Episódios
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Les marchés jouent à se faire peur pour Halloween, ce qui est plutôt dans l'ordre des choses. La proximité de l'élection présidentielle américaine et quelques mauvaises surprises sur les résultats d'entreprises pèsent sur le moral des troupes. Et si le S&P500 américain est quasiment au même niveau qu'il y a une semaine, il y a pas mal de variations extravagantes sur les actions.
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Les trucs qui sont au plus haut ou presque ce matin : le Nasdaq, l'or, le bitcoin et la température au bord du lac d'Annecy. Ceux qui sont au plus bas : la dynamique des sociétés européennes et la cote de popularité d'Emmanuel Macron. Il y a énormément de publications de résultats d'entreprises aujourd'hui et une bonne épaisseur de statistiques. Autant dire que j'ai passé un début de matinée difficile.
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Estão a faltar episódios?
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A une semaine de l'élection présidentielle américaine, la tension politique monte mais n'affecte qu'indirectement les marchés financiers, occupés à décortiquer les résultats des entreprises. Si le scrutin est omniprésent en arrière-plan, Wall Street a montré par le passé qu'elle savait s'accommoder de toute situation. La journée de mardi sera marquée par les résultats d'Alphabet après la clôture.
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Une grosse semaine s'annonce, qui précède une grosse semaine. Dans les jours qui viennent, un grand nombre de résultats d'entreprises sont attendus des deux côtés de l'Atlantique. Puis place à l'élection présidentielle américaine et à une décision sur les taux directeurs US la semaine suivante.
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La saga des résultats d'entreprises a encore animé la cote hier. Des gains de plus de 20% pour Tesla et Molina aux Etats-Unis, des plongeons spectaculaires pour Edenred et Michelin en France, on ne sait plus où donner de la tête. Ça permet quand même de patienter en attendant de savoir si le monde sera croqué à la sauce démocrate ou à la sauce républicaine dans moins de deux semaines.
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Le grand marathon des publications trimestrielles a commencé, avec de bonne surprises chez Carrefour ou Tesla, des mauvaises chez Michelin ou Dassault Systèmes, Gucci (Kering) qui n'en finit plus de déprimer et Renault qui tient le choc. Le tic-tac de l'élection présidentielle américaine fait de plus en plus de bruit et profite au dollar. Il y a aura beaucoup de tout aujourd'hui : beaucoup de résultats, beaucoup de politique et beaucoup de macro.
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Les marchés actions ont mis la pédale sur le frein depuis quelques jours. Les investisseurs sont contrariés par trois trucs. Primo, le manque de second souffle du rebond chinois. Secundo, l'incertitude créée par l'élection présidentielle américaine. Tertio, le recul des probabilités d'un assouplissement monétaire spectaculaire aux Etats-Unis. Le tout avec une saison des résultats qui démarre mi-figue, mi-raisin et l'épée de Damoclès d'un dérapage dans la crise au Proche-Orient.
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Le marché obligataire a pris un coup de chaud hier, ou de froid, selon que l'on se place du côté des prix ou des rendements. Alors qu'ils ne devaient avoir d'yeux que pour les résultats d'entreprises, les investisseurs s'intéressent à nouveau au rythme des baisses de taux. Ce qui va m'amener à parler ce matin de Trump, de Fed, de SAP, de Nvidia ou encore de BRICS.
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A deux semaines de l'élection présidentielle américaine, les investisseurs vont se focaliser sur la pléiade d'annonces de résultats d'entreprises pour tenter de continuer à faire monter les arbres boursiers jusqu'au ciel. La Chine a rejoint ce matin le clan des banques centrales qui poursuivent leurs baisses de taux. La toile de fond géopolitique reste agitée, entre sommet des BRICS en Russie et guerre au Moyen-Orient.
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La première grosse semaine de publication de résultats trimestriels a accouché de performances contrastées selon les entreprises, ce qui n'a pas empêché plusieurs indices de toucher des records. L'IA, la Chine et la géopolitique continuent à fournir le contexte, pendant que le compte à rebours accélère avant l'élection présidentielle américaine.
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Tout est dans le titre ! Les résultats trimestriels d'entreprises animent la semaine, avec en guest-stars du jour Nestlé, Publicis, Nokia ou ABB, en attendant Netflix aux Etats-Unis ce soir. Dans l'intervalle, la BCE aura probablement annoncé une baisse des taux directeurs de la zone euro. En Chine, Xi Jinping a fait passer un message sur l'objectif de croissance. Mince, tout n'était pas dans le titre parce qu'il aurait été trop long.
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La bourse a brûlé deux idoles hier. ASML à cause d'une inflexion inattendue dans la trajectoire de croissance en 2025 et LVMH, dont les performances ont encore plus poussives que prévu au 3e trimestre. Le lancement de la saison des résultats est douloureux en Europe. Les Etats-Unis, secoués par les annonces d'ASML, ont pu compter sur les solides bénéfices des firmes de Wall Street pour limiter la casse.
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Pour gagner de l'argent en bourse hier, il valait mieux avoir des semiconducteurs que du luxe. Et de l'industrie plutôt que de l'énergie. Nous allons voir pourquoi. Pour le reste, ça bouge toujours beaucoup en Chine, mais l'agitation va désormais se déplacer, aussi, sur les résultats d'entreprises avec la première grosse brochette américaine dès la mi-journée.
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Les marchés boursiers continuent à regarder vers le haut, alors que se profile la première salve de résultats du troisième trimestre. Les investisseurs ont eu un avant-goût la semaine dernière avec les chiffres de trois banques américaines et de PepsiCo. Pendant ce temps, la Chine est sur un point de bascule après la forte remontée des indices depuis un mois : le marché reste avide de mesures de soutien pour croire au redressement économique du pays. La semaine sera aussi marquée par une probable baisse de taux de la BCE.
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La mini-résurgence de l'inflation aux Etats-Unis a réveillé quelques doutes sur les marchés financiers, mais pas suffisamment pour provoquer davantage qu'une pause. La semaine se termine sur l'annonce d'un budget de crise en France, mais aussi dans l'attente de nouvelles mesures de soutien en Chine et dans la crainte d'une réplique israélienne contre l'Iran. Dans le volet purement boursier, trois grandes banques américaines, JPMorgan Chase, Wells Fargo et Bank of New York Mellon, vont donner le ton des résultats trimestriels.
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Il y a deux jobs à éviter aujourd'hui. Ministre des finances français et investisseurs baissier sur les indices américains. Un peu la routine, en somme. Hier, les minutes de la dernière réunion de la Fed n'ont pas apporté beaucoup d'enseignements. Elles n'ont en tout cas pas empêché de nouveaux records sur les marchés actions. Les chiffres de l'inflation aux Etats-Unis en septembre, attendus pour l'après-midi, ne font pas vraiment peur.
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A 7h30 hier, quand j'ai décidé de titrer ma chronique "La bourse chinoise fait n'importe quoi", j'ai longtemps hésité avant d'appuyer sur le bouton valider en craignant que ce ne soit un brin excessif. Et puis en fait non, parce que la bourse chinoise a vraiment fait n'importe quoi. A tel point que j'ai failli titrer ce matin "La bourse chinoise fait (encore) n'importe quoi", faute d'un meilleur constat.
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Le retour des cotations en Chine continentale après une semaine fériée est assez animé. De quoi meubler la matinée en attendant l'arrivée des résultats de PepsiCo à la mi-journée. Aux Etats-Unis, les investisseurs font leur deuil d'une baisse de taux massive et rapide de la Fed mais peuvent se raccrocher à une économie qui tient bon.
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Finalement, l'économie américaine ne donne pas de signes de faiblesse. Les investisseurs trouvent que c'est plutôt bien, tant que cela ne contrarie pas trop la trajectoire de baisse de taux de la Fed. La semaine sera marquée par le coup d'envoi des publications des résultats du 3e trimestre. Le calendrier est encore clairsemé, mais les premières indications sont souvent importantes.
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Deux actualités se dégagent cette semaine sur les marchés financiers. D'une part, le rebond marqué du pétrole, proche de sa meilleure semaine depuis l'année dernière, avec l'algarade entre Israël et l'Iran. D'autre part la multiplication des données macroéconomiques américaines compatibles avec le scénario central des investisseurs : une économie qui ne rompt pas. Il pourrait y en avoir une troisième aujourd'hui avec le drama des surtaxations des véhicules électriques chinois en Europe.
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