Episoder
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Si on se souvient de ses chapeaux extravagants, on se souvient peut-être moins des messages engagés de Jamiroquai. Pourtant, le groupe britannique revient souvent quand on cherche des chansons « green ». Sur son album « Emergency on the planet Earth » sorti en 1993, Jay Kay s'en prend au capitalisme effréné et nous demande quand l'homme va tirer les leçons de ce qui se passe sur Terre. L'entendez-vous, l'appel du didjeridoo ?
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De tout temps, des artistes se sont érigés comme justiciers, mettant en lumière des oppressions, des rivalités, des conflits qui se jouaient aux 4 coins du monde. John Lennon en faisait partie. A l'aide de plusieurs hymnes pacifistes et utopiques, l'ex-Beatles nous nous invite non seulement à « donner une chance à la paix » mais il appelle aussi à imaginer un monde « sans frontières (...) sans raisons de tuer ou de mourir pour une cause ».
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Quand on parle de changement climatique, on évoque – à juste titre – les émissions de gaz à effet de serre et l'empreinte carbone. Mais à côté de la lutte contre ces GES, une autre urgence s’impose. Totalement connectée à la première et tout aussi essentielle : la sauvegarde de la biodiversité. Après avoir abordé l’importance la vie aquatique dans le numéro précédent, nous nous intéressons cette fois à la préservation de la vie terrestre. Alors, comme le dit Yannick Noah : « Aux arbres citoyens ! » (Pssst : une coquille s'est glissée dans ce podcast, la vilaine :-) Après la Seconde Guerre Mondiale, nous étions bien 2,5 milliards et pas 2,5 millions)
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De cette chanson, c'est surtout le clip qu'on retiendra pour illustrer la préservation des mers et des océans. On y voit un champion d'apnée suspendu dans l'eau, époustouflé par la beauté du grand bleu. Soudain surgit... une baleine. Mais à y regarder de plus près, le cétacé n'est qu'un amas de plastique
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Avec le morceau "Foule sentimentale", Alain Souchon, souhaite éveiller les consciences autour de la surconsommation. Ce titre deviendra la chanson de l'année 1994 aux victoires de la musique. Alain Souchon, nous parle dans ce morceau des désirs qui deviennent des besoins souvent non-nécessaires. Aujourd'hui, la (sur)consommation est devenue l'un des grands facteurs de la pollution . Alors si on repensait notre consommation pour être plus durable ?
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Le morceau "la Fête" est un hymne à l'écologie. Michel Fugain nous parle de sa vision idéal de la ville dans laquelle il veut vivre, une zone végétalisée où il fait bon vivre. Des éléments clés qui apparaissent nécessaires aujourd'hui, quand on sait que les zones urbaines sont les endroits les plus peuplés dans le monde. Le développement des villes durables est un élément essentiel dans les objectifs de l'ONU.
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Dans son morceau "Talkin' bout a revolution", Tracy Chapman dénonce toutes les formes d'inégalités présentes dans la société, qu'elles soient liées au sexe, à l'origine ou aux classes sociales. Sa chanson devient rapidement un hymne révolutionnaire, qui pousse les plus démunis et les minorités à se faire entendre afin que l'on respecte leurs droits.
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L'innovation peut être un atout pour notre société, mais aussi un cadeau empoisonné. Le groupe de rock américain Pearl Jam est conscient de cet impact. Dans leurs chansons, ils dénoncent les conséquences de cette course aux nouveautés et invitent leurs auditeurs à changer de mentalité. En plus, d'avoir un discours militant, ils mènent de nombreuses actions écologiques afin de compenser leur empreinte environnementale liée à leurs tournées.
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C'est l'une des seules fois où on a entendu la voix de Charlie Chaplin, sur la chanson "Nonsense Song" dans son film les Temps Modernes. Ce film cherche à mettre en lumière les sociétés occidentales qui ne respectent pas les travailleurs en raison d'une course effrénée à la productivité. Cette satyre veut montrer que le monde ne peut pas seulement reposer sur la croissance économique.
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Quand « Mercy Mercy Me » sort en 1971, personne ne parle encore de développement durable. Mais Marvin Gaye se préoccupe déjà de l’impact de l’homme sur la planète et s’interroge sur sa manière d’en prendre soin. Cette chanson visionnaire est l’une des premières à dénoncer les conséquences de l’activité humaine sur l’environnement. A base de toute activité, il y a l’énergie. A savoir comment et pourquoi nous décidons de l’exploiter.
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C’est l’une des chansons phares de Neneh Cherry. Artiste engagée, elle écrit « Woman » en réponse au titre de James Brown paru 30 ans plus tôt : « It’s a Man’s man’s world ». Quand il parle des hommes, elle, parle des femmes. Des femmes résiliantes qui usent de leur force pour rétablir l’égalité des sexes et porter leurs droits haut et fort.
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Plus qu’une chance, le fait d’être scolarisé est un droit. Un droit dont chaque enfant ne jouit pas forcément : car les méthodes ne conviennent pas, car son environnement social, économique, géopolitique le freine ou parce qu’il n’y voit pas d’intérêt. Heureusement, de nombreux acteurs se mobilisent pour permettre l’accès à une éducation équitable, gratuite et qualitative. Parmi eux : des chanteurs bien connus des jeunes...
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Souvenez-vous, les années 80’ furent marquées par la famine en Ethiopie. Face à ce drame, plusieurs collectifs se mobilisent pour rassembler des fonds. Parmi eux : le très célèbre « USA For Africa ». Michael Jackson, Ray Charles, Diana Ross, Bob Dylan… les plus grands noms de la musique se retrouvent autour d’un même micro et entonnent « We are the world ». Encore aujourd’hui, cet hymne est considéré comme un symbole de la solidarité. Près de 40 ans après sa création, la lutte contre la malnutrition et la faim dans le monde reste une réalité. L’ONU en a fait son 2ème Objectif de Développement Durable.
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Dans son tube de 1989 « Another day in paradise », Phil Collins relate toute l’indifférence ordinaire à l’égard des personnes qui vivent dans la précarité. Qu’elle soit visible ou beaucoup plus discrète, la pauvreté se présente sous bien des formes aux 4 coins du monde. Dans cet épisode, nous verrons comment lutter contre les inégalités et pourquoi elles sont intimement liées à d’autres objectifs de développement durable.