Episodes

  • Un dernier message pour vous remercier de m'avoir suivie ici, et vous emmener vers mon nouveau podcast : "L'un dans l'autre". À découvrir sur les ondes dès le 2.02.23 !

    Lumineusement,
    Céline Boura.

    celineboura.com

  • Il est des rencontres qui changent le cours d’une vie, parce qu’elles ont déjà eu lieu dans d’autres vies et qu’elles reviennent pour nous (r)amener… à l’origine.

    Au point zéro de qui l’on est,

    et de ce pourquoi on s’est incarné.

    Le vortex à partir duquel…

    tout peut co-exister.

    C’est l’histoire de l’œuvre que je m’apprête à mettre au monde dans deux jours : le 2.2.2022, celineboura.com verra le jour. Bien plus qu'un site... une libération dans tous ses dimensions.

    Dans l'épisode de mon podcast aujourd'hui, le 31ème, je vous partage la genèse et le processus de création qui m'ont permis de pouvoir vous offrir cette expérience digitale immersive à 360°. Revenir à l'origine du monde. À l’origine des mondes.

    Bon voyage !

    ~

    Lien vers la playlist Spotify conçue pour cet épisode :
    Revenir à l'origine

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    Première minute de l'épisode : conversation extraite du film "A star is born" entre les personnages de Bradley Cooper et Lady Gaga

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    celineboura.com

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  • Créer les futurs. Oui, parce qu’il y a autant de futurs possibles que d’individus sur Terre, et il ne s’agit pas de prédire ces futurs, ni de les subir… mais bien de les créer. Avec l’entièreté de ce qu’on est.

    C’est là que l’Histoire peut rencontrer l’innovation, au sens le plus pur du terme : créer ce qui n’a pas encore existé, mais qui est déjà présent dans l’air du temps, sur d’autres plans. Comment développer notre capacité à capter, imaginer, produire et traduire ?

    Dans ce nouvel épisode, je vous partage ma propre expérience, et la façon dont la Création déploie tout mon business model depuis 11 ans. Bon voyage :)

    --

    Petite nouveauté créative : j’accompagne désormais chaque épisode de podcast d’une playlist que vous pouvez découvrir sur Spotify, sur mon compte @celineboura. Mes 4 derniers épisodes et celui-ci ont donc chacun leur playlist, avec 11 titres éclectiques à découvrir à chaque fois. Une façon de prolonger l’expérience sonore par d’autres biais…

    Playlist Réinitialiser le système

    Playlist Épouser son corps

    Playlist Passer du travail à l’œuvre

    Playlist Recevoir mieux que prévu

    Playlist Créer les futurs

    Retrouvez-moi sur mon site laterrelecieletnous.com

  • Dans l'épisode d'aujourd'hui, je voulais initialement aborder les notions d’abondance et de croissance. Et puis ces mots sont tellement entendus, j’ai donc envie de vous amener à ces sujets par un angle plus subtil : l’art de savoir recevoir.

    Je le constate au quotidien, je suis face à des personnes extrêmement douées qui savent donner, donner, donner… ET qui ne savent pas ou peu recevoir.

    Ce qui leur bloque l’accès à beaucoup de choses : l’argent mais aussi les opportunités, les ressources, les bonnes rencontres au bon moment… Et quand on y met du « mieux que prévu », alors là on entre dans une sphère souvent inconnue.

    Recevoir au-delà de l’imaginable s’apprend,

    et c’est un art.

    Celui de faire co-exister

    le féminin et le masculin.

    Bon voyage !

    Retrouvez l'ensemble de mes ressources
    sur laterrelecieletnous.com

  • Passer de : à quoi ça sert ?

    À : qu’est-ce que ça sert ?

    De : à quoi je sers ?

    À : qu’est-ce que je sers ?

    On parle beaucoup de bonheur et bien-être au travail. Vous savez quoi ? Moi je n’y crois pas. Le bonheur et le bien-être ne sont pas des fins en soi. Et surtout ce sont des états passagers, finalement très tournés vers une idéalisation de la réalité.

    Quand on parle d’œuvre, on parle de s’inscrire dans quelque chose de bien plus grand que notre petit confort ou nos critères de réussite matérielle et psychologique. Ça ne veut pas dire aller à l’encontre de soi, bien au contraire.

    Pour moi ça veut dire :

    Au service de quoi je me mets ?

    Pour quel monde j’ai envie de donner mon temps, mon énergie, mon argent ?

    C’est l’objet de ce nouvel épisode de podcast.

    Bon voyage !

    Retrouvez-moi sur mon site

    www.laterrelecieletnous.com

  • L’âme se sert du corps pour nous parler.

    Le corps, c’est le réceptacle de toutes les énergies et informations qui passent en nous. À travers nous. Pour être redistribuées au monde.

    Alors on s’en fiche qu’il soit beau ou moche,

    Grand ou petit,

    Tonique ou flasque,

    Ici mon sujet ne sera pas esthétique, mais holistique.

    Parce que l’important c’est de ne pas oublier qu’on a qu’un corps et qu’il n’y a que lui qui nous accompagne du début à la fin de notre vie. Alors autant en prendre soin, et je vous propose même de pousser les curseurs plus loin : autant l’épouser.

    Pour en faire un véritable GPS et allié, dans nos processus de décision, de création et d'innovation.

    C’est le voyage que je vous propose aujourd’hui à travers ce nouvel épisode de mon podcast. Bonne écoute !

    Retrouvez-moi sur mon site www.laterrelecieletnous.com

  • 11 septembre. 20 ans plus tard. Et 10 mois après le dernier épisode… mon podcast est de retour sur les ondes. Version « nude » désormais : sans graphisme, sans générique, sans invité, sans filet.

    J’accepte d’habiter intégralement cet espace, du premier au dernier souffle, pour vous offrir de nouvelles mises en perspectives radicales. Étymologie du mot radical : qui revient à la racine.

    Créer à l’état pur. Rentrer dans des sujets aussi improbables qu’indispensables. Décoder. Réencoder. Pour faire bouger les lignes intimes et collectives… encore plus fort.

    Réinitialisons le système.

    De fond en comble 🖤

  • Ce vingt-cinquième épisode a une saveur particulière puisque je passe aujourd’hui de l’autre côté du micro, en étant interviewée sur un thème qui m’est très cher : « Honorer son art ».

    Épisode conçu sur "Somewhere only we know" de Keane

    Et c’est à Catherine Cianci que j’ai confié la mission de concevoir et animer cet épisode, à partir du thème que je lui ai proposé. Femme de médias, créatrice du Sommet des Entrepreneurs du Sensible, cliente de La terre, le ciel & nous depuis 2 ans, elle me semblait la personne la plus apte à capter et retranscrire la nouvelle étape que je rends publique aujourd’hui.

    « Mettre la création au centre,

    En faire une arme de construction massive,

    Ouvrir les portes de mon intimité

    et de mon processus de création »

    En effet, le 11 novembre prochain sortira 39 décembre, le voyage digital que j’ai créé, conçu et produit, et pour lequel je me suis littéralement mise à nu en tant que femme et artiste. Bien au-delà de la facette entrepreneuriale à travers laquelle je communique depuis 10 ans maintenant.

    « 39 décembre » est une expérience inédite à la frontière entre le visible et l’invisible, entre la sphère privée et la sphère publique, entre le ciel et la terre.

    Un voyage onirique et prospectif à destination d’un monde prêt à entendre le beau, parler l’humain et honorer le vivant.

    C’était initialement mon 3ème livre, écrit pendant le confinement. Un récit vécu dans la chair de mon histoire, aussi intime que sa portée est universelle.

    Pour aller au bout de mon dépouillement, et donc de mon processus créatif, j’ai choisi de le produire sous forme de voyage digital. Un voyage intérieur en mots, en images, en musiques, en voix, en émotions, en vibrations.

    « J’accepte maintenant que mon art

    a tout autant de valeur que ce que je peux

    faire avec mes clients. »

    Dans cet épisode, on parle ensemble de :

    La genèse de 39 décembre Le sens de ce titre (Re)mettre la création au centre : pourquoi c’est vital pour moi La façon dont je donne accès à mon expertise d’une autre façon L’impact sur mon écosystème Le fondu du polarités entre le gratuit et le haut de gamme Faire bouger les lignes du marketing en ligne Innover en devenant encore plus soi-même Monnayer mon art : un vrai changement de paradigmes Repousser les frontières entre le digital et le réel L’importance d’honorer ses élans et intuitions

    « Mettre à plat ma vision prospective du monde :

    ce que je souhaite dire et transmettre

    au-delà de l’entrepreneure

    que je suis. »

    Je remercie vivement Catherine pour cet épisode qui, je l’espère, vous éclairera davantage sur les innombrables passerelles à créer entre les monde invisible, artistique et économique.

    Pour réserver votre place pour 39 décembre, qui se déroulera du 11 novembre au 11 décembre 2020, c’est ici !

    Bon Voyage !

  • « 39 décembre » est un voyage onirique et prospectif à destination d’un monde prêt à entendre le beau, parler l’humain et honorer le vivant.

    C’était initialement mon 3ème livre, écrit pendant le confinement. Un récit vécu dans la chair de mon histoire, aussi intime que sa portée est universelle.

    Pour aller au bout de mon dépouillement, et donc de mon processus créatif, j’ai choisi de le produire sous forme de voyage digital.

    Pourquoi ?

    La profondeur de champ est indissociable de ce que je suis, fais et transmets. Mes mots tous seuls ne suffisent pas à retranscrire l'étendue de ce que j’ai à partager au monde.

    À l’heure où les frontières extérieures se referment à nouveau, je vous invite plonger à plonger ensemble dans un voyage intérieur en mots, en images, en musiques, en voix, en émotions, en vibrations.

    Ce trailer met en scène et en relief des personnes-clés dans mon univers, intime et/ou public, qui m’ont permis chacune à leur façon de prendre ma place en embra(s)sant mon art. Chacune des voix fait partie intégrante du voyage digital, je les remercie vivement de leur contribution.

    « 39 décembre » est une expérience inédite à la frontière entre le visible et l’invisible, entre la sphère privée et la sphère publique, entre le ciel et la terre.

    À partir du 11 novembre, sur le site dédié, 11 chapitres sous formes d’escales seront progressivement dévoilés, jusqu’au 11 décembre.

    Il sera question de mémoire du futur,

    d’héritage, de transmission,

    de deuil, de (re)naissance,

    de responsabilité…

    Il sera surtout question d’Amour.

    D’accepter d’entrer en vulnérabilité.

    Pour plus d’humanité partagée.

    Et parce que continuer à rêver demain quand tout devient incertain est peut-être notre seule issue : je vous invite réserver votre place dès aujourd’hui sur le site 39 décembre • Le voyage digital • Céline Boura

    Bon Voyage !

    Sur une musique d'Alicia Keys, "Good job"...

  • Dans ce vingt-quatrième épisode, je suis ravie de recevoir à mon micro Inès Leonarduzzi, CEO de Digital For The Planet, pionnière de l’écologie numérique, pour parler ensemble d’Incarner sa liberté.

    Episode conçu sur The Way • Macy Gray

    Cet épisode a un goût particulier pour moi car le jour où j’ai lancé mon podcast, le 1er octobre 2019, j’ai posé l’intention d’avoir Inès comme invitée à mon micro. 24 épisodes plus tard, nous y voilà !

    Pionnière de l’écologie numérique et tellement plus, je suis très heureuse de vous faire rencontrer aujourd’hui cette femme qui ne rentre dans aucune case, très en avance sur son temps, jamais là où on l’attend.

    « Le chemin le plus rapide ce n’est pas changer la société, c’est de s’affranchir soi-même » : le message d’espoir qu’elle porte et insuffle me paraît tellement essentiel à l’heure actuelle. J’aime son ambition, son humilité, le fait qu’elle ne s’excuse jamais d’exister, tout en étant d’une grande accessibilité.

    « Très tôt je me suis affranchie

    du regard des autres

    et j’ai cessé de m’excuser d’exister. »

    L’étymologie du mot incarner en latin, c’est in-carnarer, soit mettre dans la chair, et la façon dont elle pose son regard sur le monde et y prend sa place se résume en un mot que nous prônons chacune à notre façon : la liberté.

    Si vous ne la connaissez pas, ou peu, voici les grandes lignes de son parcours :

    Double cursus langues étrangères et lettres classiques DU en chinois mandarin Certificat Art Business à New York chez Christie’s Education Start up à Hong Kong dans l’événementiel et l’art École de management à Lyon Stratégie retail digitale chez LVMH Talent management Europe chez Kering Création d’une méthode de management agile prônant un rapport décomplexé à l’erreur Créatrice d’un salon de thé clandestin parisien, initialement ouvert à ses amis puis la presse s’est emparée du phénomène, devenu un spot pour les voyageurs, artistes et parisiens en tout genre Depuis 2017, CEO de Digital for the Planet, qui est à la fois une ONG et un cabinet de conseil qui accompagne les entreprises et les gouvernements à réduire leur impact carbone généré par leurs activités numériques, et qui sensibilise les citoyens à mieux comprendre ces enjeux d’un point de vue intellectuel et sociétal Fondatrice de The Wit, devenue tout récemment Preserve, un réseau en ligne qui enseigne à travers des masterclasses l’art de vivre bien et mieux.

    « Ce n’est pas tout de créer de nouvelles choses,

    moi ce qui m’intéresse c’est pourquoi

    on crée de nouvelles choses,

    est-ce qu’elles ont un sens ?

    C’est comme ça que je mène toute ma vie. »

    Dans cet épisode, on parle ensemble de légitimité, d’intuition, d’éducation, d’élégance relationnelle, d’Instagram, d’art, de poésie, de beau, de sens… de ne pas faire semblant pour ne pas oublier qui on est, et savoir dans quel monde on veut avancer.

    « Je n’ai pas appris à faire semblant

    et ça a contribué certainement

    au fait que je sais de quel côté je me trouve. »

    Bon Voyage !

  • Dans ce vingt-troisième épisode, j’ai le plaisir d’accueillir Mathieu Thomé, co-fondateur de Corporate Chaman, société qui a pour vocation d’apporter du soin en entreprise en éclairant l’invisible. Un programme de transformation global pour être acteurs du changement et révéler l'importance de la connexion à nos parts émotionnelle et spirituelle en entreprise.

    Episode conçu sur We sing in time • Faada Freddy

    Quand une chamane corporate rencontre un corporate chaman, leurs chemins ne peuvent que s’intriquer pour offrir au monde un épisode de podcast à saveur particulière, qui explore autrement les notions de sens, de croissance et de performance en entreprise.

    « Créer un terreau propice

    à de nouvelles façons de faire et de voir,

    basées sur nos 4 dimensions :

    physique, mental,

    émotionnel et spirituel. »

    Ou comment faire revenir l’entreprise à ses fondamentaux, à son moteur, à sa raison d’être, en permettant aux individus qui la composent de s’y relier par 4 dimensions : le physique, le mental, l’émotionnel et le spirituel.

    Avec deux approches très différentes et une sensibilité commune, j’ai souhaité inviter Mathieu pour qu’il nous partage comment il voit et incarne la nécessité d’un chamanisme contemporain en entreprise. Issu du milieu du conseil, des starts-ups et de la gestion d’influence, son expérience aux antipodes de la mienne est passionnante.

    Le fil d’or que l’on déroule aujourd’hui :

    L’invisible : un nouveau mode de relation qui inclut les émotions, les sensations, le symbolique Se délester de son armure : pourquoi, comment ? La notion centrale de prendre soin : l’importance de se (re)connecter à nos dimensions émotionnelle et spirituelle dans l’environnement professionnel Aller à la rencontre d’un Soi plus authentique, intègre et responsable

    « L’une des clés pour intégrer

    la notion de responsabilité,

    c’est d’accepter que ça prenne du temps

    de concilier le temps humain

    et le temps de l’entreprise. »

    Dans cet épisode, on parle ensemble de sa carrière commerciale, de son travail intérieur depuis une vingtaine d’années, d’engagement à relier des mondes et des dimensions « à priori » opposés, de remettre du sens, de l’unité et de l’humanité dans l’entreprise, d’animaux totem, de KPI, de magie, de rentabilité…et d’être à chaque instant le créateur de sa réalité.

    Bon Voyage !

    { Les paroles au début de l’épisode sont un extrait du discours de Steve Jobs à l’Université de Stanford en 2005. Voici leur traduction }

    « Votre travail va remplir une grande partie de votre vie,

    et la seule façon d'être pleinement satisfait

    est de faire quelque chose que vous estimez important.

    Et le seul moyen de faire quelque chose

    d'important est d'aimer ce que vous faites.

    Si vous n'avez pas encore trouvé,

    continuez à chercher.

    Ne vous arrêtez pas.

    C'est comme l'amour,

    vous saurez quand vous le trouverez.

    Et, comme dans toutes les formidables relations,

    ça ne fait que s'améliorer

    au fur et à mesure des années.

    Alors continuez à chercher

    jusqu'à ce que vous trouviez.

    Ne vous arrêtez pas. »

  • Dans ce vingt deuxième épisode, je suis touchée et honorée de recevoir à mon micro Malek Boukerchi, philosophe, conteur, anthropologue, ultra marathonien, pour aborder un sujet qui me semble essentiel dans la construction de demain : relier les extrêmes.

    Épisode conçu sur "Voyage" • Rivière Monk

    « Relier les extrêmes,

    c’est accepter d’être dans l’entre deux :

    cette capacité à basculer

    entre le confort et l’effort,

    à comprendre que l’incertitude

    est notre habitat certain. »

    Malek Boukerchi est un être hybride, d’une grande lucidité et humilité, que j’ai rencontré grâce à l’Institut des Futurs souhaitables. Spécialiste en intelligence relationnelle, il parcourt le monde, les mondes avec ses pieds, au nom d’une cause qui le dépasse.

    « Guetteur-tisseur de rêves » comme il se surnomme, c’est aussi un ultra-marathonien : il court des marathons allant jusqu’à 1 500 km dans des contextes extrêmes (déserts, glaciers…). Cette pratique l'emmène jusqu'aux confins du monde pour explorer les limites du possible et du dépassement de soi.

    C’est surtout un homme au grand cœur qui manie avec une aisance rare des concepts que j’ai souhaité qu’il nous rende accessibles : la relation au corps, à l’impermanence, aux mots et à l’humanité pour ouvrir nos consciences et amplifier nos actions à transformer la société.

    Apporter du fond, du sens et du liant, c’est ce qui nous relie tous les deux et cet épisode est une partition à 4 mains pour porter nos messages encore plus loin. En espérant que chaque mot trouve sa juste place dans vos réflexions – et réflections – actuelles.

    « Raconter des histoires,

    en ces temps de désagrégation du réel,

    c’est ce qui nous unit encore le plus,

    on a besoin de ça. »

    Dans cet épisode, on parle ensemble de courage, de vulnérabilité, de douceur, de résilience, d’impermanence, d’invisible, d’amour, de transmission, d’émerveillement, de ténacité… et que tout est toujours une question de regard : l’égard que l’on a vis-à-vis de l’autre.

    « Rien ne dure,

    Tout est entre deux,

    L’incertitude c’est l’état brut de la vie. »

    Bon Voyage !

  • Bienvenue dans ce vingt et unième épisode de Transmissions du futur, je suis très heureuse de vous accueillir en cette rentrée pour vous parler de… Devenir qui l’on est.

    Thème ô combien philosophique et pragmatique, parce qu’au vu de la mutation géante dans laquelle nous sommes tous, il me semble primordial de regarder en face ce que ça signifie, de le traverser ensemble.

    « J'avance un pas après l'autre

    avec une forme de confiance.

    Je ne sais pas où je vais...

    mais j'y vais."

    L’une des ressources qui m’aident à prendre des décisions et à grandir, c’est de m’écrire des lettres et/ou de m’enregistrer des audios de moi... à Moi.

    Je le fais en flux instinctif, sans préparation, sans filtre, sans relecture ni réécoute. Je laisse agir... et j’y reviens quelques semaines ou mois plus tard. Pour constater le chemin parcouru. Et celui qu’il reste à parcourir. Ce qui me stupéfait à chaque fois, c’est à quel point ces propos sont intemporels... et universels.

    Il y a un an, à la veille de changer de vie, je m’étais enregistrée un audio pour laisser derrière moi ce qui n’avait plus lieu d’exister, et ouvrir la porte à tout ce qui n’avait pas été prévu, et encore moins imaginé.

    En le réécoutant cet été, je me suis dit que je ne pouvais pas faire l’économie de le partager publiquement. Parce que je crois que la vocation de l’intime, c’est justement est de devenir intemporelle et universelle.

    Je l’ai réenregistré quasiment mot pour mot, 13 mois après, pour vous offrir un accès à la façon dont j’apprends à devenir qui je suis. Chaque jour, un mot après l’autre, un pas après l’autre, une forme de discipline d’introspection et de capacité à accueillir autre chose que ce que mon mental avait prévu ou imaginé.

    "Je crois qu'en fait

    c'est ça le Next Step :

    Garde de la place

    dans ton coeur

    pour l'inimaginable"

    Dans cet épisode, je parle de ce que mes 4 ans et demi au Cap Ferret puis à Bordeaux m’ont appris, de mon changement de vie vers Paris, de mes renoncements, mes affirmations, mes doutes, la façon dont j’apprends à faire corps avec ma peur, de sécurité intérieure, de foi, de reconnaissance, d’humilité… et de vivre chaque jour avec la conscience que je suis encore et toujours là… et que je me dois d’en faire quelque chose.

    Bon Voyage !

    { Les paroles du début sont extraites de « Bohemian Rhapsody », le film sur la vie de Freddy Mercury – le film culte de ma fille – et celles de la fin sont les mêmes en VO }

  • Bienvenue dans ce vingtième épisode de Transmissions du futur, aujourd’hui seule au micro pour vous parler de :

    « L’âme dans sa réalité la plus concrète :

    la façon dont elle nous aide à faire des choix,

    et donc, à nous engager. »

    Épisode conçu sur « Bloodflow » • Live
    Grandbrother

    S'engager avec le Vivant.

    S’engager à ne pas se laisser dépérir.

    À ne pas détruire ce qui nous entoure.

    À ne pas se laisser embarquer dans des choses,

    des situations qui ne sont pas honorables.

    Et parce que je m’engage à ça,

    Et parce que nous nous engageons à ça,

    Dans nos sphères les plus intimes,

    Ça nous engage publiquement.

    Ça nous engage avec nos clients.

    Avec nos proches.

    Avec nos projets…

    Ça m’engage, ça vous engage

    à ne pas trahir ce qu’on est venus faire,

    et vivre ici.

    Et aujourd'hui, ça devient fondamental, parce que c'est pas parce qu'on est pleinement dans la vie qu'on a à vivre, qu'on peut permettre à d'autres de faire de même, que ce soit à un enfant, un client ou un ami.

    Dans cet épisode, je parle de création, de vérité, de fulgurance, d’écouter ce que la vie est en train de nous dire, d’habiter son centre de gravité, d’accepter d’être en mouvement, d’exigence, de non-attente de validation extérieure, d’énergie de maître… et de pouvoir naviguer avec tout ça dans le flux instable et incertain du monde dans lequel on vit.

    Bon Voyage !

    { Les paroles du début sont extraites de la série Netflix LGBT « Les chroniques de San Francisco » – j’adore – et le livre dont je parle à la fin est « Les familles d’âmes » de Marie Lise Labonté }

  • Dans ce dix-neuvième épisode, je vous amène à réfléchir sur comment vivre avec la mort, en recevant à mon micro Jean-Luc Verreaux, co-fondateur de l'Institut des Futurs souhaitables, l’école de la réinvention à Paris.

    Épisode conçu sur « Juste Après (Live) »
    Fredericks, Goldman, Jones

    « La question ce n’est pas de savoir

    ce qu’il y a au bout du chemin,

    c’est de savoir ce qu’on fait du chemin. »

    Je suis très fière et très émue de pouvoir porter publiquement ce sujet qui me tient à cœur, et qui me semble incontournable au vu des récents évènements que nous avons tous traversés. Face à l’impuissance de la finitude, comment ouvrir le champ de futurs souhaitables ?

    Pour en parler, j’avais envie d’une voix, d’un vécu et d’une réflexion d’homme qui nous amène à envisager la mort sous un angle philosophique et socio-économique. Actuellement en formation Innovation, Prospective & Transformation des organisations au sein l’Institut des Futurs souhaitables, il m’a semblé évident d’aller connecter l’information à la source et vous la partager.

    Jean-Luc Verreaux a co-fondé l’Institut il y a 10 ans, avec Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, pour « imaginer demain à l’aune de ce qu’il pourrait être de mieux » . Formations, conférences, outils et ateliers y sont proposés pour s’évader en conscience vers un 2040 réussi. Ils sont dingues. J’adore.

    Psychologue de formation, après un parcours de DRH, Jean-Luc y assure aujourd’hui le management général, anime les dynamiques de groupe et valorise l’apprentissage d’un vivre ensemble riche des désaccords de chacun. Œil de lynx et parole précise, son regard sur la mort nous éclaire sur nos limites, et sur notre capacité à les transformer pour un meilleur à être et à devenir ensemble.

    « Regarder en face

    les limites du système,

    nos propres limites

    & imaginer ensemble

    des futurs souhaitables. »

    Dans cet épisode, on parle ensemble tout azimut de repenser nos modèles de développement, de croissance infinie dans un monde fini, de stratégies d’évitement du vide, de reconnexion au vivant, de contribuer collectivement à quelque chose qui nous dépasse, d’alignement avec ses valeurs, de qualité de relation à l’autre, de sortir de nos rythmes de vie effrénés, de regarder en face nos zones d’ombre… conditions sine qua none pour intégrer la mort dans la vie, et prendre conscience de sa préciosité.

    « Ce n’est pas de la morbidité

    de se connecter à sa propre mort,

    c’est au contraire une opportunité

    de dingue de pouvoir choisir sa vie

    et de la vivre pleinement. »

    Bon voyage !

    ( La voix que vous entendez au début et à la fin du podcast est celle de Lambert Wilson, dans un extrait du film "L'Odyssée" où il tient le rôle de Jean-Jacques Cousteau. )

    (( Cet épisode est dédié à Sylvie Estrade, une femme chère à mon cœur dont j'ai appris le décès au moment où je finissais de monter cet épisode. ))

  • Pour ce dix-huitième épisode, je vous emmène explorer le thème "Habiter l'espace" en compagnie d'Anna Dubessy, designer corps & objet.

    Épisode conçu sur « You’re the one that I want » • Lo Fang

    « Développer une posture critique et créative

    pour dépasser la forme, l’apparence,

    s’interroger sur l’usage,

    questionner la norme sociale

    pour cultiver l’art de vivre et d’habiter »

    Anna est une auditrice de mon podcast, que j’ai découverte grâce à Édouard Malbois, invité de l’épisode 3 sur le thème Chaos & Utopie. Elle avait rédigé avec lui sur LinkedIn une tribune sur sa façon d’introduire l’utopie en entreprise, à travers son métier qu’elle qualifie d’alchimiste de l’ordinaire.

    J’ai adoré la profondeur et la puissance de ses mots, son regard de designer et de poète qui réinterroge toutes nos habitudes, nos croyances et nos conditionnements, pour nous amener à vivre la notion d’espace comme des prolongements de notre Soi.

    Car l’espace n’est pas seulement le lieu : c’est aussi notre corps, c’est le monde qui nous entoure, dans la lignée du « ma », concept spatio-temporel japonais, qui désigne à la fois l'intervalle, la durée, le temps qui ne sépare pas, mais qui au contraire relie deux polarités.

    À l’heure du confinement puis du déconfinement, j’ai trouvé nécessaire d’interroger notre façon d’habiter l’espace qui, par la force des choses, a été pulvérisée et nous oblige à repenser notre habitat, notre temps, notre lieu et notre lien au travail, aux enfants, au quotidien.

    « Cultiver l’approche poétique

    d’une vie qui n’est plus prosaïque

    mais qui devient une vie de choix. »

    Quel regard, quelle émotion, quelle direction souhaitons-nous donner à notre espace du dedans et du dehors ? À notre environnement ? Pourquoi y mettre son âme est essentiel ? Comment quitter la norme sociale pour habiter sa justesse ? Et cultiver l’écologie, au sens le plus large du terme ?

    Ce sont les fils d’or de notre échange du jour.

    Bon voyage !

    « A-t-on vraiment besoin de plus,

    quand on est dirigeant,

    que le vide pour réfléchir,

    décider et faire les 100 pas

    pour pouvoir se concentrer ? »

    Georges Perrec

  • Dans ce dix-septième épisode, Céline Boura reçoit Corinne Rocca, artisane de la voix et de la scène, sur le thème "Faire entendre sa voie".

    Épisode conçu sur “A change is gonna come » de Brian Owens & Michael McDonald.

    « Envisager son corps
    comme un instrument de musique,
    un ensemble et une organisation
    subtile et délicate qui va faire
    qu’à un moment,
    on va sonner juste. »

    Pour ce dix-septième épisode, je vous emmène découvrir Corinne Rocca, artisane de la voix et de la scène, sur le thème « Faire entendre sa voie ».

    J’insiste sur le e à voie parce que bien plus que de voix, nous parlons ici d’incarner son identité, de porter ses messages et de créer une vibration collective pour accompagner la métamorphose du monde – et notamment celle des entreprises.

    Corinne est d’abord une chanteuse et musicienne qui a vécu mille vies. Depuis 2007, elle met son art au service des ouvertures de voix et voies auprès de hauts dirigeants et équipes managériales, qui font confiance à son excellence autant technique que relationnelle.

    C’est la raison pour laquelle je lui fais confiance depuis 2012, depuis ce jour où elle m’a contactée par le biais de mon blog pour me dire qu’elle était interpellée par la musicalité de mes mots. Il n’en fallait pas plus pour créer une puissante connexionentre nous, qui grandit et s’étoffe avec le temps puisque j’ai fait appel à elle à plusieurs reprises :

    · Mes premières prises de parole en public en 2012

    · La célébration des 2 ans de mon entreprise cette même année où j’ai chanté face à mes 40 invités

    · Ma conférence TEDx « Faites confiance à votre intuition » en 2017

    · Ce confinement et les cours de chant qui ont libéré un nouvel espace de création en moi – je vous en offre la quintessence dans cet épisode

    « Au commencement il y a
    une énergie, un feeling, un mood.
    Tout ce qui se construit autour
    c’est du sur-mesure.
    On ne va pas apprendre,
    on va d’abord respirer. »

    Dans cet épisode, on parle de :

    · L’importance de sentir à sa place à l’intérieur de soi

    · Et d’avoir une intention généreuse pour dire les bons mots

    · Ne pas chercher à faire de l’effet face à un public

    · Mais d’oser être dans son authenticité

    · La façon dont nous avons co-construit mon TEDx talk

    · L'impact de ses influences musicales nord-américaines dans son travail

    · Puiser sa singularité dans son parcours de vie

    · Apporter cette ouverture en entreprise… véritable levier pour plus de richesses partagées

    Bon voyage !

    « On arrête le mental
    et on va chercher le tripal ! »

  • « Que voit-on quand on voit l’invisible ?

    Et comment peut-il nous aider

    dans la métamorphose du monde

    qui nous est demandée ? »

    Épisode conçu sur la BO du film "J'ai perdu mon corps" • César 2020 du meilleur film d'animation et de la meilleure musique

    Pour ce seizième épisode de « Transmissions du futur », je vous emmène avec moi en voyage dans l’espace entre, à travers et au-delà des mots et du tangible : l’invisible. Curieux mot qui regroupe tant de notions, et se recoupent toutes autour du même noyau : l’Amour.

    Mais quel intérêt de faire cohabiter l’Amour avec toutes les préoccupations dans lesquelles nous sommes plongés en ce moment ? Et bien justement. Au fil de mes mots, je vous invite à développer votre regard, votre écoute, votre ressenti pour vous ouvrir à des dimensions subtiles mais essentielles pour dénouer toute situation.

    On parle de se (re)connecter à sa fréquence originelle et de son impact concret sur tous vos actes, vos décisions, jusqu’à votre contribution à la grande marche du monde, qui a plus que jamais besoin de notre co-opération pour se réinventer.

    « En étant pleinement à son âme,

    On fait mieux fonctionner l’âme du monde. »

    Je lève le voile sur la façon dont moi je vis et vois l’invisible, comment j’aide mes clients à l’intégrer dans leur réalité entrepreneuriale, comment vous pouvez en faire un levier de transformation et de transmission, sans tout changer… simplement à vous branchant à ce qui vous rend vivant.

    Belle odyssée !

  • Dans ce quinzième épisode, Céline Boura reçoit Anouk & Vanessa Engels, deux clientes qui partagent leur expérience du processus Amour & Argent.

    Épisode conçu sur Makambo • Geoffrey Oryema

    « Ce que j’ai appris et intégré dans mes cellules

    m’a fait avancer de façon spectaculaire.

    Chaque ouverture de porte

    est une fabuleuse opportunité

    de grandir et de traverser ses peurs. »

    Aujourd’hui je vous propose un partage intimiste à vocation universelle, pour rassembler deux polarités aussi opposées que l’Amour et l’Argent. Comment mettre l’une au service de l’autre pour en faire un vecteur d’expansion ?

    C’est la question que je me suis posée il y a 9 mois, sentant l’impératif d’agir sur des sujets-clés d’évolution de société, et à laquelle j’ai voulu activement apporter des réponses.

    J’ai donc créé un format de transformation collective sur ce thème, pour accompagner des entrepreneurs (femmes et hommes) à se réapproprier ces deux pouvoirs et à en faire une réelle arme de construction massive. J’ai fait 3 éditions à Paris, 1 à Montréal, puis 2 groupes suivis sur la durée.

    Avec des résultats détonants à chaque fois. C’est ce que je vous partage dans cet épisode, en invitant deux entrepreneures qui ont vécu le processus de l’intérieur à nous raconter leur (r)évolution face à l’Amour et à l’Argent. Et l’impact concret que ça a eu dans leur vie, leur entreprise, leur contribution aux mondes.

    « J’ai surtout appris à accepter qui je suis,

    à accepter ma puissance,

    accepter mon côté maternel,

    accepter de faire de la place à l’homme,

    accepter ma mission et ma révolution...

    accepter de recevoir de l’amour et de l’argent. »

    À 30 ans, Anouk est entrepreneure depuis 7 ans déjà, et accompagne le développement de ses clients par ses talents d’écriture, de photographie et par la création d’une école pour apprendre à devenir soi-même. Quand je lui ai demandé de m’épeler son nom de famille, elle m’a dit « Moi c’est Anouk uniquement. Comme Beyoncé. » :)

    Derrière sa caparace d’introvertie surdouée, se cache une artiste avant-gardiste qui s’est complètement révélée en s’autorisant à investir dans Amour & Argent. Portée par l’énergie du groupe (nous avons travaillé à 5 pendant 6 mois), elle a ouvert une toute autre dimension de sa transmission.

    "Je n’ai plus de choix à faire

    entre Amour et Argent.

    Les rencontres, les évidences,

    les synchronicités me portent vers moi,

    ce qui m'ouvre des portes inattendues

    dans le milieu de la finance…"

    Vanessa Engels est créatrice de la communication respiratoire, concept né pendant de ce processus ensemble. Elle développe depuis 15 ans une approche pour aider les gens à libérer leur respiration et ainsi à libérer leur vie. Elle a souhaité prendre part à Amour & Argent pour connecter sa puissance visionnaire et l’intégrer concrètement à la croissance de son entreprise.

    Aujourd’hui son ambition est de faire respirer la planète entière. Et c’est plus que jamais le moment. Notre travail toutes ensemble, démarré le 12 septembre dernier, a pris fin le 12 mars et s’est clôturé par l’enregistrement de cet épisode. Juste avant que la moitié du monde entier ne soit appelée à se confiner.

    Mieux respirer, mieux vivre, mieux aimer, mieux donner et recevoir…

    C’est tout le sens de notre épisode à 3 voix.

    Bon Voyage !

  • Dans cet épisode spécial, Céline Boura, chamane corporate et créatrice du podcast, prend son micro pour partager sa vision et son expérience de l’incertitude.

    Épisode conçu sur Quelques mots d'amour • Michel Berger

    « Le superflu m’embarrasse

    Hier nous en débarrasse

    Demain devient vertigineux

    Alors dans cet entre deux

    Je nous donne la latitude

    D’explorer toutes nos incertitudes. »

    Je vous souhaite la bienvenue dans ce deuxième épisode spécial où je prends mon micro seule, après avoir reçu dans ce podcast 18 personnes – 14 épisodes, deux dans le premier épisode, deux dans le prochain !

    En ces temps d’incertitudes, c’est plus que jamais le moment de se réinventer, en proposant du fond, des ouvertures de conscience et des pistes de réflexion pour construire l’entre-deux mondes.

    Un grand merci pour vos retours très encourageants suite à mon épisode Traverser le vide, publié il y a 15 jours en tout début de confinement. Je poursuis aujourd’hui avec un thème totalement complémentaire : embrasser l’incertitude, embraser l’incertitude.

    Vous comprendrez à l’écoute de cet épisode que le choix de ces deux mots ensemble a une signification très particulière pour moi, et que c’est encore une façon de rassembler mes polarités. Nos polarités.

    « Les choses ne se passent jamais

    comme prévues. »

    Alors sur quoi s’appuyer pour transformer au mieux ce que nous sommes tous en train de traverser ? Comment rendre vivable et fertile cette page blanche qui se présente à nous, ne nous laissant pas d’autre choix que de l’accepter ?

    Dans cet épisode spécial again, je vous parle de l’importance de « surrender », d’arrêter de chercher des coupables, de prendre ses responsabilités, de repenser son rapport au monde, de libérer la parole , de colère et d’impuissance à mettre au service de la création, d’être exigeant avec soi, de toucher son non-négociable… et de l’infuser, plus que jamais, dans nos foyers, nos entreprises et nos gouvernements.

    Bon voyage !