Episódios
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Au sortir d'une semaine négative, mais aussi d'un gros rebond vendredi, les marchés financiers restent nerveux face à la remise en cause de l'ordre économique et géopolitique mondial par Donald Trump et son équipe. Malgré tout, la Maison Blanche espère annoncer un cessez-le-feu en Ukraine dès cette semaine. Pendant ce temps, la Chine joue la carte de la relance intérieure en surfant sur l'embellie économique et technologique visible ces dernières semaines. Enfin, le compte à rebours de la décision de la Fed sur ses taux, mercredi, est enclenché.
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La bourse américaine a poursuivi sa baisse hier, pour atteindre ce que les financiers appellent une correction, c’est-à-dire une baisse de 10% sur les pics les plus récents. Ça a l'air d'aller un peu mieux ce matin, parce que le bruit et la fureur de la politique de Donald Trump ont l'air momentanément couverts par les espoirs d'un report du blocage budgétaire de l'administration américaine. Il en faut peu pour être heureux, en somme, pour citer le fameux philosophe indien Baloo.
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Estão a faltar episódios?
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Les valeurs technologiques ont offert du répit à Wall Street hier, mais les grands maux actuels de l'époque ne sont pas pour autant résolus. Le monde se demande où la guerre commerciale conduira les économies, en particulier celle des Etats-Unis. J'ai l'impression d'avoir déjà écrit quelque chose comme ça pendant des semaines il y a quatre ans… et c'est probablement le cas.
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La crise de confiance des investisseurs est palpable aux Etats-Unis, où l'on a frôlé la correctionnelle hier. Les rodomontades de Donald Trump continuent à provoquer des dégâts, même si le président américain semble avoir rétropédalé sur les perspectives de croissance. L'espoir d'une solution diplomatique de sortie de crise en Ukraine contribue aussi à contrebalancer les actualités négatives. L'inflation américaine de février, publiée à 13h30, sera le principal événement de la journée, en tout cas dans le domaine de ce qui est prévisible.
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Wall Street a connu une rare séance de purge hier, qui est venue accroître la contreperformance des indices américains en 2025. Les investisseurs ont à nouveau fui les valeurs fétiches de la technologie pour aller se cacher ailleurs, en particulier dans la santé. Le dollar baisse, les rendements US baissent, le bitcoin baisse, pendant que la volatilité et la tension montent.
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Les marchés boursiers ont tangué la semaine dernière, en particulier aux Etats-Unis où les pertes de plus de 3% du S&P 500 et du Nasdaq suffisent à faire comprendre que l'ambiance n'était pas au beau fixe. C'est la troisième semaine consécutive de contraction à Wall Street. En Europe, les indices se sont nettement mieux comportés, grâce à l'explosion haussière des actions de la défense, à la ruée vers les actions défensives et à la très belle performance des entreprises de matériaux. En revanche, la technologie, les valeurs cycliques et l'énergie ont piqué du nez, pendant que le secteur immobilier coté s'effondrait. Tous ces mouvements suivent une mécanique assez logique, que je vais m'employer à résumer sans trop me perdre dans les détails.
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Wall Street s'alarme de plus en plus de l'impact économique des décisions de Donald Trump et d'une certaine inconstance dans les annonces de la Maison Blanche. La stratégie est connue, mais est-elle totalement maîtrisée ? Les indices ont piqué du nez hier aux Etats-Unis, avant de trouver un peu de réconfort post-séance dans les résultats de Broadcom. Les chiffres mensuels de l'emploi outre-Atlantique et une allocution de Jerome Powell, le patron de la Fed, viennent clôturer cette semaine boursière agitée.
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Les marchés européens sont dopés par le changement de paradigme du gouvernement allemand sur les dépenses publiques. Pendant ce temps, les Etats-Unis sont en proie au doute sur la stratégie adoptée par Donald Trump et son impact sur la croissance. Les palinodies du président américain sur les droits de douane visant ses voisins ont contribué à renforcer la volatilité. Au moins, on ne s'ennuie pas sur les marchés.
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Les marchés boursiers sont assez mal embarqués cette semaine : la peur d'un gros ralentissement de l'économie américaine s'accroît, à cause de l'effet à court terme des politiques de Donald Trump. A moins que les objectifs économiques de la Chine et une légère inflexion de la Maison Blanche sur les surtaxes douanières ne viennent soutenir une petite embellie ? C'est l'ambiance du matin, pendant que plusieurs grandes entreprises publient leurs résultats 2024 et, plus important, leurs objectifs 2025.
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Wall Street a subi une correction brutale après la confirmation de nouvelles surtaxes américaines visant le Canada, le Mexique et la Chine. Par contraste, l'Europe a progressé, nourrie par l'explosion haussière des valeurs de la défense. Le dénominateur commun, ou le dynamiteur commun, s'appelle Donald Trump. Les bouleversements tous azimuts lancés par le président des Etats-Unis remodèlent les relations internationales, secouent l'organisation fédérale et inquiètent plus qu'ils ne rassurent pour le moment.
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Après une semaine compliquée, Wall Street a limité la casse vendredi, mais la tendance reste morose aux Etats-Unis. En Europe, au contraire, les indices tiennent bon et séduisent les investisseurs. Le début de semaine est marqué par la tentative européenne de reprendre la main sur la fin du conflit russo-ukrainien et l'imminence des surtaxes douanières américaines. Sans oublier des résultats d'entreprises, une décision de la BCE, une réunion politique XXL en Chine et les stats américaines sur l'emploi.
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A Wall Street, les investisseurs s'alarment des conséquences d'une guerre commerciale tous azimuts sur la croissance des Etats-Unis. Les indices ont fait mine de rebondir hier avant de flancher, emportés par le compartiment technologique au sein duquel Nvidia a plongé de plus de 8%, en dépit de la publication de bénéfices trimestriels obscènes. La bourse américaine est revenue à zéro en 2025, pendant que les actions européennes conservent une avance confortable. Dernière échéance importante du mois aujourd'hui avec les données d'inflation en Europe et aux Etats-Unis.
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La montagne a peut-être accouché d'une souris hier soir. Ou peut-être qu'une montagne plus imposante est apparue à côté de la première. Cette entame mystérieuse, sans doute pas étrangère à la légère surconsommation d'un excellent vin rouge hier soir, masque une réalité assez simple : Nvidia a publié des résultats dont personne n'arrive à dire s'ils doivent être considérés comme favorables ou pas, pendant que Donald Trump a annoncé que l'Europe sera frappée à son tour par 25% de droits de douane.
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Les actions technologiques américaines ont presque effacé leurs gains 2025. Il y a un peu trop de nuages sombres à l'horizon en ce moment. Malgré tout, quelques éclaircies sont annoncées aujourd'hui. Suffiront-elles à écarter la tempête ? That is the question.
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L’IA patine, le Nasdaq trébuche, et le CAC40 est contaminé via Schneider. Washington resserre l’étau sur Pékin, tandis que Nvidia, dont les résultats sont attendus demain soir, pourrait raviver l’appétit des marchés. Après l’indigestion, place au FOMO ? Du grand classique en somme, pas de quoi en faire un fromage. Quoique…
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C'est un peu le monde à l'envers au regard du rapport de force géopolitique du moment, mais les places boursières européennes ont bel et bien une avance considérable sur Wall Street en 2025 à l'amorce de la dernière semaine de février. Comme les performances passés ne préjugent pas des performances futures, on se gardera de tirer des conclusions hâtives, d'autant que la bourse américaine reste très proche de ses sommets. Nvidia, dont les résultats sont attendus mercredi, aura-t-elle la capacité de rebattre les cartes ?
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L’Europe pourrait s’offrir une neuvième semaine de hausse consécutive, sauf si un dernier faux pas du Stoxx Europe 600 en décide autrement. Mais l’ambiance sur les marchés est loin d’être euphorique, à cause des tensions diplomatiques et de la prudence des consommateurs américains. Heureusement, la Chine offre un contrepoint enflammé grâce à l’intelligence artificielle et Alibaba, qui connaît un spectaculaire retour en grâce.
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Un mois après son retour à la Maison Blanche, Donald Trump impose sa marque : virulence verbale, relance des tensions commerciales et pressions diplomatiques tous azimuts. Si Wall Street s’en accommode pour l'instant, les marchés européens et asiatiques, eux, accusent le coup.
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Tout va toujours bien pour les actions européennes, qui grimpent en dépit des craintes économiques et des menaces douanières de Donald Trump. Les données montrent que les investisseurs misent un peu plus sur le vieux continent et un peu moins sur la tech américaine, même s'ils restent captivés par l'intelligence artificielle et la force de traction des Etats-Unis. Les nouvelles annonces nocturnes de Donald Trump apportent toutefois un peu de piment à l'ouverture ce matin.
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Pendant que Wall Street prolongeait son week-end, les indices européens ont poursuivi leur ascension, avec un DAX survolté par la montée en puissance de Rheinmetall. Un paradoxe de plus dans un paysage économique où l’Allemagne, en crise politique, surperforme. Pendant ce temps, Washington et Moscou discutent d’une issue au conflit ukrainien sans l’Europe, les matières premières s’agitent et la Fed entretient le flou sur sa politique monétaire.
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