Episódios
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Estão a faltar episódios?
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Se professionnaliser et écrire dans des genres différents, avec Alice Quinn
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Olivia Rigal est auteur de romance, et franco-éaméricaine. Elle a donc plein de choses qu'elle a pu tester sur Amazon.com
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Retrouvez les notes de cet épisode sur http://autoediteur.com/episode40
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Retrouvez les nots de l'épisode sur http://autoediteur.com/episode39
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Retrouvez les notes de l'épisode sur http://autoediteur.com/episode38
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Retrouvez les notes de l'épisode sur http://autoediteur.com/episode-37
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Épisode 35 : Pourquoi et comment faire des livres audio et les distribuer.
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Podcast 34 - Salon Livre Paris 2016 by cgodefroy
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Auteure-entrepreneure, c'est un métier ? by cgodefroy
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Chose promise, chose due ! Ce n'est pas moi que vous entendrez parler seul cette semaine dans le podcast, mais aussi Matthieu Biasotto. On aborde pas mal de sujets comme d'habitude, dont sa méthode habituelle pour écrire, sa stratégie pour trouver plus de lecteurs sans faire plus de marketing ou y perdre son temps et développer son catalogue en général. On parle aussi de points très spécifiques à Matthieu comme sa couverture sur persécutée. On aborde un peu la question du piratage en rapport avec l'exclusivité KDP Select. Il y a plus à lire de ma part à la fin de l'article, alors si vous écoutez le podcast retrouvez les notes sur http://www.edition-ebokks.com/episode31
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Avec un auteur malade, je me suis collé au podcast tout seul… Heureusement, j'avais des anti-sèches, sous la forme d'un petit bilan à 30 jours, d'un nouveau service et de questions des lecteurs/auditeurs.
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Retrouvez les notes sur http://autoediteur.com/episode29/
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Episode 28 - Solene Bakowski by cgodefroy
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Il ne faut pas croire que les auteurs indépendants sont des flemmards, hein, mais il y en a qui ont plus de projets que d'autres. Hélène Jacob fait partie de la seconde catégorie, et elle se fait remarquer par son enthousiasme pour aller dans de nouveaux projets, et pas de petits projets.
D'abord rédactrice, elle a développé depuis 2011 trois gros projets, en plus d'un travail plus "alimentaire" :
les romans de MIA,
les éditions Hélène Jacob (110 livres publiés, respect),
le tutobar.
On aborde ensemble tous ces aspects de son travail de créative entrepreneur. Et on passe plus de temps ensemble sur la crise de croissance d'EHJ, l'association d'édition qu'elle porte à bout de bras. Plus d'infos sur http://autoediteur.com/episode27/ -
«Je me suis régalée», m’a dit Florence en me renvoyant la transcription de l’entretien de cette semaine. Ce qui a largement confirmé mon appréciation personnelle.
Car cette semaine je reçois Laurent Bettoni, auteur publié à la fois en circuit traditionnel et autoédité, conseiller éditorial, anciennement directeur éditorial, actuellement éditeur free-lance. Et Laurent a un parcours à la fois dans l’Édition et hors de l’Édition qui lui a permis de construire une vision vraiment panoramique, et qu’il reste un auteur, attaché à la qualité de ce qui est le cœur de l’édition, le livre.
On parle pas mal de son parcours pendant l’entretien, donc je ne vais pas trop m’attarder dessus. Vous pouvez le retrouver sur sa page auteur Amazon, et lire son dernier roman Mauvais garçon, en attendant le prochain sur lequel il travaille activement. Il a aussi un blog ici, une page Facebook ici, et même un compte Twitter.
Si vous vous intéressez ou recherchez une correction éditoriale, vous pouvez le retrouver sur son site d’accompagnement littéraire. Il a quelques titres de noblesse dans cette activité aussi… -
«Lucie sait que son père ment. Elle l’a compris dès leur départ de Zénia, avant même qu’ils se soient engagés sur la route des Monts d’Argent.», voilà commence le prequel de Lucie Acamas et les spectres des songes. Commencer un roman par cette révélation, que les parents mentent, voilà qui mettrait peut-être Bettelheim dans tous ses états.
Mais Guy Morant, que je reçois cette semaine ne s’adresse pas aux plus jeunes des lecteurs, plutôt à cette tranche qu’on dit aujourd’hui “pré-adolescente”.
Vous avez vu comme j’ai tenté de relever un peu le niveau de mes présentations de blog ? C’est que cette semaine, mon invité est à la fois un auteur autoédité, un observateur fin de l’édition et un passeur de connaissance. Et un maître d’école…
On parle comme d’habitude de plein de choses, par exemple de couvertures. Guy a fait réaliser ses nouvelles couvertures par kouvertures.com, le site de David Forrest pour son activité graphique. Hats off to the designers !Capture d’écran 2015-10-12 à 15.06.48
Je le redis, la couverture est très très importante, et faire sa couverture soi-même, ou pire, utiliser les couvertures préformattées de KDP est un bon moyen de ne pas donner leur chance à vos livres.
On parle aussi beaucoup de son blog de «militant de l’autoédition», de la qualité de l’auteur, de la chance que nous avons et dont nous sommes responsables. Du statut fiscal/légal des auteurs indépendants, de la nécessité d’agir de front…
Hors antenne, Guy m’a fait découvrir Yves Lavandier et son excellent La Dramaturgie, que je vous recommande chaudement (même si les marges sont trop petites pour faire plein de notes). -
Alan Spade fait partie de ces auteurs qui vivent de leur travail d’édition. Bon, il n’a pas les mêmes revenus qu’Amélie Nothomb ou Michel Houellebecq.
Il y est parvenu essentiellement en allant vendre ses livres dans les espaces culturels et les grands magasins spécialisés.
A côté de cela il est le plus large possible dans sa diffusion électronique, et cherche à optimiser sa stratégie avec iBooks, Kobo en plus de Kindle. Il a d’ailleurs quelques bonnes astuces à partager avec vous.
Alan peut parfois sembler avoir la dent dure contre Amazon d’ailleurs, mais il reconnait les mérites du site Kindle, et de la chance qu’il offre aux indépendants. Mais il a la dent dure quand même, et n’a de cesse de prévenir les indépendants des modifications qu’Amazon peut imposer à tout instant.
Je ne vais pas lui jeter la première pierre.
Son parcours original, ses lectures et genres de prédilection en font aussi une personne et un auteur différent des auteures que j’ai interviewées récemment. Et en plus c’est un homme, ce qui change un peu des entretiens menés pendant la rentrée !
Vous pouvez retrouver sa trilogie Ardalia sur iBooks ou sur Kobo.
Et son dernier livre Le Vagabond aussi sur iBooks et Kobo.
Bon il publie aussi sur Kindle, mais, vous l’aurez compris, c’est la semaine où l’on boude Amazon (et ça n’a rien à voir avec le prix Amazon 2015). Ça ne durera pas ? -
Cette semaine, retrouvez Julie de Lestrange et son roman Hier encore, c'était l'été dans le podcast de l'autoédition. Oui, encore un roman qui a fait un carton cet été, et qui va continuer j'espère tout l'automne. Pourquoi m'intéresser ainsi aux livres numériques qui marchent si bien ?
Il y a deux principes de base à un succès qui dure dans l'édition : la qualité du travail d'écrivain et la qualité du travail d'édition. Et vous ne pouvez vous passer ni de l'un ni de l'autre. Bien sûr, il y aura toujours des astuces pour parvenir au top des ventes sur Kindle. Mais ces astuces ne sont que de la poudre aux yeux. Et Julie fait partie de celles et ceux qui ont tiré de leurs tentatives passées l'expérience nécessaire pour s'améliorer dans les deux domaines. Alors autant l'écouter partager son expérience et en tirer le meilleur.
Julie a donc beaucoup travaillé son roman, avec une longue écriture, et une longue réécriture aussi, une sélection sans pitié de la bonne couverture, une démarche de communicante pour attirer l'attention sur son roman (elle a travaillé dans une société de communication événementielle dans une autre vie), une phase de lancement pour donner plus d'intérêt commercial à son roman pour les premiers lecteurs. Elle aurait pu en faire plus peut-être, elle en a fait déjà beaucoup plus que de très nombreux autoédités.
Tout n'est pas rose non plus dans l'autoédition, même quand on a la chance d'avoir un livre qui est lu. Il faut réussir à développer sa peau de rhino. Souffler un bon coup, s'énerver contre un commentaire injuste voire lapidaire, et laisser passer en écrivant un nouveau roman. Un peu comme quand on fait face à des refus d'éditeurs papier.
Vous pouvez uniquement retrouver Julie sur sa page Facebook. Comme vous le verrez dans l'entretien, elle a de bonnes excuses ;-) mais je vous conseille toujours d'avoir votre propre espace sous la forme d'un blog ou d'un site mi-blog, mi-site statique pour avoir un véritable contrôle.
Bon, et je n'hésite pas à faire remarquer que j'ai mis des commentaires élogieux sur Amazon et Goodreads. Parce que même si "Boys don't cry", j'ai eu l'œil gauche qui piquait en lisant ce roman.
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