Episoder
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Episode in English. Hanna Tams from Palestine : All about Dabke, dancing and teaching under oppression. Today we meet Hanna Tams, Zein Saadeh, and Angela Nassar. They are all dancers and teachers from Palestine.
We talked about : - The origin of Dabke, and why Dabkeh is so important for the identity preservation of Palestinian people. - How to teach, and to deal with kids that live in a context of violence and oppression ? - Hanna’s dance studio as a « place of freedom », close to the separation wall- Leaving or staying, a big dilemma for any Palestinian dancer.https://www.acces-a-la-danse.com/last-things-remaining
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Aujourd’hui je reçois Mirjam Barakar de Zürich. Mirjam est une danseuse et chorégraphe 100% d’origine Suisse. Formée en jazz et danse contemporaine, elle est également danseuse et professeur de danses orientales… Elle a par exemple été danseuse pendant 7 ans, au sein de la compagnie du professeur égyptien Khaled Seif. Elle vient aujourd’hui nous parler de son projet « Last Things remaining » en collaboration avec des danseuses et danseurs Palestiniens.
Mirjam voyage depuis plus 20 ans en Palestine, et nous livre son témoignage sur la situation sur place. Plusieurs de ses créations artistiques sont consacrées à ce qu’elle décrit comme un « drame humain , qui ne peut laisser personne indifférent ». Nous abordons aussi la problématique de l’argent… Comment faire financer son spectacle ? Quelles sont les démarches à effectuer ? Quelle chance pour la danse orientale d’être subventionnée ? Nous parlons enfin de la fusion : est-elle un danger pour les danses traditionnelles, ou est-elle un processus naturel, et inévitable ?
Bonne écoute.https://www.acces-a-la-danse.com/last-things-remaining
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Un cancer ? J’peux pas, j’ai danse !
Aujourd’hui, je reçois Sorahia, danseuse et professeure de danse orientale sur Besançon.
Le cancer a fait une entrée fracassante dans la vie de Sorahia… Mais elle a décidé de l’affronter avec un courage exemplaire et un mental d’acier.
Nous avons parlé de l’annonce, de l’acceptation de la maladie et des traitements, mais surtout, du rôle de la danse dans cette épreuve. Sorahia a en effet maintenu ses cours, ses stages, ses prestations, et a même organisé un spectacle en pleine tempête.
Nous avons aussi abordé le rapport au corps, la foi, la gratitude.. Et comment se comporter avec un proche touché par la maladie ?
Sorahia a caché son cancer a son entourage, pour mieux combattre ce qu’elle définit comme une « étape ». Elle en parle aujourd’hui pour la première fois avec nous. Personnalité passionnée et passionnante, vous découvrirez son parcours inspirant.
Bonne écoute
Anna Halprin, danseuse et chorégraphe américaine : Avant d'avoir eu le cancer, je vivais ma vie pour mon art, après avoir eu le cancer je vivais mon art pour ma vie."
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Aujourd’hui, je reçois Taly et Kareem Gad de Paris. Nous avons parlé de l’état de la danse orientale en France, que ce soit dans l’enseignement, ou l’événementiel… Et quid de la situation en Egypte ? Que pense Kareem Gad, artiste égyptien, de la scène actuelle au Caire ? Est-il toujours intéressant de voyager en Egypte pour les passionnés de danse ? Taly et Kareem nous parlent des 10 ans de l’association Bell Masry, et de leur rencontre artistique et amoureuse.Kareem Gad est également producteur et compositeur de musique pour la danse orientale, et nous raconte son processus créatif. Bonne écoute !
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Aujourd’hui, je reçois Raïssa Leï de Paris, danseuse, professeur de danse, coach, conférencière… Nous avons parlé d’appropriation culturelle, d’un point de vue général d’abord, puis appliqué à la danse orientale… Nous avons notamment évoqué l’arabe fishing, avec des danseuses occidentales qui prennent des pseudonymes orientaux. Raïssa Leï nous parle également de l’américain tribal style… En quoi est-il dérangeant pour les personnes de cultures ? Entre fausses informations sur fond de colonialisme , et certification payante, à qui profite l’ATS ? Nous parlons aussi du cas de la chanteuse libanaise Myriam Fares, qui a plagié des chorégraphies de Raïssa Leï… Comment faire valoir ses droits face à une star internationale ? Bonne écoute.
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Découvrons ensemble la seconde partie de l’interview de Kaouther Ben Amor. Nous abordons sans langue de bois la question suivante : Y’a-t-il vraiment une différence entre les danseuses avec origines, et sans origines orientales. Kaouther distingue avec une grande justesse la nature et la culture. Nous évoquons aussi la magie de la danse , qui, envisagée avec travail et respect, peut permettre à une danseuse, à toutes les danseuses, de transporter un public. Nous parlons aussi d’appropriation culturelle , ainsi que du mélange des cultures, qui , selon Kaouther, est un processus naturel. Je la cite: « L’art est libre, mais il doit être respectueux aussi » J’ai demandé à Kaouther d’où venait cette apparente confiance en soi qu’elle dégage dans sa danse… Est-elle innée ou acquise ? Comment améliorer la confiance en soi ? Nous abordons aussi son rapport à la maternité , le timing de la grossesse… Quand on voyage autour du monde pour la danse, quel place pour un enfant dans ce ventre qui travaille tant ? , Egalement un sujet qui revient souvent sous forme de question sur les réseaux sociaux : comment s’organiser quand on est maman et danseuse ? J’ai posé quelques questions similaires à Yael Zarca dans le premier épisode du Podcast. J’espère que ces différents réponses sauront vous inspirer pour mieux envisager votre maternité. Bonne écoute
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Aujourd’hui, je reçois Kaouther Ben Amor, danseuse, et professeur de danse orientale à Paris.
Dans cette première partie , nous avons parlé du choix de tout abandonner pour vivre uniquement la danse. Kaouther a en effet quitté un emploi dans le cinéma, pour se consacrer à son art et à son enseignement. Nous avons également abordé ses expériences de l’autre côté de la caméra, Kaouther ayant dansé pour le cinéma. Vous allez découvrir comment elle a oeuvré pour donner une meilleure image de la danse et des danseuses sur le grand écran.
Nous avons également évoqué son expérience en Egypte et son style glamour et théâtrale. Nous clôturons cette première partie en parlant des atouts, et des difficultés d’avoir une double culture en France. Bonne écoute !
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Aujourd’hui, je donne la parole à Alexandre Paulikevitch, danseur libanais.
Alexandre est également activiste, humaniste, et conférencier. Il a par exemple récemment donné une conférence au Mozambique sur la situation des Queers en Afrique.
Nous avons parlé de l’emploi du mot baladi, à la place du terme post colonial danse orientale, avec l’idée de : oriental, mais par rapport à qui ?Nous avons évoqué la place actuelle des danseuses arabes en Egypte et au Liban… Des danseurs arabes, dans le monde arabe… Et bien sûr de cette nouvelle vague massive de danseuses étrangères qui n’a échappé à personne…
Alexandre nous révèle aussi son secret pour être invité à danser dans les lieux et les festivals le plus prestigieux… Il nous parle également des coulisses d’une émission de télévision avec Dina comme invitée… Emission où Dina a tout d’abord refusé de voir Alexandre danser, car c’est un homme… Évènement qui a crée un malentendu dans le milieu de la danse, et suite auquel Alexandre a été attaqué… Mais que s’est-il réellement passé ? Voici le lien de l'émission en question: https://youtu.be/aDViDqe-_Nw
Nous abordons aussi l’ingérence de l’Occident dans les pays arabes, et ses conséquences sur les populations locales.
Suite à un problème technique, notre interview s’est terminée par une conversation téléphonique enregistrée. Vous allez donc profiter d’un échange sans montage, brut et surtout authentique, à l’image d’Alexandre, qui est connu pour son intégrité, et surtout pour ne pas pratiquer la langue de bois.
Bonne écoute.
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Aujourd’hui, je vous offre une playlist… Tout au long de l’année, je vous ferai découvrir, ou redécouvrir des musiques adaptées à la danse orientale : méjancés, chansons, folklores… Une émission de radio consacrée à la danse orientale en somme, mais à consulter quand vous voulez ! Bonne écoute !
- On commence cette première playlist avec une musique Royale… Produite par Yousry Sharif, elle s’appelle "Beyn el Qasrein" , ce qui veut dire entre les deux chateaux …
= "Beyn el Qasrein", Yousry Sharif, Nawahand II
- On enchaîne avec un morceau Sh3abi , qui s’appelle "A7mad ya 3omar" , par la chanteuse Sama… En gros, son coeur balance entre entre A7mad , et 3omar, et elle ne sais pas lequel choisir . Cette musique est disponible sur Youtube, mais je l’ai découverte lors d’un stage avec Mohamed Shahin.
= "Ahmad ya Omar", Sama
- On passe maintenant au folklore , avec une chanson Sa3idi. Elle est un peu longue, mais écoutez-la en entier, le milieu est plutôt sympa pour interagir avec un public. Cette musique s’appelle "Wahiba" et elle est disponible sur l’album de Mohammad Ali qui s’appelle mille et deux nuits, bon c’est en allemand alors ça donne : ein tausand und zwei Nächte…
= "Wahiba", Mohammad Ali, 1002 Nächte. -
Aujourd’hui je donne la parole à Yaël Zarca de Paris, et nous allons parler de danse orientale bien sûr, mais aussi de maternité et de féminité. Nous abordons le corps de la danseuse pendant et après la grossesse, la gestion du temps et de la charge mentale tout en ayant un métier chronophage, la maternité et l'éducation, le couple mixte...
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