Episódios
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Dans Gargantua, l'œuvre emblématique de François Rabelais, l'image joue un rôle clé dans la manière dont l'auteur construit un univers où l'exagération et la caricature sont omniprésentes. L'idée de "l'image comme effet de loupe" peut être interprétée comme une métaphore de cette amplification grotesque des personnages et des situations.
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Dans la série de 6 tapisseries de la "Dame à la licorne », chacune des pièces représente de manière imagée les cinq sens : le goût, le toucher, l’ouïe, l’odorat, la vue… La 6ème et dernière tapisserie, "À mon seul désir", représenterait un dernier sens : celui du coeur.
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Estão a faltar episódios?
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Dans sa peinture « L’image disparait », Salvador Dalí nous offre une réflexion sur l’intermittence des images et leur métamorphose. Cette image double superposant à la fois la lectrice de Vermeer et un portait de Velasquez met en lumière deux images renvoyant à deux peintres décisifs pour Dalí.
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L’image que l’on se fait d’un individu nous touche et nous émeut. Elle installe une proximité entre nous et appelle à notre sensibilité. Elle fait jaillir une forme d’humanité. Et si l’interrogation du monde et d’autrui par des images est un outil de connaissance, n’a-t-elle pas aussi une vertu humanisante ?
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Dans « Clair de lune », Verlaine s'interroge sur le lien entre l'âme et le paysage. L'âme est semblable à un paysage de mots qui renvoie à un tableau... et le paysage ne peut-il pas alors avoir le statut d'image ?
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Une image peut en cacher une autre ; elle peut faire écran, masquer. Dans L'éloge du maquillage, cet artifice est encensé par Charles Baudelaire. "L'image écran" ne serait-elle pourtant pas un paraître frelaté ?
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Passage en revue de vos ultimes questions avant le jour J !
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Dans cet épisode, nous revenons pas à pas sur la logique du plan et sur l'importance des transitions entre ses différentes parties pour arriver à une conclusion sur la fin de "La Violence".
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Prendre le temps d'analyser et d'écouter le sujet afin d'identifier précisément ce qu'il évoque en vous. C'est en adoptant une méthode d'analyse rigoureuse que vous pourrez cerner tous les aspects de "La Violence"
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À quelques jours du début des épreuves écrites, l'idée de ce podcast est de vous aider à consolider vos savoirs et être assuré(e) de bien les maîtriser (notamment le concept de "Violence" et les concepts associés).
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Auteur emblématique du XVIe siècle, Rabelais a écrit la démesure et l'excès au travers de ses œuvres. Dans Gargantua, l'outrance et la retenue se côtoient sans cesse ; loin du manichéisme, les deux extrêmes servent un propos souvent grotesque, mais jamais simpliste. La violence sociale, politique, voire religieuse, est ainsi dépeinte avec beaucoup d'efficacité et de force.
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Macbeth, "pièce maudite" de Shakespeare réputée injouable, a été écrite et présentée à la cour d'Angleterre au début du XVIIe siècle dans un contexte politique trouble. Elle offre une véritable réflexion sur la mécanique de la violence en politique ; le régicide qui survient au début de la pièce entraine par la suite tout un ensemble d'atrocités...
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La violence insoutenable des camps, "par-delà le dicible" d'après Primo Levi, s'apparente à une négation de l'humanité. Tout dans le récit de l'écrivain italien est violence : l'expérience des camps bien sûr, mais aussi le fait d'en sortir et de témoignage de l'horreur, quand la norme était précisément d'y mourir.
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Alfred de Musset, dans Lorenzaccio, écrit une pièce qui reflète sa résignation et la violence qui l'habite ; cette conviction de n'avoir que peu d'emprise sur le monde qui l'entoure.
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Si le libertinage est une pratique qui vise à s'affranchir des contraintes de la société, les deux principaux protagonistes du roman épistolaire Les liaisons dangereuses ont néanmoins une volonté farouche de refuser les lois de la nature et de ne rien laisser au hasard...
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Dans la célèbre fable "Le loup et l'agneau", Jean de la Fontaine rappelle que la raison du plus fort est toujours la meilleure. Elle est violente tant pour l'histoire intrinsèque qu'elle décrit, le champ lexical utilisé et la morale exposée.
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La violence peut être ritualiser, filtrer, par l'art et en particulier par la danse. Le tango, à titre d'exemple, est à l'origine une danse particulièrement imprégnée par la violence. C'est une catharsis qui permet aujourd'hui à la bourgeoisie de s'identifier le temps d'une danse à des personnes peu fréquentables.
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Admirateur des surréalistes, George Bataille, auteur, philosophe, juge dans "La part maudite" que la dilapidation de l'énergie (fête, sacrifice, guerre) a toujours été structurante dans la vie de l'homme. Cette violence ancrée en nous est une fin en elle-même.
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Sartre postule que l'être humain ne peut compter que sur lui-même. Les "salauds" conçoivent leur existence comme nécessaire et celle des autres comme contingentes.
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La violence symbolique est, selon Lévi-Strauss, celle qui consiste à présenter comme universel ce qui est particulier. Les prémices de cette violence provient de la Grèce antique, qui qualifiait de barbare ceux qui n'étaient pas comme eux. Dans Tristes tropiques, Lévi-Strauss regrette que ses contemporains occidentaux adoptent le même dédain à l'égard des autres cultures. Dans la même période, Bourdieu dépeint la violence symbolique comme une violence masculine intériorisée par les femmes.
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