Episoder
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Pour le dernier épisode de cette saison, on va parler d'arnaques financières. Et oui !
On a toutes et tous entendu parler de l’affaire Madoff ou encore de l’affaire de la taxe carbone retracée par la récente série d’Argent et de Sang sur Canal +.
Comment les arnaqueurs se glissent-ils dans toutes les failles ? Même l’écologie et l’investissement responsable sont concernés. Parce que oui, les arnaqueurs surfent sur l’actualité et les thématiques en vogue.
Pour en parler, Léa Lejeune reçoit Christian Chavagneux, journaliste et auteur du livre Les plus belles histoires de l’escroquerie (2020).
Et comme d’habitude, en fin d’émission, la chronique Point de Bascule de Philippe Zaouati, cofondateur du fonds responsable Mirova, qui porte sur la création du HLEG en 2017, un groupe d’experts de haut niveau sur la finance durable.
Une émission soutenue par Mirova.
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Les labels sont synonymes de qualité ou de cahier des charges strict et respecté. Dans cet avant-dernier épisode de billet vert c’est bien de label green appliqués à la finance dont Léa Lejeune va nous parler ! “ISR”, “Greenfin”, “Finansol”… Promis, vous allez tout comprendre sur eux, connaître les plus exigeants et les plus bullshits, pour vous repérer dans la jungle de la finance.
Pour en parler, elle reçoit Olivia Blanchard, cofondatrice de l’organisation Acteurs de la finance responsable (AFR) et experte “compliance” (en gros de la conformité des entreprises aux règles légales ou normes éthiques).
En fin d’émission, vous avez rendez-vous avec Philippe Zaouati, directeur général de Mirova pour sa chronique Point de Bascule, qui analyse, cette fois, les propos choquants et anachroniques du responsable mondial de la finance durable chez HSBC, Stuart Kirk en 2022.
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Pour ce nouvel épisode de Billet vert, Léa Lejeune nous embarque au cœur des forêts. Et oui car visiblement la finance et les arbres peuvent faire bon ménage !
Pour en parler, elle reçoit Erwan Le Mené, un breton, au parcours atypique : un début de carrière dans la finance et plus précisément dans la fusion acquisition pour ensuite co-fonder la start-up à impact EcoTree qui permet d’acheter des arbres et de participer au reboisement de nos forêts.
Et comme toujours en fin d’émission, vous retrouverez la chronique Point de Bascule, qui revient sur un événement majeur de la finance avec Philippe Zaouati, directeur général de Mirova, sur une perquisition historique au sein de la Deustche Bank.
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Pour ce nouvel épisode de Billet vert, Léa Lejeune nous pose une question de taille et qui paraît totalement folle : comment un idéaliste monte une assurance-vie écolo ?
Oui on se pose toutes et tous la question.
Et bien à l’aide de son invité, Joseph Choueifaty, 25 ans, cofondateur de Goodvest, une assurance-vie dite “écolo”, ils vont tenter d’y répondre.
Et comme toujours en fin d’émission, retrouvez la chronique Point de Bascule de Philippe Zaouati, directeur général de Mirova qui revient sur un événement majeur de la finance. Et cette fois-ci il sera question d’un discours coup de poing de Mia Mottley à l’Assemblée Générale des Nations Unies.
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En direct du Palais Brongniart et en public, accueillis par Finance Innovation, Léa Lejeune vous a donné rendez-vous pour ce nouvel épisode de Billet vert. Au menu, on va se demander si on a le droit de rêver, oui rêver, d’une blockchain “for good”. Parce qu’on entend parler de cette technologie révolutionnaire depuis des années, on nous promet de nouveaux usages ouverts au grand public…Mais on attend que ça vienne, on remarque même des reculs récents…bref on ne sait plus s’il faut encore y croire. Et surtout, est-ce que tout le monde a bien compris les enjeux sociaux et environnementaux?
Pour devenir incollable sur la “blockchain for good”, Léa Lejeune reçoit deux invités: Grégory Raymond, journaliste et cofondateur du média spécialisé sur les cryptos The Big Whale, la référence sérieuse et indépendante, Thomas Boidot, directeur R&D du cabinet de conseil Lamarck, en charge de la filiale Blockchain. On y entend aussi le témoignage d’une artiste numérique française Albertine Meunier qui a gagné l’équivalent de 25 000€ en vendant ses œuvres numériques l’an dernier sur les blockchains Tezos et Ethereum.
En fin d’émission, comme toujours, la chronique Point de bascule qui revient sur un fait historique marquant du monde de la finance. Philippe Zaouati, directeur général de Mirova revient, pour cette occasion, sur le drame du Rana Plaza.
Une émission soutenue par Mirova.
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Billet Vert quitte, ici, ces studios parisiens direction Marseille pour une émission en direct et en public au So good Festival, à la Belle Friche de Mai. À cette occasion, Léa Lejeune reçoit Olivier Mathiot, cofondateur du fonds à impact 2050 et Julie Davico-Pahin, cofondatrice de Ombrea et directrice de la French Tech Aix-Marseille.
Pour ce troisième épisode, il est donc question de French Tech: label, créé sous la présidence de François Hollande afin de mettre en valeur les start-ups made in France (cocorico), notamment à l’international. Est-il aussi plus écolo et plus respectueux de l’environnement? Au micro de So good Radio, les invités vont tenter de répondre à cette épineuse question.
Et comme toujours en fin d’émission la chronique Point de Bascule de Philippe Zaouati directeur général de Mirova qui revient sur un discours de Joe Biden concernant la finance durable.
Une émission soutenue par Mirova.
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Pour ce deuxième épisode de Billet vert, Léa Lejeune s’attaque à un sujet majeur: les banques écolos, ça existe vraiment? Peut-on faire rimer système bancaire avec durabilité et protection de l’environnement? Et par conséquent, peut-on, en tant que citoyen, placer notre petit pécule de manière responsable?
Pour en parler, So good Radio reçoit Maud Caillaux, cofondatrice d’une bonne grosse start-up à impact qui monte: la néo-banque Green-Got.
En fin d’émission, comme toujours, la chronique Point de bascule de Philippe Zaouati, directeur général de Mirova qui revient sur les agences de notation financière et sociales, et leurs limites.
Une émission soutenue par Mirova.
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Billet vert saison 2 c’est parti! Qui dit nouvelle saison, dit nouvelle formule avec aux manettes la journaliste Léa Lejeune, co-fondatrice du média Plan Cash. Et cette saison met les deux pieds dans le plat dès le début: la finance durable, verte et écolo mirage ou réalité? N’est-ce pas un leurre ou un contre-sens?
Pour en parler sans jargon ni langue de bois, elle reçoit Léo Garnier, directeur général et co-fondateur de Rift qui est un peu le Yuka de la finance, une application grand public qui permet de passer en revue ses comptes en banque et investissements pour savoir si notre argent pollue.
En fin d’émission, comme toujours, la chronique Point de bascule qui revient sur un fait historique marquant du monde de la finance par Philippe Zaouati, directeur général de Mirova.
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"Aujourd’hui, on n’y est pas". Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le président de la République en personne, Emmanuel Macron, qui l’a reconnu le samedi 28 janvier, dans une vidéo publiée au sortir du tout premier Conseil de la planification écologique. En matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre, vous le savez, on le répète depuis le début de ce podcast, le compte n’y est toujours pas pour atteindre les grands objectifs que la France s’est fixée. Au fond, les calculs sont assez simples: selon le chef de l’Etat, il faut carrément "doubler le taux d’effort par rapport à ce qu’on a fait ces cinq dernières années" pour atteindre les cibles fixées à l’échéance 2030.
Si l’objectif a le mérite d’être clairement fixé, il reste cette sempiternelle et épineuse question: comment? Une question qui en amène automatiquement tout un tas d’autres: avec quels moyens, pour quelles priorités, selon quelles méthodes? Quels nouveaux acteurs et quels nouveaux types de financements pourrait-on envisager de mobiliser pour faire face à l’ampleur du défi? Ces questions, s’il en est bien un qui les affronte, c’est David Djaïz, lui qui se trouve actuellement au cœur du réacteur des politiques publiques, en tant que rapporteur général du Conseil National de la Refondation lancé l’an passé par Emmanuel Macron.
Il ne pouvait donc y avoir meilleur témoin que David Djaïz pour clôturer cette première saison de Billet vert!
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"L’industrie crypto, pilier de la finance à impact". C’est le titre, très sérieux et sans point d’interrogation, d’une table-ronde qui s’est tenue l’été dernier (18 juillet 2022), à Paris, lors de la deuxième édition du Crypto & Finance Forum. A première vue, l’intitulé pourrait prêter à sourire, lorsqu’on songe au coût énergétique et à l’impact environnemental, bien souvent exubérants, des crypto-monnaies et de la technologie blockchain qui y est associée. C’est pourtant bien la petite musique qui monte du côté des fintechs et de tous ces nouveaux acteurs, à l’heure où le changement climatique bouleverse toujours plus les perspectives et les habitudes du secteur financier. Alors, crypto peut-il vraiment rimer avec écolo? La blockchain est-elle porteuse d’usages innovants et donc de solutions intéressantes pour la finance durable?
C’est un sujet que notre invitée du jour interroge sans détour au Parlement européen, où elle siège. La députée européenne Aurore Lalucq n’y ménage pas ses efforts pour traquer les faux-semblants du greenwashing, et de façon plus générale, pour alerter sur l’ampleur de la crise financière qui guette si l’on ne prend pas réellement la mesure de la crise écologique qui est, elle, déjà bien là. Un "risque systémique" dit-elle, qui devrait "entraîner une évolution radicale des pratiques" que l’on est malheureusement bien en peine de voir concrètement à l’oeuvre, pour l’instant… Alors, que faire? quelles mesures défendre pour obliger le secteur bancaire à prendre la mesure de ce risque?
C’est de tout cela dont on va discuter aujourd’hui avec Aurore Lalucq, que je remercie chaudement d’avoir accepté mon invitation!
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"Lorsque l’homme aura pollué la dernière rivière et pêché le dernier poisson, alors seulement il se rendra compte que l’argent n’est pas comestible". Le proverbe a beau être quelque peu éculé, il n’empêche, difficile parfois de ne pas y songer avec une pointe d’angoisse, à mesure que les années passent et que la situation semble s’aggraver. Selon la toute dernière étude menée par le CNRS et Météo-France, les températures moyennes pourraient augmenter de 4° en France d’ici 2100 si les émissions de gaz à effet de serre se maintiennent au même niveau actuel... Alors bien sûr, à 4°C, l’argent ne s’en trouvera certainement pas plus comestible, mais la question se fait d'autant plus brûlante: quel peut être le rôle de la finance, de la monnaie, du système bancaire à l’heure de l’anthropocène? La finance durable a-t-elle encore un sens au moment où tout semble s’effondrer? Quelles solutions et quel message doit-elle porter pour nous aider à défendre "l’habitabilité" de notre planète?
Mon invité du jour se montrera certainement critique, à bien des égards, mais sa parole de philosophe nous sera ô combien précieuse, lui qui s’intéresse depuis de nombreuses années à l’organisation des sociétés humaines et à l’impact que celles-ci font peser, de différentes façons, sur les environnements. C’est donc à une vraie prise de hauteur que je vous invite aujourd’hui, en
recevant Dominique Bourg, que je suis ravi d’accueillir!
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À elle aussi, d’une certaine façon, "[son] ennemi, c’est la finance". Peut-être pas TOUTE la finance, et certainement pas – ou pas encore, du moins? – pour devenir présidente de la République comme François Hollande, mais bien plutôt pour lutter contre le changement climatique, celui-là même qui souffre de tous ces investissements dans les énergies fossiles auxquels continuent de consentir les banques, les assureurs et tant de gestionnaires d’actifs en tout genre. Ce sont eux que Lucie Pinson traque sans relâche, telle une vigie, en épluchant minutieusement leurs lignes de compte, qui dévoilent souvent une toute autre réalité derrière les grandes déclarations d’intention…
Pour autant, on ne saurait vraiment lui reprocher d’ostraciser ces institutions financières, et pour cause: pour mener à bien ce travail de plaidoyer, Lucie Pinson fait aussi le pari du dialogue, en prenant soin de maintenir le contact avec tous ceux qui le veulent, sur la place de Paris.
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Bilan de l'été 2022: canicules, sécheresses et feux de forêt qui sont de plus en plus destructeurs dans un monde où les températures s’emballent. Mais il est une autre conséquence qui est amenée à bouleverser durablement nos vies, et dont l’hiver inflationniste qui s’annonce devrait également faire la malheureuse démonstration: pas de prix stables avec un thermomètre aussi instable! Avec le changement climatique, c’est toute notre stabilité financière qui se retrouve ainsi menacée. Peut-être un temps déconsidérée, ou sous-estimée, cette idée est désormais en train de s’imposer avec la force d’une évidence auprès de la plupart des grandes institutions financières: les risques liés au climat sont également une important source de risque financier!
Dès lors, que faire face à ça? Quels grands changements opérer dans nos politiques monétaires, et quels rôles et marges de manœuvre pour les Banques centrales pour cela? Comment garantir l’efficacité du grand projet de verdissement de la finance que promettent désormais d’une même voix les principales institutions financières?
C’est ce que l’on va tenter de voir avec notre invitée du jour, Sylvie Goulard, Sous-Gouverneure de la Banque de France, qui est probablement l’une des mieux placée pour en discuter, elle qui plaide activement pour rediriger "massivement la finance vers les investissements verts"!
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Faire de l’économie notre alliée face aux grands défis et de la finance un moteur de la transition écologique, et non plus un frein. Oui, mais comment faire, au juste, quand tout semble aux mains d’intérêts contraires?
En 2020, Eva Sadoun était de celle qui s’était par exemple insurgée contre la nomination de Blackrock comme conseiller de la Commission européenne sur l’intégration des critères environnementaux au sein de la réglementation bancaire communautaire (Blackrock étant l’un des principaux gestionnaires d’actifs fossiles au monde). Autrement dit, une sorte de loup dans la bergerie de la finance durable!
Où en sommes-nous, deux ans plus tard? Peut-on infléchir de l’intérieur le cours des grandes décisions économiques et financières? Et comment alors disrupter les institutions financières en leur sein? C’est ce qu’on va demander à Eva Sadoun dans ce nouvel épisode de Billet vert, le podcast sur les grands enjeux de la finance durable.
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Elles ont, bien malgré elles, rythmé l’actualité de notre été 2022 : en brûlant indistinctement aux quatre coins de la France, et d’Europe, les forêts nous ont rappelé qu’elles étaient aux avant-postes du changement climatique, parmi ses principales victimes. Conséquence, les émissions de CO2 liées à ces incendies ont, elles aussi, explosé et atteint leur record.
C’est tout le vice de l’engrenage dans lequel nous sommes désormais plongés : en brûlant, les forêts subissent les conséquences d’un changement climatique qu’elles contribuent alors à aggraver en dégageant toutes ces quantités de CO2 dans l’atmosphère. Or, cette même fonction de stockage du carbone est précisément la raison pour laquelle les forêts peuvent, et doivent, être également considérées comme une solution dans la lutte contre le changement climatique.
Le monde de la finance durable l’a bien compris, et c’est l’un des enjeux majeurs du marché des crédits carbone volontaires, qui permettent aux entreprises d’investir dans des projets menés par des ONG pour réduire leur empreinte carbone. Comment fonctionnent ces outils et à quoi servent-ils, précisément ? Se révèlent- ils véritablement efficaces, et comment lutter contre le risque de "greenwashing" dont ils sont parfois accusés ?
C’est ce que l’on va s’attacher à questionner et discuter avec Alain Karsenty, économiste et spécialiste des forêts, chercheur au CIRAD dans ce deuxième épisode de Billet vert, le podcast sur les grands enjeux de la finance durable.
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1 milliard d’euros pour les intempéries de ce début du mois de juin. 1 autre milliard débloqué en urgence dans le cadre d’un plan de soutien aux agriculteurs touchés par le gel intense du printemps 2021. Ou encore, 500 millions d’euros alloués il y a quelques jours à un fonds de renaturation des villes, face aux effets de la canicule...
La facture du changement climatique ne cesse d’augmenter. Rendant toujours plus urgente la transition vers une économie bas-carbone, qui fait de la réduction des émissions de CO2 la matricede tous ses objectifs. Mais encore faut-il savoir comment la financer. Selon le Medef lui-même, les besoins en investissement représenteraient 60 à 80 milliards d’euros pour atteindre le « zero carbone » d’ici 2050.
Qui peut aujourd’hui prendre en charge de tels investissements, grâce à quels outils, et fléchés dans quels secteurs en priorité ? Les sources de financement « classiques » peuvent-elles et doivent-elles assumer seules la facture ? Autrement, quels nouveaux acteurs et quels nouveaux types de financements pourraient alors être mobilisés pour faire face à l’ampleur du défi ? C’est ce que l’on va s’attacher à questionner et discuter dans ce tout premier numéro de « Billet vert », le podcast sur les grands enjeux de la finance durable avec Benoit Leguet, directeur général de l’I4CE.
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