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Finie la chef guerrière ! Oubliée l'executive woman qui exécute tout ce qui bouge ! Désormais le leadership au féminin s'exprime avec plus de subtilité, plus de nuances, plus de complexité. Sans tomber dans la caricature inverse de la douceur, évidemment.
Pour Yaël Gabison, coach de grands dirigeants et spécialiste du storytelling, les deux héroïnes de Dead to me ont beaucoup à nous apprendre sur ce nouveau leadership. "Elles constituent les deux facettes d'une même femme : Jen, la guerrière qui porte tout sur ses épaules, qui est au bord de la crise de nerf en permanence et Judy la gentille baba cool, qui est très bienveillante, que tout le monde adore. Et en fait, elles se complètent et s'équilibrent. Elles ont des faiblesses et des failles qu'elles vont combler en s'aidant l'une et l'autre."
Un nouvel épisode de Manageflix, le podcast du magazine Management, avec Yaël Gabison et Lomig Guillo, qui vous propose régulièrement des leçons de management inspirées des héros... et anti-héros, des séries télé les plus populaires.
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Prof de chimie, malade et n'ayant plus rien à perdre, Walter White décide de mettre ses talents de chimiste au service du mal et de devenir le plus grand producteur de drogue... Un exemple de quelqu'un qui ose exploiter ses talents, nous dit Yaël Gabison, coach de grands dirigeants et spécialiste des séries télé. "Comment peut-on prendre en exemple le type le plus détestable du monde ? Parce que ce qui compte avec Walter White ce n'est pas ce qu'il fait, mais pourquoi il le fait. Ce qu'on appelle son "Why" ? Or c'est ce qu'on cherche tous."
Pour notre spécialiste, cette série montre en effet comment un homme ordinaire va prouver à tout le monde qu'il a en réalité un talent fou. Soit quelque chose que tout le monde rêve de faire en entreprise. "Rien ne nous empêche d'essayer, comme Walter White, d'essayer de faire quelque chose de plus grand que soi. Sauf que, contrairement à lui, on peut essayer de le faire du côté du bien et pas du mal !" De "breaking good", plutôt que de "breaking bad" en somme...
Un nouvel épisode de Manageflix, le podcast du magazine Management, avec Yaël Gabison et Lomig Guillo, qui vous propose régulièrement des leçons de management inspirées des héros... et anti-héros, des séries télé les plus populaires.
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Héros de la série Les Soprano, Tony Soprano est un mafieux américain, à la tête de famille DiMeo, une organisation qui règne sur le New Jersey. Mais pourquoi vouloir s'inspirer d'un mafieux quand on veut améliorer son leadership ?
"Parce que c'est un super business man et un négociateur hors-pair", nous explique Yaël Gabison, coach de dirigeants et spécialiste du storytelling.
La leçon à tirer de cette série ? "Dans une négo et pour votre égo, fermez-là !" En effet, quand on veut négocier, "le premier qui parle a perdu !", ajoute notre coach. "Dans la série, Tony Soprano explique que, quoi qu'il arrive, il ne faut pas dévoiler ses cartes. Lui, il est capable de ne rien dire... et comme les gens ont horreur du silence, ils vont parler, ses dévoiler, dire des choses dont on pourra, nous, se servir par la suite." Un rapport de force dans lequel, il est vrai, notre sympathique mafieux peut avoir un léger avantage...
Un nouvel épisode de Manageflix, le podcast du magazine Management, avec Yaël Gabison, qui vous propose régulièrement des leçons de management inspirées des héros... et anti-héros, des séries télé les plus populaires.
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Prenez des cours de management avec les héros de vos séries préférées et Yaël Gabison, coach de grands dirigeants et spécialistes du storytelling. Dans ce nouvel épisode, découvrez Tom Kirkman, devenu Président des Etats-Unis pratiquement par accident... Un vrai gentil qui va essayer de ne pas se renier alors qu'il accède au bureau ovale. Un homme avec des convictions qui va s'appuyer sur ses valeurs pour exercer un leadership bienveillant et empathique. Un modèle dont, en cette période, bon nombre de managers devraient s'inspirer, selon notre experte.
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Prenez des cours de management avec les héros de vos séries préférées et Yaël Gabison, coach de grands dirigeants et spécialistes du storytelling. Dans ce nouvel épisode : les détenues de la série Orange is the new black nous expliquent que, dans la vie, il faut parfois savoir laisser certaines relations derrière soi. Pour Yaël Gabison, c'est notamment le cas lorsqu'on accède à certaines fonctions : les personnes que l'on a connu et fréquenté avant ne sont pas toujours ni de bon conseil ni bien intentionnées une fois que l'on a pris du galon... Une autre façon d'envisager la solitude du manager ?
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Don Draper est un menteur, un vrai menteur. "C'est un imposteur, dont une bonne partie de la vie est basée sur un mensonge", décrypte Yaël Gabison, coach et experte du storytelling. "En mettant l'usage du mensonge au coeur de l'histoire, la série nous permet de nous poser cette question : qu'est-ce qu'un manager ?" A l'image de Don Draper, c'est souvent quelqu'un qu'on a parachuté dans un rôle... et qui se demande ce qu'il a de plus ou de mieux que ses ex-collègues pour diriger un service ou une boite. Mais l'autre particularité de Don Draper, c'est d'être aussi un excellent vendeur, qui cherche à tout prix à convaincre, quoi qu'il arrive. Et pour cela, il faut être convaincu soi-même. Et comment faire ? "Le secret, son secret, c'est de mentir vrai. C'est à dire de toujours baser le mensonge sur quelque chose de vrai. Et c'est ce que doit faire tout manager qui doit vendre quelque chose à un client ou collaborateur alors qu'il n'y croit pas. Partir du vrai et broder autour... et y aller même si on n'est pas totalement convaincu."
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Râleur, caractériel, autoritaire, égocentrique, insoumis à l'autorité et odieux avec ses équipes : le célèbre Docteur House n'est pas franchement le modèle du patron qu'on aimerait avoir. Et pourtant il fait son job mieux que personne puisqu'il sauve des vies. "A l'hôpital, quand il y a un truc qui ne va pas, on le voit tout de suite. C'est un microcosme, comme une entreprise, mais dans lequel tout est exacerbé car il y a des vies en jeu..." décrypte Yaël Gabison, coach et experte du storytelling. "Grégory House, c'est le type même du mauvais manager... mais c'est un excellent leader. Il a un côté très intuiti et des qualités qui font qu'il est au délà des autres en matière de compétences. Du coup c'est quelqu'un qui inspire car il ne fait pas les choses comme les autres et ne suit pas les règles. Et quelque fois... il faut des gens comme ça !"
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Drôle d'idée de vouloir s'inspirer d'un tueur quand on cherche à améliorer son leadership ? Pas tant que ça, si l'on en croit notre experte. En effet, nous dit-elle, "Frank Underwood est un excellent manager : son objectif est d'être président des Etats-Unis, donc de commander. Alors bien sûr, oui, il fait des choses abominables. Mais il peut-être un exemple pour ceux qui veulent accéder à un certain pouvoir ou, au minimum, être entendus dans l'entreprise." Voici sa leçon...
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"Il y a plus de leçons de management à tirer des salauds des séries télé que des héros de Disney" explique Yaël Gabison, une coach qui s'inspire des techniques de storytelling imaginées par les auteurs de séries télé pour conseiller les dirigeants. Dans ce premier épisode, elle nous explique pourquoi les méchants des séries sont inspirants quand on est manager.