Episoder
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"Soigner et sauver n'a pas de frontières". C'était la conviction d'Edith Cavell, infirmière, martyr et héroïne malgré elle du XXème siècle
Assumer ses responsabilités et ses actes n'est pas chose aisée dans la vie de tous les jours : de nombreux leaders et de dirigeants le font avec plus ou moins d'aisance et de convictions.
Pourtant, nous pouvons tous être amenés dans notre vie personnelle ou professionnelle à assumer des actes qui peuvent nous dépasser : les résistants dans chaque guerre ou dictature le font avec choix et détermination. Mais il y a parfois des situations dans un contexte nouveau, où l'on incarne une profession naissante qui implique à ce que son engagement représente un acte de résistance. Et de facto a en assumer les conséquences.
Edith Cavell est un personnage à la détermination hors du commun, avec une humilité très forte : elle va se retrouver dans un véritable dilemme lors de la 1ère guerre Mondiale face à ses valeurs et à l'autorité qu'elle a toujours respecté compte-tenu de son éducation et de ses origines.
Quel fut son parcours professionnel ? Comment s'est-elle construit ses valeurs ? Quel fut le dilemme auquel elle a été confrontée ? Pourquoi elle est devenue un symbole ? Et pourquoi le rapport de force s'est inversé lors de la Grande Guerre à l'issue de ses actes ?
A vous de découvrir son histoire : elle vous permettra de vous poser ensuite la question sur vos valeurs et vos convictions.
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"Il est vain de remporter une bataille si l'on ne peut pas ensuite en tirer un avantage politique". Tel est le credo de Napoléon Bonaparte lors de toute sa carrière.
Savoir maîtriser l'art de la communication est vital pour valoriser ses succès : le général corse l'a très vite compris notamment après la période de la Révolution.
Après avoir analysé les différents médias, il se concentre sur la presse en créant ses propres journaux pour mettre en avant ses campagnes d'Italie et d'Egypte. Il va ensuite organiser des évènements médiatiques et réussir l'exploit d'être omniprésent dans l'opinion publique Parisienne alors qu'il est à des milliers de kilomètres !
Personal branding pour l'empereur, employeur branding pour la Grande Armée, chacun de ses achievements et de ses discours auront une portée nationale et internationale grâce à ses supports de communication
Comment s'inspirer de sa méthode ? S'est-il servi de la communication que pour ses succès ? Est-il l'inventeur du marketing politique ?
Après un épisode sur la gestion des talents, un autre sur son empire, celui-ci se concentre sur Bonaparte, le génie de la communication qui 200 ans après sa mort inspire encore les managers et les leaders
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Mangler du episoder?
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Lorsque vous intégrez une entreprise, vous prêtez allégeance a à votre CEO qui est votre employeur : sa vision et la reconnaissance de vos talents vous permettront de traverser les crises de l'entreprise.
Mais que faire lorsque cette allégeance est mise a mal ? Quand le doute s'installe ? Et auprès de qui se tourner ? Pouvez-vous permettre d'aller à la concurrence ?
Philippe de Commynes fut confronté à choix cornélien : conseiller de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, il passe dans le camp de l'ennemi celui du roi de France Louis XI dans la nuit du 7 au 8 aout 1472.
Quelles raisons l'ont motivé à faire ce choix ? Était-il en phase avec son employeur ? Quel évènement lui a amené à cette réflexion ? Quelle relation de confiance a-t-il eu avec son nouveau employeur ? Et surtout pour quel bénéfices ? Quelle leçons pouvons tirer de ce choix assumé ?
Le destin de ce "Machiavel en douceur" symbolise la transition entre le Moyen-âge et la Renaissance où les modes de fonctionnement et de servitude évoluent, et par les mémoires qu'il nous a laissées, Philippe de Commynes, expert en diplomatie, fascine encore les historiens de nos jours.
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Pour se développer, chaque entreprise doit pouvoir effectuer des partenariats stratégiques de type industriel, commercial ou stratégique.
Dans l'Histoire, de nombreuses entreprises Européennes ( France, Espagne, Italie, Angleterre) ont œuvré ce dernier millénaire a faire aboutir des partenariats souvent militaires ou diplomatiques : les cartes d'influences étaient rebattues à chaque évènement de partenariat.
Beaucoup de dirigeants pensaient que plus ils investiraient à faire aboutir ce partenariat, plus les chances d'accord durable seraient fortes.
L'évènement du Camp du Drap d'Or qui symbolisait le traité d'amitié entre le CEO de la France (François 1er) et celui de l'Angleterre (Henri VIII) est le contre-exemple parfait de cette conviction.
Cette fête fastueuse de 18 jours sur un terrain neutre a abouti à un partenariat qui a duré ... 3 semaines.
Les leçons à en tirer de cet échec ne manquent pas : un ego démesuré des 2 CEO entrainant une surenchère de moyens, des conseillers à la manœuvre sans objectif précis, un manque d'humilité des acteurs en présence et aucune formalisation exigée à l'issue de l'évènement.
En réalité, ce partenariat était voué à l'échec dès son origine car les intérêts des parties prenantes n'avaient été pas pris en compte.
5 siècles plus tard, le Camp du Drap d'Or fascine encore et a, par contre, laissé un héritage culturel et symbolique insoupçonné.
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Ne jamais sous-estimer les conséquences d'une crise : telle pourrait être la morale de cet évènement qui a fait basculer à tout jamais les relations entre une entreprise (le Royaume-Uni) et sa filiale (l'Irlande)
Un simple champignon (le mildiou) en 1845 rend la pomme de terre impropre à la consommation, plongeant la population dans une pénurie alimentaire sans précédent.
Affaiblie socialement, sanitairement et économiquement, l'Irlande espère l'interventionnisme de son actionnaire, de son sponsor et de son voisin Anglais.
Son action se résumera au strict minimum poussant des millions d' Irlandais à chercher une autre entreprise d'accueil : les Etats-Unis saisiront l'opportunité d'avoir une main d'oeuvre bon marché et une civilisation irlando-américaine encore très influente de nos jours émergera de cette crise.
Face à une crise d'une de ses filiales, doit-on agir ? Quels moyens doit-on mettre en place ? Le Royaume-Uni a-t-il eu raison de "laisser-faire" ?
170 ans après cet évènement, le gouvernement britannique a finalement reconnu qu'il aurait du agir autrement : il l'aurait fait si une véritable gestion de la crise avait été mise en place associée à une analyse des risques et des conséquences à moyen et long terme.
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Tout entrepreneur rêve de conquérir le monde avec un produit élaboré depuis son "garage", un produit avec une telle innovation qu'elle est différenciante et dont la production s'ajuste a son plan de conquête international.
Pourquoi l’international ? Parce que c'est le principal levier de croissance des entreprises.
Jeune Néerlandais de 22 ans, Gerard Heineken investit toute sa fortune dans une brasserie historique d'Amsterdam en déclin : il se lance le défi de produire la meilleure "lager du monde. De ce modeste lieu va débuter l'incroyable aventure de la plus célèbre marque de bière de la planète.
Après avoir innové face à 500 brasseurs locaux, l'entrepreneur relève son défi d'un produit de grande qualité.
Les générations futures vont réussir les défis suivants : l'exportation et la démocratisation.
De façon méthodique et grâce à l'appui d'un marketing, la bouteille verte s'exporte, séduit tous les marchés, les consommateurs de tous les pays , les uns après les autres : la capacité de production s'adaptant à la conquête.
150 ans après ses débuts, l'entreprise a placé au coeur de son ADN ses valeurs d'audace, d'innovation et d'écoute client. Une recette qui peut inspirer n'importe quel entrepreneur du XXIème siècle.
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Face aux défis de notre monde actuel, nous aspirons tous à vouloir faire notre part, être un "colibri", donner notre temps à des initiatives voire agir à plus grande échelle. Mais comment innover pour le bienfait de l'humanité ? Comment avoir un projet qui permettrait de faire progresser le monde ? Comment résoudre un problème à une échelle planétaire ?
Par son enfance et on origine polonaise, le Dr Zamenhof eut la conviction que l’impossibilité de communiquer entre les peuples défavorisait la coopération et leur entente. Il eut l'idée de cette langue universelle avec un concept idiomatique original (utiliser le meilleur des langues)
En étudiant son projet, une approche entreprenariale a été adoptée : sur un marché mondial, il est parti de son expertise (langues)pour résoudre un problème (la babelisation) en proposant une approche disruptive (l'esperanto). Il a démarré avec un POC, un MVP puis a inclus des early adopters (les associés et sociétaires) pour faire itérer son produit et atteindre les milliers d'utilisateurs. Le facteur chance et politique fut son seul obstacle à la scalabilité
Zamenhof était en avance sur son temps et avait déjà une approche open-source : son modèle peut devenir une inspiration pour tout entrepreneur social et solidaire ou toute personne qui souhaite résoudre un problème.
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Dans le domaine professionnel, l'exigence permet aux collaborateurs de se dépasser encadré par un management bienveillant. Mais encore faut-il de la clarté et de la lucidité pour traduire les niveaux d'exigence attendus dans son travail. Il arrive que par épuisement ou par un contexte de pression, un collaborateur perde pied, se dévalorise et fasse un "burn-out".
François Vatel est connu dans le monde entier par son talent, ses compétences mais aussi son niveau d'exigence envers soi qui lui fut fatal. Son destin l'a amené a accepter des responsabilités et une pression irrationnelle à un évènement de grande envergure. Et pour des poissons non arrivés à temps, il se suicide par déshonneur. Pourtant, sa réputation a traversé les siècles et pire, sa carrière aurait pu continuer si son management avait été à son écoute et avait fait preuve de bienveillance.
Quel fut son parcours ? Comment voyait-il son travail et le niveau d'exigence associé ? Etait-il irremplaçable ? Auriez-vous pu sauver Vatel en tant que manager ?
Il s'est littéralement "tué" à la tâche : son histoire mérite d'être connue et contribue à la prévention d'un "burn-out".
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Nous aspirons tous à la quête de sens dans notre travail et dans notre profession : cela devient un équilibre fondamental pour notre vie professionnelle et personnelle. Parfois, des changements impactant notre travail (crises, tendances, projets) nous permettent de saisir des opportunités.
C'est ce qui s'est produit pour Rose Valland, humble conservatrice, mais dans le rôle va prendre un tout autre sens lors de la Seconde Guerre Mondiale : grâce à son travail minutieux et ses compétences, elle va référencer toutes les oeuvres spoliées par les Allemands et pouvoir agir sur la compagne de restitution après la guerre. Cet achievement va même donner lieu à la Base Rose Valland encore utilisée de nos jours par les confrères de sa profession !
Quelle est son histoire ? Comment a-t-elle été saisi l'opportunité de donner du sens à son travail quotidien ? Avec quel état d'esprit et pour quels résultats ?
S'il est parfois difficile de se comparer aux héros de guerre, son destin a l'avantage de pouvoir parler à n'importe quel cadre qui souhaite donner du sens à son travail : il faut par contre être patient et proactif.
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Tout est dans l'exécution : vous connaissez l'adage. Vous pouvez avoir la meilleure idée pour entreprendre, si vous échouez à exécuter sa mise en œuvre, le travail accompli sera vain. C'est donc une qualité essentielle à acquérir dans tout projet.
Georges Washington avait sa vision des Etats-Unis d'Amérique mais il avait besoin de soutiens. La France lui a donné les moyens mais surtout elle lui a confié un CEO, à savoir le Comte de Rochambeau. Un général ayant une grande expérience qui a su déployer la stratégie militaire demandée, commander les 5000 Français et même les Insurgés Américains à un moment décisif pour la victoire.
Quelles qualités avait-il ? Comment s'est-il positionné face à Gorges Washington ? Pourquoi est-il tombé dans l'oubli alors que le Marquis de Lafayette, bien plus jeune, est passé à la postérité ?
Si vous allez aux Etats-Unis, vous serez surpris de la notoriété de ce personnage Français considéré comme l'un des artisans de l'Indépendance Américaine. L'art de la guerre est l'art de l'exécution et son histoire le prouve.
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Avoir un mentor est précieux pour un talent : le mentor partage son expérience, ses réussites comme ses erreurs, et les enseignements qu'il en a tirés. Mais comment s'affranchir de son mentor quand celui-ci est reconnu par ses pairs comme une référence dans votre domaine.
Charlotte Perriand : son nom ne vous dit peut-être pas grand chose mais si je vous parle de la station des Arcs, de la chaise longue pivotante ou de la bibliothèque nuage dont le style se retrouve chez le leader Ikea, vous visualisez davantage son oeuvre et ses achievements
Au début de sa carrière, elle a eu le meilleur mentor possible, Le Corbusier, en phase avec ses convictions sur le plan design. Il lui a fallu couper le cordon après 10 ans où elle a collaboré étroitement avec lui sur tous ses chantiers connus. Elle est y parvenue grâce à son caractère et son sens de l'innovation.
Comment a-t-elle réussi à travailler avec Le Corbusier ? Comment s'est-elle émancipée ? Et pour quelle reconnaissance ?
Un épisode sur un talent à l'état brut qui était en avance sur son temps au 20eme siècle mais dont la vision inspire de nombreux artistes de nos jours.
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L'innovation ouverte est un concept de plus en plus prisé dans les entreprises. Et si un cadre permet d'impliquer les meilleurs talents dans ce projet, une intelligence collective se concrétise et la valeur est décuplée.
Lors de la Renaissance Italienne, des ateliers d'artistes (les "fab labs" d'hier) ont donné vie à des oeuvres collectives inédites. Celui de Verrochio est le plus célèbre par sa polyvalence et sa renommée : il a non seulement rassemblé des peintres, des sculpteurs, des mathématiciens, des ingénieurs mais fait éclore le génie de Léonard de Vinci, Le Pérugin et Boticelli.
Aucune oeuvre individuelle ne sortait de son atelier : elles étaient collectives, harmonieuses et innovantes.
Qui était Verrochio ? Pourquoi les apprentis se ruaient dans son atelier ? Comment a-t-il géré ses talents ?
Cet épisode met en avant cette communauté de professionnels dévoués à apprendre et qui fascine de nos jours les historiens et les artistes car elle n'a pas encore livré tous ses secrets ...
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Pour tout manager, fixer un objectif à ses équipes n'est pas simple : pour qu'il soit compris et partagé par tous, il doit être proposé par un leader et énoncé avec clarté, leadership et conviction. Plus il sera inclusif et surtout factuel, plus il sera approprié par le groupe qui s'implique à sa réalisation
En Mars 1941, au lendemain de la 1ere victoire de la "France Libre" et en plein désert, l'audacieux Maréchal Leclerc va fixer un objectif à sa division composée de 300 Européeens, Français et Sénégalais : "ne déposer les armes que lorsque le drapeau Français flottera en haut de la Cathédrale de Strasbourg".
Un symbôle, fort, puissant alors qu'ils se trouvent à ... des milliers de kilomètres de cet objectif. Il prendra la forme d'un serment partagé par les 300 officiers mené par un leader charismatique.
Vont-ils y parvenir ? Comment Leclerc s'y est pris ? Comment l'objectif sera atteint et même dépassé ?
En temps de crise, nous pouvons tous formaliser des "serments de Koufra" à nos équipes aussi divers soient-elles : c'est le meilleur moment pour se dépasser et aboutir un achievement collectif.
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Une crise est un paradoxe : c’est une situation difficile qui permet de saisir de nouvelles opportunités, de rebondir et même de se reconvertir.
En 1941, en pleine crise liée à la Seconde Guerre Mondiale, Heddy Lamar a sauté le pas : elle est passée d'actrice célèbre à une inventrice de génie. pour vous en convaincre, sa reconversion a permis de faire émerger la technologie qui à l’origine du Wifi, du GPS et de la téléphonie mobile !
Quel cheminement personnel l'a incité à explorer ce domaine ? Est-ce pour soi ou pour la société ? Quel momentum a permis la concrétisation de cette reconversion ? A t-elle choisi de rester actrice ou inventrice ? Quelles leçons pouvons-nous tirer de son destin?
Cet épisode vous propose de découvrir une personnalité suprenante et inspirante a mi-chemin entre Marie Curie et Marylin Monroe.
Moteur, action !
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Être résilient à travers les crises et les générations : le graal de tout entrepreneur.
Certaines entreprises tente de résister, crise après crise, d'autres échouent et font faillite, et quelques élus profitent des opportunités émergentes pour s'adapter, pivoter et créer de la valeur.
L'histoire de Ole Kirk Christiansen (menuisier et créateur de LEGO) & de son fils Gottfried (Directeur général après 1958) montrent a quel point l'ADN transmis via l'entreprenariat familial se révèle un facteur-clé de succès pour la résilience de son entreprise.
Quelles crises internes et externes ont-ils du gérer ? Quelles furent leurs décisions ? Comment ont-ils écouté le marché et ont su faire évoluer leurs produits ?
Choisir c'est savoir renoncer : c'est que vous allez découvrir dans l'histoire de cette marque mondialement célèbre et qui de nos jours est toujours détenue et dirigée par la famille Christiansen
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Connaître ses limites pour se prémunir d'un "burn-out" : plus facile à dire qu'à faire ! Pourtant, de nombreux cadres sont victimes tous les ans de cet état d'épuisement physique, émotionnel et mental lié à leur travail.
Lazare Hoche fut le général le plus doué de sa génération et le plus à même de diriger la fin de la séquence de la Révolution Française tant sa popularité et ses compétences étaient reconnues. Pourtant, il s'éteint tavant ses 30 ans au moment même où la France attendait son sauveur. Il s'est littéralement "tué" à la tâche et non sur le champ de guerre.
Pour quelles raisons ? Qu'a-t-il accompli ? Quel haut potentiel fut-il ? Comment ce "burn-out" s'est manifesté ? Qui en a profité ?
Cet épisode permet de vous faire découvrir ce destin dont l'entreprise France a assuré sa formation, sa promotion mais n'a pas pu bénéficié totalement de ses talents, au grand regret des historiens.
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Savoir travailler en groupe, s’y intégrer, rendre des comptes, gérer les conflits et communiquer sur les résultats sont des compétences à avoir de nos jours sur n'importe quel projet a mener (étude, œuvre, conception, évènement).
Rosalind Franklin a fait parti du groupe de travail qui a formalisé l'ADN : c'est elle qui a conçu le "livrable" majeur. Pourtant, elle ne fut ni reconnue par ses collègues, ni récompensée lors du prix Nobel associée à cette découverte majeure en 1962.
Pour quelles raisons ? Comment a-t-elle travaillé dans ce groupe ? Pourquoi ses collègues ne l'ont pas associé à ce succès ? Quelles leçons peut-on tirer d'un groupe de travail qui a réussi sur le fond mais pas sur la forme ?
Cet épisode permet de réhabiliter Rosalind Franklin, la Marie Curie anglaise mais il vous permettra d'avoir en tête les points de vigilance à avoir dans un groupe de travail.
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Animer une communauté ou un réseau est devenue une compétence-clé pour un manager : cet engagement lui permet de progresser, se faire reconnaître et construire une influence dans son secteur ou dans son entreprise.
Doté de capacités intellectuelles hors-normes, Albert Einstein a toutefois compris très tôt l'importance de créer et de cultiver une communauté pour faire éclore son talent mais surtout faire avancer le monde et valoriser ses camarades scientifiques. Et pourtant, il n'y avait pas de réseau social encore disponible à l'époque.
Comment s'est construit son succès et notamment son année miracle de 1905 ? Comment a-t-il collaboré avec les autres scientifiques ? Et surtout par quel mode de communication a-t-il cultivé son réseau ?
Les réponses ne sont pas du niveau de E=mc² mais méritent qu’on s’y attarde tant elles brillent par leur simplicité.
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Savoir manager à distance les collaborateurs est actuellement le défi relevé par de nombreux cadres. Mais il y a des défis encore plus complexes : diriger et faire croître son entreprise à distance !
A travers son projet personnel de l'Empire en 1804, Napoléon Bonaparte y a été confronté avec l'issue que nous connaissons. Son entreprise était hors normes : elle aurait pu se pérenniser au vu des moyens humains, de sa gouvernance, des innovations mises en place, des communications, du management entreprise.
Pourquoi son entreprise n'a-t-elle donc durée que 11 années ? Que lui a-t-il manqué ? Quelles leçons pouvons-nous en tirer ?
Un nouveau épisode centré sur le général Corse mais complémentaire du précédent centré sur la détection des talents mais qui montre à quel point il est difficile d'être indifférent à son épopée.
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Dans une entreprise, chaque cadre se trouve un mentor ou un sponsor propice à une évolution de carrière : on lui dédie son temps, sa loyauté, son intégrité, ses compétences afin de bénéficier de son succès et d’opportunités à court ou moyen terme.
Parfois, il faut faire preuve de patience, de franchise, de dévotion sinon le doute sur son champion s’installe. Et une carrière, ca passe vite…
Maximilien de Béthune, futur Duc de Sully, a misé pendant 20 ans sur le roi de Navarre. Bien lui en a pris quand sa vie a basculé en étant promu numéro 2 de l’entreprise France : il va se révéler un administrateur talentueux qui inspirera Richelieu, Mazarin et Colbert.
Pourtant, jusqu’à cette promotion, il fut un modèle d’humilité et de dévotion mais non dénué d’ambition
Quel fut son parcours ? Quelle fut sa relation avec le futur roi Henri IV ? Quel achievement a-t-il pu accomplir en tant que ministre ? Quelle postérité a-t-il pu bénéficier avec cette stratégie ?
Pour plusieurs historiens, aucun ministre français n'a laissé dans l'Histoire une meilleure impression que lui : découvrez pourquoi dans cet épisode.
- Se mer