Episoder
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Ecrites au cours de l'été 1854, ces pièces méconnues explorent l'univers des légendes nordiques, si cher au maître de Hambourg.
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" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté. " Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, cʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent. Ainsi ouvrions-nous cette semaine L'Oreille d'abord au premier jour de cette série thématique consacrée à la Liberté dans Art. Aujourd'hui, cette après-midi musicale referme ce cycle avec un art du mouvement libéré par une personnalité dʹexception : la danse de Rudolf Nureev.
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" Le comique, ce n'est pas seulement du talent, mais c'est surtout un don, une façon de sentir, de pouvoir comprendre et la liberté dʹinterpréter ! " Louis de Funès
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" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté. " Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, c'ʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent.Cette semaine, L'Oreille d'abord explore la liberté dans lʹart à travers différentes cultures musicales, techniques dʹinterprétation, époques et personnalités.
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" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté. " Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, c'ʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent.Cette semaine, L'Oreille d'abord explore la liberté dans lʹart à travers différentes cultures musicales, techniques dʹinterprétation, époques et personnalités.
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" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté."Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, cʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent.Cette semaine, L'Oreille d'abord explore la liberté dans lʹart à travers différentes cultures musicales, techniques dʹinterprétation, époques et personnalités.
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La musique classique est omniprésente dans les albums de Tintin . De l'Air des bijoux du Faust de Gounod à Richard Wagner en passant par Satie, Bizet et Trenet, découvrez les airs qui ont fait vibrer (ou non) le petit reporter et son ami le vieux loup de mer.
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De la Création de Joseph Haydn au Popol Vuh dʹAlberto Ginastera en passant par les Elémens de Jean-Féry Rebel, la Création du Monde de Darius Milhaud ou encore lʹEpopée de Gilgamesh de Bohuslav Martinu, tour du monde des plus belles cosmogonies de lʹhistoire de la musique.
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Américain dʹorigine mais romand dʹadoption, Georges Templeton Strong était une figure marquante de son temps. Comme bon nombre de musiciens avant lui, le compositeur new-yorkais a choisi de sʹétablir sur les rives du Léman, dʹabord à la Tour-de-Peilz, puis à Genève où il sʹest éteint en 1948, à lʹâge de 92 ans. Brillant aquarelliste, il s'est lié d'amitié avec Ernest Ansermet qui a souvent défendu sa musique.Le pianiste Adalberto Maria Riva et le violoncelliste Christophe Pantillon évoquent le parcours étonnant et l'oeuvre colorée de ce "romantique du 20e siècle" tombé dans l'oubli.
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Wiesbaden et Francfort : les dernières décenniesNé à Lachen au bord du lac de Zurich, le 27 mai 1822 et mort à Francfort le 24 juin 1882, Joachim Raff a connu de son vivant une certaine notoriété. Ses oeuvres (en particulier ses symphonies) étaient jouées un peu partout en Europe et jusque sur le Titanic.Félix Mendelssohn fut l'un des premiers à découvrir son talent et à l'encourager. Franz Liszt l'a pris sous son aile et l'a engagé comme secrétaire particulier à Weimar où le jeune Joachim a pu cotoyer tout le gratin musical de l'époque. Sa route a ainsi croisé celle de Wagner, Brahms, Berlioz, Meyerbeer et bien d'autres. Raff a terminé son parcours comme directeur du Conservatoire de Francfort où sa candidature a coiffé au poteau celle de Brahms.A la rencontre de ce compositeur très prolifique dont la musique sort peu à peu de l'oubli dans lequel elle dormait, et connaît à la scène une reconnaissance méritée.
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Chez Franz Liszt, à WeimarNé à Lachen au bord du lac de Zurich, le 27 mai 1822 et mort à Francfort le 24 juin 1882, Joachim Raff a connu de son vivant une certaine notoriété. Ses oeuvres (en particulier ses symphonies) étaient jouées un peu partout en Europe et jusque sur le Titanic.Félix Mendelssohn fut l'un des premiers à découvrir son talent et à l'encourager. Franz Liszt l'a pris sous son aile et l'a engagé comme secrétaire particulier à Weimar où le jeune Joachim a pu cotoyer tout le gratin musical de l'époque. Sa route a ainsi croisé celle de Wagner, Brahms, Berlioz, Meyerbeer et bien d'autres. Raff a terminé son parcours comme directeur du Conservatoire de Francfort où sa candidature a coiffé au poteau celle de Brahms.A la rencontre de ce compositeur très prolifique dont la musique sort peu à peu de l'oubli dans lequel elle dormait, et connaît à la scène une reconnaissance méritée.
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Mendelssohn et Liszt, deux rencontres importantesNé à Lachen au bord du lac de Zurich, le 27 mai 1822 et mort à Francfort le 24 juin 1882, Joachim Raff a connu de son vivant une certaine notoriété. Ses oeuvres (en particulier ses symphonies) étaient jouées un peu partout en Europe et jusque sur le Titanic.Félix Mendelssohn fut l'un des premiers à découvrir son talent et à l'encourager. Franz Liszt l'a pris sous son aile et l'a engagé comme secrétaire particulier à Weimar où le jeune Joachim a pu cotoyer tout le gratin musical de l'époque. Sa route a ainsi croisé celle de Wagner, Brahms, Berlioz, Meyerbeer et bien d'autres. Raff a terminé son parcours comme directeur du Conservatoire de Francfort où sa candidature a coiffé au poteau celle de Brahms.A la rencontre de ce compositeur très prolifique dont la musique sort peu à peu de l'oubli dans lequel elle dormait, et connaît à la scène une reconnaissance méritée.
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Une enfance en Suisse : Lachen et ZurichNé à Lachen au bord du lac de Zurich, le 27 mai 1822 et mort à Francfort le 24 juin 1882, Joachim Raff a connu de son vivant une certaine notoriété. Ses oeuvres (en particulier ses symphonies) étaient jouées un peu partout en Europe et jusque sur le Titanic.Félix Mendelssohn fut l'un des premiers à découvrir son talent et à l'encourager. Franz Liszt l'a pris sous son aile et l'a engagé comme secrétaire particulier à Weimar où le jeune Joachim a pu cotoyer tout le gratin musical de l'époque. Sa route a ainsi croisé celle de Wagner, Brahms, Berlioz, Meyerbeer et bien d'autres. Raff a terminé son parcours comme directeur du Conservatoire de Francfort où sa candidature a coiffé au poteau celle de Brahms.A la rencontre de ce compositeur très prolifique dont la musique sort peu à peu de l'oubli dans lequel elle dormait, et connaît à la scène une reconnaissance méritée.
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Abondamment citée par les réalisateurs, sa musique donne sa couleur unique à quelques-uns des plus beaux films de notre temps.
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De Bucéphale aux montures des Walkyries, en passant par la folle envolée du quadrige d'Hélios, la cavalcade vers l'abime du Roi des Aulnes, la charge des Tartares de Gengis Khan ou le rodéo du Poney Rouge, découvrez les robes harmoniques des plus célèbres chevaux de la musique.
- Se mer