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  • In the cosmos of the world of jewelry, subjects are as various and diverse as the galaxies that gravitate together in the jewellery planetary system that GemGenève has built.

    GemGenève, which has become a cultural event, offers to theirs exhibitors and visitors a wide range of topics around jewelry and provide their knowledge on current affairs.

    I've joined them all together in one universe, the 7th season of the jewellery-themed podcast Il était une fois le bijou.

    In this episode, I invite you to explore a new nebula, that of the mysterious opal, with Jürgen Schütz, Managing Director of Emil Weis Opals.

    I'm Anne Desmarest de Jotemps and I give a voice to jewelry , every Sunday. Over the following weeks, I'll be alternating to my 2 other podcast : the Brillante podcast and the Le Bijou comme un bisou podcast.

    Do me a favor and support the podcasts by posting reviews, thumbs up and stars on Apple podcast and Spotify. Don't hesitate to share this podcast on your social media, and leave kind comments on the Il était une fois le bijou and GemGenève social medias.

    love jewel and good bye !


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Dans le cosmos qu’est le monde de la joaillerie, Les sujets sont nombreux et divers comme autant de galaxies qui gravitent ensembles dans le système planétaire joaillier que GemGenève a construit. Ce salon devenu événement culturel offre à ses exposants comme à ses visiteurs un ensemble de sujets d’exploration autour du bijou, des savoirs faire et des problématiques actuelles.

    Alors je les ai rassemblé dans un univers, la 7e saison, du podcast thématique de la joaillerie : Il était une fois le bijou.

    Pour cette émission je vous propose d’explorer une nouvelle nébuleuse celle des perles ou plutôt la planète où l’on prend soin de ses perles. Alors j’ai avec moi Sabine Gyger l’enfileuse et peleuse de perles qui a inscrit son savoir faire si particulier à l’Unesco.

    Elle nous explique sa technique si particulière d’enfilage des perles qui n’utilise pas de colle et est donc très exigente en termes d’exactitude technique.

    Puis nous abordons le pelage des perles, une technique très délicate donc onéreuse que l’on réserve aux perles naturelles.

    Enfin, Sabine nous donne plein de conseils pour bien porter et préserver ses perles.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, chaque dimanche. Les semaines suivantes je vous retrouverai en alternance sur le podcast Brillante et le podcast Le Bijou comme un bisou.

    Faites moi plaisir soutenez les podcasts en mettant des avis, des pouces et des étoiles sur Apple podcast et Spotify. N’hésitez pas à partagez ce podcast sur vos réseaux sociaux et à mettre des gentils commentaires sur les réseaux d’Il était une fois le bijou et de GemGenève.

    A tout bientôt !


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  • Dans le cosmos qu’est le monde de la joaillerie, Les sujets sont nombreux et divers comme autant de galaxies qui gravitent ensembles dans le système planétaire joaillier que GemGenève a construit. Ce salon devenu événement culturel offre à ses exposants comme à ses visiteurs un ensemble de sujets d’exploration autour du bijou, des savoirs faire et des problématiques actuelles Alors je les ai rassemblé dans un univers, la 7e saison, du podcast thématique de la joaillerie : Il était une fois le bijou.

    Pour cette épisode je vous propose d’explorer une nouvelle nébuleuse celle des perles. Et d’ailleurs que préférez vous : l’orient soyeux des perles nacrées blanches, rosées, dorées ou même noires-bleutées ou l’orange vif du Mélo et le rose intense et flamé du conch ? Avec Sandrine Totah vous partagerez votre amour des perles nacrées et avec Bertrand Ternat ce sera les perles porcelainées..

    Tous deux nous racontent leur passion pour ces gemmes entièrement naturelles et si diverses dans leurs couleurs et leurs formes. Ils nous dévoilent leur cuop de coeur, les particularités de ces perles. Ils nous expliquent comment on estime leur valeur et la variation de cette valeur. Ils nous alertent sur la pollution qui les fait disparaitre. Ils nous parlent du marché pour ces gemmes si rares.

    Une astuce : compte tenu de sa rareté, la perle est sous évaluée dans le marché. C’est peut être le moment de s’en procurer.

    J’espère que cet épisode vous plaira et que nous pourrons en parler ensemble lors de la prochaine édition du salon.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, chaque dimanche. Les semaines suivantes je vous retrouverai en alternance sur le podcast Brillante et le podcast Le Bijou comme un bisou.

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  • In the cosmos of the world jewelry, subjects are as numerous and diverse as the galaxies that gravitate together in the jewellery planetary system that GemGenève has built. GemGenève, which has become a cultural event, offers to theirs exhibitors and visitors a wide range of topics around jewelry and provide their knowledges and current issues.

    So I've brought them all together in one universe, the 7th season of the jewellery-themed podcast Il était une fois le bijou.

    For this show, I invite you to explore a new nebula, the one of antique jewelry, with Elli Abramov Morelle Davidson and Steve Neckman.

    They talk about their first purchase, how the antique jewelry market evolves according to the buyer, how they get together to buy a very expensive piece and reveal some of their trade secrets.....

    I'm Anne Desmarest de Jotemps and I give a voice to jewelry , every Sunday. Over the following weeks, I'll be alternating to my 2 other podcast : the Brillante podcast and the Le Bijou comme un bisou podcast.

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    Love jewel and good bye !


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  • Dans le cosmos qu’est le monde de la joaillerie, Les sujets sont nombreux et divers comme autant de galaxies qui gravitent ensembles dans le système planétaire joaillier que GemGenève a construit. Ce salon devenu événement culturel offre à ses exposants comme à ses visiteurs un ensemble de sujets d’exploration autour du bijou, des savoirs faire et des problématiques actuelles.

    Alors je les ai rassemblé dans un univers, la 7e saison, du podcast thématique de la joaillerie : Il était une fois le bijou.

    Pour cette émission je vous propose d’explorer une nouvelle nébuleuse celle des collectionneurs qui sont à la fois les clients et les marchands des bijoux et objets anciens. Et pour pénétrer dans cet univers de passionnés, je vous invite à entendre Herbert Horovitz et Nicolas Torroni collectionneurs avertis qui ont accepté de se prêter à l’interview.

    Herbert Horovitz , amoureux de l’art nouveau à commencer par collectionner les les livres joailliers de cette époque puis tous les livres d’art de ce courant, puis les livres sur la joaillerie d’autres époques puis les secteur connexes : gemmologie, orfèvrerie, dinanderie,... Aujourd’hui ce sont plus de 5000 pièces qui forment sa collection.

    Nicolas Torroni collectionne les pièces de l’artiste Ravasco dont il admire la créativité autant que le savoir faire. Il a déjà collectionné 30 pièces de cet artiste.

    Tous deux expliquent qu’être collectionneur est une façon d’être et qu’ils rassemblent aussi d’autres collections. Créer une collection est un véritable travail, non seulement pour chercher les pièces mais aussi pour les cataloguer, les recenser et les rendre accessibles. Car transmettre est aussi une passion, du partage de la collection par la création de livre, le prêt pour exposer ses trésors jusqu’à la possible vente de la collection.

    Bien sûr il faut des moyens pour acheter des pièces mais il faut surtout de la passion mais aussi de la patience, de la persévérance et ne pas hésiter à se lever tôt pour saisir une occasion !

    J’espère que cet épisode vous plaira et que nous pourrons en parler ensemble lors de la prochaine édition du salon.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, chaque dimanche. Les semaines suivantes je vous retrouverai en alternance sur le podcast Brillante et le podcast Le Bijou comme un bisou.

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  • Tout d’abord je voudrais vous remercier pour vos écoutes et votre fidélité. Grace à vous mes podcasts natifs Il était une fois le bijou, le bijou comme un bisou et brillante ont réuni autant de fans que le spectacle à guichet fermé de DJ Snake au Parc des Princes en 2022. et je ne vous cache pas que cela me réjouit.

    Ces dernières années ont été complexes et la paix n’est pas partout revenue, alors aujourd’hui plus que jamais il faut se féliciter des victoires grandes ou petites que l’on obtient avec notre travail et nos créations. Et je n’ai pas peur de dire que je suis fière de vous avoir convaincu que le bijou et le savoir faire se racontent et s’écoutent.

    Cette année je vais donc me donner un nouveau défi, celui de vous convaincre d’intégrer le podcast dans votre stratégie de communication. Et non seulement de réaliser des partenariats avec mes podcasts natifs mais aussi et surtout de créer pour vous, clé en main, votre podcast de marque, la radio de votre Maison. Alors mon deal de 2024 sera de faire naître avec vous, et pour vous la 1e agence de podcasts spécialisée dans la joaillerie, le bijou, le savoir faire d’excellence et le luxe.

    Comme Marie Curie je me dis « La vie n’est facile pour aucun d’entre nous. Mais quoi, il faut avoir de la persévérance et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l’on est doué pour quelque chose, et que, cette chose il faut l’atteindre coûte que coûte. »

    Et vous, quel est votre défi pour 2024 ? racontez le moi sur les réseaux et ensemble on se dit : Mazal

    musique : Life Facts and Reality - Kalfayan & Rodescu Kosinus


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  • Dans le cosmos qu’est le monde de la joaillerie, Les sujets sont nombreux et divers comme autant de galaxies qui gravitent ensemble dans le système planétaire joaillier que GemGenève a construit. Ce salon devenu événement culturel offre à ses exposants comme à ses visiteurs un ensemble de sujets d’exploration autour de l’histoire du bijou, des savoirs faire ou des problématiques actuelles. Alors je les ai rassemblé dans un univers, cette nouvelle saison, la 7e, du podcast thématique Il était une fois le bijou.

    Pour cette émission je vous propose d’explorer une nouvelle nébuleuse celle de automates musicaux. Des merveilles d’hier comme d’aujourd’hui qui rassemblent le génie créatif, les savoirs faire d’excellence, le défi de la miniaturisation, et bien sûr la magie de l’animation des objets.

    Aussi, je vous invite à entendre Estelle Fallet, la conservateur en chef au Musée d’Art et d’Histoire de Génève, en charge du domaine Horlogerie, Emaillerie, Bijouterie et Miniatures et François Junod, considéré comme le plus grand automatier du monde, qui en plus de ses oeuvres animées originales est le créateur notamment du célèbre automate la Fée Ondine créé pour Van Cleef & Arpels.

    Ensemble, ils racontent l’histoire des automates et les techniques qui se sont échangées entre l’Asie et l’Europe au cours du temps.

    Ils expliquent combien il est difficile de préserver, de réparer, d’entretenir ces oeuvres et François Junod nous parle technique mécanique.

    Estelle Fallet raconte les plus belle pièces du Musée d’Art et d’Histoire de Génève.

    François Junod explique ses créations récentes et la formation de ses apprentis.

    J’espère que cet épisode vous plaira et que nous pourrons en parler ensemble le mois prochain lors de la nouvelle édition du salon avant de nous retrouver sur ce podcats en janvier pour une nouvelle série d’épisodes sur la joaillerie.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, chaque dimanche. Les semaines prochaines je vous retrouverai en alternance sur le podcast Brillante et le podcast Le Bijou comme un bisou.

    Faites moi plaisir soutenez les podcasts en mettant des avis, des pouces et des étoiles sur Apple podcast et Spotify et partagez ce podcast sur vos réseaux sociaux.

    A tout bientôt !


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  • Dans le cosmos qu’est le monde de la joaillerie, Les sujets sont nombreux et divers comme de galaxies qui gravitent ensemble dans le système planétaire joaillier que GemGenève a construit. Ce salon devenu événement culturel offre à ses exposants comme ses visiteurs un ensemble de sujets d’exploration autour de l’histoire du bijou, des savoirs faire ou des problématiques actuelles. Alors je les ai rassemblé dans un univers, cette nouvelle saison, la 7e, du podcast thématique Il était une fois le bijou.

    Pour cette émission je vous propose d’explorer une nouvelle nébuleuse celle de la durabilité. C’est-à-dire les différents moyens que le secteur joaillier met en oeuvre pour garantir une exploitation juste des ressources, pour sécuriser la planète comme les moyens d’existence de chacun des acteurs.

    Aussi, je vous invite à entendre les gemmologues suisse et française Chloe Picard et Marie Chabrol qui mettent leur conviction en pratique notamment à travers la jeune association Gemmologie & Francophonie et la revue appelée « Gemmes » .

    En effet la durabilité c’est la normalisation de toutes les étapes de l’exploitation minières à la création du bijou. C’est la tracabilité des matières mais aussi la redistribution des richesses aux sociétés locales. C’est l’accompagnement des petites mines dans leur mise en conformité. C'est le sourcing des gemmes comme la décision de l'exploitation au moment de leur découverte. Et tellement d'autres chantiers dont les impacts sont bénéfiques mais complexes.

    Après écoute de ce 3e épisode des Univers de GemGenève. Je vous donne RDV le mois prochain pour la 4e émission, un moment privilégié de découverte et d’information sur la joaillerie pour patienter jusqu’à la prochaine édition du salon !

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, chaque dimanche. Les semaines prochaines je vous retrouverai en alternance sur le podcast Brillante et le podcast Le Bijou comme un bisou.

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    A tout bientôt !


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  • In the cosmos that is the world of jewelry, the subjects are as numerous and diverse as the galaxies that gravitate together in the jewellery planetary system that GemGeneve has built. The show has become a cultural event, offering exhibitors and visitors alike a wide range of subjects to explore, from the history of jewelry to know-how and current issues. So I've brought them all together in one universe, in this new season, the 7th, of the thematic podcast Il était une fois le bijou.

    For this second show, I propose to explore a nebula of what we might call the Lost Arts. In other words, the jeweler's skills that have disappeared or become rare, but still bear witness to the excellence of a specific skill and teaching.

    To explore the ways of lapidary, I invite you to listen to Justin K Prim. He is a gemmologist, travel adventurer and gentleman lapidary and founder of MagusGems, his e-boutique for cut gems and jewelry.
    He is also a historian, teacher and author of The Secret Teachings of Gemcutting.

    Justin K Prim explains the lapidary trade and goes back in time to talk about its history, as well as the different tools and techniques used in gem cutting. He also point out the difficulty of finding new apprentices, as gem cutter are often the hidden crafstmen of the jewellery industry.

    Thank you for listening to this episode of GemGeneve Universes. I look forward to seeing you in September for the 3rd show, a privileged moment of discovery and information about jewelry to tide you over until the next edition of the show!

    I'm Anne Desmarest de Jotemps, and I'll be giving jewelry a voice, every Sunday. Over the next few weeks, I'll be joining you on the Brillante podcast before inviting you to join me on Le Bijou
    comme un bisou.

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    A tout bientôt !


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  • Dans le cosmos qu’est le monde de la joaillerie, Les sujets sont nombreux et divers comme autant de galaxies qui gravitent ensemble dans le système planétaire joaillier que GemGenève
    a construit. Ce salon devenu événement culturel offre à ses exposants comme ses visiteurs un ensemble de sujets d’exploration autour de l’histoire du bijou, des savoirs faire ou des problématiques actuelles. Alors je les ai rassemblé dans un univers, cette nouvelle saison, la 7e, du podcast thématique Il était une fois le bijou.

    Pour cette première émission je vous propose d’explorer une nébuleuse de ce qu’on pourrait appeler les Arts Perdus. C’est-à-dire les savoirs-faire joailliers, qui ont disparus ou sont devenus rares mais témoignent toujours de l’excellence d’un tour de main et d’un enseignement spécifique.

    Pour étudier les voies du lapidaire je vous invite à entendre Emmanuel Piat qui dirige la Maison parisienne du même nom où la tradition de lapidaire est reconnue depuis plusieurs générations. Et Hugo Massy, Lauréat du Prix de la Fondation Éric Horovitz et actuellement en apprentissage de ce savoir-faire d’excellence auprès d’Emmanuel Piat.

    Emmanuel et Hugo nous expliquent leurs secrets de lapidaire pour qu’une pierre soit sublime : les techniques, l’ajustement table-couronne-culasse, la recherche de la lumière et la valorisation de la couleur. Tout cela bien sûr en enlevant un minimum de poids pour conserver la valeur des gemmes.

    Hugo nous partage son apprentissage, les tailles qu’il préfère, son amour de la taille et son respect pour ce savoir faire.

    Emmanuel expose les différences de valeurs que réalisent la taille, la notion d’exception et celle de l’inclusion des pierres et la variation de la demande qui impacte producteurs et acheteurs. Il raconte que ce métier a justement failli disparaitre par manque de demande mais que ces dernières années un nouvel amour s’est emparé de la Place Vendôme ce qui permet
    de rechercher à nouveau ce talent de lapidaire. Malheureusement les maîtres capables d’enseigner sont rares autant en Suisse qu’en France et l’apprentissage est devenu de la responsabilité de l’Atelier. Ecoutez bien, vous entendrez la méthode d’Emmanuel pour savoir si un apprenti deviendra lapidaire !

    Merci d’avoir écouter ce premier épisode des Univers de GemGeneve. Je vous donne RDV le mois prochain pour la 2e émission, un moment privilégié de découverte et d’information sur la joaillerie pour patienter jusqu’à la prochaine édition du salon !

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, chaque dimanche. Les semaines prochaines je vous retrouverai d’abord sur le podcast Brillante avant de vous inviter sur Le Bijou comme un bisou.

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    A tout bientôt !


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  • Bonjour, vous savez combien j’aime la joaillerie, les bijoux, les savoirs faire, les gemmes. Et bien jai été gâtée. Le salon Gemgeneve m’a fait le plaisir de m’ouvrir ses portes, alors voici le Résultat : la 7e saison d’Il était une fois le bijou. Elle est un peu spéciale. D’habitude je prends un thème et chaque épisode le décrypte.
    Cette fois, ce sont les épisodes qui chaque mois constitueront le thème. C’est pourquoi elle s’appelle Univers. Celui de cet événement culturel qu’est GemGenève.

    Bien sûr la joaillerie est déjà tout un univers.

    C’est un cosmos car les métaux sont arrivés sur terre lors de l’explosion des étoiles. Et les gemmes sont constitutifs de la création de notre planète.

    Ce sont des secteurs aussi divers que concomitant la joaillerie, la gemmologie, les lapidaires et diamantaires, les gouacheurs et les designers, ou encore les sailers et les collectionneurs.

    L’univers de la joaillerie ce sont des savoirs et des tours de mains aussi divers qu’extraordinaires. Comme les lapidaires, les polisseurs, les peleurs de perles, les sertisseurs,... et tant d’autres.

    Et bien sûr la joaillerie est un univers culturel, c’est l’histoire de ce métiers et de la société, des parures et du pouvoir, des arts et de l’ornement.

    c’est tout cela les univers de Gemgeneve

    parce que c’est salon,

    c’est une découverte,

    c’est une promotion des jeunes designers,

    c’est une célébration des savoirs faire,

    c’est un émerveilleument devant les splendeurs de la terre et les créations d’hier,

    c’est un rassemblement de professionnels qui se connaissent et s’estiment,

    c’est un événement culturel,

    Alors c’est aussi un bonheur !

    Ces émissions diffuseront chaque mois un contenu de savoir-faire, de beauté et de créations et seront entre les temps de rencontres présentiels un moment privilégié de découverte et d’information des thèmes de la joaillerie et des gemmes, des savoirs et des problématiques du secteur. jusqu’à la prochaine édition !

    A tout bientôt !


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  • Bienvenue dans cette saison 6 consacrée aux bijoux de l’île de la Réunion.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, pour cela partout où je vais, je regarde les bijoux et bien sûr j’emmène mes micros, même en vacances. Et justement cet été je suis allée à La Réunion. Et j’ai été frappée par les bijoux qui expriment intrinséquement cette île avec dans l’ordre les volcans qui les ont créé, la nature comme cadeaux des Dieux et les tortues comme déesse nourissière. Alors j’ai cherché les joailliers et bijoutiers les meilleurs pour vous parler de leur spécialité et de leur savoir-faire.

    J’ai dû montrer pattes blanches car en plus d’être une Zoreille, je cumule le désavantage d’être une Métro mais au final je vous propose au bout de mon micro de découvrir dans ce 4e et dernier épisode Olivier Haorau, médiateur culturel du MADOI, le Musée des Arts Décoratifs de l’Océan Indien.

    Il raconte les références culturelles et cultuelles de la Réunion, l'histoire et les savoir faire, les matériaux et les mélanges d'inspirations.

    A travers certaines pièces du MADOI, il décrit comment la diversité des origines se conjuguent dans les objets que l'on appellent pei.

    Il narre les différentes origines des réunnionais et le savoir faire qui les rassemble.

    Voici la page du podcast le lien pour le MADOI, le Musée des Arts Décoratifs de l’Océan Indien.

    https://museesreunion.fr/madoi/

    Si vous avez aimé cet dernier épisode du podcast il était une fois le bijou partagez le sur les réseaux sociaux.

    Si vous souhaitez faire parler de vos bijoux et de votre maison je serai ravie de vous accueillir en partenaire dans mes podcasts natifs ou vous accompagner pour créer votre propre podcast.

    La semaine prochaine je vous donne RDV sur le podcast Le bijou comme un bisou, juste avant notre RDV du 16 mars sur le podcast Brillante.

    Nartrouv’ ou Narvu sa !


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  • Bienvenue dans cette saison 6 consacrée aux bijoux de l’île de la Réunion.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, pour cela partout où je vais, je regarde les bijoux et bien sûr j’emmène mes micros, même en vacances. Et justement cet été je suis allée à La Réunion. Et j’ai été frappée par les bijoux qui expriment intrinséquement cette île avec dans l’ordre les volcans qui les ont créé, la nature comme cadeaux des Dieux et les tortues comme déesse nourissière. Alors j’ai cherché les joailliers et bijoutiers les meilleurs pour vous parler de leur spécialité et de leur savoir-faire.

    J’ai dû montrer pattes blanches car en plus d’être une Zoreille, je cumule le désavantage d’être une Métro mais au final je vous propose au bout de mon micro de découvrir dans ce 3e épisode l’écailliste, Harry Nicole Payet.

    Il nous raconte différentes les tortues, leur protection et combien son métier est exceptionnel car le stock a été réparti entre 4 écaillistes et ne sera plus jamais renouvelé.

    Il nous explique le travail de cette matière particulière et ses techniques propres.

    Il nous raconte les couleurs, les grandeurs et les transparences et nous partage sa conviction que c’est une matière magique. Car en plus d’être une matière précieuse à l’égale des pierres fines ou du jade, c’est à chaque fois une pièce unique. En effet chaque écaille est unique ! Il dit « c’est une matière qui se marrie avec tout et traverse le temps ».

    Je vous mets le lien pour l’écailliste, Harry Nicole Payet

    http://le-tabou.france-artisanat.fr/

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    Si vous souhaitez faire parler de vos bijoux et de votre maison je serai ravie de vous accueillir en partenaire dans mes podcasts natifs ou vous accompagner pour créer votre propre podcast.

    La semaine prochaine je vous retrouve sur le podcast Brillante, le podcast des femmes de la joaillerie. Notre RDV sur le podcast le bijou comme un bisou sera le 2 mars. Mais notre prochain épisode sur ce podcast pour le 4e et dernier épisode de cette saison sera le 26 mars et nous entendrons Olivier haonau, le médiateur cuturel du MADOI, le Musée des Arts Décoratifs de l’Océan Indien

    Nartrouv’ ou Narvu sa !


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  • Bienvenue dans cette saison 6 consacrée aux bijoux de l’île de la Réunion.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, pour cela partout où je vais, je regarde les bijoux et bien sûr j’emmène mes micros, même en vacances. Et justement cet été je suis allée à La Réunion. Et j’ai été frappée par les bijoux qui expriment intrinséquement cette île avec dans l’ordre les volcans qui les ont créé, la nature comme cadeaux des Dieux et les tortues comme déesse nourissière. Alors j’ai cherché les joailliers et bijoutiers les meilleurs pour vous parler
    de leur spécialité et de leur savoir-faire.

    J’ai dû montrer pattes blanches car en plus d’être une Zoreille, je cumule le désavantage d’être une Métro mais au final je vous propose au bout de mon micro de découvrir dans ce 2e épisode la bijoutière des graines, Ann Gauthier.

    Elle n’utilise que les plantes qui poussent à La Réunion et celles de son jardins : pas moins de 28 espèces ! et nous fait découvrir les couleurs et les variétés : graines de l’Eglise, larmes de Job, langue de vieille femmes, perles de Zamzibar, graines du palmier royal nain, pois du mangal marbré ou tamarin de line,....

    Elle partage ainsi sont amour de la nature et des bijoux. Elle explique que les graines voyagent avec l’océan et avoue « je ne travaille que les graines que j’aime ».

    Merci d’avoir écouter cet épisode du podcast il était une fois le bijou consacrée aux bijoux de l’île de La Réunion. Je vous mets dans la page du podcast le lien pour trésor-nature, le site d’Ann Gauthier la bijourières des graines.

    https://tresors-nature.fr/

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    La semaine prochaine je vous donne RDV sur le podcast Le bijou comme un bisou et le 12 mars nous nous retrouverons sur ce podcast pour le 3e épisode des bijoux consacrée aux bijoux de La Réunion, juste avant notre RDV du 16 mars sur le podcast Brillante.

    Nartrouv’ ou Narvu sa !


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  • Bienvenue dans cette saison 6 consacrée aux bijoux de l’île de la Réunion.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, pour cela partout où je vais, je regarde les bijoux et bien sûr j’emmène mes micros, même en vacances.
    Et justement cet été je suis allée à La Réunion. Et j’ai été frappée par les bijoux qui expriment intrinséquement cette île avec dans l’ordre les volcans qui les ont créé, la nature comme cadeaux des Dieux et les tortues comme déesse nourissière. Alors j’ai cherché les joailliers et bijoutiers les meilleurs pour vous parler de leur spécialité et de leur savoir-faire.

    J’ai dû montrer pattes blanches car en plus d’être une Zoreille, je cumule le désavantage d’être une Métro mais au final je vous propose au bout de mon micro de découvrir dans ce 1e épisode le joaillier de la lave, Gérard Tamaya.

    La Réunion s’est créée par l’éruption de volcans qui signent sa géographie autour du Piton des Neiges et du Piton de la Fournaise qui est encore actif et surveillé quotidiennement. C’est dire si le volcan est constitutif de l’île. Alors le joaillier Gérard Tamaya a cherché à exprimer cette fusion dans un bijou.

    Il nous explique d’abord la constitution de la lave dont toutes les transformations cristalines ne sont pas exploitables en joaillerie. Et puis il nous parle de sa technique spécifique de fusion du métal precieux et des morceaux de lave. Ses bijoux ressemblent à des pépites qui emprisonnent et présentent la lave sans sertissage. Il garde ainsi l’intensité de l’émotion de la fusion dans le bijou.

    Son prochain défi sera de réussion la fusion de la lave et du diamant, mais pour l’instant il garde ses recherches secrètes.

    J’espère que vous aurez aimé ce 1er épisode du podcast il était une fois le bijou consacrée aux bijoux de l’île de La Réunion. Je vous mets dans la page du podcast le lien du site de Garard Tamaya, le joaillier de la lave.

    http://bijouterie-tamaya.fr/

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    Si vous souhaitez faire parler de vos bijoux et de votre maison je serai ravie de vous accueillir en partenaire dans mes podcasts natifs ou vous accompagner pour créer votre propre podcast.

    La semaine prochaine je vous donne RDV sur le podcast Le bijou comme un bisou et le 16 février nous nous retrouverons le podcast Brillante.

    Le 2e épisode sur ce podcast pour cette saison 6 d’Il était une fois le bijou consacrée aux bijoux de La Réunion sera le 26 février.

    Nartrouv’ ou Narvu sa !


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Bienvenue dans cette nouvelle saison consacrée aux bijoux de l’île de la Réunion.

    Vous me connaissez, je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux, pour cela partout où je vais, je regarde les bijoux et bien sûr j’emmène mes micros, même
    en vacances. Et justement cet été je suis allée à La Réunion. Et j’ai été frappée par les bijoux de cette île qui ont une multitude de symboles et une grande diversité de formes.

    Les bijoux de la Réunion montrent une foultitude de représentation végétale : arbre voyageur, bambou, laurier, piment, fagot de canne à sucre ou palmier. La flore et la faune offre aussi une multitude de motifs joailliers avec pèle-mèle les hisbiscus et les dauphins, la fleur de frangipanier et le geiko, la fleur de vanille et le dodo ou encore l’orchidée et la tortue.

    D’autres bijoux traduisent la nature de l’île. Il y a les incarnations du département avec la carte du territoire et le numéro 974, les vagues et les volcans qui représentent la situation géographique et les « paille en queue », l’oiseau emblématique de la Réunion. Et puis il y a les bijoux en lave parce que La Réunion s’est créée par l’éruption de volcans qui signent sa géographie autour du Piton des Neiges et du Piton de la Fournaise qui est encore actif et surveillé quotidiennement.

    Alors voilà mon interrogation : tous ces bijoux traduisent la nature mais pas l’humanité. En fait, c’est parfaitement normal parce que La Réunion était une île déserte ! L’île est née il y a 3 millions d’années mais n’est humainement occupée que depuis le XVIIe. Ce sont la colonisation et l’esclavage qui la peupleront. Cet héritage douloureux se ressent encore aujourd’hui. Les réunionnais se définissent toujours par leur origine : il y a les Zoreilles, les Kaf, les Yab, les Malbar, les Zarab et les Sinwa. En bijoux, c’est bien pourquoi, chacun conserve ses habitudes de parures qui ne se répendent pas. Et c’est bien pourquoi, ce qui représente La Réunion en bijoux sont surtout les symboliques de la nature.

    Ainsi dans « une sociologie des enthousiasmes », comme le définirait le sociologue Bertrand Pulman. les énergies et les dynamiques sociétales de ces colons et esclages devenus citoyens d’une même île, se trouvent décuplées par le jeu des émotions partagées : celles de leur amour pour leur île. La logique symbolique et graphique des bijoux de La Réunion témoigne de ce que le sociologue Marcel Mauss appelle un « fait social » c’est-à-dire qu’ils sont le symbole d’une vue d’ensemble créée par l’intéraction des différents individus et institutions qui cohabitent et coexistent de concert.

    Par cela, Les bijoux de La Réunion s’enracinent dans un passé, même déshumanisé, qui fait leur force et exprime l’avenir.

    Par cela, ils s’ancrent dans les territoires de l’imaginaire qui subliment les souvenirs douloureux dans une esthétique réconciliatrice.

    Par cela, ces bijoux rassemblent les différences pour rayonner vers le monde.

    Les bijoux de la Réunion expriment intrinséquement leur île avec dans l’ordre les volcans qui les ont créé, la nature comme cadeaux des Dieux et les tortues comme déesse nourissière. Alors j’ai cherché les joailliers et bijoutiers les meilleurs pour vous parler de leur spécialité et de leur savoir-faire. J’ai dû montrer pattes blanches car en plus d’être une Zoreille, je cumulais le désavantage d’être une Métro mais au final j’ai eu, au bout de mon micro Gérard Tamaya, le joaillier de la lave, Ann Gauthier la bijoutière des graines, l’écailliste Harry Nicole Payet et Olivier Hoarau le médiateur culturel du MADOI le Musée des Arts Décoratifs de l’Océan Indien.

    J’espère vous donnez envie de découvrir avec eux les bijoux de la Réunion et je vous donne RDV la semaine prochaine pour le 1er épisode.

    Nartrouv’ ou Narvu sa !

  • En matière de voeux, je vous souhaite et je me souhaite un 2023 encore meilleur.

    Cette année a été intense et complexe. On en attendait tant ! La possibilité de voyager et de retrouver les proches était une liberté immense retrouvée. Un espoir intense dans les affaires qui reprennent et une volonté de se donner à fond dans plein de projets. 2022 a été tout cela. Mais on oublie toujours que rien n’est jamais simple. On voudrait que tout arrive à flot et aisément. Et pourtant le bonheur c’est, comme toujours, comme avant, quand on se dépasse ou quand on franchit les étapes. Car c’est quand la vie n’est pas un fleuve tranquille qu’elle a du goût.

    Décembre m’a laissé épuisée alors j’ai dû regarder en arrière. Et en regardant cette année je suis touchée par vos messages, les longs coups de fils et les petits mots que nous avons partagés. En regardant cette année, je fière du chemin parcouru, des articles générés, des partenariats et des podcasts de marque créés. Alors je vous remercie, vous mes auditeurs, mes partenaires, mes clients, je vous remercie de vos écoutes et de votre confiance, je vous remercie de partager avec moi cet amour du bijou.

    Vous aussi, regardez cette dernière année et je suis sure que vous serez fiers du chemin réalisé. 2023 sera encore meilleure.

    Je vous ai préparé une nouvelle saison d’Il était une fois le bijou, de nouvelles Brillante et plein d’histoires de bijou comme un bisou et d’autres surprises.

    Dites moi vos envies d’émission, vos projets podcats et bien sûr vos bijoux.

    Comme Jacques Brel « je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns »

    Et ensemble nous créerons un 2023 encore meilleur.


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  • Bienvenue sur Il était une fois le bijou, le seul podcast thématique de la joaillerie, dans cette nouvelle saison consacrée aux bijoux et aux montres érotiques où je vous propose comme Michel Onfray, un Art de Jouir qui dépasse la lignée morale, pour réhabiliter une pensée hédoniste mais concentrée en joaillerie et horlogerie.

    Parce que l’érotisme ce n’est ni le sexe, ni l’amour, ni la pornographie mais toutes les émotions qui provoquent l’ardeur et stimulent les appétits. Et, cet appel ardant est suggéré, entretenu, démultiplié par les représentations culturelles et artistiques, les plus susceptibles de réchauffer les sens. Et en ce sens les œuvres de nombreux artistes joailliers et horlogers évoquent Eros, réchauffent la flamme, suggèrent les fantasmes et même stimulent la concupiscence.

    Alors je vous propose en quelques épisodes, de découvrir comment le bijou et la montre reflète à travers le temps, l’érotisme sulfureux des interdits d’autrefois comme le jouir ludique des différentes époques.

    Je vous invite à décrypter les représentations sociales que le bijou érotique indique. Et
    pour que le plaisir soit complet, je vous entraine au milieu des gardes temps licencieux
    et des montres libertines.

    Dans ce 6e et dernier épisode, Céline Gaslain –Leduc, docteur en histoire de l’Art
    raconte le bijou érotique classique. Elle nous emmène dans les mondes anciens de la Mésopotamie, ou de la Grèce antique et nous décrypte comment le bijou, qui n’est pas en soi érotique, sert un corps érotisé comme la Bulla laquelle marque le passage à l’âge adulte.

    Elle nous explique que les bijoux et objets en forme de phallus n’ont pas du tout une mission d’érotisme mais plutôt de protection.

    Elle souligne ainsi les changements de conception : se parer de beaucoup de bijoux peut être considéré dans notre époque moderne comme l’apanage de la gourgandine. A l’opposé, dans les mondes anciens le porté de bijoux était réservé à l’épouse et participait à sa position sociale.

    C'était le dernier épisode pour effeuiller le sujet du bijoubet de la montre érotique. Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux chaque dimanche et j’émets en alternance sur mes 3 podcasts !

    Dans les prochaines semaines j’aurais le plaisir de vous accueillir sur mes autres podcasts Le bijou comme un bisou le podcast des histoires de bijoux et le podcast Brillante le podcast des femmes de la joaillerie. Alors, pour ne manquez aucun de nos rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de ces 3 podcasts sur votre plate-forme d’écoute préférée et encouragez-moi en partageant l’épisode sur vos réseaux sociaux. Si vous êtes sur Apple podcast, Spotify ou sur You Tube mettez de jolis commentaires, des pouces ou des étoiles c’est ce qui permet de faire monter le référencement des podcats !

    Si vous aussi vous avez envie de faire parler vos bijoux et votre Maison je serai ravie de vous accompagner pour réaliser votre podcast de marque ou de vous accueillir en partenaire dans mes podcast natifs.

    Belle écoute, en joyau et avec amour !

    Création sonore et Ingénierie du son : Alice Krief – Les Belles Fréquences

    Création graphique Ghinwa Achkar


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  • Bienvenue sur Il était une fois le bijou, le seul podcast thématique de la joaillerie, dans cette nouvelle saison consacrée aux bijoux et aux montres érotiques où je vous propose comme Michel Onfray, un Art de Jouir qui dépasse la lignée morale, pour réhabiliter une pensée hédoniste mais concentrée en joaillerie et horlogerie.

    Parce que l’érotisme ce n’est ni le sexe, ni l’amour, ni la pornographie mais toutes les émotions qui provoquent l’ardeur et stimulent les appétits. Et, cet appel ardant est suggéré, entretenu, démultiplié par les représentations culturelles et artistiques, les plus susceptibles de réchauffer les sens. Et en ce sens les œuvres de nombreux artistes joailliers et horlogers évoquent Eros, réchauffent la flamme, suggèrent les fantasmes et même stimulent la concupiscence.

    Alors je vous propose en quelques épisodes, de découvrir comment le bijou et la montre reflète à travers le temps, l’érotisme sulfureux des interdits d’autrefois comme le jouir ludique des différentes époques.

    Je vous invite à décrypter les représentations sociales que le bijou érotique indique. Et pour que le plaisir soit complet, je vous entraine au milieu des gardes temps licencieux et des montres libertines.

    Dans ce 5e épisode, Sylvie Monthulé nous raconte comment et pourquoi elle a créé sa
    marque de bijoux érotiques il y a 25 ans.

    Elle souligne les changements dans la conception de l’érotisme qui l’ont amené à concevoir ces Bijoux. Ce sont des bijoux qui ne percent pas le corps, hypoallergéniques, réalisés par des ateliers de joaillerie et bien sûr jolis.

    Elle remarquequ’aujourd’hui ces bijoux parent autant les corps féminins que masculins,
    sa clientèle est constituée de couples souvent hétérosexuels et que la parure du sexe masculin se démocratise au-delà de la sphère homosexuelle. Les bijoux érotiques montrent une nouvelle approche ludique de la sensualité et de la sexualité.

    Par exemple le bijou de clitoris permet autant à la femme de jouer toute seule, qui de se laisser admirer ou encore d’inciter à un jeu coquin.

    Elle note qu’aujourd’hui les hommes cherchent de plus en plus à satisfaire le plaisir féminin, notamment par la parure, et elle trouve que c’est bon signe.

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux chaque dimanche. Et notre prochain RDV pour effeuiller ce sujet du bijou érotique sera très bientôt car vous le savez j’émets en alternance sur mes 3 podcasts !

    Pour rendre votre attente croustillante j’aurais le plaisir de vous accueillir sur mes autres podcasts Le bijou comme un bisou le podcast des histoires de bijoux et le podcast Brillante le podcast des femmes de la joaillerie.

    Alors, pour ne manquez aucun de nos rendez-vous du dimanche autour du bijou, abonnez à chacun de ces 3 podcasts sur votre plate-forme d’écoute préférée et encouragez-moi en partageant l’épisode sur vos réseaux sociaux.

    Si vous êtes sur Apple podcast, Spotify ou sur You Tube mettez de jolis commentaires, des pouces ou des étoiles c’est ce qui permet de faire monter le référencement des podcasts !

    Si vous aussi vous avez envie de faire parler vos bijoux et votre Maison je serai ravie de vous accompagner pour réaliser votre podcast de marque ou de vous accueillir en partenaire dans mes podcast natifs.

    A la semaine prochaine, en joyau et avec amour !

    Création sonore et Ingénierie du son : Alice Krief – Les Belles Fréquences

    Création graphique Ghinwa Achkar


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  • Bienvenue sur Il était une fois le bijou, le seul podcast thématique de la joaillerie, dans cette nouvelle saison consacrée aux bijoux et aux montres érotiques où je vous propose comme Michel Onfray, un Art de Jouir qui dépasse la lignée morale, pour réhabiliter une pensée hédoniste mais concentrée en joaillerie et horlogerie.

    Parce que l’érotisme ce n’est ni le sexe, ni l’amour, ni la pornographie mais toutes les émotions qui provoquent l’ardeur et stimulent les appétits. Et, cet appel ardant est suggéré, entretenu, démultiplié par les représentations culturelles et artistiques, les plus susceptibles de réchauffer les sens. Et en ce sens les œuvres de nombreux artistes joailliers et horlogers évoquent Eros, réchauffent la flamme, suggèrent les fantasmes et même stimulent la concupiscence.

    Alors je vous propose en quelques épisodes, de découvrir comment le bijou et la montre reflète à travers le temps, l’érotisme sulfureux des interdits d’autrefois comme le jouir ludique des différentes époques.

    Je vous invite à décrypter les représentations sociales que le bijou érotique indique. Et pour que le plaisir soit complet, je vous entraine au milieu des gardes temps licencieux et des montres libertines.

    Dans ce 4e épisode, Delphine Antoine, l’historienne de l’art et fondatrice de la galerie Vissi d’Arte , explique la notion d’érotisme liée à la considération de la femme en 1900 et 1970.

    En 1970, les artistes qui sont des hommes sentent les prémices de la liberté nouvelle des femmes et le traduisent en bijoux en montrant une femme littéralement fatale c’est-à-dire dévoreuse d’hommes. A cette époque l’abondance de bijoux signe la courtisane qui ne détient son pouvoir que dans l’exploitation de l’homme par la seule arme qu’elle détient : le sexe.

    L’Art Nouveau montre cette nouvelle femme en réaction aux allégories de l’époque prude de Napoléon III. Et les bijoux témoignent bien sûr de cette conception notamment la broche Libellule monumentale en devant de corsage de 30 cm faite par René Lalique pour Sarah Bernhardt (et actuellement à la fondation Gulbenkian à Lisbonnes) qui montre une femme dénudée, sensuelle et prédatrice.

    En 1970, la nouvelle liberté demandée autant par les hommes que les femmes fait naitre des bijoux qui soulignent l’érotisme revendiqué d’une façon également humoristique. Les bijoux expriment crument ou symboliquement une goumandise sensuelle et un érotisme partagé entre l’homme et la femme.

    Ces 2 époques était des moments d’abondance, alors dans le bijou le matériau précieux servait plus de support à la créativité que d’objet de statement. Aujourd’hui on voit apparaitre un porno quelque fois chic car la société change et l’incertitude incite plutôt à investir dans les matériaux nobles même si l’esprit est plus noir.

    Pour les amateurs le bijou érotique est à chiné et à chasser partout car il n’y a pas de ventes dédiées Delphine Antoine conseille de suivre ses coup de cœur et si on peut les assortir du poids de l’or et de la certitude d’une signature c’est encore mieux.

    N’hésitez pas à partager vos coups de cœur sur @iletaitunefoislebijou

    Je suis Anne Desmarest de Jotemps et je donne une voix aux bijoux chaque dimanche. Encouragez-moi en partageant l’épisode sur vos réseaux sociaux.

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