Episódios

  • Notre série d’épisodes consacrés à la préparation des équipes de France olympiques touche à sa fin. Avant de vous en dire plus sur ce dernier épisode, je tiens à remercier tout ceux qui ont permis la réalisation de cette série, et plus particulièrement mes invités : Sophie Dubourg, Thierry Touzaint et Michel Asseray, Nicolas Delmotte, François-Xavier Ferey et Éric Favory, Christopher Six, Xavier Goupil, ainsi que tous les partenaires qui ont soutenu chacun leur tour l’un de ces épisodes.

    Aujourd’hui, pour clore ce thème inédit, je vous emmène à la rencontre de Maxime Collard. Maxime a 35 ans, elle est cavalière de dressage et depuis le 2 juillet dernier, son nom figure dans la liste des couples sélectionnés pour les Jeux olympiques de Tokyo. L’aboutissement d’un long travail qui a commencé alors qu’elle n’était qu’à poney, qu’elle n’était “qu’une pitchoune” comme elle le dira elle-même dans cet épisode. Elle ne part évidemment pas seule, puisque c’est grâce à Cupido PB, un étalon KWPN de 14 ans, qu’elle va toucher du doigt son rêve olympique.

    À quelques jours du début de sa quarantaine, elle m’a reçu chez elle, en Normandie, pour raconter son histoire, son parcours, sa rencontre avec Cupido, leur progression, leur préparation pour ces Jeux mais aussi leurs ambitions.

    Je vous souhaite de prendre autant de plaisir à écouter ce podcast que j’en ai eu à l’enregistrer. Bonne écoute.

  • Dans un peu plus de trois semaines s’ouvriront les Jeux olympiques de Tokyo. C’est d’ailleurs demain, vendredi 2 juillet, que doit tomber la liste des couples qui iront défendre les couleurs de la France et qui partiront en stage dans les prochains jours pour finaliser leur préparation. En parlant de préparation justement, nous avons consacré le seizième épisode de L’Ecoute à la préparation physique des cavaliers. Cette fois, nous allons aborder le thème de la préparation des chevaux. Pour parler de ce sujet, j’ai profité de mon escapade au Grand National de concours complet de Vittel pour aller à la rencontre de Xavier Goupil, le vétérinaire affilié à cette discipline. Avec lui, nous revenons sur l’importance de cette préparation ainsi que sur le processus mis en place pour les chevaux de l’équipe de France. Il nous explique aussi ce à quoi il veille pour être certain que nos athlètes à quatre jambes soient au top de leur forme au moment de prendre le départ de la compétition.

    Cet épisode a reçu le soutien de Boehringer Ingelheim.

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  • Pourvoyeuse de deux médailles lors de l’olympiade de Rio il y a cinq ans, avec l’or en équipe et l’argent en individuel pour Astier Nicolas, la discipline du concours complet avait débloqué le compteur de la délégation française. Cette année encore, les complétistes bleus rêvent d’un nouveau podium. Parmi eux, Christopher Six. Âgé de 36 ans, il pourrait cette année prendre part à sa première olympiade, à Tokyo avec Totem de Brecey, un selle français de 13 ans à l’ascension fulgurante. D’ailleurs, ils viennent de terminer troisièmes de l’étape du Grand National de Vittel, où j’ai enregistré cet épisode. Christopher et Totem tracent leur route, et se préparent pour éventuellement prendre part à ce grand moment de sport que sont les Jeux olympiques. Serein mais déterminé, le cavalier installé dans les Yvelines, à côté de Rambouillet, revient sur ses expériences passées et ce qu’elles lui ont appris. Il livre également en toute sincérité son plan de bataille pour être d’attaque si Thierry Touzaint faisait appel à lui pour le voyage au Pays du Soleil Levant.

    Cet épisode est rendu possible grâce au soutien de la maison Forestier.

  • Avant de parler de l’épisode d’aujourd’hui, j’aimerais rebondir sur l’actualité équestre de ces derniers jours. Vous n’avez pas pu passer à côté de la victoire de Nicolas Delmotte et Urvoso du Roch dans le Grand Prix du CSIO5* de La Baule, dimanche dernier. Suite à ce résultat et leur régularité ces derniers mois, il serait étonnant que ces deux-là ne fassent pas partie du voyage pour les Jeux de Tokyo. Nicolas Delmotte était à l’honneur dans L'Écoute la semaine dernière, et je vous invite à écouter ou réécouter son interview où nous avons évoqué sa possible première olympiade. Mais pour l’heure, ce podcast aborde un tout autre sujet : celui de la préparation physique et médicale de nos cavaliers français, grâce à mes deux invités du jour. Eric Favory est médecin et François Xavier Ferey est kinésithérapeute et ils font partie de l’encadrement des équipes de France d’équitation. J’ai profité, justement, de leur présence il y a quelques jours de cela, au Jumping de La Baule, pour savoir quels sont leur rôle, leur mission, leur fonction et ce qu’ils apportent aux cavaliers du team France.

  • Il était déjà du voyage avec l’équipe de France de saut d’obstacles lors des deux derniers championnats. D’abord aux Jeux équestres mondiaux de Tryon, en 2018 avec Ilex VP, puis aux championnats d’Europe de Rotterdam, en 2019, cette fois avec Urvoso du Roch. Je veux bien sûr parler de Nicolas Delmotte. À l’aube de ses 43 ans, le Nordiste fait partie des prétendants à la sélection pour les Jeux olympiques de Tokyo. Au micro de L’Ecoute, quelques jours avant son départ pour le CSIO 5* de La Baule, auquel il prendra part dans l’épreuve par équipes avec Urvoso, il dévoile son état d’esprit, sa préparation, explique comment il jongle avec les imprévus de ce début d’année et comment il aborde cet événement qui serait, s’il y est convié, sa première olympiade.

  • Dans quelques semaines se tiendra l’évènement sportif qui figure parmi les plus attendus du monde : les Jeux olympiques. Si les conditions sanitaires très particulières avec lesquelles nous vivons depuis plus d’un an maintenant feront de Tokyo une olympiade bien différente, les épreuves des sports équestres devaient de toute façon faire face à une nouveauté de taille. Désormais, chaque pays ne peut envoyer que 3 couples cavalier/cheval, contre 4 auparavant. Terminée donc la suppression du moins bon résultat. Cette nouvelle règle pourrait assurément bouleverser les classements. En concours complet notamment, la moindre erreur va coûter très cher… jusqu’à 200 points de pénalités en cas d’élimination d’un des couples par exemple.

    Dans ce podcast, je donne la parole à deux hommes indispensables à la construction de l’équipe de France de concours complet, ainsi qu’à la mise en place de la stratégie. Pour L’Ecoute, Thierry Touzaint - sélectionneur national - et Michel Asseray - DTN adjoint - évoquent les changements impliqués par cette nouvelle règle, et expliquent comment adapter toute la stratégie du team France.

  • J-56 avant le début des Jeux olympiques de Tokyo. Avec trois médailles, deux en or et une en argent, lors de la dernière édition à Rio, l’équitation avait grandement apporté sa pierre à l’édifice de l’olympisme tricolore. Boostées par ces médailles, les équipes de France ont à coeur d’aller en chercher d’autres et de se surpasser pour l’olympiade à venir.

    Pour le premier acte de cette série de podcasts, je suis allée rendre visite à Sophie Dubourg, la DTN des sports équestres, afin de savoir quels sont les objectifs japonais des équipes de France olympiques et paralympiques.

    Au cours de cet entretien, elle nous explique également les conditions si particulières auxquelles les athlètes doivent se soumettre et détaille la préparation qui les attend dans les prochaines semaines, avant le grand départ pour le Pays du Soleil Levant.

  • Ah, le printemps ! Pour la majorité des passionnés de sports équestres, il sonne la reprise des concours en extérieur. Mais pour les éleveurs, c’est le moment de faire les bons croisements pour espérer - peut-être un jour - voir l’un de ses produits briller sur les plus beaux terrains de concours. Si les choix de l’étalon animent nombre de conversations, il ne faut en aucun cas négliger la poulinière, et notamment sa génétique. Nous sommes allées à la rencontre d’éleveurs particulièrement attachés à la lignée maternelle de leurs poulinières pour comprendre pourquoi la mère compte au moins autant que l’étalon à qui on l’associe.

    La souche maternelle, c’est le fer de lance de l’élevage Fondcombe. Lorsqu’il a lancé son élevage, Philippe Prévost a tenu à trouver les meilleures mères possibles. Pour lui, la qualité de la souche maternelle est indispensable et il n’hésite pas à sortir des sentiers battus en utilisant ses juments lorsqu’elles sont toutes jeunes, avant qu’elles n’entament leur carrière sportive. Une vision de l’élevage qu’il nous explique en détail.

    Chez les Martinot, l’élevage est une affaire de famille. Le père, Michel, a créé l’élevage Merzé dans les années 60 avant que son fils, Jean-Michel Martinot, ne le rejoigne dans l’aventure familiale quelques décennies plus tard. Une aventure qui a débuté avec une jument pur-sang anglais, Quornepipe, qui engendra au fil des générations l’étalon performer If de Merzé, dont presque toutes leurs poulinières découlent de cette lignée. Les deux hommes partagent les réflexions de leurs croisements, les qualités de cette lignée maternelle et leur façon d’élever leurs poulains.

  • Si la technique et l’expérience sont des facteurs clés dans la carrière d’un sportif, un autre élément peut faire, ou défaire, la réussite d’un athlète : son mental. Autrefois peu courante dans les sports équestres, la pratique du coaching mental est de plus en plus répandue, surtout chez les sportifs de haut niveau. Philippe Linget est préparateur mental et travaille avec tous types de cavaliers, de l’amateur au haut niveau. En janvier dernier, à Mâcon, il s’est joint au champion olympique Philippe Rozier pour un stage mêlant technique équestre et préparation mentale. Dans ce nouvel épisode de L'Écoute, les deux hommes nous parlent de l’importance du mental dans un sport où il faut composer avec un être vivant qui ne parle pas le même langage que nous, mais qui ressent nos émotions et notre état d’esprit mieux que quiconque. Qu’on soit cavalier professionnel ou compétiteur occasionnel, ils nous expliquent pourquoi le travail du mental a au moins autant d’importance que celui de la technique.

  • Le 5 février dernier sortait la 30ème édition du Hors-Série de l’élevage. Les équipes de L’eperon vous plongent au cœur du monde de l’élevage du cheval et du poney de sport.

    C’est pourquoi nous avons nous aussi eu envie de dresser dans ce nouveau podcast les portraits de deux éleveurs de renoms. Jean Drexler à la tête du célèbre élevage d’Hurlevent ainsi qu’Eric Levallois, intimement lié à un certain Diamant de Semilly…

    À bientôt 58 ans, Eric Levallois n’est plus à présenter. Indissociable de l’étalon vedette Diamant de Semilly, avec lequel il a décroché le titre de champion du monde en 2002 et qui fête ses 30 ans cette année, il gère pleinement depuis une dizaine d’années maintenant son propre élevage, l’élevage de Beaufour. S’il produit majoritairement des chevaux de saut d’obstacles, il est également un féru de courses hippiques. Il possède quelques poulinières trotteuses et s’est lancé il y a peu dans l’aventure du galop. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’Eric Levallois est un homme habité par la passion du cheval, qui fonctionne à l’instinct et trace son chemin sans se préoccuper de ce que font les autres. Il nous a reçu chez lui, dans son bureau en Normandie, à quelques pas du box de Diamant de Semilly, pour raconter l’histoire de son haras mais aussi et surtout pour partager sa vision et son amour pour l’élevage.

    Jean Drexler est à la tête du très célèbre élevage poney Hurlevent ! Impossible que vous n’ayez jamais entendu cet affixe si prestigieux.

    Dans ce récit, Jean nous parle des débuts et des clés qui lui ont permis de construire pas à pas la renommée que connaît aujourd’hui l’élevage d’Hurlevent ; du premier croisement jusqu’au meilleur produit issu de leur élevage tel que Nils d’Hurlevent, Hurlevent d’Hurlevent ou encore Une Muse d’Hurlement !

    C’est pas moins de 15 poulains qui voient le jour chaque année dans cet élevage. Depuis plus d’une décennie, Jean Drexler figure en tête de liste du classement SHF des poneys de CSO.

  • Ce n’est un secret pour personne, en dressage, la France peine à ramener des médailles. Pour autant, cavaliers, entraîneurs et membres de l’équipe fédérale se battent chaque jour pour progresser et faire en sorte que la France rivalise un jour avec les meilleures nations. Nous avons profité de la finale du Grand National de dressage, au Mans, en décembre dernier, pour nous pencher sur les perspectives d’avenir de cette discipline. Nos invitées, Emmanuelle Schramm, Mado Pinto et Morgan Barbançon-Mestre dressent un état des lieux du dressage français et dévoilent leur stratégie pour les prochaines années.

  • Le soleil qui se couche en fin d’après-midi, les orteils qui se brisent en descendant de cheval, les mains qu’on passe sous les couvertures ou la crinière pour tenter de les réchauffer… pas de doute, nous sommes bien en hiver. Ce moment de l’année est souvent considéré comme idéal pour parfaire ses gammes et ajouter de nouvelles cordes à son arc. Mais ce n’est pas toujours facile de définir des objectifs quand les concours sont en stand-by - surtout dans le contexte actuel - et que les éléments jouent parfois en notre défaveur.

    Nicolas Delmotte, Olivier Bost et le vétérinaire Christophe Descamps partagent leurs conseils pour passer le meilleur des hivers et en tirer le maximum de bénéfices… sans mettre en péril la santé de son cheval.

  • Avant d’introduire le premier épisode de cette nouvelle année, nous voulions vous remercier pour vos retours qui font grandir notre podcast et d’être toujours plus nombreux à nous écouter. Toute l’équipe de L’Ecoute vous souhaite une très bonne année 2021. Nous espérons que cette année sera porteuse de vos plus beaux projets et qu’elle vous permettra d’accomplir vos rêves les plus fous.

    Dans ce nouvel épisode, nous dressons un bilan avec les organisateurs de concours. En 2020, l’arrêt brutal du sport a littéralement bouleversé leur saison, les poussant à trouver des solutions pour toujours aller de l’avant. Même si l’année précédente n’a pas toujours été simple, nos invités restent optimistes quant à leur avenir et accueillent 2021 à bras ouverts.

    Philippe Rossi est directeur du Pôle européen du cheval du Mans. L’organisation de concours représente la très large majorité de ses activités et il n’a pas été épargné par la crise sanitaire. À quelques jours de Noël, nous avons profité de la double finale du Grand National pour lui rendre visite et nous entretenir avec lui sur cette année unique. Il nous explique comment il a vécu cette période particulière, avec ses doutes, ses solutions, ses idées, et nous dévoile ses projets pour 2021.

    À Vernoil-le-Fourrier, dans le Maine-et-Loire, Danièle Doumergue dirige le haras de la Mouline, composé d’un centre équestre et d’une partie élevage, et organise régulièrement des épreuves de concours complet, allant des Club aux Pros. Si l’organisation de concours n’est pas son cœur d’activité, l’arrêt des compétitions, puis leur reprise partielle, ont aussi perturbé son calendrier et l’ont poussée à se démener pour proposer de nouvelles alternatives.

    Sébastien Dauvergne : Sebastien Dauvergne est en charge de l’organisation des évènements sur le site de Mâcon Chaintré. Sébastien a vu son programme de compétitions chamboulé à de nombreuses reprises au cours de l’année 2020. Entre annulation et réorganisation, il a su faire preuve d’une grande résilience en organisant des concours à huit clos et notamment une étape du Grand National de saut d’obstacles ! Au cours de notre échange Sébastien se livre sur ses projets pour l’année 2021 !

  • La saison des concours complets a beau être terminée, nous profitons de la trêve hivernale pour parler dans ce podcast de génétique et de concours complet. Ces dernières années, l’évolution des chevaux de CCE a suivi celle de la discipline. Plus que jamais, ils doivent afficher des qualités évidentes dans les trois tests. De belles allures, du courage, de l’endurance et un excellent coup de saut sont autant de critères qu’il est parfois difficile de rassembler en un seul cheval. Nous avons profité du Mondial du Lion pour rencontrer nos invités et parler avec eux de génétique, de croisements et de l’avenir du cheval de concours complet. Nous espérons que vous allez prendre autant de plaisir à écouter ces discussions que nous en avons eu à les enregistrer.

    Jean-Pierre Cosnuau est juge aux Espoirs du complet, une compétition d’élevage qui se tient en parallèle du Mondial du Lion, et qui a été créée pour dénicher les futures stars du concours complet. Des croisements réalisés sur les dernières décennies à la labellisation des étalons “CCE”, en passant par l’intérêt grandissant des éleveurs pour la discipline, il revient avec nous sur l’évolution des chevaux de concours complet… Et vous allez voir que la langue de bois, Jean-Pierre Cosnuau ne la connait pas !

    Et si on partait de l’expérience de la génétique agroalimentaire pour créer des cracks de concours complet ? Olivier Grard n’est pas un éleveur comme les autres. Lui est ingénieur agroalimentaire et son travail consiste à créer de nouvelles variétés de pommes. Passionné de chevaux depuis sa plus tendre enfance, et après avoir trouvé LE croisement idéal chez les pommes, il a décidé d’utiliser ses connaissances en génétique pour produire les futurs cracks de demain. Au cours de cet entretien passionnant, il livre une vision totalement inédite de l’élevage, mais Ô combien réfléchie, et nous parle de Honey Crunch du Caire, l’un des poulains qu’il a fait naître et en qui il fonde de grands espoirs dans la discipline du concours complet.

  • Le haut niveau, c’est la vitrine des sports équestres, où les meilleurs chevaux et les meilleurs cavaliers évoluent dans un monde à part. Un monde de compétitions, parsemé de déplacements parfois à l’autre bout du monde. Nombreux sont ceux qui veulent y accéder, et y rester. Mais il arrive que les priorités changent, que l’adrénaline se transforme en routine, que les voyages deviennent de plus en plus lourds et de moins en moins enthousiasmants, que les chevaux d’exception ne se raréfient… et que le haut niveau ne fasse plus rêver.

    Dans ce podcast, nos trois intervenants ont décidé de renoncer au haut niveau, ou de le vivre autrement. Ils expliquent les raisons qui les ont poussés à changer de voie, voire de vie.

    Maud Ligouzat a passé huit ans aux côtés de Philippe Rozier, mais surtout de ses chevaux puisqu’elle était leur groom. Tout au long de sa carrière, elle a dédié ses journées, ses nuits et ses week-ends à ces cracks. Avec eux, elle a fait plusieurs fois le tour du monde et est passée par toutes les émotions. Désormais, elle est en reconversion professionnelle pour travailler dans la petite enfance. Elle raconte ce virage à 180 degrés.

    Avec Thor des Chaines, Thierry Pomel a pris part à deux championnats d’Europe, une Olympiade et a même décroché le titre de vice-champion du monde individuel à Rome, en 1998. Un beau palmarès qui ne l’a pas empêché d’avoir l’envie de découvrir un autre aspect du haut niveau, plus en coulisses. Il explique comment il a, au fil des années, amorcé cette transition qui l’a progressivement mené à son poste actuel : celui de sélectionneur de l’équipe de France.

    À 37 ans, Thomas Levêque a décidé d’opérer un changement de cap dans sa carrière. Alors qu’il tournait encore régulièrement sur des CSI 3, 4, voire 5*, il a choisi de délaisser le haut niveau et de se concentrer sur la valorisation et le commerce de jeunes chevaux. Il nous expose les raisons de cette décision.

  • Et si on prenait un grand bol d’air ? En ces temps perturbés où voyager est presque impossible, Gaspard Koenig nous emmène avec lui sur les traces de Montaigne.

    Un voyage de 2500 kilomètres qu’il a décidé de faire avec Destinada, une jument espagnole de six ans avec qui il a tissé une relation toute particulière.

    Tout au long de son périple, ponctué de rencontres, de discussions et de partages, il recueille les doléances des uns, écoute les opinions des autres, prend conscience du fossé qui sépare citadins et campagnards. Il aborde avec intelligence et ouverture d’esprit les sujets du moment, comme l’écologie ou le bien-être animal.

    Dans le hall de ce petit hôtel de Mulhouse, il nous raconte tout. Une rencontre aussi passionnante qu’inspirante.

  • Ces quatre jeunes constituent sans doute l’avenir du CSO français.

    Leurs points communs : ils sont talentueux, ont déjà fait partie d’une équipe de France jeunes et ont participé avec brillot à plusieurs coupes des nations.

    Ils ont entre 16 et 22 ans mais sont déjà très lucides sur le sport de haut niveau et sur le système à mettre en place pour y accéder.

    Découvrez dans cet épisode Rose de Balanda, Léona Mermillod, Antoine Ermann & Mégane Moissonnier évoquer leurs parcours et leur envie d’accéder au haut niveau.

  • Qui n’a jamais rencontré un cheval qu’il n’oubliera pas de si tôt ?

    Celui dont la personnalité, les origines ou encore le charisme lui donnent ce "petit truc en plus”. Nos trois invités de la semaine sont éleveurs ou cavaliers et vont vous raconter l’histoire de ce cheval grâce à qui ils ont participé cette année à la Grande Semaine de Fontainebleau.

    Le jeune et talentueux Paul Delforge nous parle de Festival du Banney, un cheval en qui il fonde de grands espoirs.

    Yannick Fardin, fondateur de l’élevage du Rouet nous présente Ginko du Rouet, un cheval promis à un brillant avenir !

    Enfin, le cavalier Jérôme Coulombier nous présente sa jeune recrue : Eulalie de Vesquerie.

    Belle écoute à tous 🎙️

  • L’info n’aura échappé à personne, cette année 2020 a été bouleversée par la crise sanitaire qui a paralysé le monde entier. La filière équestre n’a pas été épargnée et il a fallu composer avec une saison de concours écourtée.

    À l’occasion de la Grande Semaine de l’Elevage de Fontainebleau, nos quatre invités, Jean-François Morand, Christophe Grangier, Olivier Le Vot et Marie Bourdin, nous évoquent les conséquences de cette crise dans la formation des jeunes chevaux.

    Voici leurs réponses.