Episódios
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Quand on parle de gérer son argent , cela peut faire peur, mais c’est quelque chose qui peut nous aider, quels que soient l’âge, le sexe, la culture, le revenu…
C’est une aptitude essentielle qu’il faut avoir et qui peut contribuer à notre bien-être et à une stabilité financière.
L’éducation financière consiste à la fois de posséder des connaissances financières et de les appliquer à ses finances personnelles.
Qui de mieux, pour nous parler d’éducation financière et nous donner de précieux conseils pour la gestion de notre argent et cela pour le plus grand bonheur de notre portefeuille ? Il s’agit, bien évidemment d’Ayodélé, notre amazone de l’éducation financière et de l’entrepreneuriat féminin, passionné, elle met ses compétences et expertises au profit des femmes et des jeunes pour les aider à optimiser la gestion de leur argent pour atteindre une indépendance financière. Elle accompagne également des institutions internationales sur le continent africain.
🎙 Dans cet épisode, nous avons parlé :
📒Des notions de base à connaître
💶 De l’importance de planifier et de gérer son budget
📝 Des conseils et astuces pour une gestion optimale.
Vous pouvez retrouver Ayodélé sur Instagram @ayodele.ognin
À PROPOS DE CE PODCAST
Ije_Awele_Podcast, est un podcast 100% afro qui donne la parole à des personnes comme vous et moi, pour aborder des sujets dont nous ne parlons pas forcément dans les communautés africaines et afrodescendante afin de lever les tabous, briser les stéréotypes et avoir nos propres modèles de représentation.
Pour ne rien rater, rdv sur Instagram pour plus de contenus et retrouvez également les tips de mes invités.
Pour témoigner et partager un bout de votre parcours, écrivez-moi à [email protected]
Si le podcast vous plaît, n’hésitez pas à me laisser vos feedback, un 5 étoiles ou un
commentaire sur les applications d'écoute pour m'aider à le faire connaître.😊
Création : Mimi B.Enregistrement et production : Mimi. B.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Selon l’OMS, on parle de deuil périnatal lorsque des parents perdent leur bébé entre 22 semaines d’aménorrhée et le septième jour après sa naissance.
En réalité, le deuil périnatal concerne les parents confrontés à la perte de leur enfant au cours de la grossesse ou après la naissance : interruption médicale de grossesse (IMG), fausse-couche, réduction embryonnaire, grossesse extra-utérine, la mort fœtale in utero, enfant mort-né…
Avec cette définition, nous avons peut-être une mère, une sœur, une amie, une tante, ou une collègue qui a subi la perte d’un enfant. Et pourtant le deuil périnatal est encore tabou, même si la parole se libère peu à peu, de nombreux parents font face à ce drame chaque année et souffrent dans une grande solitude, car le deuil est mal compris par l’entourage.
Perdre son bébé après 40 jours de vie alors qu’on a tellement attendu de vivre ce bonheur est une douleur indescriptible. Comment trouver la force pour traverser cette épreuve et réussir à se reconstruire ?
Dans cet épisode, je reçois Tina, une femme extraordinaire qui vous racontera la découverte de sa grossesse surprise et les risques que l’endométriose puisse avoir les grossesses. Elle parlera de la naissance de son petit nuage, de son combat pour vivre, mais qui deviendra un petit Ange. Vous découvrirez comment elle fait pour traverser le décès tout en honorant la mémoire de son petit bébé et briser le tabou autour du deuil périnatal avec son podcast.
Vous pouvez retrouver Tina sur Instagram @un_doctorat_sur_les_routes @lesmotsd1mereendeuillee &
@associationadeentahnyiyÀ PROPOS DE CE PODCAST
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Estão a faltar episódios?
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Selon l’OMS, on parle de deuil périnatal lorsque des parents perdent leur bébé entre 22 semaines d’aménorrhée et le septième jour après sa naissance.
En réalité, le deuil périnatal concerne les parents confrontés à la perte de leur enfant au cours de la grossesse ou après la naissance : interruption médicale de grossesse (IMG), fausse-couche, réduction embryonnaire, grossesse extra-utérine, la mort fœtale in utero, enfant mort-né…
Avec cette définition, nous avons peut-être une mère, une sœur, une amie, une tante, ou une collègue qui a subi la perte d’un enfant. Et pourtant le deuil périnatal est encore tabou, même si la parole se libère peu à peu, de nombreux parents font face à ce drame chaque année et souffrent dans une grande solitude, car le deuil est mal compris par l’entourage.
Perdre son bébé après 40 jours de vie alors qu’on a tellement attendu de vivre ce bonheur est une douleur indescriptible. Comment trouver la force pour traverser cette épreuve et réussir à se reconstruire ?
Dans cet épisode, je reçois Tina, une femme extraordinaire qui vous racontera la découverte de sa grossesse surprise et les risques que l’endométriose puisse avoir les grossesses. Elle parlera de la naissance de son petit nuage, de son combat pour vivre, mais qui deviendra un petit Ange. Vous découvrirez comment elle fait pour traverser le décès tout en honorant la mémoire de son petit bébé et briser le tabou autour du deuil périnatal avec son podcast.
Vous pouvez retrouver Tina sur Instagram @un_doctorat_sur_les_routes @lesmotsd1mereendeuillee &
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En 2021, selon l’Organisation mondiale de la Santé, 38 millions de personnes vivent avec le
virus d'immunodéficience humaine (VIH) dans le monde dont 25 millions se trouvent en Afrique subsaharienne et près de 28,2 millions de personnes suivaient un traitement antirétroviral dans le monde.Apprendre qu’on est séropositif est une nouvelle très difficile à diriger pour soi et ses proches. Cependant, une infection au VIH ne signifie pas forcément que la personne va mourir,car souvent
on pense que la personne va maigrir, avoir l’air malade ou être alitée, etc. Une infection au VIH ne veut pas forcément dire que la personne a le SIDA. Le SIDA étant le stade le plus grave et plus avancé de l’infection au VIH.
Aujourd’hui, grâce aux traitements et à une bonne hygiène de vie, une personne porteuse du VIH peut avoir la même vie familiale, sociale, professionnelle et son espérance de vie est quasiment égale à celle d’une personne séronégative.
C’est ce que mon invité du jour nous explique et nous fait comprendre à travers son partage. Andréa est certes séropositive, mais avant tout elle est une femme, une épouse et maman de trois adorables filles. Pendant longtemps, elle s’est auto stigmatisée par peur de ce que les autres vont dire ou penser, mais elle a fini par s’assumer et en a même fait une force qui lui a permis de commencer à raconter son histoire.
Dans cet épisode, Andréa nous parle de la découverte de sa séropositivité, du chemin parcouru
pour faire comprendre aux gens qu’une personne séropositive sous traitement et dont la charge virale est indétectable, ne peut transmettre le virus, il n’y a donc aucune raison d’avoir peur.Elle a créé l’association Mouvement contre la Sérophobie pour sensibiliser et lutter contre la sérophobie afin de dénoncer les discriminations, les stigmatisations et les préjugés que subissent les personnes séropositives.
Le plus important pour Andréa, c’est que le VIH n’est pas une identité et qu’une personne séropositive a le droit à une vie normale comme une personne séronégative.
Vous pouvez retrouver Andréa sur Instagram @andreamestre_ & @mcs.sida
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🎗️La douleur est là, souvent sous-estimée, mais elle est bien réelle, il faut apprendre à vivre avec et à résister… cette douleur où tu as l’impression que l’on te donne des coups de poignard dans le ventre.
Sept ans en moyenne pour être diagnostiquée et quand le verdict tombe, c’est un mélange d’angoisse et de soulagement. Soulagement, car ouf, il y a bien quelque chose qui ne va pas et ce n’est pas que dans la tête, et angoisse, car maintenant que fait-on ?
Ah sacrée endométriose, tu sais comment “pourrir” la vie et le quotidien des femmes, mais la société nous dira que c’est normal d’avoir mal pendant ses menstruations. Mais qu’en est-il alors des douleurs et de la fatigue chronique qu’il faut gérer au quotidien ?
Kelly en sait quelque chose, atteinte d’endométriose, elle a longtemps ignoré ses douleurs. Puis un jour, le diagnostic tombe et elle prend conscience qu’à partir de son ovulation jusqu’à ses menstruations, elle doit vivre avec la douleur. Une vraie endowarrior, Kelly décide alors de prendre les choses en main en trouvant des méthodes alternatives pour essayer d’aller mieux, en écoutant et en se réappropriant son corps.
Militante engagée au sein de l’association info-endométriose, Kelly mène des actions de sensibilisation auprès des jeunes afin de les prévenir face à cette maladie.
Dans cet épisode, Kelly va vous parler de son parcours par rapport à la maladie, de la gestion de ses douleurs. Elle raconte les techniques mises en place comme la tenue d’un calendrier des douleurs pour être à l’écoute de son corps afin d’identifier chaque douleur, la pratique de yoga 🧘🏾♀️ pour soulager certaines douleurs et elle revient sur son action de bénévole au sein de l’association info-endométriose, car pour elle, ce n’est pas juste une maladie de quelques femmes, mais c’est un vrai enjeu de féminisme et de sororité.🎗️
Vous pouvez retrouver Kelly sur Instagram @vsd_kelly
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Références et notes utiles :
Calendrier des douleurs : Endometriosis Journal: Endometriosis Health Diary For Tracking Symptoms, Food Intakes, Medical Visits & Periods
Sites pour trouver des informations supplémetaires :
- Info-Endométriose est l’association de référence pour l’information sur l’endométriose. https://www.info-endometriose.fr/
- EndoFrance est la première association de lutte contre l’endométriose a avoir été créée en France. Elle est aussi la première à avoir été agréée par le Ministère des solidarités et de la santé. https://www.endofrance.org/association-endofrance/
Création : Mimi B.
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J’admire nos femmes, nos femmes africaines, j’admire nos grands-mères, nos mères. Je les trouve fortes, résilientes et courageuses. Même si nos sociétés sont régies par le patriarcat, les femmes africaines (les amazones du Dahomey, les commerçantes telles que les Nanas Benz du Togo...) ont participé et continuent de contribuer au développement du continent africain. Ce sont de vraies amazones, qu’il faut célébrer chaque jour avec un compliment, un mot d’encouragement…
Très souvent, quand on évoque les relations entre femmes, ce sont les mots tels que rivalité, méfiance, jalousie, comparaison, envie qui ressortent. Or, qui de mieux qu’une femme pour comprendre ce que vive une autre femme. Et si la rivalité laissait place à la sororité, si on admirait au lieu d’envier.
Si je te dis sororité, c’est quoi pour toi ? Sororité vient de “soror ” en latin qui veut dire soeur et cousine. On la définit comme une solidarité féminine ou entraide entre femmes.
Aujourd’hui, direction le Togo à la découverte d’une belle initiative lancée par Mikafui, une activiste engagée qui se bat pour les droits des femmes. Convaincue que la sororité africaine existe et qu’entre femmes c’est possible de soutenir et de s’encourager, Mikafui lance sur les réseaux sociaux un challenge avec le #forzasistas qui permettait à des femmes de parler des talents et des actions d’une autre femme dans la société. Très rapidement, le mouvement prend de l’ampleur et donnera naissance au collectif Forza Sistas.
Dans cet épisode, Mikafui nous parle du challenge, de la création du collectif, de ses différentes missions, du féminisme en Afrique et comment les hommes doivent y part, pour qu’ensemble, hommes et femmes puissent faire avancer les choses.Vous pouvez retrouver Mikafui sur Instagram et Twitter @mikafui.akue et @forzasistas
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Le mariage est une alliance entre deux personnes, un engagement qui les lie pour la vie, donc ce n’est pas quelque chose qu’il faut faire pour les mauvaises raisons, à savoir pour faire plaisir à sa mère, à son entourage ou bien parce qu’on prend de l’âge, etc.
Malheureusement, pour beaucoup de femmes, le mariage est une finalité, car quelque part c’est le schéma que la société nous impose : Étude→Travail→ Mariage→ Enfants...
Mais quelle est ta propre vision du mariage ? Quelle est ta mission sur cette terre ? Pourquoi as-tu été créé ? Te maries-tu pour plaire à ta famille, à tes proches, ou te maries-tu pour épouser la vision d’une autre personne ou pour suivre les diktats de la société ? Te connais-tu vraiment ? Quelle est ta valeur ? Que vas-tu apporter à ton partenaire ? Vas-tu être une bénédiction pour ton foyer ?
Autant de questions, que l’on peut se poser, mais le plus important c’est de ne pas oublier que tu es une personne à part entière avant de devenir une épou.x.se et/ou une mère/père.
Malheureusement, passé le cap d’un certain âge, nous pouvons subir une pression sociale pour nous marier, pour avoir des enfants, etc., c’est-à-dire une influence exercée par un individu, ou par un groupe sur nous de sorte à nous faire adopter des attitudes et comportements approuvés socialement. Ceci en dépit de nos propres aspirations.
Cette pression sociale, peut provenir de notre famille, de nos proches, de la société et peut se manifester sous forme de commentaires, des suggestions, ou de demandes, etc. provoquant des conséquences désastreuses telles que la perte de confiance en soi, d’estime de soi, de comparaison, de culpabilité, de dépression... Peu importe la pression sociale que tu subis, entre dans le lieu secret et connecte-toi avec celui qui t’a créé et demande-lui de te révéler ta vraie identité. Ne confondons pas amour et mariage. Réalise-toi, épouse ta propre vision avant d’aller épouser celle de quelqu’un d’autre.
Mais comment gérer cette pression sociale lorsqu’elle provient de ta propre mère ?
Aujourd’hui, je reçois Sefako, une femme très édifiante, enfant unique, tout l’espoir de sa mère repose donc sur elle. Dans cet épisode, Sefako nous parle de la pression sociale du mariage qu’elle a subi de la part de sa mère et de son entourage. Elle nous livre le pire pour raconter le meilleur de ce qu’elle a su en tirer et comment elle a réussi à s’en sortir grâce à sa foi et à vivre pleinement le temps de célibat pour mieux se connaître et à se préparer.
Vous pouvez retrouver Sefako sur Instagram et Twitter @sefako_sossa et @SossaSefako
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Références et notes utiles :
Livres en français :
Ce que j'aurais aimé savoir avant de me marier-Gary Chapman
Les langages de l'Amour- Gary Chapman
Qui sont ces couples heureux ?: Surmonter les crises et les conflits du couple - Yvon Dallaire
Livres en anglais :
The 5 Love Languages: The Secret to Love that Lasts - Gary Chapman
Things I Wish I'd Known Before We Got Married - Gary Chapman
Création : Mimi B.
Enregistrement et production : Mimi. B.
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Le mariage est une alliance entre deux personnes, un engagement qui les lie pour la vie, donc ce n’est pas quelque chose qu’il faut faire pour les mauvaises raisons, à savoir pour faire plaisir à sa mère, à son entourage ou bien parce qu’on prend de l’âge, etc.
Malheureusement, pour beaucoup de femmes, le mariage est une finalité, car quelque part c’est le schéma que la société nous impose : Étude→Travail→ Mariage→ Enfants...
Mais quelle est ta propre vision du mariage ? Quelle est ta mission sur cette terre ? Pourquoi as-tu été créé ? Te maries-tu pour plaire à ta famille, à tes proches, ou te maries-tu pour épouser la vision d’une autre personne ou pour suivre les diktats de la société ? Te connais-tu vraiment ? Quelle est ta valeur ? Que vas-tu apporter à ton partenaire ? Vas-tu être une bénédiction pour ton foyer ?
Autant de questions, que l’on peut se poser, mais le plus important c’est de ne pas oublier que tu es une personne à part entière avant de devenir une épou.x.se et/ou une mère/père.
Malheureusement, passé le cap d’un certain âge, nous pouvons subir une pression sociale pour nous marier, pour avoir des enfants, etc., c’est-à-dire une influence exercée par un individu, ou par un groupe sur nous de sorte à nous faire adopter des attitudes et comportements approuvés socialement. Ceci en dépit de nos propres aspirations.
Cette pression sociale, peut provenir de notre famille, de nos proches, de la société et peut se manifester sous forme de commentaires, des suggestions, ou de demandes, etc. provoquant des conséquences désastreuses telles que la perte de confiance en soi, d’estime de soi, de comparaison, de culpabilité, de dépression... Peu importe la pression sociale que tu subis, entre dans le lieu secret et connecte-toi avec celui qui t’a créé et demande-lui de te révéler ta vraie identité. Ne confondons pas amour et mariage. Réalise-toi, épouse ta propre vision avant d’aller épouser celle de quelqu’un d’autre.
Mais comment gérer cette pression sociale lorsqu’elle provient de ta propre mère ?
Aujourd’hui, je reçois Sefako, une femme très édifiante, enfant unique, tout l’espoir de sa mère repose donc sur elle. Dans cet épisode, Sefako nous parle de la pression sociale du mariage qu’elle a subi de la part de sa mère et de son entourage. Elle nous livre le pire pour raconter le meilleur de ce qu’elle a su en tirer et comment elle a réussi à s’en sortir grâce à sa foi et à vivre pleinement le temps de célibat pour mieux se connaître et à se préparer.
Merci infiniment Sefako pour ta sagesse et cette piqûre de rappel que dans la vie, tout n’est que grâce.
Vous pouvez retrouver Sefako sur Instagram @sefako_sossa et @SossaSefako
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Dans certaines cultures en Afrique, on célèbre une femme divorcée. On la valorise non pas parce qu’on cherche à faire l’apologie du divorce, mais tout simplement parce que c’est une opportunité pour elle de refaire sa vie et de la vivre autrement. En Mauritanie, plus une femme divorce, plus elle est valorisée et aux États-Unis, il existe même des "divorce planner" qui organisent des "divorce party" pour célébrer les séparations afin de permettre aux personnes de ne plus voir la fin du mariage comme un échec, mais bel et bien comme un pas vers la liberté pour se reconstruire.
Mais c’est loin d’être le cas dans toutes les cultures, oui en effet, dans certaines régions du continent africain, le divorce est très mal vu, car le mariage est l’union de deux familles, on l’idéalise, car il confère un certain statut à la femme et une certaine considération aux familles.
Malheureusement, parfois, il arrive dans la vie que le mariage ne passe pas comme dans un conte de fées et que le divorce soit la seule solution pour le bien-être des deux personnes, mais également pour les enfants. Quand la question du divorce se pose, bien souvent, la femme sera tenue pour responsable, stigmatisée et marginalisée, car elle aura “échoué dans son rôle d’épouse au sein de son foyer”.
En tant que femme, comment fait-on pour aller de l’avant, pour se reconstruire sans avoir ce sentiment de honte, de culpabilité de briser un foyer, et l’équilibre de ses enfants ?
Dans cet épisode, je reçois Kachi, une femme forte, battante et une vraie maman poule. À l’annonce de son divorce, elle a eu droit à des remarques du genre :"les enfants vont finir droguées", "plus personne ne voudra de toi", "tu aurais dû faire cela, tu aurais dû faire ceci"…
Elle s’est alors posé beaucoup de questions, "ai-je fait le bon choix ?" "Qu’aurais-je pu faire différemment ?"… attisant ainsi les sentiments de honte et de culpabilité.
Mais grâce à ses filles, à son entourage et à la thérapie, elle a pu s’en sortir et se redécouvrir en tant que femme.
Je vous laisse découvrir Kachi se confiant sur son divorce, sa thérapie et le maintien de l’équilibre de ses enfants.
Vous pouvez retrouver Kachi sur Instagram @kalisa_lifestyle et @taaranyi.official
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Si avoir un enfant est une grâce pour certaines femmes qui peuvent concevoir naturellement sans trop de difficultés, pour d’autres c’est un vrai parcours du combattant.
En effet, face au désir de maternité, toutes les femmes ne sont pas égales, mais le don d’ovocytes permet de répondre à ce désir de maternité chez les femmes seules et les couples. Mais là encore une fois, il y a une inégalité d’accès.
Pour les femmes noires, l’attente se compte en années, car les donneuses sont très rares soit par un manque de communication et d’informations. Sachant que, dans nos cultures, l’infertilité est un grand tabou caché au sein du couple et la procréation médicalement assistée (PMA) est un secret bien gardé dans les familles qui y ont eu recours par peur d’être stigmatisées parce que c’est une pratique qui va à l’encontre des valeurs traditionnelles des sociétés africaines.
Pour Reine, donner ses ovocytes était une évidence lorsqu’elle tombe sur une simple affiche dans le cabinet de sa gynéco. Pour moi, Reine est la définition même du mot,don. Elle donne son sang, ses plaquettes et ses ovocytes.
Consciente du long délai d’attente pour les femmes noires, et du bonheur qu’elle pourrait procurer à une femme d’être maman, elle décide alors de faire don de ses ovocytes pour aider des femmes noires à avoir un enfant. Donner un peu d’elle pour permettre à une autre femme de connaître la joie que la naissance de son fils lui a procurée n’a pas de prix.
Dans cet épisode, Reine nous raconte pourquoi elle a fait le don et, explique son parcours en tant que donneuse et l’importance de sensibiliser d’autres femmes d’origine africaine à sauter le pas pour aller se renseigner et pourquoi ne pas faire un don de leurs ovocytes.
Vous pouvez retrouver Reine sur Instagram @reineautrement et sur Youtube
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Références et notes utiles :
Pour pus d’informations, rendez-vous sur @jedonnemesovocytes et @jedonnemesspermat ozoides
- https://www.dondovocytes.fr
- https://www.dondespermatozoides.fr
- https://www.agence-biomedecine.fr
- https://www.service-public.fr
Création : Mimi B.
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Excisée ou non une femme à droit et au respect de son corps. Une femme excisée rime-t-elle forcément avec insatisfaction sexuelle ? Est-ce possible de jouir, avoir du plaisir lorsqu’on est excisée ? Le Clitoris est-il la seule clé du plaisir sexuel de la femme ?
Mais bien évidemment, chaque corps est différent et chaque femme excisée a sa propre histoire.
Parmi les conséquences de l’excision sur la santé de la femme, on peut citer la sensibilité sexuelle et la qualité des rapports sexuels, car ces femmes sont privées de l’organe du plaisir féminin, le clitoris. Aujourd’hui, il est possible de se faire opérer. Les progrès de la médecine permettent en effet de réparer les dommages de l’excision. La clitoridoplastie est une technique de reconstruction chirurgicale du clitoris mis en place par urologue français Pierre Foldes qui permet à une femme excisée de retrouver un clitoris fonctionnel. Mais la
chirurgie réparatrice seule ne suffit pas, car l’excision est une souffrance qui va au-delà du physique. La répartition physique doit être accompagnée d’une prise en charge psychologique et sexologique afin d’aider les femmes dans le processus d’acceptation et de réappropriation de leur corps.Aujourd’hui à mon micro, je reçois Coumba @prunelle, une jeune femme dynamique et pleine de vie. Elle a été excisée au Mali lorsqu’elle était enfant. Elle a grandi dans un environnement où cette pratique était “normale“, car c’est la coutume. Arrivée en France, pendant un de ses cours, elle prendra alors conscience que l’excision est une pratique dangereuse. Ambassadrice auprès de l’association @excision, elle sensibilise dans l’espoir de voir un jour, un monde où cette pratique sera abandonnée.
Dans cet échange, elle explique que la chirurgie réparatrice n’est qu’une étape dans le processus de “guérison “ mais qu’il y a également un travail psychologique et intime à faire pour se connaitre, s’accepter et se réapproprier son corps. Elle parle également de son action auprès de l’association @alerteexcision.
Merci à Coumba pour ce partage sans filtre.
Vous pouvez retrouver Coumba sur Instagram @pru_nelle_1 et @coumba_si
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Des Associations d’aide et de lutte contre les violences faites aux femmes :
- Excision, parlons-en !
- Les Orchidées Rouges
- La Fédération nationale GAMS
- Dialogues F
Création : Mimi B.
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"Si tu ne prends pas de temps pour ta santé, tu seras forcé de prendre du temps pour la maladie", cette citation résume bien cet épisode.
Nous traversons tous des moments difficiles, nous avons tous des traumatismes qui nous poursuivent et que nous refusons d’affronter par peur de ce que nous pourrions découvrir sur nous-mêmes, alors nous préférons vivre dans le déni.
Mais tôt ou tard, le corps nous envoie des signaux sur notre état de santé et bien-être. Oui, le corps n’oublie rien, savoir l’écouter et comprendre quand il dit stop doit faire partir de notre mode de vie.
Dans le cas d’un burn-out ou d’un syndrome d’épuisement professionnel, le corps nous envoie des signaux de détresse tel que : le manque d’énergie et de motivation par rapport au travail, l’irritabilité, les troubles de l’alimentation et du sommeil, une baisse de l’estime de soi, des difficultés à se concentrer, etc. ,nous indiquant de ralentir le rythme. L’ignorer c’est de foncer tout droit dans le mur.
Littéralement, burn-out signifie :«brûler de l’intérieur, se consumer » est défini par L’Organisation mondiale de la santé comme « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ».
Aujourd’hui à mon micro mon invité est une cheffe cuisinière et entrepreneure, son travail est une passion voire un don. Mais quand elle a compris qu’elle ne pouvait plus se lever les matins pour aller faire ce travail qui lui procure du bonheur et la joie, elle a alors pris conscience qu’il y avait un mal-être.
Je vous laisse découvrir la Cheffe Karen Capo-Chichi, celle qui se dévoile sur le burn-out qu’elle a vécu,sur les choses qu’elle a mises en place pour le prévenir et s’en sortir et de ce qu’elle en a retiré : l’importance d’écouter son corps et de prendre du temps pour soi.
Merci à Karen pour ce partage tellement important.
Vous pouvez retrouver Karen sur Instagram @karen.capochichi et @caponfood
À PROPOS DE CE PODCAST
Ije_Awele_Podcast, est un podcast 100% afro qui donne la parole à des personnes comme vous et moi, pour aborder des sujets dont nous ne parlons pas forcément dans les communautés africaines et afrodescendante afin de lever les tabous, briser les stéréotypes et avoir nos propres modèles de représentation.
Pour ne rien rater, rdv sur Instagram pour plus de contenus et retrouvez également les tips de mes invités.
Pour témoigner et partager un bout de votre parcours, écrivez-moi à [email protected]
Si le podcast vous plaît, n’hésitez pas à me laisser vos feedbacks, un 5 étoiles ou un
commentaire sur les applications d'écoute pour m'aider à le faire connaître.😊Références et notes utiles :
Se protéger du burn-out grâce à la Communication NonViolente , Anne van Stappen et Caroline Hanssens Comment rester vivant au travail – Guide pour sortir du burn out, Catherine Vasey Se reconstruire après un burn-out - Les chemins de la résilience professionnelle: Les chemins de la résilience professionnelle, Sabine Bataille Assurer après un burn-out - Mon guide de santé physique et mentale: Mon guide de santé physique et mentale, Catherine Borie et Karine Di Fusco Quand le travail vous tue : Histoire d'un burn-out et de sa guérison, Aude SellyCréation : Mimi. B.
Production, enregistrement : Mimi. B.
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Qui n’a jamais rêvé de prendre son pied pendant un acte sexuel, qui ne souhaite pas avoir une sexualité épanouie. En Afrique comme ailleurs, la sexualité reste taboue, mais il faut en parler pour savoir comment vivre sa sexualité afin d’en jouir pleinement. Avoir une sexualité seule reste personnel et ne demande pas à prendre en considération le besoin de l’autre. Par contre, une sexualité relationnelle épanouie nécessite l’implication de deux personnes qui désirent savourer un bon moment ensemble.😉
Retenez que le désir sexuel communément appelé, libido ou appétit sexuel n’est pas toujours au top, mais fluctue tout au long de la vie d’une personne et en fonction des périodes et un rapport sexuel n'est pas synonyme de pénétration,ou une course à l’orgasme. Il existe différentes manières de faire l’amour, d’avoir du plaisir et de donner du plaisir. Il est donc important de se connaître ainsi que son partenaire sexuellement.
Même si cela reste très subjectif, une sexualité épanouie repose sur l’idée qu’on a de la sexualité et de la manière dont on souhaite la vivre avec soi et avec son partenaire, mais dans tous les cas elle requiert une bonne communication avec son partenaire : oser dire ce qu’on aime, ce qu’on n’aime pas, ce qu’on ressent, ce qu’on souhaite et oser aller vers l’autre. Être à l’écoute est primordial, et cela va dans les deux sens. Vous devez être des complices, des alliés pour être à l’aise, comprendre et prendre en considération les besoins de chacun. Cela passe par la confiance en soi et l’estime de soi qui vont non seulement vous permettre d’exprimer librement, sans gêne vos désirs et envies, mais aussi vos limites. En matière de sexualité, il n’y a pas de règles, les seules limites qu’il doit y avoir sont : le respect de la loi (le consentement), mais surtout le respect de votre partenaire et de vous même.
Aujourd’hui, je reçois Linda Takou, @ Sage-femme et Sexologue, elle accompagne les personnes à se connaître sexuellement et à vivre une sexualité épanouie.
Dans cet épisode, elle nous parle de :
L’importance de se connaître sexuellement à travers ce qu’elle appelle la “carte d’identité sexuelle ”,
Du maintien du désir sexuel au sein du couple,
Confronter ses croyances et limites pour oser essayer de nouvelles choses,
Des clés pour avoir une sexualité épanouie.
Vous pouvez retrouver Linda sur instagram @sexpliquer et sur sur youtube
À PROPOS DE CE PODCAST
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Le Guide De La Sexualité épanouie Léandri, Bruno
Foufoune cosmique - Petit guide pratique vers une sexualité sacrée, consciente et épanouie, Malory Malmasson
Petit guide pour une sexualité féministe et épanouie, Osez le feminisme
Le petit guide de la sexualité épanouie, Cathy Winks
Création Mimi. B.
Enregistrement, production : Mimi. B.
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La transidentité reste encore tabou dans nos sociétés et surtout incomprise par les gens. En effet, les questions du genre « as-tu changé de sexe ? », « c’est il ou elle ? », qui d’ailleurs sont à bannir montrent que tout le monde ne comprend pas. Certains diront que c’est contre nature, car pour eux le genre est de l’ordre naturel et non une construction sociale et d’autres diront que c’est une maladie. En effet, longtemps considérée comme une maladie mentale, la transidentité est le fait pour une personne de ne pas se reconnaître dans le genre qui lui a été assigné à la naissance. En 2021, l’Afrique du Sud a ouvert son concours de Miss South Africa aux personnes transgenres. Que l’on accepte ou non, les personnes transgenres sont bien présentes dans nos communautés et sur le continent africain. Souvent invisibles et marginalisées, elles sont victimes de violences et de discriminations.
Aujourd’hui, je reçois Jacob, un jeune homme trans noir qui pendant longtemps était mal dans son corps, mais sans réellement comprendre l’origine de son mal-être. Déjà enfant, Jacob s’est toujours senti comme un garçon même si sa famille lui rappelait qu’ « il » était une fille et devait se comporter ainsi. Mais au fond de lui, le mal continuait à le ronger et Jacob s’isolait de plus en plus. Puis un jour, le déclic et après une longue période de réflexion, il finit par mettre un mot sur son mal et décide alors de faire son coming out trans. Être transgenre n’est pas juste une question de sexualité, mais une question d’identité. Je pense qu’il faut regarder au-delà des apparences et considérer les personnes telles qu’elles sont avant de les voir comme transgenres.
Dans cet échange Jacob m’a parlé :
De son mal-être et de sa dépression
De la découverte de sa transidentité
De son coming out trans et de sa transition.
Merci pour votre tolérance !
Vous pouvez retrouver Jacob sur instagram @transnoir et @sirja cobeli
⚠️ Mise en garde
Cet épisode évoque le suicide, si vous pensez que cela est de nature à déclencher un traumatisme ou susciter des idées chez vous, je vous prierai de ne pas l’écouter. Dans le cas contraire, merci pour votre écoute attentive et votre soutien.
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- Un guide pour mieux comprendre la transidentité : Comprendre les transidentités : Un guide à l’usage des personnes cis
- Association d'aide :
Association TransAide Association TRANS SANTÉ France -FPATHCréation : Mimi B.
Enregistrement et production : Mimi. B.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Toute femme est libre de disposer de son corps, mais hélas, il arrive que ce droit soit bafoué pour des milliers de femmes à travers le monde. Imaginez qu’au nom d’une tradition
barbare et atroce inventée par les Hommes, on vous retire une partie de votre Clitoris, des petites lèvres et des grandes lèvres. L’excision est un sujet encore bien trop tabou dans nos sociétés, en parler ou le dénoncer c’est aller à l’encontre des coutumes et traditions.Selon l’OMS, l’excision, aussi appelée, Mutilations sexuelles féminines (MSF) ou Mutilations génitales féminines (MGF) désignent toutes les interventions visant à une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou toute autre mutilation des organes génitaux féminins pratiquée à des fins non thérapeutiques. 200 millions de filles et de
femmes dans le monde sont excisées.Mon invitée d’aujourd’hui est une vraie guerrière, dans son pays d’origine, la Guinée (Conakry), l’excision est une pratique fortement ancrée dans les traditions et selon les Nations unies, 97 % des femmes en sont victimes dans ce pays alors que la pratique est pourtant interdite depuis une Loi de 2000. Malheureusement, Hassatou n’a pas pu y échapper, excisée à l’âge de 6 ans, elle a subi l’infibulation, rétrécissement de l’orifice vaginal par ablation et accolement des petites lèvres et/ou des grandes lèvres, avec ablation du clitoris. Plus tard, lorsqu’elle arrive en France, lors d’une visite médicale, elle prend conscience qu’une partie de son corps lui a été retirée malgré elle. Elle comprend alors les conséquences désastreuses et les risques de cette pratique sur sa vie : tant sur le plan physique, psychologique, médical et sexuel. On lui a arraché sa liberté sexuelle, son plaisir sexuel, sa dignité et une partie de sa féminité. La mutilation génitale féminine constitue une violation des droits humains. Pourtant, elle n’en veut ni à ses parents ni aux personnes qui lui ont fait ça. Aujourd’hui, Hassatou se livre sur cette période douloureuse de sa vie pour que cela ne reproduise plus. À travers son Association, @dialoguesf_org elle sensibilise et milite pour que ces pratiques cessent.
Dans cet épisode, on a parlé de :
La pratique de l’excision,
De ses risques et conséquences,
La chirurgie réparatrice,
La sensibilisation et de l’abandon de ces pratiques.
Vous pouvez retrouver Hassatou sur instagram @dialoguesf_org et @hadja_forever_
⚠️ Mise en garde
Cet épisode traite de sujets sensibles notamment l’excision, une forme de violence faite aux femmes.
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Des Associations d’aide et de lutte contre les violences faites aux femmes :
- Les Orchidées Rouges
- Excision, parlons-en !
- La Fédération nationale GAMS
- Dialogues F
Création : Mimi B.
Enregistrement et production : Mimi. B.
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Notre santé mentale n’est pas quelque chose que nous devons négliger. Il n’y a pas de santé sans santé mentale, selon l’OMS, “La santé mentale est un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté”. La santé mentale est donc une composante essentielle de la santé.
Or, cette notion a encore du mal aujourd’hui à trouver sa place sur le continent africain.
En effet, parler de trouble mental dans la plupart des pays africains est un sujet tabou alors que plus de 10 % de sa population serait aujourd'hui affectée par un trouble mental.
Malheureusement, par manque d’information, la majorité des personnes souffrant de troubles mentaux sont mal vues, stigmatisées et marginalisées. De plus, la peur, les croyances spirituelles, le manque d’argent et le manque de spécialistes rendent la prise en charge difficile et insuffisante pour les malades, car L 'Afrique compte un psychiatre pour 500 000 habitants, alors que l’OMS recommande un psychiatre pour 5 000 personnes.
Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’échanger avec un spécialiste, et mon premier invité homme sur #ijeawelepodcast. Dr Josaphat Setemede est un médecin généraliste et DES en psychiatrie. Il oeuvre et sensibilise sur l’importance de prendre soin de soi et, de sa santé mentale.
Il a également initié un groupe de parole @jetecrois229 pour venir en aide aux personnes, victimes de violences et d'abus sexuels.
Dans cet épisode, Dr Josaphat a expliqué :
Ce qu’est un trouble mental et les différents facteurs qui peuvent en être à l’origine, Comment lever le tabou sur la santé mentale dans nos sociétés,
De l’aide et la prise en charge des personnes atteintes.
Vous pouvez retrouver Dr Josaphat Setemede sur instagram @josaphatsetemede et @jetecrois229
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En ce mois de Gay Pride 🏳️🌈, est-ce que notre orientation sexuelle nous définit-elle aux yeux des autres ? Nous rend-il moins humains ?
Aimer n’est pas un crime, mais dans nos sociétés, il ne fait pas bon d’aimer une personne du même sexe.
En effet, être homosexuel en Afrique peut sembler suicidaire si on le vit ouvertement. Certains se cachent pour vivre cet amour mal perçu dans nos communautés, d’autres se sentiront obligés d’épouser une personne du sexe opposé pour camoufler leur homosexualité et éviter toute forme de pression ou de rejet.
Bien que l’homosexualité constitue un crime dans plusieurs pays d’Afrique, dans cet
épisode, mon invité a fait un choix : le choix d’aimer une personne du même sexe, le choix de vivre cet amour, le choix d’assumer son homosexualité, son histoire et surtout le choix de s’accepter telle qu’elle est.Cannelle est une jeune femme courageuse qui après de longs moments de réflexion, a osé
faire prendre son courage à deux mains pour faire son coming out, car elle ne
voulait pas vivre caché dans un monde libre et lever le tabou sur ce sujet.Dans cet épisode, nous avons parlé :
De son coming out De la réaction de sa famille et de ses proches De briser le tabou de l’homosexualité dans nos sociétés.Merci à Cannelle pour son courage et son audace ! Vous pouvez la retrouver sur instagram @Cannelle
Merci d’accueillir cet épisode avec beaucoup de tolérance et une ouverture d’esprit.
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Décider de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide est un choix de vie, et c’est celui de mon invité de ce deuxième épisode. Inès est une jeune femme, maman de deux petits bouts, issue d’une famille croyante et pratiquante, pendant longtemps, elle cherchait à établir son propre moyen de communication avec Dieu. Chose qu’elle finira par trouver lorsqu’elle quitte le cocon familial pour poursuivre ses études à l’étranger. Elle va donc réussir à créer une relation intime et personnelle avec Dieu tout en liant le tout avec la spiritualité et le développement personnel.
Dans cet épisode, nous avons parlé :
De religion et de spiritualité,
Du développement personnel,
De l’importance de pratiquer la gratitude en toute circonstance.
À travers son témoignage, malgré ses moments de doutes et de peur, on découvre une femme remplie de positivité, qui apprécie et rend grâce pour toutes les petites choses que la vie lui offre au quotidien. Elle nous livre quelques-uns de ses secrets pour y parvenir.
Surnommé, épisode Boosteur, vous serez plus que jamais motivés après l’avoir écouté.
Soyez reconnaissants pour toutes les choses que vous possédez déjà et la vie vous en donnera davantage !Vous pouvez retrouver Inès sur instagram @nessdieng et @jongoma.rtw
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Livre cité par Inès : Prier comme un enfant de roi, Jean Pliya
Carnets de gratitude :
Journal de Gratitude: Carnet de Gratitude à remplir - Développer la confiance en soi par
la pensée positive - Plan drôle The Five Minute JournalAutres livres utiles :
Le pouvoir du moment présent - Guide d'éveil spirituel - Eckhart Tolle Transformez votre vie - Louise L. Hay La puissance de votre subconscient - Le secret d'une force prodigieuse à votre portée - Joseph MurphyCréation : Mimi. B.
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Avoir un enfant ou non est un choix personnel qui ne regarde que la personne concernée.
Désirer un enfant ne signifie pas que l’on peut l’avoir facilement. En effet, il peut y avoir de multiples raisons qui expliquent qu’une femme n’arrive pas à avoir d’enfant surtout quand le désir est là.
L’endométriose est l’une de ces raisons.
Cette maladie invalidante qu’on diagnostique trop tard, mais ont des conséquences sur la fertilité et la vie de couple, etc. Au quotidien, elle contrôle la vie des femmes atteintes et elles ne sont plus maîtres de leur corps. Il ne s’agit pas d’une maladie à la mode, et celles qui en souffrent ne sont pas folles et les douleurs ne sont pas juste dans leurs têtes !
malheureusement, c’est la réalité de plusieurs femmes, ce n’est pas une maladie à banaliser.
Dans ce premier épisode, j’ai eu le plaisir d’échanger avec Abiba, une femme remplie de joie de vivre, toujours souriante et très fière de la femme africaine qu’elle est et de notre continent, l’Afrique. Elle n’hésite pas à utiliser ses différentes plateformes pour parler de nos traditions et cultures et de la femme africaine.
Dans cet épisode, nous avons parlé de :
L’endométriose dont elle est atteinte,
La pression du mariage et de faire des enfants dans nos sociétés,
Son désir d’être à nouveau maman.
Son témoignage nous rappelle que cette maladie est bien réelle dans nos communautés et que les femmes qui en souffrent ne doivent pas souffrir seules en silence, mais bien au contraire doivent en parler pour libérer la parole et se décharger de leur douleur et peine !
Vous pouvez retrouver Abiba sur instagram @abibaousmane_ et youtube
Merci d’accueillir cet échange avec de la bienveillance, partagez cet épisode afin d’aider une mère, une sœur, une tante, une fille, etc.
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Référence et notes utiles :
Selon EndoFrance :
10% de femmes sont atteintes d’endométriose, (1 personne menstruée sur 10),dans le monde,
7ans en moyenne pour diagnostiquer la maladie,
70% des personnes atteintes souffrent de douleurs chroniques invalidantes,
40% des cas d'infertilité sont dus à l'endométriose,
0 traitement spécifique à l’Endométriose.
Création : Mimi. B.
Production et renregistrement : Mimi. B.
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