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  • Le 13 Novembre 2024, Maryvonne Bréant, Maître Bertrand Salquain, Leopold Jimmy et Patrick Pasin étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

    Maryvonne Bréant est l’auteure du livre bouleversant « Secret défense, mon mari a disparu : 50 ans de combat pour briser le silence ».

    Elle est la veuve de Gilbert Bréant, un pilote militaire français disparu en 1969 lors d’une mission secrète au Proche-Orient. Pendant plus de cinq décennies, elle a lutté sans relâche contre l’opacité de l’État français pour faire reconnaître la mort de son mari en service pour la France.

    En 2024, grâce à sa détermination et avec l’aide de son avocat, Maître Bertrand Salquain, elle parvient enfin à récupérer des documents confidentiels dévoilant les véritables circonstances de la disparition de son époux. Son livre témoigne de ce long combat pour la vérité face au silence des autorités.

    Léopold Jimmy est un journaliste indépendant qui a couvert diverses manifestations et événements politiques. Il diffuse ses reportages via son agence LDC News.

    Patrick Pasin est un conférencier, auteur et entrepreneur français connu pour ses analyses critiques sur des sujets de géopolitique, de santé publique et de souveraineté individuelle.

    La disparition de Gilbert Bréant : une affaire d’État étouffée pendant cinquante ans

    Enceinte lors de la disparition de son mari, Maryvonne Bréant se heurte à un État déterminé à clore l’affaire. Pendant des décennies, elle sollicite les autorités en vain. Grâce à Maître Salquain, elle accède enfin à plus de 400 documents secrets en 2024.

    Ces documents révèlent des échanges entre la France, la Suisse et des pays du Proche-Orient, laissant penser que la mission de Gilbert Bréant aurait enfreint des lois internationales, soulevant des questions sur l'implication de la France gaulliste dans des opérations clandestines.

    Un contexte géopolitique explosif : des objectifs cachés ?

    À la fin des années 1960, le Proche-Orient est en pleine tension après la Guerre des Six Jours (1967). Dans ce contexte, la France aurait envoyé des agents pour des missions secrètes, en violation d'accords internationaux.

    La mission de photogrammétrie de Gilbert Bréant au Koweït semble suspecte : était-ce vraiment une simple opération technique ou un prétexte pour espionner des bases militaires ? Les documents déclassifiés suggèrent un double jeu de la France, entre alliances secrètes et diplomatie.

    « Secret défense : mon mari a disparu » : livre révélateur d’un scandale d’État

    Dans son livre, coécrit avec Maître Salquain, Maryvonne Bréant expose les souffrances de sa famille face au silence de l’État sous de Gaulle.

    Les révélations exposent potentiellement un scandale d’État.
    Question : comment un État peut-il sacrifier ses soldats et effacer leur existence ?

    La reconnaissance du sacrifice de Gilbert Bréant pourrait ouvrir la voie à de nouvelles enquêtes sur les opérations occultes de la France au Proche-Orient, remettant en question la confiance dans les institutions de l'époque. Pour Maryvonne Bréant, il s'agit de justice, de mémoire et d'honneur pour son mari disparu.

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  • Le 13 novembre 2024, GPTV Investigation demandait aux Français leur avis concernant la potentielle suppression d’un nouveau jour férié.

    La suppression d’un nouveau jour férié : une mesure contestée pour renflouer les caisses de l’État

    La France a déjà fait l’expérience de la suppression d’un jour férié en 2004, sous le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. En effet, le Lundi de Pentecôte, jour de solidarité, a été supprimé pour financer le fonds de solidarité destiné aux personnes âgées et handicapées. Cette mesure, instaurée après la canicule meurtrière de 2003, avait pour but de générer des recettes supplémentaires pour améliorer la prise en charge des personnes vulnérables. Depuis, ce jour travaillé rapporte près de 3 milliards d’euros chaque année.

    Aujourd’hui, le gouvernement envisage à nouveau la suppression d’un jour férié pour combler les déficits croissants des finances publiques. Face à un contexte économique tendu, cette solution semble être une voie rapide pour dégager des fonds supplémentaires. Mais est-ce vraiment la solution la plus juste ?

    Le coût social : toujours les mêmes qui paient l’addition ?

    Pour beaucoup de Français, cette mesure passe mal. L’idée de travailler davantage sans réelle contrepartie fait grincer des dents, surtout quand on voit que certaines catégories de la population semblent épargnées. Pendant que les salariés se voient demander plus de sacrifices, d’autres, notamment certains élus, s’accordent des hausses de salaires justifiées par « l’alignement sur l’inflation ». Cette dissonance renforce le sentiment d’injustice sociale.

    Ne serait-il pas plus pertinent de rechercher des économies ailleurs ? La question est sur toutes les lèvres. Pourquoi ne pas réduire certaines dépenses publiques superflues, revoir les privilèges accordés à une minorité, ou encore optimiser le budget de l’État avant d’imposer de nouveaux efforts aux citoyens déjà lourdement taxés ?

    Les Français toujours plus taxés, mais pour quels résultats ?

    Depuis plusieurs années, les Français ont le sentiment d’être de plus en plus pressurés fiscalement, sans pour autant constater d’amélioration dans leur quotidien. Malgré des prélèvements record, le pays n’a jamais été aussi endetté. Les services publics se dégradent : les moyens alloués aux hôpitaux sont insuffisants, le personnel soignant est en sous-effectif, et l’éducation nationale souffre également de coupes budgétaires. Alors, où va tout l’argent des contribuables ?

    Au final, la suppression d’un nouveau jour férié pourrait bien être la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Les Français, déjà exaspérés par la situation économique et sociale, se demandent combien de temps ils devront encore payer les pots cassés.

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  • Le 13 novembre 2024, Aram Mardirossian était l'invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.

    Aram Mardirossian, professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est un historien et juriste franco-arménien. Il est reconnu pour ses travaux sur le génocide arménien et la protection des chrétiens d’Orient. En tant que défenseur des droits de l’homme, il critique la négligence de l’État laïque français envers la christianophobie croissante. Son engagement s’étend à la défense du patrimoine religieux et des croyances chrétiennes, notamment face aux crimes haineux et aux profanations.

    La véritable histoire de l’Inquisition : contexte historique et évolution

    L’Inquisition évoque souvent des images de torture, de bûchers et de persécutions religieuses, cristallisant l’idée d’un Moyen Âge obscurantiste. Cependant, la réalité historique est bien plus complexe.

    L’Inquisition, initialement conçue comme un ensemble de tribunaux ecclésiastiques, visait à lutter contre les hérésies perçues comme des menaces à l’unité de l’Église catholique. Ancrée dans le droit romain, cette institution a connu plusieurs phases d’évolution, reflétant les enjeux sociaux, politiques et religieux de chaque époque.

    Les origines de l’Inquisition : un Moyen Âge en quête d’unité

    L’Inquisition médiévale, créée au XIIIe siècle, répondait aux hérésies dualistes comme le catharisme en Occitanie. En 1231, le pape Grégoire IX établit une structure inquisitoriale centralisée, confiée principalement aux dominicains. Le soutien des autorités civiles, comme Frédéric II, renforça la répression pour préserver l’ordre social et religieux fragilisé par les croisades albigeoises.

    L’expansion de l’Inquisition : des Cathares aux sorcières de la Renaissance

    Contrairement aux idées reçues, l’Inquisition ne se limita pas au Moyen Âge et atteignit son apogée entre le XVe et le XVIIe siècle, notamment en Espagne et en Italie face aux mouvements protestants. L’Inquisition espagnole, fondée en 1478, se distingua par sa sévérité envers les conversos (juifs convertis) et les morisques (musulmans convertis). La chasse aux sorcières, souvent attribuée à cette période, fut en fait plus répandue durant la Renaissance, bien que les tribunaux civils aient été plus sévères que l’Inquisition.

    Une justice ambivalente : modération inquisitoriale et procédures révolutionnaires

    Contrairement aux tribunaux civils, les tribunaux inquisitoriaux étaient relativement modérés et ont introduit des éléments novateurs dans le droit pénal, tels que la centralité de la preuve écrite et la procédure contradictoire. L’Inquisition condamnait rarement à mort : par exemple, durant la Terreur révolutionnaire en France (1793-1794), environ 17 000 personnes furent exécutées en deux ans, un bilan bien supérieur à celui de l’Inquisition espagnole sur toute sa durée.

    Héritage et réévaluations modernes

    Le legs de l’Inquisition reste controversé, oscillant entre la dénonciation d’une répression fanatique et la reconnaissance d’une institution qui, dans son contexte, chercha aussi à encadrer l’usage de la violence.

    Aujourd’hui, les débats autour de cette période sont souvent teintés de lectures anachroniques, projetant les valeurs modernes sur une époque aux normes juridiques et sociales très différentes. Une réévaluation plus nuancée permet de comprendre l’Inquisition non pas comme un simple outil de terreur, mais comme un reflet des tensions politiques et religieuses de son temps.

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  • Le 13 Novembre 2024, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin était l'invité de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Jean-Michel Jacquemin Raffestin est un essayiste et analyste réputé, spécialisé dans les enjeux de société et de géopolitique, connu pour son style incisif et sans concession. Dans son dernier ouvrage, Ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu’ils font – Volume 3, il poursuit sa critique des élites et des structures de pouvoir, dénonçant les manipulations et les dérives politiques qui influencent et dirigent les décisions de nos sociétés contemporaines.

    Un conflit russo-occidental planifié depuis 30 ans ?

    Le conflit russo-ukrainien serait le résultat d’une stratégie des États-Unis, mise en place depuis la chute de l’URSS, pour empêcher toute coopération entre l'Europe et la Russie, redoutant l’émergence d’un bloc concurrent des intérêts américains.

    Une stratégie américaine d'isolement de la Russie ?

    La Révolution orange en Ukraine, considérée comme une ingérence américaine, visait à installer un gouvernement pro-occidental à Kiev. Les accords de Minsk sont évoqués, certains estimant qu’ils n'étaient pas sincères. Enfin, l’expansion continue de l’OTAN, perçue comme une trahison des engagements envers Moscou à la fin de la Guerre froide, aurait alimenté les tensions autour des pipelines et des ressources énergétiques.

    L’OTAN et l’escalade des tensions

    L'OTAN aurait rompu ses promesses de non-expansion après la fin du Pacte de Varsovie, mettant en place un encerclement progressif de la Russie avec plus de 850 bases militaires dans le monde. Des accords déclassifiés datant de 1993 entre George H. W. Bush et Boris Eltsine auraient garanti que l’OTAN ne s’étendrait pas au-delà de l’Elbe, promesses non tenues qui auraient poussé Moscou à réagir militairement, notamment en Crimée et dans le Donbass.

    L’Ukraine : un pion dans une guerre par procuration ?

    L’Ukraine, loin d’être simplement un bastion de la démocratie, serait utilisée comme un pion dans une guerre par procuration des États-Unis contre la Russie. Le président ukrainien serait le produit d'une stratégie médiatique visant à exacerber les tensions avec Moscou. Par ailleurs, des accusations sont portées contre des élites ukrainiennes, soupçonnées d’avoir encouragé des milices extrémistes pour réprimer la minorité russophone, aggravant ainsi les divisions internes.

    Le sabotage des gazoducs Nord Stream est également mentionné comme un acte visant à briser les liens énergétiques entre l’Europe et la Russie, affaiblissant les économies européennes tout en préservant les intérêts américains dans le secteur de l’énergie.

    Les sanctions occidentales : un effet boomerang ?

    Les sanctions économiques imposées à la Russie auraient renforcé son économie au lieu de l’affaiblir, en raison de la hausse des prix de l’énergie. Moscou en aurait profité pour diversifier ses partenariats, notamment avec la Chine et l’Inde. Ainsi, les sanctions auraient révélé les failles des politiques occidentales et leur incapacité à anticiper les conséquences de leurs décisions.

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  • Le 12 novembre 2024, Antoine Cuttitta, Philippe de Veulle, Sylvain Baron et Claude Janvier étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !

    Antoine Cuttitta est le fondateur de l'Alliance Humaine, une organisation engagée dans la défense des valeurs humaines et sociales. Portant un regard critique sur les dynamiques de pouvoir contemporaines, il œuvre pour une société plus juste, en prônant l'autonomie, la solidarité, et le respect des libertés individuelles.

    Philippe de Veulle est un avocat au barreau de Paris, docteur en droit, notamment diplômé du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) et spécialisé dans le droit et le contentieux des affaires, le droit international et le droit pénal financier.

    Sylvain Baron est un activiste politique et Gilet jaune, auteur de Révolte : Essai sur la légitimité et la planification de l’insurrection populaire en France.

    Claude Janvier est un écrivain et essayiste français, auteur de plusieurs ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .

    Réformer le renseignement, traquer les élites corrompues et réformer la justice

    Trump souhaite réformer la CIA et le FBI, qu’il accuse de servir des intérêts partisans. Son objectif est de purger ces agences pour les recentrer sur la sécurité nationale, avec des rapports réguliers pour garantir leur transparence et leur action au service du peuple américain.

    Trump cible les élites corrompues, comme Bill Gates et Anthony Fauci, accusées d’abus d’influence. Avec le soutien de Candace Owens, il souhaite traduire ces personnalités en justice pour mettre fin à leur impunité.

    Pour garantir l’équité, Trump envisage des tribunaux dédiés aux affaires d’État, permettant des procès impartiaux, sans influence des intérêts privés.

    Restaurer la paix mondiale et réduire l’interventionnisme militaire

    Trump estime que l’État profond attise les conflits pour asseoir son pouvoir. Il propose donc de mettre fin aux guerres orchestrées, notamment entre l’Ukraine et la Russie, qu’il considère comme manipulée à des fins financières.

    Trump souhaite aussi réduire les interventions militaires à l’étranger, jugeant qu’elles profitent aux entreprises d’armement. Il veut réorienter les ressources militaires vers les besoins internes pour restaurer la prospérité nationale.

    Limiter l’influence des médias, des célébrités et des grandes entreprises

    Trump veut limiter l’influence des médias et des célébrités, souvent alignés avec l’État profond, dans le débat politique. Il prône une régulation pour contrer la politisation des médias et l’influence des stars.

    Il souhaite aussi réduire l’influence des grandes entreprises, notamment dans les secteurs technologique et financier. Par cette mesure, il vise à diminuer le lobbying pour que les lois servent les intérêts du peuple, et non d’une élite.

    Revoir la participation des États-Unis aux organisations internationales

    En neuvième et dernière mesure, Trump propose de restreindre l’influence des organisations internationales comme l’ONU et l’OMS, qu’il accuse d’être infiltrées par l’État profond. Il souhaite revoir la participation des États-Unis pour que les décisions de Washington servent en priorité le peuple américain.

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  • Le 12 Novembre 2024, Jean-Claude Pascal est l’invité de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !

    Jean-Claude Pascal est un ingénieur français spécialisé en thermodynamique, mais également reconnu pour son intérêt profond pour l’alchimie et les traditions ésotériques. Fort de son parcours scientifique, il s’est tourné vers l’étude des anciennes pratiques alchimiques, cherchant à établir des liens entre les principes scientifiques modernes et les enseignements mystiques de l’alchimie. Son approche unique combine rigueur scientifique et exploration spirituelle, en mettant l’accent sur la transformation intérieure et les mystères de la matière, tout en s’appuyant sur ses connaissances en thermodynamique pour interpréter certains aspects des traditions hermétiques.

    Les médaillons de Notre-Dame
    La façade du Jugement Dernier de Notre-Dame de Paris est bien plus qu’une prouesse architecturale ; elle est chargée de symboles spirituels et de valeurs chevaleresques. Les derniers médaillons révèlent un univers où se rejoignent mysticisme et engagement moral, rappelant les idéaux de la chevalerie médiévale. Sculptés dans la pierre, ces médaillons illustrent un ordre spirituel intemporel, incarnant l’esprit et la fraternité, essentiels pour affronter les épreuves de la vie en harmonie avec justice et honneur.

    Ces sculptures évoquent la mémoire des Templiers, autrefois garants de la foi et protecteurs du royaume. Leur influence renforce l’idée d’une chevalerie visant un idéal spirituel et engagée dans la protection des valeurs sacrées. Sur la façade de Notre-Dame, justice et destin s’incarnent de chaque côté du portique central, symbolisant l’équilibre entre le monde terrestre et l’ordre divin.

    Le mystère du chiffre six sur la façade sacrée
    La présence du chiffre six, ou 6ème jour, sur cette façade sacrée, évoque la création de l’homme à l’image de Dieu, symbole de la perfection et de l’équilibre entre vie et spiritualité. Les sculpteurs médiévaux ont inscrit dans la pierre ce message universel pour rappeler à l’homme sa place dans l’univers, un idéal d’harmonie qui invite l’homme à s’élever spirituellement tout en restant conscient de ses responsabilités terrestres.

    Le chiffre six incarne un destin que l’homme doit suivre en accord avec la volonté divine. De chaque côté du portique central, les symboles de justice et de destin rappellent à l’homme ses devoirs et les épreuves qu’il devra affronter, l’invitant à méditer sur l’idéal voulu par Dieu, entre exigences terrestres et aspirations spirituelles.

    La renaissance de Notre-Dame
    Les 7 et 8 décembre prochains, la réouverture de Notre-Dame de Paris, après des restaurations majeures, marquera un moment fort de l’histoire nationale. Cet événement va bien au-delà de la simple réouverture d’un lieu sacré : il ravive un patrimoine spirituel qui unit les Français depuis des siècles. La cathédrale, témoin de l’histoire de France, porte une signification profonde. Les cérémonies de réouverture rendent hommage aux valeurs de foi, tradition et quête de sens incarnées par cette structure.

    Ces jours de célébration rappelleront le rôle des lieux sacrés dans la transmission des valeurs chevaleresques, temporelles ou spirituelles. Cette réouverture est un signe d’espoir pour la nation et une invitation à se reconnecter avec un passé empreint de sagesse et de dévotion. Pour ceux qui voient en Notre-Dame le symbole d’une France fière de ses racines, cet événement est plus qu’une restauration : c’est un appel à renouer avec une tradition qui nous unit.

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  • Le 12 novembre 2024, Charles Poncet était l’invité de Raphaël Besliu et Nicolas Stoquer, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    Charles Poncet est un avocat suisse et docteur en droit. Ancien membre de l’UDC et député au Conseil national, il a défendu la famille Kadhafi et est reconnu pour ses prises de position en faveur de la liberté de la presse. Auteur de nombreuses publications juridiques et créateur de la série télévisée « Dossiers Justice », il est influencé par Voltaire et Montaigne, dont il partage l’esprit critique et le goût pour la liberté.

    Une menace croissante pour nos sociétés

    Le narcotrafic atteint des niveaux alarmants en Europe, en particulier en France, où il dépasse largement les enjeux de sécurité publique. Cette emprise représente une menace pour l’autorité de l’État, créant des zones de non-droit et mettant en péril la souveraineté nationale. Face à cette situation, des solutions concrètes sont nécessaires pour restaurer la sécurité.

    Le plan Retailleau propose des mesures ciblées pour contenir cette menace. Cette stratégie est cruciale pour contrer l’influence croissante des réseaux criminels. Le plan prévoit notamment un renforcement de la répression contre les trafiquants et la protection des zones sensibles pour éviter qu’elles ne deviennent des bastions criminels. Mais ce dispositif peut-il suffire face à des réseaux bien implantés et souvent mieux financés que les services publics ?

    Quand la haute finance alimente le narcotrafic

    Un aspect troublant de cette crise est la collusion entre la haute finance et le narcotrafic. Derrière les opérations de blanchiment, des élites financières profitent des ressources générées par le trafic de drogue. Ces capitaux, dissimulés dans des paradis fiscaux ou investis sur les marchés internationaux, renforcent le narcotrafic.

    Cette complicité entre certains établissements financiers et les trafiquants permet au trafic de prospérer, infiltrant des secteurs insoupçonnés de l’économie. Cette hypocrisie démontre la nécessité d’une réforme des structures de contrôle financier. Des mesures drastiques s’imposent pour démanteler ces alliances et protéger la société des dégâts causés par ces alliances immorales, en empêchant les trafiquants de se servir des failles du système financier.

    La réélection de Trump, un frein à l’idéologie WOKE

    La réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis pourrait freiner l’expansion de l’idéologie WOKE, qui gagne en influence dans les sociétés occidentales. En affirmant sa volonté de reconnaître uniquement deux genres, Trump s’oppose fermement à ce mouvement et incarne un retour aux valeurs traditionnelles, marquant un tournant idéologique majeur, avec des répercussions potentielles en Europe.

    Face à l’influence de l’idéologie WOKE, Trump et ses partisans appellent à un retour aux principes conservateurs et à la protection de repères moraux solides. Cet événement pourrait pousser les dirigeants européens à repenser les bases culturelles et morales de nos sociétés et à envisager des alternatives.

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  • Le 11 novembre 2024, le Général de Richoufftz, Serge Federbusch, François Martin et Franck Layre Cassou étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde, pour débattre d’un sujet brûlant : les banlieues françaises.

    Le Général de Richoufftz, surnommé le « général des banlieues », s’est fait connaître pour son approche visant à réintégrer les jeunes issus de l’immigration dans la société française. Auteur du livre « France Sécessionniste : Que faire ? », il a mis en place un programme intitulé « Permis, Sport, Emploi », permettant à plus de 2000 jeunes de retrouver un emploi et un sentiment d’appartenance nationale.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique. Il présentera son dernier livre, “Le Sabre et l’Esprit” aux éditions de Passy.

    Franck Layré-Cassou est un personnage public aux multiples facettes. Passionné d’histoire, il est également reconnu comme un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Sa carrière politique l’a vu candidat sous la bannière de Reconquête!dans la 11ème circonscription de Paris et est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.

    Les banlieues : un état dans l’état ?

    Le concept de sécession des banlieues inquiète de plus en plus. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retaillau, a évoqué la « mexicanisation » de ces zones, avec une économie parallèle, des violences et des territoires sous contrôle de trafiquants. Ces quartiers semblent parfois fonctionner de façon autonome, loin des lois de la République.

    Des chiffres alarmants

    Les saisies de drogues ont augmenté de 30 % en cinq ans, et les agressions contre les forces de l’ordre ont doublé, signe d’une intensification du crime. Certains se demandent si l’État laisse volontairement ces zones dans le chaos pour justifier un durcissement sécuritaire, d’autres dénoncent l’échec des politiques d’intégration.

    Le trafic de drogue : l’État complice ?

    Certains pensent que l’État tolère le trafic de drogue pour injecter des fonds dans l’économie locale et éviter des tensions sociales. Bien que cela soutienne le pouvoir d’achat local, cette tolérance aurait des conséquences graves sur la sécurité et la santé publique.

    Répression ou réintégration : quelle stratégie pour l’avenir ?

    Deux visions s’opposent : l’une prône une répression accrue pour rétablir l’autorité de l’État, tandis que l’autre, portée par le général de Richoufftz, appelle à un investissement dans l’éducation et l’insertion. L’avenir des banlieues et la cohésion sociale dépendent de cette décision cruciale.

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  • Le 11 novembre 2024, Corinne Lalo était l'invitée de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde pour aborder les questions des perturbateurs endocriniens, de l'identité de genre, et des orientations sexuelles.

    Corinne Lalo, grand reporter spécialisée dans la santé depuis trente ans, a couvert certaines les affaires les plus marquantes : du scandale du sang contaminé à la controverse de la vaccination contre l’hépatite B et la grippe H1N1.

    Elle est aussi coauteure de Le Livre noir du médicament et Se soigner sans médicaments de A à Z, œuvres incontournables pour comprendre les dangers des produits pharmaceutiques et la recherche de solutions alternatives. Son livre Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas, offre un éclairage précieux sur cette question de santé publique.

    Perturbateurs endocriniens et impacts sur le sexe et le genre

    Les perturbateurs endocriniens (PE), présents dans divers produits du quotidien (plastiques, cosmétiques, pesticides), perturbent notre système hormonal. Quels effets peuvent-ils avoir sur le sexe biologique, l’orientation sexuelle et l’identité de genre ?

    Effets biologiques des perturbateurs endocriniens

    L’OMS signale que les PE peuvent causer des troubles hormonaux, comme la puberté précoce et des problèmes de fertilité. Aux États-Unis, 93 % de la population présenterait des traces de bisphénol A (BPA), un composé imitant l’œstrogène. En France, une étude de 2023 a détecté des PE dans les urines de 100 % des jeunes enfants. Ces substances influencent le développement des organes reproducteurs, réduisent le nombre de spermatozoïdes et augmentent les risques de cancer du sein. Leur impact sur l’identité de genre et l’orientation sexuelle reste à définir.

    Sexe, genre et perturbateurs endocriniens : un lien troublant ?

    L’exposition prénatale aux PE, comme les phtalates, pourrait féminiser les jeunes garçons et influencer orientation sexuelle et identité de genre. En Suède, une étude de 2022 lie l’exposition au BPA à la dysphorie de genre chez les adolescents, corrélée à une hausse de demandes de transition médicale.

    Une hausse occidentale : culture ou chimie ?

    Malgré l’exposition mondiale aux PE, la hausse des identités transgenres est plus marquée en Occident. En 2021, 5,6 % des Américains s’identifiaient LGBT, dont 16 % chez les jeunes (18-24 ans). En Chine, malgré l’exposition aux PE, les taux LGBT restent sous 1 %. Certaines études avancent que l’évolution des normes sociales et l’idéologie woke influencent davantage cette hausse. L’acceptation accrue des identités LGBT+ en Occident pourrait favoriser une "contagion sociale".

    Politiques publiques : réponses variées face aux perturbateurs endocriniens

    Des pays comme la France et le Danemark agissent pour limiter l’exposition aux PE. En 2022, la France a interdit le BPA dans les contenants alimentaires pour protéger les jeunes enfants. L’UE prévoit une stratégie "Zéro Pollution" d’ici 2030. Aux États-Unis, certaines villes interdisent les phtalates dans les jouets depuis 2006. En Inde et au Brésil, ces substances restent peu régulées.

    Biologie, culture ou les deux ?

    Le débat oscille entre impacts biologiques et influences socioculturelles. La montée des identités LGBT+ en Occident pourrait refléter à la fois une reconnaissance sociale croissante et une éventuelle influence chimique.

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  • Le 11 novembre 2024, Philippe Karsenty était l’invité de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Au programme : un décryptage des raisons économiques et culturelles derrière la victoire de Donald Trump aux États-Unis, ainsi que l’exploration de sa stratégie pour réformer l’administration américaine avec le soutien d’Elon Musk et Robert Kennedy Jr.

    Philippe Karsenty est un homme politique et entrepreneur français, connu pour son engagement en faveur de la liberté de la presse et de l’information. Il a acquis une notoriété internationale pour son combat juridique contre France 2 concernant le reportage controversé sur la mort de Mohammed Al-Durah en 2000.

    Les raisons économiques et culturelles derrière la réélection de Trump

    Le retour de Donald Trump marque un tournant politique aux États-Unis, révélant de profondes divisions internes. Sa victoire, malgré les prédictions contraires, s’explique par des motifs économiques et culturels. Son électorat, préoccupé par des questions économiques, craint une nouvelle crise financière, la hausse du coût de la vie, et l’impact de l’immigration sur le marché de l’emploi.

    Sur le plan culturel, Trump capte le mécontentement d’une frange de la population, notamment la classe moyenne blanche, face à une élite perçue comme déconnectée. Son slogan, « Make America Great Again, Again », réveille un nationalisme économique et une nostalgie d’une Amérique industrielle. Cette victoire illustre une fracture persistante entre les grandes métropoles et les zones rurales où se ressent un sentiment d’abandon.

    « Assécher le marais » : la guerre renouvelée de Trump contre l’État profond

    Trump a réitéré sa promesse d’« assécher le marais » (drain the swamp) en visant l’« État profond » à Washington. Cette fois, il accentue son discours contre une bureaucratie hostile infiltrée dans les agences fédérales, qu’il accuse de saboter ses politiques.

    Son alliance avec Elon Musk, démontrée par la transformation de Twitter en « X », inspire Trump pour réformer les institutions fédérales et les rendre plus efficaces, transparentes et moins partisanes. Il prévoit une refonte des agences de renseignement, notamment la CIA et la NSA, les accusant d’avoir œuvré contre lui lors de son premier mandat.

    Le rôle stratégique de Robert Kennedy Jr. dans l’administration Trump

    En s’entourant de Robert Kennedy Jr., Trump choisit une figure controversée, connue pour ses positions anti-establishment, notamment en matière de santé. Kennedy est envisagé pour des postes clés, tels que ministre de la Santé ou de la Justice.

    Kennedy, critique de la politique vaccinale américaine, dénonce une collusion entre agences sanitaires et industries pharmaceutiques. En l’intégrant à son équipe, Trump marque sa rupture avec l’establishment scientifique et médical. Kennedy pourrait appuyer Trump dans ses réformes, notamment en luttant contre l’influence des lobbies pharmaceutiques et en orientant la politique de santé publique vers une approche centrée sur les libertés individuelles.

    Pour approfondir votre compréhension des enjeux cruciaux qui redessinent notre monde et anticiper les transformations économiques à venir, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 10 novembre 2024, Alain Soral, Laurent Michelon, Laurent Guyénot et Lucien Cerise étaient les invités de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !

    00:00:00 : Alain Soral, intellectuel et essayiste franco-suisse, Président de l’association Égalité et Réconciliation, a également fondé la maison d’édition Kontre Kulture. Personnalité sulfureuse, ses analyses lui ont valu une persécution médiatique, politique et judiciaire.01:56:00 : Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin depuis plus de 20 ans. Il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour des groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre “Comprendre la relation Chine-Occident”.02:31:00 : Laurent Guyénot est un historien et essayiste français, spécialiste de l’histoire biblique et de l’histoire des religions. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont JFK 11-Septembre – 50 ans de manipulations et Du Yahvisme au Sionisme. Il s’intéresse aussi aux rapports entre le judaïsme, le christianisme et l’islam, ainsi qu’aux enjeux géopolitiques actuels.03:20:00 : Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a publié plusieurs ouvrages dont « Ukraine : La guerre hybride de l’OTAN ».04:10:00 : Conclusion avec Alain Soral.

    Make America Great Again

    La victoire de Donald Trump à la présidence représente un bouleversement décisif, brisant les barrières de l'élite politique et s'affirmant comme porte-voix du peuple. En remportant le vote populaire et les institutions clés, Trump défie la propagande démocrate relayée par les médias mainstream. Ce succès incarne une révolution culturelle, symbolisée par le slogan Make America Great Again, redonnant souveraineté et pouvoir au peuple.

    Le trio anti-système qui transforme l'Amérique

    Avec des alliés tels qu'Elon Musk, nommé ministre de l'efficacité, et Robert Kennedy Jr., en charge de la santé publique, Trump engage une restructuration profonde. Musk cible une administration efficace en épurant les bureaucraties inutiles, tandis que Kennedy combat Big Pharma pour libérer les Américains des maladies chroniques. Trump s’attaque aussi au wokisme et à la propagande LGBT, souhaitant légiférer pour restaurer des normes sociales traditionnelles.

    L’Amérique de Trump réoriente ses alliances

    En recentrant ses priorités internes, Trump envisage des relations internationales révisées. Concernant le conflit russo-ukrainien, il pourrait réduire le soutien à l'Ukraine pour favoriser une négociation avec Poutine, remodelant potentiellement l'équilibre en Europe de l’Est. Sans appui américain, Israël pourrait revoir sa stratégie régionale. Par ailleurs, la rivalité avec la Chine s’intensifierait davantage sur les plans économique et technologique.

    Face à une Amérique recentrée sur ses intérêts, les pays européens devront repenser leur dépendance économique sous peine d'une marginalisation.

    Un Trump Français en vue ?

    La situation américaine soulève en France la question d'un possible "Trump français" pour restaurer l’indépendance nationale face aux idéologies dominantes. Crises économique, sociale et identitaire poussent la société française à envisager un leader charismatique capable de fédérer les forces vives pour un renouveau national. Le pays pourrait-il voir émerger une figure inspirée de cette expérience ?

    Allez plus loin dans l’analyse, grâce à la revue Géopolitique Profonde !

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  • Le 10 novembre 2024, GPTV Investigation demandait aux Français leur avis sur le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, un événement qui défie les élites et révèle la fracture entre le peuple et l’establishment, malgré une propagande médiatique intense.

    Un retour de Trump qui défie l’establishment français

    Le retour de Trump au pouvoir a secoué les élites françaises, marquant un revers pour l’establishment progressiste et les médias dominants qui ont souvent dépeint Trump comme une menace pour la démocratie. Pourtant, ce retour montre que les Américains ont choisi en conscience, rejetant la vision des élites côtières.

    Cette victoire n’est pas qu’une défaite politique pour ses adversaires ; elle révèle la fracture entre le peuple et les élites. En France, les grands médias peinent à cacher leur embarras. Pour les Français, ce succès de Trump est un défi lancé aux élites transatlantiques, prouvant qu’une grande partie des Américains est lassée de l’hypocrisie des discours bien-pensants.

    Kamala Harris face au verdict populaire

    Kamala Harris, promue comme icône progressiste, a essuyé un revers, rejetée par le verdict populaire. Ce désaveu souligne l’échec des campagnes médiatiques qui n’ont fait qu’alimenter une désillusion. Malgré les milliards investis et un soutien médiatique massif, les Américains ont tranché, refusant les figures fabriquées. Cette tentative de créer artificiellement une image pour Harris s'est heurtée au retour de Trump, révélant les failles d’une propagande occidentale destinée à influencer l’opinion publique. En France, malgré cette réalité, certains adoptent encore sans recul les discours anti-Trump.

    Une propagande anti-Trump en France

    Dans les discussions publiques, Trump est perçu comme un climatosceptique et une menace pour la paix, des clichés entretenus par les médias. Beaucoup de Français, influencés par ces discours, voient Trump comme un « danger ». Cette vision, souvent exagérée, montre la profondeur de l’influence médiatique.

    Les médias ont instauré une rhétorique de peur où Trump est l’ennemi des droits et de la paix, en particulier concernant les conflits en Ukraine et en Palestine. En réalité, Trump incarne un modèle alternatif, un retour aux valeurs traditionnelles et un rejet du politiquement correct des élites. Sa posture effraie précisément parce qu’elle remet en question les dogmes d’une minorité influente, opposée à tout changement de paradigme.

    L’élection de Trump symbolise bien plus qu'un bouleversement aux États-Unis : elle reflète une rupture idéologique profonde avec l’establishment. Les Français, malgré leur méfiance envers les médias, assimilent Trump à une menace mondiale, illustrant l’emprise de la narration médiatique qui caricature et dénigre toute pensée alternative.

    Pour aller au-delà des clichés médiatiques et découvrir une analyse approfondie des enjeux internationaux, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 10 novembre à 2024, Mike Borowski analysait comment la vision fédérale de Macron pour l’Europe et l'accord avec le Mercosur menacent la souveraineté et l’identité française au profit d'une gouvernance centralisée, sur GPTV.

    La France face à une Europe sans frontières

    Alors que les médias français braquent leurs projecteurs sur des événements extérieurs, un projet di

    Cette vision marque un tournant, où l’identité nationale devient secondaire face à une Europe homogénéisée. Macron semble abandonner les spécificités françaises pour une politique qui pourrait dissoudre la nation dans une entité centralisée, limitant l’autonomie de la France dans ses décisions économiques et politiques. Ce discours, n’est-il pas le signe avant-coureur d’une transformation radicale de la France en tant que nation ?

    Les intérêts français sacrifiés au nom de l’Europe

    En parallèle, un accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosur menace directement des secteurs clés de l’économie française, notamment l’agriculture. Bien que Macron ait exprimé publiquement des réserves, il laisse ces négociations avancer. Est-ce un autre exemple d’abandon des intérêts français pour une économie globalisée ?

    L’accord introduirait des produits moins chers en provenance d’Amérique latine, menaçant la production locale et accélérant la dépendance de la France envers Bruxelles. Cette Europe sans frontières, favorable au libre-échange, dissimule-t-elle un plan d’intégration forcée où les intérêts nationaux sont secondaires ?

    Macron place ses pions pour l’Europe fédérale

    Pour concrétiser son projet fédéraliste, Macron a nommé un proche, Stéphane Séjourné, au sein de la Commission européenne. Ce choix stratégique vise à renforcer son influence au sein de l’UE et pourrait préparer le terrain pour une éventuelle direction de l’Union européenne. En plaçant ses alliés à des postes clés, Macron semble œuvrer pour une Europe contrôlée par une élite technocratique, aux dépens des démocraties nationales.

    Ce mouvement s’apparente de plus en plus à une vision d’une Europe centralisée, où les États membres perdraient leur autonomie au profit d’un contrôle bureaucratique. Macron prépare-t-il une "URSS moderne" où la voix des peuples et la souveraineté nationale seraient remplacées par une gouvernance supranationale ?

    L’Europe de Macron

    L’Europe telle que Macron la conçoit pourrait imposer une uniformisation des politiques intérieures, effaçant les identités nationales pour instaurer une gouvernance supranationale. Ce choix pourrait bien constituer une rupture profonde avec les valeurs d’indépendance et de diversité qui ont forgé le continent européen.

    En préférant une Europe fédérale, Macron fait le pari d’un projet dont il espère assurer la pérennité, quitte à sacrifier l’identité française. Cette ambition cache-t-elle des intérêts personnels ou est-elle un tournant irréversible pour notre souveraineté ?

    Pour ne rien manquer des enjeux cachés de cette Europe fédérale et anticiper les répercussions sur la France, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 10 novembre 2024, David Lehn était l'invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde !

    David Lehn est un chef d’entreprise à la tête d’une PME, écrivain, journaliste et enquêteur pour plusieurs think tanks américains. Spécialiste des questions électorales, il écrit actuellement un livre sur l’histoire des fraudes électorales aux États-Unis depuis le XIXe siècle, apportant un éclairage inédit sur les manipulations électorales dans l’histoire américaine.

    Un chaos électoral organisé

    Le système électoral américain, complexe et décentralisé, permet des manipulations sophistiquées. Chaque État, parfois même chaque comté, applique des règles distinctes, créant un système sans cohérence où les responsables locaux détiennent un pouvoir excessif pour influencer les résultats. Cette fragmentation législative empêche toute surveillance nationale unifiée et laisse chaque État définir ses propres critères de validation des votes.

    Les intérêts locaux et partisans peuvent ainsi interférer dans le processus. En 2020, l'extension du vote par correspondance en raison de la crise sanitaire a amplifié ces failles, permettant un afflux de bulletins difficilement vérifiables et favorisant les Démocrates dans des États clés. Ce système, instauré pour protéger les citoyens, a en fait ouvert la porte à des pratiques électorales contestables.

    Une tradition de fraude électorale bien ancrée

    La fraude électorale est une réalité de l’histoire politique américaine, et le Parti Démocrate a utilisé diverses techniques pour orienter les résultats à son avantage, notamment dans les zones urbaines. Depuis la fin de l’esclavage, des méthodes comme le bourrage d’urnes et l’intimidation ont été employées pour manipuler les votes, en particulier des électeurs noirs.

    Ces pratiques se sont modernisées, profitant des avancées technologiques pour optimiser la fraude. En 2020, les machines Dominion, l'absence de vérification d'identité et la hausse des votes par correspondance ont été les outils privilégiés d'une fraude nationale. Ces manipulations, dissimulées sous des prétextes humanitaires comme la pandémie, ont permis aux Démocrates d’accentuer leur contrôle électoral.

    La vérité sur la défaite de Trump

    L'élection présidentielle de 2020 a marqué un sommet de la fraude électorale. Les machines Dominion, critiquées pour leur manque de fiabilité, sont au cœur des accusations de manipulation électronique, particulièrement dans les États clés où quelques milliers de voix suffisent à faire basculer le résultat. Couplées au vote par correspondance, elles ont permis l’inclusion massive de bulletins douteux sans vérification d'identité dans des zones critiques.

    Sous prétexte de sécurité sanitaire, le vote par correspondance a été largement diffusé, avec peu de contrôle. Le bourrage d’urnes est devenu courant, renforçant l’impression d’un système électoral faussé. En 2020, il ne s’agit pas d’erreurs accidentelles mais bien d’une fraude coordonnée visant un résultat prédéterminé.

    Les éléments de la fraude de 2020 ne laissent aucun doute : l'élection de Trump a été détournée par des manipulations systématiques. L'absence de vérifications, l’exploitation de failles technologiques et la crise sanitaire ont permis une fraude massive, compromettant ainsi les fondements mêmes de la démocratie américaine.

    Pour rester informé des dessous de la politique américaine et comprendre les enjeux qui façonnent l'avenir de nos démocraties, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 9 novembre 2024, Fabien Bouglé était l'invité de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.

    Fabien Boulgé, est un expert en politique énergétique et auteur du livre "La guerre de l’énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial". Il décortique les enjeux stratégiques de la guerre énergétique relancée par les récents événements internationaux, notamment l’élection de Donald Trump et le sommet des BRICS à Kazan.

    BRICS : la dédollarisation au cœur du sommet de Kazan

    Le sommet des BRICS à Kazan en octobre 2024 a placé la dédollarisation du commerce énergétique au centre des discussions. Ce rassemblement, regroupant Russie, Chine, Inde, Brésil et Afrique du Sud, vise à contourner le dollar américain dans les transactions énergétiques pour réduire la dépendance aux États-Unis. Cette décision pourrait redéfinir l’équilibre du marché mondial de l’énergie et affaiblir la domination historique du dollar. Le président russe Vladimir Poutine a justifié ce choix en réaction aux sanctions occidentales, marquant ainsi une étape clé dans la réorganisation des rapports de force économiques mondiaux.

    Avec plus de 40 % de la production énergétique mondiale, les BRICS cherchent à renforcer leur influence collective. Si cette tendance se confirme, elle pourrait initier un nouvel ordre monétaire. Les répercussions vont au-delà de l’énergie, impactant potentiellement le financement international et les investissements globaux.

    Le retour de Trump : un facteur de tension dans la guerre énergétique

    L’élection de Donald Trump en 2024 accentue les tensions géopolitiques, notamment en politique énergétique. Prônant une ligne protectionniste, Trump menace de sanctions commerciales les pays délaissant le dollar pour le commerce énergétique, dans un effort pour défendre les intérêts américains. En parallèle, il démantèle les initiatives climatiques de Biden, notamment en annulant les subventions aux énergies renouvelables du plan Inflation Reduction Act, qu’il qualifie de « fraude coûteuse ». Cette réorientation vers les énergies fossiles risque d’intensifier les conflits avec les nations engagées dans la transition énergétique, dont les BRICS.

    Les États-Unis, premier producteur mondial de pétrole, pourraient ainsi renforcer leur position dominante sur le marché, bien que cette posture se heurte aux aspirations des BRICS à réduire l’influence américaine. Ce changement de politique pourrait provoquer une guerre commerciale autour de l’énergie.

    COP 29 à Bakou : entre espoirs climatiques et réalisme brutal

    La COP 29 à Bakou, prévue peu après l’élection de Trump, met en lumière un contraste entre les ambitions climatiques mondiales et le retour d’un climato-scepticisme américain. Alors que la conférence visera à renforcer les engagements climatiques, Trump rejette les conclusions du GIEC, les qualifiant de « canulars coûteux » freinant la croissance économique. Ce retour en arrière pourrait compromettre les objectifs de l’Accord de Paris et les efforts de neutralité carbone. Les critiques de Trump suscitent des inquiétudes parmi les diplomates quant à un possible recul des États-Unis dans leurs engagements climatiques.

    Si Trump poursuit son soutien au secteur pétrolier, les efforts mondiaux de réduction de CO₂ risquent d’être compromis, augmentant la dépendance aux énergies fossiles. La COP 29 constituera un test pour l’engagement climatique international face à ces nouveaux défis.

    Découvrez chaque mois des enquêtes exclusives et des analyses géopolitiques de pointe avec votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 9 Novembre à 12h30, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un direct d’actualité sur Géopolitique Profonde.

    INFO – Au moment où le gouvernement minoritaire de Michel Barnier détaillait à Marseille son plan de lutte contre le narcotrafic, un majordome de #Matignon était en GAV à Paris pour avoir acheté plus de 50 grammes de #cocaïne, révèle Le Parisien…


    La cocaïne, le tabou de la politique française

    Un collaborateur de Michel Barnier a été arrêté avec 50 grammes de cocaïne, ravivant le débat sur la consommation de drogues au sein des élites politiques françaises. Alors que Michel Barnier présentait un plan contre le narcotrafic, ce scandale a éclaté, mettant en lumière un sujet tabou. Par ailleurs, Andy Kerbrat, député LFI, a été interpellé en flagrant délit d’achat de drogue auprès d’un mineur, pour participer à une soirée chemsex. Ce type de soirée, mêlant drogues et sexe, est associé à des comportements à risque. En outre, Louis Boyard, un autre député LFI, a créé la controverse en se vantant de son passé de dealer, présenté comme un acte de résistance, choquant l’opinion publique.

    Drogue, alcool et excès : la face cachée du pouvoir

    En 2020, des excès d’alcool et de drogues étaient rapportés dans des soirées influentes de LREM. Plus récemment, des soirées organisées par des membres de la Macronie étaient marquées par une circulation libre de cocaïne, accentuant les critiques sur les pratiques de l’élite.

    LFI, une opposition pas si exemplaire ?

    LFI, qui se veut vertueuse, voit son image ternie par des scandales internes. En 2021, Adrien Quatennens a été accusé de violences conjugales. Bien qu'il ait partiellement reconnu les faits et présenté des excuses, il a conservé son siège, déclenchant un débat sur la cohérence morale de la gauche radicale. En 2024, Pierre-Alain Cottineau, ancien candidat LFI, a été accusé de viol et de torture sur une fillette handicapée, scandalisant l’opinion publique.

    La cocaïne, un fléau sous silence médiatique

    Les médias traditionnels abordent peu ces dérives. En 2019, un reportage de France Inter sur la consommation de drogues par les politiques a été retiré de la diffusion, alimentant des soupçons de censure et renforçant l’idée d’impunité.

    Quand le pouvoir est sous influence

    Les récentes révélations soulèvent la question d’une influence croissante de la cocaïne parmi les dirigeants. L’affaire évoque des scandales similaires à l’étranger, comme en Italie en 2016, où des députés avaient été filmés en train de consommer des drogues. Bien que des tentatives de répression des stupéfiants existent en France, certains élus semblent hors de portée des lois. Ces incidents récents appellent à des enquêtes indépendantes pour rétablir la crédibilité des institutions et la confiance des citoyens envers leurs dirigeants.

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  • Le 9 novembre 2024, Ludwig Andreas, traducteur du livre “SS malgré moi” d’Elimar Schneider, était l'invité de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Son ouvrage explore une facette méconnue de l'histoire française durant la Seconde Guerre mondiale. L'auteur du livre, Elimar Schneider, offre un témoignage inédit sur son parcours tumultueux et controversé au sein de la Waffen-SS.

    “SS malgré moi” d’Elimar Schneider

    Né en Alsace en 1926, Elimar Schneider a été enrôlé de force en 1944 dans la Waffen-SS, au sein de la redoutée division Das Reich. Contraint de combattre pour une cause qu'il ne soutenait pas, Schneider a vécu une double allégeance : il a commencé la guerre en tant que citoyen français et l'a terminée en tant que soldat allemand. Bien qu'il ait dû porter l'uniforme nazi, son engagement n'était pas idéologique. Sa loyauté se portait envers ses camarades d'armes, partisans involontaires d'une guerre qui n'était pas la leur.

    Schneider se distingue par son humanité, ayant notamment sauvé la vie de deux otages français. À travers ce récit poignant, il souligne l'ambiguïté des choix imposés par la guerre, dévoilant une facette rarement explorée du conflit : celle des soldats forcés de servir sous un drapeau ennemi.

    Les complexités du choix : entre devoir et moralité

    Loin des stéréotypes simplistes du soldat nazi, ce récit dévoile un quotidien où la survie prime sur toute idéologie politique. Les jeunes hommes comme Schneider ont souvent été étiquetés comme des traîtres, mais leur situation était bien plus nuancée. Arrachés à leur identité française pour endosser un uniforme allemand, symbole d'un régime qu'ils méprisaient, ces soldats ne juraient fidélité ni au Führer, ni à ses idéaux, mais à leurs camarades d’infortune.

    Sur le champ de bataille, le lien avec leurs frères d’armes devenait un refuge face à l’horreur ambiante. Cette facette méconnue de l’Histoire révèle la complexité des dilemmes éthiques auxquels étaient confrontés ces jeunes hommes des territoires annexés par le Troisième Reich.

    Un témoignage qui déconstruit l’histoire officielle

    Le livre d'Elimar Schneider, SS malgré moi, nous invite à questionner la mémoire collective et la manière dont l’histoire est écrite par les vainqueurs. Contrairement aux idées reçues, tous les membres de la Waffen-SS n’étaient pas des criminels de guerre. Schneider insiste sur le fait qu’il n’a jamais participé à des atrocités, luttant avant tout pour sa propre survie et celle de ses compagnons.

    Appartenant à la division Das Reich, tristement célèbre pour le massacre d’Oradour-sur-Glane, Elimar Schneider témoigne de l’importance de distinguer les actes des unités de ceux des individus. Son récit prend un tournant surprenant lorsqu’il révèle comment, au péril de sa vie, il a sauvé deux otages français. Ce geste montre qu’au cœur des forces nazies, il existait des hommes animés par des valeurs humaines.

    Le livre nous rappelle avec force que la réalité historique est souvent plus nuancée que ne le laisse entendre le récit officiel.

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  • Le 8 novembre 2024, Maître Alexandre Varaut et Lara Stam étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !

    Maître Alexandre Varaut est un avocat expérimenté et député européen, engagé dans la défense des intérêts nationaux et des droits individuels. En tant que représentant au Parlement européen, il participe activement aux discussions législatives, notamment sur des questions juridiques et de souveraineté, tout en mettant en avant une vision indépendante et critique des politiques supranationales.

    Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.

    L’Europe sous pression américaine

    Depuis des décennies, les élites européennes ont abandonné leur autonomie stratégique sous le parapluie américain, suivant les directives de Washington sans remise en question, créant une dépendance profonde. Cette situation expose l’Europe à des risques, car elle place son avenir entre les mains d’un allié qui, sous la présidence renouvelée de Trump, a clairement exprimé son refus de jouer les protecteurs.

    La réélection de Trump marque une rupture nette. Fidèle à sa vision souverainiste, il ne veut plus financer une protection coûteuse pour une Europe affaiblie. Au lieu de jouer le suzerain, il impose une compétition économique et commerciale impitoyable.

    Quand les BRICS s’affirment, l’Europe se fragilise

    Alors que des puissances comme les BRICS affirment leur souveraineté, l’Union européenne s’attache à un modèle d’intégration supranationale de plus en plus obsolète. Cet élan mondial vers la souveraineté, incarné par Trump, rappelle aux Européens ce qu’ils ont perdu : des nations libres et capables de défendre leurs propres intérêts.

    L’UE, en sacrifiant ses valeurs nationales au profit d’une union fragile, devient impuissante face aux nouveaux rapports de force. Alors que les États-Unis, la Russie, la Chine et les BRICS renforcent leur indépendance, l’Union européenne apparaît isolée, tiraillée entre idéaux globalistes et pragmatisme. Cette montée des États-nations expose les faiblesses de l’UE, qui peine à répondre aux attentes de citoyens de plus en plus méfiants envers le projet européen.

    Trump réélu, les rêves européens de Macron s’effondrent

    Malgré cette réalité, certains dirigeants européens, comme Macron, s’obstinent à promouvoir l’idée d’une Europe unie et autonome. La réélection de Trump remet en question ce projet. L’ambition d’une « Europe de la défense » ou d’une « Europe stratégique » semble devenir une illusion, freinée par un manque de ressources et des divergences croissantes entre États membres.

    Des pays comme la Pologne et la Hongrie prônent des politiques souverainistes, rendant le rêve d’une Europe puissante et unifiée de plus en plus irréaliste. La vision de Macron pour une Europe forte semble déconnectée des réalités et des aspirations populaires, nombreux étant les citoyens qui considèrent cette intégration poussée comme une fuite en avant sans garantie de souveraineté. Sans réponse claire à ces attentes, l’Union européenne risque d’être marginalisée face à des puissances plus autonomes et résolues.

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  • Le 8 novembre 2024, Mike Borowski décryptait le rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine, une alliance qui pourrait défier l’ordre mondial et affaiblir les élites globalistes, sur GPTV.

    La nouvelle alliance qui inquiète l’État profond
    Peu après la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles américaines, Vladimir Poutine a tendu une main politique en déclarant : « Si quelqu’un veut reprendre contact, cela ne me dérange pas. Je suis prêt. » Ce message montre un intérêt pour une collaboration potentielle entre la Russie et les États-Unis.

    Dans sa première interview post-élection, Trump a renforcé cette idée en affirmant : « Je pense que nous allons nous parler. » Ce rapprochement pourrait dépasser le simple dialogue pour incarner un front commun contre l’État profond mondialiste, réseau influent d’élites. La question qui se pose : un axe États-Unis-Russie se formerait-il pour défier l’ordre établi ?

    Un espoir de paix grâce à Trump et Poutine ?
    Depuis la guerre en Ukraine, les relations entre l’Occident et la Russie se sont tendues. La vision de Trump, qui critique les conflits longs et coûteux, contraste avec celle de ses prédécesseurs. Réfractaire aux interventions militaires, il prône des solutions diplomatiques pour promouvoir la paix et la prospérité intérieure.

    Pour Poutine, Trump pourrait être un allié pragmatique sensible aux enjeux de sécurité en Europe de l’Est. Cette entente pourrait-elle apporter une issue au conflit ukrainien ? Certains y voient un potentiel de trêve, d’autres doutent d’une alliance durable. Cependant, une trêve orchestrée par Trump et Poutine marquerait un point de rupture avec l’hégémonie des élites globalistes, initiant une ère de coopération basée sur des intérêts communs plutôt que sur des lignes idéologiques figées.

    La fin d’un monde unipolaire
    Le retour de Trump pourrait bouleverser de nombreux équilibres mondiaux. Une alliance avec la Russie remettrait en cause le système unipolaire actuel dominé par l’Occident. Cette entente possible pourrait symboliser la fin d’un ordre mondial inspiré du néolibéralisme, critiqué pour son incapacité à répondre aux attentes des peuples.

    Si cette collaboration se concrétisait, elle aurait des répercussions pour l’Europe, qui pourrait perdre de l’influence face à une alliance renforcée. L’Union européenne, axée sur une politique centralisatrice, serait confrontée à un bloc d’États-nations affirmant leur souveraineté. L’alliance Trump-Poutine représenterait alors une alternative au contrôle des élites, promouvant un ordre mondial basé sur la souveraineté nationale et le respect des cultures.

    Les implications de cette alliance ne s’arrêteraient pas là. En redéfinissant les priorités stratégiques, ce duo pourrait influencer la politique énergétique, les alliances commerciales et les équilibres militaires, impactant les relations internationales dans leur ensemble. Ce nouveau modèle pourrait esquisser un monde multipolaire où les États-nations regagneraient du contrôle sur leur destinée.

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  • Le 8 novembre 2024, François Martin et Philippe Karsenty étaient les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Philippe Karsenty est un homme politique et entrepreneur français, connu pour son engagement en faveur de la liberté de la presse et de l’information. Il a acquis une notoriété internationale pour son combat juridique contre France 2 concernant le reportage controversé sur la mort de Mohammed Al-Durah en 2000.

    Les États-Unis de Trump

    Le retour de Trump marque un changement majeur pour les États-Unis et le monde. L’Amérique de Trump adopte une participation active dans un système multipolaire, où chaque nation peut revendiquer sa part de leadership, en rupture avec l’unipolarité néoconservatrice. Trump reconnaît que les puissances émergentes doivent être intégrées dans l’ordre mondial. Il incarne une vision d’une Amérique acceptant cette nouvelle réalité tout en cherchant à maintenir sa place au sommet.

    Trump voit cette compétition multipolaire comme un moyen de redynamiser les États-Unis, convaincu qu’ils peuvent non seulement rivaliser mais aussi se surpasser. Cette vision résonne auprès du peuple américain, désireux de conserver la première place. L’Amérique de Trump défend ses intérêts sans imposer sa volonté, misant sur une concurrence équitable valorisant le mérite.

    L’Europe en retrait face à une Amérique ambitieuse

    Alors que l’Amérique de Trump s’engage dans cette compétition mondiale, l’Europe semble marquer le pas. L’Union Européenne, autrefois modèle d’influence et de prospérité, apparaît aujourd’hui fragilisée et désorientée face aux bouleversements géopolitiques. La France, sous Macron, s’éloigne de sa vocation universelle, délaissant peu à peu son rôle de phare pour l’humanité, adoptant des politiques favorisant la soumission aux intérêts étrangers.

    Ce déclin contraste fortement avec l’élan américain sous Trump. L’Europe, minée par des divisions internes et une dépendance croissante envers des puissances extérieures, semble vouée à une place secondaire dans un monde multipolaire. La vision de Trump est tournée vers un avenir de puissance et de compétitivité. Sans un réveil politique, l’Europe risque de perdre son influence mondiale, laissant la voie libre aux puissances affirmant leur rôle.

    Entre ambition et passivité

    Trump incarne la force de l’Amérique et sa capacité à se réinventer face aux défis. L’Amérique adopte une posture proactive, prête à affronter les puissances émergentes, avec une résilience ancrée dans la compétition saine. À travers Trump, les États-Unis montrent que leur leadership repose sur des bases solides, et non sur une hégémonie imposée. Ce modèle inspire au-delà des frontières américaines.

    Tandis que Trump relance l’ambition américaine, l’Union Européenne et la France semblent vouées à un rôle d’observateurs du nouveau monde multipolaire. Pour retrouver sa place, l’Europe doit changer de cap et prendre en main son destin ou s’effacer.

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