Episódios
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Claire, maraichère bio et administratrice à Agrobio 35 exprime sa sidération. Comment est-ce possible que les agriculteurs et agricultrices, tout modèle de production confondu, ne soient pas plus en colère contre les dirigeants de l'agro-industrie et l'agro-alimentaire, qui pratiquent des marges exorbitantes, prenant alors en otage producteur et consommateurs ? Comment peut-on aujourd'hui soutenir un modèle à bout de souffle et ne pas plus soutenir l'agriculture biologique, le seul modèle viable, capable de répondre aux enjeux climatiques ?
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On parle beaucoup de "l'agriculture", mais nous devrions parler "des agricultures". Le choix qui se pose à nous maintenant est :"Quelle agriculture souhaitons-nous pour demain ? Comment souhaitons-nous nous nourrir ? avec des protéines produites dans des laboratoires ou avec des produits cultivés à proximité de chez soi, dans le respect des hommes et de la nature ? C'est toute l'analyse de la situation actuelle que fait Maxime, arboriculteur et administrateur à Agrobio 35.
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Estão a faltar episódios?
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Frédéric, est fier d'être paysan bio, de cultiver sans pesticides pour son bien-être et celui des autres, pour la qualité de l'eau, la protection de l'environnement. Il dénonce les "gros pas" en arrière faits au bénéfice de l'agro-industrie, alors que nous savons produire sans traitements chimiques.
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Allons-nous vers "un suicide collectif" ?
Bénédicte, éleveuse laitière bio à Noyal-Châtillon et membre du Conseil d'Administration d'Agrobio 35, le réseau des agriculteurs et agricultrices bio d'Ille-et-Vilaine, affirme sa colère face à tout ce qui se passe dans le monde agricole et les projets pour l'agriculture, dénonce le recul environnemental lié aux annonces du Ministère de l'agriculture et appelle les citoyen.ne.s à changer leur mode de consommation pour sauver le monde agricole et l'alimentation de demain. -
Alan, maraicher bio à Acigné et membre du Conseil d'Administration d'Agrobio 35, le réseau des agriculteurs et agricultrices bio d'Ille-et-Vilaine exprime son écœurement et sa tristesse sur le contexte agricole actuel. Il dénonce les procédés du modèle agricole conventionnel, l'agrobusiness et revient sur l'enjeu de prendre maintenant le virage d'une réelle transition agricole et alimentaire pour sauver le monde paysan et assurer la souveraineté alimentaire.