Episodes

  • Dans l’imaginaire collectif, la France aurait consacré sur son territoire la pleine l’égalité entre les genres, et les pays musulmans seraient des espaces oppressifs où règnent de façon continue le sexisme et l’homophobie. Evidemment, les rapports femmes-hommes au Maghreb et au Moyen Orient sont bien plus complexes que cette image binaire. Ces rapports sont faits de trajectoires et de luttes propres, et ils ne cessent de se renégocier.


    En quoi la définition des féminités et masculinités sont imbriquées avec l’histoire de la colonisation ? En quoi le travail, la guerre, et l’accès à des ressources économiques sont des points essentiels dans les rapports de genres au Maghreb et au Moyen Orient ? Quels multiples usages de l’islam au service des luttes des femmes peut-on mettre en lumière ? 


    Pour parler de grèves d’ouvrières, de féminisme islamique, ou encore de droit de vote au Koweit, Leïla Izrar reçoit les sociologues Abir Kréfa et Amélie le Renard, co-autrices de « Genre et Féminismes au Moyen-Orient et au Maghreb » 


    RÉFÉRENCES CITÉES

    Genre et Féminismes au Moyen-Orient et au Maghreb, Abir Kréfa et Amélie le Renard (Amsterdam, 2020), Jamila Bouhired, Djamila L’Algérienne (Youssef Chahine, 1958), la chanteuse Fairouz, Heureuse comme une arabe en France, Adila Bennejaï-Zou (La série documentaire, France Culture).


    CRÉDITS 

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar. Cet épisode a été enregistré à distance et au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation et prise de son : Quentin Bresson. Musique : Waseem et Lamisse. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • La langue française est une sorte d’agrégation de mots issus de l’italien, de l’anglais, mais aussi de l’arabe. Un lien souvent méconnu et éclipsé au fil de l’histoire, ou dénigré lorsqu’il s’agit de l’argot, et d’ailleurs, ça fout le seum. Pourquoi ? Comment les mots arabes ont-ils été véhiculés jusqu’au français ? 


    Leïla Izrar reçoit le lexicographe Jean Pruvost, auteur de « Nos ancêtres les arabes », pour parler de l’âge d’or des sciences arabes, des échanges commerciaux, de colonisation, de rap, de fruits de fleurs et de zouz. De tout ce que la langue française doit à la langue arabe. 


    RÉFERENCES CITÉES 

    L’historien Ernest Lavisse, auteur des « manuels Lavisse » de formation des instituteur·trice·s et élèves françaises u début du XXe siècle, le dictionnaire Furetière (début de rédaction, 1650, publication posthusotofme en 1690), le lexicographe Paul Robert. 


    CRÉDITS

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin. Prise de son : Quentin Bresson. Musique : Waseem et Lamisse. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • Missing episodes?

    Click here to refresh the feed.

  • Quand on parle d’humour, les stéréotypes raciaux sont une matière en or, et notamment ceux qui sont attribués aux cultures maghrébines. Qui rit de quoi, depuis quand, et qu’est ce que cela change d’être concerné.e.s ? L’art de la vanne élimine-t-il réellement les préjugés ? Comment la scène de l'humour en France s'est recomposée ? En quoi l’arrivée d’humoristes comme Smaïn, Jamel Debbouze ou encore Nadia Roz a déstabilisé les imaginaires autour de la masculinité de la féminité arabe, mais aussi et de la francité ?


    Pour cartographier l’humour en France, Leïla Izrar est avec Nelly Quemener, maître de conférence en Sciences de l’information et de la communication à la Sorbonne Nouvelle, spécialiste des cultural studies, des médias et des représentations médiatiques. 


    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION

    Smaïn, Jamel Debbouze, Gad Elmaleh, Thomas Ngijol, Fabrice Eboué, Gayatri C. Spivak, les « subaltern studies » une discipline qui entend redonner la parole à des populations ignorées par l’histoire officielle, Nancy Fraser, les sketchs de Pierre Péchin notamment « S’il vô plait ! » (1975), Josiane Balasko, la troupe du splendide, Le cinema de Jamel dans Nulle Part Ailleurs, Rachid Debbouze, Omar et Fred, « Les féministes et le garçon arabe, Nacira Guénif-Souilamas (2004), Marion Dalibert, A Star is beur (Smaïn, 1986), Rokhaya Diallo, Raphaëlle Moine, François Bégaudeau, Michel Hazanavicius, Les sauvages (Canal +, 2019), Roschdy Zem, Nadia Roz, La lesbienne invisible d’Océan, Blanche Gardin, Isabelle Veyrat Masson, Yvan Gastaut, Les subalternes peuvent-elles parler ? de Gayatri Chakravorty Spivak, Djurdjurassic Bled de Mohamed Fellag, les chroniques de Djamil de Shlag sur Radio Nova.


    CRÉDITS

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Mathieu Thévenon. Prise de son : Quentin Bresson. Musique : Waseem et Lamisse. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • Les musiques arabes sont bien plus qu’un oud et de la darbouka. Trop souvent relayées par le passé dans les rayons fourre-tout de « musique du monde » ou associés aux musiques traditionnelles, les mélodies et rythmes d’Afrique du Nord, du Liban ou Egypte connaissent aujourd’hui un regain de « hype ».


    En quoi l’histoire des musiques actuelles arabes est une histoire politique ? Quelle est la place des productions du monde arabe dans l’industrie mondiale de la musique ? Comment expliquer l’engouement français pour l’électro orientale ? Et à quel moment passe-t-on la barrière de l’appropriation culturelle ?


    Leïla Izrar est avec Mounir Kabbaj, producteur et cofondateur de l’agence Ginger Sounds, spécialisée dans les musiques des scènes méditerranéennes et africaines, aka « Le Mood du Mahmood » lorsqu’il mixe.


    A ÉCOUTER

    Notre playlist Spotify : https://open.spotify.com/playlist/79rkeTw3zGT8dbpZ9gt9PE?si=lnBEmbEoRyq2QG-qgF-Mwg


    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION 

    Les Abranis groupe de rock Algérien kabyle, Vigon (Abdelghafoud Mouhsine), Les Variations, Led Zeppelin, Morrocan Roll (Les Variations, 1974), Nass El Ghiwane, Gnawa, Marcel Khalifa, Bob Dylan, Leonard Cohen, Sheikh Imam, Raï, Cheb Hasni, Cheb Mami, Dabkeh, le Micro Brise le Silence (MBS), Ouled El Bahdja (MBS, 1998), le rappeur marocain Gnawi, Aâcha Chaâb (Gnawi), Carte de séjour, Rachid Taha, Omar Souleymane, Islam Chipsy, le joueur de oud Gregory Dargent, le joueur de oud Brandon Terzic, Tokyo Gwana Trance. 


    CRÉDITS

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Adel Ittel El Madani. Musique : Waseem et Lamisse. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • Il a été tour à tour un travailleur immigré en marge de la société, le beur comique, le voyou délinquant traqué par le flic blanc, le dealer, le héros national… Sur les écrans français, la figure de « l’arabe » est un indicateur du rapport qu’entretient la France à son histoire coloniale et ses citoyen·ne·s arabes. 

    De Fernandel à Sami Naceri, de l’Orient en carton pâte aux banlieues françaises, Leïla Izrar parcourt une autre histoire du cinéma français avec l’historien Julien Gaertner, et dessine les contours de l’image de « l’arabe » dans le cinéma français de 1970 aux années 2000. 


    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’EMISSION 

    Retrouvez une filmographie complète sur www.binge.audio

    La chanson de Roland, les opérateurs de cinéma Félix Mesguich et Alexandre Promio, le cinéaste Camille de Morlhond, L’Atlantide (Jacques Feyder, 1921), Pépé le Momo (Julien Divivier, 1937), Jean Gabin, Fernandel, la danseuse Samia Gamal, Un de la légion Christian-Jaque, Angélique et le sultan (Barnard Borderie, 1968), Mektoub (Ali Ghanem, 1970), Elise ou la vraie vie (Michel Drach, 1970), Aldo Maccione, La Balance (Bob Swaim), Tchao Pantin (Claude Berri, 1983), Police (Maurice Pialat, 1985), L’union Sacrée (Alexandre Arcady, 1989), Richard Anconina, Roschdy Zem, Abdellatif Kechiche, Rabat Ameur-Zaïmeche, Rachid Bouchareb, Tahar Rahim, Jamel Debbouze, Samy Bouajila, Rachida Brakni, Leila Bekhti, Sabrina Ouazani, Indigènes (Rachid Bouchareb, 2006), Taxi (Luc Besson, 1998), Sami Naceri, La faute à Voltaire (Abdellatif Kechiche, 2001), Un prophète (Jacques Audiard, 2009), Les misérables (Ladj Ly, 2019).


    CRÉDITS

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar, soutenu par l'Institut du Monde Arabe. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Victor Dubin. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • C’est une langue qui s’apprend en famille, entre ami·e·s, dans des associations ou dans l’enseignement privé. Mais dès qu’on parle de son enseignement dans le public, notamment à l’école primaire, elle déchaine les passions.


    La langue arabe est perçue soit comme un marqueur communautaire, soit un rempart contre le communautarisme : d’où vient ce paradoxe ? Pourquoi son apprentissage serait uniquement accessible aux arabo-descendants ? Leïla Izrar reçoit Nada Yafi, interprète, traductrice, directrice du centre de langues de l’IMA, et autrice de « L’arabe langue du monde » (éditions l’Harmattan).


    RÉFÉRENCES 

    « Pourquoi l’enseignement de l’arabe en France suscite-t-il la polémique ? » de Nada Yafi dans Orient XXI (2018), la Fête de la langue arabe du 13 au 15 décembre à l’IMA.


    CRÉDITS

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar, soutenu par l'Institut du Monde Arabe. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Victor Dubin. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • En français, il existe tellement de manières pour désigner un·e arabe sans jamais prononcer le mot. Beur, beurette, rebeu, immigré·e, personne d’origine maghrébine, de « seconde génération »… Quelles sont les origines de chaque terme, et quels imaginaires véhiculent-ils ? 


    Pour parler de la marche pour l’égalité et contre le racisme de 1983 - devenue « marche des beurs »- , de fétichisation et du hashtag #pasvosbeurettes, Leïla Izrar reçoit la sociologue Nacira Guénif Souilamas, professeure à l’université Paris VIII et autrice de « Des beurettes aux descendantes d’immigrants nord-africains » (Grasset, 2000).


    ARCHIVES 

    La marche des beurs, reportage France 3 (1983) : https://www.youtube.com/watch?v=T1aMpT4-3Fg


    CRÉDITS 

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar, soutenu par l'Institut du Monde Arabe. Cette bande-annonce a été enregistrée au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Victor Dubin. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • Exotisme, érotisme, féminité et sensualité : le mythe de la « danseuse du ventre » qui ondule dévêtue en costume deux pièces, est un produit de l’orientalisme, alimenté par le cinéma. Cet imaginaire occidental est très loin des réalités des danses arabo-berbères, puisqu’il n’y a pas une danse orientale, mais bien des danses orientales : aalaoui, dabke, fazzani…


    Pour interroger le rapport de l’oeil occidental au corps oriental dansant, Leïla Izrar reçoit deux invitées : Mariem Guellouz, danseuse, maître de conférences en sciences du langage à l'université Paris-Descartes et directrice des journées chorégraphiques de Carthage en Tunisie, et Raïssa Leï, directrice artistique de la troupe Kif Kif Bledi, qui fait vivre en France les danses alternatives d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. 


    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION 

    « Voyage en Égypte » de Gustave Flaubert (1851), les danseuses et actrices égyptiennes Tahia Carioca (1915-1999) et Samia Gamal (1924-1994), l’artiste Sofiane Saidi, l’artiste Ammar 808, « Les danses dans le monde arabe ou l’héritage des almées » de Jamila Henni Chebra et Christian Poché, la mini série de Kif Kif Bledi « Les Contes de Raïssa Leï » (https://www.kifkifbledi.com/les-contes-de-raissa-lei). 


    CRÉDITS

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar, soutenu par l'Institut du Monde Arabe. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Jules Krot et Quentin Bresson. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • Elle n’est la langue maternelle de personne et pourtant elle est parlée par près de 400 millions de personnes dans le monde. L’arabe a cela de particulier qu’elle est une langue plurielle : il y a la langue de l’écrit et de l’officiel, l’arabe littéral, et les langues du quotidien qui diffèrent selon les pays. Il est donc rare qu’un irakien, qu’un algérien et qu’un libanais se comprennent. 


    Pourquoi les dialectes sont-ils moins valorisés que l’arabe littéral ? D’ailleurs quelle est sa place, sa fonction ? Quelle forme prend le militantisme linguistique dans les pays arabophobes ? Pour répondre à ces questions, Leïla Izrar est en compagnie de Jonas Sibony, docteur en linguistique sémitique, professeur d’arabe et d’hébreu à l’Université de Strasbourg. 


    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION 

    La série turque « Samhini » (ou Beni Affet) traduite en dialecte marocain (2012-2018), « L’arabe, langue du monde », un ouvrage collectif sous la direction de Nada Yafi (éditions l’Harmattan, 2018).


    CRÉDITS 

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar, soutenu par l'Institut du Monde Arabe. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • Immigré·e, musulman·e, jeune de banlieue, voleur·se, intégriste religieux·se… dans le langage courant, le mot « arabe » véhicule un ensemble de clichés, d’amalgames. Alors, de qui parle-t-on lorsqu’on parle des Arabes ? Comment est-on passé du « beur » au « jeune de banlieue » ? Quelle est la part de l’histoire coloniale française dans ces représentations ? Quelles sont les conséquences sur la construction identitaire des jeunes Français arabes ? 


    Pour déconstruire l’imaginaire de l’Arabe en France, Leïla Izrar reçoit l’historienne Naïma Yahi, spécialiste de l’histoire culturelle et du patrimoine des maghrébins en France, directrice du Réseau Pangée et de l’association Remembeur.


    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION

    « La France arabo-orientale » de Naïma Yahi, Yvan Gastaut, Pascal Blanchard et Nicolas Bancel (La Découverte, 2013), « La guerre des mémoires : la France face à son passé colonial » de Benjamin Stora (Editions de l’Aube, 2007), « Portrait du décolonisé arabo-musulman et de quelques autres » d’Albert Memmi (Gallimard, 2004). 


    CRÉDITS 

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar, soutenu par l'Institut du Monde Arabe. Cette bande-annonce a été enregistrée le 28 août 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  • Pourquoi, dans le cinéma français, l’Arabe est-il toujours le voyou ou le terroriste ? La langue arabe est-elle aussi uniforme qu'on l'imagine ? Pourquoi la danse orientale est une obsession occidentale ? Un vendredi sur deux, Leïla Izrar interroge la perception des cultures arabes en France, et les multiples parts d'arabité dans la culture française. Soutenu par l’Institut du Monde Arabe, Tarab est un podcast de Binge Audio. À retrouver à partir du 20 septembre 2019.


    CRÉDITS

    Tarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar. Cette bande-annonce a été enregistrée le 28 août 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin et Quentin Bresson. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.


    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.