Episódios
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Trop contente de vous retrouver pour une deuxième saison de Allez J’ose !
Alors cette année on est hyper motivées pour vous concocter une saison 2 pleine de surprises.
Et pour ce premier épisode j’ai décidé de vous écouter !
Vous avez été nombreuses à me demander de prendre la place de l’invitée, alors aujourd’hui c’est moi qui m’y colle ! Et si vous vous souvenez bien, c’était Agathe Lecaron qui m’avait lancé ce petit défi... Un défi parce que, finalement, c’est pas si facile de parler de soi, mais je pense que c’était important de le faire. J’espère que ça vous plaira !
Allez, c’est parti !
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Aujourd’hui, dans Allez J’ose !, j’ai eu envie de vous proposer un épisode un peu différent. Un épisode où deux voix se répondent et s’entremêlent. Celle d’une femme et, une fois n’est pas coutume, celle d’un homme aussi.
Elle est comédienne, metteuse en scène et autrice.
Il est psychiatre, psychothérapeute et auteur de nombreux ouvrages.
Ils ne se connaissent pas, mais auraient probablement beaucoup de choses à se dire. Mathilda May et Christophe André se parlent, par voix interposées, de la ménopause, du temps qui passe et des différentes façons d’y faire face. Je les ai rencontrés tous les deux…
Avec Mathilda, on a discuté en en regardant la pluie tomber; avec Christophe, on a bavardé dans son jardin, au son du chant des oiseaux.
Deux voix
Deux vécus
Deux regards
Ça vous dit ? Alors on est parti !
Et n'oubliez pas le dernier livre de Christophe André, S'estimer et s'oublier, sorti cette année aux Editions Odile Jacob.
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Estão a faltar episódios?
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Ce matin, j’ose tendre mon micro à une femme discrète et lumineuse qui cumule pas mal de talents. Elle s’appelle Azucena Caamano-Pagny, ex-mannequin, aujourd’hui entrepreneuse. Elle nous vient d’Argentine et s’est mariée avec la France il y a une vingtaine d’années quand elle a épousé Florent Pagny.
C’est la fin de l’été. Il fait encore beau et chaud alors on va en profiter. J’ai réservé une petite table à l’ombre d’un châtaigner dans un parc, enfin je pourrais presque dire MON parc....
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Aujourd’hui, j’ai un rendez-vous un peu particulier avec une artiste toute en contrastes : discrète et populaire, posée et volubile, réservée et extravertie, aussi crédible sur M6 dans Scènes de ménages, qu’au théâtre du rondpoint. Et apparemment très gourmande aussi !
Parce que oui, aujourd’hui, en plus de parler, je vais partager un chou avec mon invitée.
J’ai la chance d’être attablée face à une comédienne talentueuse, et une femme engagée : mon déjeuner avec Valérie Karsenti est sur le point de commencer.
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Si je vous dis qu'elle a illuminé nos années 80 aussi bien dans les films d'auteurs que les blockbusters, qu'elle a tourné avec les plus grands...
Qu'avec sa beauté diaphane et son aura ultra rock’n roll, à 20 ans déjà, elle détonnait.
A 66 ans elle n'a rien perdu de son charisme.
Cash et inclassable, rien ne lui fait peur et elle se moque du qu’en dira-t-on comme de sa première culotte !
Bref, on ne pouvait pas ne pas oser interroger Gabrielle Lazure.
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Aujourd'hui, "allez, j'ose" tendre mon micro à une femme qui pratique quotidiennement l'autodérision, qu'elle soit seule en scène, au cinéma, à la télé, elle ose tout, elle assume tout. C'est pour ça qu'elle est devenue au fil des années, une des comédiennes préférées des Français. J'aime sa gouaille, son humour, son immense sensibilité. Elle ne devrait pas tarder à arriver. Donc me voilà chez moi, en train de préparer un thé à Michèle Bernier.
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Un matin, je lui ai envoyé un message, tout en me disant : "Elsa, t'es folle ! Jamais elle acceptera !"
Et elle a osé;
Elle, maîtresse incontestée dans l’art de se réinventer, top model magnétique, ex-première dame engagée, chanteuse sensuelle à la fois puissante et tellement libre.
Carla Bruni-Sarkozy n’en reste pas moins soumise aux lois du corps et à celles du temps.
Comment a-t-elle fait face à la ménopause, au combat contre le cancer du sein ?
Quel regard porte-t-elle aujourd’hui sur sa féminité ?
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C’est toujours un peu intimidant d’aller à la rencontre de quelqu’un qu’on ne connaît qu’à travers un écran de télé.
Aujourd’hui c’est la comédienne Florence Pernel qui m’attend chez elle.
Elle tourne, elle tourne Florence depuis plus de 40 ans !
25 long-métrages, 6 courts, 23 téléfilms …
Si elle est resté dans la mémoire du grand public en incarnant pendant 10 ans la juge d’instruction Florence Larrieu dans "Le juge est une femme" sur TF1, c’est surtout les planches de théâtre qu’elle occupe aujourd’hui.
Ce qui me frappe tout de suite chez Florence c'est son allure. Elle est belle ! Elle est impressionnante en fait, et surtout elle semble être de ces femmes parfaitement aux commandes de leur vie.
Mais comme elle n'a pas accepté cet entretien par hasard j'ai hâte de découvrir ce qui se cache derrière tout ça.
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Aujourd’hui je vous emmène avec moi à la rencontre d'une réalisatrice, une scénariste, une autrice, une militante aussi, avec un coeur énorme et très tendre.
Enfin, c'est comme ça que je me l'imagine, parce qu'en vrai Lisa Azuelos je ne la connais pas du tout.
A part à travers ses films Comme t’y es Belle, LOL, Mon Bébé, Dalida, ...
Et j’ai aussi beaucoup aimé son dernier livre sorti l’année dernière La vie en ose.
Du coup, un jour, je lui ai couru après dans une soirée pour lui proposer "d’oser" parler avec nous. Parce que j’aime bien, j’aime même beaucoup, son regard sur les femmes.
Alors, votre avis elle a dit quoi ? Elle a dit oui ! Rendez-vous avec Lisa.
Allez, on y va, c'est parti !
Allez j’ose !
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Ce matin, je pars à la rencontre d’une observatrice avisée de notre société : Sophia Aram. Il est 10h, on a rendez-vous dans un petit café aux Halles, juste à côté de l’Eglise saint Eustache. Pour une fois, je suis même un peu en avance …
Sophia je suis sa carrière depuis des années. Je l’ai vu sur scène, j’écoute souvent sa chronique du lundi sur France Inter. J’admire sa franchise, son ton mordant et son mépris du qu’en dira-t-on, j’aime son engagement sans faille pour la laïcité, les droits des femmes, la liberté d’expression.
Ces derniers mois, j’ai remarqué qu’elle glissait dans ses billets de petites allusions à ses bouffées de chaleur… Il y a quelques mois, le début d’une de ses chroniques m’avait particulièrement interpellé.
En 3 minutes bien senties, Sophia se débarrasse de 50 ans de culpabilité. Et croyez-vous que mentionner sa ménopause à ce moment-là relève du hasard ? Moi je ne le crois pas. Mais alors, Pas. Du. Tout.
Bref, du coup je l’ai appelé, très vite elle m’a rappelé et encore plus vite on s’est donné rendez-vous. Et quand je l’ai vu débouler toute pimpante et tout sourire, et ben je me suis dit que j’avais bien fait !
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J’accroche mon vélo rapidement. Je suis un peu à la bourre pour aller rencontrer notre personnalité du jour inspirante, sympathique, tendre. Bref je me dépêche !
Il fait beau et ça je suis certaine que c’est grâce à notre invité, elle nous a ramené le soleil et la joie de son sud natal. Il flotte dans l'air comme une atmosphère de petit bonheur.
Ca fait plusieurs mois, que je lui cours après : Des sms, des WhatsApp, des bisous...
« La vie m’a réservé bien des surprises, » comme le titre éponyme de son livre, puisque, le phénomène, Véronika est bientôt face à moi !
Une évidence de parler ménopause avec celle qui à été l’une des premières à aborder le thème sur les réseaux sociaux. Parce que moi, c’est ça que j’aime chez elle, c'est son franc parler, son coté meilleure amie, sa manière de se relever de tout, pour faire face aux épreuves et sa force d’entrepreneuse suivie par des centaines de milliers de femmes sur Instagram. Même moi, je la suis. 😇
Et, pour vous donner une petite idée, le magazine Forbes la décrit comme la personnalité la plus influente auprès des femmes de plus de 50 ans qui entendent bien occuper le terrain, alors forcément, ça, ça me parle !
Allez venez on va oser prendre Véronika Loubry dans les bras et plus la lâcher !!
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Aujourd’hui il pleut des cordes, mais je suis quand même toute guillerette parce que là maintenant tout de suite, je vais à la rencontre de Gwendoline Hamon.
Comédienne au théâtre, puis au cinéma et à la télévision, Gwendoline explose littéralement dans le rôle de Cassandre depuis 8 ans, sur France 3. Elle nous attend chez elle. Et ça me fait tout drôle parce que toutes les 2, il y a très longtemps, on s’est très bien connues !
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Elle a osé ! Elle, une des stylistes de mode française les plus admirée, inspirée, a répondu à notre invitation en deux coups de cuillères à pot. Moi je suis fan depuis des années, j'adore tous ses vêtements, qui sont de véritables remèdes à la morosité.
Rendez-vous est pris dans ses nouveaux bureaux, à côté de la place sainte Victoire
Là, on est dans un autre univers. Ambiance loft industriel sur deux niveaux, poutres en métal, cloisons en bois clair et murs blancs. Une grande verrière zénithale... Et le showroom… On en parle du showroom ?
Mais pas le temps de s'extasier, direction la grande salle de réunion.
Me voici donc devant Isabel Marant, 57 ans, superstar des podiums, qui créé des vêtements que le monde entier s'arrache, et qui passe aussi ses vacances dans une maison de 18 m2 dans la forêt sans électricité...
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Avez-vous parfois l’impression d’avoir vécu plusieurs vies ?
Je marche à la rencontre d’une femme qui a eu 1000 vies. Qui n’a jamais arrêté de se questionner, de se chercher, d’expérimenter, de se renouveler. Après un dernier virage à 180 degrés, aujourd’hui sa place, elle a fini par la trouver. Ce soir, c’est Adeline Blondieau que je m’apprête à rencontrer.
Elle est de passage à Paris le temps d’une soirée, et nous a donné rendez-vous sur une péniche à Levallois Perret. Bon … Encore faut-il la trouver !
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Sa voix et son podcast Métamorphose m’ont accompagné pendant des périodes bien difficiles, alors, c’est pleine de gratitude que je suis arrivée devant Anne Ghesquière le jour du rendez-vous.
Fondatrice du magazine FémininBio, productrice du podcast Métamorphose, auteure et directrice de collection, Anne Ghesquière est une exploratrice du bien-être. Elle a trouvé son chemin pour s’accepter dans toute sa complexité. A la fois hyperactive et ancrée, hyper sociale et sauvage, elle est en paix avec qui elle a été, qui elle est, et ce qu’elle est en train de devenir aujourd'hui à 52 ans.
Vous le savez, ce podcast n’a absolument pas vocation à faire de la promotion, mais il y a des livres qui deviennent des compagnons, des amis je dirais même. On les garde tout près de soi, on les annote, on en corne les pages les plus marquantes, et on y revient pour se faire du bien. Pour moi, le dernier livre d’Anne Ghesquière « Va, vis et deviens conscient de toi-même » fait partie de ceux-là. Il propose 12 pistes pour une meilleure connaissance de soi.
S’il y a bien un moment, dans notre perpétuelle métamorphose, où il ne faut pas se perdre de vue, c’est bien à la ménopause. Alors j’ai eu envie d’entendre Anne nous raconter où elle en est de cette traversée.
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Plume irrésistible, talent acéré, humour cinglant...
Je pars à la rencontre d’une femme élégante, brillante, piquante, une journaliste et autrice au regard perçant et à la voix si singulière : oui, je parle bien d’Élisabeth Quin.
Elle est une des rares femmes de plus de 55 ans qu’on peut encore voir à la télévision, où elle anime chaque soir sur ARTE le magazine 28 minutes dans lequel elle s’empare de l’actualité et propose une autre façon de regarder le monde.
Du coup, je me suis dit qu’elle avait aussi, surement, une autre façon de regarder la ménopause.
Je m’apprête donc à interviewer une des intervieweuses les plus brillantes de la sphère médiatique - autant vous dire que j’ai un tout petit peu la pression au moment où je débarque sur le palier d’Élisabeth Quin...
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A l’époque où je travaillais comme journaliste mode, elle était déjà incontournable dans le milieu. Je me souviens, elle travaillait pour Prada. Aujourd’hui elle occupe le poste hautement stratégique de chargée des relations publiques chez Christian Dior. Mathilde Favier est un peu l’ambassadrice de l’excellence de la haute couture, son métier lui demande d’incarner au quotidien l’élégance à la française.
Alors forcément, moi qui sais que la ménopause freine beaucoup d’entre nous au travail, je me demande comment ça a pu se passer pour Mathilde Favier dans le milieu sans pitié de la mode ?
J’ai réussi à l'attraper au vol entre le Festival de Cannes et un shooting à Venise. Et, à l’abri des paillettes et des tapis rouges, j’ai découvert une femme douce et solaire, qui, comme nous toutes, a dû trouver des ressources pour faire face aux imprévus du corps et de la vie.
Lorsqu’elle a appris qu’elle était atteinte d’un cancer et que la chimiothérapie précipiterait sa ménopause alors qu'elle avait 46 ans, le plus important était de vivre. En affrontant la maladie, elle s'est frayé un chemin vers plus de tolérance, plus de recul aussi.
Elle nous raconte.
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Aujourd’hui on a rendez-vous avec un tempérament.
Elle a imposé son charisme et son franc parler sur nos écrans pendant presque trente ans. La Matinale, les maternelles, le supplément, le grand Journal, c’était elle. Aujourd'hui, avec son amie et associée Alexandra, elle a décidé de produire : des fictions, des webséries, des magazines... Ainsi que des évènements solidaires et féminins comme octobre Rose.
Elle sort aujourd'hui même un média digital qui s’adresse aux femmes de plus de 45 ans et un livre, son livre : « la femme invisible ». C’était donc le timing parfait pour aller se faire une petite causette ménopause avec Maïtena Biraben.
Et pour découvrir son nouveau média "Mesdames", c'est par ici : https://mesdames.media/
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Aujourd’hui, dans Allez J’ose !, j’ai eu envie de vous proposer un épisode un peu différent. Un épisode où deux voix se répondent et s’entremêlent. Celle d’une femme et, une fois n’est pas coutume, celle d’un homme aussi.
Elle est comédienne, metteuse en scène et autrice.
Il est psychiatre, psychothérapeute et auteur de nombreux ouvrages.
Ils ne se connaissent pas, mais auraient probablement beaucoup de choses à se dire. Mathilda May et Christophe André se parlent, par voix interposées, de la ménopause, du temps qui passe et des différentes façons d’y faire face. Je les ai rencontrés tous les deux…
Avec Mathilda, on a discuté en en regardant la pluie tomber; avec Christophe, on a bavardé dans son jardin, au son du chant des oiseaux.
Deux voix
Deux vécus
Deux regards
Ça vous dit ? Alors on est parti !
Et n'oubliez pas le dernier livre de Christophe André, S'estimer et s'oublier, sorti cette année aux Editions Odile Jacob.
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Je crois qu'une des choses que je préfère dans ce podcast c'est que je ne sais jamais à l'avance ce qui va se passer.
Chaque tournage est une petite aventure humaine et la promesse d'une belle rencontre.
Elle promène ses taches de rousseur et son regard mutin sur nos petits et nos grands écrans depuis presque 30 ans.
Tour à tour brigande, rebelle, héroïne romantique, sardinière en colère, mère dépassée…
Aujourd’hui, c’est en grand-mère drôle et grandiloquente qu’on la croise régulièrement dans l’inoxydable série CLEM, sur TF1.
Carole Richert m’attend sur son palier, un immense sourire aux lèvres.
Et je sais déjà qu’on va passer un joli moment.
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