Episoder
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On sort, on robinsonne partout, on bat le pavé avec un artiste. Là où il choisit d’aller, nous irons. Aurélie Sfez déambule en bonne compagnie, dans les rues et le labyrinthe intime de ses invités. Une balade radiophonique, toujours en marche, avec un artiste qui guide les pas des auditeurs de Nova sur les lieux qu’il chérit et les territoires qui l’inspirent.
En hommage à Jean-Louis Murat, chanteur, mélomane, poète-artisan, disparu il y a quelque jours, nous vous proposons de réécouter cette rencontre enregistrée en 2018 par Aurélie Sfez. On part à la dérive en Auvergne, entre La Bourboule et les volcans, l’église, le petit théâtre et l’ancien cinéma.
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Nous avons appris le décès du mythique chanteur de Poni Hoax Nicolas Ker. Nous rediffusons cette dérive proposée par Aurélie Sfez, aux côtés d'Arielle Dombasle.
On raconte que la Goutte d'Or a la couleur du vin des vignes d'autrefois qui grimpaient à La Chapelle. C'est la rue des poissonniers, le marché Dejean, le maïs qui fume boulevard Barbès et Gervaise qui lambine dans ces faubourgs populaires, si bien décrits par Emile Zola dans L'Assommoir. Arielle Dombasle, impériale, en vadrouille avec les lascars du quartier, chante du Debussy sur les pavés défoncés.
Un jour, Arielle Dombasle a demandé à Nicolas Ker, le chanteur de Poni Hoax : “Écrivez-moi un album Nicolas.” Alors, il lui a composé La Rivière Atlantique, douze poèmes gothiques, rock et lumineux. Il l'a emmenée dans son terrier et depuis que la belle a découvert le repaire de la bête, elle est ici chez elle.
Arielle Dombasle et Nicolas Ker m'ont donné rendez-vous à la brasserie Les 3 frères, tenue par Larbi et ses deux frangins. Après un thé et quelques bières, nous sommes allés chez le chanteur. Il y avait un chat, une guitare, des livres poussiéreux, une odeur de tabac froid, une ambiance de chambre d’adolescent obscure et ornée de miroirs raffinés.
À la dérive avec Arielle Dombasle et Nicolas Ker à la Goutte d'Or, on les suit, on les perd, c'est diablement baroque et doucement barré…
L'album d'Arielle Dombasle et Nicolas Ker s'appelle La Rivière Atlantique (Pan European Recording)
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On part à la dérive avec le réalisateur Bertrand Mandico
Il m’a donné rendez-vous chez lui dans le 18eme à Paris. Il vit avec sa compagne et actrice fétiche, Elina Löwensohn. Ici les objets ont une âme : deux têtes de poupées rescapées d’un film, des os de baleine, des masques sacrés, un piano bastringue, une chouette à collier, des doudous massacrés, ses disques préférés. Ensuite on a déambulé direction Les puces de Saint Ouen vers la librairie de l’Avenue qui compte 150000 livres et 1km d’étagère.
Pour cette dérive surréaliste, Bertrand Mandico a convoqué ses deux amis, l’écrivain cinéphile et vidéaste Pacome Thiellement et la chanteuse Barbara Carlotti. Ensemble, on s’est perdu dans les livres, on a dansé sur du jazz manouche et sur un pied, chanté sur un piano en or. A la dérive avec 3 dandy déconfinés et bien coiffés, ça commence rue Championnet.
Il y avait un air de liberté, une joie d’être ensemble. Pour Barbara Carlotti, on a même trouvé un piano en or, un instrument précieux pour qu’elle chante « Les paradis perdus » de Christophe. On a finit chez le compositeur Pierre Desprat dans le 11ème, il était en pleine recherche musicale pour la BO du nouveau film de Bertrand Mandico.
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Ce dimanche on repart enfin à la dérive dans un Paris pas vraiment pareil, déconfiné et assez déroutant avec le duo NOVA MATERIA. C’est Radio Nova Materia, une aventure urbaine qui démarre au métro Château d’Eau, continue sa route chez Weber Métaux au milieu des tubes de métal, des plaques de taules, de minerais étranges, on découpe des tuyaux et on fabrique des percussions dans la pure tradition de la musique industrielle. Ensuite on est monté sur la Butte Montmartre pour se prosterner devant le rocher de la sorcière, caché dans une impasse verdoyante et romantique. Au studio Nova Materia a joué avec des pierres, des totems, des os, des synthés... C’est une dérive sous le signe de la magie, c’est une expérience percussive, un rituel post-covid.
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Christophe, le plus souvent, vivait la nuit. Et déambulait, dans son monde ou dans le nôtre.
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Christophe, le plus souvent, vivait la nuit. Et déambulait, dans son monde ou dans le nôtre.
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Porté par l'audacieux label Sub Rosa, Oiseaux-Tempête annonce un orage lumineux et poétique. Les deux oiseaux s'appellent Frédéric D. Oberland et Stéphane Pigneul. Ils m'ont donné rendez-vous rue…
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A la dérive avec Nicolas Godin on a continué à explorer la fourmilière, les studios Ferber, dans la campagne du 20eme arrondissement à Paris JC le maitre des clés, a ouvert toutes les cabines…
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A la dérive avec Nicolas Godin, on prend la mesure des notes, des volumes, des espaces. Il battit des mélodies et des paysages comme un architecte, et en même temps, il transforme la matière en brume…
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On part à la dérive avec le musicien Arandel et Jean-Sebastien Bach Arandel ça veut dire hirondelle en patois. En vrai, drôle d’oiseau s’appelle Sylvain. Arandel a longtemps été un concept caché,…
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Tout commence avec une expérience de réalité virtuelle, PEREZ plonge dans l'oeuvre de l'artiste Dominique Gonzalez-Foerster, qui permet de voyager vers l’intérieur, pour accéder à d’autres états de…
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Au départ de la gare de Juvisy, on a roulé en van avec Fabrice et Fred, jusqu’à chez Baldo à Massy. Baldo peint les pochettes du groupe. Dans son atelier fantaisiste, on se croirait dans un film de…
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C’était un jour de grève alors le périmètre s’est réduit pour soulager nos gambettes. Souad m’a donné rendez-vous à la brasserie « Le Brebant » boulevard poissonnière. Un magnifique café belle époque…
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Il m’a donné rendez-vous au Dôme, Boulevard du Montparnasse, café des poètes des années 20 et 30. Avec Souchon et ses deux fils, on taille la zone rue Campagne Première. On mène des enquêtes, on se…
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À la Dérive et à la volette avec Rouge Gorge, on déambule dans Rennes. C’était le week-end des Transmusicales mais nous on s’est exfiltré. Loin de la cohue et du chaos des concerts on a marché au…
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On part à la dérive avec la jeune percussionniste et compositrice Lucie Antunes. Ça commence dans une caverne à Aubervilliers. Comme une petite souris Lucie travaille dans les sous-sols depuis son…
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On part à la dérive avec le musicien, producteur, arrangeur, SebastiAn. Tout commence entre chien et loup, ici dans son studio par un atelier « Chapi Chapo » et avec trois fois rien, on fabrique un…
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C’est une « Rivedé », une dérive à l’envers, qui commence la veille pour finir le lendemain. On se retrouve la nuit et on se quitte le jour. Il m’a donné rendez-vous dans l’église Saint-Merry en…
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On part à la dérive avec la sculpteure ou sculptrice, ça dépend des jours, Prune Nourry.Prune habite à New York, ville de dérive, ville monumentale dans laquelle elle créait des sculptures…
- Se mer