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À mesure que les scientifiques documentent toujours plus finement les effets du réchauffement climatique sur notre système Terre, le temps de la crise écologique s'impose comme celui de l'urgence absolue. Comment attendre une minute de plus face à la montée des périls environnementaux ?
Cette urgence ne date toutefois pas d'hier : ces dernières décennies, les prises de conscience écologiques se succèdent sans que rien ne semble pouvoir inverser les mouvements délétères des destructions et dégradations de notre environnement.
Comment expliquer cela ? Au fait que « la matrice du temps écologique se situe hors du temps des sociétés humaines », souligne l’historien Grégory Quenet, invité de ce nouveau podcast de The Conversation France, aux côtés de l’anthropologue Verónica Calvo Valenzuela et du théologien Olric de Gelis. Tout trois sont membres de la Chaire Laudato Si du Collège des Bernardins. Initiée en 2021, ce cycle de recherche « pour une nouvelle exploration de la Terre » prendra fin au printemps 2024.
Conception, Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet.
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Dans ce nouvel épisode, on s’intéresse aux enjeux économiques et à leur rôle dans la crise climatique. Notre obsession pour la croissance est-elle responsable de la crise climatique et plus généralement des dérèglements environnementaux ? Sur quels nouveaux indicateurs économiques s’appuyer pour assurer la survie de la biosphère ? Après la pandémie de Covid, pourquoi mettre la question de la santé et du bien-être au cœur de ces enjeux est devenu incontournable pour envisager l’avenir ?
Autant de questions que nous abordons avec Éloi Laurent, enseignant à Sciences Po et à l’Université de Stanford, économiste senior à l’Observatoire français des conjonctures économiques. Ses travaux portent sur les questions de bien-être et de soutenabilité environnementale. On peut trouver ses deux derniers ouvrages, Sortir de la croissance, Et si la santé guidait le monde ? en édition de poche.
Credits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni.
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Aujourd'hui, Antoine Arjakovsky, directeur de recherche au Collège des Bernardins, fondateur de l’Institut d’études œcuméniques de Lviv et auteur de plusieurs ouvrages dont Occident-Russie : Comment sortir du conflit ?, revient sur un mur moins physique, mais tout aussi infranchissable : celui qui sépare l’opposition russe à Vladimir Poutine, emprisonnée, réduite au silence ou contrainte à l'exil, de ses concitoyens.
Une opposition dont plusieurs représentants se sont notamment réunis lors de la dernière édition du Forum Normandie, en présence d'Antoine Arjakovsky, pour rédiger ensemble un texte appelant à la fin de l'agression russe contre Ukraine et à la démocratisation de leur pays. Ces objectifs relèvent-ils du voeu pieux ? Comment les pays qui accueillent ces opposants peuvent-ils les aider ?
Crédits, conception et animation, Grégory Rayko. Réalisation, Rayane Meguenni
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Si l’expérience esthétique est universelle, chaque milieu social en définit
cependant les formes et le format. Cette simple considération permet de réintégrer dans le même domaine les arts dits « légitimes », et des ensembles de pratiques culturelles considérées comme « illégitimes » dont pourtant, l’expérience esthétique est tout à fait similaire.
Au lieu de définir la culture en se penchant sur différents objets culturels, Fabrice Raffin nous propose de l'aborder par le prisme de l'expérience, en adoptant un point de vue sociologique.
Le moment de l'expérience esthétique culturelle a toujours une fonction sociale, définie par des règles précises : il est par exemple autorisé d'exprimer ses émotions, quand l'expérience est collective - pleurer au cinéma, crier au concert, chanter à un match de foot… Et même quand nous vivons ces expériences seuls, il s'agit encore de s'inscrire dans une communauté d'appartenance. Enfin, cette expérience émotionnelle et physique peut également être associée à la notion de plaisir - n'en déplaise à la conception philosophique héritée de Kant et Hegel.
Crédits : conception et animation, Sonia Zannad ; réalisation, production, Rayane Meguenni.
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Le mois de décembre 2022 va constituer un moment important de la protection de la biodiversité au niveau mondial avec la tenue, à Montréal, de la COP15 (7-19 décembre). Son objectif sera de définir le nouveau cadre de cette protection pour la décennie à venir. Le contexte de la sixième extinction de masse réclame des actions fortes et sans délai pour préserver les écosystèmes naturels terrestres, dont les sociétés humaines tirent une variété infinie de services (on les appelle « services écosystémiques »).
L’un des points clés en cours de discussion concerne la protection de l’intégrité de ces écosystèmes naturels sur 30 % des terres et des mers à échéance de 2030 (pour les mers, sont concernées les zones sous juridiction nationale). C’est ce que l’on appelle « l’objectif 30x30 ». Cette dynamique d’expansion des aires protégées constitue aujourd'hui l'un des axes principaux de la protection du patrimoine naturel mondial.
Si les êtres humains ont toujours cherché à protéger des territoires particuliers, de manière temporaire ou permanente, ce qu'on définit aujourd'hui comme « aires protégées » est apparu dans la seconde moitié du XIXe siècle. Parmi ces premiers espaces figurent, par exemple, la « réserve artistique » de la forêt de Fontainebleau, créée en 1861, le parc régional du Yosemite (États-Unis, 1864) ou encore le parc national du Yellowstone (États-Unis).
Les aires protégées existent dans presque tous les pays du monde, présentant des tailles très différentes d’un continent à l’autre. Elles répondent également à une classification précise en six catégories, établie par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Mais que signifie concrètement « protéger » 30% de la planète ? Et comment cela se passe-t-il sur le terrain ? Ces espaces représentent-ils une « mise sous cloche », comme l’avancent leurs détracteurs ? Cette politique des aires protégées se fait-elle aux dépens des populations qui y vivent ? Et comment savoir si elles sont efficaces ?
Crédits : conception et animation, Jennifer Gallé. Réalisation et production, Rayane Meguenni
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Sécheresse et canicules inédites, montée des eaux, biodiversité en chute libre… Partout dans le monde, les effets de la crise climatique se font sentir, de plus en plus intensément. Face à ce constat, documenté par les scientifiques dans les fameux rapports du GIEC, certains vivent dans la crainte qu’un point de non-retour soit atteint.
Et si, au-delà des chiffres et des situations effrayantes, on s’intéressait aux initiatives qui portent leurs fruits ? C’est l’objet de « Défis climatiques : ces initiatives qui font bouger les lignes » une série de cinq podcasts réalisée en partenariat avec l’Institut des hautes études pour la science et la technologie. Objectif : appréhender les mobilisations et les actions qui permettent de faire face à la crise climatique et qui donnent de l’espoir.
Dans ce troisième épisode, on revient sur les phénomènes récents de la sécheresse, comme celle qui a touché la France à l’été 2022, et des inondations, exceptionnelles comme au Pakistan où les pluies de mousson ont causé un grand nombre de victimes. Sous l’effet des dérèglements climatiques, notre météo devient de plus en plus contrastée. Comment les travaux de modélisation et les prévisions des scientifiques peuvent-ils nous permettre de mieux appréhender ces situations ?
Pour revenir sur ces évolutions et ce qui nous attend, nous recevons l’hydrologue Vazken Andréassian, hydrologue et directeur de l'unité de recherche HYCAR (Inrae), dont les travaux portent sur la modélisation hydrologique.
Crédits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique, « Night », Kosmorider, 2022.
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La cinquième édition du Forum mondial Normandie pour la Paix – une manifestation annuelle dont The Conversation France est partenaire — s'est déroulée cette année les 23 et 24 septembre sous le mot d'ordre « À bas les murs ! Ces enfermements qui font les guerres ». Dans la continuité de ces deux journées qui ont donné lieu à une vingtaine de conférences et débats entre universitaires, responsables politiques et personnalités de la société civile, nous vous proposons deux podcasts, avec deux intervenants au Forum : l'historienne Sabine Dullin (Sciences Po), spécialiste de la Russie et de l'URSS, et le politologue Patrick Maurus (Inalco), expert des deux Corées.
Le premier épisode, en compagnie de Sabine Dullin, revient sur les 28 années d'existence de l'un des murs les plus célèbres de l'Histoire : celui de Berlin, érigé en 1961 et abattu en 1989.
Ce sinistre édifice qui entourait la totalité de Berlin Ouest était immédiatement devenu le symbole de la division de l'Europe, voire du monde, en deux camps antagonistes. Sa chute, rapidement suivie de celle de l'URSS et de l'ensemble du « bloc communiste », avait, croyait-on, annoncé l'avènement d'une ère de paix et de coopération. Mais un nouveau schisme s'est progressivement fait jour entre la Russie et le reste de l'Europe. Tandis que la plupart des anciens satellites de Moscou intégraient l'Otan, un revanchisme russe de plus en plus sensible s'est exprimé, dont l'invasion de l'Ukraine le 24 février 2022 a été l'aboutissement sanglant. Si bien que le continent apparaît aujourd'hui plus que jamais scindé en deux parties…
Sabine Dullin, qui a notamment publié La Frontière épaisse (éditions EHESS) en 2014, un Atlas de la guerre froide (éditions Autrement) en 2017 et L'Ironie du destin. Une histoire des Russes et de leur Empire (éditions Payot) en 2021, nous permet de mieux comprendre ces processus qui semblent condamner l'Europe à des scissions sans cesse renouvelées.
Crédits, conception et animation, Grégory Rayko. Réalisation, Rayane Meguenni.
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Sécheresse et canicules inédites, montée des eaux, biodiversité en chute libre… Partout dans le monde, les effets de la crise climatique se font sentir, de plus en plus intensément. Face à ce constat, documenté par les scientifiques dans les fameux rapports du GIEC, certains vivent dans la crainte qu’un point de non-retour soit atteint.
Et si, au-delà des chiffres et des situations effrayantes, on s’intéressait aux initiatives qui portent leurs fruits ? C’est l’objet de « Défis climatiques : ces initiatives qui font bouger les lignes » une série de cinq podcasts réalisée en partenariat avec l’Institut des hautes études pour la science et la technologie. Objectif : appréhender les mobilisations et les actions qui permettent de faire face à la crise climatique et qui donnent de l’espoir.
Dans ce deuxième épisode, on s'aventure sur le terrain de la justice et du droit. Depuis quelques années, la justice climatique prend de l'ampleur. En France et ailleurs dans le monde, des citoyens saisissent des tribunaux pour dénoncer «l'inaction climatique » et tenter
d'agir en faveur de l'environnement. Quelle est la portée de ces nouvelles formes de mobilisation ?
Pour nous éclairer sur ces questions, nous recevons la juriste et chercheuse Judith Rochfeld, professeur de droit privé à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne. Judith Rochfeld a codirigé le Dictionnaire des biens communs et a publié en 2020 un essai intitulé Justice pour le climat, les nouvelles formes de mobilisations citoyennes.
Crédits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Musique, « Night », Kosmorider, 2022
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Sécheresse et canicules inédites, montée des eaux, biodiversité en chute libre... Partout dans le monde, les effets de la crise climatique se font sentir, de plus en plus intensément. Face à ce constat, documenté par les scientifiques dans les fameux rapports du GIEC, certains vivent dans la crainte qu'un point de non-retour soit atteint.
Et si, au-delà des chiffres et des situations effrayantes, on s'intéressait aux initiatives qui portent leurs fruits ? C'est l'objet de « Défis climatiques : ces initiatives qui font bouger les lignes » une série de 5 podcasts réalisée en partenariat avec l'Institut des hautes études pour la science et la technologie. Objectif : appréhender les mobilisations et les actions qui permettent de faire face à la crise climatique et qui donnent de l'espoir.
Dans ce premier épisode, on s'interroge sur les leviers efficaces d'action : à quelle échelle agir –au global, au local, en réseau ? On tentera aussi de
comprendre ce qui peut favoriser l'action ou, au contraire, l'inhiber. Pour nous accompagner dans cette réflexion nous recevons Catherine Larrère professeur émérite à l'université Paris I-Panthéon-Sorbonne.
Précurseuse, en France, de la philosophie environnementale, Catherine Larrère a écrit plusieurs ouvrages dans ce domaine, dont un certain nombre avec son mari l'agronome et sociologue Raphaël Larrère. Leur dernier livre, « Le pire n'est pas certain », a été publié en septembre 2020 aux éditions Premiers Parallèle.
Crédits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Musique, « Night », Kosmorider, 2022.
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Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ?
Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.
Dans ce cinquième et dernier épisode de notre série de podcasts «Facteur (mal)chance», Christophe Haag revient sur l'une des plus grandes découvertes de l'expert américain en épaves et trésors engloutis E. Lee Spence : l'épave du sous-marin le Hunley, disparu en mer en 1863. Cet « Indiana Jones » en chair et en os l'avait cherché pendant des années… Pourtant, il a fini par le trouver par hasard lors d'une sortie en mer avec un ami en 1970. Peut-on dès lors parler d'un authentique coup de chance ? Pas si sûr…
Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique, « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011.
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Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ?
Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.
Le quatrième épisode de notre série de podcasts «Facteur (mal)chance» décrypte le pouvoir de la gentillesse au travers du témoignage de François Sarano, compagnon du Commandant Jacques-Yves Cousteau. L'emblématique explorateur marin se caractérisait en effet par une bienveillance qui lui a permis de vivre et de faire vivre à son équipe des aventures exceptionnelles. De quoi tordre le coup aux idées reçues sur une qualité généralement perçue comme une faiblesse...
Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique: « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011
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Dans cette série de podcasts « La science au service de l’humanitaire » nous nous nous intéressons aux collaborations qui peuvent naître de la rencontre entre la science et des organismes humanitaires tels que la Croix-Rouge ou Handicap International.
Dans ce second épisode, il est question de l’association entre l’Institut National des sciences appliquées (INSA) et l'ONG Handicap International. Le partenariat entre ces deux institutions à pour but de rendre accessible le matériel médical - et notamment les prothèses et orthèses - au plus grand nombre.
Pour en parler, nous recevons Jérôme Chevalier, professeur en sciences des matériaux à l'INSA de Lyon et Pierre Gallien, directeur innovation à Handicap International.
Crédits, Conception et Animation, Benoît Tonson, Réalisation, Rayane Meguenni.
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Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ?
Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.
Le troisième épisode de notre série «Facteur (mal)chance» s'intéresse au parcours de Mykel Hawke. Cet ancien des forces spéciales américaines, qui s'est ensuite reconverti dans le documentaire télé, a tout connu : les combats et les missions de sauvetage dans les pires zones de conflits, la lutte contre les trafiquants de drogue en Colombie, etc. S'il est encore en vie aujourd'hui, « Captain Hawke » ne le met pas uniquement sur le compte de la chance, mais aussi sur une force mentale qu'il s'est patiemment forgée...
Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique: « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011
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Dans cette série de podcast « La science au service de l’humanitaire » nous nous intéressons aux collaborations qui peuvent naître de la rencontre entre la science et des organismes humanitaires tels que La Croix Rouge ou Handicap international.
Dans ce premier épisode, il est question de l’association entre l’Institut National des sciences appliquées (INSA) et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
En effet, ces deux institutions se sont données comme objectif de développer des nouvelles technologies pour faciliter la recherche et l’identification de personnes disparues dans des contextes de catastrophes ou de migration par exemple.
Pour en parler nous recevons Charles Dossal enseignant-chercheur en mathématiques appliquées à l’INSA de Toulouse et Jose Pablo Baraybar directeur de la mission « forensics » du Comité international de la Croix-Rouge consacrée aux migrants disparus en Méditerranée.
Crédits, Conception et Animation, Benoît Tonson, Réalisation, Rayane Meguenni.
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Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ?
Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.
Le deuxième épisode de notre série de podcasts, «Facteur (mal)chance» revient sur l'incroyable histoire d'Annette Hefkens, la seule survivante du vol 474 de la compagnie Vietnam Airlines qui s'est écrasé le 14 novembre 1992. Cette tradeuse de Wall street parviendra par la suite à survivre huit jours dans la jungle hostile. Elle se définit aujourd'hui comme une « malchanceuse chanceuse ».
Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique: « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011
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Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ?
Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.
Dans ce premier épisode de notre série « Facteur (mal)chance », Christophe Haag revient sur le parcours du Belge Damien Meurisse, présent au Bataclan au soir du 13 novembre 2015 et victimes de plusieurs accidents graves dans sa vie, dont l'un qui l'a rendu paraplégique en 2018. Pourtant, comme vous le découvrirez, ce dernier s'estime plutôt appartenir au camp des veinards…
Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni.
Musique : « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011
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On l’appréhende, on la prépare, on l’accompagne. Et quel que soit l’état d’esprit dans lequel elles se sentent le jour J, la rentrée en crèche est un tournant dans la vie des familles.
Pour les parents, il s’agit de voir d’autres adultes entrer dans la vie de leur enfant, et de leur faire confiance. Pour les bébés, c’est le grand bain de la vie en collectivité qui va commencer.
Car la fonction sociale des crèches ne se résume pas à la fonction de « mode de garde ». Certes, ce sont des lieux d’accueil qui permettent aux parents de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Mais ce sont aussi des « lieux de développement, de socialisation et d’éveil », nous dit le projet autour des « 1000 premiers jours » lancé au niveau national.
Avec Catherine Bouve, maîtresse de conférences en sciences de l’éducation à l'Université Sorbonne Paris-Nord, on se penche dans cette série en trois épisodes sur ce rôle des crèches, leur fonctionnement, les attentes qu’on fait peser sur elles. Et donc sur la vision de l’enfance que cela dessine.
Dans ce troisième épisode, on va interroger l’intérêt croissant pour la petite enfance aujourd’hui, qui découle des découvertes de la recherche sur le développement de l’enfant. Si on se préoccupait peu des besoins psychologiques du tout-petit, aujourd'hui, serait-on passé à l'excès inverse, dans une sorte de course à la performance ?
Crédits, Conception et Animation, Aurélie Djavadi, Réalisation, Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni.
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On l’appréhende, on la prépare, on l’accompagne. Et quel que soit l’état d’esprit dans lequel les familles se sentent le jour J, la rentrée en crèche est un tournant dans leur vie.
Pour les parents, il s’agit de voir d’autres adultes entrer dans la vie de leur enfant, et de leur faire confiance. Pour les bébés, c’est le grand bain de la vie en collectivité qui va commencer.
Car la fonction sociale des crèches ne se résume pas à la fonction de « mode de garde ». Certes, ce sont des lieux d’accueil qui permettent aux parents de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Mais ce sont aussi des « lieux de développement, de socialisation et d’éveil », nous dit le projet autour des « 1000 premiers jours » lancé au niveau national.
Avec Catherine Bouve, maîtresse de conférences en sciences de l’éducation à l'Université Sorbonne Paris-Nord, on se penche dans cette série en trois épisodes sur ce rôle des crèches, leur fonctionnement, les attentes qu’on fait peser sur elles. Et donc sur la vision de l’enfance que cela dessine.
Dans ce deuxième épisode, on va s’intéresser à la vie en collectivité des tout-petits et à ce que la crèche est censée leur apporter.
Crédits, Conception et Animation, Aurélie Djavadi, Réalisation, Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni.
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On l’appréhende, on la prépare, on l’accompagne. Et quel que soit l’état d’esprit dans lequel les familles se sentent le jour J, la rentrée en crèche est un tournant dans leur vie.
Pour les parents, il s’agit de voir d’autres adultes entrer dans la vie de leur enfant, et de leur faire confiance. Pour les bébés, c’est le grand bain de la vie en collectivité qui va commencer.
Car la fonction sociale des crèches ne se résume pas à la fonction de « mode de garde ». Certes, ce sont des lieux d’accueil qui permettent aux parents de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Mais ce sont aussi des « lieux de développement, de socialisation et d’éveil », nous dit le projet autour des « 1000 premiers jours » lancé au niveau national.
Avec Catherine Bouve, maîtresse de conférences en sciences de l’éducation à l'Université Sorbonne Paris-Nord, on se penche dans cette série en trois épisodes sur ce rôle des crèches, leur fonctionnement, les attentes qu’on fait peser sur elles. Et donc sur la vision de l’enfance que cela dessine.
Dans ce premier épisode, on s'interroge sur ce qui se joue dans cette première séparation entre parents et enfants, à l'entrée en crèche, à l'aide de l'histoire et de la sociologie.
Crédits, Conception et Animation, Aurélie Djavadi, Réalisation, Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni.
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Orange, pétillant, amer, le spritz qui envahit les terrasses aux premiers beaux jours nous vient de Vénétie dans le nord de l’Italie, où on en boit depuis la première moitié du XIXe siècle. Cocktail né sous l’influence de l’empire autrichien -- d’où la consonance du mot, c’est depuis 2010, à la faveur d’un coup marketing qu’il devient très à la mode. Le spritz a ce côté à la fois chic et simple, fun, sophistiqué, rétro et moderne qui séduit toutes les générations et bien des palais assoiffés.
Extraits
« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.
« Week-End à Rome », Etienne Daho, 1984.
« Voyage en Italie », Lilicub, 1995.
Crédits
Conception et animation, Sonia Zannad, réalisation, Romain Pollet, chargé de production, Rayane Meguenni H1rZ7LqBTam8o9Bm9K6J
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