Episódios

  • Le 6 novembre 2024, Marc Gabriel Draghi, Xavier Moreau, Oskar Freysinger, Lucien Cerise, Philippe Herlin, Youssef Hindi, Sylvain Ferreira, Laurent Michelon, le Général Delawarde, Pierre Antoine Plaquevent, Pierre Jovanovic et Terence d’Araucanie étaient les invités de Raphaël Besliu, Lara Stam, Nicolas Stoquer dans une émission spéciale sur les élections américaines, pour La Matinale, de Géopolitique Profonde.

    Partie 2 :

    03:29:00 : Youssef Hindi, historien de l’eschatologie messianique, explore l'origine et l'influence des idéologies modernes en géopolitique.03:54:00 : Sylvain Ferreira est historien militaire, spécialisé dans les conflits modernes et auteur sur la bataille de Marioupol.04:25:00 : Laurent Michelon, entrepreneur en Chine, actif entre Hong Kong et Pékin, analyse les relations sino-occidentales.04:54:00 : Le Général Delawarde, expert en opérations militaires, a servi dans les chasseurs alpins et la Légion étrangère.05:26:00 : Pierre-Antoine Plaquevent est un essayiste français reconnu pour ses travaux sur les stratégies d'influence des élites mondiales.05:55:00 : Pierre Jovanovic, journaliste économique, est également éditorialiste et auteur d'essais financiers et théologiques.

    Trump en tête face à Harris

    À l’approche des élections de 2024, Donald Trump maintient une avance sur Kamala Harris, incarnant pour ses partisans un retour à un ordre conservateur. Face à une administration Biden critiquée pour l'inflation et l'insécurité, Trump bénéficie d'un regain de popularité. Cependant, cette avance pourrait ne pas garantir la victoire ; le risque de fraudes électorales alimente la méfiance, rendant ce scrutin particulièrement tendu.

    Un choix décisif pour l’Amérique… et le monde

    L'issue de cette élection aura un impact mondial. Un retour de Trump impliquerait un revirement des politiques internationales, un retrait militaire et une priorité nationale. Harris, quant à elle, poursuivrait le multilatéralisme de Biden et renforcerait les alliances. Toutefois, cette continuité pourrait accentuer la polarisation interne, affaiblissant une Amérique divisée.

    Une élection qui pourrait plonger les États-Unis dans le chaos

    Dans certains États, les partisans de Trump redoutent une fraude électorale en cas de victoire de Harris, créant une atmosphère de quasi-guerre civile. Toute issue perçue comme frauduleuse pourrait entraîner des réactions violentes chez les pro-Trump. De même, une victoire de Trump pourrait déclencher des protestations d’ampleur dans le camp démocrate. Les autorités se préparent à des troubles, tandis que le monde observe avec appréhension cette situation où les États-Unis semblent frôler un cycle de violence interne inédit.


    Pour comprendre les véritables enjeux de cette élection américaine et son influence directe sur l’équilibre mondial, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 6 novembre 2024, Marc Gabriel Draghi, Xavier Moreau, Oskar Freysinger, Lucien Cerise, Philippe Herlin, Julie Lévesque, Youssef Hindi, Sylvain Ferreira, Laurent Michelon, le Général Delawarde, Pierre Antoine Plaquevent, Pierre Jovanovic et Terence d’Araucanie étaient les invités de Raphaël Besliu, Lara Stam et Nicolas Stoquer pour une Matinale spéciale élections américaines, sur Géopolitique Profonde.

    Partie 1 :

    00:28:00 : Terrence d'Araucanie, expatrié aux États-Unis, propose une analyse de terrain.00:55:00 : Marc Gabriel Draghi est juriste, auteur de plusieurs ouvrages sur l'histoire monétaire et le capitalisme, dénonçant les projets du Forum économique mondial comme une soumission de l'humanité à une élite.01:26:00 : Xavier Moreau, analyste en relations internationales et ancien officier, est installé en Russie depuis 24 ans, dirige Stratpol.01:54:00 : Oskar Freysinger, ex-vice-président de l'UDC et ancien parlementaire suisse, est aujourd'hui écrivain et chroniqueur.02:25:00 : Lucien Cerise est un auteur français spécialiste de l'ingénierie sociale et des dynamiques de guerre hybride.02:46:00 : Julie Lévesque est une journaliste canadienne indépendante.03:04:00 : Philippe Herlin, chercheur en finance, publie sur les marchés financiers et enseigne au Conservatoire national des arts et métiers.

    Trump en tête face à Harris

    À l’approche des élections de 2024, Donald Trump maintient une avance sur Kamala Harris, incarnant pour ses partisans un retour à un ordre conservateur. Face à une administration Biden critiquée pour l'inflation et l'insécurité, Trump bénéficie d'un regain de popularité. Cependant, cette avance pourrait ne pas garantir la victoire ; le risque de fraudes électorales alimente la méfiance, rendant ce scrutin particulièrement tendu.

    Un choix décisif pour l’Amérique… et le monde

    L'issue de cette élection aura un impact mondial. Un retour de Trump impliquerait un revirement des politiques internationales, un retrait militaire et une priorité nationale. Harris, quant à elle, poursuivrait le multilatéralisme de Biden et renforcerait les alliances. Toutefois, cette continuité pourrait accentuer la polarisation interne, affaiblissant une Amérique divisée.

    Une élection qui pourrait plonger les États-Unis dans le chaos

    Dans certains États, les partisans de Trump redoutent une fraude électorale en cas de victoire de Harris, créant une atmosphère de quasi-guerre civile. Toute issue perçue comme frauduleuse pourrait entraîner des réactions violentes chez les pro-Trump. De même, une victoire de Trump pourrait déclencher des protestations d’ampleur dans le camp démocrate. Les autorités se préparent à des troubles, tandis que le monde observe avec appréhension cette situation où les États-Unis semblent frôler un cycle de violence interne inédit.


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  • Le 5 novembre 2024, Georges Clément, Gérald Olivier, Yannis Dalouche et Éric Morillot étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Ensemble, ils abordaient les enjeux de l’élection présidentielle américaine de 2024, un événement décisif non seulement pour les États-Unis mais aussi pour le monde entier.

    Georges Clément est le président du comité Trump France. Il milite pour le rapprochement entre les droites françaises et américaines, cherchant à renforcer les relations transatlantiques autour de valeurs conservatrices et nationalistes. En 2019, il publie Les Peuples contre les États : La Souveraineté Confisquée, un essai dans lequel il dénonce la centralisation du pouvoir au détriment de la volonté populaire, plaidant pour une restitution des droits aux nations et aux citoyens.

    Gérald Olivier est un journaliste et analyste politique français spécialisé dans les relations internationales et la politique américaine. Il est connu pour son expertise sur les dynamiques politiques américaines, les élections et les relations transatlantiques, apportant souvent un point de vue critique sur les relations de l’Europe avec les États-Unis et les tendances politiques mondiales.

    Yannis Dalouche est un journaliste et militant politique, membre de La France insoumise. Il est reconnu pour ses analyses sur les questions internationales et son engagement dans le débat public.

    Éric Morillot est le créateur et présentateur de l’émission Les Incorrectibles. L’émission se distingue par son approche sans censure dans le choix et les propos de ses invités, offrant une version longue et non censurée chaque semaine.

    Élection présidentielle américaine 2024 : enjeux et perspectives
    En 2024, les Américains sont face à un carrefour politique majeur. Deux figures dominent la scène : Donald Trump, candidat conservateur et populiste, qui vise un retour à la Maison-Blanche, et Kamala Harris, représentant officiellement le Parti démocrate, succédant à Joe Biden. Bien que d’autres candidats se présentent, ils peinent à rivaliser face aux deux principaux camps.

    Une société polarisée et des menaces persistantes
    La polarisation des États-Unis s’est aggravée au fil des années, et les menaces de violences politiques, notamment envers Trump, reflètent cette tension croissante. Depuis l’annonce de sa candidature pour 2024, la sécurité autour de Trump est devenue cruciale, illustrant l’intensité des divisions. Cette situation souligne une polarisation profonde, qui inquiète les observateurs évoquant un possible spectre de « quasi-guerre civile ».

    Défis électoraux et le rôle de Kamala Harris
    La question de la fraude électorale reste un sujet majeur, nourrissant la méfiance envers les systèmes de vote électronique. En 2020, les allégations de fraude ont marqué les esprits, et Trump continue de remettre en question la légitimité des résultats. Harris incarne pour certains un espoir de modernisation, et pour d’autres, une figure controversée symbolisant un « agenda globaliste ».

    Les répercussions d’une victoire de Donald Trump
    Une victoire de Trump aurait des effets mondiaux. Il promet de résoudre le conflit en Ukraine, se présentant comme médiateur entre l’Occident et la Russie, prônant un moindre interventionnisme. En France, un succès de Trump pourrait encourager les candidats « anti-système ».

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  • Le 5 novembre 2024, Jean-Claude Pascal était l’invité de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !

    Jean-Claude Pascal est un ingénieur français spécialisé en thermodynamique, mais également reconnu pour son intérêt profond pour l’alchimie et les traditions ésotériques. Fort de son parcours scientifique, il s’est tourné vers l’étude des anciennes pratiques alchimiques, cherchant à établir des liens entre les principes scientifiques modernes et les enseignements mystiques de l’alchimie. Son approche unique combine rigueur scientifique et exploration spirituelle, en mettant l’accent sur la transformation intérieure et les mystères de la matière, tout en s’appuyant sur ses connaissances en thermodynamique pour interpréter certains aspects des traditions hermétiques.

    Les médaillons alchimiques du jugement dernier : mystères d’un savoir ancien

    Les médaillons qui ornent le portail du Jugement dernier à Notre-Dame de Paris intriguent depuis longtemps les historiens et les passionnés d’ésotérisme. Parmi eux, deux figures symboliques – le Chevalier et la Rose-Croix – suscitent un intérêt particulier. Gravés au XIIIe siècle, ces symboles semblent anticiper, de manière inexplicable, ceux adoptés bien plus tard par l'Ordre de la Rose-Croix et la Franc-maçonnerie.

    Ces indices posent la question de l'existence d’un ordre spirituel antérieur, un groupe mystérieux qui aurait influencé les doctrines ésotériques des siècles suivants. Ainsi, Notre-Dame de Paris pourrait être bien plus qu’un lieu de culte ; elle serait une archive codée, un témoin silencieux d’un ordre secret et de sa sagesse préservée à travers les âges.

    L'hypothèse d’un ordre secret caché au cœur de la cathédrale

    L’idée de l’existence d’un ordre mystérieux, opérant dans l’ombre depuis le Moyen Âge, est riche en implications. Cet ordre chevaleresque, apparu bien avant la Rose-Croix et la Franc-maçonnerie, aurait laissé des traces symboliques dans l'architecture de Notre-Dame, transmettant des connaissances secrètes au travers de motifs gravés et de représentations codifiées.

    Ce groupe, dont l'influence aurait traversé les générations, aurait vu dans la cathédrale une « pierre de mémoire » pour sauvegarder et transmettre son savoir ésotérique. La façade de Notre-Dame, et plus particulièrement le portail du Jugement dernier, se révélerait alors être un recueil de messages ancestraux, à peine dissimulés aux yeux de ceux qui savent les interpréter.

    Entre héritage spirituel et révolution historique : une réévaluation de Notre-Dame

    Si l'existence de cet ordre ancien se confirmait, cela bouleverserait notre compréhension de l’histoire des mouvements ésotériques et des sociétés secrètes. L’idée qu’un savoir alchimique et mystique ait pu être gravé dans la pierre de manière subtile, défiant le temps, donne à Notre-Dame une dimension nouvelle, celle d'un temple de connaissance hermétique dissimulé sous le voile du religieux.

    Bien que ces théories restent controversées, elles invitent à redécouvrir le rôle des cathédrales gothiques comme Notre-Dame, non seulement comme édifices de foi, mais comme sanctuaires de savoirs occultes et d’enseignements alchimiques oubliés. Cette hypothèse, loin d’être anodine, éclaire Notre-Dame d’un jour nouveau, lui conférant une place singulière dans l’histoire des mystères cachés de l'humanité.

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  • Le 5 novembre 2024, Régis Le Sommier était l'invité de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Régis Le Sommier est un journaliste, grand reporter et ancien directeur adjoint de Paris Match. Aujourd’hui directeur de la rédaction d’Omerta, il se distingue par ses analyses percutantes et ses reportages en zones de conflit. Avec une connaissance approfondie des dynamiques internationales, notamment aux États-Unis, Régiss Le Sommier offre un éclairage unique sur les enjeux des élections présidentielles américaines de 2024 et le rôle de Donald Trump.

    La domination médiatique de Trump et Musk : influence et perception

    Depuis le lancement de la campagne présidentielle, Donald Trump et Elon Musk captivent l'attention médiatique. Elon Musk, véritable maître des dynamiques numériques, façonne les tendances médiatiques tandis que Trump, habile communicateur, mobilise un charisme et une authenticité que ses partisans perçoivent comme les signes d’un leader « réel ».

    Cette dynamique est accentuée par la marginalisation visible de sa principale opposante, Kamala Harris, dont l'inconfort apparent lors des apparitions publiques alimente les critiques. Face à cela, Barack Obama, figure clé du Parti Démocrate, est contraint de soutenir activement Kamala Harris. Certains voient dans ce soutien une tentative pour prolonger l'héritage d'Obama, allant jusqu'à évoquer un « quatrième mandat » déguisé en continuité des valeurs démocrates.

    La campagne anti-Trump : rhétorique de fascisme et tentatives de dénigrement

    Face à l’influence de Trump, une puissante contre-offensive médiatique tente de le discréditer en l’associant souvent au fascisme. Cette stratégie, pour le moins polarisante, soulève des questions parmi les analystes : Trump incarne-t-il réellement un fascisme émergent, ou cette étiquette sert-elle de raccourci simpliste ?

    En France notamment, le traitement médiatique de Trump semble parfois influencer indirectement la perception internationale, mais nombreux sont les Américains qui voient cette rhétorique comme un décalage face à leurs propres préoccupations. Cette approche pourrait même renforcer la résilience des partisans de Trump, interprétant ce discours comme la manifestation d’une élite éloignée de la réalité des électeurs.

    Ukraine : scénarios d’une victoire de Trump et l’équilibre géopolitique

    L'hypothèse d'une victoire de Trump suscite des spéculations quant à une possible désescalade du conflit en Ukraine. Si cette idée rassurent certains partisans d’une approche plus pacifique, la position de Moscou demeure ferme : quel que soit le prochain président américain, la Russie n’envisage aucun compromis à la table des négociations dans l'immédiat.

    Pourtant, cette perspective répond aux aspirations d'une partie des Américains en faveur d’une réduction de l’interventionnisme militaire, après des années de conflits coûteux et prolongés.

    Pour approfondir votre compréhension des dynamiques géopolitiques actuelles, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 4 novembre 2024, Marc Daoud, Romain Pauc, Estelle Brattesani et Lauriane Bernard étaient les invités de Mike Borowski, sur GPTV !

    Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français traitant de médecine non conventionnelle, écologie, spiritualité et théories du complot. Nexus se présente comme un média indépendant, explorant des révélations et des innovations controversées.

    Romain Pauc est un politologue et essayiste reconnu pour son analyse des mouvements sociaux et mutations économiques en France. Il décode les politiques publiques et leurs impacts avec une vision engagée et accessible au public.

    Estelle Brattesani, journaliste pour Nexus, couvre divers sujets politiques. Elle a publié en mai 2024 un article sur le Traité pandémies de l’OMS, soulevant des préoccupations sur la souveraineté nationale en santé publique. Elle est également comédienne, auteure et chanteuse.

    Lauriane Bernard est une journaliste indépendante spécialisée dans l'agriculture et l'Europe, ayant produit des vidéos d’analyse politique, notamment sur la loi sur les dérives sectaires.

    Big Pharma dans nos assiettes

    Les firmes pharmaceutiques imposent une vaccination de masse aux animaux d’élevage, influençant notre alimentation. Sous prétexte de prévention sanitaire, cette stratégie introduit des composants chimiques dans la chaîne alimentaire, parfois interdits pour les humains. Les consommateurs, souvent peu informés, ignorent que ces substances sont dans leurs assiettes. Ces vaccins et additifs répondent aussi à des logiques financières, plaçant les laboratoires au cœur de la production alimentaire.

    Ce modèle, favorisant Big Pharma et l’agro-industrie, est appuyé par des réglementations souples. Ainsi, les consommateurs sont exposés, sans le savoir, à des résidus chimiques compromettant la sécurité alimentaire. Derrière cette situation se profile un système lucratif où les intérêts financiers dominent.

    Vaccination animale : un monopole lucratif

    L’industrie pharmaceutique s’impose désormais dans les systèmes alimentaires. Sous couvert de prévention, les géants de la pharmacie se positionnent comme fournisseurs exclusifs de vaccins pour l’élevage, garantissant leur monopole. Avec des vaccins comme ceux contre la fièvre catarrhale, les laboratoires renforcent leur contrôle sur les normes sanitaires mondiales.

    Cette vaccination animale donne à Big Pharma un contrôle croissant sur la chaîne alimentaire, soutenu par les pouvoirs publics. Les coûts élevés de ces programmes enrichissent les firmes, plaçant leurs profits avant la santé publique et l’environnement. Ce modèle permet aux laboratoires de définir le contenu de nos assiettes sans réelle opposition.

    Une stratégie de contrôle alimentaire

    Les résidus chimiques dans notre alimentation ne sont pas accidentels. Ces pratiques sont encouragées par une politique permissive des autorités envers les grandes firmes pharmaceutiques et agroalimentaires. Les injections aux animaux contiennent des substances toxiques pour l’homme, mais tolérées dans la chaîne alimentaire. Cette permissivité expose les consommateurs à des produits aux effets néfastes, compromettant la santé publique.

    Pour comprendre les enjeux cachés de la contamination alimentaire orchestrée par les géants de l’industrie pharmaceutique, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 4 novembre 2024, Corinne Lalo était l’invitée de Nicolas Stoquer, sur GPTV !

    Corinne Lalo, journaliste et grand reporter spécialisée dans la santé depuis trente ans, a couvert certaines des affaires les plus marquantes de notre époque : du scandale du sang contaminé au nuage de Tchernobyl, en passant par la controverse de la vaccination contre l’hépatite B et la grippe H1N1.

    Elle est aussi coauteure de « Le Livre noir du médicament » et « Se soigner sans médicaments de A à Z », œuvres incontournables pour comprendre les dangers des produits pharmaceutiques et la recherche de solutions alternatives. Son livre « Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas », offre un éclairage précieux sur des questions de santé publique souvent passée sous silence.

    Les perturbateurs endocriniens et la sexualité

    Omniprésents dans notre environnement, les perturbateurs endocriniens influencent la santé en interférant dans des processus biologiques essentiels. Dès les premières semaines de grossesse, ils modifient le développement du cerveau et du corps, normalement programmés pour suivre des trajectoires sexuées précises. En perturbant ce processus, ces substances altèrent durablement la différenciation sexuelle.

    Des études relient cette exposition à des évolutions de genre et de sexualité, telles que l’ambiguïté sexuelle, le transgenrisme et les orientations sexuelles. Les produits quotidiens, des plastiques aux cosmétiques, libèrent des composés chimiques qui s’accumulent dans le corps et influencent subtilement les processus biologiques. Cette exposition, souvent minimisée, pourrait ainsi reconfigurer les identités sexuelles et les comportements.

    Gènes et perturbations chimiques

    Au stade fœtal, l’organisme est neutre avec la possibilité de devenir mâle ou femelle. Le gène SRY sur le chromosome Y déclenche cette différenciation en activant les cellules de Sertoli, qui produisent une hormone anti-femelle pour les embryons mâles. Les fœtus XX, sans ce gène, suivent une autre voie de développement. Les perturbateurs endocriniens perturbent ce processus, créant une confusion dès l’embryon.

    Des bébés intersexes naissent ainsi avec des caractéristiques qui ne correspondent pas aux classifications mâle ou femelle. Contrairement au transgenrisme, cette ambiguïté sexuelle est le résultat direct de l’exposition chimique in utero. La contamination, transmise de la mère au fœtus, influence en profondeur le développement identitaire de l’enfant, générant une inquiétude croissante chez les parents.

    Une génération influencée par la pollution chimique

    Face à ces transformations, la société observe une hausse des transitions chimiques et chirurgicales. Enfants et adolescents sont orientés vers des traitements hormonaux pour ajuster leur genre ressenti avec leur identité biologique perçue. Cette médicalisation suscite des préoccupations, d’autant que ces transformations peuvent être influencées par des facteurs environnementaux non contrôlés.

    En perturbant les processus biologiques dès le stade fœtal, les produits synthétiques redéfinissent la différenciation sexuelle. La société se retrouve alors face à des générations influencées par des facteurs chimiques plutôt que des choix individuels, redéfinissant la notion même de genre.

    Pour approfondir les enjeux des perturbateurs endocriniens et leurs effets sur notre société, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 4 novembre 2024, Paul-Antoine Martin était l’invité de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    Paul-Antoine Martin est un haut-fonctionnaire français, reconnu pour son expertise au sein des institutions publiques. Auteur du livre « Le clan des seigneurs: Immersion dans la caste d’État » publié chez Max Milo, il y dénonce les dérives de la haute administration et les mécanismes de pouvoir en place, souvent dissimulés au grand public. Son ouvrage offre une analyse critique du fonctionnement des élites politiques et administratives françaises.

    La folie cachée des hommes de pouvoir

    Les hommes de pouvoir révèlent un cynisme bien plus vaste que ce qu’ils montrent en public. Aujourd’hui, l’inexemplarité des dirigeants atteint des sommets inédits, incarnée par Emmanuel Macron, dont le double discours rappelle le « double bind » décrit par Gregory Bateson : une manipulation qui déstabilise et détourne l’attention du peuple. Macron, malgré ses déclarations démocratiques, semble détaché des réalités, comme le montre son voyage au Maroc, perçu comme déconnecté des préoccupations des Français.

    Marc Joly, dans La pensée perverse au pouvoir, perçoit dans ce comportement une perversion narcissique qui permet aux élites de renforcer leur contrôle en se présentant comme des défenseurs du bien commun. Ce n’est pas une simple faille individuelle : cela traduit un profond mépris pour la société. Joly met en lumière une vérité que beaucoup refusent d’admettre : les hommes de pouvoir agissent pour leur bénéfice personnel, sous une hypocrisie insupportable.

    L’impunité au sommet de l’État

    Au-delà de la politique, la perversion narcissique a infiltré les grandes entreprises françaises. Des entités comme le CEA, EDF et Renault sont dominées par des élites où cynisme et abus de pouvoir prédominent. Ces dirigeants, loin de l’exemplarité, se protègent mutuellement, renforçant un réseau de complicité jusque dans les plus hautes sphères de l’État.

    La réforme des grands corps de l’État, censée apporter justice et responsabilité, n’a fait que renforcer les privilèges des élites. Des institutions comme l’Inspection des Finances, le Conseil d’État ou la Cour des comptes sont dotées de nouveaux leviers consolidant un système d’impunité qui neutralise toute tentative de réforme.

    Cette dynamique se reflète dans la gestion par Macron du mouvement des gilets jaunes : tout en accusant ces contestataires, il renforce l’influence de la haute fonction publique par des mesures hypocrites.

    La manipulation silencieuse des élites

    Les élites forment une toile d’influence qui neutralise toute opposition. Elles repèrent les individus faibles, s’entourent de soutiens dociles qui assurent leur impunité. Des figures comme Villeroy de Galhau incarnent cette caste protégée, où trahison et manipulation sont récompensées, comme l’a souligné Arnaud Montebourg. En consolidant leurs intérêts, ces élites affaiblissent la nation.

    Les grandes écoles comme l’ENA ou l’Inspection des Finances favorisent cet entre-soi, permettant aux privilégiés de consolider leur pouvoir et de masquer leurs abus. Impliquées dans des scandales comme l’affaire Doliprane ou la vente d’Alstom, elles fragilisent la souveraineté économique de la France.

    Ne vous laissez pas duper par les manœuvres des élites. Pour aller plus loin dans la compréhension des rouages du pouvoir et des mécanismes d’influence qui fragilisent notre nation, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 3 Novembre, sur GPTV Investigation, nous avons donné la parole aux Français pour exprimer leurs préoccupations face aux dangers qui menacent l’alimentation quotidienne. Entre, scandales, risques sanitaires, tromperies et concurrence déloyale, découvrez ce que les citoyens ont à dire sur un secteur qui affecte leur santé et celle de la planète.

    L’industrie agroalimentaire : un poison dans nos assiettes

    Les dangers cachés de l’industrie agroalimentaire sont au cœur de l’inquiétude des Français. En multipliant les additifs, les conservateurs, et en utilisant des pesticides à outrance, les entreprises agroalimentaires mettent chaque jour la santé des consommateurs en péril.

    La sécurité alimentaire est compromise par des pratiques peu transparentes et des processus de fabrication axés sur la rentabilité, bien souvent au détriment de la qualité.

    Le libre-échange : une concurrence déloyale pour nos agriculteurs

    Le libre-échange favorise l’importation de produits étrangers qui ne respectent pas les normes strictes imposées à nos propres agriculteurs. Alors que les producteurs français doivent suivre des règles rigoureuses pour garantir des produits de qualité, des aliments issus de pays aux normes laxistes envahissent les étals à des prix défiant toute concurrence.

    Cela crée une concurrence déloyale qui pénalise notre agriculture locale, fragilisant davantage un secteur en crise. Les consommateurs sont donc confrontés à des produits bon marché mais souvent de mauvaises qualité.

    Les labels bio : une illusion d’authenticité ?

    La multiplication des labels dits « bio » a semé le doute parmi les consommateurs. Destinés à rassurer et à séduire, certains labels ont perdu de leur fiabilité et sont parfois attribués sans respect strict des normes écologiques.

    De nombreux Français se sentent trompés par un label qui se veut vertueux mais qui, en réalité, n’offre qu’une illusion d’authenticité. À mesure que les labels se généralisent, le doute s’installe, et certains se demandent si acheter bio est encore synonyme de qualité et de respect de l’environnement.

    Vers une agriculture durable et locale : des solutions pour protéger notre santé et notre économie

    Face aux dangers croissants de l’industrie agroalimentaire, des solutions existent pour protéger la santé des consommateurs et soutenir les agriculteurs. Repenser notre modèle en privilégiant des cultures et élevages raisonnés, respectueux des cycles naturels, permettrait de retrouver une alimentation de qualité.

    Quitter le marché européen et ses accords de libre-échange pourrait également réduire la concurrence déloyale, favorisant les produits locaux et offrant un coup de pouce à nos producteurs. Acheter directement auprès des agriculteurs locaux, dans des circuits courts, garantit des aliments plus sains tout en soutenant l’économie régionale. En renforçant la transparence des labels bio et en promouvant une agriculture plus durable, la France pourrait viser un modèle alimentaire alliant qualité, respect de l’environnement et juste rémunération des producteurs.

    Découvrez comment vous protéger et agir pour un futur plus sain et libre ! Recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 3 Novembre à 12h30, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un direct sur l’actualité, sur Géopolitique Profonde.

    L’implantation des réseaux sociaux en France

    Depuis leur arrivée en France au début des années 2000, les réseaux sociaux ont bouleversé les habitudes de communication des Français. Facebook, Twitter, et, plus tard, Instagram et TikTok, ont rapidement attiré des millions d’utilisateurs séduits par l’interaction en temps réel et le partage instantané d’opinions.

    Aujourd’hui, ces plateformes ne sont plus uniquement des espaces de socialisation ; elles se sont imposées comme des canaux d’information, des lieux de débat et des espaces de mobilisation citoyenne. Les réseaux sociaux sont désormais le moyen de communication privilégié des Français.

    Une influence croissante dans l’opinion publique

    Cette place prépondérante des réseaux sociaux a transformé ces plateformes en de puissants leviers d’influence, utilisés tant par les particuliers que par les entreprises et les pouvoirs publics pour diffuser leurs messages et modeler l’opinion publique.

    Une part croissante des Français se tourne d’abord vers les réseaux sociaux pour s’informer, parfois avant de consulter les médias traditionnels. Toutefois, ce succès fulgurant s’accompagne de défis majeurs, en particulier pour la protection des libertés individuelles.

    La montée de la surveillance : protection ou contrôle ?

    Face à l’impact croissant des réseaux sociaux, l’État y voit une opportunité d’« anticipation ». Le Service d’information du gouvernement (SIG), sous la direction de Matignon, a ainsi lancé un programme de surveillance visant à analyser les comportements et les recherches en ligne des Français. En s’appuyant sur l’intelligence artificielle, ce projet explore les tendances émergentes – aussi appelées « signaux faibles » – pour détecter d’éventuelles mobilisations citoyennes ou préoccupations sociétales.

    Si les intentions affichées par le gouvernement sont de nature « préventive » – mieux comprendre les citoyens pour mieux répondre à leurs attentes –, ce projet est inquiétant pour la vie privée. Bien que le SIG affirme que les données sont anonymisées et respecte le RGPD, les critiques redoutent un contrôle excessif, voire des dérives liberticides.

    La liberté individuelle en question

    Destiné à anticiper les besoins de la population, ce dispositif de surveillance soulève néanmoins des questions sur les limites à poser en matière de liberté individuelle. On peut y voir le renforcement d’une société de surveillance, où chaque action et chaque opinion seraient passées au crible. Comme le dit Klaus Schwab, « il ne faut pas avoir peur ».

    Cependant, une grande partie des Français semble peu alarmée par cette surveillance croissante, par habitude ou par résignation face aux nouvelles technologies. Les réseaux sociaux continuent de prospérer, malgré les inquiétudes croissantes quant aux possibles dérives. Cette situation illustre l’équilibre délicat entre sécurité et liberté dans notre société moderne, et les choix à venir seront décisifs pour préserver cet équilibre.

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  • Le 3 novembre 2024, Oskar Freysinger, Lara Stam, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu vous donnaient rendez-vous pour une émission explosive sur Géopolitique Profonde, dont le thème était la montée du phénomène de déconstruction et du wokisme, une tendance idéologique ayant des répercussions importantes sur nos sociétés occidentales, en particulier dans le domaine éducatif et culturel.

    Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Il nous dévoilera son dernier ouvrage Animalia, aux éditions Serena, qui traite du sujet de l'émission.

    Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.

    La déconstruction et le wokisme : une idéologie américaine

    Le wokisme et la déconstruction sont des idéologies importées des États-Unis qui se sont rapidement infiltrées dans les sociétés occidentales, en particulier en Europe. Prônant une refonte radicale des valeurs et des institutions, ces mouvements imposent de nouvelles normes sociales, souvent accusées d’éroder les fondements culturels et historiques des nations où ils s’implantent.

    Une pénétration progressive dans les institutions

    Ces courants visent à remodeler les valeurs, souvent en opposition avec les traditions locales. En Europe, ils trouvent un terreau fertile, et l’Union européenne est fréquemment perçue comme un "jardin du wokisme" où ces idées progressistes se diffusent sans retenue. Cette influence croissante, loin d’être anodine, est accusée de nuire aux repères identitaires des jeunes générations, qui se voient poussées à adopter des mentalités en rupture avec leur propre héritage culturel et biologique.

    Parmi les manifestations les plus controversées de cette idéologie figure la promotion de la culture drag et de certaines associations LGBTQ+ dans des environnements éducatifs, y compris dans les écoles et les crèches. Ces initiatives, qui introduisent des concepts liés à l'identité de genre dès le plus jeune âge, suscitent une vive inquiétude quant aux intentions et à l'impact de cette idéologie sur l'esprit des enfants, exposés à des notions inappropriées pour leur âge.

    Sandrine Rousseau et le rôle des figures du wokisme en France

    En France, des figures comme Sandrine Rousseau incarnent cette mouvance. Avec ses positions sur la masculinité, l’écologie radicale et le féminisme, elle symbolise la "gauche woke". Sa critique de la "masculinité toxique" reflète les efforts du wokisme pour réviser les repères traditionnels.

    Un retour aux valeurs traditionnelles comme réponse

    Face à cette idéologie, un appel à une "révolution conservatrice" se fait entendre, visant à restaurer les valeurs traditionnelles comme un rempart. Ce courant défend la préservation des fondements culturels et historiques pour contrer la déconstruction.

    Le Sud Global : une résistance inspirante face au wokisme

    Contrairement à l’Occident, le Sud Global résiste au wokisme. En Asie, Afrique et Amérique latine, les nations valorisent leurs traditions culturelles, refusant l’uniformisation prônée par la déconstruction. Pour les défenseurs des valeurs traditionnelles, cette résistance est inspirante.

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  • Le 2 novembre 2024, Paul-Marie Couteaux et François Martin étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur GPTV !

    Paul-Marie Coûteaux est un homme politique et essayiste français. Ancien diplomate, il est surtout connu pour être l’un des principaux théoriciens du souverainisme en France.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    La première victime des États-Unis

    Contrairement à l’image idéalisée d'une superpuissance protectrice, les États-Unis sont aujourd’hui confrontés à un paradoxe affaiblissant leur société. Historiquement, l’Amérique n’a pas adopté une logique impériale comme les anciens empires européens. Au contraire, marquée par un instinct d’isolationnisme hérité de ses fondateurs, elle cherchait à éviter les pièges de la domination extérieure. Pourtant, cette absence de fibre impériale conduit aujourd'hui le peuple américain à supporter les ambitions globales de son gouvernement.

    Les impôts pèsent lourdement sur la classe moyenne, étranglée par des taxes qui financent des interventions militaires et économiques lointaines, bien éloignées des priorités de l'Américain moyen. Ainsi, chaque jour, les États-Unis semblent s’éloigner du modèle de nation « pour le peuple ». Cette opposition entre un pays replié sur lui-même et les ambitions de son gouvernement semble amorcer une crise interne où les idéaux fondateurs de l’Amérique sont mis à l’épreuve.

    Les États-Unis face à leurs ambitions contradictoires

    La question de l'Empire est un sujet débattu aux États-Unis, divisant les conservateurs qui prônent l'indépendance nationale et les néo-conservateurs en faveur d'une projection mondiale de la puissance américaine. Des figures comme Donald Trump illustrent cette Amérique isolationniste, tandis que d’autres, comme Kamala Harris, incarnent une vision interventionniste et globaliste, prônant un rôle de leader mondial pour les États-Unis.

    Ce fossé idéologique, analysé par J.D. Vance, révèle une Amérique tiraillée entre son identité de nation et ses aspirations impériales. Cette dichotomie entre Nation et Empire rappelle l'analyse de Jacques Bainville, où l’Amérique semble incapable de concilier son idéal de liberté avec les réalités de sa puissance mondiale.

    Entre crise sanitaire et décadence

    Les États-Unis traversent une crise de civilisation où les problèmes de santé publique et la perte des valeurs fondamentales symbolisent la chute d’un empire. Robert Kennedy Jr. parle de « zombification » de l’Amérique, un pays obsédé par la consommation et le productivisme, qui ignore les fondements d'une vie saine. La crise sanitaire, exacerbée par l’alimentation industrielle, témoigne d’un système déconnecté de la nature, où l’humain est réduit à un rouage du marché.

    Comme l’Empire romain, l’Amérique semble aujourd’hui en déclin, épuisée physiquement et spirituellement par un modèle de société axé sur une consommation effrénée, éloignée de toute harmonie avec la nature. Certains voient en l’Europe une alternative, un retour aux sources naturelles et à une vision plus équilibrée de l’anthropologie.

    Pour approfondir les enjeux de cette décadence américaine et comprendre les répercussions pour l’avenir de l’Europe et de la France, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 2 novembre 2024, Mike Borowski décryptait la transformation inquiétante de Notre-Dame de Paris, où la restauration prend des allures de désacralisation délibérée, au profit d’une idéologie mondialiste et matérialiste.

    Notre-Dame sacrifiée au nom du progressisme

    La restauration de Notre-Dame de Paris inquiète. Plus qu’une simple rénovation, elle semble transformer ce symbole chrétien en vecteur d’une idéologie mondialiste. Les choix architecturaux controversés visant un lieu plus « inclusif » traduisent un projet de désacralisation. Ce n’est pas seulement un bâtiment qui change, mais l’identité chrétienne et culturelle de la France qui vacille. Les vitraux bibliques traditionnels pourraient être remplacés par des symboles abstraits et universels, rompant avec la spiritualité originelle.

    Emmanuel Macron, selon Sylvain Studer, pourrait-il incarner l’Antéchrist annoncé par certaines prophéties ? L’idée trouve un écho dans un contexte de symboles troublants. L’incendie de Notre-Dame en 2019 reste un mystère alimentant les spéculations : accident ou manœuvre délibérée pour précipiter ce tournant prophétique ? Notre-Dame pourrait devenir un symbole de forces obscures dans un monde en perte de repères.

    Notre-Dame perd son identité sacrée

    Notre-Dame ne sera plus un sanctuaire spirituel. Derrière la modernisation, c’est une désacralisation méthodique. Des siècles de foi s’effacent, transformant ce symbole chrétien en un espace neutre, dénué d’identité religieuse. L’épiscopat, garant de la foi, paraît céder aux injonctions étatiques, abandonnant ainsi sa mission spirituelle. En laissant Notre-Dame aux mains du pouvoir temporel, l’Église se rend complice de cette dilution de l’identité religieuse.

    Ce changement dépasse l’architecture : il vise à déraciner la France de ses fondements spirituels. En effaçant les symboles de foi, ce projet ouvre la voie à une idéologie globaliste, étrangère aux traditions de la nation. Au-delà de l’édifice, c’est l’âme même de la France qui se trouve menacée, sacrifiée sur l’autel d’une modernité sans racines.

    Une porte ouverte aux forces obscures

    Notre-Dame incarne désormais l’emprise d’une idéologie rejetant l’enracinement spirituel. Sous couvert de progrès et d’inclusion, le projet vise à éliminer les fondements de la culture chrétienne de France, qui s’incarnait dans les pierres de cette cathédrale. L’incendie de 2019, loin d’un incident isolé, semble marquer le début d’un détournement insidieux qui ne cesse de prendre de l’ampleur. Désormais, une ombre plane sur ce lieu autrefois sacré, le transformant en temple dédié à des valeurs matérialistes et étrangères.

    Le constat est implacable : Notre-Dame devient un instrument au service d’une idéologie mondialiste et progressiste, vidée de toute âme. Derrière la modernité, c’est une entreprise de désacralisation méthodique qui se déploie, menaçant les racines profondes de la France et ouvrant la voie à une ère dominée par le matérialisme et l’oubli des valeurs traditionnelles.

    Pour comprendre les enjeux profonds qui entourent cette transformation de Notre-Dame et d’autres symboles de notre patrimoine, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 1er novembre 2024, Jean de Gliniasty était invité aux côtés de Lara Stam, Laurent Artur Du Plessis, et Finn Andreen sur le plateau de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer sur GPTV, pour aborder la situation complexe de l’Ukraine et de l'OTAN, l’influence croissante de la Russie, et les enjeux stratégiques majeurs pour l’Occident.

    Jean de Gliniasty, diplomate depuis 1975, a occupé de nombreux postes, dont adjoint au Chef du Centre d’Analyse et de Prévision, conseiller à la Représentation permanente de la France auprès des Communautés européennes, directeur du Développement et de la Coopération scientifique, technique et éducative, directeur des Nations unies et des Organisations internationales, directeur de l’Afrique et de l’océan Indien. Il a été consul général à Jérusalem et ambassadeur au Sénégal, au Brésil et en Russie.

    Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.

    Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.

    Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.

    Crise de moral dans l'armée ukrainienne

    L'armée ukrainienne subit une grave crise de moral, due aux pertes et à l’épuisement des troupes. Avec un âge de mobilisation fixé à 25 ans, de nombreux jeunes évitent le service militaire, entraînant plus de 100 000 désertions en 2023 et affaiblissant ainsi les forces ukrainiennes.

    Soutien populaire à Poutine

    Malgré les critiques internationales, Poutine conserve un large soutien en Russie. Nombre de Russes le considèrent comme garant de la stabilité nationale, ce qui permet au Kremlin de renforcer sa position diplomatique et militaire.

    Alliance Russie-Corée du Nord-Chine

    La Russie, la Corée du Nord et la Chine forment une alliance qui contrecarre les stratégies de Washington. Le soutien militaire nord-coréen à la Russie s'illustre par l'envoi de munitions et d'armement sophistiqué. De plus, des généraux nord-coréens pourraient se rendre sur le front ukrainien, en dépit des barrières culturelles et linguistiques. La Corée du Nord aurait fourni trois millions d’obus et des missiles en échange de technologies nucléaires avancées, renforçant la collaboration militaire russo-nord-coréenne.

    L'Occident face à un défi stratégique

    Les alliances entre la Russie et ses partenaires asiatiques marquent un revers diplomatique pour l’Occident. Incapable de ralentir ces partenariats, l’OTAN voit son efficacité remise en question. Par ailleurs, les élections américaines du 5 novembre pourraient modifier les alliances internationales, influençant de façon décisive l’avenir géopolitique mondial.

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  • Le 1er novembre 2024, Mike Borowski était en direct sur Géopolitique Profonde pour analyser un événement qui suscite de nombreuses interrogations : le voyage d’Emmanuel Macron et ses acolytes au Maroc.

    Voyage au Maroc : opportunisme diplomatique ou faux pas stratégique ?

    La récente visite de Macron au Maroc, accompagnée de personnalités controversées, soulève des questions sur l’image de la diplomatie française. Jack Lang, ancien ministre et figure intellectuelle vieillissante, peine à représenter un renouveau. Si sa connaissance du Maroc est indéniable, son appartenance à l’ancienne génération de diplomates français pourrait donner un air de désuétude à cette démarche, accentuant le décalage entre les intentions de la France et les attentes d'un Maroc en mutation.

    Bernard-Henri Lévy (BHL), autre figure de cette délégation, incarne une approche élitiste et idéologique de la géopolitique, souvent critiquée pour son manque de pragmatisme. Ses relations étroites avec Macron et son engagement dans plusieurs dossiers internationaux controversés en font un acteur polarisant, voire peu crédible pour défendre une vision équilibrée des intérêts franco-marocains.

    Quant à Yassine Belattar, humoriste et ex-collaborateur de Macron, sa présence pose un problème de cohérence. Ayant déjà fait l’objet de scandales et de relations conflictuelles avec le président, il symbolise davantage une tentative maladroite de séduire une partie de la communauté maghrébine en France qu’un choix stratégique pour le rapprochement avec le Maroc. Cette association pourrait même rappeler les déboires d’Alexandre Benalla et ternir encore davantage l’image de la délégation française.

    Quel intérêt pour la France et pour le Maroc ?

    Alors que le discours officiel évoque un rapprochement diplomatique et économique, les enjeux pour la France semblent plus complexes. En pleine reconfiguration de son influence en Afrique du Nord et de l’Ouest, la France voit ici l’occasion de redorer son blason, surtout auprès de la monarchie marocaine. Jack Lang, avec sa réputation et son respect pour les traditions marocaines, pourrait bien faciliter ce rapprochement. De son côté, BHL, en tant que soutien de longue date de Macron, pourrait également orienter les discussions vers des questions plus stratégiques, comme les flux migratoires ou la sécurité.

    Yassine Belattar, bien que controversé, pourrait servir de lien avec la jeunesse et la communauté maghrébine de France. Néanmoins, sa réputation ternie soulève la question de son impact réel dans un contexte officiel, voire son utilité. Pour le Maroc, ce rapprochement avec des figures françaises en vue peut être perçu comme une opportunité de renforcer les relations bilatérales, tout en restant prudent face aux éventuelles ambitions de la France sur des sujets sensibles au Maghreb.

    L’image de la France : stratégie innovante ou source de moquerie ?

    Les personnalités choisies par Macron pour ce voyage interrogent l’image internationale de la France. Certains y voient une démarche stratégique visant à moderniser la diplomatie française, tandis que d’autres considèrent que ces choix risquent de ridiculiser l’Hexagone sur la scène mondiale.

    Si Jack Lang et BHL peuvent renforcer les liens diplomatiques avec le Maroc, la présence de Belattar laisse entrevoir une part plus contestable de cette stratégie. Le succès de cette démarche dépendra donc de l’équilibre que saura trouver la France dans un Maghreb en pleine mutation.

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  • Le 1er Novembre 2024, Thierry Laurent Pellet était l’invité de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde, au sujet de la crise économique actuelle.

    Thierry Laurent Pellet est un entrepreneur et écrivain français, expert en géopolitique et en économie mondiale. Son dernier ouvrage, Ukraine, Entrepreneur Espion: Malgré lui, explore les réalités cachées du conflit russo-ukrainien et les implications géopolitiques sur le monde économique. Avec une carrière mêlant affaires internationales et analyse des relations stratégiques, Thierry Laurent Pellet se distingue par une approche éclairée de l’évolution des relations entre l’Occident et les puissances émergentes, notamment les BRICS.

    Du diktat monétaire aux monnaies multipolaires

    L’économie mondiale traverse un tournant. Bien que le dollar et l’euro dominent le commerce international, des tensions croissantes avec le bloc BRICS+ révèlent les limites de ce système. Les puissances occidentales imposent leurs monnaies globalement, notamment via les CBDC (monnaies numériques de banques centrales) qui accentuent la centralisation des transactions. Cette approche suscite des débats sur la vie privée et la liberté économique, préoccupations majeures dans les démocraties occidentales.

    En réaction, le bloc BRICS — Chine, Inde, Russie et Brésil — propose une alternative multipolaire. Plutôt qu'une monnaie dominante, ces pays prônent une monnaie numérique distribuée (DDC), favorisant autonomie, coopération régionale et intégration économique flexible. Le BRICS+ vise ainsi à réduire l’hégémonie du dollar et de l’euro.

    Conflits et conséquences géopolitiques

    Les tensions géopolitiques autour de l’Ukraine, Israël, Moldavie, Géorgie et Arménie traduisent un ordre mondial en mutation. Ces conflits influencent alliances, échanges et systèmes monétaires. Les pays occidentaux, confrontés à des dilemmes politiques, peinent à maintenir leur emprise sur les ressources et marchés.

    Face à cela, les BRICS prônent une politique monétaire décentralisée pour un équilibre multipolaire et réduisent leur dépendance envers l’Ouest. Les élections en Ukraine et Moldavie illustrent ce désir de rupture avec l’influence américaine et européenne.

    Le dollar, l’euro et l’avènement des CBDC

    La domination du dollar et de l’euro est de plus en plus contestée par les nations en quête d’indépendance. Ces monnaies, bases de l’économie de marché, sont aussi des outils de contrôle économique. L’introduction des CBDC en Europe et aux États-Unis accentue cette centralisation. En réaction, les BRICS prônent une inclusion économique sans modèle imposé avec leur DDC.

    Les prochaines élections américaines seront cruciales pour la posture des États-Unis face au renforcement des BRICS. La politique étrangère américaine devra s’adapter à la demande mondiale de décentralisation.

    Perspectives des relations internationales et impact politique

    Les élections présidentielles américaines pourraient redéfinir les relations internationales, modifiant l’équilibre entre l’Ouest et les puissances multipolaires comme les BRICS. Des projets tels que KAZAN, réseau eurasiatique de coopération impliquant les BRICS, pourraient accélérer la transition vers une économie décentralisée, annonçant la fin de l’hégémonie monétaire américano-européenne et ouvrant un monde où chaque région économique répondrait à ses besoins.

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  • Le 31 octobre 2024, Sarah Jane Iffra, Maître Danglehant et Stéphanie Reynaud étaient les invités de Mike Borowski, sur GPTV !

    Sarah Jane Iffra, chanteuse indépendante, s’est fait connaître par ses chansons engagées, critiques envers la politique de Macron, le Pass sanitaire, et le mondialisme. Ayant débuté sa carrière en réinterprétant de grands classiques de la chanson française, elle a choisi de se démarquer avec des paroles audacieuses et corrosives, dénonçant les enjeux actuels et donnant une voix aux insatisfaits du système.

    François Danglehant est un avocat français qui a été médiatisé pour avoir défendu des clients dans des affaires controversées. Inscrit au barreau de Seine-Saint-Denis, il a notamment défendu l’humoriste Dieudonné ainsi que Natacha Rey.

    Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre , où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.

    Quand l’art se plie à l’agenda gouvernemental

    Les artistes français semblent avoir abandonné la contestation pour soutenir le pouvoir. Là où on attendrait d’eux un rôle de contre-pouvoir, ils cautionnent un gouvernement souvent perçu comme autoritaire. Autrefois symbole de révolte, la scène artistique se montre docile, soutenant des politiques controversées et rompant avec l’esprit contestataire du passé.

    Cette complaisance trahit une réalité dérangeante : les artistes n’incarnent plus la voix libre et critique de la société. Leur soutien lors de la crise sanitaire a renforcé l’image d’une élite déconnectée des préoccupations populaires, acceptant les mesures gouvernementales et le discours mondialiste au détriment de la souveraineté française. Cette collaboration avec le pouvoir accentue la déconnexion entre le monde artistique et les attentes de la société.

    Adieu Coluche, bienvenue au consensus !

    Les artistes actuels, loin d’incarner une voix du peuple, se positionnent en alliés d’une élite mondialisée. Autrefois, des figures comme Coluche ou Desproges défiaient le pouvoir avec audace. Aujourd’hui, ce courage a disparu, remplacé par un consensus bien-pensant. Les grands noms de la culture préfèrent la sécurité du conformisme à la prise de risque.

    Dans les médias, ces artistes relayent des valeurs universelles souvent éloignées des réalités des Français. Derrière leur discours lisse, ils se font les porte-voix d’une élite mondialiste, leurs positions soigneusement alignées sur une norme imposée. Ce conformisme a creusé un fossé entre eux et le public, qu’ils semblent ne plus représenter.

    La fin de l’esprit critique ?

    La crise sanitaire a révélé une fracture profonde entre les artistes et le peuple. Là où le public espérait une voix dissidente face à la gestion de crise et aux restrictions, les artistes ont renforcé le discours gouvernemental, creusant ainsi un fossé irréversible. En soutenant des mesures ayant affecté des vies, les figures médiatiques ont montré une totale indifférence aux difficultés de la population.

    Autrefois miroir de la société, l’artiste s’est détourné des préoccupations populaires. En privilégiant le conformisme, les artistes se sont alignés avec l’élite. Ceux qui incarnaient l’esprit critique cachent désormais leurs opinions derrière des discours consensuels. Cette complaisance a éloigné le public d’un monde artistique perçu comme étranger, voire hostile.

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  • Le 31 octobre 2024, Marie Pascale Remy était l’invitée de Nicolas Stoquer, sur GPTV !

    Marie-Pascale Rémy est une auteure et conférencière spécialisée dans la connaissance de soi et la spiritualité. Après une expérience de mort imminente en 1989, elle a orienté sa recherche vers l’enseignement de Rudolf Steiner, influençant profondément son parcours. Parmi ses ouvrages notables figure Saint Michel, renaître dans le combat spirituel, qui explore la dimension spirituelle du combat intérieur à travers l’archétype de l’Archange Saint Michel. Elle a également écrit plusieurs ouvrages sur le développement personnel, l’ange gardien et les mythes du féminin.

    Derrière le masque d’Halloween

    Le 31 octobre, Halloween, issue du calendrier celtique, symbolisait la nuit où Samhain, Seigneur de la Mort, revenait avec les esprits des morts pour visiter les vivants. Les rituels celtiques visaient à protéger la communauté des esprits maléfiques, non à honorer les âmes paisibles. Aujourd’hui, Halloween semble inoffensif, mais il focalise l’attention sur des entités hors de l’ordre naturel. En perpétuant cette fête, l’humanité canalise son énergie vers ces forces qui, pour certains, pourraient se nourrir de cette attention pour se manifester. Inconsciemment, le monde appelle ces forces de l’ombre, les rendant susceptibles de s’installer dans notre quotidien.

    Tradition ou instrument de consommation ?

    Halloween, importée en Amérique par les immigrants européens, était à l’origine l’occasion de jouer des tours dans les quartiers. Elle est désormais une industrie majeure en Amérique du Nord, avec des dépenses atteignant près de 8 milliards de dollars par an, en faisant le deuxième événement le plus lucratif. Elle est devenue une fête commerciale, éloignée de ses racines spirituelles. Cette date du 31 octobre coïncide également avec une fête du calendrier sataniste, où elle revêt un caractère sacré pour certains. Des rituels liés à Halloween, parfois dénoncés comme dérapages dangereux, incluent des symboles occultes rappelant les dérives du satanisme contemporain. En Europe, cette célébration étrangère tend à remplacer les valeurs locales et peut mettre en péril notre propre héritage culturel.

    De l’ombre à la lumière

    Halloween met en avant des forces sombres, tandis que la Toussaint, le 1er novembre, honore les saints, les âmes purifiées qui ont rejoint le paradis chrétien. Ce jour-là, les chrétiens se souviennent des défunts dans la lumière, résidant dans la sphère solaire après des années de purification. Ces saints incarnent l’espérance d’une vie meilleure au-delà de notre monde.

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  • Le 31 octobre 2024, Claude Janvier et Laurent Martin Saint Leon étaient les invités de Nicolas Stoquer, Lara Stam et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .

    Laurent Martin Saint Léon est un analyste politique reconnu, ancien conseiller de Charles Pasqua. Spécialiste des stratégies géopolitiques et des enjeux de pouvoir, il apporte un éclairage précis sur les dynamiques politiques contemporaines, tant en France qu’à l’international. Son expertise se concentre notamment sur les questions de souveraineté, de gouvernance, et d’équilibre des forces dans un monde en constante évolution.

    Retraites, taxes et dette : le naufrage programmé de la France

    En 2024, la France ne peut plus être qualifiée de nation souveraine. Son système politique, réduit à une façade, masque une gestion inefficace qui plonge le pays dans une crise. La réforme des retraites, loin de servir les citoyens, répond aux exigences des institutions économiques internationales. Le Rassemblement National, censé défendre la France contre la mondialisation, semble incapable de résister aux pressions externes.

    Les classes moyennes et populaires, écrasées par des taxes insoutenables, voient leur pouvoir d’achat et leur liberté économique s’effondrer. Cette pression fiscale masque une dette nationale immense, menaçant l’avenir du pays. Les discours officiels camouflent cette dette colossale, qui pèse comme une épée de Damoclès sur la société.

    Les politiques désertent le navire

    Certains responsables, comme Bruno Le Maire, anticipent la chute en se distançant de leurs responsabilités. Ces départs, potentiellement suivis par d'autres, révèlent une scène politique dominée par l'opportunisme, où les intérêts personnels priment sur le bien commun. La France continue son déclin, délaissée par des dirigeants plus préoccupés par leur avenir que par celui de la nation.

    Bruxelles aux commandes : une Europe uniformisée et sans identité

    Simultanément, l'agenda mondialiste avance, visant une gouvernance homogène en Europe via l’Agenda 2030. Ce modèle impose une centralisation des politiques qui, loin de répondre aux besoins nationaux, reflète une idéologie globaliste. Depuis Bruxelles, des institutions supranationales dictent une gouvernance uniforme aux États membres, réduisant leur souveraineté.

    Ces structures globalistes s’implantent dans chaque secteur du pouvoir, effaçant les spécificités nationales au profit de la standardisarion. L’identité de la France est progressivement absorbée par cette marche vers une Europe centralisée.

    Macron ampute la France

    Emmanuel Macron mène une politique étrangère alignée sur des intérêts extérieurs, comme le montrent son soutien au Hezbollah au Liban et ses démarches au Maroc. Ce positionnement traduit une stratégie de cession des actifs français, allant de secteurs stratégiques aux produits pharmaceutiques essentiels. En appliquant l'agenda 2027, Macron accélère le démantèlement de l’État-nation, bradant les ressources de la France aux intérêts internationaux.

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  • Le 30 Octobre2024, Karl Zéro était l’invité exceptionnel de Mike Borowski, sur GPTV !

    Karl Zéro, de son vrai nom Marc Tellenne, est un journaliste d’investigation, réalisateur et producteur français connu pour son approche provocatrice et son ton satirique. Depuis ses débuts avec Le Vrai Journal sur Canal+, il s'est fait connaître en exposant des scandales et en abordant des sujets controversés.

    Fondateur du magazine L’Envers des Affaires, dont il nous dévoile le dernier numéro, il propose des enquêtes approfondies sur des affaires peu médiatisées ou délibérément cachées, concernant particulièrement la corruption, les réseaux d’influence, et les abus institutionnels.

    L’affaire P. Diddy : un scandale d’État qui ébranle l’Amérique

    La star américaine P. Diddy est accusé d’abus graves et de violences. Selon des révélations, l’artiste aurait utilisé un tranquillisant pour chevaux, la Xylazine, pour droguer ses victimes. Cette substance, responsable d’overdoses en hausse aux États-Unis, est surnommée « drogue zombie » pour ses effets paralysants.

    Ce comportement criminel présumé choque l’Amérique et suscite des questions sur de possibles ramifications dans l’État profond. En France, où P. Diddy est fréquent à Saint-Tropez, des connexions locales alimentent des soupçons sur un réseau pédocriminel international.

    Le réseau de Saint-Germain-des-Prés : quand les élites françaises sont accusées

    Les réseaux d’influence de Saint-Germain-des-Prés sont également au centre des révélations. Plusieurs figures intellectuelles et culturelles françaises sont accusées d’abus sur mineurs, incluant l’académicien Jean-François Revel, l’écrivain Gabriel Matzneff, le philosophe Michel Foucault et Claude Imbert, fondateur du Point.

    Ces personnalités, souvent protégées, auraient exploité de jeunes victimes sous la protection de cercles de pouvoir influents et dans des lieux secrets. Cela soulève des interrogations sur les mécanismes d’omerta qui ont permis à ce réseau de perdurer des décennies.

    Placements abusifs d’enfants et scandale de l’ASE

    L’ASE (Aide Sociale à l’Enfance), chargée de protéger les enfants vulnérables, est critiquée pour des dysfonctionnements graves et des placements abusifs d’enfants.

    Avec un budget annuel proche de 9 milliards d’euros, l’ASE attire l’attention alors que des associations dénoncent des maltraitances et exploitations de mineurs, parfois sous tutelle de l’institution elle-même. Ce scandale révèle les failles d’un système national et pose la question de l’efficacité de la gestion publique et des fonds alloués.

    Vous pouvez retrouver trois de nos émissions en lien avec ce sujet :
    « Des enfants forcés à se prostituer » et « Explosion de la pédocriminalité : proxénète à 16 ans en France », mais également notre émission consacrée aux Survivantes et leur film choc qui expose les réseaux pédocriminels français.

    Pour ne rien manquer des enjeux politiques et géopolitiques majeurs actuels, accédez dès maintenant à votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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