Episódios
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Il y a quelques anniversaires et records à fêter. Les 80 ans du débarquement allié en Normandie et la première baisse de taux de la BCE depuis le 16 mars 2016 en ce qui concerne les anniversaires. Du côté des records, des pics sur le Nasdaq et le S&P500 et sur Nvidia, qui devient la seconde capitalisation mondiale devant Apple.
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A la veille d'une probable baisse des taux de la BCE et à l'avant-veille d'une statistique mensuelle sur l'emploi aux Etats-Unis très attendue, les marchés actions sont toujours déboussolés. Déboussolés à haut niveau, mais déboussolés quand même. Les catalyseurs évidents ont du mal à produire des effets depuis quelques jours.
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Estão a faltar episódios?
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On a coutume de dire que les mauvaises nouvelles économiques sont de bonnes nouvelles pour les marchés actions, mais ça n'a pas tellement fonctionné hier. Les mauvaises nouvelles sont restées des mauvaises nouvelles. Mais les marchés actions sont peut-être aussi perdus à force d'être bombardés de données contradictoires. C'est ce dont on va parler ce matin.
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La dernière semaine du mois de mai 2024 a été frappée du sceau de la baisse : pour les actions, pour l'or, pour le pétrole et même, j'ose à peine le dire, pour la solidité financière de la France éternelle. On va passer tout ça en revue ce matin, en l'agrémentant des âneries habituelles et des dernières actualités politico-financières, fort denses ma foi au cours du weekend.
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En avril, les marchés actions avaient mis un terme à cinq mois consécutifs de rebond pour reprendre leur souffle. Mai devrait être marqué par un retour dans le vert des principaux indices boursiers, sauf dérapage incontrôlé lors de cette dernière séance du mois. Pour autant, le doute a fait son retour dans l'esprit des investisseurs ces derniers jours. Est-ce que les prochaines statistiques macroéconomiques permettront de dissiper les craintes ? Réponse à 14h30.
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Les records sont en train de s'éloigner pour plusieurs places boursières, rattrapées par le doute sur l'évolution des taux directeurs. Les financiers ont l'air d'avoir égaré le totem d'immunité offert par Nvidia la semaine dernière. Les regards se tournent désormais vers la séance de vendredi où une double statistique viendra confirmer, ou infirmer, les craintes.
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Nvidia a tracté le Nasdaq 100 et le S&P500 en territoire positif hier, alors que le reste de la cote, à l'exception des valeurs pétrolières, s'alarmait à nouveau de la trajectoire de la politique monétaire. On tourne toujours sur les mêmes sujets, mais à la fin, c'est l'intelligence artificielle qui gagne.
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Les financiers anglosaxons sortent d'un weekend de trois jours, ce qui devrait permettre de réveiller des places boursières qui ont été peu actives hier. Peu actives mais haussières, ce qui a ramené les indices du vieux continent à portée de fusil de leurs records, en attendant les grandes manœuvres sur les taux que la BCE devrait lancer pas plus tard que la semaine prochaine.
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Bon OK, le titre est un peu grandiloquent pour exprimer le fait que les bourses américaine et britannique sont fermées pour un jour férié. Sans les investisseurs anglo-saxons, les échanges seront probablement limités et les investisseurs risquent d'être sur la retenue. Sur la semaine écoulée, les valeurs technologiques ont encore brillé pendant que le reste de la cote était un peu à la traîne.
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L'ambiance s'est un peu dégradée sur les marchés financiers depuis le milieu de la semaine. L'euphorie qui a suivi les records boursiers quelques jours en arrière a cédé la place à un sentiment plus confus, avec le retour de la vengeance du réveil de la contre-attaque des craintes inflationnistes. Du déjà-vu quoi.
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Il y avait un enjeu assez colossal autour des résultats trimestriels de Nvidia hier soir après la clôture de Wall Street. J'en dis quelques mots juste après. En Europe, l'actualité tourne autour des élections anticipées au Royaume-Uni et des indicateurs d'activité PMI.
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Vous me pardonnerez ce petit emprunt à l'univers d'Harry Potter pour éviter d'écrire Nvidia dès le titre, puisqu'on frisera l'overdose aujourd'hui sur les marchés financiers. Les investisseurs pensent que le groupe est capable de continuer à entretenir la magie de l'IA, comme le montrent les records touchés hier à Wall Street. La réponse doit tomber ce soir sous la forme des résultats trimestriels de la société.
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Le 16 mai pourrait facilement postuler au concours des dates-anniversaires de trucs stylés mais inutiles. La preuve, c'est le jour de création de la Méhari (1968), du moonwalk (1983) et de la journée internationale du vivre-ensemble dans la paix de l'ONU (depuis 2017). Un indice : l'une de ces trois choses n'existe pas vraiment. Ce qui est bien ancré dans la réalité en revanche, ce sont les niveaux records des indices boursiers, qui sont plusieurs à évoluer au zénith depuis hier soir.
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Les records récents de plusieurs indices sont tombés hier sur les marchés actions. Entre deux statistiques sur l'inflation aux Etats-Unis, les investisseurs regardent les résultats d'entreprises qui continuent à tomber en Europe et les efforts de la Chine pour sortir de l'ornière. Ce matin, nous allons examiner la complexité des chiffres sur l'évolution des prix outre-Atlantique, alors que la Fed garde un œil bienveillant sur la situation.
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Ce matin, Emmanuel Macron et Roaring Kitty m'ont sauvé la mise. Pas ensemble, genre "Roaring Macron", mais chacun de leur côté. Ils m'ont donné de la matière pour éviter de retomber dans l'exercice déprimant qui consiste à assembler les termes bourse / inflation / taux d'intérêts / IA de toutes les façons possibles pour éviter de rendre la narration trop monotone. Mais je rassure les toxicos de Jerome Powell et d'OpenAI : vous aurez quand même votre shoot quotidien un peu plus loin.
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Pour débuter la semaine, je vais tenter un état des lieux financiaro-psycholo-pifométrique de la situation des marchés actions, qui vont plutôt bien. On va parler paradoxes, stats faiblardes et bénéfices des sociétés en délire. Il sera aussi question du marché chinois et du programme de la semaine.
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Hier, les échanges étaient un peu clairsemés en Europe pour un jeudi, la faute à l'accumulation des jours fériés sur la semaine. Ce qui n'a pas empêché l'optimisme de confirmer son retour en force chez les investisseurs, galvanisés par… une dynamique économique incertaine.
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Pendant que les places boursières américaines hésitent, la Chine confirme son embellie et les banques centrales brésilienne et britannique sont de sortie. Pour l'Ascension, je vais dresser un bilan des résultats publiés par les entreprises, qui n'ont pas pris la même pente en Europe et aux Etats-Unis au cours du 1er trimestre.
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Les marchés boursiers sont ouverts partout dans le monde aujourd'hui, même si la journée est fériée dans certains pays, dont la France. Business as usual donc, avec encore pas mal de résultats d'entreprises et une actualité macroéconomique qui tourne autour de la sempiternelle interrogation sur l'évolution des taux directeurs aux Etats-Unis. Après le stade du pessimisme il y a quinze jours et le retour de l'euphorie optimiste en milieu de semaine précédente, place à un entre-deux un peu soporifique.
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Après une éclipse partielle en avril, le goût du risque revient en force sur les marchés actions mondiaux, grâce à une bourse américaine qui se reprend à rêver de baisses de taux. Pendant ce temps, les publications trimestrielles continuent avec des résultats bancaires au beau fixe mais des performances contrastées ailleurs.
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