Episódios

  • Beaucoup de personnes extĂ©rieures au milieu peuvent avoir une image trĂšs nĂ©gative du milieu. Effectivement il peut y avoir des abus et de dĂ©rive graves -vous le savez- mais le mannequinat ce n’est pas que cela! Il est tout Ă  fait possible d’avoir une carriĂšre honorable et ĂȘtre un mannequin heureux et bien dans sa peau 🙂 C’est ce que nous allons voir dans ce Podcast. N’hĂ©sitez pas Ă  me dire ce que vous en pensez! Tous les retour sont importants! 🙂 Vous aimez aussi : Jamais assez maigre partie 1 Jamais assez maigre partie 2

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  • Cette semaine place aux avantages ! On parle souvent du mĂ©tier de mannequin de maniĂšre nĂ©gative mais il y a aussi pas mal d’atouts! 🙂 Voici donc les 6 choses que j’apprĂ©cie particuliĂšrement dans mon mĂ©tier! 🙂 Et vous? Quelles sont les choses que vous apprĂ©ciez dans votre profession ou pour lesquelles vous ĂȘtes reconnaissant(e)s? A dĂ©couvrir Ă©galement : 8 astuces pour ĂȘtre plus photogĂ©nique 5 clichĂ©s sur les mannequins.

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  • Remplir son agenda quand on est mannequin ou Ă  son compte n’est pas toujours simple, notamment lorsqu’on dĂ©bute et on peut vite baisser les bras. Dans ce podcast, vous trouverez 3 astuces qui m’ont permis de remplir mon agenda rĂ©guliĂšrement. 🙂 Vous aimerez aussi les podcasts suivants : Mannequin loisir ou vrai mĂ©tier? 8 astuces pour ĂȘtre plus photogĂ©nique N’hĂ©sitez pas Ă  me suivre sur Apple Podcast et Ă  me laisser un commentaire 🙂

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  • Beaucoup de professions ont leurs prĂ©jugĂ©s et les mannequins n’y Ă©chappent pas! 😉 Cette semaine je vous propose Ă  travers ce podcast de voir ensemble les 5 clichĂ©s les plus frĂ©quents et ce que j’en pense de part mon vĂ©cu et mon expĂ©rience! 🙂 Je vous souhaite une belle Ă©coute! Et surtout n’hĂ©sitez pas Ă  me dire les prĂ©jugĂ©s que vous avez sur les mannequins et leur mĂ©tier! Et vous, dans votre mĂ©tier/vie ĂȘtes-vous aussi confrontĂ© Ă  des clichĂ©s parfois pesants? HĂąte de lire vos commentaires! 🙂 Vous aimerez aussi les podcasts suivants : 8 astuces pour ĂȘtre plus photogĂ©nique 5 secrets pour rĂ©ussir un casting

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  • En cette nouvelle semaine je vous propose de bien choisir votre agence de mannequins! 🙂 Il en existe beaucoup et il n’est pas toujours simple de faire le bon choix! Voici donc un podcast pour vous aider et vous conseiller au mieux en fonction de vos attentes! 🙂 Si ce Podcast vous plaĂźt n’hĂ©sitez pas Ă  me laisser une note sur Apple Podcast et Ă  vous abonner pour ne rater aucun Podcast. 🙂 Vous aimerez aussi les Podcasts suivants : 8 astuces pour booster votre photogĂ©nie Comment devenir mannequin?

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  • Participer au dĂ©filĂ© Chanel ou Ă  une campagne publicitaire est toujours un immense honneur pour un mannequin. Quand on pense Ă  Chanel on peut penser aux mannequins stars tels que Cara Delevingne, InĂšs de la Fressange, Kaia Gerber
 Aujourd’hui je vous propose de faire un focus sur deux de ses mannequins cabine emblĂ©matiques qui ont inspirĂ© et inspirent le studio de crĂ©ation Chanel. Pour cela, nous allons revoir rapidement l’histoire de la maison Chanel, puis aprĂšs avoir rappelĂ© le rĂŽle du mannequin cabine, nous nous intĂ©resserons Ă  deux muses sĂ©lectionnĂ©es par Karl Lagerfeld et devenues incontournables : InĂšs de la Fressange et Amanda Sanchez. Si InĂšs reste la plus cĂ©lĂšbre, elles occupent toutes les deux depuis leurs dĂ©buts une place de choix au sein de la Maison Chanel. Pour ce nouvel article vous avez le choix : version vidĂ©o, version podcast ou version texte. C’est comme vous prĂ©fĂ©rez! 🙂 L’histoire de Chanel Les dĂ©buts Gabrielle Chanel naĂźt le 19 aoĂ»t 1883 dans une famille trĂšs pauvre. Son pĂšre est marchand ambulant et sa mĂšre lingĂšre et repasseuse. Sa maman meurt trĂšs jeune et son pĂšre abandonne ses 5 enfants. Il place Gabrielle et ses soeurs dans l’orphelinat de l’Abbaye d’Aubazine. Gabrielle a alors 12 ans. Elle cachera ses origines modestes prĂ©fĂ©rera toujours croire et faire croire que son pĂšre Ă©tait parti faire carriĂšre en AmĂ©rique. De son sĂ©jour Ă  l’Abbaye, elle gardera un sens du dĂ©pouillement, un goĂ»t pour le noir et blanc ainsi qu’une fascination pour le baroque donnĂ©e par la contemplation des objets liturgiques. AprĂšs cela, elle chante dans un cabaret le soir oĂč elle hĂ©ritera du surnom de Coco. Elle prĂ©tendra que Coco Ă©tait le nom que son pĂšre lui donnait. La jeune femme Ă  l’allure de garçon, s’habille diffĂ©remment et s’inspire du vestiaire masculin elle crĂ©Ă©e des chapeaux plus simples et plus chics qui deviennent vite un succĂšs. Coco Chanel Boy capel, un anglais riche et cultivĂ© sera son grand amour. C’est lui qui aide Coco Ă  devenir Chanel et Ă  ouvrir ses premiĂšres boutiques Ă  Deauville, Paris et Biarritz. Gabrielle apporte une vraie rĂ©volution dans la mode : elle raccourcit les robes Ă  la cheville, libĂšre la taille, coupe ses cheveux. Elle fait littĂ©ralement changer la mode de siĂšcle. DĂšs 1918 Coco installe sa boutique et ses ateliers au 31 rue Cambon. L’adresse est aujourd’hui toujours la mĂȘme. En 1921 c’est la crĂ©ation de l’emblĂ©matique Chanel N°5 qui deviendra plus tard le parfum prĂ©fĂ©rĂ© de Marilyn Monroe. Gabrielle impose le noir. Cette couleur jusqu’alors rĂ©servĂ©e au personnel de maison ou au deuil devient la couleur absolue et l’instrument du succĂšs de Chanel avec sa fameuse petite robe noire. En 1939 durant la Seconde Guerre mondiale, Gabrielle ferme la maison de couture seule la boutique du 31 rue Cambon reste ouverte et continue de vendre parfum et accessoires. Une lĂ©gende de son vivant Chanel dĂ©cide de rouvrir la rue Cambon, et sa premiĂšre collection d’aprĂšs guerre est prĂ©sentĂ©e le 5 fĂ©vrier 1954. Gabrielle a 71 ans. Si l’accueil fait par la presse française est trĂšs blessant et moqueur. Elle est en revanche adulĂ©e aux États-Unis. Life, le magazine le plus lu du pays affirme : “À 71 ans, Gabrielle Chanel apporte mieux qu’une mode : une rĂ©volution”. À plus de 80 ans, Gabrielle travaillait toujours, elle s’éteint le 10 janvier 1971. Étant devenu une lĂ©gende de son vivant. AndrĂ© Malraux dĂ©clarera “De ce siĂšcle 3 noms resteront : de Gaulle, Picasso, Chanel”. Le style Chanel demeure grĂące au gĂ©nie de Karl Lagerfeld et Ă  prĂ©sent de Virginie Viard. Qu’est-ce qu’un mannequin cabine? Les mannequins cabine sont gĂ©nĂ©ralement des mannequins de l’ombre qui sont choisis par le directeur artistique d’une maison de couture pour essayer toutes les toiles avant que ces derniĂšres ne deviennent les vĂȘtements dĂ©finitifs de la collection. C’est sur ces mannequins que toutes les piĂšces d’une collection de haute couture ou de prĂȘt-Ă -porter haut de gamme sont crĂ©Ă©es.

  • Si vous vous intĂ©ressez Ă  la mode, vous connaissez sans doute Annabel, plus connue avec son compte Instagram @deshabillonslamode. Sur Instagram, Annabel nous raconte l’histoire passionnante des vĂȘtements que nous portons. Pour Secrets de Mannequin, Annabel Ă  acceptĂ© de nous dĂ©crypter l’histoire des piĂšces indispensables qu’on soit mannequin ou non. Aujourd’hui nous allons parler du dĂ©bardeur. Cette interview est disponible en format texte, audio et vidĂ©o pour vous laisser le choix de choisir le support qui vous parle le plus! 🙂 ï»ż Nathalie Rey : Bonjour Annabel Annabel Laso : Bonjour Nathalie Rey: Merci d’avoir acceptĂ© cette interview Annabel Laso: Merci Ă  toi PrĂ©sentation Nathalie Rey: Est-ce que tu pourrais te prĂ©senter? Annabel Laso : Bien sĂ»r. Je m’appelle Annabel LASO, j’ai 27 ans, je vis en banlieue parisienne. Depuis 10 ans au moins, je suis une grande fan de mode. J’ai donc dĂ©cidĂ© de faire des Ă©tudes dans le marketing et la communication de mode Ă  Paris. En parallĂšle de mes Ă©tudes, j’ai eu l’occasion de faire de nombreux stages, notamment dans la presse fĂ©minine et pour des Ă©missions tv de mode. J’ai pu donc cĂŽtoyer Ă  de nombreuses reprises des mannequins lors de dĂ©filĂ©s ou shootings. Je travaille actuellement en tant que chargĂ©e de communication dans l’innovation et la recherche et particuliĂšrement pour un programme qui s’appelle CARATS. Il vise Ă  accroitre la compĂ©titivitĂ© des entreprises de la mode et du luxe grĂące Ă  la recherche française. DĂ©shabillons la mode Nathalie Rey : Comment t’es venue l’envie de crĂ©er dĂ©shabillons la mode ? Annabel Laso : J’ai eu l’idĂ©e lors du premier confinement. J’ai toujours Ă©tĂ© attirĂ©e par l’histoire et la sociologie de la mode. J’adore dĂ©ambuler des heures dans les musĂ©es. Nous portons des vĂȘtements tous les jours, mais connaissez-nous vraiment l’histoire ou les anecdotes derriĂšre chacun d’entre eux ? Je propose donc des vidĂ©os courtes de 2min30 Ă  5min environ qui prĂ©sente une piĂšce iconique de notre garde-robe comme le trench, le cardigan ou encore la mariniĂšre. Nathalie Rey : Ton but est aussi de mettre en avant de jeunes marques. Comment est-ce que tu les sĂ©lectionnes ? Annabel Laso : Exactement. Il est important pour moi de mettre en avant de jeunes marques françaises, qui produisent en France ou en Europe. Ce sont des petites marques qui mĂ©ritent d’ĂȘtre plus connues. Je les sĂ©lectionne en grande partie sur Instagram. Cela peut ĂȘtre grĂące Ă  la visibilitĂ© d’influenceuses, mais Ă©galement grĂące Ă  la publicitĂ©. Des amis m’envoient Ă©galement des idĂ©es de marques dont je pourrais parler. Parfois, je regarde aussi des hashtags comme made in France ou CrĂ©ateurs français. Je les sĂ©lectionne selon les produits qu’elles proposent, par rapport Ă  leurs valeurs, Ă  leurs engagements Ă©thiques, Ă  leur originalitĂ©. L’histoire du dĂ©bardeur Nathalie Rey : Pour secrets de mannequin, tu as acceptĂ© de dĂ©crypter la tenue des mannequins qu’on porte souvent en casting. Et aujourd’hui, tu vas nous parler du dĂ©bardeur. Est-ce que tu veux nous en dire plus, sur son histoire? Annabel Laso : Bien sĂ»r. Le dĂ©bardeur est un vĂȘtement fin, sans manche. Il a Ă©tĂ© inventĂ© dans les annĂ©es 1860 par un manutentionnaire des Halles de Paris qui Ă©tait Ă  l’époque un marchĂ© de vente de gros de produits alimentaires. Un jour, le fameux manutentionnaire arrive avec un pull en laine dont il a dĂ©coupĂ© les manches. En effet, le fait de porter un pull Ă©pais entrave les mouvements comme les manutentionnaires Ă©taient de gros gaillards. Ses collĂšgues manutentionnaires sont sĂ©duits et dĂ©cident Ă©galement de porter le mĂȘme vĂȘtement. Le mot « dĂ©bardeur » vient d’ailleurs du verbe « dĂ©barder », qui consiste Ă  dĂ©charger des marchandises Ă  quai. SĂ©duit par cette idĂ©e, Marcel Eisenberg, propriĂ©taire de la bonneterie Marcel Ă  Roanne, s’est ensuite mis Ă  produire ce maillot de corps, Ă  qui il a donnĂ© son nom. Ce qui est drĂŽle dans cette histoire est qu’elle est trĂšs ressemblante Ă  l’invention du cardigan.

  • RĂ©ussir un casting n’est pas toujours chose aisĂ©e. Voici 5 clĂ©s qui peuvent vous aider ! 🙂 Cliquez sur Play pour Ă©couter le podcast et n’oubliez pas que vous pouvez aussi me retrouver tous les jours Ă  la radio! 🙂 Pour en savoir plus c’est par ici Je vous souhaite une bonne Ă©coute et je vous dis Ă  la semaine prochaine! 🙂

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  • Se lancer dans le monde de la mode peut ĂȘtre risquĂ© si l’on n’est pas bien entourĂ©. Voici 3 choses trĂšs importantes que vous devez absolument savoir avant d’envisager une carriĂšre. 🙂 Cliquez sur Play pour Ă©couter le podcast et n’oubliez pas que vous pouvez aussi me retrouver tous les jours Ă  la radio! 🙂 Pour en savoir plus c’est par ici Je vous souhaite une bonne Ă©coute et je vous dis Ă  la semaine prochaine! 🙂

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  • Aujourd’hui je vous propose une interview d’une mannequin professionnelle inspirante : HĂ©lĂšne Leduc. HĂ©lĂšne est Ă  la fois mannequin, assistante sociale et la fondatrice de la plateforme d’aide sociale SEAMS (anciennement M’ASK) (lien) qui accompagne les mannequins dĂ©butants et confirmĂ©s. Une belle initiative que lui a valu d’ĂȘtre la laurĂ©ate de la 6Ăšme Ă©dition du concours les audacieuses organisĂ© par la Ruche. Pour suivre cet interview vous avez le choix entre la version audio, vidĂ©o ou texte! 🙂 Introduction Nathalie Rey Bonjour Ă  tous! Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’interviewer HĂ©lĂšne, qui est mannequin professionnelle, assistante sociale et fondatrice de M’ask (SEAMS), qui est un systĂšme d’accompagnement et d’aide sociale pour les mannequins. Bonjour HĂ©lĂšne. HĂ©lĂšne Leduc Bonjour, bonjour. Nathalie Rey Merci beaucoup d’avoir acceptĂ© cette interview. HĂ©lĂšne Leduc Avec grand plaisir. PrĂ©sentation Nathalie Rey DĂ©jĂ , dans un premier temps, est-ce-que tu pourrais te prĂ©senter? HĂ©lĂšne Leduc Alors oui, donc moi, c’est HĂ©lĂšne, comme tu disais. Du coup j’ai crĂ©Ă© M’ask (SEAMS), un service social dĂ©diĂ© aux mannequins. Cette crĂ©ation vient en fait de mes deux expĂ©riences en tant que assistante sociale, de formation et mon mĂ©tier de mannequin que j’exerce maintenant depuis dix ans et depuis quatre ans Ă  temps plein. Donc, j’ai pu remarquer pas mal de prĂ©caritĂ© dans le milieu, qui m’a fait rĂ©agir sur les besoins et ce que je pouvais apporter grĂące Ă  mes connaissances d’assistante sociale. Parcours Nathalie Rey D’accord. Et du coup, en fait, quel a Ă©tĂ© ton parcours? Tu as d’abord Ă©tĂ© mannequin? Comment ça s’est passĂ©? HĂ©lĂšne Leduc J’ai Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e Ă  17 ans. J’ai fait le concours Elite en Bretagne, puis finalement, ce concours m’a amenĂ©e jusqu’en finale France. Donc, je me suis retrouvĂ©e dans les dix finalistes. À l’époque, ce n’était pas encore mixte. C’était que les femmes et aprĂšs ça, j’ai Ă©tĂ© prise directement en agence. C’est comme ça que cela a commencĂ©. C’était pour moi, plus une opportunitĂ© qui s’est ouverte Ă  moi. Je ne m’étais pas trop intĂ©ressĂ©e Ă  la mode avant ça. C’était vraiment la mode qui est venue Ă  moi et puis moi, aprĂšs, qui me suis intĂ©ressĂ©e Ă  ce milieu-lĂ . Les Ă©tudes Nathalie Rey D’accord. Donc tu as commencĂ© trĂšs jeune et tu as voulu, du coup, arrĂȘter tes Ă©tudes? Poursuivre tes Ă©tudes? HĂ©lĂšne Leduc Alors, j’avoue que j’avais pas mal d’apprĂ©hension dans ce milieu-lĂ . J’avais un peu peur que ça soit instable, que je ne puisse pas vraiment vivre de ce mĂ©tier-lĂ . Et comme j’étais encore en Ă©tudes, j’ai voulu quand mĂȘme terminer mes Ă©tudes, me dire que c’était peut-ĂȘtre bien d’avoir une licence avant de commencer Ă  faire du mannequinat. Je pense que c’était plus la peur de rentrer dans le milieu et je n’étais pas prĂȘte, je pense non plus au niveau de ma maturitĂ© puisque je pense qu’on est mannequin, il y a aussi un peu de ça. Et du coup, aprĂšs ma licence, lĂ , je me suis dit OK pendant plusieurs annĂ©es, je l’ai fait quelques mois l’étĂ© pendant les vacances scolaires, et ça marchait plutĂŽt bien. Je me suis dit qu’il ne faut pas louper le coche. Il faut tenter, faut tenter d’y aller Ă  plein temps au moins un an et finalement, ça fait quatre ans et ça marche plutĂŽt bien. Donc c’est une belle expĂ©rience. CrĂ©ation de M’ask Nathalie Rey Mais du coup, tu as aussi crĂ©Ă© M’ask (SEAMS). Comment ça t’est venu cette idĂ©e de crĂ©er cette plateforme? HĂ©lĂšne Leduc M’ask (SEAMS), ça a pas mal Ă©voluĂ©. Au tout dĂ©but c’était vraiment pour essayer de lutter contre l’isolement que j’avais vraiment ressenti au tout dĂ©but du mannequinat. Quand j’arrivais sur Paris, avec trĂšs peu de connaissances, trĂšs peu de liens entre les mannequins et trĂšs peu de soutien des agences. Et au final, au fil du temps, je me suis dit en fait, c’est beaucoup plus qu’une question d’isolement. C’est une question aussi de mĂ©connaissance du systĂšme français, du statut de mannequin.