Episodes
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Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcĂ©, pĂšre d'une adolescente, disparaĂźt. Sa famille retrouve son scooter garĂ© devant le cimetiĂšre marin de SĂšte. Dans celui-ci, on retrouve son tĂ©lĂ©phone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frĂšre signale sa disparition au commissariat de SĂšte. Le corps est retrouvĂ© le 17 juillet 2014 par les enquĂȘteurs du SRPJ de Montpellier Ă la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a Ă©tĂ© entravĂ© et tuĂ© de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calcinĂ©.
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Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcĂ©, pĂšre d'une adolescente, disparaĂźt. Sa famille retrouve son scooter garĂ© devant le cimetiĂšre marin de SĂšte. Dans celui-ci, on retrouve son tĂ©lĂ©phone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frĂšre signale sa disparition au commissariat de SĂšte. Le corps est retrouvĂ© le 17 juillet 2014 par les enquĂȘteurs du SRPJ de Montpellier Ă la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a Ă©tĂ© entravĂ© et tuĂ© de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calcinĂ©.
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Le 23 juin 2014, Patrick Isoird, divorcĂ©, pĂšre d'une adolescente, disparaĂźt. Sa famille retrouve son scooter garĂ© devant le cimetiĂšre marin de SĂšte. Dans celui-ci, on retrouve son tĂ©lĂ©phone portable et dans la liste de ses derniers appels, le contact d'Audrey Louvet, une ancienne connaissance qui avait repris contact avec lui. Son frĂšre signale sa disparition au commissariat de SĂšte. Le corps est retrouvĂ© le 17 juillet 2014 par les enquĂȘteurs du SRPJ de Montpellier Ă la grotte du mont Saint-Clair. Patrick Isoird a Ă©tĂ© entravĂ© et tuĂ© de deux coups de fusil. Le corps est partiellement calcinĂ©..
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Deux criminels rĂ©cidivistes, anciens co-dĂ©tenus de prison, sont responsables de lâassassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, Ă Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journĂ©e pour effectuer un stage dans une crĂšche. Sa compagne, inquiĂšte de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend dâabord pas conscience de la gravitĂ© des faits, avant de mener une enquĂȘte qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusquâĂ deux anciens condamnĂ©s qui se connaissaient trĂšs bien. Lâun dâeux, Franck Siegler, est en cavale aprĂšs avoir obtenu une permission de sortie.. Lâhomme a besoin dâun vĂ©hicule et de papiers, afin dâassurer la rĂ©ussite dĂ©finitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien dĂ©tenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et sâinstalle chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un cafĂ©. A partir de lĂ , tout sâenclenche : le contenu dâune conversation aurait fait basculer lâun des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise Ă mort du trentenaire dans une forĂȘt. Mais le vĂ©ritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour dâassises du Haut-Rhin condamnera Moris Ă trente ans de prison et Siegler Ă la perpĂ©tuitĂ©.
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Deux criminels rĂ©cidivistes, anciens co-dĂ©tenus de prison, sont responsables de lâassassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, Ă Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journĂ©e pour effectuer un stage dans une crĂšche. Sa compagne, inquiĂšte de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend dâabord pas conscience de la gravitĂ© des faits, avant de mener une enquĂȘte qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusquâĂ deux anciens condamnĂ©s qui se connaissaient trĂšs bien. Lâun dâeux, Franck Siegler, est en cavale aprĂšs avoir obtenu une permission de sortie.. Lâhomme a besoin dâun vĂ©hicule et de papiers, afin dâassurer la rĂ©ussite dĂ©finitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien dĂ©tenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et sâinstalle chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un cafĂ©. A partir de lĂ , tout sâenclenche : le contenu dâune conversation aurait fait basculer lâun des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise Ă mort du trentenaire dans une forĂȘt. Mais le vĂ©ritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour dâassises du Haut-Rhin condamnera Moris Ă trente ans de prison et Siegler Ă la perpĂ©tuitĂ©.
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Deux criminels rĂ©cidivistes, anciens co-dĂ©tenus de prison, sont responsables de lâassassinat de Philippe Vuillet, le 20 mars 2007, Ă Reguisheim, dans le Haut-Rhin. La victime de trente-trois ans devait passer un entretien dans la journĂ©e pour effectuer un stage dans une crĂšche. Sa compagne, inquiĂšte de ne pas avoir de nouvelles, contacte la gendarmerie qui ne prend dâabord pas conscience de la gravitĂ© des faits, avant de mener une enquĂȘte qui sera longue et filandreuse. Au terme des investigations, on remontera jusquâĂ deux anciens condamnĂ©s qui se connaissaient trĂšs bien. Lâun dâeux, Franck Siegler, est en cavale aprĂšs avoir obtenu une permission de sortie.. Lâhomme a besoin dâun vĂ©hicule et de papiers, afin dâassurer la rĂ©ussite dĂ©finitive de son entreprise. A cette fin, il contacte un ancien dĂ©tenu qui partagea sa cellule avec lui, Robert Moris, et sâinstalle chez lui. Vuillet, qui a connu ce dernier dans le cadre des chantiers emploi en 2006, passera un jour pour prendre un cafĂ©. A partir de lĂ , tout sâenclenche : le contenu dâune conversation aurait fait basculer lâun des deux hommes dans une violence qui, in fine, provoquera la mise Ă mort du trentenaire dans une forĂȘt. Mais le vĂ©ritable mobile demeure incertain. Toujours est-il que la cour dâassises du Haut-Rhin condamnera Moris Ă trente ans de prison et Siegler Ă la perpĂ©tuitĂ©.
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Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tuĂ© deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres Ă 13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. Ă chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom cĂ©lĂšbre qui lui colle Ă la peau. Ă l'Ăąge de six ans, il tenait la main de sa grande sĆur Marie-DolorĂšs Rambla, 8 ans, quand celle-ci a Ă©tĂ© enlevĂ©e par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvĂ©e assassinĂ©e. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamnĂ© Ă la peine de mort et exĂ©cutĂ©.
L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a Ă©tĂ© surnommĂ©e, ne va dĂšs lors jamais cesser de hanter lâenfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malĂ©diction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passĂ©. Ce traumatisme aurait-il participĂ© Ă la construction d'un homme qui a tuĂ© deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?
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Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tuĂ© deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres Ă 13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. Ă chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom cĂ©lĂšbre qui lui colle Ă la peau. Ă l'Ăąge de six ans, il tenait la main de sa grande sĆur Marie-DolorĂšs Rambla, 8 ans, quand celle-ci a Ă©tĂ© enlevĂ©e par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvĂ©e assassinĂ©e. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamnĂ© Ă la peine de mort et exĂ©cutĂ©.
L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a Ă©tĂ© surnommĂ©e, ne va dĂšs lors jamais cesser de hanter lâenfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malĂ©diction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passĂ©. Ce traumatisme aurait-il participĂ© Ă la construction d'un homme qui a tuĂ© deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?
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Au cours de sa vie, Jean-Baptiste Rambla a tuĂ© deux femmes, une en 2004, une autre en 2017. Deux meurtres Ă 13 ans d'intervalle, gratuits, sans explication, ni mobile financier ou sexuel. Ă chaque fois, les gens se souviendront de son nom, un nom cĂ©lĂšbre qui lui colle Ă la peau. Ă l'Ăąge de six ans, il tenait la main de sa grande sĆur Marie-DolorĂšs Rambla, 8 ans, quand celle-ci a Ă©tĂ© enlevĂ©e par un inconnu. Plus tard, la petite fille sera retrouvĂ©e assassinĂ©e. Le coupable est Christian Ranucci et sera condamnĂ© Ă la peine de mort et exĂ©cutĂ©.
L'affaire Ranucci, celle du pullover rouge comme elle a Ă©tĂ© surnommĂ©e, ne va dĂšs lors jamais cesser de hanter lâenfance de Jean-Baptiste Rambla, mais aussi son adolescence et sa vie d'homme. Des avocats vont parler d'une malĂ©diction, tandis que les psychiatres, les experts, les juges vont se pencher sur ce sombre passĂ©. Ce traumatisme aurait-il participĂ© Ă la construction d'un homme qui a tuĂ© deux fois sans raison ? Tuer pour se venger, mais se venger de qui et de quoi ?
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Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, Ă Grand-Champ, une commune du Morbihan, Anne-Marie Le Couviour, 75 ans, et son mari EugĂšne, 90 ans, ont Ă©tĂ© victimes dâun cambriolage. Lâhomme a Ă©tĂ© maire de Pluvignes, ancien conseiller dĂ©partemental et rĂ©gional. Il a Ă©galement rĂ©ussi dans les affaires, puisque la vente de son usine de lits mĂ©dicalisĂ©s lui a rapportĂ© une petite fortune.Les deux individus cagoulĂ©s ont bĂąillonnĂ© les propriĂ©taires, avant de repartir sans argent, ni objets extrĂȘmement prĂ©cieux, mis Ă part quelques bijoux qui Ă©taient apparents. Mais ce que les deux malfaiteurs ne savent pas, câest que la vieille femme est morte : le scotch qui entourait complĂštement son visage lâa empĂȘchĂ©e de respirer. Lâacharnement sur lâun des deux membres du couple interroge dâemblĂ©e les enquĂȘteurs. Lâaffaire va rapidement sâorienter vers un rĂšglement de comptes familial, sur fond dâhĂ©ritage...
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Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, Ă Grand-Champ, une commune du Morbihan, Anne-Marie Le Couviour, 75 ans, et son mari EugĂšne, 90 ans, ont Ă©tĂ© victimes dâun cambriolage. Lâhomme a Ă©tĂ© maire de Pluvignes, ancien conseiller dĂ©partemental et rĂ©gional. Il a Ă©galement rĂ©ussi dans les affaires, puisque la vente de son usine de lits mĂ©dicalisĂ©s lui a rapportĂ© une petite fortune.Les deux individus cagoulĂ©s ont bĂąillonnĂ© les propriĂ©taires, avant de repartir sans argent, ni objets extrĂȘmement prĂ©cieux, mis Ă part quelques bijoux qui Ă©taient apparents. Mais ce que les deux malfaiteurs ne savent pas, câest que la vieille femme est morte : le scotch qui entourait complĂštement son visage lâa empĂȘchĂ©e de respirer. Lâacharnement sur lâun des deux membres du couple interroge dâemblĂ©e les enquĂȘteurs. Lâaffaire va rapidement sâorienter vers un rĂšglement de comptes familial, sur fond dâhĂ©ritage...
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Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, Ă Grand-Champ, une commune du Morbihan, Anne-Marie Le Couviour, 75 ans, et son mari EugĂšne, 90 ans, ont Ă©tĂ© victimes dâun cambriolage. Lâhomme a Ă©tĂ© maire de Pluvignes, ancien conseiller dĂ©partemental et rĂ©gional. Il a Ă©galement rĂ©ussi dans les affaires, puisque la vente de son usine de lits mĂ©dicalisĂ©s lui a rapportĂ© une petite fortune.Les deux individus cagoulĂ©s ont bĂąillonnĂ© les propriĂ©taires, avant de repartir sans argent, ni objets extrĂȘmement prĂ©cieux, mis Ă part quelques bijoux qui Ă©taient apparents. Mais ce que les deux malfaiteurs ne savent pas, câest que la vieille femme est morte : le scotch qui entourait complĂštement son visage lâa empĂȘchĂ©e de respirer. Lâacharnement sur lâun des deux membres du couple interroge dâemblĂ©e les enquĂȘteurs. Lâaffaire va rapidement sâorienter vers un rĂšglement de comptes familial, sur fond dâhĂ©ritage...
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Le suicide du riche homme d'affaires allemand Drost Notthoff, retrouvé pendu dans sa villa de la CÎte d'Azur en septembre 2011, a bien failli faire illusion. Le geste d'un homme déprimé, ùgé de 48 ans, qui n'avait plus foi en l'existence. Dans la villa, rien n'a été dérobé, aucune porte n'a été fracturée, aucune lettre n'a été laissée par le malheureux. D'évidence, la scÚne ressemble à un suicide. Sur les lieux, un médecin généraliste penche pour cette hypothÚse, ce qui va surprendre les proches de Drost. "Il aimait l'argent, il avait plein de projets, ses affaires allaient bien", raconte à RTL Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.
C'Ă©tait sans compter sur le flair d'enquĂȘteurs suspicieux qui vont s'intĂ©resser de trĂšs prĂšs Ă d'infimes dĂ©tails. Par exemple, le nĆud de la corde enserrant le coup de la victime a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă l'envers. L'autopsie de Drost Notthoff ne fera que renforcer les doutes. "Le suicide peut ĂȘtre envisagĂ©, dit le lĂ©giste, mais certaines lividitĂ©s apparaissent comme trĂšs inhabituelles. Des ecchymoses sont ainsi prĂ©sentes, concomitantes au dĂ©cĂšs." TrĂšs vite, les gendarmes vont suivre la piste d'un couple improbable : une intello effacĂ©e, l'ex-compagne de la victime, Grit Bergmann et un artiste peintre baba-cool dĂ©sargentĂ©, Georges Pierru, se prĂ©sentant ""comme le nouveau Pablo Picasso des temps modernes"", explique son avocat au micro de RTL. La thĂšse du suicide est Ă©cartĂ©e quand les enquĂȘteurs dĂ©couvrent l'existence d'une lettre, une sorte de testament dans lequel Drost Notthoff lĂ©guerait ses biens et sa fortune Ă ... Grit Bergmann.
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Le suicide du riche homme d'affaires allemand Drost Notthoff, retrouvé pendu dans sa villa de la CÎte d'Azur en septembre 2011, a bien failli faire illusion. Le geste d'un homme déprimé, ùgé de 48 ans, qui n'avait plus foi en l'existence. Dans la villa, rien n'a été dérobé, aucune porte n'a été fracturée, aucune lettre n'a été laissée par le malheureux. D'évidence, la scÚne ressemble à un suicide. Sur les lieux, un médecin généraliste penche pour cette hypothÚse, ce qui va surprendre les proches de Drost. "Il aimait l'argent, il avait plein de projets, ses affaires allaient bien", raconte à RTL Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.
C'Ă©tait sans compter sur le flair d'enquĂȘteurs suspicieux qui vont s'intĂ©resser de trĂšs prĂšs Ă d'infimes dĂ©tails. Par exemple, le nĆud de la corde enserrant le coup de la victime a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă l'envers. L'autopsie de Drost Notthoff ne fera que renforcer les doutes. "Le suicide peut ĂȘtre envisagĂ©, dit le lĂ©giste, mais certaines lividitĂ©s apparaissent comme trĂšs inhabituelles. Des ecchymoses sont ainsi prĂ©sentes, concomitantes au dĂ©cĂšs." TrĂšs vite, les gendarmes vont suivre la piste d'un couple improbable : une intello effacĂ©e, l'ex-compagne de la victime, Grit Bergmann et un artiste peintre baba-cool dĂ©sargentĂ©, Georges Pierru, se prĂ©sentant ""comme le nouveau Pablo Picasso des temps modernes"", explique son avocat au micro de RTL. La thĂšse du suicide est Ă©cartĂ©e quand les enquĂȘteurs dĂ©couvrent l'existence d'une lettre, une sorte de testament dans lequel Drost Notthoff lĂ©guerait ses biens et sa fortune Ă ... Grit Bergmann.
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Le suicide du riche homme d'affaires allemand Drost Notthoff, retrouvé pendu dans sa villa de la CÎte d'Azur en septembre 2011, a bien failli faire illusion. Le geste d'un homme déprimé, ùgé de 48 ans, qui n'avait plus foi en l'existence. Dans la villa, rien n'a été dérobé, aucune porte n'a été fracturée, aucune lettre n'a été laissée par le malheureux. D'évidence, la scÚne ressemble à un suicide. Sur les lieux, un médecin généraliste penche pour cette hypothÚse, ce qui va surprendre les proches de Drost. "Il aimait l'argent, il avait plein de projets, ses affaires allaient bien", raconte à RTL Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.
C'Ă©tait sans compter sur le flair d'enquĂȘteurs suspicieux qui vont s'intĂ©resser de trĂšs prĂšs Ă d'infimes dĂ©tails. Par exemple, le nĆud de la corde enserrant le coup de la victime a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă l'envers. L'autopsie de Drost Notthoff ne fera que renforcer les doutes. "Le suicide peut ĂȘtre envisagĂ©, dit le lĂ©giste, mais certaines lividitĂ©s apparaissent comme trĂšs inhabituelles. Des ecchymoses sont ainsi prĂ©sentes, concomitantes au dĂ©cĂšs." TrĂšs vite, les gendarmes vont suivre la piste d'un couple improbable : une intello effacĂ©e, l'ex-compagne de la victime, Grit Bergmann et un artiste peintre baba-cool dĂ©sargentĂ©, Georges Pierru, se prĂ©sentant ""comme le nouveau Pablo Picasso des temps modernes"", explique son avocat au micro de RTL. La thĂšse du suicide est Ă©cartĂ©e quand les enquĂȘteurs dĂ©couvrent l'existence d'une lettre, une sorte de testament dans lequel Drost Notthoff lĂ©guerait ses biens et sa fortune Ă ... Grit Bergmann.
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Pascal Payet sâest Ă©vadĂ© deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la lĂ©gende, câest quâentre ces deux Ă©vasions, lâhomme a pris le risque, alors quâil Ă©tait en cavale, dâaller rechercher ses complices. Retour Ă©galement sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opĂ©ration clandestine dans un hĂŽpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, lâhistoire de Pascal Payet est digne dâun scenario hollywoodien
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Pascal Payet sâest Ă©vadĂ© deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la lĂ©gende, câest quâentre ces deux Ă©vasions, lâhomme a pris le risque, alors quâil Ă©tait en cavale, dâaller rechercher ses complices. Retour Ă©galement sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opĂ©ration clandestine dans un hĂŽpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, lâhistoire de Pascal Payet est digne dâun scenario hollywoodien
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Pascal Payet sâest Ă©vadĂ© deux fois, le 12 octobre 2001 de la prison de Luynes et le 14 juillet 2007 de celle de Grasse. Mais ce qui a fait entrer ce braqueur dans la lĂ©gende, câest quâentre ces deux Ă©vasions, lâhomme a pris le risque, alors quâil Ă©tait en cavale, dâaller rechercher ses complices. Retour Ă©galement sur le casse de la Banque de France de Salon de Provence, ainsi que sur les traques qui ont suivi. De son opĂ©ration clandestine dans un hĂŽpital lyonnais, en passant par ses planques en Suisse ou dans un gite de la Drome, lâhistoire de Pascal Payet est digne dâun scenario hollywoodien.
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Lâaffaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon dâEdith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a Ă©tĂ© tuĂ© dans la nuit du 5 au 6 aoĂ»t 2014 dâune balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulĂ© dans du bĂ©ton.
Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait quâelle Ă©tait sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupĂ©fiants en Espagne. Mais lâhypothĂšse de ce « go fast » a Ă©tonnĂ© la famille de Laurent Baca ainsi que des enquĂȘteurs, dâautant plus quâEdith Scaravetti a mis plusieurs jours Ă signaler sa disparition et cela sous lâinsistance et les nombreux questionnements de la belle-famille.
Edith Scaravetti a avouĂ© la mort de son compagnon aprĂšs quatre mois dâenquĂȘte, le 20 novembre 2014.
Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnĂ©e par la Cour dâassises dâappel du Tarn-et-Garonne, Ă Montauban Ă dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En premiĂšre instance, la Cour dâassises de Haute-Garonne, Ă Toulouse, avait retenu lâhomicide involontaire et prononcĂ© trois ans dâemprisonnement Ă lâencontre de la femme.
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Lâaffaire Edith Scaravetti ou affaire Laurent Baca est une affaire criminelle française concernant le meurtre de Laurent Baca, compagnon dâEdith Scaravetti au moment des faits. Laurent Baca a Ă©tĂ© tuĂ© dans la nuit du 5 au 6 aoĂ»t 2014 dâune balle de 22 long rifle dans la tempe, puis coulĂ© dans du bĂ©ton.
Edith Scaravetti a, pendant quatre mois, soutenu le fait quâelle Ă©tait sans nouvelles de son concubin parti livrer des stupĂ©fiants en Espagne. Mais lâhypothĂšse de ce « go fast » a Ă©tonnĂ© la famille de Laurent Baca ainsi que des enquĂȘteurs, dâautant plus quâEdith Scaravetti a mis plusieurs jours Ă signaler sa disparition et cela sous lâinsistance et les nombreux questionnements de la belle-famille.
Edith Scaravetti a avouĂ© la mort de son compagnon aprĂšs quatre mois dâenquĂȘte, le 20 novembre 2014.
Le 17 mai 2019, Edith Scaravetti est condamnĂ©e par la Cour dâassises dâappel du Tarn-et-Garonne, Ă Montauban Ă dix ans de prison en appel pour le meurtre de son conjoint. En premiĂšre instance, la Cour dâassises de Haute-Garonne, Ă Toulouse, avait retenu lâhomicide involontaire et prononcĂ© trois ans dâemprisonnement Ă lâencontre de la femme.
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