Episoder
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L'édition 2024 des 24 h a mis plus que jamais l'hydrogène en avant. Zidane passager de l'Alpine Alpenglow Hy4, la H24 EVO dévoilée en statique au sein d'un village hydrogène de 2 500 m2, la catégorie H2 des 24 h recalée à 2028 avec de l'hydrogène liquide. La semaine a été riche en annonces.
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Boutons "start" difficiles à trouver, leviers de vitesses pas commodes, écrans avec trop de menus : on a le sentiment que le progrès technique se traduit parfois par un recul. J'ai beau aimer la techno, les constructeurs devraient essayer de simplifier l'utilisation de leurs modèles sur les voitures hybrides et électriques.
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Renault, Geely, mais aussi Toyota, Mazda et Subaru... Voilà des constructeurs qui pensent qu'il faut continuer à développer le moteur thermique en parallèle de l'électrification. Des moteurs qui ne brûleront pas de carburants fossiles, mais des carburants neutres en carbone.
Ces industriels ont d'ailleurs décidé de lancer des alliances pour développer le moteur à combustion de demain. On vous explique tout cela.
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C’est vrai qu’avec une dizaine de constructeurs, la thématique automobile était assez visible. Et l’événement cette année, c’était la présence de Tesla avec son Cybertruck. Mais, il y avait aussi BYD, Xpeng, Peugeot, Renault et quelques autres.
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L'accord entre Stellantis et Leapmotor fait beaucoup parler. Est ce que le groupe dirigé par Carlos Tavares a vendu son âme ? Abandonne-t-il pour autant tout espoir de faire une voiture électrique low cost ? Dans cette chronique, j'explique que les chinois sont de toute façon incontournables, et cela est vrai pour Stellantis comme pour Renault.
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A l'occasion des 6 h de Spa, Alpine a dévoilé l'Alpenglow Hy4. Il s'agit d'une voiture de course, profilée comme une Hypercar et intégrant un moteur à hydrogène. Une solution qui préserve le bruit et la sensation, la pollution en moins. La verra t on courir un jour aux 24 h du Mans ?
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Vous pensiez peut-être que la France allait marquer une pause dans l’électrification et peut-être reconsidérer le thermique ? Ce n’est pas du tout ce qui a été convenu entre les pouvoirs publics et la filière automobile. Le nouveau contrat de filière, signé ce 6 mai à Bercy, prévoit au contraire d’amplifier l’effort sur la période 2024-2027
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Alors que se tient le salon de Pékin, l'industrie automobile chinoise montre ses muscles. Batteries à charge ultra-rapide, véhicules électriques moins chers et plus sophistiqués avec de l'IA à bord : la concurrence peut se faire du souci.
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Fondée par le jeune pilote Olivier Lombard, la Hopium Machina se voulait la Tesla à la française, alimentée à l'hydrogène. Le projet est abandonné, mais il reste la pile à combustible développée pour cette berline de sport. Et la technologie de pointe pourrait permettre à la start-up française de rebondir. Premières livraisons en 2025 dans la mobilité lourde.
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Directeur Général du group Stellantis, Carlos Tavares est critiqué pour son salaire et ses sorties contre l'Europe pour avoir imposé l'électrique. Mais, ce moine soldat affiche des résultats et dit respecter son contrat. Qui peut dire le contraire ?
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Le monégasque Venturi a décroché un contrat de la NASA pour envoyer sur la lune un rover électrique, dont il a conçu les batteries et les roues hyper déformables. Rendez-vous en 2026. Gildo Pastor fait donc plus fort qu'Elon Musk. Et il a précédé d'ailleurs Tesla sur bien des plans. je vous en dis plus dans ce podcast.
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Il n'y a pas que l'électrique à batterie. A Paris, deux opérateurs de taxi - Hype et HysetCo - font la démonstration que le taxi à hydrogène a du sens. Les JO de Paris 2024 vont constituer une belle vitrine. Et les stations se développent en même temps que la flotte de taxis (essentiellement des Toyota Mirai, mais aussi des utilitaires de Stellantis). Des stations qui vont s'ouvrir aussi à d'autres clients.
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Xiaomi fait fort : contrairement à Apple qui a renoncé, ce champion des smartphones (numéro trois mondial) a lancé sa marque de voitures électriques. Son premier modèle, la SU7, vise clairement Tesla. Et en 24, le jeune constructeur a écoulé toute sa production pour 2024 (89 000 voitures).
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Adulé par une armée de fans, le constructeur américain souffre d'une concurrence plus rude et d'une baisse de la demande. Wall Street semble prendre de la distance par rapport à Elon Musk. Est-ce un tournant pour le marché de la voiture électrique ?
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Dans cet épisode, je vous parle de la "Lettre à l'Europe", rédigée par Lucas de Meo, le directeur général de Renault. Il propose une approche plus globale au lieu d'empiler des normes et de respecter enfin une neutralité technologique. Il suggère aussi de regrouper les forces vives pour faire des véhicules propres, connectés et autonomes. Des messages de bon sens que la nouvelle Commission Européenne et les futurs élus du Parlement Européen seraient bien inspirés de lire.
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A travers cet épisode, je me présente. je suis un journaliste automobile du monde d'avant qui a toujours suivi les évolutions dans la technologie. je pense être bien armé pour expliquer les enjeux de cette industrie automobile en pleine transformation, en étant plus crédible qu'un simple geek et que n'importe quel militant.