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  • Aujourd’hui, j’accueille Jacques Martel dans La petite voix.

    Peut-être que ce nom ne vous est pas inconnu. Vous avez peut-être déjà consulté Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies, ou entendu parler de sa célèbre technique des "bonhommes allumettes" pour couper les liens d’attachement.

    Ce Québécois, formateur, auteur, conférencier et bien plus encore, vous l’entendrez, a pourtant démarré son parcours comme ingénieur électricien pour s’accomplir dans le développement personnel et la spiritualité.

    Bienvenue dans un échange riche et passionnant, tellement que j’ai décidé de vous proposer cette conversation en deux parties.

    Dans cette deuxième partie, avec Jacques, nous allons parler du long travail - bien accompagné - qui l’a mené à écrire ses livres, de la notion d’attachement et de médiumnité… ou pas !

    Quelques notes sur cet épisode :

    le site internet de Jacques : https://jacquesmartel.com/

    la nouvelle et 3ème édition de son livre : Le Grand Dictionnaire des Maux et des Maladies

    Jacques sera dans le sud de la France pour des conférence fin février / début mars 2025 - A voir sur son site internet

    son conseil lecture : La vie des maitres

    RETRANSCRIPTION DE L'EPISODE 2/2 AVEC JACQUES MARTEL

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    Il y a quand même un morceau et pas des moindres qu'on a oublié dans ton parcours. Avant les ateliers, il y a eu cet ouvrage, le dictionnaire des maladies et des malaises. Ça a été comme la fondation de tout le travail qui est venu. Après ? Tu vois, quand j'étais en développement personnel, dans les débuts, les gens disaient « Ah, moi, quand j'ai un malaise ou une maladie, je vais dans un livre de Lis Bourbeau. » Ah, OK. Ou un autre disait « Mais moi, je vais plutôt dans le livre de Louise Hay. » Ah, bon, OK. « Je vais plutôt dans tel autre livre et tel autre livre. » Je me suis dit « Bon, moi, je vais sortir un livre. Il n'y aura pas besoin d'acheter quatre-cinq.

    00:02:46

    Ils vont en acheter juste un, ça va être le mien. Ils vont avoir leur réponse. » Alors, c'est là qu'en janvier, en janvier 91, j'ai commencé le manuscrit. Et pendant six des sept ans que le travail a duré, il s'appelait « Le dictionnaire de la médecine de l'âme ». Là, on parle de 97. Mes amis en haut m'ont dit « Oui, mais vois-tu un médecin qui aurait entre les mains un livre qui s'appelle « Le dictionnaire de la médecine de l'âme » ? » Ça fait qu'ils m'ont suggéré de mettre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ». Ça passerait mieux. Plus accessible. Oui. Moins ésotérique. C'était ça le but, oui. OK. 98, donc ça fait 26 ans.

    00:03:23

    La conscience a changé à ce niveau-là. Sur YouTube, maintenant, il y a des gens qui font des expériences de mort imminente, des médiums, il y a toutes sortes de trucs. L'information, il y a toutes sortes de trucs qui existent maintenant. Vois-tu, là ? Tu as raison, mais de là à penser qu'un médecin, en tout cas, je te parle en France et de ce que je connais moi, que des médecins aient un livre sur leur table qui s'appellerait « La médecine de l'âme ». Il y a un peu de boulot, hein ? Non, il n'est pas sur la table, mais ils l'ont dans leur bureau. Dans le carbone bien caché. Oui, oui, mais non. Il y en a qui l'ont.

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    Et je suis content que les médecins utilisent ça, parce que, comme individu, des fois, la personne qu'on va voir, si on a une maladie, en premier temps, souvent, ça va être un médecin. Mais le médecin, on s'attendrait qu'il sache tout, mais il sait tout. Il risque d'étudier jusqu'à l'âge de 60 ans avant de commencer sa pratique. Ce sera trop tard après pour pratiquer. Voilà. Mais, tu sais, si une femme, par exemple, je ne sais pas moi, qui a une certaine maladie, je ne sais pas si on parle du cancer, du sein, c'est de s'en faire pour ses enfants ou ce qui représente ses enfants. Si la personne a ce type de maladie, mais si le médecin est capable de lui dire : « bien là, est-ce que vous en faites pour vos enfants ?

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    », tout ça, il faudrait remédier à ça ; vous pourriez aller voir quelqu'un pour vous aider, tout ça. Sinon, il peut donner les bons soins, les bons médicaments, ou s'il faut une chirurgie, faire la chirurgie, mais moi, ça ne me regarde pas, cela. Mais si le conflit n'est pas réglé, au bout de six mois, on peut vous donner, après une vérification. Ça se peut que le médecin dise, bien, madame, j'ai une mauvaise nouvelle, vous avez une récidive, parce que le conflit est toujours présent. Moi, là, un jour, quand je dis un jour, là, dans mon livre, « Le pouvoir de l'engagement », j'ai mis toutes les fois où j'ai dit un jour, puis c'est arrivé. Et là, je le dis un jour, je ferais des conférences à des médecins.

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    Je ne connais pas la médecine, c'est eux autres qui connaissent la médecine. Mais moi, là, chez les individus ou les compagnies, j'aide les gens à faire mieux dans ce qu'ils font déjà très bien. Puis, moi, quand je vais voir un médecin, je me la ferme sur mes trucs, mes trucs métaphysiques, parce que moi, ce n'est pas moi, moi, je n'ai pas appris la médecine. Je prends l'information qu'ils me donnent, merci. Si j'ai des prises de sang, tout ça, ils vont me dire, si, ça, le cholestérol, ça va, le glycémie, bon, c'est un peu haut, bon. Ensuite, oui, bon. Alors, je tiens compte de cela. Et c'est pour ça que moi, j'ai mes prises de sang aux trois mois au lieu des six mois, parce qu'étant donné que le stress, tout changement, même positif, c'est un stress, ça peut jouer sur la santé physique.

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    Je veux me rendre compte tout de suite, il y a eu des changements qui se sont faits dans mon corps physique. Ça me ferait très, très, très, très grand plaisir qu'il y ait de plus en plus, de plus en plus de médecins qui utilisent le livre Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies, parce qu'ils pourraient aider leurs clients. Ça n'empêche pas que la personne peut avoir besoin de médicaments. Ça n'empêche pas que la personne peut avoir besoin de traitements ou de chirurgie ou de quoi que ce soit. Mais est-ce que ça peut aider ? Pourquoi pas informer des gens ? Il y a un truc que j'ai envie de souligner, et c'est hyper important pour moi, et j'apprécie que tu insistes là-dessus dans ton discours.

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    Le dictionnaire, là, il n'est pas là pour remplacer la médecine, et tu n'es pas en train de rejeter l'approche conventionnelle. On est en train de dire que toi, tu ajoutes ce supplément d'âme, pour le coup, tu vois, pour revenir au nom régional. Et dans la nouvelle édition, maintenant, j'ai mis Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies en sous-titre Le Dictionnaire de la médecine de l'âme et des émotions. Tu lui as redonné. Oui, mais je ne l'ai pas mis en gros titre, parce que l'autre titre est connu depuis 25 ans. Puis, il y a une nouvelle édition qui vient de sortir, là, il y a quelques mois. Oui, depuis mars 2024. Deux fois plus d'énergie que la deuxième édition, 30 % plus d'informations, tous les textes ont été revisés, et tous les textes ont été revérifiés aussi, ce qui n'était pas le cas de la première à la deuxième édition.

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    Revérifiés par ? Par Lucie Bernier, surtout. C'est ta collaboratrice depuis 35 ans ? Disons qu'on se connaît depuis 35 ans. A commencé à travailler sur la première édition plutôt au niveau du français. Sur la deuxième édition, on a travaillé plus que 2 000 heures sur la deuxième édition, en 2007. Et là, on a travaillé pendant environ trois ans et demi à temps plein, presque. Moi, j'ai fait beaucoup de recherches dans la troisième édition. Par exemple, je ne sais pas moi, il y en avait dans la deuxième, mais par exemple, la maladie de Parkinson. Pourquoi c'est Parkinson ? Parkinson était soit médecin ou chimiste, je ne sais pas pourquoi, qui a découvert les symptômes qui ont rapport à la maladie telle ou telle. Je ne sais pas. Donc, ça a donné son nom à la maladie.

    00:07:53

    Tous ceux qui ont la maladie de Huntington, la maladie de, la maladie de, la maladie de, je suis tout allé chercher pourquoi on avait mis ce nom-là. Et souvent, merci à ces gens-là qui ont pu identifier la maladie. Parce que dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison, qui est la connaissance, l'ouverture, le lâcher-prise, l'acceptation et l'action, la connaissance est importante. Alors, le fait de connaître la maladie, ça a permis par la suite aux médecins de développer soit des traitements, des médicaments, du traitement quelconque, que ce soit opération ou autre, je ne sais pas quoi. Cette connaissance-là a permis de faire avancer la médecine. Et moi, je trouvais ça important que les gens sachent la contribution de tous ces chimistes, biochimistes, médecins, spécialistes qui ont contribué au niveau médical.

    00:08:49

    Je t'écoute et je me dis, j'ai l'impression qu'on tisse comme un fil rouge par rapport à ton parcours, par rapport au dictionnaire qui est toujours de ramener le visible et l'invisible ensemble. On les réunit, ça fait du sens ensemble. Non, mais c'est bien que tu l'apportes parce que moi, depuis les premières heures que j'ai travaillé sur le grand dictionnaire des malaises et maladies, janvier 91, fin janvier 91, je savais que les maîtres ont décidé de prendre les malaises et maladies comme prétexte pour montrer à ce qui est invisible, les pensées, les sentiers, les sentiments et les émotions ont des répercussions physiques mesurables donc les malaises et les maladies. Si j'agis sur l'invisible, les pensées, les sentiments et les émotions, ça a des chances d'avoir des répercussions physiques positives, plus positives.

    00:09:35

    Donc, à la base, c'est comme si c'était un livre ésotérique. Moi, dans le travail que je faisais, j'avais toujours ça en tête. L'invisible manifeste le physique. Alors, toujours, toujours, toujours, toujours ça en tête. Oui, parce que, revenons-en à ce quels dictionnaire ? Dans le dictionnaire, vraiment, le principe, c'est l'ordre alphabétique, maladie, maladie, malaise, etc. Dans cette nouvelle édition, tu vas ajouter cette couche-là que tu évoques de « Qui est à l'origine de la découverte de ? » Et puis, toi, dans le texte du dictionnaire, tu as ajouté comme une couche énergétique, on peut le dire comme ça ? Ça te fait marrer quand je dis ça ? Pourquoi ? Vas-y. Je ne mets pas toujours le côté ésotérique de l'avant. Pour moi, c'est essentiellement un livre ésotérique. C'est surtout cette troisième édition.

    00:10:20

    Parce que tu sais, les gens peuvent le voir et mon but, ça n'a jamais été que ce soit subliminal. Sur chaque page, chacune des pages du Grand Dictionnaire des Malaises et Maladies, il y a un grand H avec un U sur toutes les pages. On en revient à ce son originel que tu évoquais tout à l'heure. Alors, c'est le son « You », c'est un mantra spirituel. Et ce mantra-là, les caractéristiques, c'est la protection, l'ouverture de Conscience et la guérison. Alors, c'est pour ça que c'est là. Donc, les gens qui utilisent cette édition, lorsque ils rouvrent le livre, c'est comme une lumière qui les éclaire davantage et qui permet plus facilement une prise de conscience. Je l'ouvre là. Ces explications par maladie, tu prends une explication très scientifique.

    00:11:04

    Enfin, c'est quoi cette maladie et tout. Mais ce qui est intéressant, c'est qu'il y a ce petit texte à la fin que tu nous encourage à lire très lentement, c'est ça ? C'est tout le texte. Et c'est là depuis 1998 et beaucoup de gens ne l'ont pas vu. Pour faire la technique de prononciation monosyllabique qui est une technique de guérison émotionnelle. C'est une technique de guérison émotionnelle qui est très efficace. Donc, on voit bien que le dictionnaire des malaises et des maladies va bien au-delà des mots physiques et puis il nous emmène sur un autre terrain de guérison. Oui, bien sûr. La première édition, tu as mis quasiment sept années à l'écrire. Sept ans, pas à temps plein nécessairement, mais sur une période de sept ans. Et la deuxième édition a commencé en 2001.

    00:11:48

    En 2001. Elle est sortie en 2007. Et la troisième édition, on l'a commencé il y a un peu plus que trois ans et demi maintenant. On l'a gardé secret. Il y avait une raison qu'on l'a gardé secret, c'est parce qu'on ne savait pas combien de temps ça prendrait. Non seulement pas créer de fausses attentes, mais pas avoir la pression que, on a dit que c'était au mois de juin, telle année que ça sortirait, il faut le sortir. Pas de pression. Non, on met le temps qu'il faut à tout ça si ça sortit au mois de mars. Est-ce qu'à l'époque où toi, tu fais ce livre, tu nous l'as dit un peu plus tôt, la partie canalisée, est-ce que tu imagines déjà la résonance que ça va avoir ?

    00:12:25

    Il est passé entre combien de mains, ce dictionnaire ? Tu as une idée ? On dit que c'est deux millions de lecteurs. À travers le monde, en plus ? Oui. Deux millions de lecteurs. Parce que si toi, tu vis en couple, puis tu as deux enfants, puis c'est des ados, donc tu as un livre, mais tu as quatre personnes. Je veux toujours être honnête envers les gens. Si les gens disent : il y a deux millions de livres vendus, si quelqu'un est autour de moi, je dis non. J'ai dit : il y a deux millions de lecteurs. Je veux être juste là. Je ne veux pas mettre des chiffres juste pour que ça ait l'air de ce que ça a l'air.

    00:12:59

    Tu vois, moi, par exemple, je l'ai découvert la première fois avec un ostéopathe qui l'a utilisé dans une séance avec moi. Donc, tu vois, je fais partie de ces lectrices indirectes. Et donc, en fait, c'est le livre qui, après, t'a ouvert les portes de ces ateliers et de ces tournées que tu as faites en Europe et principalement en France. Après, j'en ai écrit d'autres. Après, cela a été les cinq étapes pour parvenir à la guérison. C'est le complément théorique du Grand Dictionnaire des Malaises et Maladies. Les gens, ils devraient toujours acheter les deux livres en même temps. Parce que dans le Grand Dictionnaire des Malaises et Maladies, on parle des pensées, des sentiments, des émotions qui ont fait arriver le conflit qui a pu déclencher la maladie.

    00:13:35

    Mais on ne parle pas au niveau du stress, du surstress, comment ça fonctionne, comment le cerveau fonctionne. Ça, on le dit dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison. On explique le fonctionnement de tout ça dans ce qui est dans le Dictionnaire, dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison. C'est ça. C'est la suite logique, en fait. Oui, oui. Dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison, je veux dire, ça prend au moins minimum quatre des cinq étapes pour avoir une guérison. Qu'on aille à Lourdes ou à Medjugorje ou je ne sais pas trop où. J'ai beau avoir Marie qui est à côté de moi, la Vierge Marie, dans son énergie, ou l'archange Gabriel ou quoi. Mais si je ne suis pas dans l'ouverture, si je ne suis pas dans l'acceptation, ça ne guérira pas.

    00:14:15

    Il y a des gens, quand ils vont dans ces endroits-là, il y a au moins quatre des cinq étapes qu'il faut qu'ils soient présents à l'intérieur d'eux autres pour que la guérison émotionnelle puisse se faire. Alors, est-ce qu'on peut les citer, ces cinq étapes ? Le connaissant, l'ouverture, le lâcher prise, l'acceptation et l'action. Et le plus important de toutes ces cinq étapes, c'est l'acceptation, parce que je ne peux rien changer que je n'ai pas accepté. Et accepter, ça ne veut pas dire que je suis d'accord. Accepter, ça veut dire que j'accepte que j'ai une prise de conscience à faire. Et c'est ça le but. Et c'est un secret. Ça passe au travers du cœur. C'est pour ça que à chaque fois qu'il y a le mot « acceptation » ou « accepte » dans le grand scénario de Maladie de Maladie ou dans d'autres livres, il y a toujours une flèche vers le bas avec un cœur.

    00:14:58

    Parce que j'accepte ma tête vers mon cœur. Et la guérison émotionnelle, ça fait beaucoup au niveau du cœur. Il y a beaucoup de techniques que j'enseigne que c'est des techniques d'acceptation qui se font au niveau du cœur. La boule de lumière, la technique du merci, plein de trucs comme ça. C'est des guérisons émotionnelles au niveau du cœur. Si je reviens sur ton parcours, après le dictionnaire et ses ateliers, toi tu as complété ces papiers juratifs comme ta boîte à outils de thérapeute. Et donc, il y a eu toutes ces approches, toutes ces techniques que tu as amenées, je pense notamment au bonhomme allumette, qui est hyper connu. Est-ce que tout ça est né au fur et à mesure, après le dictionnaire, au fur et à mesure de tes rencontres, comme si ça venait ainsi ?

    00:15:40

    Oui, c'est de l'information que je recevais. À un moment donné, je partais de chez moi et j'allais en ville, en auto. « Ah, tu vas faire un livre, un prochain livre, ça va s'appeler « Le pouvoir de l'engagement ». » « Ah bon, voilà, ça va être facile. » Je donne déjà un atelier qui s'appelle « Le pouvoir de l'engagement ». C'est sûr que les notes de cours pour un livre, ce n'est pas la même chose. « Ça va être facile, je vais jusqu'au point de départ. » C'était un des livres les plus difficiles que j'ai eu à écrire. Pour quelles raisons, alors? Ça parlait du mental, du fonctionnement du mental, de cela et de ça. Et quand c'est un livre, il faut toujours s'imaginer que le lecteur, il n'est pas physiquement avec la personne.

    00:16:21

    Il faut s'assurer que dans ce qu'il va lire, il va comprendre ce qui est marqué. Ça m'a demandé beaucoup, beaucoup à faire ce livre-là. Tu sais la différence quand tu dis, quand tu es en conférence avec les personnes qui sont là devant toi, tu arrives à capter l'énergie, tu vois potentiellement même les questions qu'elles peuvent se poser, les devancer. Effectivement, quand tu es seul derrière ta page blanche. Je les entends. Non, parce que des fois, je vais mettre des choses dans les livres. À un moment donné, dans les livres, le pouvoir des mots qui me libère. Il m'est venu une information, à savoir qu'à chaque fois que je dis une expression ou un mot qui est négatif, c'est de la magie noire que je fais sur moi.

    00:16:57

    Ça m'est venu, je dis, c'est trop fort ça. Là, ils m'ont dit, c'est de la magie noire, t'écris ça comme ça. J'ai dit, ok, ok, ok, ok. Donc, il risquait d'avoir des réactions. Mais bon, la réalité, c'est ça aussi. Est-ce qu'il y en a eu des réactions ? Non, pas nécessairement. Pas sur ça. C'est comme si j'entends les gens, la réaction qu'ils vont avoir, puis des fois, ils ne sont pas d'accord sur un truc que je mets. Je dis, ok, merci de l'info, mais moi, je le fais pour ceux qui sont d'accord ou que ça va les aider. Si vous autres, ça ne vous aide pas, c'est correct aussi. On en a parlé d'ailleurs sur le dictionnaire à la sortie, puis même parfois bien après. Il y a eu parfois quelques polémiques.

    00:17:37

    Les gens peuvent dire, c'est de la foutaise, tout ce qui est écrit. C'est correct, c'est de la foutaise. Qu'est-ce que ça veut que je fasse, moi? Il y a des gens qui lisent ça, puis il y a des guérisons émotionnelles. Il y a quand même des guérisons physiques. Qu'est-ce que tu veux? On a beau dire, c'est de la foutaise. Les gens ont le droit de dire ce qu'ils veulent. C'est ça, en fait. C'est ce qu'on se disait en off avant l'enregistrement, que toi, tu n'es pas là pour faire du prosélytisme. Alors, tant mieux si les gens prennent. Moi, je n'ai rien à prouver, puis je n'ai personne à sauver. Donc, à partir de là, Jacques, c'est un fou, c'est un crétin. Merci beaucoup. Jacques est génial, il est extraordinaire. Merci beaucoup.

    00:18:09

    C'est pareil. Et de toute façon, les gens, je l'explique dans le pouvoir des mots qui me libèrent, là, les gens, ils parlent toujours d'eux-mêmes même. Si quelqu'un me dit, tu es un crétin, tu es un imbécile, tu es un imposteur, disons que je sais à qui j'ai affaire. Parce qu'on parle toujours de soi-même. On parle toujours de soi-même. Si quelqu'un me dit, tu es génial, tu es extraordinaire, tu es un gars d'un grand cœur, je sais à qui j'ai affaire aussi. On ne peut pas exprimer quelque chose qu'on n'a pas en nous. Parce que si ce n'est pas en nous, c'est comme si ça n'existe pas. Si quelqu'un me traite d'imbécile, bien, c'est sa part d'imbécile en lui qui projette chez moi. Quelque chose que tu veux que je fasse ?

    00:18:48

    Les autres sont comme un miroir, quoi. Toujours. Quelqu'un peut me parler d'une partie de hockey qu'il joue, là, et les commentaires qu'il va faire et tout, et tout, et tout, et tout. Je vais savoir des choses de sa vie privée juste par les commentaires qu'il fait sur un sport, un soccer ou quoi que ce soit. Parce que je ne peux pas exprimer quelque chose que je n'ai pas à l'intérieur de moi. Je peux ne pas être d'accord avec quelqu'un comme actuellement aux États-Unis. Au moins, on se parle des élections avec Trump. On peut ne pas être d'accord avec un ou avec l'autre. Je ne suis pas d'accord, mais je ne suis pas d'accord. C'est tout. C'est un jugement, en fait. C'est ça que tu dis.

    00:19:22

    Parce qu'il y a des gens, là, au niveau psychologique, il y a des gens que si tu n'es pas contre quelque chose, ça veut dire que tu es pour. Il y en a qui pensent comme ça. Oui, il faut que ce soit blanc ou noir, mais tu ne peux pas être dans cette forme de nuance que tu es en train de souligner. Voilà. Je comprends ce qu'il veut. Le grand scénario de Malades et maladies, troisième édition, c'est la première fois de ma vie que je peux dire que mon degré de satisfaction sur un ouvrage est à 100 %. Ce n'était pas le cas avant ? Non, mais j'étais content. J'étais content, puis c'était merveilleux aussi.

    00:19:53

    Mais là, cette fondation-là qui est sur place, les énergies qui ont été mises là-dessus, les maîtres qui ont été mis là-dessus, qui ont aidé, les répercussions qu'il va y avoir par rapport à ça, les guérisons émotionnelles, les commentaires qu'ils vont se faire éventuellement là-dessus, c'est extraordinaire ce qui a pu sortir. C'est comme un aboutissement, tu dirais ? Oui, c'est de ça qu'on m'a informé, mes amis en haut. Tu es dans cette phase-là. Tu peux te retourner sur le chemin parcouru et savourer. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a rien après, qu'il n'y a pas encore du boulot, mais juste là, c'est... J'ai un degré de satisfaction à 100 % sur le livre. Mais maintenant, il va faire son chemin. Oui, ça ne t'appartient plus, en fait.

    00:20:32

    On dit souvent, dans le livre, c'est comme un bébé, puis tu l'offres au monde, et après, est-ce qu'il vient comme un enfant ? Oui, c'est ça. Ça ne t'appartient plus, mais c'est OK. Oui, je suis surpris des fois que, d'une certaine façon, jusqu'à quel point j'en suis détaché. Là, on est actuellement au mois d'août 2024. En novembre, décembre, je fais trois salons en France en 2024. Biarritz, Bordeaux et Montpellier. Alors, c'est sûr, je vais faire une conférence sur le grand scénario de Malaisie et maladie pour faire connaître. C'est la continuité, en fait. Oui, c'est ça, pour faire connaître. C'est ça, en fait, ton parcours, il a toujours été dans la transmission, en fait. La transmission. La transmission, d'ouverture de conscience. Et c'est quoi la suite et les projets pour toi ?

    00:21:14

    Ça dépend comment ça va se présenter. Mes amis m'ont montré, ils m'ont dit que peut-être qu'il y a des choses qui se développeraient beaucoup en Inde, mais je ne cours pas après ça. S'il y a quelque chose qui se présente, je vais rester ouvert parce que j'ai déjà eu l'information que je pouvais faire quelque chose. C'est intéressant ce que tu dis. Tu as reçu une info, celle-ci, l'Inde. Alors, la difficulté, c'est de ne pas le provoquer artificiellement ? Oui, la difficulté, ce n'est pas de difficulté. J'ai l'info. Si ça arrive, je ne serais pas surpris, c'est tout. Ça va être plus facile pour moi d'embarquer dedans. OK. Dans le projet. C'est comme en 1985, j'ai su deux mois avant que mon meilleur ami deviendrait en couple avec mon épouse.

    00:21:54

    Quand c'est arrivé, je ne suis pas surpris. Non, mais je ne suis pas surpris. Tu ne leur avais pas dit que tu avais reçu l'info ? Oui, bien, j'ai dit au garçon, qui était un genre donjouant, j'ai dit : 'Je t'interdis d'aller voir mon épouse, mais si elle vient vers toi, tu es libre de faire ce que tu veux.' Un soir, elle l'a appelée ; elle est revenue le lendemain matin. Tu l'avais vue juste. Alors, j'ai été non fonctionnelle pendant deux, trois mois. Moi qui aime bien contrôler ma vie, parce que j'avais de l'attachement et pour l'un et pour l'autre. Alors, on m'avait dit ce qui se passerait, mais on ne m'avait pas dit : 'moi, comment je le vivrais.' Alors, c'est parce que j'avais de l'attachement. Là, on parle de 1985.

    00:22:29

    Aujourd'hui, il m'arriverait quelque chose, je le règle entre 5 et 7 minutes. Comment alors ? Les émotions qui vont avec. Une des façons qu'on peut faire toujours, c'est avec la technique des bonhommes à l'humide, mais j'ai une autre technique qui ressemble à ça, qui permet de, on va chercher même des vies passées du début du temps jusqu'à aujourd'hui, et on fait la coupure énergétique avec la personne. J'ai vécu une expérience il y a quelques années, puis je n'avais jamais vécu ça de ma vie. Avec mon thérapeute, j'en ai parlé, j'ai dit, « Se peut-il que j'ai vécu un coup de foudre ? » Il a dit oui, exactement. Mais quand j'en ai parlé à la personne, à ce moment-là, la personne a dit non.

    00:23:04

    J'ai exprimé mes sentiments, la personne a dit non, mais son nom, il venait de la tête, il n'a pas du cœur. Je comprends. Est-ce que j'étais pour me battre avec cette personne-là? J'ai laissé aller. Alors, bon, j'ai fait la coupure énergétique, c'est après cinq minutes, c'est fini. C'était comme, bon, parce que la personne, j'avais évalué qu'elle avait 90 % des attentes quand je m'attendais envers quelqu'un. Oh! C'est beaucoup, là. C'est pas mal, hein? Ah oui, non, mais c'était rare, ce qui s'est passé. Puis cette personne-là avait été avertie que dans les mois qui s'en venaient, il y aurait quelqu'un, genre médium, qui se présenterait à elle et tout. Mais qu'importe. La personne est allée dans sa tête. Mais l'avantage, c'est que j'ai pu couper. Ça devenait un événement que j'avais vécu comme ça.

    00:23:46

    J'ai pu, oh, j'aurais été quelqu'un. Ça m'aurait bien plu. Non, non, non, on oublie ça. C'est passé. C'est passé, c'est passé, c'est tout. Pourquoi s'en faire ? Je rigole. Je ne sais pas si je rigole ou si je pleure en t'écoutant, parce qu'à la fois, j'entends, mon mental comprend tout, puis mon cœur fait, c'est rude. Et en même temps, j'ai envie, en t'écoutant, de me dire, en vrai, ça doit être accessible. Mais la technique des bonhommes à lumettes, elle vient de mes vies passées comme moi, une bouddhiste. Parce que qu'est-ce qui est important dans le bouddhisme ? Une des facettes les plus importantes, c'est le détachement. Qu'est-ce qui arrive avec la technique des petits bonhommes à lumettes ? Moi, j'enseigne le bouddhisme sans parler du bouddhisme. Détachement. Détachement, on ne coupe pas l'amour.

    00:24:31

    On coupe l'attachement qui provient d'une blessure émotionnelle. Donc, on coupe ça. C'est ça qu'on coupe. Alors, après, soit que ça remet plus d'amour dans la situation personnellement, soit que ça nous rapproche de la personne ou la personne s'éloigne normalement, un ou l'autre, mais ça se fait en harmonie. Donc, ça me permet de me recentrer et de ne pas mettre mon attention sur la blessure, parce que je deviens ce sur quoi je porte mon attention. Si je mets mon attention sur la blessure, dans mon énergie, je vais manifester cette énergie de blessure-là. Et on en revient à cette histoire des vibrations, qu'en fait, on vibre enfin, on va emmener ce qu'on vibre. L'attachement, ce n'est pas de l'amour. Quelqu'un, des fois, des parents me disent « Oui, mais c'est normal d'être attaché à nos enfants.

    00:25:18

    » Non, c'est normal de les aimer. Et si on a de l'attachement, on risque par rapport à nos enfants d'exercer une forme de contrôle consciemment ou inconsciemment. Et ça, ce n'est pas de l'amour. En tant que parent, il faut que je m'occupe de mes enfants, il faut que je m'occupe de leur donner une certaine éducation, les nourrir, une certaine sécurité. C'est OK, ça. Mais d'être attaché, non. De vouloir ce qu'il y a de mieux pour eux. – Oui, parce que dans l'attachement que tu évoques qu'on peut avoir avec nos enfants, cela signifie par exemple avoir des grandes attentes sur leur vie professionnelle, etc. On voit les dégâts que cela peut faire après.

    00:25:53

    – Oui, mais moi, si je suis médecin et que j'ai un garçon, c'est un garçon, je voulais qu'il devienne médecin. Mais lui, il veut être mécanicien. C'est ça qui lui fait plaisir. Mais il y en a qui sont devenus, en fait, la profession de leur père, mais pas parce que c'est ça qu'ils voulaient faire, mais parce que c'est leur père, c'est ça qu'ils voulaient. – Et cela les a rendus malheureux. – Après, ça va mal dans le couple, ensuite ça va mal, ça développe des maladies, ensuite ça va. – C'est simple, en fait, quand je t'écoute, j'ai l'impression que c'est super simple. – Oui, mais il faut être à l'écoute. 90 % de notre fonctionnement est régi par le subconscient.

    00:26:24

    Et j'attire ou je deviens ce que j'ai pas accepté en 0 et 12 ans. Des blessures que j'ai eues en 0 et 12 ans. Toute la programmation que j'ai au point de départ, il faut faire le ménage là-dedans. Plus je fais le ménage là-dedans, plus la situation devient claire pour moi. Quand je dis « moi », c'est chacun d'entre nous. Et des fois, c'est pas évident parce que je peux faire un certain travail sur moi et j'ai l'impression que ça n'a pas fonctionné. Je suis bouleversé quand tel événement arrive. Bon, fais que là, je suis un atelier, par exemple, un atelier de développement personnel et tout, et je travaille le souci émotif qui a rapport à ça et tout, je me dégage et tout.

    00:27:00

    Puis là, je me dis « ah, c'est un beau travail que j'ai fait ce week-end, voit-tu là ? ». Et puis là, il arrive l'événement, l'événement semblable en question et là, je suis encore bouleversé. Il me semblait que j'avais travaillé ça, il me semblait que c'était fini. Et là, à un moment donné, quand ça m'est arrivé, j'ai demandé à voir l'image. C'est comme un iceberg. Si, supposons que c'était un événement qui avait rapport au rejet, l'iceberg, c'est marqué « rejet », mais il y a juste une pointe qui dépasse. Alors, je fais un travail sur moi, je fais un travail sur moi, j'enlève une partie sur le dessus de l'iceberg, mais il en reste une autre partie, il remonte. Peut-être qu'avant que je fasse l'atelier, quand il arrivait une situation comme ça, de rejet, j'en avais pour quatre jours à Marmette.

    00:27:39

    Après l'atelier, j'en ai pour trois jours à Marmette. Et je travaille sur moi, je travaille sur moi, j'en ai pour une journée à Marmette. Je travaille encore sur moi, je travaille encore sur moi, mais j'en ai une heure pour une heure à Marmette. C'est parce que le morceau de l'îceberg est diminué à chaque fois. Mais ce qui est marqué sur l'îceberg, le rejet, je le vis tout le temps comme si c'était la première fois. Vois-tu, là ? Du moment que je fais quelque chose pour moi, j'en ai un bénéfice, mais des fois, c'est pas évident. Je le vois pas, le bénéfice que j'ai. Merci, parce que ça donne confiance. Parce que, tu sais, on a l'impression de tourner en rond, mais en fait pas.

    00:28:08

    Il y a une autre image que je mets dans un livre, c'est comme un verre, un verre transparent, mais qui est rempli de glaçons. Les glaçons, c'est peut-être les blessures que j'ai vécues émotivement. Quand je travaille sur moi, les glaçons du dessus, parce que je regarde sur le dessus, c'est plein de glaçons. Quand je travaille encore sur moi, je fais fondre quelques glaçons sur le dessus, je regarde le dessus du verre, c'est encore plein de glaçons sur le dessus du verre. Mais je me dis, mon esprit scientifique, il faut qu'il y ait un changement quelque part. Parce que j'ai fait quelque chose. Le changement, il est où? C'est que là, au fond de mon verre, à mesure que je fais des changements sur moi, il y a de moins en moins de glaçons dans le fond du verre.

    00:28:44

    Mais il y en a toujours autant sur le dessus. Ça représente quoi, le fond du verre? Ça représente ma voix intérieure. C'est de plus en plus clair à l'intérieur de moi, à mesure que je travaille sur moi. Même si je regarde en surface, et ça a l'air d'avoir autant de glaçons qu'avant. Il n'y en a pas autant dans le verre au complet, parce que les glaçons, ils flottent. Mais la quantité d'eau, l'eau augmente, et donc ça devient plus clair en moi, ce qui se passe. C'est ça, l'avantage du travail qu'on fait sur soi. Merci, ça fait du bien d'entendre ça, de se dire qu'en fait, on ne travaille jamais à perte, là où parfois, on pourrait avoir l'impression de ramer, ramer. C'est pour montrer aussi que c'est possible.

    00:29:21

    C'est possible de faire des changements. Je suis obligée de rebondir sur deux trucs que tu as dit. Le premier, tout à l'heure, tu évoquais une situation personnelle où tu avais eu besoin d'en parler à un thérapeute. Toi, tu continues à te faire accompagner au-delà de tes présences, invités. C'est visible. Pourquoi, mon Dieu? Je fais un très, très grand travail sur moi. Encore maintenant? Constamment, constamment. Quel type de thérapeute tu vas voir? Moi, depuis un an, j'avais un thérapeute qui était un voyant clairvoyant clairaudien. Il était clair de tout. Il y a toujours moyen d'expansionner sa conscience, de devenir plus équilibré. La conscience grandit. On n'a envie qu'à travailler au niveau cosmique, des choses comme ça. Ce n'est pas toujours conscient dans le physique, mais c'est un peu comme ça.

    00:30:05

    Dans l'énergie, ça se passe quand même. Ce que tu veux dire, et je trouve ça génial, c'est que le chemin n'est jamais terminé. Il n'y a pas comme une destination. On va toujours continuer à expanser. Les maîtres que j'ai pu rencontrer en Inde, c'est intéressant. Ils font un travail très intéressant sur eux, mais souvent, ça ne va pas plus haut que le mental. C'est déjà bien, très, très bien, le mental. C'est à ce niveau vibratoire- là, mais dans la charte des plans, au-delà du mental, il y a le plan de l'âme, il y a les montres pures de Dieu. Moi, je pense que je suis rendu au bout du bout. Je ne chercherai pas plus loin, parce que je suis rendu au bout.

    00:30:40

    Mais quand certains maîtres nous montrent qu'il y a quelque chose de plus loin, de plus grand, parce que mon objectif, c'est la réalisation de soi, la réalisation de Dieu, mais ça passe d'abord et avant tout par la réalisation de soi. Ensuite, la réalisation de Dieu. Ces gens-là, ils ont fait un bon bout de chemin, mais il en reste un bout à faire. Des fois, les gens ne savent pas qu'il y en a un bout à faire. C'est comme des gens qui ont des expériences hors du corps, tout ça, et surtout sur le plan astral, ils sont certains qu'ils sont rendus au ciel. Mais tant mieux, c'est sûr que c'est beaucoup plus lumineux, les couleurs sont beaucoup plus belles, c'est beaucoup plus agréable, tous les paysages et tout, c'est tellement beau sur le plan astral.

    00:31:20

    Mais il y a le plan causal, il y a le plan mental, il y a le plan d'Éric, il y a le plan de l'an, mais il y en a qui pensent qu'ils sont rendus au ciel. C'est une partie du cheminement. J'en parle, j'ai fait une vidéo, si tu l'en pensais, qui s'appelle « La réalisation de soi ». Je peux être réalisé dans ma conscience la grandeur d'une boule de golf, je peux être réalisé la grandeur d'un ballon de foot, je peux être réalisé la grandeur d'un édifice. Je suis toujours réalisé, mais je peux être de plus en plus, de plus en plus, de plus en plus réalisé, à un degré de plus en plus grand. C'est l'expansion que tu évoquais tout à l'heure. Voilà, c'est ça. Merci. Oui, c'est l'expansion.

    00:32:04

    Moi, je t'écoute, je me dis, mais pour moi, Jacques, en fait, il est médium. Tu nous parles de tes amis de là-haut qui viennent te parler, qui te soufflent pas mal de messages, qui te soufflent des idées de livres et tout ça, mais ce n'est pas comme ça que tu le vois, toi. J'ai appris beaucoup d'être en canalisation. Oui, en canalisation. Le chanling, c'est être en contact avec son moi supérieur ou un guide spirituel de haut niveau. Tandis que la médiumnité, ça peut vouloir dire aussi, être en contact avec une personne décidée ou des choses comme ça. Je ne fais pas ça. Si quelqu'un me demande, Jacques, qu'est-ce que tu vois pour moi dans six mois ? Peut-être que je ne verrai rien.

    00:32:43

    Je vais dire, trouve-toi un bon voyant, une bonne voyante, prends une consultation et il va peut-être t'aider plus que moi. Moi, je sais ce que j'ai besoin de savoir quand c'est utile de le savoir. Quand ce n'est pas utile de le savoir, des fois, il y a des gens autour de moi qui voient quelque chose que moi, je ne vois pas. Parce que c'est mieux que je ne le vois pas parce que j'aurais pris une décision qui n'était pas appropriée de le faire. Tu n'as pas besoin de cette info à l'instant T. Voilà. Alors, OK, tu n'es pas médium, mais tu es bien connecté. Oui, si les gens me demandent si je suis médium, je dis non, mais j'ai beaucoup d'intuition.

    00:33:15

    Tu sais, je rigole souvent parce que je me rends compte à quel point, et puis tu ne viens que confirmer ça, les thérapeutes que je rencontre grâce à la petite voix, ce que je comprends, c'est qu'au plus ils sont au contact des humains, de leur souffrance, au plus ils aiguisent comme un canal, mais, ils ont souvent beaucoup de mal à mettre ce mot-là de médiumnité, comme si c'était mal compris, tu l'as dit, tu vois, ce n'est pas de la vaillance, etc., mais parfois aussi mal perçu ou difficile à assumer. Moi, je me sens à l'aise de dire que j'ai beaucoup d'intuition. Ça fait des années, c'est comme ça. Mais si on me dit médium, je ne suis pas prêt à caisser et à mettre cette étiquette-là sur moi.

    00:33:53

    De toute façon, tu n'aimes pas les étiquettes. Non, ça ne colle pas sur moi. Eh bien, partons avec l'intuition, c'est pas mal. En conférence, à un moment donné, ma première conférence que j'ai faite devant un groupe de 500 personnes, 500 personnes au niveau spirituel en septembre 78, à un moment donné, en plein milieu de la conférence, la voix arrive encore et ça dit « Ce que tu dis, ce n'est pas ça qui est important. C'est ce qui se passe qui est important. Plus que ce que tu dis, tu pourrais rester le restant de la conférence en silence et ce qui est important continuera de passer. » Bon, j'ai arrêté de parler. Je me suis rempli de ma conférence, mais j'ai arrêté de parler.

    00:34:22

    Mais là, ça a duré juste quelques secondes. La voix a repris « Oui, mais les gens, ils s'attendent en face de toi à ce que tu leur dises quelque chose. » Là, j'ai continué, mais ça a paru que la salle c'est comme si j'avais eu un moment de réflexion. Alors, par après, j'ai su que ce n'était pas ce que je disais qui était important. Quoi que je ne dis pas n'importe quoi en conférence, mais ce n'est pas ça qui est important. C'était superficiel, en fait. Oui. J'évalue que ce que je dis, c'est 10 % de la conférence. Ce qui se passe dans la conférence, c'est l'autre 90 %.

    00:34:49

    Tu ne dirais pas que c'est ce qui se passe dans l'échange qu'on a depuis tout à l'heure, un peu? Bien sûr. Jacques, j'aime bien terminer mes entretiens avec quelques questions rituelles. La première me fait rire parce qu'elle est un peu ridicule, donc je vais te la formuler autrement. D'habitude, je demande à mes invités s'ils écoutent parfois leur petite voix. Là, on a la réponse. Ma question serait du coup plutôt, comment tu l'écoutes ? Comment tu te mets à l'écoute de cette petite voix ? C'est comme si je l'entends ou je la ressens. J'ai fait tellement de ménages sur moi que maintenant, quand une idée me vient, c'est rare que ça peut être pourvoyé par le mental. Ça fait que j'ai beaucoup plus de chances d'être à l'écoute.

    00:35:25

    Et tu n'as pas besoin de te mettre dans un état de trance ou quelque chose ? Oui, c'est ça. Tu es en train de faire de la cuisine, ça te vient. La connexion est ouverte tout le temps. Est-ce que tu as un rituel ? Tu vois, tu nous dis que cette connexion est tout le temps présente, mais est-ce que tu as un rituel quotidien qui t'aide à te recentrer ? Non. Il faut que ça arrive que je faisais des contemplations tous les jours, pendant certains jours. J'intégrais le corps énergétique de mon mentor spirituel à l'intérieur de moi. Est-ce qu'il y a un livre, en dehors de ceux que toi tu as écrits, un livre qui t'a profondément inspiré, éclairé sur ton chemin de vie ? Oui, oui. La vie des maîtres.

    00:36:07

    Je me suis retrouvé beaucoup là-dedans. La vie des maîtres. Ma toute dernière question, Jacques, très terrestre, mais est-ce que toi, Jacques, tu es heureux ? Je suis toujours à la recherche de ça pour plus de plénitude. J'ai vu le jour, on m'a montré l'image quand j'atteindrais ce point-là. On m'a montré l'image. Alors, à ce moment-là, tout ce que je vais avoir vécu auparavant, ça va être pratiquement effacé, ce ne sera plus important. Ça va être le point où je suis arrivé. OK, c'est ce à quoi tu aspires. C'est ça. Merci beaucoup, Jacques, pour ton temps, ta générosité, ta sagesse, enfin voilà, tout ce qu'on vient de partager. Merci beaucoup. C'est un plaisir. Une bonne continuation. Merci à tous ceux qui écouteront ces paroles. Ils peuvent percevoir aussi que je serai avec eux.

    00:36:59

    On était bien avec toi, là. Merci.

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    Développement personnel • spiritualité • thérapie alternative • santé mentale • jacques martel • bonhommes allumettes • thérapeute québecois • thérapie québec • thérapie alternative québec • médecine de l'âme • soin énergétique • attachement émotionnel • relations toxiques

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    🚩 Attention, ce que vous entendez dans La petite voix ne se substitue pas à une thérapie ou un coaching, encore moins un avis médical. Au moment de vous tourner vers un thérapeute, faites appel à votre discernement, à votre bon sens et à votre esprit critique. Au moindre doute, stoppez les séances et parlez-en avec un proche ou un professionnel de santé.

  • Aujourd’hui, j’accueille Jacques Martel dans La petite voix.

    Peut-être que ce nom ne vous est pas inconnu. Vous avez peut-être déjà consulté Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies, ou entendu parler de sa célèbre technique des "bonhommes allumettes" pour couper les liens d’attachement.

    Ce Québécois, formateur, auteur, conférencier et bien plus encore, vous l’entendrez, a pourtant démarré son parcours comme ingénieur électricien pour s’accomplir dans le développement personnel et la spiritualité.

    Bienvenue dans un échange riche et passionnant, tellement que j’ai décidé de vous proposer cette conversation en deux parties.

    Dans cette première partie, avec Jacques, nous allons parler d’un enfant déjà très intuitif, d’étiquettes qui ne collent pas et d’une quête de sens qui l’a amené à se mettre au service des autres.

    Rendez-vous dans une semaine pour la 2ème partie de cet échange.

    Quelques notes sur cet épisode :

    le site internet de Jacques : https://jacquesmartel.com/

    la nouvelle et 3ème édition de son livre : Le Grand Dictionnaire des Maux et des Maladies

    Jacques sera dans le sud de la France pour des conférence fin février / début mars 2025 - A voir sur son site internet

    RETRANSCRIPTION DE L'EPISODE 1/2 AVEC JACQUES MARTEL

    00:02:02

    Bonjour Jacques, et bienvenue dans La Petite Voix. Oui, bonjour ma belle. Je suis honorée de t'accueillir dans La Petite Voix et puis encore plus parce que c'est toi qui m'accueilles chez toi aujourd'hui. Oui, ça fait spécial de faire une entrevue chez moi à Saint-Jean, île d'Orléans, tout près de la ville de Québec. J'aime que le temps fasse un arrêt sur l'image. C'est magnifique. De là où on est, c'est magnifique. On est de chez toi, là. On a le fleuve Saint-Laurent juste là, à nos pieds. Et puis moi, je me retrouve en face de toi. Merci La Petite Voix de me faire vivre ces moments-là. Ce que j'ai découvert en préparant notre rencontre, toi, en France, tu es connue beaucoup, par exemple, pour les bonhommes allumettes.

    00:02:39

    Moi, combien de fois j'ai fait cet exercice-là, des bonhommes allumettes, puis on va en reparler plus en détail plus loin. Et bien sûr, t'es connue pour le grand dictionnaire des maladies et des malaises. Et donc moi, j'avais cette vision-là de toi. Et je ne sais pas pourquoi, je t'avais perçue comme un thérapeute, mais il y a toute une dimension un peu plus invisible que je n'avais pas perçue et puis que j'ai découverte en préparant notre entretien. Et puis là, déjà, les quelques minutes qu'on a passées ensemble, je me dis, OK, il y a toute une dimension de Jacques à côté de laquelle j'étais passée. Alors, on va découvrir tout ça ensemble aujourd'hui. Oui, certainement. Il y a une chose dans tout ce que j'ai découvert, c'est que toi, quand t'es arrivé dans cette vie-là, déjà, t'étais un enfant connecté.

    00:03:18

    Est-ce que tu peux parler de ce petit Jacques-là ? Disons que, naturellement, quand j'étais jeune, j'étais quelqu'un de curieux. Je cherchais à comprendre ce qui se passait à l'entour de moi. Je cherchais à comprendre qu'est-ce que je pouvais ressentir ou qu'on puisse m'expliquer ce que je ressentais, mais il n'y avait personne dans mon entourage pour expliquer ça. Alors, c'est pour ça que dans les années, plus dans la vingtaine, des débuts vingtaines, j'ai commencé à chercher, à être intéressé par l'aspect ésotérique, ne serait-ce qu'à l'âge de 15 ans où j'avais des soucis de constipation. On m'avait amené voir un radiesthésiste. Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est un radiesthésiste, c'est comme le professeur Tournesol dans Tintin avec son pendule.

    00:04:02

    Et avec son pendule, il allait voir qu'est-ce qui allait, qu'il n'allait pas, ou quoi. Puis, quand il trouvait quelque chose, il allait chercher une petite bouteille de témoin pour savoir quelle plante, c'était mieux pour ça. Et là, je me souviens, à 15 ans, je disais « Wow ! On peut avoir plein d'informations comme ça, juste de cette façon-là. » C'est extraordinaire. Et à partir de là, j'ai été davantage conscient de toutes les possibilités qu'il pouvait y avoir. On appelle ça dans l'invisible. Le radiesthésiste dans l'invisible. Et j'ai continué ma recherche. Je reviens à cet enfant dont tu parlais parce que je trouve souvent qu'il y a tellement de choses à notre racine. Tu dis que tu avais cette intuition, cette sensibilité.

    00:04:45

    Est-ce que c'était des émotions exacerbées sur lesquelles tu avais du mal à mettre des mots et donc qu'il était difficile à gérer ? Ou c'était beaucoup plus fin que ça et c'était comme une ouverture à ce monde invisible-là déjà que tu avais ? Je te dirais que consciemment, c'était plus des ressentis que j'avais à l'entour de moi qui m'affectaient. J'avais mis ça sous le compte de « Je suis quelqu'un de sensible. » Je ne me posais pas plus de questions. Mais le temps passant, je m'étais mis à chercher. À chercher plus. Vous étiez une grande famille ? Tu avais beaucoup de frères et sœurs ? J'ai deux frères. Un qui est plus vieux, un qui est plus jeune. On n'était pas dans cette dynamique-là. Moi, oui, mais je passais un peu pour particulier.

    00:05:27

    Voilà, c'est ce que j'avais te demander. Est-ce qu'il y avait ce truc de se sentir un peu différent ? Oui, certainement. Et on me voyait comme ça aussi. J'avais eu comme un accident d'automobile, une auto qui m'avait frappé. Et c'est comme si, quand on me trouvait un peu bizarre, c'est comme si on n'osait pas dire que ça pouvait provenir peut-être de l'accident d'automobile que j'avais eu. Mais peut-être que ce n'est pas ça qu'ils pensaient. Ce n'est pas ça. La particularité, c'est que si quelqu'un, des fois, ça fait peur aux gens, mais si quelqu'un essaie de me mettre une étiquette. Jacques Martel, il est comme ci, il est comme ça. L'étiquette, elle ne colle pas sur moi. Des fois, ça fait peur aux gens parce que est-ce qu'il veut m'aider ou il veut me contrôler ?

    00:06:08

    Est-ce qu'il veut mon argent ? Ou est-ce que c'est ci ? Ou est-ce que c'est ça ? Ça fait qu'ils ont peur. Ça fait monter des peurs quand les gens ne me connaissent pas. Ou des fois, je suis très familier avec quelqu'un que je rencontre et tout ça. Surtout en France, c'est moins habituel. Ici, au Québec, tu rencontres quelqu'un sur la rue, tu vas parler des choses, tu vas même parler des trucs personnels, ça va. Mais en France, on va dire « Oui, comment ça se fait ? Il est si familier avec moi. Qu'est-ce qu'il y a derrière de la tête ? Qu'est-ce qu'il veut ? » Alors que non, pas vraiment.

    00:06:42

    Mais bon, les gens ne sont pas habitués. Les gens, c'était très important pour eux d'essayer de me comprendre. Ils ne sont plus là parce qu'ils n'ont pas réussi. Parce que même moi, je n'ai pas réussi. Quand on me connaît mieux, on sait mieux qu'on peut me faire confiance. Comme je fonctionne beaucoup, beaucoup avec l'intuition, l'intuition, c'est au-delà du mental. On me dit de faire quelque chose, je le fais. Pourquoi ? Je ne sais pas, mais je le fais. Je le fais, je le mets en avant. Des fois, on peut avoir des réponses plus tard, mais je fonctionne beaucoup comme ça, y compris dans mes ateliers. Des fois, je fais des trucs avec des gens que je n'aurais pas jamais faits ou des mots que j'utilise. Pas habituellement.

    00:07:20

    Il y a une personne, à un moment donné, je m'écoute beaucoup intérieurement, ça fait réagir, mais ça fait monter en moi des émotions. Ce n'est pas moi qui contrôle. J'étais devant une personne et je me suis mis à parler fort, avec un certain ton de voix, avec des mots que je n'utilisais jamais. Et là, la personne dit, voilà, comme mon père. J'ai manifesté l'énergie de son papa pour ce qu'elle avait à prendre conscience. Mais moi, je n'ai pas besoin de savoir que c'était l'énergie de son père au point de départ. J'ai juste besoin de savoir que je dois être à l'écoute de ma voix intérieure. C'est tout. Le reste, tant mieux si on sait pourquoi. Sinon, c'est ma voix intérieure. Voilà, j'écoute.

    00:08:04

    Ça veut dire que du coup, si je reviens à ton enfant, ce truc de faire confiance à cette intuition-là, qu'importe si peut-être ça dérange ou ça crée des incompréhensions autour de toi. Déjà petit, tu avais cette conscience-là que c'était OK et qu'il fallait que tu fasses confiance à cette intuition-là ? Des fois, je ne savais pas trop si c'était de l'intuition ou si c'était de la schizophrénie. Ah mince, il vaut mieux un côté que de l'autre quand même. J'ai décidé que c'était plus le premier et j'ai fait des démarches dans ce sens-là pour essayer vraiment de comprendre ce qu'est-ce qui se passait ou comment le développer. Ça m'a permis de trouver mon chemin. Mon chemin avec des choses qui se manifestaient en moi parce que c'était utile.

    00:08:46

    Et puis, les personnes, les perceptions que j'ai, c'est des perceptions dont j'ai besoin à l'occasion, mais pas, je me souviens, pendant des années, il y a des années, quand je donnais des ateliers, j'avais une personne, une dame qui, elle, quand elle donnait des consultations à Reiki, le Reiki, c'est une technique de guérison par imposition des mains, utilisant l'énergie universelle neutre sans intention, donc je suis maître Reiki aussi, elle a dit, ah, quand elle a fait l'imposition, il y a des images qui lui montrent, il y a des images, tout ça. Quand je faisais des images, des méditations guidées, il y avait beaucoup d'images qui lui venaient et tout ça. Puis là, je me suis mis un moment dans la pensée, je me suis dit, ah, comment ce serait si j'avais les mêmes perceptions que Denise et là, mes mains se sont mises de côté, le pomme de main ouverte, non, ça serait trop.

    00:09:35

    Dans son fonctionnement, elle, c'était OK, elle l'a géré. Mais moi, si on m'avait donné ça en plus, je suis donné pendant des années des ateliers sur les rêves. Et à un moment donné, je dis : non, là, c'est assez. Écoutez, j'ai suffisamment de mes journées, j'ai à voir plein de choses. La nuit, laissez-moi tranquille. Alors, j'ai techniquement arrêté de rêver. Sauf que quand j'ai un rêve et que je m'en souviens, c'est parce qu'il faut que je fasse attention ; on prévient d'un accident qui peut arriver en auto et dans les heures qui suivent. Je sais parce que je fais attention où l'accident aurait pu arriver et j'ai fait attention de aller lentement ou de vérifier plus quelque chose que j'aurais peut-être pas vérifié ; là, j'aurais eu un accident là-dessus.

    00:10:18

    Alors, je suis averti comme ça. Mais autrement, laissez-moi tranquille. Je veux dormir. Sauf que, est-ce que petit, tu avais déjà cette capacité-là de trier, de dire, OK, j'ai des perceptions mais il y a des moments où je n'ai pas envie de les avoir ? Non, pas autant que ça. Mais c'est ça. Donc, en fait, tu te les prenais un peu violemment, presque, j'en ai envie de dire. J'étais pendant, dès le début de ma jeunesse, je me demandais qu'est-ce que je faisais dans ce monde et je te dis ça, mais au moment où j'ai été baptisé, deux jours après ma naissance, le prêtre a demandé par trois fois à mon père, devant les témoins, si j'étais son fils.

    00:10:54

    Alors, la troisième fois, mon père aurait répondu : 'On ne peut jamais être certain du père mais toujours de la mère.' Vous pourrez vérifier auprès de ma femme. Parce que mes parents, ils recevaient souvent des bébés nouveau-nés qui provenaient de filles-mères. Alors, il n'y a rien qui garantissait au prêtre que c'était effectivement le bébé de Jeanne Gamache et Noé Martel. Même si l'on l'avait enceinte, elle aurait pu faire une fausse couche, soit un autre bébé. Et eux autres, ils devenaient les officiants religieux et civils. Parce que le baptistère qu'on avait, c'était le certificat de naissance aussi. Donc, il est enregistré dans le livre civil aussi. Et là, je me suis dit, et voilà que dès les premiers jours de ma vie, on a déjà commencé à se demander qui j'étais.

    00:11:37

    Mais moi, comme bébé, maintenant, j'ai réalisé des années et des années plus tard, comme bébé, je l'avais entendu ça. Je l'avais entendu, c'était enregistré. On se demandait qui j'étais. On ne s'en souvient pas nécessairement. Consciemment. Mais si on irait en thérapie ou en hypnose ou tout ça, ça nous reviendrait, ça. J'ai même une personne, à un moment donné, dans un atelier, retrouver l'enfant en soi. Parce que on dit, j'attire ou je deviens ce que j'ai pas accepté en 0 et 12 ans. Donc, on va guérir des blessures. Et une personne, une participante, qui est la même qui est tantôt que je mentionnais, elle est allée au moment de sa conception. Elle a vu comment c'était fait, sa conception. Bon, est-ce que j'ai vrai ?

    00:12:14

    Est-ce que c'est pas vrai ? Elle est allée vérifier auprès de sa maman. Maman, ça peut-il, quand vous m'avez conçu, il s'est passé telle chose, telle chose. Qui t'a dit ça ? Qui t'a dit ça ? Bon, il y avait une forme de vérité alors, là. Mais elle, elle l'avait enregistrée. Tout est enregistré. Même si on n'a pas le souvenir conscient, tout notre corps, nos cellules, c'est écrit, ancré dedans. Tout est enregistré. Ce serait pas pratique d'avoir tout ça consciemment dans notre tête. Ça ferait un gros disque dur à avoir. Oui, mais on aurait de la difficulté à fonctionner. Que ce soit dans cette vie-ci, pour les événements qui sont passés, si on avait tout enregistré. Si tout était clair, consciemment, c'est la même chose pour les vies passées.

    00:12:53

    Si on s'en souvient, puis ça nous aide, tant mieux. Mais si on s'en souvient pas, bien, c'est OK aussi. On peut vivre notre vie quand même. Mais est-ce que ce n'est pas le chemin de notre vie que de réussir à un moment donné à reconnecter avec cette essence-là, pour comprendre le sens de qui on est, qu'est-ce qu'on fait là et pourquoi on est là ? C'est un peu ce que tu es en train de nous raconter dans ton histoire à toi. Oui et non. Pas nécessairement. Parce que je peux vivre une vie normale, avoir une éducation normale, m'être marié, avoir des enfants, avoir un certain boulot. Et je peux en venir à me connecter spirituellement à l'énergie divine, à mon moi supérieur, sans être obligé de connaître les vies passées ou de connaître plein de choses.

    00:13:35

    C'est disponible à n'importe quel temps. Le fait de s'intéresser à ces sujets-là, puis d'avoir des réponses, ça peut permettre une plus grande ouverture. Comme moi, j'étais pendant des années que quand je dormais, je dormais les bras en croix sur mon thorax. Ah oui, mais après, j'ai appris que j'avais vécu en Égypte. Donc c'est quoi ça? C'est les pharaons que tu es en train de décrire? Oui, moi j'étais le pharaon tout en carton. J'ai rencontré une voyante très puissante en 90 et je vais lui demander à elle. Elle dit oui, oui, c'est vrai. Elle dit oui, elle dit que tu es mort empoisonné et tout et tout. J'ai dit moi, j'ose pas en parler. D'avoir été quelqu'un de célèbre comme ça. Oui, oui, elle dit tu pourrais en parler. Je le mentionne comme ça.

    00:14:17

    Mais bon, je veux dire, ça ne met pas des thunes dans mon compte de banque. Mais bon, ça me permet de comprendre des choses. Moi, j'avais 20 ans quand je dessinais des tables magnétiques avec des courants électriques qui passaient en vue de faire des guérisons et tout et tout. Ça, ça vient d'une de mes vies en Atlantide. Ce que tu es en train de dire, c'est qu'en fait, nos vies antérieures, même si on n'en a pas le souvenir. Oui, il peut rester une empreinte de ça. De 2003 à aujourd'hui, on est en 2024, j'ai fait 10 voyages en Inde. Mais 50 % de mes racines actuellement en énergie sont en Inde. Mais moi, du moment que je suis arrivé en Inde en 2003, je me sentais chez moi, mais je ne savais pas pourquoi.

    00:14:56

    Mais j'ai appris ça beaucoup, beaucoup après que j'avais ces énergies-là. Quand j'ai demandé à mon thérapeute qui m'a dit ça, j'ai dit : Ben, pourquoi que si j'ai 50 % de mes énergies de base sont en Inde, que je ne suis pas né là-bas ? Il dit : C'est parce que si tu étais né en Inde, tu n'aurais pas sorti tous les livres que tu as sortis pour aider à l'ouverture de la conscience occidentale. Ça donne une explication. D'ailleurs, mon nom que j'ai reçu en Inde en 2003, c'est Suryamritananda Swamiji. Alors, ça veut dire la lumière éternelle. Revenons-en au petit toi terrien, là. Quand, à un moment donné, il a fallu faire des choix de vie pro, parce qu'on est quand même dans ce monde-là matériel, toi, ta vraie aspiration, c'était d'être sur scène ou d'être acteur, d'être comédien, si je ne dis pas de bêtises.

    00:15:43

    C'est intéressant que tu dises ça, parce que moi, mon intérêt, mon intérêt personnel aurait été de devenir comédien. Mon intérêt personnel. Mais je m'étais dit, ah, être comédien, je risque d'être pendant une dizaine d'années à avoir pratiquement pas de revenus avant de me faire un nom et tout, et tout. Bon, voilà. C'est pas nécessairement évident. Tant mieux les gens qui s'y risquent, là. C'est pas nécessairement évident. Fait que j'ai décidé que j'irais à quelque chose de plus technique. Donc, j'étais allé en sciences et ensuite à l'université, j'étais en génie électrique. Bien là, il y a plus de chances que j'en emploie. Mais même après avoir eu, bien, chez nous, au Québec, on appelle ça un bac, mais chez vous, ça n'a pas l'air. Non, c'est l'équivalent du diplôme universitaire, si je ne dis pas de bêtises.

    00:16:27

    Oui, c'est ça. C'est pas le bac comme nous, on l'a à la fin du lycée, oui. C'est le diplôme universitaire. Quand j'ai eu ça, bien, j'ai été dix ans à vivre quand même. Finalement, fin mot de l'histoire. J'ai pris une décision, franchement, j'ai compris par après, des années après, parce que j'avais de la difficulté à m'ancrer. Si j'avais étudié dans un autre domaine que les sciences, j'aurais peut-être été encore plus volatile, tout ça, ça aurait peut-être mis ma vie en danger à quelque part, mentalement. Tandis que les sciences, bien, c'est plus concret, tout ça. Et j'ai compris par après que ça avait été une façon, pour moi, l'électricité, entre autres, en méta-physique, l'électricité, c'est la recherche du père. Moi, mon père me battait, donc c'est comme si je recherchais le père.

    00:17:06

    Oh, tu avais un père violent. Oui. J'ai compris que les lois physiques que j'ai apprises en électricité, il y avait toujours un pendant au niveau spirituel. Enfin, là, c'est l'énergie qui circule dans tous les cas, non, c'est ça? Oui. Et puis l'électricité, il n'y a personne qui a vu l'électricité. On voit les effets. Ça va être le magnétisme, l'éclairage, le chauffage, des trucs comme ça. Comme au niveau spirituel, l'amour, on voit les manifestations de l'amour. Mais, à moins qu'on soit voyant, là, on voit dans l'aura de quelqu'un son énergie d'amour, mais autrement, on voit, tu sais, je peux avoir de la tendresse pour quelqu'un, je peux avoir des gestes spéciaux. On voit la manifestation de l'amour, mais l'amour, c'est quoi ? C'est comme les électrons dans les fils, on ne les voit pas.

    00:17:47

    Il y a de la manifestation de l'électricité. Alors, l'avantage que ça a, c'est que moi, si on me trouve un peu trop vaporeux, là, ou dans les nuages ou quoi, là, je leur dis, écoutez, moi, j'ai une formation comme ingénieur électricien. Je suis ouvert au niveau spirituel. Je peux aller d'un monde à l'autre. Et la technologie m'intéresse beaucoup aussi. Des fois, je regarde à la télé, plein, plein, plein d'émissions sur quand ils font, je ne sais pas, aussi bien faire des gâteaux que faire des autos. Toute la technologie, tout ce qui existe au niveau technologique, ça m'intéresse beaucoup. Et j'ai toujours vu qu'au niveau spirituel, le niveau spirituel et le niveau matériel, à un moment donné, se rejoindraient. C'est la même chose.

    00:18:29

    À un moment donné, la matière, quand on scrute la matière, quand on va le plus profond possible, plus loin qu'au niveau des électrons, des protons, plus loin que ça, plus loin que ça, à un moment donné, il n'y a comme plus de matière, mais il y a encore quelque chose. Et ce quelque chose-là est invisible. Ça fait que à un moment donné, ça ressemble plus avec l'énergie quantique. On est comme dans une autre dimension. Donc, on rejoint plus ça. Moi, l'image que j'avais, c'est comme, on est juste en audio, mais imaginons un point, il y a deux lignes qui partent de ce point-là, opposées. Mais à mesure que les deux lignes grandissent, ils forment comme un cercle et à un moment donné, ils se rejoignent au-dessus du cercle.

    00:19:13

    Et c'est ça qui vient se passer. La matière et le spirituel ne font qu'un. Et je dis ne font qu'un. Je ne sais pas, moi, si toute la matière est remplie de vide. C'est hyper intéressant, ce lien que tu fais et à travers ton parcours, entre ce qui est visible, matériel et puis tout ce qu'on ne voit pas, mais à quel point ces mondes-là ne sont pas opposés. Et des fois, en conférence, leve la main ceux qui sont capables de voir au travers de la matière. Souvent, il n'y a pas des mains qui se lèvent. Quand je suis en auto, je regarde au travers mon pare-brise. Ici, on voit les fenêtres, on voit le fleuve. Toi, tu portes des lunettes, tu vois à travers la matière. C'est juste une question de compréhension.

    00:19:55

    C'est vrai. Parce que si je me dis que c'est impossible de passer au travers du mur, je ne pourrais pas passer au travers du mur parce que c'est impossible. Et ceux qui le font, c'est parce que pour eux, c'est possible. Le taux vibratoire du corps physique même, il devient un taux vibratoire égal comme à une fréquence de radio qui, elle, passe au travers du mur. Parce qu'en tant qu'âme, on est partout. C'est toute une question de perception. Donc, de s'ouvrir aux lois spirituelles, de ce qui existe, des possibilités, tout ça, alors, on se dirige vers plus de liberté, plus d'amour, plus de sagesse. C'est ça l'avantage de s'intéresser à ces aspects-là de la vie. Et en même temps, c'est intéressant de voir à quel point toi, tu as su utiliser, j'ai même envie de dire transformer, ce que tu as appris de plus technique et matériel à travers tes études d'ingénieur.

    00:20:45

    Je reviens juste sur ces histoires d'études d'ingénieur versus Jacques, futur comédien. On sent, tu le racontais dans ton enfance, puis on l'entend là aussi, tu étais pris d'un côté entre ton envie, ton intuition, ce qui t'appelait, et puis la réalité. Mais ce qui m'appelait, je ne comprenais pas d'où est-ce que ça venait. Mais avec le temps, à un moment donné, je me disais, dans ma vie, je ne me souviens plus dans quelles années, je me disais, ce qui me vient comme information, c'est vrai à 50 %. Et plus tard, c'est vrai, c'est à 60 %. Et plus tard, plus tard, à 75 %. À chaque fois que j'ai l'information qui me vient de telle façon. Et à un moment donné, c'est vrai à 95 %.

    00:21:26

    Et à un moment donné, l'intuition, la façon qu'elle m'arrive, c'est vrai à 98 %. Alors après, les gens, quand je dis des choses à des gens, ils disent, non, non, Jacques, tu n'as pas raison, c'est ça. Je ne m'obstine pas, mais bon, chacun a sa vérité. Moi, j'ai ma mienne et ça convient comme ça. C'est juste qu'il faut s'habituer à savoir comment être à l'écoute, à la voix intérieure. Est-ce que c'est ma voix intérieure? Est-ce que ce sont mes parts qui ont rapport à mon mental ? C'est ça, à un moment donné, qu'on a à apprendre à décoder. Ça, c'est le boulot d'une vie, hein ? Oui, bon, oui. Ou de plusieurs. Oui, oui, oui, ça peut être le boulot d'une vie, mais ça peut toujours venir instantanément.

    00:22:05

    En tant qu'âme, je peux tout, je sais tout, je suis partout. Tout peut arriver dans l'instant présent. Que ça n'arrive pas maintenant ou dans une heure, c'est possible. Que ça prenne 10 ans ou 20 ans encore, c'est possible. Mais ça peut arriver n'importe quand. Une forme d'illumination, peut-être, mais cette connexion directe, elle peut se manifester dépendant de l'ouverture qu'on a et de ce qu'on mérite. Ah, de ce qu'on mérite ? Je ne peux pas me contenter de ça. Il faut qu'on creuse. Ce qu'on mérite, ça peut venir de nos vies passées. Ça peut venir aussi de notre vie présente. Moi, on m'a dit qu'il y a 4 ou 5 fois que j'aurais été censé décéder. Mais bon, j'ai aidé les gens, je faisais ça. Mais c'est comme de l'argent en banque.

    00:22:50

    Tu arrives à un petit souci, tu as tout ce qu'il faut pour payer le petit souci qui t'arrive. Par exemple, tu as une voiture, tu as un accident, ça va te coûter, je ne sais pas, 3 000 euros de réparation, tu l'embanques, tu payes 3 000 euros, tu l'avais déjà en banque. Donc, c'est quoi ? On a une espèce de passif et d'actif, tu sais, comme un bilan comptable ? Oui, c'est ça. Un accident, si tu as de l'actif, tu peux le payer et tu restes ici, c'est ça ? Oui. L'avantage de rester ici, c'est que c'est le milieu qui est le plus propice pour notre évolution spirituelle. Alors ça, on l'entend souvent, mais est-ce que tu peux expliquer ce truc de notre âme a besoin de s'incarner sur Terre pour expérimenter ?

    00:23:27

    C'est ça que tu dis par là ? Oui, mais Hervéline, supposez que pendant toute mon enfance ou toute ma vie, je vis dans un très beau château avec des serviteurs et tout, de la nourriture pleine d'argent, j'ai tout ce que je veux à ma disposition. Ça va être quoi les défis que j'ai à relever dans ma vie ? Ça va être quoi les prises de conscience que je vais avoir à faire ? Alors qu'en étant ici, sur Terre ordinaire, c'est comme quelqu'un qui se retrouve au niveau du plan astral, tout est beau, tout est merveilleux, tout est splendide, tout est ici. Mais ce n'est pas le milieu le plus propice pour évoluer. Le milieu le plus propice, c'est d'être sur Terre avec tous les soucis que ça peut amener, avec tous les défis à relever, toutes les prises de conscience qu'il y a à faire, tout ça.

    00:24:05

    Alors il y en a qui ne sont pas obligés de revenir sur Terre, mais ils décident de revenir sur Terre parce que c'est plus rapide de remonter. C'est un des meilleurs terrains d'apprentissage. Alors il faut dire merci. Dans merci, dans M-E-R-C-I, c'est la même chose que A-M-O-U-R. On dit merci pour tout ce qui arrive. Dans le livre Le pouvoir des mots qui me libère, il y a une technique qui s'appelle la technique du merci. J'ai un accident, je ne sais pas pourquoi, je dis merci. Moi, il y a plusieurs années, à un moment donné, ici, l'hiver, il y a de la neige, bien sûr. Des fois, il y a du verglas. Je descendais des marches pour aller voir un optométriste et il y avait un petit peu de neige sur la marche, mais bon, je pensais que c'était juste de la neige.

    00:24:44

    Je metts mon talon et j'ai glissé. C'est des marches en béton et j'ai entendu : croc ! Je venais de me casser une jambe. La première chose, Hervéline, que j'ai dite, la première chose, je te garantis, j'ai dit merci. Mais je ne savais pas à quoi je disais merci. Je ne m'étais jamais cassé une jambe. Et c'est rendu un peu plus tard, au plus loin, que j'ai su que j'aurais dû avoir quelques côtes de cassé en plus. J'aurais dû avoir une commotion cérébrale aussi. Et j'ai seulement eu une fracture multiple de la jambe. On m'a posé une tige de 13 cm et 11 vis. Donc, merci, entre guillemets, j'ai eu seulement ça. Mais tout ça, c'est un cheminement.

    00:25:25

    Et puis, si je reviens au tien, tu le disais, ton intuition, elle était là dès le départ, etc., mais tu as eu besoin à un moment de comprendre ça. Donc, en parallèle de ce que tu as vécu dans tes études d'ingénieur, dans ton métier, il y a eu aussi toute une quête. Oui, mais Hervéline, à un moment donné, je me disais, c'est important pour moi de comprendre ce qui se passe. Supposons que je suis en voiture, puis il m'arrivait un accrochage avec quelqu'un. Je disais merci, mais là, je disais : écoutez, c'est sûr qu'il y a une raison, je ne la connais pas, mais donnez-moi au moins une raison. Une raison pourquoi c'est arrivé. Ah, bon, on me donnait une raison. C'est arrivé parce que telle chose. OK.

    00:26:00

    Donc, puis là, à un moment donné, j'avais un autre souci qui m'arrivait. Bon, donnez-moi une raison. Là, il m'en donnait deux. Pas une, deux. Ah, bon. Et là, un peu plus tard, j'avais un petit souci encore. Il m'arrivait un pataclan. Bon, donnez-moi une raison. Mais il m'en donnait quatre. C'est à cause de ceci, de cela, de cela et de cela. Et ainsi de suite, ainsi de suite, ainsi de suite. Donc, des fois, il y a une chose qui arrive et il y a plein de raisons qui sont alentour de ça. On ne connaît pas ou on ne sait pas ou qui viennent de quelque part ou qui ont raison de je ne sais pas trop quoi. Bon, voilà.

    00:26:34

    Ce qu'on entend dans tout ce que tu nous dis là, c'est que malgré ton parcours de grande ouverture, de grande intuition, de grande sagesse, ça ne t'a pas épargné de vivre des choses très terrestres, d'accidents, de coups durs, quoi. Non. Alors moi, j'ai su, bon, les gens iront vérifier s'il y a des médiums qui écoutent ça. Moi, j'ai su qu'au point de départ, je n'avais pas de karma, je n'étais pas obligé de revenir. Mais on m'en a donné un pour que je vive des choses dans le plan physique. Explique-moi comment on peut arriver sans karma ou ne pas en avoir. C'est une nouvelle, en fait, c'est ça ? Si on a équilibré tout notre karma dans nos vies passées, sur Terre, entre autres, on n'est pas obligé de revenir.

    00:27:13

    Tu restes là-haut et puis tu es bien. On continue notre progression astrale, causale, mentale, éthérique, les montures de Dieu et tout, ça continue. Mais moi, c'est comme si au lieu de me retrouver dans une tour d'ivoire, j'avais à vivre beaucoup d'expériences physiques. Ce qui fait que le résultat de ça, c'est que je me sens plus proche des gens. Et quand je fais des conférences, tu vois, il y a des gens qui vont lire des livres, qui vont suivre des athlétiques, qui vont apprendre des choses qui n'ont pas nécessairement vécu, mais ce n'est pas toujours nécessaire, qui vont après faire les conférences ou faire les ateliers. Ce n'est pas quelque chose qu'ils ont intégré. Mais qu'importe, le message qu'ils donnent, c'est quand même utile à des gens qui l'entendent.

    00:27:56

    Mais moi, ce que je dis, c'est ce que j'ai vécu. Et les gens le ressentent. Donc, ça donne une certaine forme de magnétisme. L'avantage, c'est que je suis connecté à tout ce monde-là, mais l'inconvénient aussi, c'est que je suis connecté à tout ce monde-là, avec toutes leurs blessures, leurs ressentis. Tu sais, en 2017, j'avais fait un Tour de France. Oui, dans la publicité, on avait marqué Tour de France de Jacques Martel. Ça faisait que quand les gens cherchaient sur Google Tour de France, ils arrivaient sur ma publicité. C'était voulu. Le Tour de France cyclisme. Oui, là, ce n'était pas le maillot jaune dont on parlait. Et puis, à ce moment-là, pendant 66 jours, j'avais fait tout le Tour de la France. 25 villes. Deux mois entiers sur la route. OK.

    00:28:43

    Et puis, il y avait quelqu'un qui m'accompagnait pour des choses techniques, qui est avec moi, un Québécois. Après avoir donné quatre, cinq fois cette même conférence, des fois, entre les diapos, je disais des choses différentes, mais je lui ai dit, Olivier, es-tu rendu compte qu'à chaque fois que je donne la même conférence, que l'énergie n'est pas la même, que c'est comme si c'était une nouvelle conférence à chaque fois ? Donc, j'étais connecté aux gens, à la conscience des gens, à tout ça, de ce qui se passait. Les gens, ils n'avaient pas le droit de poser des questions avant la fin, si j'avais du temps, parce que moi, je les entendais, les questions. Ça paraît que je continue ma phraseologie ou quoi, le sujet de la conférence, mais ça ne répond à la question de personne.

    00:29:26

    Sauf qu'il y a un pendant à ça, c'est ce que tu dis un peu là, entre les lignes. C'est OK de capter les douleurs, etc., des gens, mais enfin, il faut, comment les recevoir tout en s'en protégeant et pas non plus les prendre en pleine face ? Oui, ça, c'est tout un défi à relever. Ça fait partie d'un sacrifice. Pour d'autres, peut-être qu'ils vont dire autrement, qu'ils fonctionnent autrement, d'autres conférenciers ou d'autres thérapeutes qui font des ateliers fonctionnent autrement, mais pour moi, ça faisait, une partie de ça, ça faisait partie d'un sacrifice. Tu sais, en t'écoutant dire ça, ce qui me vient, l'image qui me vient, c'est celui d'un prêtre comme le sacerdoce. Oui, mais ça vient comme la même chose qui existait au temps de Jésus. Voilà, j'ai vécu ce temps-là, donc.

    00:30:07

    Oui, on en parlait en off tout à l'heure. Toi, tu as reconnecté avec ces souvenirs-là de vie antérieure à l'époque de Jésus. À cette époque-là, voilà. En même temps que l'énergie qui est présente dans la salle quand je fais une conférence, c'est une énergie de guérison et il y a des gens, certainement, que dans leur conscience, il y a des guérisons qui se font. Ce n'est pas nécessaire qu'il y ait un attribut sage ou un acte mortel, je ne tiens pas nécessairement, mais certainement qu'il y a des guérisons qui se font, surtout de la façon que je m'exprime, parce que je m'exprime toujours au jeu quand je fais mes conférences. Donc, les gens, ils n'ont pas de traduction à faire dans leur tête, ils entendent « je », donc ça rentre directement au niveau du cerveau.

    00:30:42

    Donc, juste ça, ça aide à des prises de conscience et à des guérisons émotionnelles. Oui, parce que ça, on va en parler, mais dans ton travail, il y a tout un pan sur le pouvoir des mots et la manière dont on exprime et qu'est-ce qu'on envoie à travers nos mots comme message. On va y revenir. Donc, toi, tu fais tes études d'ingénieur, tu deviens ingénieur. Je crois que tu aimes profondément ce que tu fais. D'ailleurs, la manière dont tu en parlais tout à l'heure, on sent que tu aimes ça. Oui, c'est encore présent dans moi. Je veux dire, bon, je ne pense pas que ça va se présenter, mais si on me présentait aujourd'hui ou demain quelque chose qui a rapport à cette discipline-là, peut-être que ça m'intéresserait.

    00:31:18

    Peut-être que je ne le ferais pas parce que je suis branché sur autre chose. L'intérêt est encore présent. En parallèle de tes études et tout ça, quand même, tu étais toujours dans cette quête spirituelle, on va dire. Oui. Tu as essayé des choses, tu as rencontré des maîtres, des gourous. À un moment donné, je tenais une séance d'information en méditation transcendantale, qui provient de Maharishi Maheshwaghi, donc je tenais une séance d'information et là, il y a une voix à l'intérieur de moi qui m'a dit, c'est correct, mais ce n'est pas ce que tu cherches. Je me suis fait initier en méditation transcendantale, je commence à méditer et tout ça. J'ai connu une séance d'information des rosicruciens à Morque et d'eux autres. Les enseignements, ça provient de l'Égypte.

    00:31:56

    C'est un groupe mystique, ce n'est pas un groupe religieux, mais mystique. Ça m'intéressait, l'Égypte, je me sentais bien par rapport à ça. Ça m'a intéressé, tout ça. Il y avait des monographies qu'on recevait tous les mois, des enseignements, des exercices. Je me suis inscrit. La voix a dit, c'est correct, mais ce n'est pas ce que tu cherches. Je vais juste une mise en contexte parce que je trouve que c'est important de le souligner. Tu l'as dit, là, on est dans les années 70. On est quand même dans ce mouvement-là, New Age et tout ça. Il y avait un environnement propice à une forme de spiritualité, mais j'imagine qu'il y avait plein de courants différents. C'est certain que certains d'entre eux que tu es allé visiter ? Oui, ça s'est présenté à moi.

    00:32:37

    Les Rosicruciens à Marques, il y a du sens encore. La méditation transcendantale, ça existe encore. Après, un groupe plus religieux qui a fait une séance d'information à la maison qui avait la photo d'un maître, un Américain. Ils parlaient de réincarnation, des lois spirituelles. Ça allait. Je crois que ce que je t'ai entendu dire par rapport à ce tout premier contact-là, c'est que tu te marrais un peu en disant : 'C'est qui.' C'est parce que la photo du maître en question, c'est un Américain représentant de Dieu sur Terre. C'est ça, un peu trop ? Je vais aller respecter celui qui présentait la conférence. On va rester ouverts. On va voir ce qu'il y en a. À la fin, le présentateur a dit qu'on allait faire un mantra spirituel qui s'appelle le chant du You. Ça s'écrit H-U, mais ça se prononce Y-U-U. Le chant du You, ça se prononce

    00:33:38

    'Alors, on était sept, huit personnes avec ça'. Et là, la voix est revenue encore. C'est correct, tu n'auras plus besoin de chercher le restant de tes jours. On a dit, ah bon ? C'était là. Ah bon, le restant de mes jours, ça faisait quoi ? Ça faisait six mois, un an, deux ans. Plusieurs années après, j'ai su les maîtres qui étaient associés à ce groupement. J'ai vu leur visage. Depuis des années, quand je fais en consultation, ils se manifestent, un ou l'autre des maîtres. Et ici, dans mon salon, j'ai les photos qui sont éclairées de juste cinq lumières disponibles, donc les cinq maîtres qui sont là. Alors, ça, c'est cinq des dix ou douze maîtres avec lesquels je communique souvent et que j'ai su il y a quelques années que ça faisait plusieurs vies qu'ils étaient dans mon entourage.

    00:34:29

    On en était à ce moment où tu découvres cette approche EU. Le U, H-U. C'est correct que tu n'auras plus besoin de chercher le restant de tes jours. Une fois qu'on t'a dit ça, tu en fais quoi ? Je suis devenu membre de l'organisation en question. Donc, je reçois les enseignements. Je faisais des conférences là-dessus. J'allais à des séminaires internationaux, tout ça. Je crois avoir lu que tu as aussi, en parallèle de ça, tu as commencé des ateliers de développement personnel. C'est ça, OK. Tu as découvert des ateliers de développement personnel ? Oui, avec une thérapeute. Tout de suite, j'ai embarqué. Et j'ai vu que j'avais trouvé un moyen de guérir mes blessures émotives. Et comme j'avais de la facilité au niveau de la communication, ça faisait déjà quelques années que je faisais des émissions de télévision.

    00:35:11

    Ce qu'on appelle chez nous une télévision communautaire. Et puis, j'avais développé ça. Donc, je suis devenu facilement, rapidement un thérapeute pour pouvoir faire ça. Ce qui est intéressant, j'entends dans ton parcours, c'est une chose d'avoir de l'intuition et d'avoir une connexion comme ça intérieure à plus haut. Mais si on n'a pas les outils pour le comprendre et si on n'a pas fait le travail sur ce terrain, c'est difficile de bien l'utiliser, non ? Bien oui, oui, oui. Une grande partie du travail, c'est de savoir l'information qu'on reçoit, dans quelle mesure elle est juste. Dans quelle mesure elle est-elle juste, et ça ne vient pas du mental qui essaie de nous jouer un tour. C'est ça. Avec les expériences, comme je l'ai dit tantôt, à un moment donné, je disais : ce que je reçois, je peux dire que c'est vrai à 50 %, ensuite à 70 %, ensuite à 90 %.

    00:35:56

    En vérifiant des trucs intérieurement, on en vient à oui, mais quand je reçoit l'information et que je ressens telle chose de telle façon, c'est juste à 98 %. Le mental, c'est un très, très, très, très bon outil, mais c'est un mauvais maître. Souvent, les gens qui se dirigent en spiritualité, ils mettent le mental de côté, tout ça. Non, non, non, il faut s'en faire un ami. Et moi, je dis au mental, merci, merci, merci, un million de fois pour tout ce que tu m'as aidé depuis ma naissance, mais maintenant, on va changer quelque peu les règles, mais je vais toujours, toujours te laisser une place. Alors, on s'en fait un ami, et non pas un ennemi, parce que si on s'en fait un ennemi, moi, je peux garantir d'être en mesure de dire qu'il va gagner, parce que le mental, c'est le niveau énergétique le plus élevé des mondes de matière, énergie, temps et espace.

    00:36:43

    L'âme, c'est supérieur à ça, mais le mental, si je m'oppose au mental, il y a beaucoup de chances que c'est lui qui va gagner. Alors, c'est mieux de s'en faire un ami. C'est intéressant de l'entendre comme ça, de notre perspective. Et du coup, toi, tu vis les ateliers de développement personnel, tu apprends des choses, tu guéris des choses, mais assez vite, côté, et devenir le thérapeute, là que t'évoques. Et toi-même, d'abord co-animer, puis animer les ateliers. Donc, j'ai fait ça début 90. Quoi qu'il en soit, de 98 à 2013, j'étais de 6 à 9 mois par année en Europe à faire énormément d'ateliers, soit en France, en Belgique, une fois au Luxembourg, l'Île-de-la-Réunion, au Québec, quelques-uns aussi, en Suisse, en 98 à 2000, j'ai fait beaucoup d'ateliers.

    00:37:27

    Et pour moi, à la différence de Lise Bourbeau, qui est connue. Les 5 blessures de l'âme, c'est ça? Oui, c'est ça, Lise Bourbeau, qui a fait beaucoup de livres, peut-être 13 ou 15 livres. Elle, son objectif, c'était de former des thérapeutes, et ces thérapeutes, ils donnent de ces ateliers. Alors moi, j'ai jamais eu cette intention-là. Alors moi, quand je faisais un atelier, c'était toujours pour moi. C'était un moyen pour moi de faire des prises de conscience. Et je me suis dit, le jour où j'en aurais plus besoin, peut-être que j'arrêterais. Mon intention n'était pas de former des gens, former des gens pour faire la même chose que moi. Il y en a qui l'ont fait, peu, mais il y en a qui l'ont fait.

    00:38:04

    À ce moment-là, des fois, ils m'avertissaient, donc je leur donnais plus d'informations quand je donnais l'atelier. Ce n'était pas mon but de monter une organisation de gens qui vont donner mes ateliers, tout, tout, tout, tout, là. Toi, ton but, c'est quoi? C'était d'aller au contact ? Non, mon but, c'était d'abord et avant tout de créer une situation qui me permettrait, à moi, Jacques Martel, de faire des prises de conscience. Tes propres prises de conscience ? Oui, en premier. À travers ? Parce qu'on offrait aux autres, c'est on aussi. Voilà, c'est ça. La personne la plus importante à ce moment-là, je ne agis pas comme ça quand je suis dans l'atelier, mais la personne la plus importante dans l'atelier, c'était pour moi, personnellement.

    00:38:44

    Est-ce que ça, réussir à trouver ce moment-là dans sa vie, ce n'est pas un peu l'aboutissement qu'on cherche tous, c'est-à-dire à travers l'aide qu'on peut apporter aux autres, en boomerang, on se le fait à soi-même? Je te pose la question parce que dans tous les thérapeutes que je côtoie, je le perçois. C'est parce que la seule personne qui existe dans mon univers, c'est moi et toutes les autres personnes sont des reflets de nous. En aidant les autres à faire des prises de conscience, ça peut m'aider à devenir davantage conscient de qui je suis, de ce que je vis, d'être davantage conscient. Parce qu'en fin de compte, quand on quitte ce monde physique, ce qu'on apporte, c'est plus l'ouverture de Conscience qu'on n'apporte pas ; On n'apporte pas nos biens matériels, on n'apporte pas.

    00:39:28

    Parce qu'en tant qu'âme, puisque je sais tout, je peux tout, je suis partout ; c'est comme si, quand je repars, je repars avec la même chose que je suis arrivé, sauf que je suis plus conscient. Et toi, ton moyen d'être plus conscient, c'est justement à ce contact-là, dans les ateliers de développement personnel, en accompagnant d'autres humains, c'est toi qui grandis aussi en même temps. C'est magnifique. Tout le monde est content. Oui, voilà, c'est ça.



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    Développement personnel • spiritualité • thérapie alternative • santé mentale • jacques martel • bonhommes allumettes • thérapeute québecois • thérapie québec • thérapie alternative québec

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    Vous aimerez cet épisode si vous aimez : Métamorphose, éveille ta conscience • La vie suffit de Chloé Bloom • Ressentir • Osez by Nico • Dialogues par Fabrice Midal

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  • Aujourd’hui, j’accueille Estelle dans La petite voix.

    À seulement 24 ans, Estelle a traversé des épreuves qui auraient pu briser bien des adultes. Mais elle a choisi de se relever. Son histoire, c’est celle d’une jeune fille qui a dû affronter la cruauté du harcèlement scolaire, un poison insidieux qui s’est infiltré dès le collège.

    Elle nous raconte comment, de la sixième à la quatrième, elle est passée de l’isolement des rumeurs à une véritable descente aux enfers, où le cartable dans la poubelle et les têtes dans les casiers étaient monnaie courante. Et puis il y a ce moment où elle comprend que ce qu’elle vit n’était pas normal. A partir de là, tout doucement, un pas après l’autre, Estelle va se relever.

    Bienvenue dans un épisode fort, émouvant et plein d’espoir, particulièrement utile en cette période de rentrée scolaire, où les défis de l'adolescence et les problématiques de harcèlement sont plus que jamais d'actualité.

    Aujourd’hui, avec Estelle, nous allons parler de sa chute mais aussi de sa renaissance : ce moment où elle a confronté ses agresseurs, le rôle salvateur de la psychothérapie qui lui a permis de comprendre son HPI et son hypersensibilité, et comment elle a retrouvé la force de redéfinir sa vie grâce à une école de la deuxième chance.

    Si vous ou une personne de votre entourage êtes victime de harcèlement scolaire, ne restez pas seul.e. Voilà le contact qui va vous aider :

    le 30 18, la plateforme (téléphone et app) face aux situations de harcèlement à l'école

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  • Quand vous écouterez cet épisode si vous l’écoutez à sa sortie, vous serez en plein dans le rush de la rentrée. Remettre le nez dans la todo list, reprendre les dossiers qui n’ont pas avancé comme par magie pendant l’été, courir pour ne rien oublier des inscriptions et autres joies administratives de septembre…
    Bref vous voyez le tableau !

    Alors peut-être que cet épisode va arriver dans vos oreilles comme un moment suspendu… ou pourquoi pas comme une petite graine qui peut être germera…

    Fanny était une parisienne comme les autres, ni heureuse ni malheureuse, c’était d’ailleurs bien cela le problème : comment tout envoyer balader quand la réalité n’est pas le bagne… elle est juste bof !

    Une parisienne comme les autres jusqu’au jour où une idée un peu folle s’invite dans ses pensées : et si je plaquais tout pour aller ouvrir une chambre d’hôte à la campagne. 

    L’idée est certes folle mais elle est surtout trop tentante. En l’espace de quelques semaines, Fanny se lance dans l’inconnu. La vie étant bien faite - encore plus quand on écoute sa petite voix ! - tout va se mettre en place avec une simplicité déconcertante…

    Bienvenue dans un épisode enthousiasmant et plein de douce audace,

    Avec Fanny, nous allons parler d’un appartement qu’elle venait d’acheter, d’un deuil pas encore tout à fait terminé et d’une maison coup de coeur.

    Pour découvrir la chambre d'hôte de Fanny, c'est par ici :  https://linktr.ee/leslitsdesfees

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  • Qu’est-ce qui pourrait vous pousser à vous isoler du monde pendant plusieurs jours ? A rester dans le silence total  pour aller au contact de votre être profond ? A vous lever chaque jour à 4h pour méditer sans relâche jusqu’à la nuit tombée ?

    Ma nouvelle invitée Marion a ressenti le besoin de vivre une retraite de 11 jours en silence au moment d’aborder un grand changement de vie.

    Si vous avez commencé à vous imaginer Marion comme une jeune femme gentiment perchée avec un air doux et un peu illuminé (oui je sais, c’est super cliché !) alors vous vous trompez. Et vous allez vite comprendre à son accent chantant et à sa joie de vivre débordante que Marion n’avait a priori pas le profil pour vivre une telle expérience. Et ce ne sont pas les quelques méditations qu’elle faisait de temps en temps sur Youtube l’y ont bien préparée !

    Bienvenue dans un épisode aussi joyeux que profond !

    Avec Marion, nous allons parlé du temps qui peut paraitre parfois très très long, d’une expérience aussi et contre toute attente très collective, et de ressentis physiques et émotionnels complètement exacerbés.

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  • C’est une réalité qui ne fait pas plaisir, mais c’est vrai, nous sommes de plus en plus nombreuses et nombreux, quel que soit notre âge, à être touché un jour par le cancer.

    Quand il nous tombe dessus, ce n’est pas seulement notre propre vie qui est chamboulée. C’est aussi celle de nos proches qui font de leur mieux pour nous accompagner dans la maladie.

    Mon invitée du jour Elisa a côtoyé le cancer de très près. De trop près même.

    C’est là dans les couloirs de Léon Bérard, le centre de cancérologie de Lyon, qu’est né son envie - plutôt même son besoin - de se rendre utile. Elisa a transformé une douleur personnelle en une vocation qui change des vies, en particulier celles des femmes qui ont subi une mastectomie suite à un cancer du sein.

    Aujourd’hui, malgré les doutes et les nombreux obstacles, Elisa fait du tatouage thérapeutique. C’est-à-dire qu’elle apporte une magnifique et poétique touche finale à ce que l’on appelle communément un “parcours du combattant”.

    Bienvenue dans un épisode tellement touchant.

    Avec Elisa, nous allons parler d’une amie si chère qui n’est plus, du sentiment d’accomplissement quand on a trouvé sa place après l’avoir longtemps cherchée, et de la solidarité - ou pas - entre tatoueurs.

    Retrouvez Elisa sur son compte Instagram @elisa_tattooing

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  • Imaginez : vous vivez une vie parfaite, celle dont vous rêviez enfant… puis un jour, soudainement, brutalement, tout s’écroule.

    C’est ce qu’a vécu il y a quelques années la chanteuse Anna Chedid, alias Nach.

    Une rupture amoureuse, un déménagement, l’arrêt brutal de sa tournée et la fin de ses contrats avec sa maison de disques et son tourneur… tout cela en l’espace de seulement quelques semaines.

    Alors, comment se reconstruire quand plus rien ne tient debout ?

    Anna a choisi l'exil et l'introspection, parcourant des lieux reculés. De la Drôme aux Cévennes, et au Maroc, elle a pris le temps de vivre, de se reconnecter à elle-même pour réinventer sa vie.

    Dans cet épisode, vous entendrez comment Anna a transformé ses épreuves en une œuvre d’art, son dernier album intitulé "Peau Neuve".

    Bienvenue dans un épisode riche en émotions et en voyages intérieurs.

    Aujourd’hui, avec Anna Cheddid, nous allons parler d’une renaissance dans un hammam, de son envie d’être psy lorsqu’elle était enfant, et de l’importance de s’accorder la place que l’on mérite.

    Retrouvez Nach sur son compte Instagram @nachmusicofficiel

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  • Qui n’a pas un jour rêvé de tout plaquer pour aller s’installer au bout du monde ?

    Olivia fait partie de ces gens-là. Elle a eu envie prendre la route pour découvrir de nouveaux horizons.

    Un rêve qui va devenir réalité, presque par hasard. Parce qu’un jour, en voyage de noces, l’amour frappe -encore- à leur porte : elle et son mari ont un coup de foudre pour la Nouvelle-Zélande. Ce sera là, et pas ailleurs.

    15 ans plus tard, la Franco-Suisse a ajouté une 3ème nationalité à son palmarès de voyageuse! Elle et sa famille sont désormais de vrais kiwis.

    Elle et sa famille savent surtout tout ce que la vie d’expatrié au bout de monde a d’extraordinaire, malgré quelques turbulences !

    Bienvenue dans un épisode lumineux et inspirant, comme Olivia !

    Avec Olivia, nous allons parler de ce pays qu’elle ne voulait vraiment pas visiter, des débuts qui ont demandé de s’accrocher, et de tout ce que cette longue expatriation lui a fait apprendre sur elle-même.

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  • Aujourd’hui, je vous embarque dans l’histoire d’un homme qui a eu le courage d’écouter sa petite voix face à une dépendance qui aurait pu le consumer.

    C’était il y a 2136 jours lorsque Jean-Loup a décidé de rompre avec l'alcool, ce compagnon de route destructeur.

    Comment trouve-t-on la force de dire un jour Stop, d'affronter les démons cachés dans nos dépendances, et de se projeter dans un avenir différent ?

    Comment Jean-Loup a-t-il appris à naviguer dans les eaux tumultueuses de la sobriété ? Et comment a-t-il réussi à reconstruire sa vie, morceau par morceau ?

    Bienvenue dans un épisode poignant, une plongée dans le combat d'un homme pour sa propre vie, un homme qui se voyait si vulnérable et qui a la force de venir témoigner à mon micro.

    Avec Jean-Loup, nous allons parler d’une vision pas si romantique du rock, d’un mariage qui vole en éclat et d’une retraite spirituelle qui change tout.

    Si vous rencontrez des problèmes avec l’alcool ou plus généralement d’addiction, de nombreuses associations peuvent vous aider, et notamment celle-ci : les Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA). Cliquez ici pour en savoir plus : https://intervenir-addictions.fr/orienter/vers-qui-orienter/csapa/

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  • Elle le savait pourtant, Pauline, que quelque chose clochait, qu’elle étouffait dans cette vie qui ne la rendait pas heureuse. Sauf qu’elle refusait de l’entendre.

    Alors puisque sa tête a fait la sourde, c’est son corps qui s’est un jour manifesté. Violemment. Dangereusement. Pauline se retrouve aux urgences avec de sérieux problèmes de cœur.

    Va s'ensuivre une nuit horrible d’angoisse et de douleur, où elle craint le pire.

    C’est pourtant au cœur de cette nuit noire qu’une promesse émerge : si elle s’en sort, sa vie va changer, elle ne la subira plus.

    Alors quand elle ouvre les yeux le lendemain, pas encore guérie mais sortie d’affaire, Pauline sait que c’est le premier jour du reste de sa vie.

    Bienvenue dans un épisode puissant et émouvant, où l’on découvre une femme qui a eu le courage d’écouter sa petite voix pour se libérer et trouver la paix.

    Avec Pauline, nous allons parler d’une frénésie de projets pour ne pas avoir à se poser de questions, de la sensation de sentir comme un animal blessé, et du long chemin pour se reconnecter à elle même.

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  • A seulement 30 ans, Sandrine avait déjà coché : jeune mariée, jeune maman, salariée heureuse, et propriétaire d’une maison. Ce serait mal la connaitre que d’imaginer qu’elle allait se contenter de ce beau tableau.

    Car vous allez l’entendre à mon micro, Sandrine a un impérieux besoin d’action et de challenges… quitte à devoir explorer des chemins qu’elle ne connait.

    Peut-être par peur de s’ennuyer, mais surtout pour ajouter du piment dans sa vie, elle lance un jour du début des années 2010 un blog pour partager une double passion : celle de la cuisine, et celle du graphisme. Le reste va la dépasser, et elle va se retrouver aux manettes d’une aventure qu’elle n’aurait jamais imaginée.

    Bienvenue dans un épisode aussi inspirant que sympathique… bref bienvenue dans cet échange entre copines.

    Avec Sandrine, nous allons parler d’un job qu’elle adore mais qu’elle quitte, d’un lancement à son compte qui mêle le lâcher prise et une organisation au cordeau, et d’un travail qu’elle a créé de toute pièce pour qu’il lui ressemble vraiment.

    Retrouvez Sandrine sur son compte Instagram @fraiseetbasilic

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  •  Voilà la bande annonce de la série avec laquelle je vais vous accompagner cet été🎙️ Je vous donne rendez-vous mardi prochain pour le premier épisode avec Sandrine !

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  • Allez hop je vous propose ce petit épisode en forme de bilan, de remerciement, de questionnements et de belles perspectives pour conclure cette 6ème saison, haute en couleur !

    Restez connectés car dès la semaine prochaine, je vous proposerai le 1er épisode de ma série d'été sur dans lequel je vais à la rencontre de celles et ceux qui ont un jour osé écouter leurs petites voix 😉

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    La petite voix est un podcast du label Lacmé Production. 

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  •  Allez on se retrouve cette semaine avec Lucile Frichet, médium. Soyez prêt, nous embarquons pour une séance de méditation au cours de laquelle, Lucile nous donne des clés pour apprendre à communiquer avec nos guides. Rien que ça ! Bonne séance !

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  •  Aujourd’hui je me réjouis d’accueillir Lucile Frichet, médium. J’ai rencontré Lucile chez elle à Aix, et vous le comprendrez, ce moment d’échange a été un moment suspendu, une douce bulle inspirante.

    Attention, derrière sa douceur, Lucile cache aussi un tempérament déterminé qui a connu la vie effrenée de business woman qui cherchait - sans jamais le trouver - l’équilibre entre sa vie pro et sa vie familiale.

    A l’époque, la médiumnité était bien éloigné de son quotidien . Sauf que voilà… un jour sa petite voix lui a parlé. D’abord en mettant son corps à l’arrêt puis de manière directe en lui soufflant des messages à l’oreille.

    Ce jour-là Lucile a entamé une lente et grande transformation qui l’a obligé à faire tomber ses croyances, son égo et sa vie d’avant.

    Bienvenue dans un épisode plein de lumière, et de bonnes ondes.

    Avec Lucile, nous avons parlé d’une vie à 100 à l’heure dans un métier qu’elle adorait, d’une découverte de la méditation qui a tout changé, et de son nouveau job de médium qui délivre les messages que nous avons besoin d’entendre.

    Quelques notes sur l’épisode :

    Le site de Lucile : https://lucile-frichet-entre-ciel-et-terre.fr/ Son compte Instagram : www.instagram.com/entrecieletterre.lucile Son conseil lecture : L’âme du monde de Frédéric Lenoir Son conseil bien-être : quelques respirations conscientes dans la journée

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  •  Comment faire pour mettre des couleurs dans notre garde-robe ? Pour moi qui suis rarement habillée autrement qu’en noir ou bleu marine, voire beige les jours de fête !, c’est une grande question.

    Question à laquelle nous répond aujourd’hui mon invitée Loren Fascianel, coach en image de soi, avec des conseils très simples et rapides à tester.

    Quelques notes sur cet épisode :

    Le site de Loren : www.soyonselegantes.com
      Son compte Instagram :  www.instagram.com/loren_soyonselegantes
     

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  • Aujourd’hui, j’ai la joie d’être reçue par Loren Fascianel qui est coach en image de soi.

    Loren, quand on la voit, c’est un soleil. Colorée, enjouée, lumineuse… bref elle met du peps dans sa vie, et autour d’elle. On pourrait s’arrêter à cela : une jolie blonde pleine d’énergie qui nous donne des conseils pour apprivoiser notre image et adopter une mode “consciente”.

    En réalité, vous le découvrirez très vite, derrière cette facette se cache une Loren passionnante, profonde et inspirante. Celle qui a été juriste pendant plus de 10 ans va bien au-delà des apparences. C’est d’ailleurs son message de fond : notre look n’est pas une question de style, c’est une question d’identité.

    Bienvenue dans un épisode joyeux, pétillant et plein de sens.

    Avec Loren, nous allons parler d’un choix de carrière raisonnable, d’un déclic qui change absolument tout et d’un grain de folie teinté de sérieux… ou peut-être est-ce l’inverse !

    Quelques notes sur cet épisode :

    Le site de Loren : www.soyonselegantes.com
      Son compte Instagram : www.instagram.com/loren_soyonselegantes
      Son conseil bien-être : manger des clous de girofle
      Son conseil lecture : Spirit of Wonder de Kenji Tsuruta
     

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  • Allez, on retrouve aujourd’hui Christian Spitz, pédiatre, dont la voix familière a fait l’effet d’une madeleine de Proust sur beaucoup d’entre vous la semaine dernière si j’en crois vos messages !

    Pour cet épisode bis, je vous propose un extrait de notre rencontre, un extrait pas publié la semaine dernière où il est question de notre rôle de parents, de comment l’on peut naviguer entre amour et autorité… Bref de ces questions que l’on pose en tant que parents !

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  • Aujourd’hui, je suis très heureuse d’accueillir à mon micro Christian Spitz, pédiatre.

    Attention moment nostalgie pour celles et ceux qui comme moi passaient leurs soirées d’adolescence à écouter Fun Radio. Car oui vous connaissez aussi peut-être Christian Spitz sous un autre nom, peut-être l’avez vous déjà entendu en tant que Doc !

    Bien sûr dans cet échange, nous allons revenir sur la manière dont il a vécu ce véritable phénomène qui l’a un peu dépassé à l’époque. Mais nous allons surtout parler de son métier de pédiatre, une  vocation qu’il exerce sans lassitude mais toujours conviction depuis une quarantaine d’années.

    Bienvenue dans un épisode aux accents de nostalgie, mais surtout un épisode riche en expérience de médecin et d’homme tout simplement.

    Avec Christian, nous allons parler de son choix évident pour les études de médecine,  de sa vision de la relation patient-médecin et de son rapport à la mort depuis qu’il l’a vue d’un peu trop près il y a quelques années.

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  •  Comment écouter notre corps ? La question peut paraitre bête mais en réalité, la réponse n’a rien d’évident. Marie-Soline Poydenot, somatopathe, revient dans ce nouvel épisode pour nous donner quelques clés pour juster apprendre comment se mettre à l’écoute de cette petite voix de notre corps. 

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