Episódios
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Dans cet épisode qui sera un peu plus sonore que d'habitude, on s'intéresse à George Blaha, play-by-play voice des Detroit Pistons à la radio et à la télévision depuis 1976.
Si vous regardez un match des Pistons sur le NBA League Pass ou même simplement les résumés des matchs de Detroit, vous avez donc entendu la voix de George Blaha.
Parler de George Blaha, c'est parler d'un commentateur qui a absolument tout connu à Detroit, entre les grands joueurs comme Isiah Thomas, Grant Hill ou Chauncey Billups et les grands moments comme les 3 titres de 1989, 1990 et 2004. En réalité, Blaha est la seule personne de l'organisation à être présent depuis si longtemps
Les joueurs ont changé, les coachs ont été remplacés, les GM se sont succédés, même les propriétaires ont bougé mais George Blaha lui est toujours là. Alors cet épisode sera l'occasion de l'écouter une nouvelle fois, tout en passant un bon moment et en apprenant quelques trucs.
📺 Cette saison, les Chroniques de Motor City sont affiliées au NBA League Pass. Si vous souhaitez profiter du NBA League Pass et soutenir le podcast, rendez-vous ici : https://nba.sjv.io/c/4923266/1490605/16284
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Dans cette Escale à Forest City, on s'attaque à Ted Stepien, propriétaire des Cleveland Cavaliers de 1980 à 1983, courte période qui lui a permis de devenir le pire propriétaire de l’ histoire de la NBA.
Ted Stepien, c’est un personnage extrêmement controversé, qui a eu des mauvaises décisions sportives, qui a changé trop régulièrement de coach et qui a mis le futur de sa franchise en péril. A cause de lui, les Cavaliers ont raté un nombre incroyable de joueurs talentueux et pire auraient pu changer de nom ou même déménager.
Dans son besoin de gagner immédiatement, Ted Stepien a sacrifié de nombreux choix de draft des Cavaliers, menaçant l'avenir de sa franchise à moyen terme. La destruction des Cavs était tellement proche que la NBA a du intervenir, créeant ensuite une règle qui porte son nom pour éviter que d’autres propriétaires ne fassent les mêmes erreurs que lui.
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Estão a faltar episódios?
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Pour cet épisode, retour dans la Motor City, direction la saison 2006-2007, plus principalement entre janvier et mai 2007, période où on pouvait trouver dans le roster des Detroit Pistons un certain Chris Webber.
Peu de gens s'en souviennent mais le Hall of Famer Chris Webber, surtout connu pour ses années aux Kings, a fait une demi-saison à Detroit, lui le natif de la Motor City.
En débarquant à Detroit, Webber n'était plus le grand joueur qu'il était au début des années 2000 mais son apport pouvait changer la saison des Pistons, à la manière d'un Rasheed Wallace en 2004.
Pendant 40 matchs, Webber a été titulaire dans cette équipe qui a atteint les finales de conférence à l’Est, cette fois-ci pour la 5eme année consécutive. Dans ce podcast, on parlera donc de l’expérience Webber à Detroit dans le contexte de cette saison 2006-2007, qui a marqué le début du déclin pour les Pistons.
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Podcast imprévu pour vous parler de la recente affiliation des Chroniques de Motor City avec le NBA League Pass.
NBA France, que je remercie, m'a contacté pour faire la promotion du NBA League Pass. Un abonnement via le lien des Chroniques = 10% pour le créateur.
Au delà de cet éventuel contribution, c'est surtout le premier vrai contact avec la NBA et la perspective du futur qui m'a poussé à dire oui ! Et ej vous explique tout dans ce podcast.
Si vous souhaitez profiter du NBA League Pass et soutenir le podcast, rendez-vous ici : https://nba.sjv.io/c/4923266/1490605/16284
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Escale à Twin City aujourd'hui pour un voyage à Benton Harbor, Michigan, où nous parlerons de la House of David, une secte religieuse israélite.
Si nous abordons ce sujet dans le podcast, c'est que cette secte a utilisé le basketball pour se faire connaitre : au début des années 1900, la House of David a envoyé des équipes de baseball et de basketball faire des matchs un peu partout aux Etats-Unis pour faire connaitre leur croyance !
En utilisant le levier du basket, la House of David a reussit à recruter plusieurs centaines de membres, qui venaient de partout en Amérique, mais aussi d’Europe et d’Asie, qui ensemble ont développé une vraie communauté économique qui a permis à la ville de Benton Arbor de connaître un vrai développement.
Dans ce podcast, nous revenons donc sur cette histoire assez incroyable, sur le fonctionnement de la secte mais également des dérives qu'elle a connue...
Pour aller plus loin :
The Last Days of the House of David THE HAIRIEST TEAM OF ALL Les ruines et l’histoire de cette secte m’ont jeté un sort📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Aujourd'hui je vous propose de parler de Rip Hamilton, membre incontournable de la Goin To Work Era, équipe des Pistons qui dominait la conférence Est au milieu des années 2000.
Alors contrairement aux joueurs de l’ombre qu’on évoque habituellement dans ce podcast, Rip Hamilton est immensément plus connu. Champion avec Detroit en 2004 bien sur, 3 fois All-Star, maillot 32 retiré dans la Motor City et évidement ce fameux masque qui a beaucoup fait pour la notoriété de Rip.
Mais si vous pouvez le reconnaitre d’un coup d’oeil, est-ce que vous connaissez réellement Richard Rip Hamilton ? Derrière un Ben Wallace plus iconique, un Rasheed plus exubérant ou un Billups plus présent médiatiquement, Rip Hamilton reste toujours en retrait
Dans cette Chronique, on regarde donc qui se trouve vraiment derrière ce fameux masque pour vous faire rencontrer le vrai Rip Hamilton, l'importance qu’il avait pour les Pistons de cette époque-là et les zones d’ombres qui ont aussi assombri son passage à Detroit.
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Pour ce podcast, Escale à America's Finest City, à San Diego pour s'intéresser à son éphémère équipe de basket de ABA les San Diego Conquistadors.
Avec seulement 3 saisons entre 1972 et 1975, et une demi finale de conférence, cette équipe n'a rien de spécial à premiere vue. Pourtant le temps d’une saison, les San Diego Conquistadors ont été coaché par le mythique Wilt Chamberlain.
Immédiatement après son passage aux Lakers, Wilt Chamberlain est effectivement parti coacher cette toute petite équipe de ABA. Et bien évidemment dans cette ABA en constante agitation, où il se passait un milliard de choses, où les franchises disparaissaient et apparaissaient chaque saison, les choses ne se sont pas passé exactement comme attendues.
Dans ce podcast, on parlera des Conquistadors de San Diego, de comment cette équipe s’est retrouvée dans le paysage ABA et surtout comment elle a reussit à attirer Wilt Chamberlain. Vous verrez que le projet de base était bien plus ambitieux que ca mais qu’il y a eu beaucoup d’imprévu dans cette histoire, à commencer par Wilt lui-même qui ne venait pas que pour coacher initialement...
Pour aller plus loin :
Remember The ABA : San Diego Conquistadors 9/26/1973 - Conquistadors sign the "Big Dipper Chamberlain had one of the craziest "long distance" head-coaching jobs that resulted in him getting sued by the Lakers📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Podcast époque Bad Boys mais avec une petite subtilité puisqu'il n'y aura pas d’Isiah Thomas, de Joe Dumars ou de Bill Laimbeer dans cet épisode qui sera au contraire consacré à Fennis Dembo, champion NBA en 1989 pour sa saison rookie qui a la particularité de n’avoir joué que cette seule et unique saison en NBA, pour un total de 31 petits matchs, la totalité comme remplaçant.
Si à première vue, le sujet semble manquer d'intérêt, Fennis Dembo a toute sa place dans les Chroniques de Motor City, tant sa carrière évoque à merveille le joueur tombé au mauvais endroit, au mauvais moment. Toute sa carrière, Fennis Dembo a été à contretemps : il a explosé un an trop tôt à l'université, il est arrivé en NBA dans une équipe qui n’avait pas besoin de lui, il s'est accroché trop longtemps au mauvais bon wagon et a finit dans de drôles de situations.
Dans ce podcast, nous irons au dela de son unique saison en NBA, puisque Dembo a beaucoup de choses à raconter, notamment en NCAA où il est sorti de nul part mais aussi après avec des passages très très agités dans des clubs un peu partout dans le monde, dont l’un chez nous en France à la Chorale de Roanne.Pour aller plus loin :
[Portrait] Fennis Dembo, doux dur et dingue ! I’m a former NBA champion – I now drive a bus around San Antonio and people have no clue who I am THEY'RE JUMPING FOR JOY📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Aujourd’hui, nous faisons escale à Speedy City, surnom de la ville d’Indianapolis, maison des Pacers de l'Indiana, pour un épisode assez spéciale puisque ce n’est pas un homme qui sera à l’honneur mais bien une femme, Ann Meyers, pionniere du basket pour avoir été la première femme à signer un contrat en NBA.
Même si Ann Meyers ne jouera jamais un match officiel dans la Ligue, elle a marqué l'histoire de ce sport et a ouvert les portes de la NBA à de très nombreuses femmes qui occupent aujourd'hui des postes dans beaucoup d'organisation.
Dans cette Escale à Speedy City, on va parler du cheminement qui a mené les Pacers à signer Ann Meyers. Est-ce qu’ils avaient de vrais plans pour elle ou est-ce que c’était un coup marketing avant l’heure ? En retraçant la carrière d’Ann Meyers, qui l’a mené à cette fameuse signature de contrat, nous essayerons de répondre à ces questions en prenant en compte le contexte de l'époque.
Pour aller plus loin :
40 years after trying out for the Indiana Pacers, Ann Meyers is still blazing trails Ann Meyers, la pionnière oubliée Women's Basketball Has Never Been Bigger. Ann Meyers Drysdale Is a Major Reason Why📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Après une longue pause, les Chroniques de Motor City sont de retour aujourd’hui pour un épisode un peu spécial dédié à Kent Benson, que peu de personne associe à Detroit, malgré ses 7 saisons et 398 matchs dans la Motor City. Sans surprise, puisque Ken Benson est surtout connu pour un fait beaucoup moins glorieux, antérieur à son passage à Detroit.
Au dela de ses 680 matchs et ses 12 saisons en NBA, Ken Benson est surtout un 1er choix de draft qui illustré après seulement 2 minutes de jeu lors de son premier match NBA en frappant Kareem Abdul Jabbar, qui venait de remporter son 5eme titre de MVP la saison précédente. Cette bagarre poursuivra Benson pendant le reste de sa carrière, particulièrement après qu'il se soit révélé etre un bust pas à la hauteur des attentes.
Dans ce podcast, je vais me servir de cette accroche un peu honteuse pour vous raconter les débuts très tumultueux de Ken Benson en NBA et faire un tour d'horizon de sa carrière, extrêmement intéressante bien qu'étrange, poursuivi par son statut de premier choix de draft raté, qui a toujours créer chez les fans et les observateurs de la déception et donc qui n’a jamais vraiment laissé Benson en paix.
Pour aller plus loin :
'Why bring that up now?': IU's Kent Benson was punched by Kareem Abdul-Jabbar in NBA debut "He puts on a big act like he was hurt"📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Dans cette escale, je vous raconte l’histoire de la création des Vancouver Girizzlies et tous les problèmes que cette franchise a rencontré pendant ses 6 saisons en NBA. Pendant chacune de ces années, rien ne s'est passé comme prévu, au point où la franchise a du finalement déménager et partir loin dans le Tennessee, direction Memphis
A Vancouver, les obstacles étaient nombreux, entre la difficulté d’implanter la NBA dans un nouveau territoire, le manque d’attractivité du Canada de l’époque et toutes les subtilités qu’impliquait le fait d’être dans un autre pays que les USA.
Pourtant l'’histoire des Vancouver Grizzlies reste très intéressante, principalement puisqu'il s'agit aujourd'hui du modèle de tout ce qu’il ne faut pas faire pour une équipe qui débarque en NBA, même si l'’amour de ses fans ne s'est jamais éteint.
Pour aller plus loin :
Saga Grizzlies (#1) – La genèse d’une franchise sortie de nulle part LE FIASCO DES VANCOUVER GRIZZLIES, LA PIRE ÉQUIPE DE L’HISTOIRE ? The Long-Forgotten First Chapter of the Grizzlies What really happened to the Vancouver Grizzlies?📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Avant les Detroit Pistons de Ben Wallace, Chauncey Billups et Rip Hamilton, avant le titre de 2004 et les 6 Finales de conférence consécutives, bref avant la Goin To Work Era, il y a une saison très intéressante : la saison 2001-2002.
Personne n’en parle jamais mais cette saison-là est cruciale pour les Pistons : c’est la seule vraie saison entre l’ere Grant Hill et la Going To Work Era. C’est la saison juste avant le fameux été 2002 qui a fait venir Billups, Hamilton et Prince. Et c'est finalement la saison qui permis aux Pistons de poser les fondations du titre de 2004.
Dans ce podcast, je vous propose de parler de cette période pré-Goin To Work Era, qui est largement sous estimée par les observateurs du basket et donc sous documenté. Pourtant entre les 50 victoires, le premier titre de Division depuis 1990, la première série de playoffs remportée depuis 1991 et la myriade de trophées individuel, il y a des choses à raconter !
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Oscar Robertson, connu pour avoir été l’un des joueurs les plus complets de l’histoire de la NBA, longtemps recordman du nombre de triple double en NBA et premier joueur à avoir réussi une saison en triple-double de moyenne avec 30,8 points, 11,4 passes décisives et 12,5 rebonds en 1961-1962 est aussi célèbre pour une contribution bien plus importante pour le basket puisque il est l’initiateur de la free-agency en NBA.
Avant son combat dans les années 70, les joueurs n’avaient pas le droit de quitter leur équipe avec qui ils étaient lié à jamais. Alors que dans le même temps, les propriétaires avaient le droit de faire ce qu’ils voulaient des joueurs et se permettaient de les échanger n’importe quand.
Et tant que président de l’association des joueurs, Oscar Robertson va se battre pour changer cette règle, et au terme d'une procédure longue de 6 ans, qui écornera son image, Oscar Robertson va battre la NBA et changera le basket à tout jamais.
Grace à lui, les joueurs sont enfin libres et ne sont plus des marchandises, obligeant les propriétaires à lâcher du lest, ce qui profitera finalement à la NBA qui commencera là la starification de ses joueurs
Dans cette Escale à Queen City, on rend hommage à Oscar Robertson, personnage central de la NBA, autant pour ses performances sur le terrain que pour son engagement en dehors.
Pour aller plus loin :
OSCAR ROBERTSON RULE OSCAR ROBERTSON CONTRE LA NBA : L’HISTOIRE D’UNE LUTTE OUBLIÉE. Oscar Robertson entamait son combat pour créer la « free agency »📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Reggie Bullock, membre des Pistons entre 2015 et 2019, a énormément contribué aux bonnes équipes des Pistons de cette période grâce à son jeu sans ballon, sa défense ou son shooting. Mais dans ce podcast, pas de jeu, puisque nous allons parler de son impact hors terrain, Reggie Bullock étant devenu au fil des années une figure de la défense des droits des personnes LGBT.
Malheureusement si Reggie Bullock s'est à ce point engagé pour la cause, c’est au travers d’une tragédie à savoir la mort de sa soeur Mia Henderson, né homme mais identifié femme qui était donc une personne transgenre et qui a était assassiné pour cela en 2014. A l'époque rookie chez les Clippers, Reggie Bullock a pris le temps de comprendre cet univers et s'engage depuis sans relâche pour lutter contre la discrimination et la haine dont sont encore victimes les membres de la communauté LGBT aux Etats-Unis.
Dans ce podcast, nous reviendrons sur le cheminement intellectuel de Reggie Bullock, sur ces difficultés à comprendre ces questions de genre et nous reviendrons sur les actions qu'il a mené avec les Detroit Pistons. Ce podcast essayera de suivre son exemple en diffusant le message le plus positif possible
Pour aller plus loin :
I Just Wanna Say My Sisters’ Names Following death of his sister, Reggie Bullock a strong advocate of LGBTQ rights Reggie Bullock won't let transgender sister's death be in vain📺 Les Chroniques de Motor City sont aussi disponibles sur YouTube : ABONNEZ-VOUS !
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Pendant tout le mois de Décembre, ce sont les auditeurs du podcast qui viennent nous raconter pourquoi ils aiment cette franchise des Pistons, qu'ils soient fans de longue date ou qu’ils aient juste une affection particulière pour cette équipe.
Enfin pour finir en beauté ce Calendrier de l’Avent, place à deux piliers de la Communauté Pistons en France avec Valentin, créateur du média Daily Motown, devenu fan des Pistons en 2010 à seulement 11 ans dans une période difficile et Ilyas, membre imminent du podcast DunkHebdo, fan de longue date qui nous raconte son voyage particulier au Palace d’Auburn Hills
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Avant dernier jour du Calendrier de l’Avent, et Vincent s’est lié aux Pistons d’abord par Ben Wallace et ses bandeaux de tête autour de ses bras, puis en grandissant il a compris les valeurs défensives et collectives des Pistons, parfaitement incarnés dans les bad Boys
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Pour ce 22eme jour, je vous propose la belle histoire d’Adrien, illustrateur reconnu de la communauté NBA en France ,devenu fan des Pistons via le jeu NBA Live 98, où il se prend de passion pour Big Ben Wallace à l'époque aux Bullets.
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Pour ce 21eme jour, un auditeur anonyme mais dont la voix vous dira peut-etre quelque chose a d’abord accroché à une franchise historique qu'on oublie souvent, puis ensuite à la ville de Detroit, son histoire, sa musique... Grand fan des Bad Boys, il attend le retour d'une franchise dont la NBA a besoin
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Pour ce 20eme jour, Antoine a beau avoir découvert les Pistons dans les années creuses, la riche histoire de la franchise l'a convaincu de rester et les belles perspectives d'avenir lui donnent envie de croire dans un meilleur futur
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On approche de la fin du Calendrier avec Mike qui se décrit comme un fan lambda et pourtant qui a réussi à comprendre le symbole que représente les Pistons à travers la ville de Detroit. Une équipe toujours à son image, avec les fans les plus fidèles au monde
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