Episódios
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Dans ce nouvel épisode, je reçois Isabelle Stephen, la fondatrice de la Communauté Asexuelle de Montréal. Tout naturellement, nous avons donc parlé d’asexualité, en commençant par définir le spectre de cette orientation sexuelle. Isabelle m’a raconté son parcours personnel, en commençant par la découverte de sa propre sexualité, jusqu’à la création de la communauté montréalaise. Elle m’a également parlé des difficultés que peuvent vivre les personnes asexuelles et des ressources qui existent.
Bonne écoute!
https://www.facebook.com/cadMTL/
https://www.meetup.com/fr-FR/Montreal-Asexuals-Communaute-Asexuelle-de-Montreal/
https://fr.asexuality.org/forum/
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Dans ce nouvel épisode, je reçois à nouveau Willis, que vous avez pu entendre dans le premier épisode de la saison 2. Après avoir parler de sa masculinité en tant qu’homme noir, il me parle maintenant de son rapport à ses émotions. Bien loin du stéréotype de l’homme stoïque qui ne doit rien laisser paraitre de se qui se passe au fond de lui, Willis se livre au micro comme il se livre dans sa vie, avec sa sensibilité et sa philosophie.
Bonne écoute!
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Estão a faltar episódios?
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Dans ce nouvel épisode, j’ai voulu amener une dimension plus spirituelle et ésotérique au sujet des questions de genre. J’ai donc eu le grand plaisir de recevoir Vanessa DL, une femme qui se revendique fièrement sorcière et qui utilise l’astrologie, le tarot ou encore le yoga au travers de ses différentes activités professionnelles. Vanessa a apporté beaucoup de clarté sur des notions mal connues et mal comprises, comme celles du masculin et du féminin sacré. Energies, astrologie et sorcellerie sont donc au programme et j’espère que ça vous plaira.
Retrouve Vanessa DL sur son site: http://vanessadl.com
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Dans ce nouvel épisode, j’ai reçu Rémi, le créateur de la marque de souvetements unisexes Jojo et de la page Instagram @myjojofr qui montre la masculinité sous des angles que l’on n’a pas l’habitude de voir.
Représenter les masculinités dans leur diversité, ça lui tient à coeur car Rémi ne rentre pas lui même dans les cases associées à son genre. Il a manqué de modèles de masculinité positive et aujourd’hui, il contribue à remédier à ce manque de diversité. On a parlé d’inclusivité, d’homosexualité et d’acceptation de soi.
Bonne écoute!
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Dans ce nouvel épisode, j’ai reçu Marjorie, aussi connue sous son nom d’artiste Narcisse. Marjorie est chanteuse, autrice et interprète de ses textes. Elle est aussi queer et non-binaire, c’est à dire qu’elle ne se sent pas correspondre en totalité au sexe féminin qui lui a été assignée à la naissance. C’est de cela dont on a parlé dans l’épisode, du fait d’être au milieu du spectre du genre plutôt que de l’un ou l’autre bord. Marjorie m’a parlé de découverte, d’exploration et d’acceptation, au travers de sa vie personnelle et de ses performances d’artistes.
Tu pourras écouter un titre de Narcisse à la fin de l'épisode!
Pour suivre son projet, c'est ici:
- https://www.facebook.com/narcisse.pedneault/
- @narcisse.calice sur Instagram
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ans ce quatrième épisode, j’ai reçu Nadia, étudiante en cinéma qui a réalisé un documentaire sur la pornographie. Son oeuvre met en avant deux actrices qui parlent de leur métier sans aucun tabou. Dans son film, on découvre des femmes d’affaire qui parlent d’argent, de réussite et d’intimité. Une représentation qui contraste avec l’image de femmes soumises et dominées que l’on nous renvoie souvent . La pornographie, presque tout le monde en regarde mais personne n’en parle et les conséquences de ce silence sont souvent problématiques. Avec Nadia, pas de filtre: nous avons parlé de sexualité positive et respectueuse, de la place des femmes dans l’industrie pornographique, des problèmes que posent aujourd’hui la production et la diffusion de la porno, mais aussi d’éducation sexuelle et de féminisme.
Références et personnes mentionnées dans l'épsiode:
- Le documentaire "Rated X" de mon invitée Nadia Louis-Desmarchais. Pour le moment, il n'est pas disponible sur Internet mais je vous tiendrai informé.e.s des prochaines diffusions
- Erika lust: https://erikalust.com
- Le podcast "Les couilles sur la table", 4 épsiodes avec Virginie Despentes: https://www.binge.audio/category/les-couilles-sur-la-table/
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Dans ce troisième épisode, j’ai reçu Laurence. Je l’ai rencontrée il y a plusieurs mois dans un groupe de discussion auquel nous participons toutes les deux. Nos valeurs et nos intérêts communs nous ont rapprochées, ainsi que notre envie de communiquer autour de sujets qui nous touchent afin de créer des connexions entre les êtres humains. Nous avons donc décidé de lancer notre podcast, Le sens du vent, que je vous invite dès maintenant à suivre sur les réseaux sociaux (@lesensduventpodcast sur Instagram). Mais avant ça, j’ai voulu vous présenter Laurence car son parcours de femme est très intéressant. Avec sa personnalité de feu, elle ne rentre pas dans les standards de la féminité douce et docile que l’on nous inculque dès l’enfance. Des étiquettes, on lui en a collées, comme celle de "féministe enragée", dès sa plus jeune enfance, alors qu’elle ne faisait que s’exprimer dans une liberté que l’on accorde plus facilement aux garçons. Comment elle a construit son identité de femme, elle nous le raconte dans ce nouvel épisode.
Bonne écoute!
Références mentionnées dans le podcast:
- Oprah Winfrey (et notamment son podcast Super Soul Conversations)
- Queer Eye, sur Netflix
- The Woman Power, grâce à qui nous nous sommes rencontrées
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Dans ce second épisode de la saison 2 de Bleu Bonbon, j’ai reçu Kellie qui m’a parlé du fait d’être célibataire à trente ans et d’être fatiguée de devoir expliquer que l’on peut être heureuse sans être en couple. Kellie n’est certainement pas la seule femme célibataire de son âge à ressentir une certaine pression face à un entourage ou la société en général qui renvoie en permanence l’image que la norme, et donc, le bon chemin à suivre, c’est de se caser (notamment dans le but de fonder une famille).
C’est Kellie qui m’a sollicitée pour participer au podcast et qui m’a proposé ce sujet. J’ai accepté tout de suite car cela rejoint d’autres problématiques plus larges qui touchent les femmes, à savoir l’image que l’on projette, les injonctions qui pèsent sur nous et d’autres enjeux féministes.
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Quelques références qui ont été évoquées dans le podcast:
"Sorcières" de Mona Chollet L'article de Tracy McMillan: https://www.huffpost.com/entry/why-youre-not-married_b_822088 Single serving podcast: https://open.spotify.com/show/0vVwbdT9RAppTSHeamR6S5 "Women who run with the wolves" de Clarissa Pinkola Estés-----
Si tu as aimé, tu peux me soutenir de façon très simple, rapide, gratuite et super utile: il te suffit de me laisser 5 étoiles et un commentaire sur la plateforme avec laquelle tu m’écoutes! Cela permet au podcast d’être plus visible, plus écouté, et ça me donne les moyens d’aller plus loin dans ce projet.
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Prend soin de toi!
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Voici le premier épisode de la deuxième saison de Bleu Bonbon!
Pour cette première interview, j'ai reçu Willis, une personne que j’aime beaucoup et que j’ai eu la chance de rencontrer à Montréal dans un groupe de discussion auquel je participe régulièrement. Willis a souhaité intervenir sur beaucoup de sujets intéressants dans ce podcast, donc j’ai décidé d’en faire plusieurs épisodes. Je suis sûre qu’à la fin de celui-ci, tu vas avoir hâte de découvrir les autres.
Dans ce premier volet donc, on a parlé de masculinité (vaste sujet!) et notamment de masculinité noire, Willis étant français d’origine camerounaise. Nous avons parlé d'image, de sport, d'alcool et de sobriété, de mode, de rap, de filles, de responsabilités, de valeurs.
Permis quelques références citées dans l'épisode:
L'album de Kanye West cité par Willis : https://open.spotify.com/album/3WFTGIO6E3Xh4paEOBY9OU L'épisode du podcast "Les couilles sur la table": https://www.binge.audio/il-a-bu-son-verre-comme-les-autres/Celles et ceux grâce à qui on s'est rencontrés : https://neverwasaverage.comN'oublie pas de me laisser 5 étoiles et un gentil commentaire, ça aide vraiment le projet à se faire connaître et à se développer. Merci infiniment!
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Dans ce 20eme épisode, le dernier de la première saison du podcast, j’ai reçu Adrian. On a beaucoup parlé d’intersectionnalité, une notion qu’il a abordée dans ses études de littérature et qui l’intéresse beaucoup. Si tu ne sais pas de quoi il s’agit ça tombe bien, tu vas pouvoir en apprendre plus, mais pour résumer rapidement, ça touche à la construction de nos identités, aux privilèges et aux discriminations qui y sont associé.e.s. Adrian m’a également parlé de son désir de paternité, de politique et de féminisme.
Structure de l'épisode:
2’’20 C’est facile ou difficile d’être un homme?
3’’00 Est-ce récent le fait que tu te sois rendu compte des avantages d’être un homme?
4’’15 Peux-tu développer cette notion de ne jamais avoir eu à cacher qui tu es?
6’’36 Tu ne t’es donc jamais vraiment identifié aux standards de la masculinité?
8’’50 As-tu à certain moment souffert de ne pas entrer dans ces standards?
10’’56 Pour toi, les relations avec les femmes ont toujours été faciles j’ai l’impression, non?
12’’55 As-tu eu des modèles masculins?
14’’00 As-tu eu le souvenir que l’on t’ai appris ce que c’est qu’être un homme?
16’’00 L’intersectionalité, c’était un thème imposé dans tes études ou tu as choisi de t’y intéresser?
17’’00 Quand tu as choisi de l’étudier, c’était déjà des sujets auxquels tu pensais?
20’’18 Le fait de l’étudier, est-ce que ça t’as amené à te poser des questions sur ta propre identité?
22’’57 Est-ce que tu voudrais des enfants?
23’’33 Les questions du genre et de l’identité, tu voudrais les aborder avec tes enfants?
25’’28 Tu penses que tu éduquerais une fille et un garçon de la même façon?
26’’04 Est-ce que tu penses que c’est difficile d’être une femme?
30’’56 Tu le vis comment en tant qu’homme, toutes ces avancées féministes?
32’’17 Tu disais qu’il est important de ne pas prendre la place des autres, alors c’est quoi pour toi la place des hommes dans les mouvements féministes?
36’’00 Est-ce que ces sujets sont abordés dans tes groupes d’amis?
38’’17 As-tu constaté des différences entre la France et Montréal sur les questions de genre?
44’’33 Est-ce que tu as des oeuvres à recommander sur la question de l’identité?
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Dans ce 19eme épisode, je reçois Malaïka, une femme de 28 ans, très connectée à elle-même et aux autres. Malaïka est mannequin et elle voyage a travers le monde en suivant ce qui la fait vibrer. Ses émotions sont un peu comme sa boussole. Nous avons parlé d’expérience, de communication, de son avortement, de jalousie entre les femmes et de la frontière parfois floue entre l’amitié et l’amour.
Structure de l’épisode:
1’’37: Est-ce que c’est difficile pour toi d’être une femme?
2’’42: Saurais-tu dire à partir de quel moment tu t’es considérée comme femme?
3’’38: Quels sont tes rapports aux standards de la féminité?
4’’30: As-tu l’impression que tu rentres dans ces standards?
5’’56: Pour toi, c’est donc un choix personnel de sortir de ces standards s’ils ne te conviennent pas?
6’’16: Est-ce que ça t’as déjà posé des difficultés?
7’’24: Quels préjudice ça a pu te poser dans tes relations amoureuses?
9’’25: Ton rapport à ton corps et à ton image, il a évolué comment?
11’’54: Est-ce que parfois il y a des décalages entre ce que tu ressens dans ton corps et ce qu’on te demande de faire dans ton métier?
13’’!5: C’est comment les rapports entre les mannequins entre elles?
14’’28: Tu en es venue comment à t’intéresser au développement personnel?
23’’17: Les relations entre les hommes et les femmes, tu trouves ça simple ou compliqué?
23’’42: C’est quoi la peur à l’origine du manque de communication?
25’’14: Trouves-tu que la différence de sexe joue sur les problèmes de communication?
27’’52: À la fois tu disais que les hommes et les femmes sont différents par nature et qu’il s’agit de constructions sociales; sais-tu distinguer ce qui vient de la nature et de la société?
30’’49: As-tu eu des modèles féminins? Ou masculins?
32’’52: Comment as-tu vécu ton avortement?
37''00: Qu'est-ce que tu penses de ce qu'on entend aujourd'hui sur l'avortement et les reculs aux États-Unis?
38''33: Est-ce que même dans la sexualité tu trouves que les hommes ont eu trop de pouvoir où de choses à dire?
38''57: Tu trouves que les mentalités évoluent un peu quand même?
41''00: L'amitié homme/femme...
48''05: Est-ce que tu penses que c'est difficile d'être un homme?
50''15: Ces difficultés, tu arrives à en parler avec des hommes?
51''15: Te considères-tu comme féministe?
53''10: La jalousie entre femmes, tu l'as expérimenté?
53''33: Tu crois que c'est dû à quoi?
54''58: Cette jalousie entre les femmes, tu croies qu'il y a la même chose entre hommes?
55''38: Est-ce que tu voudrais des enfants?
57''55: Qu'est-ce qui t'attires plus dans l'adoption?
58''52: Ressens-tu la pression sociale d'avoir des enfants quand on approche la trentaine?
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Dans ce 18eme épisode, je reçois Xavier, un homme de mon âge (29 ans) qui travaille dans la recherche. Xavier et moi, vous allez sûrement l’entendre, on est très différents, dans nos personnalités comme dans un certain nombre de nos idées. Mais il a souhaité se prêter au jeu du podcast et je pense pouvoir dire que ça a été bénéfique pour nous deux. Quel meilleur exercice que de prendre le temps de s’écouter, de se parler, et de finalement trouver quelques points d’accord alors qu’a priori, tout nous opposait?
Structure de l’épisode:
1’’55 Est-ce que c’est difficile pour toi d’être un homme?
2’’12 Tu t’es déjà posé la question?
3’’03 Il n’y a pas des situations où tu te serais dit que c’est plus simple d’être une femme?
3’’35 Je ne vois pas ce que tu veux dire par « bitcher », je voudrais que tu m’expliques.
3’’52 Et les mecs ne font pas ça?
4’’22 Tu as l’impression que les filles se prennent plus la tête que les mecs alors?
5’’04 C’est quoi ton rapport aux standards de la masculinité?
5’’56 Tu n’as jamais ressenti de pression de conventions sociales qui font que tu aurais dû de comporter plus comme ci ou comme ça?
6’’36 Tu as déjà trouvé cela difficile de ne pas suivre le chemin comme un « petit mouton »?
6’’52 Peux-tu me parler de ton enfance? Comment tu as grandi comme mec?
8’’46 As-tu le souvenir que l’on t’ai appris ce que c’est qu’être un homme?
9’’15 As-tu eu des modèles masculins?
10’’15 Trouves-tu que les rapports entre les hommes et les femmes sont compliqués?
11’’45 Les rapports d’amitié tu trouves cela pareil entre les hommes et les femmes?
11’’55 Pourquoi c’est plus compliqué avec les femmes au travail?
12’’42 C’est quoi les différences de rapports que tu peux avoir entre les mecs et les filles?
13’’41 Dans le travail trouves-tu que c’est plus compliqué avec les femmes uniquement parce que tu te sens plus proche des mecs?
16’’04 Les femmes de qui tu parlais avec qui ça pouvait être compliqué, c’était des supérieures hiérarchiques?
17’’19 As-tu vu des différences dans les rapports entre les hommes et les femmes entre la France et le Canada?
19’’47 Montréal a-t-elle eu une influence sur ton côté râleur et qui juge?
21’’10 Tu t’es déjà battu toi?
21’’43 Est-ce que tu penses que c’est difficile d’être une femme?
23’’34 Tu trouves que les françaises ne sont pas légitimes à se plaindre?
25’’17 C’est quoi ton rapport au féminisme?
31’’13 Qu’est-ce que tu trouves trop, chez les femmes qui « ouvrent leurs gueules »?
33’’05 Tu fais du sport? Tu as fait quoi?
34’’50 Tu voudrais des enfants?
37’’29 Réfléchir par soi-même, est-ce que tu as l’impression de l’avoir appris à l’école?
39’43 Si tu avais une fille ou un garçon, tu penses que tu les éduquerais pareil?
40’’04 Qu’est-ce qui te fais dire qu’une fille est plus fragile sentimentalement?
40’’48… Pour pouvoir arriver à coucher avec?
41’’56 Et toi ça t’es déjà arrivé de juger une fille qui couche le premier soir?
42’’27 Tu trouves que les filles ont plus de risques que les mecs?
45’’21 Tu disais que les femmes sont moins libres de parler de leur sexualité, tu as toujours senti et pensé ça?
46’’54 Par rapport à tes amis mecs, tu trouves qu’ils reflètent cette partie de la société?
47’’35 Tu trouves qu’il y a un changement générationnel sur ces que...
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Dans ce 17eme épisode, je reçois Sarah, une femme franco-canadienne de 29 ans. Sarah m’a parlé du fait d’être une fille qu’on qualifie de "garçon manqué", de la découverte de sa féminité, de sa réconciliation progressive avec les femmes, mais également de bissexualité et surtout, de patriarcat. Tu vas voir, ça revient souvent sur le tapis.
Structure de l’épisode:
2’’00 C’est facile ou difficile d’être une femme?
3’’18 Qu’est-ce qui te gênait dans le fait d’être une femme?
4’’06: Qu’est-ce qui a changé ta vision des choses?
5’’43 Qu’est-ce qui t’as amenée à lire des livres féministes?
6’’29 Voudrais-tu me parler un peu plus de cette relation et de ce qu’elle t’as apporté?
7’’09 Crois-tu que puisque tu te rapprochais plus des hommes, tu as plus entendu ce message puisqu’il venait d’un homme?
7’’47 Les relations avec les femmes ont-elles toujours été compliquées de la même façon?
9’’53 Depuis cette prise de conscience, les relations avec les femmes sont-elles toujours aussi compliquées?
10’’40 As-tu vécu des moments où tu étais clairement en compétition avec des femmes?
11’’41 Tes rapports avec les standards de la féminité ont-ils changé?
13’’24 C’est quoi pour toi le féminisme?
14’’04 Quel genre d’idées ont fait que tu étais réfractaire aux idées féministes?
16’’24 Ces évolutions ont-elles changé tes rapports avec les hommes?
17’’23 Peux-tu me parler de ton enfance?
17’’55 Etre sexuelle très tôt, ça a été facile à accepter?
18’’40 Tu as l’impression que vous avez été éduqués de la même façon avec ton frère?
19’’10 En as-tu parlé avec ta mère, des standards de la féminité?
20’’20 Est-ce que tu as eu d’autres modèles féminins?
22’’07 Ta bisexualité a été facile à accepter?
22’’28 Et ça a été accepté par ton entourage ou pas?
22’’54 Tu avais donc plus des modèles masculins alors?
23’’33 Est-ce qu’il y a des choses que tu voudrais voir changer dans ta vie de femme?
25’’59 Tu dis que tu t’intéresse à la question du genre depuis longtemps. A la fois tu me dis que tu voudrais que tout le monde soit traité pareil mais aussi qu’on respecte les différences de chacun…
26’’50 Quelles différences trouves-tu saines à préserver et nécessaires à casser?
27’’43 Tu as l’impression que tout est vraiment social et culturel dans ces questions-là?
28’’12 Est-ce que tu veux des enfants?
30’’05 Si tu avais des enfants, voudrais-tu leur parler du genre?
31’’36 C’est quoi ton rapport à ton corps? Ça a été facile d’accepter ton corps de femme?
33’’04 Est-ce que les rapports entre les hommes et les femmes sont compliqués?
34’’18 Est-ce que tu penses que c’est difficile d’être un homme?
36’’16 Tu penses que c’est une projection du futur ou que c’est réel, la peur d’aborder les femmes?
36’’51 Des hommes t’ont-ils parlé de leurs difficultés?
38’’05 Est-ce que tu parles des mêmes sujets avec les hommes et les femmes?
39’’19 Est-ce que c’est facile pour toi de parler de sexualité?
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Dans ce 16eme épisode, je reçois Nicolas, un homme français de 29 ans qui travaille dans l’informatique. Cette discussion était riche et passionnante et cet épisode est, selon moi, d’utilité publique. Et oui, n’ayons pas peur des grands mots! En effet, Nicolas m’a parlé des tabous chez les hommes, comme la taille du sexe et le plaisir féminin, de son frère transsexuel, et de plusieurs prises de conscience qu’il a eu au cours de sa vie, notamment depuis qu’il vit avec une femme féministe.
Structure de l’épisode:
1’’39 - C’est facile ou difficile d’être un homme?
2’’35 - Ça fait longtemps que tu portes la barbe? Tu trouves que ça a changé des choses dans le regard des autres?
3’’11 - As-tu l’impression que tu corresponds aux standards de la masculinité?
4’’00 - Tu ne t’ai jamais vraiment posé de questions par rapport à la masculinité?
4’’21 - Y a-t-il des hommes dans ton entourage qui ont pu se poser ce genre de questions et souffrir de ne pas correspondre aux standards de la masculinité?
5’’03 - Ces sujets ne sont pas abordés entre vous?
5’’34 - As-tu le souvenir que l’on t’ai appris ce que c’est qu’être un homme?
6’’02 - As-tu eu des modèles masculins?
6’’47 - Peux-tu me parler de ton enfance et de comment tu as grandi en tant que garçon?
7’’23 - Tu n’as jamais été confronté à une difficulté liée à ton genre?
7’’52 - Quand tu étais petit, tu trouvais que les amitiés étaient aussi faciles avec les garçons qu’avec les filles?
8’’50 - Les rapports entre les hommes et les femmes, tu les trouves faciles aujourd’hui?
9’’59 - Tu n’as pas de souvenir de séparations entre les filles et les garçons à l’époque des cours de récré?
11’’29 - Tu trouves qu’il y a des changements générationels sur ces questions d’éducation genre?
12’’12 - A ton avis, quel est l’intérêt de garder ces schémas genres?
12’’59 - Les relations entre les hommes et les femmes à l’âge adulte, qu’en penses-tu?
15’’18 - Trouves-tu aussi que les femmes parfois ne comprennent pas les hommes?
17’’07 - Quelles sont les situations de malaise dont tu parles?
17’’59 - Les hommes en ont-ils conscience quand ils vont trop loin avec les femmes qui ne consentent pas?
20’’30 - Dans le milieu professionnel, les rapports entre les hommes et les femmes, tu en penses quoi?
21’’38 - Quand tu as pensé cela, tu t’es rendu compte toi-même que c’était sexiste?
22’’27 - Tu as observé des situations particulièrement sexistes dans le boulot?
25’’28 - Tu trouves dans le milieu du jeu vidéo que les nouvelles générations sont plus sexistes?
26’’33 - C’est quoi pour toi le féminisme?
28’’47 - Le féminisme, c’est une affaire de femmes ou ça doit être une affaire des deux sexes et des deux genres?
29’’20 - Pourquoi les hommes ne veulent pas comprendre ces problématiques?
30’’06 - A part ce que tu as déjà évoqué, penses-tu à des difficultés liées au fait d’être une femme?
31’’22 - Tu trouves que la situation est différente entre la France et Montréal?
33’’33 - Tu voudrais des enfants?
34’’22 - Est-ce bien perçu par ton entourage, le fait que tu ne veuilles pas d’enfants?
35’’47 - Ta copine a-t-elle les mêmes réactions de son côté, concernant le fait de ne pas vouloir d’enfants?
36’’29 - Qu’est ce que tu penses qu'il est important de transmettre aux enfants concernant le genre?
37’’42 - Penses-tu qu’il est important d’...
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Dans ce 15eme épisode, je reçois Emilie, une comédienne française de 29 ans qui est également une de mes meilleures amies. Elle m’a parlé de confiance en soi dans le métier de comédienne, de faire du sport pour impressionner les garçons, du fait de se sentir belle, de harcèlement de rue, de règles, de contraception, de Béyoncé mais aussi (surprise!) de féminisme. Emilie m’a expliqué comment, progressivement, elle a pris conscience des empreintes du patriarcat dans notre société.
Structure de l’épisode:
1’’50: C’est facile ou difficile pour toi d’être une femme?
2’’36: Quel genre d’évènement a fait que tu as pu te poser la question de savoir si les difficultés que tu as vécues sont genrées?
4’’07: Tu as dit avoir remarqué que chez les hommes comédiens, c’était plus facile de se lâcher. Est-ce un ressenti personnel ou partagé par d’autres comédien.ne.s que tu connais?
55’’22 As-tu remarqué les mêmes tendances dans d’autres situations que le théâtre?
6’’53: Toi qui as des frères et une soeur, as-tu le souvenir de ce que vous pouviez faire de différent chacun dans le foyer?
9’’31: C’était quoi ton enfance avant qu’il y ait tes frères?
10’’20: Ton adolescence comme fille, comment c’était?
13’’13: Il y a un truc vraiment intéressant, tu dis qu’à l’époque du collège tu étais plus proche des garçons alors que c’est en général un moment où les filles et les garçons sont plutôt séparés. Est-ce que ça a continué comme ça?
16’’55: Tu saurais dire quand tu as eu cette prise de conscience?
17’’35: Te souviens-tu d’un déclencheur ou bien cette prise de conscience a été progressive?
18’’20: Comment tu gères avec tes potes qui voient les choses différemment?
22’’40: À ton avis, pourquoi les hommes « tombent des nues » quand on parle de harcèlement de rue?
26’’48: Est-ce que tu as le souvenir que l’on t’ai appris ce que c’est qu’être une femme?
29’’59: Tu as plus l’impression d’avoir appris ce que c’est qu’une femme par opposition à ce que c’est qu’un homme?
30’’05: Est-ce que tu as eu des modèles de femme qui t’ont inspirée?
32’’29: Est-ce que tu penses qu’il fallait chercher à être un mec?
33’’55: Béyoncé, tu trouves qu’elle incarne quoi?
36’’36: Tu me fais une transition toute trouvée sur ton rapport personnel aux standards de féminité. Quel est-il?
40’’37: Est-ce que tu as l’impression que la beauté, c’est quelque chose qu’on a toujours en tête quand on est une fille? Et que c’est peut-être différent chez les mecs?
41’’53: Tu te souviens quand tu as commencé à te maquiller toi?
44’’16: Qu’est-ce que tu penses qui est difficile pour les mecs, dans leurs vies et dans leur condition sociale?
49’’40: J’ai envie de finir sur une note un peu plus positive… As-tu une pensée ou une réflexion à partager ?
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Dans ce 14eme épisode, je reçois Alexander, un français de 28 ans expatrié à Montréal, amoureux de voyages et de grands espaces. Il m’a parlé de différentes pressions qu’il a pu ressentir dans sa vie d’homme, comme par exemple quand il faisait de la danse classique dans son enfance, ou aujourd’hui, alors qu’approchant la trentaine, il ne souhaite pas avoir d’enfants. Des injonctions sociales qui donc, ne touchent pas uniquement les femmes que l’on presse à être mères sous la menace de la fameuse horloge biologique.
Structure de l’épisode:
2''28 Est-ce que c’est difficile d’être un homme?
4’’14 A quelles attentes et à quelles cases penses-tu justement?
6’’28 Tu avais arrêté la danse classique à cause de cette pression ?
6’’54 Tu dis que c’est resté un secret et que tu as ressenti une pression, mais c’est donc une pression que tu as imaginée?
8’’36 Y a-t-il eu d’autres moments dans ta vie où tu as senti qu’il fallait que tu taises certaines choses ou que tu changes ton comportement pour rentrer dans les standards de la masculinité?
9’’43 Sur quels points ressens-tu actuellement ces pressions?
11’’15 Y a-t-il eu des situations dans ta vie où tu aurais pu te dire: ça aurait été plus simple si j’avais été une femme?
11’’43 Peux-tu me parler de ton enfance?
14’’46 As-tu le souvenir qu’on t’ai appris ce que c’est qu’être un homme?
16’’22 Tu as l’impression que tu as été éduqué différemment de ta soeur?
17’’54 Tu as pas mal parlé de ta mère mais est-ce que ton père était dans le paysage?
18’’58 As-tu eu des modèles masculins qui t’ont inspirés quand tu étais jeune, et qui peut-être t’inspirent toujours?
21’’22 Ça t’as inspiré la valeur de "se battre pour ce qu’on veut"?
22’’20 Trouves-tu que les relations entre les hommes et les femmes sont compliquées?
24’’47 Pour toi, c’est quoi qui empêche cette bonne communication entre les hommes et les femmes dans un couple?
26’’31 On n’oserait pas changer les règles du jeu alors?
28’’38 Ces questions de rôles des hommes et des femmes, tu en parles avec ton entourage?
29’’55 Concernant les relations hommes/femmes dans le monde du travail, quelle a été ton expérience?
31’’37 Dans la formation contre le harcèlement que vous avez eue, qu’est-ce que vous avez appris?
36’’07 C’est quoi pour toi les difficultés que peuvent vivre les femmes?
40’’30 Les combats féministes, tu penses que les hommes doivent y prendre part?
42’’04 Trouves-tu que les hommes ont du mal à s’emparer de ces questions-là?
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Dans ce 13ème épisode, je suis avec Josiane, une québécoise trentenaire d’origine haïtienne. Elle m’a parlé des difficultés qu’elle a rencontrées en tant que femme noire, notamment des injonctions à être forte et à masquer sa vulnérabilité, mais également et de façon plus générale, du manque de représentation des femmes noires dans les débats féministes. Une discussion donc à la fois personnelle et politique, dans laquelle nous avons également parlé des problèmes causés par la perception et la représentation du corps des femmes dans notre société.
Structure de l'épisode:
2’’06 Est-ce que c’est facile ou difficile pour toi d’être une femme?
6’’13 Par rapport aux pressions que tu ressens en tant que femme noire, saurais-tu savoir d’où ça vient?
8’’35 Arrives-tu aujourd’hui à être vulnérable et refuser d’être forte ou as-tu ce réflexe d’endurer?
10’’35 Ça a été bien reçu par ton entourage, le fait d’en faire moins?
11’’24 Ces pressions que tu as ressenties, tu les ressens surtout de la part des hommes ou également des femmes?
13’’35 Peux-tu me parler de ton éducation, de comment tu as grandi comme fille?
16’’04 As-tu l’impression d’avoir été éduquée différemment de tes frères?
16’’46 Ton adolescence et ta puberté, ça a été difficile?
18’’05 Tu penses quoi des standards de la féminité actuels?
20’’28 As-tu souffert à certains moments de ta vie de ne pas rentrer dans ces critères?
22’’36 C’est quoi pour toi le féminisme?
27’’08 Arrives tu à trouver du soutien de femmes qui prennent en compte les réalités de chacune?
28’’19 Si tu avais des enfants et notamment des filles, voudrais-tu leur parler de féminisme et de féminité?
30’’05 Trouves-tu que les relations entre les hommes et les femmes sont compliquées?
32’’02 Penses-tu que c’est difficile d’être un homme?
35’’15 Parles tu de la masculinité toxique et des standards de la masculinité avec ton entourage?
38’’12 Penses-tu que les hommes qui ont des comportements sexistes, déplacés, violents, ne se rendent pas compte de cela où font semblant car la vérité fait mal à entendre?
40’’00 Et les enfants avec lesquels tu travailles, vois-tu chez eux certains comportements genrés?
41’’04 As-tu des rapports avec leurs parents?
41’’40 As-tu déjà parlé de ces sujets avec tes parents?
42’’30 As-tu eu des modèles féminins qui t’ont marquée et inspirée?
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Dans cette 12ème interview, je reçois Taylor, un canadien de 35 ans originaire de Calgary. Taylor, c’est un homme qui a expérimenté d’être en difficulté face à une femme, ou désavantagé par rapport à d’autres. Malgré cela, il a conscience de ses privilèges et sait reconnaitre des comportements masculins qui sont faussement féministes, comme il l’explique dans notre échange.
Traduction de l’épisode
Je m’appelle Taylor, je travaille comme chef, j’ai 35 ans. Je suis blanc et hétérosexuel.
2’’02 - Ma première question est une grosse question. Je voudrais savoir si c’est difficile d’être un homme.
Non pas du tout! Par comparaison avec la difficulté d’être une femme, ce n’est pas du tout compliqué d’être un homme. Je jouis de tous les privilèges que je pourrais imaginer et je continue d’en découvrir de nouveaux.
Je dirais que la vie est difficile pour tout le monde mais être un homme, c’est comme jouer un jeu difficile en "mode facile" avec tous les codes débloqués.
2’’59 - As-tu ressenti dans certaines situations que ça aurait été plus simple pour toi si tu avais été une femme?
Oui, une fois. Il y a longtemps, j’étais dans une mauvais relation qui s’est terminée de la pire manière qui soit je pense et, après la rupture, j’ai été harcelé, suivi, et ça s’est terminé à un point où j’ai dû demander une ordonnance d’éloignement contre elle. Et lorsque j’ai parlé à la police… je ne sais pas… Est-ce que ça aurait été plus simple si j’étais une femme? Est-ce qu’ils m’auraient pris plus au sérieux? Est-ce qu’ils auraient considéré que j’avais réellement peur pour ma sécurité? Je ne sais pas. J’ai aussi entendu des histoires de femmes dans la même situation pour qui ça s’est passé de la même façon. Des questions posées comme: "Est-ce que vous lui envoyez des messages?" Ou toutes sortes d'autres qui sous-entendent celle-ci: "Est-ce que tu ne l’as pas mérité?". Donc je ne sais pas.
4’’44 - Mais tu as senti que peut-être ça aurait été plus simple?
Peut-être. Parce qu’un des flics avec qui je parlais semblait trouver ça drôle que cette femme entre par effraction chez moi tous les soirs.
Mais à part cette situation très spécifique, je n’ai jamais senti que ça aurait été plus simple d’être une femme.
5’’12 - Qu’est-ce que tu penses des standards de la masculinité?
Je travaille comme chef. La vie en cuisine est surtout dominée par les hommes. Donc, dépendamment de l’environnement de travail dans lequel tu es, il peut y en avoir de très toxiques. J’ai vu ce qui peut se passer… Peut-être que c’est une question de génération. Dans la plupart des endroits où j’ai travaillé, la majorité de mes collègues avaient + de 40 ans et n’avaient peut-être pas eu l’opportunité d’éveiller leurs consciences, de ne pas apprendre suffisamment tôt que certains comportements sont juste dégueulasses.
6’’23 - Quels genres de comportements?
Je parle de « discussions de vestiaires »: les blagues graveleuses, les sifflements et commentaires déplacés envers les serveuses, des choses du genre. Des attitudes toxiques envers les femmes et le féminisme en général. Ceci étant dit, travailler avec des personnes plus jeunes, c’est le jour et la nuit. Les standards de la masculinité sont vraiment différents. Avec des personnes plus âgées, il faut que tu prouves ta valeur en tant qu’homme, en parlant plus fort, en étant plus agressif, etc.
7’’38 - Est-ce que toi tu te sens confortable avec ces standards? Est-ce que c’est difficile de rentrer dans les cases?
Ce n’est pas difficile avec les gens de mon âge. Et peut-être que c’est aussi lié aux gens que j’ai dans mon entourage.
Les standards tels que je les vois aujourd’hui impliquent un sens des responsabilités, être capable de gérer sa vie avec de la confiance e...
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Dans ce 11ème épisode, j’ai échangé avec Matildé, une pétillante Montréalaise de 34 ans. Résumer son parcours et sa vie en quelques minutes est impossible, je vais donc te laisser la découvrir dans cette discussion. Matilde m’a raconté comment elle s’est affirmé face aux hommes quand elle travaillait dans la police, de la difficile acceptation de son corps de femme à l’adolescence, de l’indépendance dans un couple et des femmes fortes de sa famille qui l’ont guidée et inspirée.
Structure de l'épisode:
2’’18: Est-ce facile ou difficile pour toi d’être une femme?
4’’24: Quand tu travaillais dans la police, c’était compliqué par rapport à tes collègues hommes ou les gens avec qui tu travaillais?
6’’56: Tu dirais donc que tu aurais été acceptée « comme un gars »?
8’’09: Quand tu travaillais là bas, t’es-tu dit « ça aurait été plus simple si j’avais été un homme »?
11’’22: Il y a d’autres moments à part cette période où tu as trouvé ça difficile d’être une femme?
15’’14: C’est quoi ton rapport avec les standards de la féminité?
21’’59: Ce serait quoi pour toi la féminité? Tu saurais le définir?
22’’40: Comment tu définirais le côté masculin chez une femme?
24’’45: As-tu des modèles de femmes qui t’ont inspiré quand tu as grandi, et peut-être encore maintenant?
31’’36: S’excuser d’exister, tu penses que c’est propre aux femmes ou que ça touche tout le monde?
33’’23: Les rapports entre les hommes et les femmes, tu trouves ça compliqué?
40’’49: A part la place dans le couple, vois-tu d’autres situations où ça pourrait être compliqué d’être un homme?
46’’00: Est-ce que tu voudrais des enfants?
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Dans ce 10ème épisode, tu vas découvrir William, un de mes amis. On n’avait pas prévu de faire une interview, ça a commencé comme une discussion a propos de mon podcast et j’ai fini par lui poser la plupart de mes questions. Et comme il voulait tester mon micro, j’ai pu enregistrer notre conversation et en faire un épisode.
William a 24 ans, il vient de terminer ses études et de quitter Montréal pour de nouvelles aventures dans lesquelles je lui souhaite tout le meilleur. Car sous ses faux airs de méchant, c’est une très belle personne!
Structure de l'épisode:
1’’10: Est-ce que c’est difficile d’être un homme?
1’’38: Tu ne t’es jamais dit que ça aurait été plus simple d’être une femme?
2’’02: C’était quoi de grandir comme un garçon?
3’’00: As-tu des souvenirs qu’on t’ai appris ce que c’est qu’être un homme?
03’’53: Tu n’avais pas besoin de modèles masculins à imiter?
04’’25: C’est quoi ton rapport avec les standards de la masculinité?
7’’16: Parles moi de ta méchanceté...
7’’59: Ça te viens d’où ce besoin de revanche contre l’autorité?
8’’25: Tu t’es calmé ensuite au pensionnat?
9’’43: T’es-tu déjà senti en insécurité?
10’’41: Vivre en tant que mec dans tous les endroits où tu as vécu: as-tu vu des différences importantes?
11’’26: Quels niveaux d’adaptation ont été compliqués?
14’’04: Tu travaillais plus avec des femmes en Asie alors? Et elles assurent en plus leurs rôles de mères?
15’’35: Les relations entre les hommes et les femmes, tu trouves ça compliqué?
16’’48: Le sexe, tu n’en parles pas avec des mecs ou avec des mecs hétéros?
17’’52: Cette peur que l’on se moque de toi, c’est basé sur quelque chose qui ne s’est jamais passé?
19’’40: Est-ce que ça a été différent de vivre son homosexualité dans les différents endroits où tu as vécu?
23’’25: Tu penses que c’est difficile d’être une femme?
25’’23: Pour toi, les hommes doivent prendre part aux débats féministes?
26’’30: Tu penses que ça va être facile d’intéresser les hommes aux enjeux féministes?
31’’15: Est-ce que c’est du déni de la part des hommes de ne pas croire que les femmes se fassent importuner par des hommes?
34’’48: La question du consentement dans les bars homos dont tu parles, elle est respectée?
35’’19: C’est un peu tabou de parler de ce consentement entre homos?
36’’32: Si tu avais des enfants, tu leurs apprendrais quoi sur leurs conditions féminines et masculines?
37’’45: Tu trouverais ça plus simple d’avoir un garçon?
37’’58: Tu éduquerais tes enfants différemment alors?
39’’58: Tes parents avaient peur pour toi? Ils t’ont transmis ça?
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