ligne. Contrairement à ce qui souvent avancé, cette évolution fondamentale ne remet pas en cause la nécessité absolue de séquences présentielles fortes, où l’enseignant deviendra un coach qui guidera l’auto-apprentissage de son étudiant.
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Quand on sert un Français sur deux, la diversité n’est pas une option, c’est un impératif pour maintenir la satisfaction de 25 millions de clients, dans leur grande diversité, au plus haut niveau. La mise en place de programmes innovants impliquant directement les collaborateurs permet de lever les freins et dépasser les a priori, tant du côté de l’entreprise que des élèves et des candidats par exemple issus des quartiers populaires ou handicapés : en prenant pour seul critère la compétence, en faisant travaillant ensemble des talents issus de tous les horizons, c’est toute l’entreprise qui se renforce et sa performance qui s’accroît. « La diversité, on a tous à y gagner ! » : cette signature des initiatives de SFR en matière d’égalité des chances et de non discrimination exprime l’ambition et l’engagement de l’entreprise ; mais elle reflète surtout une réalité !
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La diversité n’est pas seulement un débat idéologique ou un enjeu sociétal elle constitue un véritable enjeu stratégique, économique et humain pour l’entreprise. Au-delà de la promotion de la diversité, le sujet est surtout de s’intéresser aux processus de gestion et de management et d’impliquer tous ceux qui ont à manager au quotidien des équipes diverses. Responsables des ressources humaines, managers fonctionnels et opérationnels des entreprises, collectivités, institutions, organismes publics ou encore hôpitaux : tous les employeurs privés ou publics se doivent de faire preuve d’une meilleure gestion des diversités pour être en mesure d’en préserver tous les bénéfices La diversité est abordée sous l’angle économique car les entreprises se posent bien évidemment la question en termes de coûts, de risques, de performance. La diversité est-elle source de richesse d’une façon globale ? Quelles sont les politiques et pratiques qui permettent d’une part de limiter les coûts et les risques induits par la discrimination, et d’autre part de valoriser les atouts de la diversité pour en faire une richesse ? Comment piloter une politique Diversité ?
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La simulation numérique permet de reproduire un phénomène physique complexe et évolutif : l’emboutissage d’une tôle, le crash d’un avion, le déferlement d’une vague ... Les codes de calcul transforment les modèles théoriques et les lois de la physique en systèmes algébriques de très grande taille, aux limites des capacités des super-calculateurs. A travers l’exemple du code de mécanique Code_Aster, cet exposé montrera comment EDF et plus généralement l’industrie nucléaire a recours à la simulation numérique de haute performance : pour mieux comprendre la physique et surtout prévoir le comportement des structures, en particulier dans les cas où l’expérience est difficile, coûteuse voire impossible. Dans ce contexte, la confiance dans la qualité des codes et donc dans leur capacité prédictive est essentielle. On abordera ainsi les aspects de validation et de vérification logicielle. On montrera également comment on a mis les méthodes agiles de développement et de tests au service du transfert rapide et fiable de l’innovation théorique et de la recherche vers les études industrielles. Enfin, dans un contexte de responsabilité sociétale forte, on expliquera les motivations et les enjeux de la politique d’EDF Recherche et Développement de diffusion de ses grands codes de physique en Open-Source, au service du partage de la connaissance.
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Les logiciels embarqués dans les systèmes spatiaux (lanceurs, véhicules de transport, sondes interplanétaires, etc.) remplissent des missions diverses, de plus en plus complexes, et généralement de manière autonome : gestion des moteurs et des étages, navigation, guidage, pilotage, contrôle thermique, gestion de la puissance, des panneaux solaires, etc. Bien que soumis à des ambiances particulièrement contraignantes (chocs, températures, ambiance radiative), ce sont des logiciels temps réel critiques. Leur défaillance ou le plus infime retard dans leur exécution entraîneraient la perte irrévocable du système et pourrait dans certains cas avoir un impact catastrophique sur leur environnement et sur les populations : destruction du pas de tir, atteinte à la sécurité des équipages, retombée de débris sur les populations. Des standards officiels imposent ainsi au développement de tels logiciels des processus stricts de conception, de codage, de vérification et de validation. Des technologies spécifiques sont également mises en œuvre. En sortant de cette session, vous saurez tout sur les outils et méthodes qui permettent de créer des logiciels temps réel critiques.
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La santé est le prochain secteur qui va subir une transformation rapide liée à l'irruption du numérique. Les gouvernements recherchent des modèles de fourniture de soins moins onéreux, les médecins et patients sont plus enclins à accepter les mobiles et applications basées sur des réseaux sociaux, au fur et à mesure que l'information sur la fourniture de soin et les bénéfices devient plus large et plus accessible. Dans les prochaines années, il va y avoir des changements radicaux dans la façon dont les produits et services de santé sont délivrés et gérés, sources de challenges et d'opportunités pour les DSI. Dans cette présentation, Karalee Close, Partner and Managing Director au BCG, nous parlera des tendances à venir, illustrées d'exemples spécifiques issus de pays développés et des économies émergeantes, tels que : Les "Big data" dans la santé, le moteur de nouvelles sources de revenus et de valeur mHealth, les nouveaux modeles de fourniture de soin, et les opportunités pour atteindre des populations mal couvertes. L'Ecosystème, les nouveaux business models facilitant l'échange de données entre organisations, avec de nouvelles sources de valeur Karalee évoquera comment les CIOs peuvent piloter la valeur dans un environnement changeant, ainsi que les opportunités business émergeantes pour les acteurs intéressés par les produits et services dans le secteur de la santé.
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« J'aime ouvrir les portes du cerveau humain » - Philippe Starck Pendant plus de 30 années, le créateur, designer et architecte insolite et polymorphe, en dehors des conventions, a toujours été présent dans notre quotidien, en créant des objets « bons » avant d’être beaux, et des destinations iconiques qui emmènent les membres de sa « tribu culturelle » ailleurs, hors d’eux-mêmes, et surtout, les amènent au meilleur. A travers son concept de « design démocratique », augmenter la qualité des objets pour baisser les prix afin de donner le meilleur au plus grand nombre, Starck est apparu comme un pionnier quand le design était destiné exclusivement à une élite. Les convictions écologiques de Starck étaient une évidence avant qu'elles ne deviennent populaires pour le respect de l’avenir de la planète. Ce citoyen du monde, infatigable et rebelle, considère comme son devoir de partager sa vision éthique et subversive d'un monde plus juste et continue à être en accord et à devancer nos rêves, désirs et besoins en faisant de son travail un acte civique et politique mais toujours avec amour, poésie et humour.
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Les terminaux ne cessent de se diversifier depuis quelques années (écrans multiples, paradigmes d'interfaces différentes, etc.). Les technologies Web évoluent dans cette direction, particulièrement à travers les nouveautés apportées par HTML5 (media queries, géolocalisation, stockage local, etc.). Dans cette session, nous verrons comment tirer le meilleur parti des standards du Web (HTML / CSS / JS / SVG) pour vos développements "multitout".
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Découvrez la vision de Google Entreprise : comment les technologies numériques et le cloud computing contribuent à l’innovation et à la collaboration. Les leviers qui permettent de maximiser la réussite des entreprises ont changé. Il est important de les comprendre et de s’approprier les technologies à la base de ce changement. Nous sommes en train de passer de l’ère de l’information à l’ère sociale et si nous voulons voir notre entreprise prospérer, nous nous devons de mettre à disposition de ces personnes les outils dont ils ont besoin. Par le passé nous avons utilisé des logiciels traditionnels pour travailler principalement dans les murs de l’entreprise, aux horaires de bureau et en utilisant un ordinateur personnel. Ces contraintes se sont envolées grâce au Cloud computing, à l’évolution du mobile et à la nature sociale des technologies actuelles. Les barrières traditionnelles du temps, de la langue et de la localisation se sont également envolées et nous pouvons aujourd’hui travailler dans le futur. Jocelyn partagera des exemples d’entreprises de taille différente ayant adopté le cloud et ayant transformé leur entreprise en permettant à leurs salariés de travailler en équipes globales (au sein et en dehors de l’entreprise), à n’importe quel moment, de n’importe quel endroit et depuis n’importe quel device.
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Fin 2011, une nouvelle banque baptisée "Simple" sortait, en un temps record, une offre en rupture. Cette offre est notamment basée sur un back-end temps réel et une relation client repensée. Comment ont-ils réussi à mettre en place une telle entreprise ? Simplement, en se concentrant sur leur différentiant, à savoir la relation client, et en complétant leur SI avec des briques prêtes à l’emploi, proposées par des acteurs déjà implantés. Et la véritable révolution est là ! La capacité à faire émerger un nouveau business en réutilisant le meilleur de l’existant et en concentrant ses efforts sur sa valeur intrinsèque. Tout ceci n’est pas sans susciter de nombreuses interrogations : Quels changements sur l’architecture, l’organisation et les processus implique une telle révolution (mode SaaS, Business Process Outsourcing) ? Quels modèles de facturation seront-ils les plus à même d’attirer et de cultiver des partenariats dépassant le cadre de l’entreprise ? Quels impacts auront ces partenaires sur l’innovation et les roadmaps Produit ? Quels sont les business models à construire autour de ces opportunités? Nous vous proposons au cours de cette session d’échanger sur ces questions, en nous mettant tour à tour dans la peau des utilisateurs et des entreprises proposant ces services, afin de discuter des enjeux de chacun.
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Michael Chui est “Senior Fellow” pour le McKinsey Global Institue. Il vit à San Francisco, Californie, où il dirige les recherches sur les impacts que peuvent avoir les technologies de l’information sur l’économie et le business ; technologies telles que les Big Datas, le Web 2.0 et l’internet des objets. Il est le co-auteur de “Big data: The next frontier for innovation, competition and productivity.” Il a travaillé pour des clients dans le secteur High Tech, des medias et de l’industrie des télécoms sur la stratégie; l’innovation et le développement produit, dans l’IT, pour les ventes et le marketing. Ses recherches ont été citées à plusieurs reprises dans des publications du Wall Street Journal, du New-York Times, du Financial Times, de la Fast Company, de Forbes, The Economist, The times of London et des Echos.
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Après les solutions logicielles open-source et les méthodes de développement Agile, l'entreprise intègre avec les plateformes collaboratives émergentes (blogs, wikis, forums de discussion, réseaux sociaux, microblogs etc ...) un troisième élément fondateur de la culture internet. Auréolés du formidable succès de projets tels que Wikipedia, ou le logiciel libre, succès auquel ils ont grandement contribué, ces outils incarnent une promesse de valeur considérable dans des domaines essentiels de l'économie de la connaissance : collaboration, productivité, gestion de la connaissance, gestion de l'innovation ou engagement des équipes. Le problème est que dans le double fond de cette boite à outils collaboratifs, nous importons aussi depuis internet une culture des usages et de la collaboration qui modifie notre rapport à l'organisation. C'est la raison pour laquelle cette dernière peut dresser un certain nombre d'obstacles à l'adoption de ces outils. Ces obstacles apparaissent évidemment dans d’autres pays mais pas de manière aussi particulièrement saillante que dans le nôtre qui présente un certain nombre de spécificités historiques et sociales. L'objectif de cette session est de discuter de ces obstacles culturels, des raisons pour lesquelles ils sont particulièrement développés dans l'hexagone, d'essayer d'en comprendre les ressorts et de mesurer les risques qu'ils représentent pour la compétitivité de nos organisations dans l'économie du XXIème siècle.
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Les tablettes ont fait leur apparition dans nos avions depuis deux ans environ. Depuis quelques mois, les voyageurs à bord des appareils des compagnie aériennes Air France, American Airlines, CorsairFly etc. croisent des personnels navigants avec tablettes dans les mains. Les compagnies communiquent toutes sur la dotation de leurs collaborateurs de terminaux mobiles et d'applications mobiles, afin d'améliorer leur travail au quotidien. Dématérialisation de la documentation réglementaire, disponibilité et fraîcheur des procédures, fiabilité et rapidité des remontées des différents rapports liés aux vols sont autant de raisons qui poussent les compagnies aériennes à se doter de tablettes, et ceci ne fait que commencer! Pourtant les usages changent d'une compagnie à l'autre, et les gains ne sont pas les mêmes pour toutes. Cette session vous propose de faire un zoom sur les différentes utilisations des tablettes dans le milieu de l'aérien, et répondra aux questions suivantes : Comment le métier de l'aérien a-t-il évolué ces dernières années, et quelles applications métier peut-on trouver à ces derniers dans ce milieu? Comment conduire ce changement avec d'une part de nouveaux processus métier et d'autre part l'impact de "bring your own device"? Quel gains peut-on en tirer pour les compagnies aériennes et pour le particulier in fine? Quelles interactions et quels impacts sur le système d'information des compagnies aériennes. Comment développer et distribuer des applications métier, à une population nomade? Quelles différences avec des applications dans d'autres métiers?
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Savez-vous ce qui draine 75% du trafic web de Twitter et 60% de celui de Salesforce? Comme pour tous les grands du web, ce n’est dorénavant plus le site web de ces sociétés qui attire le plus de trafic, mais bien l’utilisation de leur API ! Ainsi, « Ne pas avoir d’API web en 2010, c’est comme ne pas avoir de site web en 2001 » nous disait Oren Michels lors de la conférence O'Reilly Web 2.0 de l’an passé. Parce que nous partageons cette analyse, que nous avons vu croître le business des APIs depuis ces 5 dernières années, et vu la déferlante des APIs arriver sur nos côtes depuis l’autre rivage de l’Atlantique, cette session abordera les étapes incontournables de le mise en place d'une API web pour un S.I. : standards à respecter, technologies, outils, plateformes de gestion d’API, développement d'une communauté développeurs, les pièges à éviter et les risques associés, … mais surtout les bénéfices à en retirer ! Les API permettent en effet de trouver de nouveaux leviers de croissance, au travers du développement d'écosystèmes applicatifs, et permettent entre autre d'accélérer l'innovation en l'externalisant pour partie.
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Le supercalculateur Watson d’IBM a captivé l’attention de plus de 34 millions de téléspectateurs en battant au « Jeorpardy » les meilleurs joueurs de tous les temps. Pour y parvenir, il a assimilé la complexité du langage humain, a compulsé 200 millions de pages en moins de 3 secondes et a donné de manière assurée toute les réponses. Ce faisant, il apprenait et devenait plus intelligent à chaque réponse donnée. Mais tout aussi impressionnant que cet exploit puisse paraitre, ce n’est que le début. IBM travaille avec de grandes entreprises de tous les secteurs pour développer Watson. Ses possibilités sont infinies. Stephen Gold, Directeur Marketing pour les solutions Watson chez IBM, vous montrera comment ce calculateur peut transformer en profondeur la manière dont les individus et les entreprises prennent leurs décisions, et comment les systèmes de prochaine génération seront conçus.
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La valorisation des données est un sujet à la mode : les giga-, tera- et parfois peta-octets de données accumulées par les entreprises sont d'énormes gisements de compétitivité. L'exploitation de ces gisements (le "data-mining") est rendue possible par l'augmentation des puissances de calcul et de stockage, ainsi que par l'émergence de nouvelles méthodes issues de la théorie de l'apprentissage automatique (le "machine-learning"). Google, avec PageRank, et Amazon, avec son moteur de recommandation, ont démontré la puissance économique de cette approche. Cette session présentera quelques-uns des outils de base de machine learning : Comment catégoriser des données (algorithmes de segmentation) ? Comment prédire (estimer la probabilité d'un événement) ? Comment recommander des produits (algorithmes de filtre collaboratif : "si vous avez aimé ceci, vous aimerez cela") ? Elle abordera les enjeux méthodologiques et organisationnels de l'apprentissage automatique.
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Je n‘ai pas le temps ! Le temps est souvent représenté par une ligne verticale ou horizontale qui se dessine au fil des secondes. Notre seul pouvoir est d’épaissir cette ligne dans une culture polychrone et bienveillante, si possible. L’Homme actif contemporain est débordé, noyé. Si les technologies nous apportent sans cesse plus de productivité pour livrer des résultats plus tôt. Le temps gagné n’est pas perçu à la fin d’une journée, car il est investi dans la qualité des interactions entre les individus pour trouver une inspiration, qui prime sur les résultats concrets. Si la nature des flux n’est plus la même qu’il y a vingt siècles, la situation d’ensemble n’a pas beaucoup changé. Je ne les connais pas ! Ainsi, des centaines « d’amis » dans les réseaux sociaux peuvent être réduits à quelques dizaines d’ambassadeurs, rencontrés ou pas, qui partagent la même opinion (homodoxie), voire le même projet. Une fois connectés avec ces ambassadeurs, nous avons la possibilité de filtrer les millions d’informations de nos thèmes préférés pour les partager. Comme nos opinions diffusées sur les médias peuvent aussi être promues par les mêmes ambassadeurs pour accroitre notre propre audience. Je n’ai pas besoin d’audience ! Cette volonté de partager informations et actions pour se connecter avec des inconnus nourrit l’envie de se connaître pour identifier son destin. C’est pourquoi, il motive des centaines de millions de personnes qui ouvrent un compte sur une plateforme sociale dans l’espoir inconscient de se connecter et de s’engager dans de nouveaux projets qui donnent du sens à leur vie. Je suis égotique ! En partageant nos connaissances, au delà de notre petite communauté de vrais amis, avec des collaborateurs de même culture, nous sommes inspirés régulièrement par des idées exogènes et des opportunités de développement personnel.
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Cette session présente un retour d'expérience de la création d'un site grand public pour le recrutement de profils IT. Le « Lean Startup » est devenu depuis deux ans un sujet incontournable pour les entrepreneurs qui souhaitent créer des produits en environnement contraint. Cette méthodologie, orientée startup, fait-elle sens au sein de la DSI, ou est-elle uniquement applicable dans un contexte startup ? Cette session démontrera qu’elle fait sens. Elle présentera comment, au sein d'une DSI d'un groupe leader du marché des petites annonces, OCTO a mis en place une stratégie produit performante permettant : La prise de décisions business, marketing et produit en se reposant uniquement sur des données du terrain (quantitatives et qualitatives) La mise en place et la validation d'un business model La construction d'un produit en parallèle de la découverte de son client
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