Episodes

  • Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcĂ©, pĂšre d'une adolescente, disparaĂźt. Sa famille retrouve son scooter garĂ© devant le cimetiĂšre marin de SĂšte. Dans celui-ci, on retrouve son tĂ©lĂ©phone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frĂšre signale sa disparition au commissariat de SĂšte. Le corps est retrouvĂ© le 17 juillet 2014 par les enquĂȘteurs du SRPJ de Montpellier Ă  la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a Ă©tĂ© entravĂ© et tuĂ© de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calcinĂ©.

  • Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcĂ©, pĂšre d'une adolescente, disparaĂźt. Sa famille retrouve son scooter garĂ© devant le cimetiĂšre marin de SĂšte. Dans celui-ci, on retrouve son tĂ©lĂ©phone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frĂšre signale sa disparition au commissariat de SĂšte. Le corps est retrouvĂ© le 17 juillet 2014 par les enquĂȘteurs du SRPJ de Montpellier Ă  la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a Ă©tĂ© entravĂ© et tuĂ© de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calcinĂ©.

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  • Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcĂ©, pĂšre d'une adolescente, disparaĂźt. Sa famille retrouve son scooter garĂ© devant le cimetiĂšre marin de SĂšte. Dans celui-ci, on retrouve son tĂ©lĂ©phone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frĂšre signale sa disparition au commissariat de SĂšte. Le corps est retrouvĂ© le 17 juillet 2014 par les enquĂȘteurs du SRPJ de Montpellier Ă  la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a Ă©tĂ© entravĂ© et tuĂ© de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calcinĂ©..

  • Deux criminels rĂ©cidivistes, anciens co-dĂ©tenus de prison, sont responsables de l’assassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, Ă  Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journĂ©e pour effectuer un stage dans une crĂšche. Sa compagne, inquiĂšte de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend d’abord pas conscience de la gravitĂ© des faits, avant de mener une enquĂȘte qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusqu’à deux anciens condamnĂ©s qui se connaissaient trĂšs bien. L’un d’eux, Franck Siegler, est en cavale aprĂšs avoir obtenu une permission de sortie.. L’homme a besoin d’un vĂ©hicule et de papiers, afin d’assurer la rĂ©ussite dĂ©finitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien dĂ©tenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et s’installe chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un cafĂ©. A partir de lĂ , tout s’enclenche : le contenu d’une conversation aurait fait basculer l’un des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise Ă  mort du trentenaire dans une forĂȘt. Mais le vĂ©ritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour d’assises du Haut-Rhin condamnera Moris Ă  trente ans de prison et Siegler Ă  la perpĂ©tuitĂ©.

  • Deux criminels rĂ©cidivistes, anciens co-dĂ©tenus de prison, sont responsables de l’assassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, Ă  Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journĂ©e pour effectuer un stage dans une crĂšche. Sa compagne, inquiĂšte de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend d’abord pas conscience de la gravitĂ© des faits, avant de mener une enquĂȘte qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusqu’à deux anciens condamnĂ©s qui se connaissaient trĂšs bien. L’un d’eux, Franck Siegler, est en cavale aprĂšs avoir obtenu une permission de sortie.. L’homme a besoin d’un vĂ©hicule et de papiers, afin d’assurer la rĂ©ussite dĂ©finitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien dĂ©tenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et s’installe chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un cafĂ©. A partir de lĂ , tout s’enclenche : le contenu d’une conversation aurait fait basculer l’un des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise Ă  mort du trentenaire dans une forĂȘt. Mais le vĂ©ritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour d’assises du Haut-Rhin condamnera Moris Ă  trente ans de prison et Siegler Ă  la perpĂ©tuitĂ©.

  • Deux criminels rĂ©cidivistes, anciens co-dĂ©tenus de prison, sont responsables de l’assassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, Ă  Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journĂ©e pour effectuer un stage dans une crĂšche. Sa compagne, inquiĂšte de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend d’abord pas conscience de la gravitĂ© des faits, avant de mener une enquĂȘte qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusqu’à deux anciens condamnĂ©s qui se connaissaient trĂšs bien. L’un d’eux, Franck Siegler, est en cavale aprĂšs avoir obtenu une permission de sortie.. L’homme a besoin d’un vĂ©hicule et de papiers, afin d’assurer la rĂ©ussite dĂ©finitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien dĂ©tenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et s’installe chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un cafĂ©. A partir de lĂ , tout s’enclenche : le contenu d’une conversation aurait fait basculer l’un des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise Ă  mort du trentenaire dans une forĂȘt. Mais le vĂ©ritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour d’assises du Haut-Rhin condamnera Moris Ă  trente ans de prison et Siegler Ă  la perpĂ©tuitĂ©.

  • Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tuĂ© deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres Ă  13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. À chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom cĂ©lĂšbre qui lui colle Ă  la peau. À l'Ăąge de six ans, il tenait la main de sa grande sƓur Marie-DolorĂšs Rambla, 8 ans, quand celle-ci a Ă©tĂ© enlevĂ©e par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvĂ©e assassinĂ©e. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamnĂ© Ă  la peine de mort et exĂ©cutĂ©.

    L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a Ă©tĂ© surnommĂ©e, ne va dĂšs lors jamais cesser de hanter l’enfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malĂ©diction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passĂ©. Ce traumatisme aurait-il participĂ© Ă  la construction d'un homme qui a tuĂ© deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?

  • Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tuĂ© deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres Ă  13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. À chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom cĂ©lĂšbre qui lui colle Ă  la peau. À l'Ăąge de six ans, il tenait la main de sa grande sƓur Marie-DolorĂšs Rambla, 8 ans, quand celle-ci a Ă©tĂ© enlevĂ©e par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvĂ©e assassinĂ©e. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamnĂ© Ă  la peine de mort et exĂ©cutĂ©.

    L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a Ă©tĂ© surnommĂ©e, ne va dĂšs lors jamais cesser de hanter l’enfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malĂ©diction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passĂ©. Ce traumatisme aurait-il participĂ© Ă  la construction d'un homme qui a tuĂ© deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?

  • Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tuĂ© deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres Ă  13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. À chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom cĂ©lĂšbre qui lui colle Ă  la peau. À l'Ăąge de six ans, il tenait la main de sa grande sƓur Marie-DolorĂšs Rambla, 8 ans, quand celle-ci a Ă©tĂ© enlevĂ©e par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvĂ©e assassinĂ©e. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamnĂ© Ă  la peine de mort et exĂ©cutĂ©.

    L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a Ă©tĂ© surnommĂ©e, ne va dĂšs lors jamais cesser de hanter l’enfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malĂ©diction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passĂ©. Ce traumatisme aurait-il participĂ© Ă  la construction d'un homme qui a tuĂ© deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?

  • Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, Ă  Grand-Champ, une commune du Morbihan, Anne-Marie Le Couviour, 75 ans, et son mari EugĂšne, 90 ans, ont Ă©tĂ© victimes d’un cambriolage. L’homme a Ă©tĂ© maire de Pluvignes, ancien conseiller dĂ©partemental et rĂ©gional. Il a Ă©galement rĂ©ussi dans les affaires, puisque la vente de son usine de lits mĂ©dicalisĂ©s lui a rapportĂ© une petite fortune.Les deux individus cagoulĂ©s ont bĂąillonnĂ© les propriĂ©taires, avant de repartir sans argent, ni objets extrĂȘmement prĂ©cieux, mis Ă  part quelques bijoux qui Ă©taient apparents. Mais ce que les deux malfaiteurs ne savent pas, c’est que la vieille femme est morte : le scotch qui entourait complĂštement son visage l’a empĂȘchĂ©e de respirer. L’acharnement sur l’un des deux membres du couple interroge d’emblĂ©e les enquĂȘteurs. L’affaire va rapidement s’orienter vers un rĂšglement de comptes familial, sur fond d’hĂ©ritage...

  • Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, Ă  Grand-Champ, une commune du Morbihan, Anne-Marie Le Couviour, 75 ans, et son mari EugĂšne, 90 ans, ont Ă©tĂ© victimes d’un cambriolage. L’homme a Ă©tĂ© maire de Pluvignes, ancien conseiller dĂ©partemental et rĂ©gional. Il a Ă©galement rĂ©ussi dans les affaires, puisque la vente de son usine de lits mĂ©dicalisĂ©s lui a rapportĂ© une petite fortune.Les deux individus cagoulĂ©s ont bĂąillonnĂ© les propriĂ©taires, avant de repartir sans argent, ni objets extrĂȘmement prĂ©cieux, mis Ă  part quelques bijoux qui Ă©taient apparents. Mais ce que les deux malfaiteurs ne savent pas, c’est que la vieille femme est morte : le scotch qui entourait complĂštement son visage l’a empĂȘchĂ©e de respirer. L’acharnement sur l’un des deux membres du couple interroge d’emblĂ©e les enquĂȘteurs. L’affaire va rapidement s’orienter vers un rĂšglement de comptes familial, sur fond d’hĂ©ritage...

  • Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, Ă  Grand-Champ, une commune du Morbihan, Anne-Marie Le Couviour, 75 ans, et son mari EugĂšne, 90 ans, ont Ă©tĂ© victimes d’un cambriolage. L’homme a Ă©tĂ© maire de Pluvignes, ancien conseiller dĂ©partemental et rĂ©gional. Il a Ă©galement rĂ©ussi dans les affaires, puisque la vente de son usine de lits mĂ©dicalisĂ©s lui a rapportĂ© une petite fortune.Les deux individus cagoulĂ©s ont bĂąillonnĂ© les propriĂ©taires, avant de repartir sans argent, ni objets extrĂȘmement prĂ©cieux, mis Ă  part quelques bijoux qui Ă©taient apparents. Mais ce que les deux malfaiteurs ne savent pas, c’est que la vieille femme est morte : le scotch qui entourait complĂštement son visage l’a empĂȘchĂ©e de respirer. L’acharnement sur l’un des deux membres du couple interroge d’emblĂ©e les enquĂȘteurs. L’affaire va rapidement s’orienter vers un rĂšglement de comptes familial, sur fond d’hĂ©ritage...

  • Le suicide du riche homme d'affaires allemand Drost Notthoff, retrouvĂ© pendu dans sa villa de la CĂŽte d'Azur en septembre 2011, a bien failli faire illusion. Le geste d'un homme dĂ©primĂ©, ĂągĂ© de 48 ans, qui n'avait plus foi en l'existence. Dans la villa, rien n'a Ă©tĂ© dĂ©robĂ©, aucune porte n'a Ă©tĂ© fracturĂ©e, aucune lettre n'a Ă©tĂ© laissĂ©e par le malheureux. D'Ă©vidence, la scĂšne ressemble Ă  un suicide. Sur les lieux, un mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste penche pour cette hypothĂšse, ce qui va surprendre les proches de Drost. "Il aimait l'argent, il avait plein de projets, ses affaires allaient bien", raconte Ă  RTL Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.

    C'Ă©tait sans compter sur le flair d'enquĂȘteurs suspicieux qui vont s'intĂ©resser de trĂšs prĂšs Ă  d'infimes dĂ©tails. Par exemple, le nƓud de la corde enserrant le coup de la victime a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  l'envers. L'autopsie de Drost Notthoff ne fera que renforcer les doutes. "Le suicide peut ĂȘtre envisagĂ©, dit le lĂ©giste, mais certaines lividitĂ©s apparaissent comme trĂšs inhabituelles. Des ecchymoses sont ainsi prĂ©sentes, concomitantes au dĂ©cĂšs." TrĂšs vite, les gendarmes vont suivre la piste d'un couple improbable : une intello effacĂ©e, l'ex-compagne de la victime, Grit Bergmann et un artiste peintre baba-cool dĂ©sargentĂ©, Georges Pierru, se prĂ©sentant ""comme le nouveau Pablo Picasso des temps modernes"", explique son avocat au micro de RTL. La thĂšse du suicide est Ă©cartĂ©e quand les enquĂȘteurs dĂ©couvrent l'existence d'une lettre, une sorte de testament dans lequel Drost Notthoff lĂ©guerait ses biens et sa fortune Ă ... Grit Bergmann.

  • Le suicide du riche homme d'affaires allemand Drost Notthoff, retrouvĂ© pendu dans sa villa de la CĂŽte d'Azur en septembre 2011, a bien failli faire illusion. Le geste d'un homme dĂ©primĂ©, ĂągĂ© de 48 ans, qui n'avait plus foi en l'existence. Dans la villa, rien n'a Ă©tĂ© dĂ©robĂ©, aucune porte n'a Ă©tĂ© fracturĂ©e, aucune lettre n'a Ă©tĂ© laissĂ©e par le malheureux. D'Ă©vidence, la scĂšne ressemble Ă  un suicide. Sur les lieux, un mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste penche pour cette hypothĂšse, ce qui va surprendre les proches de Drost. "Il aimait l'argent, il avait plein de projets, ses affaires allaient bien", raconte Ă  RTL Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.

    C'Ă©tait sans compter sur le flair d'enquĂȘteurs suspicieux qui vont s'intĂ©resser de trĂšs prĂšs Ă  d'infimes dĂ©tails. Par exemple, le nƓud de la corde enserrant le coup de la victime a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  l'envers. L'autopsie de Drost Notthoff ne fera que renforcer les doutes. "Le suicide peut ĂȘtre envisagĂ©, dit le lĂ©giste, mais certaines lividitĂ©s apparaissent comme trĂšs inhabituelles. Des ecchymoses sont ainsi prĂ©sentes, concomitantes au dĂ©cĂšs." TrĂšs vite, les gendarmes vont suivre la piste d'un couple improbable : une intello effacĂ©e, l'ex-compagne de la victime, Grit Bergmann et un artiste peintre baba-cool dĂ©sargentĂ©, Georges Pierru, se prĂ©sentant ""comme le nouveau Pablo Picasso des temps modernes"", explique son avocat au micro de RTL. La thĂšse du suicide est Ă©cartĂ©e quand les enquĂȘteurs dĂ©couvrent l'existence d'une lettre, une sorte de testament dans lequel Drost Notthoff lĂ©guerait ses biens et sa fortune Ă ... Grit Bergmann.

  • Le suicide du riche homme d'affaires allemand Drost Notthoff, retrouvĂ© pendu dans sa villa de la CĂŽte d'Azur en septembre 2011, a bien failli faire illusion. Le geste d'un homme dĂ©primĂ©, ĂągĂ© de 48 ans, qui n'avait plus foi en l'existence. Dans la villa, rien n'a Ă©tĂ© dĂ©robĂ©, aucune porte n'a Ă©tĂ© fracturĂ©e, aucune lettre n'a Ă©tĂ© laissĂ©e par le malheureux. D'Ă©vidence, la scĂšne ressemble Ă  un suicide. Sur les lieux, un mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste penche pour cette hypothĂšse, ce qui va surprendre les proches de Drost. "Il aimait l'argent, il avait plein de projets, ses affaires allaient bien", raconte Ă  RTL Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.

    C'Ă©tait sans compter sur le flair d'enquĂȘteurs suspicieux qui vont s'intĂ©resser de trĂšs prĂšs Ă  d'infimes dĂ©tails. Par exemple, le nƓud de la corde enserrant le coup de la victime a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  l'envers. L'autopsie de Drost Notthoff ne fera que renforcer les doutes. "Le suicide peut ĂȘtre envisagĂ©, dit le lĂ©giste, mais certaines lividitĂ©s apparaissent comme trĂšs inhabituelles. Des ecchymoses sont ainsi prĂ©sentes, concomitantes au dĂ©cĂšs." TrĂšs vite, les gendarmes vont suivre la piste d'un couple improbable : une intello effacĂ©e, l'ex-compagne de la victime, Grit Bergmann et un artiste peintre baba-cool dĂ©sargentĂ©, Georges Pierru, se prĂ©sentant ""comme le nouveau Pablo Picasso des temps modernes"", explique son avocat au micro de RTL. La thĂšse du suicide est Ă©cartĂ©e quand les enquĂȘteurs dĂ©couvrent l'existence d'une lettre, une sorte de testament dans lequel Drost Notthoff lĂ©guerait ses biens et sa fortune Ă ... Grit Bergmann.

  • Pascal Payet s’est Ă©vadĂ© deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la lĂ©gende, c’est qu’entre ces deux Ă©vasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il Ă©tait en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour Ă©galement sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opĂ©ration clandestine dans un hĂŽpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien

  • Pascal Payet s’est Ă©vadĂ© deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la lĂ©gende, c’est qu’entre ces deux Ă©vasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il Ă©tait en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour Ă©galement sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opĂ©ration clandestine dans un hĂŽpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien

  • Pascal Payet s’est Ă©vadĂ© deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la lĂ©gende, c’est qu’entre ces deux Ă©vasions, l’homme a pris le risque, alors qu’il Ă©tait en cavale, d’aller rechercher ses complices. Retour Ă©galement sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opĂ©ration clandestine dans un hĂŽpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, l’histoire de Pascal Payet est digne d’un scenario hollywoodien.

  • L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a Ă©tĂ© tuĂ© dans la nuit du 5 au 6 aoĂ»t 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulĂ© dans du bĂ©ton.

    Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle Ă©tait sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupĂ©fiants en Espagne. Mais l’hypothĂšse de ce « go fast » a Ă©tonnĂ© la famille de Laurent Baca ainsi que des enquĂȘteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours Ă  signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille.

    Edith Scaravetti a avouĂ© la mort de son compagnon aprĂšs quatre mois d’enquĂȘte, le 20 novembre 2014.

    Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnĂ©e par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, Ă  Montauban Ă  dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En premiĂšre instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, Ă  Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcĂ© trois ans d’emprisonnement Ă  l’encontre de la femme.

  • L’affaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon d’Edith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a Ă©tĂ© tuĂ© dans la nuit du 5 au 6 aoĂ»t 2014 d’une balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulĂ© dans du bĂ©ton.

    Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait qu’elle Ă©tait sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupĂ©fiants en Espagne. Mais l’hypothĂšse de ce « go fast » a Ă©tonnĂ© la famille de Laurent Baca ainsi que des enquĂȘteurs, d’autant plus qu’Edith Scaravetti a mis plusieurs jours Ă  signaler sa disparition et cela sous l’insistance et les nombreux questionnements de la belle-famille.

    Edith Scaravetti a avouĂ© la mort de son compagnon aprĂšs quatre mois d’enquĂȘte, le 20 novembre 2014.

    Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnĂ©e par la Cour d’assises d’appel du Tarn-et-Garonne, Ă  Montauban Ă  dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En premiĂšre instance, la Cour d’assises de Haute-Garonne, Ă  Toulouse, avait retenu l’homicide involontaire et prononcĂ© trois ans d’emprisonnement Ă  l’encontre de la femme.