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  • Les affaires d’État n’ont qu’un seul intérêt : mettre à nu les mécanismes du pouvoir. Clearstream est de celles-là. 

    Fruit d’une longue enquête, ce podcast vous entraîne dans le monde fermé de la grande finance, au centre du lobby militaro-industriel, au cœur du pouvoir exécutif et dans le secret de la magistrature. Là où d’ordinaire seuls sont admis les puissants…

    Le combat de deux monstres politiques : Sarkozy contre Villepin. C’est ainsi que l’affaire Clearstream a jusqu’alors été racontée. Elle est bien plus que cela. C’est une certaine histoire de France, celle du dernier quart du 20ème siècle. L’histoire d’une France au temps de la mondialisation des capitaux, de l’émergence d’une Europe de la défense, de la violence des luttes de pouvoir et des relations sulfureuses entre politiques et marchands d’armes. Une certaine histoire de France dans laquelle un homme, Imad Lahoud, a su jouer des fragilités du système pour pénétrer un à un chaque cercle de pouvoir et déclencher une impensable affaire d’État qui lève le voile sur les zones grises de la République.

    Découvrez L'affaire Clearstream, disponible dès le 25 septembre 2024.

  • Mardi 30 mai 1995, Saint-Andéol le Château, une petite ville de 1 200 habitants au sud de Lyon. Il est 20h30 quand les pompiers maîtrisent l’incendie qui ravage la maison de la famille Bébien. Dans les décombres, quatre corps. Les parents et deux de leurs enfants, Vincent, 21 ans et Aline, 16 ans. Mais tous sont morts avant l’incendie. Abattus à bout portant par la même arme de calibre 22 long rifle.

    Saisis de l’affaire, les gendarmes de la Brigade de Recherches de Lyon ne retrouvent aucune arme dans les décombres. Très vite, ils ont une conviction : ce quadruple meurtre ne peut être l’œuvre que d’un très proche. Les victimes ont été tuées au fur et à mesure de leur retour dans la maison ce jour-là. Et leur chien, un berger allemand, n’a pas aboyé de la journée. 

    Les gendarmes resserrent leur étau sur les seules personnes à qui ce drame peut profiter : Samantha, la fille ainée de 25 ans, seule membre de la famille encore en vie et unique héritière. Et Éric Bruyas son mari, âgé de 27 ans. Deux semaines après la tuerie, le jeune couple est interpellé à son domicile et conduit dans les locaux de la gendarmerie de Givors.  

    Le 14 juin 1995 à l’aube, à 6h30 du matin, leur garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue du couple Bruyas »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Vincent de Cointet et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Vincent de Cointet

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

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  • Mardi 30 mai 1995, Saint-Andéol le Château, une petite ville de 1 200 habitants au sud de Lyon. Il est 20h30 quand les pompiers maîtrisent l’incendie qui ravage la maison de la famille Bébien. Dans les décombres, quatre corps. Les parents et deux de leurs enfants, Vincent, 21 ans et Aline, 16 ans. Mais tous sont morts avant l’incendie. Abattus à bout portant par la même arme de calibre 22 long rifle.

    Saisis de l’affaire, les gendarmes de la Brigade de Recherches de Lyon ne retrouvent aucune arme dans les décombres. Très vite, ils ont une conviction : ce quadruple meurtre ne peut être l’œuvre que d’un très proche. Les victimes ont été tuées au fur et à mesure de leur retour dans la maison ce jour-là. Et leur chien, un berger allemand, n’a pas aboyé de la journée. 

    Les gendarmes resserrent leur étau sur les seules personnes à qui ce drame peut profiter : Samantha, la fille ainée de 25 ans, seule membre de la famille encore en vie et unique héritière. Et Éric Bruyas son mari, âgé de 27 ans. Deux semaines après la tuerie, le jeune couple est interpellé à son domicile et conduit dans les locaux de la gendarmerie de Givors.  

    Le 14 juin 1995 à l’aube, à 6h30 du matin, leur garde à vue commence.

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue du couple Bruyas »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Vincent de Cointet et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Vincent de Cointet

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Mardi 30 mai 1995, Saint-Andéol le Château, une petite ville de 1 200 habitants au sud de Lyon. Il est 20h30 quand les pompiers maîtrisent l’incendie qui ravage la maison de la famille Bébien. Dans les décombres, quatre corps. Les parents et deux de leurs enfants, Vincent, 21 ans et Aline, 16 ans. Mais tous sont morts avant l’incendie. Abattus à bout portant par la même arme de calibre 22 long rifle.

    Saisis de l’affaire, les gendarmes de la Brigade de Recherches de Lyon ne retrouvent aucune arme dans les décombres. Très vite, ils ont une conviction : ce quadruple meurtre ne peut être l’œuvre que d’un très proche. Les victimes ont été tuées au fur et à mesure de leur retour dans la maison ce jour-là. Et leur chien, un berger allemand, n’a pas aboyé de la journée. 

    Les gendarmes resserrent leur étau sur les seules personnes à qui ce drame peut profiter : Samantha, la fille ainée de 25 ans, seule membre de la famille encore en vie et unique héritière. Et Éric Bruyas son mari, âgé de 27 ans. Deux semaines après la tuerie, le jeune couple est interpellé à son domicile et conduit dans les locaux de la gendarmerie de Givors.  

    Le 14 juin 1995 à l’aube, à 6h30 du matin, leur garde à vue commence.

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue du couple Bruyas »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Vincent de Cointet et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Vincent de Cointet

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Le 28 juillet 2008 le petit Valentin est en vacances dans ce bourg tranquille de l’Ain chez des amis de la famille. Le dîner des adultes s’éternise... Alors le garçon de 10 ans enfourche son vélo et dévale la ruelle devant la maison. Le repas touche à sa fin et Valentin ne revient pas…

    L’enfant est retrouvé dans une mare de sang. Son corps déchiqueté fait croire à l’attaque d’un chien enragé. Mais l’autopsie relève au moins 44 coups de couteau et montre que Valentin ne s’est pas laissé faire. D’ailleurs, le meurtrier a dû se blesser, on retrouve un sang étranger mêlé à celui du petit garçon.

    Une patrouille de gendarmes se souvient avoir contrôlé un couple de marginaux avec un chat en laisse. Ils ont été hébergés dans la salle paroissiale du village d’à côté... Dans la pièce, des traces brunâtres. Le même sang étranger. Ils sont repérés en Ardèche, à 200 kms de là, interpellés et ramenés dans l’Ain.

    Une équipe de gendarmes s’occupe de l’homme, Stéphane Moitoiret, et une autre se charge de la femme, Noella Hego.

    Le 3 août 2008 à minuit, sa garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue de Noella Hego »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Stéphane Riga et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Stéphane Riga

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Le 28 juillet 2008 le petit Valentin est en vacances dans ce bourg tranquille de l’Ain chez des amis de la famille. Le dîner des adultes s’éternise... Alors le garçon de 10 ans enfourche son vélo et dévale la ruelle devant la maison. Le repas touche à sa fin et Valentin ne revient pas…

    L’enfant est retrouvé dans une mare de sang. Son corps déchiqueté fait croire à l’attaque d’un chien enragé. Mais l’autopsie relève au moins 44 coups de couteau et montre que Valentin ne s’est pas laissé faire. D’ailleurs, le meurtrier a dû se blesser, on retrouve un sang étranger mêlé à celui du petit garçon.

    Une patrouille de gendarmes se souvient avoir contrôlé un couple de marginaux avec un chat en laisse. Ils ont été hébergés dans la salle paroissiale du village d’à côté... Dans la pièce, des traces brunâtres. Le même sang étranger. Ils sont repérés en Ardèche, à 200 kms de là, interpellés et ramenés dans l’Ain.

    Une équipe de gendarmes s’occupe de l’homme, Stéphane Moitoiret, et une autre se charge de la femme, Noella Hego.

    Le 3 août 2008 à minuit, sa garde à vue commence.

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue de Noella Hego »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Stéphane Riga et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Stéphane Riga

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Le 28 juillet 2008 le petit Valentin est en vacances dans ce bourg tranquille de l’Ain chez des amis de la famille. Le dîner des adultes s’éternise... Alors le garçon de 10 ans enfourche son vélo et dévale la ruelle devant la maison. Le repas touche à sa fin et Valentin ne revient pas…

    L’enfant est retrouvé dans une mare de sang. Son corps déchiqueté fait croire à l’attaque d’un chien enragé. Mais l’autopsie relève au moins 44 coups de couteau et montre que Valentin ne s’est pas laissé faire. D’ailleurs, le meurtrier a dû se blesser, on retrouve un sang étranger mêlé à celui du petit garçon.

    Une patrouille de gendarmes se souvient avoir contrôlé un couple de marginaux avec un chat en laisse. Ils ont été hébergés dans la salle paroissiale du village d’à côté... Dans la pièce, des traces brunâtres. Le même sang étranger. Ils sont repérés en Ardèche, à 200 kms de là, interpellés et ramenés dans l’Ain.

    Une équipe de gendarmes s’occupe de l’homme, Stéphane Moitoiret, et une autre se charge de la femme, Noella Hego.

    Le 3 août 2008 à minuit, sa garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue de Noella Hego »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Stéphane Riga et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Stéphane Riga

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Chérence, un hameau du Vexin en lisière du Bassin parisien. Un coin tranquille où se côtoient des intellectuels en mal de campagne et des familles d’agriculteurs et d’employés. C’est ici que dans la nuit du 7 avril 2012, à 3h25, les secours reçoivent un appel désespéré d’un jeune homme. Il vient de retrouver le corps sans vie de sa compagne Maëva Rousseau écroulé sur leur bébé de 11 mois.
    Arrivés sur place, les gendarmes constatent que la jeune femme de 23 ans est morte, le crâne fracassé par de multiples coups portés par un objet contondant. La scène de crime est terrible, la jeune femme s’est vidée de son sang et son petit garçon hurle, coincé sous le cadavre de sa mère. La petite maison n’a pas été fouillée mais le sac à main de la jeune femme a disparu. Alan, le jeune compagnon de Maëva est vite suspecté et tout aussi vite mis hors de cause. 

    Pendant plusieurs semaines, l’enquête piétine : sans ADN, sans empreinte, sans arme du crime, les gendarmes recherchent des témoignages… Certains mettent en cause le meilleur ami du père de Maëva, Alain Berruet, un homme d’une soixantaine d’années. Mais chez lui, les enquêteurs ne retrouvent aucune trace de sang. Sans autre élément, le juge d’instruction autorise cependant les gendarmes à lever leurs doutes. Presque 3 mois après les faits, ils interpellent Alain Berruet. 

    Le 27 juin 2012, à 18 heures, sa garde-à-vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue d'Alain Berruet »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Pablo Lopez et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Pablo Lopez

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Chérence, un hameau du Vexin en lisière du Bassin parisien. Un coin tranquille où se côtoient des intellectuels en mal de campagne et des familles d’agriculteurs et d’employés. C’est ici que dans la nuit du 7 avril 2012, à 3h25, les secours reçoivent un appel désespéré d’un jeune homme. Il vient de retrouver le corps sans vie de sa compagne Maëva Rousseau écroulé sur leur bébé de 11 mois.
    Arrivés sur place, les gendarmes constatent que la jeune femme de 23 ans est morte, le crâne fracassé par de multiples coups portés par un objet contondant. La scène de crime est terrible, la jeune femme s’est vidée de son sang et son petit garçon hurle, coincé sous le cadavre de sa mère. La petite maison n’a pas été fouillée mais le sac à main de la jeune femme a disparu. Alan, le jeune compagnon de Maëva est vite suspecté et tout aussi vite mis hors de cause. 

    Pendant plusieurs semaines, l’enquête piétine : sans ADN, sans empreinte, sans arme du crime, les gendarmes recherchent des témoignages… Certains mettent en cause le meilleur ami du père de Maëva, Alain Berruet, un homme d’une soixantaine d’années. Mais chez lui, les enquêteurs ne retrouvent aucune trace de sang. Sans autre élément, le juge d’instruction autorise cependant les gendarmes à lever leurs doutes. Presque 3 mois après les faits, ils interpellent Alain Berruet. 

    Le 27 juin 2012, à 18 heures, sa garde-à-vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue d'Alain Berruet »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Pablo Lopez et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Pablo Lopez

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Chérence, un hameau du Vexin en lisière du Bassin parisien. Un coin tranquille où se côtoient des intellectuels en mal de campagne et des familles d’agriculteurs et d’employés. C’est ici que dans la nuit du 7 avril 2012, à 3h25, les secours reçoivent un appel désespéré d’un jeune homme. Il vient de retrouver le corps sans vie de sa compagne Maëva Rousseau écroulé sur leur bébé de 11 mois.
    Arrivés sur place, les gendarmes constatent que la jeune femme de 23 ans est morte, le crâne fracassé par de multiples coups portés par un objet contondant. La scène de crime est terrible, la jeune femme s’est vidée de son sang et son petit garçon hurle, coincé sous le cadavre de sa mère. La petite maison n’a pas été fouillée mais le sac à main de la jeune femme a disparu. Alan, le jeune compagnon de Maëva est vite suspecté et tout aussi vite mis hors de cause. 

    Pendant plusieurs semaines, l’enquête piétine : sans ADN, sans empreinte, sans arme du crime, les gendarmes recherchent des témoignages… Certains mettent en cause le meilleur ami du père de Maëva, Alain Berruet, un homme d’une soixantaine d’années. Mais chez lui, les enquêteurs ne retrouvent aucune trace de sang. Sans autre élément, le juge d’instruction autorise cependant les gendarmes à lever leurs doutes. Presque 3 mois après les faits, ils interpellent Alain Berruet. 

    Le 27 juin 2012, à 18 heures, sa garde-à-vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue d'Alain Berruet »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Pablo Lopez et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Pablo Lopez

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Le 2 juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Cette étudiante en chimie à la fac de Rouen n'a plus donné de nouvelles depuis dix jours. Le lendemain, sa voiture est retrouvée sur le parking d'une cité, à une cinquantaine de kilomètres de son domicile, les portes ouvertes, son sac à main à l'intérieur. Dans le sac, deux petits bouts de papier: l'un avec un numéro de téléphone, celui d'un certain Jean-Yves Morel, l'autre sur lequel est griffonné «Fred, le 24, à 10 heures». 

    Après trois mois et demi d'enquête, il ne reste qu'un nom, celui du numéro de téléphone retrouvé dans le sac.

    Jean-Yves Morel est un homme sans histoires de 33 ans, marié, père de famille. Elisabeth avait rencontré ce technicien de laboratoire un an plus tôt lors d'un stage effectué au sein de l'usine où il travaille. Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie de Notre-Dame-de-Gravenchon.

    Le 9 octobre 1997, à 9h du matin, sa garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « 48 heures - L’affaire Jean-Yves Morel »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Rémy Burkel

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Le 2 juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Cette étudiante en chimie à la fac de Rouen n'a plus donné de nouvelles depuis dix jours. Le lendemain, sa voiture est retrouvée sur le parking d'une cité, à une cinquantaine de kilomètres de son domicile, les portes ouvertes, son sac à main à l'intérieur. Dans le sac, deux petits bouts de papier: l'un avec un numéro de téléphone, celui d'un certain Jean-Yves Morel, l'autre sur lequel est griffonné «Fred, le 24, à 10 heures». 

    Après trois mois et demi d'enquête, il ne reste qu'un nom, celui du numéro de téléphone retrouvé dans le sac.

    Jean-Yves Morel est un homme sans histoires de 33 ans, marié, père de famille. Elisabeth avait rencontré ce technicien de laboratoire un an plus tôt lors d'un stage effectué au sein de l'usine où il travaille. Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie de Notre-Dame-de-Gravenchon.

    Le 9 octobre 1997, à 9h du matin, sa garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « 48 heures - L’affaire Jean-Yves Morel »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Rémy Burkel

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Le 2 juillet 1997, en Normandie, John Griffin signale la disparition de sa fille de 23 ans, Elisabeth. Cette étudiante en chimie à la fac de Rouen n'a plus donné de nouvelles depuis dix jours. Le lendemain, sa voiture est retrouvée sur le parking d'une cité, à une cinquantaine de kilomètres de son domicile, les portes ouvertes, son sac à main à l'intérieur. Dans le sac, deux petits bouts de papier: l'un avec un numéro de téléphone, celui d'un certain Jean-Yves Morel, l'autre sur lequel est griffonné «Fred, le 24, à 10 heures». 

    Après trois mois et demi d'enquête, il ne reste qu'un nom, celui du numéro de téléphone retrouvé dans le sac.

    Jean-Yves Morel est un homme sans histoires de 33 ans, marié, père de famille. Elisabeth avait rencontré ce technicien de laboratoire un an plus tôt lors d'un stage effectué au sein de l'usine où il travaille. Jean-Yves Morel est convoqué à la gendarmerie de Notre-Dame-de-Gravenchon.

    Le 9 octobre 1997, à 9h du matin, sa garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « 48 heures - L’affaire Jean-Yves Morel »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Rémy Burkel

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • 16 mars 2013, village de Vritz, à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest d'Angers. Anne Barbot, 38 ans, n'a pas été vue depuis qu'elle a quitté sa ferme ce matin-là. Dès le lendemain, Didier, son mari, lance des recherches. La mobilisation prend de l'ampleur autour de lui. Une marche blanche, qui réunit 700 personnes, est organisée. Sans résultat.

    Douze jours après la disparition d'Anne, le 28 mars, sa voiture est découverte. Carbonisée. Dans le coffre, son corps. Calciné. Pour la section de recherches d'Angers, chargée de l'affaire, le mystère est total. Selon l'autopsie, la victime était déjà morte lorsqu'elle a été brûlée.

    Trois mois après le décès de sa femme, Didier Barbot tente de mettre fin à ses jours à l'endroit où elle a été retrouvée.

    Au bout de neuf mois d'enquête, c'est la stupéfaction. Didier Barbot est arrêté. Il ignore qu'au même moment, une de ses amies, une certaine Stéphanie Livet qui habite dans son village, est aussi arrêtée. Les enquêteurs perquisitionnent leurs fermes respectives pendant plus de cinq heures. Puis ils les conduisent, séparément, à la section de recherches d'Angers.

    Le 26 novembre 2013, à 22h30, leur garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue de Didier Barbot et de Stéphanie Livet »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Vincent De Cointet et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Vincent De Cointet

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • 16 mars 2013, village de Vritz, à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest d'Angers. Anne Barbot, 38 ans, n'a pas été vue depuis qu'elle a quitté sa ferme ce matin-là. Dès le lendemain, Didier, son mari, lance des recherches. La mobilisation prend de l'ampleur autour de lui. Une marche blanche, qui réunit 700 personnes, est organisée. Sans résultat.

    Douze jours après la disparition d'Anne, le 28 mars, sa voiture est découverte. Carbonisée. Dans le coffre, son corps. Calciné. Pour la section de recherches d'Angers, chargée de l'affaire, le mystère est total. Selon l'autopsie, la victime était déjà morte lorsqu'elle a été brûlée.

    Trois mois après le décès de sa femme, Didier Barbot tente de mettre fin à ses jours à l'endroit où elle a été retrouvée.

    Au bout de neuf mois d'enquête, c'est la stupéfaction. Didier Barbot est arrêté. Il ignore qu'au même moment, une de ses amies, une certaine Stéphanie Livet qui habite dans son village, est aussi arrêtée. Les enquêteurs perquisitionnent leurs fermes respectives pendant plus de cinq heures. Puis ils les conduisent, séparément, à la section de recherches d'Angers.

    Le 26 novembre 2013, à 22h30, leur garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue de Didier Barbot et de Stéphanie Livet »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Vincent De Cointet et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Vincent De Cointet

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • 16 mars 2013, village de Vritz, à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest d'Angers. Anne Barbot, 38 ans, n'a pas été vue depuis qu'elle a quitté sa ferme ce matin-là. Dès le lendemain, Didier, son mari, lance des recherches. La mobilisation prend de l'ampleur autour de lui. Une marche blanche, qui réunit 700 personnes, est organisée. Sans résultat.

    Douze jours après la disparition d'Anne, le 28 mars, sa voiture est découverte. Carbonisée. Dans le coffre, son corps. Calciné. Pour la section de recherches d'Angers, chargée de l'affaire, le mystère est total. Selon l'autopsie, la victime était déjà morte lorsqu'elle a été brûlée.

    Trois mois après le décès de sa femme, Didier Barbot tente de mettre fin à ses jours à l'endroit où elle a été retrouvée.

    Au bout de neuf mois d'enquête, c'est la stupéfaction. Didier Barbot est arrêté. Il ignore qu'au même moment, une de ses amies, une certaine Stéphanie Livet qui habite dans son village, est aussi arrêtée. Les enquêteurs perquisitionnent leurs fermes respectives pendant plus de cinq heures. Puis ils les conduisent, séparément, à la section de recherches d'Angers.

    Le 26 novembre 2013, à 22h30, leur garde à vue commence.

    Bonne écoute ! 

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    Crédits :
    « Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
    Documentaire original : « La garde à vue de Didier Barbot et de Stéphanie Livet »
    Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
    Ecrit par Vincent De Cointet et Frédérique Lantieri
    Réalisé par Vincent De Cointet

    Production exécutive du podcast : Initial Studio
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
    Montage : Camille Legras
    Avec la voix de Roland Timsit

  • Ce sont les quarante-huit heures les plus déterminantes d’une affaire criminelle, un compte à rebours décisif. Quand la police arrête un suspect, commence alors un huis clos où tout se joue. Les enquêteurs comme les avocats s’engagent dans une course contre la montre pour obtenir des aveux. 

    Plongez dans les coulisses des plus grandes affaires criminelles françaises, à l’aide des procès-verbaux d’audition et des témoignages de ceux qui ont travaillé sur ces crimes atroces.

    Ces gardes à vue ont été reconstituées sur la base des procès-verbaux d’audition. 

    Découvrez Garde à vue, disponible dès le 14 août 2024.

  • « Pourquoi voulez vous que l'exécutif lâche un levier de pouvoir si évident? Et puis, si l'exécutif lâche ce levier là, il y aura des cadeaux qu'on ne pourra plus faire.»

    L’affaire Cahuzac n’est pas seulement l’histoire du mensonge d’un homme. C’est aussi la révélation d’un univers opaque : le ministère de l’Économie et des finances, à Bercy. En France, seul le ministre du Budget est habilité à déclencher des poursuites judiciaires en matière d’évasion fiscale. Cette législation permet le contrôle de nombreux secrets et son existence même ne peut que créer le doute : la France veut-elle réellement lutter contre l’évasion fiscale ?

    "La grande évasion fiscale" est un podcast coproduit par Initial Studio et Nilaya Productions, adapté du documentaire audiovisuel éponyme produit par Nilaya Productions, avec la participation de France Télévision. Un film écrit et réalisé par Patrick Benquet.

    Production exécutive du podcast : Initial Studio 
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Cyprille-Anne Liger
    Montage : Victor Benhamou

    Avec la voix d’Alix Martineau

  • « C'est le système qu'il faut mettre en cause. C'est le système qui permet tout ça.»

    L’affaire Cahuzac n’est pas seulement l’histoire du mensonge d’un homme. C’est aussi la révélation d’un univers opaque : le ministère de l’Économie et des finances, à Bercy. En France, seul le ministre du Budget est habilité à déclencher des poursuites judiciaires en matière d’évasion fiscale. Cette législation permet le contrôle de nombreux secrets et son existence même ne peut que créer le doute : la France veut-elle réellement lutter contre l’évasion fiscale ?

    "La grande évasion fiscale" est un podcast coproduit par Initial Studio et Nilaya Productions, adapté du documentaire audiovisuel éponyme produit par Nilaya Productions, avec la participation de France Télévision. Un film écrit et réalisé par Patrick Benquet.

    Production exécutive du podcast : Initial Studio 
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Cyprille-Anne Liger
    Montage : Victor Benhamou

    Avec la voix d’Alix Martineau

  • « Lorsque les grands groupes demandent quelque chose au gouvernement, le gouvernement le donne. Ce sont les banques qui gouvernent. »

    L’enquête se poursuit en Suisse et aux États-Unis où la banque UBS a été prise en flagrant délit d’évasion fiscale. Pour sauver sa tête, UBS a été contrainte de payer près d’un milliard de dollars d’amende. Elle a aussi livré les noms de 4 750 Américains séduits par les sirènes de la banque helvète. 

    Banquiers, avocats et hommes politiques, tous directement concernés par ce séisme, témoignent de la mort du secret bancaire suisse et de l’inquiétude qui saisit désormais leur pays.

    "La grande évasion fiscale" est un podcast coproduit par Initial Studio et Nilaya Productions, adapté du documentaire audiovisuel éponyme produit par Nilaya Productions, avec la participation de France Télévision. Un film écrit et réalisé par Patrick Benquet.

    Production exécutive du podcast : Initial Studio 
    Production éditoriale : Sarah Koskievic et Cyprille-Anne Liger
    Montage : Victor Benhamou

    Avec la voix d’Alix Martineau