Episoder
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durée : 00:26:01 - Le Feuilleton - Dans les relations entre le KGB, la DGSE et la CIA, le jeu de dupes atteint son paroxysme. Rien n’est ce qu’il paraît. Après avoir eu accès au saint des saints, l'agente secrète Alpine est forcée de faire un choix qui provoquera le chaos.
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Il était une chose que seule la terreur pouvait obtenir, c’était que des centaines d’hommes bouillonnant au fond de la baraque fissent silence. Seule la terreur… et la poésie. Si quelqu’un récitait un poème, tous se taisaient un à un. Un manteau d’humanité les recouvrait.
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - "C’est un voyage à l’aventure, un voyage pour le voyage ou, plus exactement, pour le plaisir du voyage. C’est un véritable voyage, qui n’a d’autre but que de satisfaire à son éternel objectif: se trouver soi-même."
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durée : 00:28:49 - Le Feuilleton - Montaigne écrit "il n’est pas un écrivain". L’écriture n’est pour lui qu’un ersatz. Chercher des mots nouveaux lui paraît une "ambition puérile". Ses phrases doivent ressembler à la langue, au parler, pleines de sève, nerveuses, rapides, sans grâces ni affèteries. Elles ne doivent pas être pédantes.
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durée : 00:28:57 - Le Feuilleton - "La mort de son père, Pierre Eyquem, en 1568, est une date décisive dans la vie de Montaigne. Car jusque-là il a vécu avec père, mère, épouse, frères et sœurs au château, qu’il surnomme un peu pompeusement "le château de ses ancêtres"."
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durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - "Au siècle de l’humanisme, la clé de ce royaume intellectuel, c’est le latin et Montaigne père décide donc de fournir le plus tôt possible à son fils cet instrument magique."
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durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - "J’ai pu moi-même constater que seules l’expérience et l’épreuve permettent d’apprécier à leur juste valeur la sagesse et la grandeur de Montaigne."
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durée : 00:25:00 - Le Feuilleton - Comment terminer ce feuilleton dédié à Goliarda Sapienza sans revenir sur l’œuvre : L’Art de la joie et en particulier au personnage de Carmine, véritable "amant de Lady Chatterley" sicilien. Plaisir de la chair et désir de liberté.
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durée : 00:24:33 - Le Feuilleton - Ecrit en 1981, L’Université de Rebbibia est sûrement le texte le plus « fantastique » de Goliarda Sapienza. Il est tiré de sa propre expérience de l’enfermement.
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durée : 00:24:46 - Le Feuilleton - L’Art de la joie, le grand roman de Goliarda Sapienza, a été écrit sur une dizaine d’année, entre 1967 et 1976 et refusé par tous les éditeurs italiens. Il ne sera publié qu’après sa mort et deviendra son œuvre majeure.
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durée : 00:24:25 - Le Feuilleton - Moi, Jean Gabin est sans doute le texte le plus déroutant de Goliarda Sapienza, mais aussi le plus extraordinaire. Ecrit à la fin de sa vie, il est un véritable testament philosophique.
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durée : 00:24:53 - Le Feuilleton - Née en 1924, en Sicile, dans une famille d’anarcho-socialistes, Goliarda Sapienza reçoit une éducation qui lui donne très tôt accès aux grands textes philosophiques, littéraires et révolutionnaires.
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durée : 00:24:43 - Le Feuilleton - "Le lendemain appartient à Ebenezer Scrooge pour s’amender et réformer sa vie"
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durée : 00:24:42 - Le Feuilleton - Le vieil avare a reçu la visite de deux esprits, comme le lui a annoncé Jacob Marley, son vieil associé mort depuis 7 ans. Le premier esprit l’a conduit dans les Noëls du passé, le second, l’a invité dans le Noël présent de ses connaissances et employés. Que va lui montrer le troisième esprit ?
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durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - "Scrooge désirait cette fois affronter bravement l’esprit au moment de son apparition et n’avait envie ni d’être assailli par surprise, ni de se laisser dominer par une trop vive émotion."
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durée : 00:24:54 - Le Feuilleton - "Une vive lueur brilla tout d’un coup dans la chambre et les rideaux de son lit furent tirés, de côté, par une main invisible. Scrooge se trouva face à face avec le visiteur surnaturel. C’était une étrange figure…"
- Se mer