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  • Team Manager du RCT, passée notamment par le football avant de trouver vocation dans le rugby, Justine Benoit retrace pour nous son parcours et rôle au sein de l’équipe professionnelle. Elle évoque également sa passion et motivation, ainsi que les valeurs du sport qui lui ont permis de s’affirmer et de construire sa carrière.

     

    Rempli d’envie et d’ambition, la Team Manager qui a gravi petit à petit les échelons au sein du RCT, nous partage même ses envies futures. En attendant, c’est auprès des joueurs et du staff qu’elle continue à s’épanouir.

    Retrouvez l’ensemble de son parcours dans le dix-huitième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Ultra-triathlète, plusieurs fois recordman du monde en Ironman, Ludovic Chorgnon nous raconte sa vie de sportif hors du commun, sa passion insatiable pour le sport et son éternel besoin de se dépasser.


    Aujourd’hui chef d’entreprise, celui qu’on surnomme Ludo le Fou continue de se challenger pour atteindre de nouveaux sommets et accompagne au quotidien d’autres personnes à dépasser, eux aussi, leurs limites. Il nous détaille son parcours dans le dix-septième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Le champion de natation Alain Bernard nous explique l’importance du sport dans sa carrière sportive ainsi que dans sa reconversion. Devenu vice-président du Cercle des Nageurs d’Antibes, il reste une personne engagée dans l’apprentissage de la natation pour les plus jeunes.

     

    Étant un garçon de grande taille dès le plus jeune âge et se sentant mal dans sa peau, Alain voit la natation comme un moyen d’expression exceptionnel pour gagner en confiance. Il nous détaille son parcours dans le seizième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Comment le sport peut redonner confiance ?

    L’ancien athlète spécialiste du 400m Marc Raquil revient sur sa carrière et sa reconversion. Aujourd’hui préparateur physique pour le club de Volley-Ball du M.O. Mougins et coach sportif personnel, il raconte comment l’athlétisme l’a aidé à se sentir mieux et à trouver sa place.

     

    « Rapide », c’est que Marc a toujours voulu être depuis l’enfance. Bien qu’il ait commencé sur le tard, ses prédispositions pour l’athlétisme lui ont permis d’avoir une progression fulgurante et des résultats impressionnants. Marc Raquil nous détaille son parcours dans le quinzième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».

     


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  • Comment le sport peut vous aider à vous accepter ?

    L’ancien judoka Frédéric Lecanu possède de multiples casquettes aujourd’hui, telles que consultant TV ainsi qu’ambassadeur du programme de la Fédération Française de Judo « Itinéraire des Champions ». Il veut changer la vie des plus jeunes aux retraités, en valorisant l'unité et la détermination qu'incarnent les athlètes professionnels.  

     

    Un maitre mot : fraternité. En manque de confiance en lui plus jeune, Frédéric Lecanu à trouver dans le judo des valeurs qui lui sont essentielles aujourd’hui. Il nous explique tout ça dans le quatorzième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Comment le sport peut vous aider à soutenir les autres ?

    Jeune nageur avec des rêves plein la tête, Christophe Maleau souhaite un jour participer aux Jeux Olympiques pour représenter son île, la Martinique et la France. Malgré son âge, il est déjà l’auteur de pas mal d’exploits, dont une traversée de 40km à la nage.

     

    Un maitre mot : engagement. C’est pour sa maman qu’il a réalisé ces prouesses. Atteinte d’un cancer du sein, Christophe a voulu lui donner de la motivation afin qu’elle se batte contre la maladie. Il nous explique tout ça dans le treizième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Comment rebondir après une lourde épreuve ?

    Victime de la maladie de Lyme, Lou Braz Dagand est passé par tous les stades de la maladie en passant de la tétraplégie à la perte de la vue, malgré ça il n’avait qu’une seule idée en tête, « pouvoir reskier ». Aujourd’hui skieur en ski fauteuil de haut niveau il souhaite participer aux prochains Jeux Paralympiques à Pékin. Il participe activement à l’évolution des idées reçues sur le handicap.

     

    Un maitre mot : abnégation. C’est ce qui anime Lou Braz Dagand, aujourd’hui, dans son quotidien. À l’image de ce qu’il a traversé, il explique que le handicap n’est pas un frein dans sa vie de tous les jours et accompagne les autres à accepter leurs différences dans le onzième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Comment transmettre des valeurs essentielles via le sport ?

    Ancien footballeur professionnel, champion du monde 1998, Bernard Diomède est aujourd’hui à la Fédération Française de Football et est président de sa propre académie, l’Académie Diomède. Il a toujours écouté son père, ses entraîneurs et ses coéquipiers afin de grandir dans ce milieu, tout en restant focalisé sur ses objectifs sportif ou extra sportif.

     

    Un maitre mot : Transmettre. C’est ce qui anime Bernard Diomède, aujourd’hui, dans son quotidien. À l’image de ce qu’il a reçu, il explique qu’il souhaite le rendre aux plus jeunes dans le onzième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Comment le sport peut avoir un fort impact positif votre vie ?

    Skipper OMIA Water Family, Benjamin Dutreux va participer au Vendée Globe 2020, une course autour du monde sans escale, sans assistance, qui part des Sables d'Olonnes, qui fait le tour de l'Antarctique. Être seul en mer lui a parmi d’apprendre sur soi-même, canaliser ses émotions et gagner en maturité.

     

    Un maitre mot : se dépasser. C’est le leitmotiv quotidien de Benjamin Dutreux qui se livre avec franchise sur les obstacles rencontrés en mer dans le dixième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Comment le sport peut avoir un fort impact positif votrevie ?

    Gagnante de l’édition 2008 de Koh-Lanta, véritable épreuve de résistance et de dépassement de soi, Christelle Gauzet s’en est servi comme déclic pour tenter de nouvelles aventures personnelles et professionnelles.

    Grande amatrice de raids, elle souhaite désormais transmettre tout ce qu’elle a appris grâce au sport.

     

    Un maitre mot : bienveillance. C’est le leitmotiv quotidien de Christelle Gauzet qui se livre avec franchise sur la création de Défi-D’elles, raids 100% féminins au profit d’une association de prévention du cancer du sein dans le neuvième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Comment le sport associatif permet d’apprendre à vivre en société ?

    Laurent Guilhermet nous partage son expérience en tant que président du Football Club Croix-Roussien, vice-président de l’Office des Sports de la ville de Lyon et sapeur-pompier volontaire.

    Très attaché au domaine associatif, il souhaite transmettre les valeurs de solidarité et de diversité au sein des activités proposées aujourd’hui par le club.

     

    Un maitre mot : partage. C’est le leitmotiv quotidien de Laurent Guilhermet qui se livre avec franchise dans le huitième épisode de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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  • Le Sport Comme École de la Vie

    Anne-Sophie Da Costa est une boxeuse professionnelle six fois **championne du monde. ** Elle a grandi à Reims avec un grand-père judoka. Elle n’a pratiqué aucun sport jusqu’à ses 21 ans et la fin de sa croissance à cause de son Spondyolisthésis, autrement dit un petit coussinet coincé entre les vertèbres. Un soir, elle a assisté à un combat de boxe américaine dans son village. Elle fut impressionnée par le niveau de fierté et d’orgueil des boxeurs. Elle s’inscrit par la suite dans un club de boxe anglaise. A son arrivée, sa féminité est mal vue par les entraineurs et les autres boxeurs, ne la jugeant pas apte à prendre et donner des coups. Après des débuts difficiles, Anne-Sophie parvient à prouver à son entraineur, grâce à son abnégation, qu’elle peut boxer aussi bien qu’un homme.

    Avant la boxe, Anne-Sophie était très hyperactive. Ce *sport a pu la *canaliser* et l’apaiser. Elle n’a pas de préférence parmi ses six championnats du monde mais a un souvenir marquant de la difficulté à encaisser les coups pendant les combats.

    Pour elle les valeurs les plus importantes du sport sont la rigueur, la détermination, la victoire de l’esprit sur le corps, la difficulté et le respect.

    Quand elle a commencé à exercer en tant que maitresse, elle a tout de suite vu que les échanges avec les adolescents lui plaisaient. Elle a demandé à travailler avec des élèves dans les sections d’enseignement général et professionnel adapté (SEGPA), pour les aider à vaincre leurs difficultés. Elle essaye de leur inculquer les valeurs de respect, de tolérance et de pouvoir dépasser leurs limites.

    Il y a deux ans, grâce à sa soif constante d’apprentissage et de nouvelles expériences, Anne-Sophie se lance dans la formation d’enseignants.


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  • Le Sport Comme Ecole De La Vie

    Abdoulaye Ndiaye, ancien basketteur professionnel, âgé de 48 ans, a fondé l’académie Younus qui a pour objectif d’aider les jeunes des quartiers sensibles à travers le sport, la culture, l’art et l’éducation.Originaire du Sénégal où il a grandi, il arrive à 10 ans à Grigny dans l’Essonne.Il commence le sport avec le foot qu’il pratiquait tous les jours au Sénégal. Arrivé en France, il fait trop froid pour jouer au foot dehors et se tourne alors vers le basket grâce à son grand frère Bouna. Il raconte comment un stage de basket à Pittsburgh à 17 ans, à l’ère de Michael Jordan et Magic Johnson, lui fait prendre conscience de ce qu’est de travailler dur.Il revient avec nostalgie sur ses premières expériences à la JDA et explique comment le sport lui a permis de découvrir la culture française, notamment à travers le chant de supporter du club. Il parle aussi de sa découverte de la chanson française, de U2…Selon lui, le sport joue un rôle primordial dans l’intégration.Selon lui, le voyage est important et bénéfique dans la construction de soi car il permet de se challenger, de comprendre l’autre, de renforcer la mixité.Il revient sur son parcours de basketteur en pro B et explique comment il a changé de voie pour passer son diplôme d’entraineur puis son diplôme de comptable.Il revient vingt ans après à la Grande Borne à Grigny où il a grandi et voit que le quartier a bien changé. Il souhaite apporter son aide aux jeunes qui sont livrés à eux-mêmes. Le centre d’animation du Grand Parc lui a prêté un local pour commencer et a lancé le concept de : stage, sport et soutien scolaire. Les enfants s’engagent à venir faire leurs devoirs pour pouvoir ensuite aller jouer au foot.Il partage la vision du prix Nobel de la paix 2006 Muhammad Yunus qui lui a inspiré le nom de son association Younus.Il explique comment le sport est le vecteur qui nous réunit tous et mobilise les jeunes facilement, une vrai école de la vie au niveau personnel, collectif, social, mental et de la transmission des valeurs. Il estime que le sport devrait avoir une place plus importante dans notre société à l’instar de l’Allemagne, des Etats-Unis qui ont montré que c’est un système qui donne envie aux enfants d’aller à l’école.Abdoulaye affirme que le sport lui a inculqué la persévérance, la volonté de ne jamais rien lâcher et encourage les jeunes à se donner les moyens d’atteindre leurs rêves en leur donnant le goût de l’effort, en renforçant leur curiosité et en mettant en avant l’importance de se cultiver.Il conclut en affirmant qu’il faut maintenir le lien social entre tous, le vivre ensemble et faciliter les rencontres.Enfin, il souhaite transmettre à ces jeunes, la volonté et la persévérance, leur dit de toujours foncer, croire en leurs rêves mais pour cela il faut s’en donner les moyens : prendre le temps, comprendre les choses, les répéter, s’entourer, des clefs que le sport peut apporter.


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  • Le Sport Comme École de la Vie

    Show Notes – Christophe Lavigne

    Christophe Lavigne est un employé du Crédit Agricole, et pratique l’aviron en binôme handisport. Christophe est né en région parisienne. Il a commencé à pratiquerle sport à l’école avec ses amis. Il a été nourri par le football car son grand père était supporters de l’ASSE (Saint Etienne). Christophe a toujours préféré courir que marcher ; il a toujours été actif et son surnom à l’armée était Speedy Gonzales. Il a subi un accident à 23 ans lors de son service militaire, alors qu’il descendait du train. Son sac est resté coincé et il est tombé sur le quai. Il a été amputé des deux jambes.

    Le fait d’avoir fait du sport enfant et adolescent l’a aidé à se relever et à affronter de nouveaux défis, et notamment celui de réapprendre à marcher. Il lui a fallu du temps pour s’adapter au port des prothèses ; mais c’est là qu’on réalise que le cerveau est une formidable machine.

    Sa priorité après son accident a été de retrouver une stabilité familiale et professionnelle, où il a rejoint les équipes du Crédit Agricole. Mais le sport lui manquait, et à 40 ans, il a cherché à en refaire.

    Il a commencé par le cyclisme et la course à pieds mais ce sont des sports très difficiles pour un double amputé. Il a découvert un peu par hasard l’aviron. Il a commencé à faire de l’aviron d’abord pour son cardio, puis ensuite afin de réaliser des performances sportives. Il s’est alors entrainé pour des compétitions. Il aime l’aviron car celui-ci permet à tous d’être égal ; les valides et les handicapés.

    Son objectif est de participer au JO de Tokyo cet été avec Perle Bouge, sa partenaire dans le double PR2. Leur bateau est qualifié du fait de leur médaille de bronze lors des championnats du monde. Il est en pôle pour faire partie de l’équipage.

    Il vit le sport comme une école de la vie car cela contribue à son équilibre quotidien. L’aviron, le sport de haut niveau, il est devenu plus rigoureux, plus combatif , plus ambitieux, plus soucieux de la performance.

    Le crédit agricole met en avant son projet de participation aux Jeux Paralympiques et ce qui permet à ses collaborateurs handicapés se reconnaissent dans son histoire.


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  • Le Sport comme École de la Vie

    Stéphanie Gicquel, sportive de l’extrême, aventurière, exploratrice, auteure et passionnée par la vie replonge dans son enfance au début du podcast. Très active dès le plus jeune âge, elle raconte sa passion du sport né à l’école mais qu’elle n’a pu pratiquer dans le cadre institutionnel que bien après. Née à Carcassonne, elle explique avoir grandi dans un milieu modeste mais déjà des rêves plein la tête et déterminée. Son rêve était de voyager, de découvrir le monde. C’est pourquoi, elle s’est donnée les moyens d’y arriver, ce qui l’a menée en Antarctique. Elle revient également sur les aventuriers qu’elle suivait plus jeune comme Nicolas Vanier ou Jean-Louis Etienne qui a traversé l’Antarctique avec des chiens de traineau. Côté études, son rêve était d’intégrer une école pour s’émanciper, trouver les clés pour aller plus loin, voyager. Elle a rapidement fait le rapprochement entre son acharnement et sa détermination nécessaires dans le domaine scolaire et le sport de haut niveau. Elle affirme notamment que sa persévérance et son acharnement étaient déjà présents à cette époque.Stéphanie Gicquel s’exprime ensuite sur son quotidien d’athlète de haut niveau où elle conjugue entrainement réguliers et son travail dans un cabinet d’affaires. Puis, elle revient en détails sur son expédition en Antarctique de 2045km à skis de randonnées à -50 degrés, une vraie situation de survie aussi bien physique que mentale où l’audace est indispensable. Elle explique qu’elle a toujours eu cette urgence de de vivre en elle car tout peut se terminer du jour au lendemain.Elle décrit également sa pratique de l’ultra fond à haut niveau et son titre de championne de France de 24h en 2018. Elle affirme que l’’expérience, la persévérance et l’endurance sont les clefs de la réussite. Le talent ne fait pas tout. C’est avec le temps qu’on atteint ses objectifs. A la fin du podcast, elle raconte comment elle a réussi à passer outre les avis négatifs portés sur sa capacité physique et mentale pour un tel voyage en Antarctique. Elle affirme vouloir casser les clichés et se dire que si un homme avait déjà réalisé une telle expédition, elle pouvait, elle aussi, y arriver.Aujourd’hui, Stéphanie Gicquel affirme vouloir partager son aventure avec des jeunes et des femmes qui n’oseraient pas tenter l’expérience par peur de ne pas être conformes aux normes.Elle veut donc se détacher du cliché de l’aventurier grand et fort et souhaite partager cela avec le plus grand nombre. Elle se confie et avoue avec enthousiasme que les retours positifs reçus suite aux conférences et livres qu’elle a publiés sont un véritable moteur pour elle.


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  • Le Sport Comme École de la Vie

    Marinette Pichon commence par se présenter en tant que sportive et en tant que femme, en liant son enfance, le football et les préjugés qu'elle associait au football et qu'elle a du dépasser.

    La footballeuse s'exprime ensuite sur son enfance difficile et contrariée par un père violent. Elle présente le football comme un moteur d'émancipation et de libération pour la petite fille qu'elle était. En devenant un objectif de vie, sa carrière de footballeuse lui a apporté une stabilité de vie et une motivation.

    Marinette Pichon raconte ses débuts comme attaquante, galvanisée par l'affection du public à chaque but marqué. Puis, elle poursuit sur son expérience en équipe de France, qui lui vaudra une réputation de boute-en-train, mais aussi de championne avec 112 sélections et 81 buts marqués.

    Elle s'exprime sur la différence entre le foot féminin et le foot masculin, qui donne au football féminin sa pleine place dans le paysage du sport français.

    A partir de la cinquième minute, Marinette Pichon évoque son coming-out en tant que femme et sportive avec les difficultés liées à l'homophobie que cela implique ; son homosexualité et ses prises de position féministes en faisant une nécessaire porte-parole de la cause en tant que figure publique et sportive.

    Les dernières minutes du podcast sont consacrées à l'après-carrière de Marinette Pichon : des commentaires de match qui lui permettent de revivre l'ambiance des stades à la Football Academy, le sport et le foot restent au cœur de sa vie. La footballeuse met l'accent sur la transmission des valeurs que permet le sport : notamment la concentration, la confiance en soi, ou l'écoute. Ses projets d'accompagnement de jeunes joueuses et des clubs de foot régionaux soulignent le pouvoir de métamorphose du sport et l'importance de la figure du modèle.

    Enfin, Marinette Pichon conclue par la place du sport dans son parcours de vie, constituant "70% de la construction de la femme qu'elle est devenue" entre échecs et victoires, ouverture à l’international, valeur du sport, entraînements, matchs et équipe de France.


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  • Le Sport Comme École de la vie

    L’envie de transmettre, ça a commencé en travaillant avec des enfants dans les quartiers nord de Marseille. Laurence Fischer a prit conscience du pouvoir incroyablement bénéfique du sport avec des jeunes qui, pour certains, n’en avaient jamais fait.

    Et puis en 2005, grâce à ses études à l’ESSEC, elle a croisé les grands acteurs de l’éducation par le sport (Faîtes le mur, Premiers de cordée, Play International, Fais nous rêver) et elle a commencé à bourlinguer au Burundi, en Haïti ou en Afghanistan ou elle a donné des cours de karaté à des femmes qui, au péril de leur vie, venaient enfiler le kimono.

    Une expérience bouleversante.

    Le sport leur apportait beaucoup de joie et il y avait une soif d’apprendre extraordinaire. Elles bravaient des interdits et le sport, c’était la liberté pour elles, la liberté d’être soi par la pratique. Ensuite elle a suivi le futur prix Nobel de la paix Denis Mukwege au Congo. Ce gynécologue obstétricien travaille au quotidien auprès de femmes victimes de viols de guerre. Elle a donné des cours à ces femmes et elle a formé un professeur congolais à la pratique du foot et du karaté.

    Fight For Dignity est né à ce moment-là, pour que ces femmes blessées retrouvent confiance en elles grâce au sport, qu’elles reprennent contact aussi avec leur corps. Certaines ont ensuite choisi d’apprendre à leur tour le karaté à d’autres femmes en situation de souffrance, de quoi développer une action durable au Congo. Et on l’a encouragée à faire la même chose en France. C’est comme ça qu’est née la Maison des femmes de Saint Denis où viennent des femmes victimes de violences conjugales, d’excision ou d’agression. Le sport leur fait un bien fou. Elles poussent le kiai, le cri de combat, et elles lui disent qu’elles se sentent exister à nouveau, qu’elles se remplissent d’énergie grâce au karaté.

    L’essence même de pourquoi on fait du sport, c’est avant tout pour se sentir fortes, remplies de choses extrêmement positives. C’est extraordinaire comme pouvoir. C’est ce que ça lui a apporté et c’est ce qu’elle transmets aujourd’hui.


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  • Le Sport Comme École de la vie

    Durant les 4 premières minutes de cet épisode de « SPORTRAITS - Le Sport comme École de la vie », Teddy Riner revient sur son enfance et sa famille. De l’école aux premiers souvenirs de Judo, il s’exprime sur sa passion et la place du sport dans son éducation, l’ayant permis de se construire une combativité à toute épreuve.

    De 4 minutes à 7 minutes 20, Teddy Riner se remémore son premier titre de champion du monde à Rio en 2007, les valeurs qu’impliquent les compétitions, les combats et les titres remportés. Il revient aussi sur les conseils que lui donne son entraîneur et ses inspirations, puisées tout autant dans le sport, la musique et la Guadeloupe.

    A chaque grand champion, ses défaites marquantes. De 7 minutes 20 à 8 minutes 30, Teddy Riner philosophe sur « le mal pour un bien » que représentent les échecs dans la carrière d’un sportif.

    Le Judoka se confie, de 8 minutes 30 à 9 minutes 30, sur son fils pour qui le Judo n’est pas (encore ?) une passion, et confesse un penchant certain pour les bonbons !

    Enfin, Teddy Riner parle de son admiration pour le Japon, où le Judo est né, et de sa projection vers les Jeux Olympiques 2020 de Tokyo. Il met l’accent sur ce qu’incarnent les entraînements au quotidien, où le sport devient une véritable école de la vie.


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  • Le Sport Comme École de la Vie

    Le sport, incomparable source d'inspiration, d’éducation et d'épanouissement. C'est ce territoire que le podcast SPORTRAITS va tenter d'explorer. À travers le témoignage de sportifs amateurs ou de haut-niveau, vivez un voyage où votre regard sur la vie sera transformé par le sport. Des femmes, des hommes, du sport… une série de belles histoires où chaque témoin a appris grâce au sport.

    « Si le sport m’a fait changer…non : je suis toujours le même Teddy. Mais il m’a fait grandir, oui ! » Teddy Riner

    « Le sport reste 70% de la construction de la femme que je suis devenue. » Marinette Pichon.

    Découvrez le trailer de SPORTRAITS, le podcast du web magazine de Crédit Agricole « Le Sport comme École de la Vie ».


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